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http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.htmlBélgica saca una moneda de 2,5 € conmemorando la batalla de Waterloo. No ha gustado en Francia.
The most frustrating part is that these negotiations are taking up all our energy and time. And moreover: the institutions are telling us, if we legislate before we reached a comprehensive agreement this will be seen as a unilateral action and it will blow up the negotiations. One of the very first things I said to my Eurogroup colleagues was, why don’t we push some of the legislation we agree on – the taxation system, the anti-corruption rules – through parliament and meanwhile continue the negotiations? And I was actually told a number of times if I dare to suggest this again this would constitute reason to settle the negotiations.
Le FMI avait annoncé jeudi que ses négociateurs présents à Bruxelles, excédés qu’Athènes ne valide pas la proposition d’accord de ses bailleurs de fonds sur la table depuis déjà dix jours, avaient repris l’avion pour Washington. Et qu’ils n’étaient pas prêts à céder sur les réformes des retraites et de la TVA, auxquelles Athènes se refuse.En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/12/la-zone-euro-se-prepare-au-scenario-d-un-defaut-grec_4653205_3234.html#TotYLTxchulWXQzk.99
Cita de: muyuu en Junio 09, 2015, 13:24:59 pmhttp://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.htmlBélgica saca una moneda de 2,5 € conmemorando la batalla de Waterloo. No ha gustado en Francia.Blas de Lezo no existe para los británicos y las derrotas de Napoleón o el colaboracionismo masivo con los nazis son tabú en Francia. Moverse por Europa es complicado porque hay mucho ego frágil dispuesto a liarla en cuanto no oiga lo que le gusta
Mais selon l’édition dominicale de la Frankfurter Allgemeine Zeitung, des tensions seraient apparues ces jours derniers entre le FMI et la Commission. Le FMI aurait «torpillé» un compromis d’accord soumis par M. Juncker et prévoyant un report des coupes dans les retraites en échange d’efforts équivalents sur le budget militaire.«Je ne serais pas surpris que le FMI insiste aujourd’hui sur des positions inacceptables qu’il sait bien que la Grèce ne peut pas accepter, ce qui serait une justification pour que l’institution quitte les négociations», a déclaré le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, dans un entretien à l’hebdomadaire Realnews.Il a assuré que cet éventuel départ «n’empêcherait pas un accord entre seulement Athènes et les Européens». Mais une source européenne interrogée par l’AFP a insisté sur le fait que l’accord des trois institutions était nécessaire, et une autre a assuré qu’elles partageaient les «mêmes objectifs», renvoyant la balle dans le camp grec.
The offer made to the Greek government last week reflected these considerations and these tradeoffs. It proposed to lower the medium term primary budget surplus target from 4.5% of GDP to 3.5%, and give Greece two more years to achieve that target—so the target for this year was reduced to 1%—and it asked for a more limited set of reforms.For a deal along these lines to be effective and credible however, two conditions must be satisfied.On the one hand, the Greek government has to offer truly credible measures to reach the lower target budget surplus, and it has to show its commitment to the more limited set of reforms. We believe that even the lower new target cannot be credibly achieved without a comprehensive reform of the VAT – involving a widening of its base – and a further adjustment of pensions. Why insist on pensions? Pensions and wages account for about 75% of primary spending; the other 25% have already been cut to the bone. Pension expenditures account for over 16% of GDP, and transfers from the budget to the pension system are close to 10% of GDP. We believe a reduction of pension expenditures of 1% of GDP (out of 16%) is needed, and that it can be done while protecting the poorest pensioners. We are open to alternative ways for designing both the VAT and the pension reforms, but these alternatives have to add up and deliver the required fiscal adjustment.On the other hand, the European creditors would have to agree to significant additional financing, and to debt relief sufficient to maintain debt sustainability.We believe that, under the existing proposal, debt relief can be achieved through a long rescheduling of debt payments at low interest rates. Any further decrease in the primary surplus target, now or later, would probably require, however, haircuts.
"Sin una negociación sobre la reestructuración de la deuda y limitándonos al debate sobre la parte financiera eso no podía avanzar. Por fin llegamos al momento de la claridad, y la otra parte, concretamente la canciller alemana, debe tomar decisiones".A juicio de Varoufakis, en Bruselas se logró "un acercamiento importante" a nivel técnico, pero Grecia dejó claro que para poder alcanzar una solución se debía elevar la negociación al nivel político, con el objetivo de incluir el tema de la deuda y el programa de inversiones en la negociación. Atenas ha venido insistiendo en que la crisis no puede resolverse únicamente mediante un programa de reformas sino que debe incluirse una reestructuración de la deuda y un paquete de inversiones que posibiliten volver al crecimiento económico. Una de las fórmulas es la que el MEDE asuma la deuda con el BCE por valor de 27.000 millones de eurosUna de las fórmulas que se habían planteado, según se desprende de la propuesta filtrada a los medios y reconocido recientemente por Varoufakis, era la de que el Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE) asumiera la deuda de Grecia con el Banco Central Europeo (BCE) por valor de 27.000 millones de euros. Así pues Grecia, que renegociaría con el MEDE los términos de devolución, obtendría un respiro de liquidez, pues tan solo en los próximos dos meses debe devolver al BCE 6.700 millones de euros, lo que sumado a los 1.600 millones que debe desembolsar el próximo 30 de junio al Fondo Monetario Internacional (FMI) ya supera con creces los 7.200 millones pendientes del rescate.
No creo que haya tenido nunca muchas papeletas, aunque después de lo de Rato en el FMI no nos atrevemos a apostar Me da la impresión de que todo lo que han contado en los medios españoles es una operación mediática de consumo interno. Pero es una impresión, sin conocimiento de primera ni segunda mano.
Hay que dimitir a Christine Lagarde, Il faut licencier Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Ses exigences de nouvelles et sévères coupes budgétaires sont politiquement inacceptables pour la Grèce, ce qui rend de plus en plus probable un échec des négociations en cours et un défaut de paiement à la fin du mois ou dans les semaines qui suivent (il y a toujours des moyens techniques de retarder l’échéance). Ce n’est pas pour rien qu’en 2010, Jean-Claude Trichet, alors président de la Banque centrale européenne (BCE), avait bataillé contre la présence du Fonds monétaire international dans le sauvetage des pays attaqués par les marchés : pour lui, la zone euro avait les moyens de s’occuper seule de ses canards boiteux, ce qui pouvait lui éviter de se voir imposer un agenda décidé ailleurs.Trichet tenía razón: la lógica de la organización de Washington est incompatible con la de la zona Euro. Le FMI opera con criterios presupuestarios: condiciona sus préstamos al equilibrio presupuestario Al FMI no le preocupa mantener a Grecia en la UE.Les faits lui donnent raison : il est désormais clair que la logique de l’organisation de Washington est incompatible avec celle de la zone euro. Le FMI obéit à des considérations uniquement budgétaires : lorsqu’il intervient, il conditionne ses prêts à un équilibre du budget (coupe dans les dépenses, augmentation des impôts) et impose un abandon de dette afin de la rendre soutenable. Or, si la dette grecque a été en partie restructurée, pour un montant de 115 milliards d’euros, cela a été fait très tardivement, en 2012, et les 220 milliards de prêts accordés par la zone euro n’ont pas été concernés. Surtout, le FMI ne se préoccupe guère du maintien de la Grèce dans l’euro, pas plus que de la pérennité du projet européen : ce sont des questions politiques qui lui sont étrangères.Para la UE, es lo contrario. El Grexit amenaza al euro. Pero sigue creyendo que podrá devolver la deuda europea en 2023. Combinada con la FMI, son dos lógicas inconciliables que conducen a la catástrofe.Pour la zone euro, c’est l’inverse : sa priorité est politique, éviter un «Grexit» qui menacerait la pérennité de la monnaie unique. Mais elle continue à faire mine de croire que la Grèce pourra rembourser ses dettes à partir de 2023 (rien n’est exigible avant), alors qu’elle sait bien que ce ne sera jamais le cas. Le fait que le Fonds monétaire international et la zone euro négocient ensemble pousse chacun à l’intransigeance et aboutit à exiger d’Athènes l’impossible : des coupes budgétaires visant non seulement à l’équilibre, mais à un excédent primaire irréaliste censé permettre le remboursement d’une dette «sanctuarisée». Deux logiques inconciliables qui menacent l’Europe d’une catastrophe sans précédent.