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Autor Tema: RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)  (Leído 980385 veces)

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Kapu

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #255 en: Junio 14, 2012, 03:19:42 am »

Primero cayó el PSOE, ahora el PP. PPSOE a la mierda en menos de un año. Ni en mis mejores sueños.

(Y eso de que habla inglés es muy discutible).

Todavía queda por caer... Va más rápido de lo previsto, pero en caso de emergencia harían una alianza "a-la-griega".

Supongamos que mañana (o en un futuro cercano) le da una ventolera a Rajoy y dice que convoca elecciones anticipadas. ¿Resultado? PP y PSOE hundidos, pero con los escaños necesarios para gobernar en perfecta y armoniosa coalición, igual que ND y PASOK en Grecia. A 1 mísero escaño han estado de conseguirlo...

La cosa es que están hundiéndose pero no están hundidos del todo, y no sé yo si se hundirán hasta el fondo porque hagan lo que hagan tienen bastante apoyo popular fijo, gente que les votará sí o sí. Y más teniendo en cuenta que intentarán meter el miedo en el cuerpo a la gente (Grecia again) para que les voten.
Nadie io quetuviera quesr justo.

ndizDtdo

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #256 en: Junio 14, 2012, 04:30:26 am »
Citar
http://www.eleconomista.es/economia/noticias/4042062/06/12/Moodys-rebaja-el-rating-de-Espana-a-Baa3-a-un-paso-del-bono-basura-.html

Moody's rebaja el rating de España a 'Baa3', a un paso del 'bono basura'

La agencia de calificación crediticia, Moody's ha rebajado este miércoles la nota de la deduda de España, a 'Baa3' desde 'A3', lo que deja al país a tan sólo un escalón del 'bono basura'. Asimismo, la agencia ha advertido de que podría rebajar de nuevo la calificación del país en los próximos tres meses.



14 de junio 2011: Moody's rebaja cuatro escalones la calificación de la deuda griega. La agencia de calificación de riesgo Moody's ha rebajado este lunes cuatro escalones de golpe, de A3 a Ba1, la calificación crediticia de los bonos de deuda que emite el Estado griego.

 ¿ A que día estamos hoy ?, curioso guión ¿coincidirán las noticias de los massmedia griegos con los españoles ? tema mantras y tal...

Visto en el foro vecino, de un mensaje curioso de @burbujeado de hace 4 días:

http://www.burbuja.info/inmobiliaria/6527378-post49.html
« última modificación: Junio 14, 2012, 04:49:17 am por ndizDtdo »

knock control

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #257 en: Junio 14, 2012, 07:58:29 am »
Queridos Amigos, en prime time para desayunarnos aquí en Francia -país hasta las trancas de problemas, más cercana su problemática al sur que al centro-, pero que viven como si el problemón no fuera con ellos.... Pues hoy el diario Mediapart -como ya les he dicho otras veces, quizás el más serio de todos los diarios franceses- publica:

Vers la faillite des banques traducción:

Hacia la bancarrota bancaria.

Llevamos avisando en el hilo desde hace tiempo algo que cada vez se hace más patente, y es que por este camino pronto, el derrumbamiento bancario lo tenemos a la vuelta de la esquina. Les hago copia antes de irme al curro del artículo, les dejo adivinar su contenido y por supuesto no duden en contactarme para cualquier duda y lo comentamos esta noche. Por cierto todos miramos a Grecia, pero Francia está fatal y cuando toda la mierda empiece a salir -y será más pronto que tarde, somos los siguientes-, las ondas sísmicas serán tremendas. Porque es un bastión de Europa, por lo simbólico, pero sobre todo por lo tapadito que han tenido todas las gigantesccas bolas de problemas bajo la alfombra -una burbuja inmobiliaria que aún no ha estallado en todo su explendor y un caos bancario que mucha gente desconoce. Cuando esto se revele -pronto, será pronto- nos vamos a reir. Ciao!

Vers la faillite des banques

La Commission européenne se prépare à la faillite des banques…

La Commission européenne a présenté le 6 juin une proposition de directive « établissant un cadre pour le redressement et la résolution des défaillances d’établissements de crédit et d’entreprises d’investissement ». Cela fait plus d’un an que la commission travaillait sur ce document et il est révélateur qu’il soit publié au moment même où les banques espagnoles sont en pleine tourmente. Le besoin de recapitalisation de ces banques est estimé entre 50 et 200 milliards d’euros[1] et le sauvetage de la seule Bankia nécessiterait 23,5 milliards d’euros, soit près de 18 fois plus que l’estimation faite fin 2011 par l’Autorité bancaire européenne.

Cette directive qui prétend avoir vocation de protéger le contribuable en cas de faillite bancaire est instructive en ce sens qu’elle reconnaît des réalités qui ont été niées jusqu’à ce jour. Elle admet notamment que « l’intervention des pouvoirs publics a coûté très cher au contribuable et a même compromis la viabilité des finances publiques dans certains états membres. » Pour mémoire, 4 500 milliards d’euros d’aides d’État ont été accordés aux établissements financiers entre octobre 2008 et octobre 2011. La Commission fait également un constat d’échec des politiques d’aide aux banques en relevant que « les plans d’urgence élaborés pour lutter contre les crises financières ont été insuffisants ». En clair, les 4 500 milliards d’aide ont été accordés aux banques en pure perte pour les contribuables appelés à la rescousse. Mais si la Commission se prépare à une faillite imminente des banques, elle persévère dans une attitude inappropriée dénoncée par Frédéric Lordon : « non pas éviter la survenue des crises mais améliorer la gestion de leurs effets. »[2]

… sans prendre les mesures nécessaires pour l’empêcher

Pour faire face à une crise bancaire systémique et à un risque de contagion à l’ensemble de l’Europe, la commission préconise des transferts d’actifs entre entités, la cession obligatoire de certaines activités, le remplacement des dirigeants par un administrateur spécial, la suspension du paiement des dividendes, le renflouement interne ou « bail-in »[3], la mise en place de fonds de résolution[4] et de systèmes de garantie de dépôts financés par le secteur bancaire. Mais le « bail-in » n’entrerait en vigueur qu’en … 2018. Quant aux fonds de résolution, le quotidien Les Échos du 6 juin pointe les limites de ce dispositif en soulignant qu’il n’est « pas question encore de mutualiser les ressources : les fonds imaginés par Bruxelles sont seulement des fonds nationaux ». Ce même journal relève également qu’il n’existe toujours pas en Europe d’harmonisation des systèmes de garantie des dépôts. Ce n’est pas avec des mesures nettement insuffisantes, et dont l’entrée en vigueur est repoussée dans le temps (2014 ou 2018) « pour ne pas effrayer les marchés », que l’on sauvera un système bancaire au bord de la faillite.

Les Caisses d’épargne ne sont pas à l’abri

Malgré les discours rassurants des patrons, la crise bancaire menace également les Caisses d’épargne et le Groupe BPCE. Pour preuve, l’action NATIXIS a perdu 90 % de sa valeur d’origine et des PSE (Plans de Sauvegarde de l’Emploi) ont supprimé des centaines d’emplois dans nos entreprises ces dernières années. Actuellement, les Sociétés Locales d’Épargne sont appelées à se prononcer sur une modification de leurs statuts qui prévoit de conditionner le remboursement des parts sociales à l’autorisation du Conseil d’Administration de la SLE, le Conseil pouvant déléguer ce pouvoir d’autorisation à son Président, à son Vice-président ou au délégué de la Caisse d’épargne. Si cette modification est présentée comme une mise en conformité avec la réglementation européenne relative au ratio « core tier one »[5], elle permet aux dirigeants de refuser le remboursement de leurs parts sociales aux clients sociétaires et éviter ainsi que des ventes massives viennent diminuer significativement les fonds propres des Caisses d’épargne. Or, dans le même temps où ces dirigeants se réservent la faculté d’interdire aux petits porteurs de récupérer leur argent, les traders des banques et des fonds spéculatifs restent libres de se livrer au « trading de haute fréquence » qui leur permet d’acheter et de revendre des actions en quelques millionièmes de seconde à l’aide de programmes informatiques.

Contre la crise bancaire, il existe une solution

Si l’on considère que la monnaie, l’épargne, le crédit et le système dans lequel ils s’inscrivent sont des biens publics, et si l’on sait que la sécurité des encaisses monétaires de la population et la préservation de l’intégrité du système des paiements sont indispensables, alors l’instauration d’un service public bancaire s’impose comme une nécessité. C’est pourquoi Sud BPCE préconise la socialisation de l’intégralité du système bancaire.Nous utilisons le mot socialisation de préférence à celui de nationalisation pour souligner que l’essentiel à nos yeux concerne le contrôle citoyen avec un partage de décision entre les dirigeants, les représentants des salariés, des clients, d’associations, des élus locaux et des représentants des instances bancaires nationales et régionales. Il faut arrêter le sauvetage coûteux des banques effectué sans conditions dont le seul effet est d’augmenter la dette publique. L’expropriation des banques et leur transfert au secteur public sous contrôle citoyen est le seul moyen de protéger l’épargne et d’affecter le crédit à l’économie réelle afin de financer la mise en place d’une politique de plein emploi et d’investissements publics, mais aussi de sauver nos emplois. L’assainissement du secteur bancaire nécessite également la levée du secret bancaire, la mise en place de commissions d’enquête sur les agissements des banques[6] et enfin un audit des dettes détenues par les banques, en particulier celles sur les Etats, les collectivités et les établissements publics, pour identifier les dettes illégitimes qui n’ont pas à être remboursées.

Les politiques d’austérité, c’est aux banques qu’il faut les imposer, pas aux peuples !

Patrick Saurin
membre de l’Exécutif National de Sud BPCE

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Petardazo Inminente

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #258 en: Junio 14, 2012, 08:52:43 am »
Buenos dias ( por decir algo ) :

http://www.expansion.com/2012/06/14/mercados/1339655919.html

Citar
Moody's impulsa a la prima de riesgo sobre los 540 puntos basicos y al bono al 6,9%
14.06.2012 Expansión.com 0

El recorte a la calificación de España por parte de Moody's prolonga las alertas sobre la deuda soberana española. La prima de riesgo supera antes de la apertura de la sesión los 540 puntos con el bono a diez años en el 6,9%.

El diferencial entre el bono español y alemán a diez años se sitúa en 544 puntos, con la referencia española en el 6,89% y el bund en el 1,45%. El bono español ha llegado a superar el 6,9%.

La presión de los mercados también golpea a la deuda italiana. Su riesgo país alcanza los 483 puntos con el bono a diez años en el 6,28%.

Moody's La agencia de calificación de riesgos Moody's rebajó ayer por la noche el ráting de España de A3 a Baa3, a un escalón del 'bono basura'.




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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #259 en: Junio 14, 2012, 08:56:53 am »

http://www.elconfidencial.com/economia/2012/06/14/las-entidades-nacionalizadas-salvan-al-tesoro-con-compras-masivas-de-deuda-publica-100000/

Citar
Las entidades nacionalizadas salvan al Tesoro con compras masivas de deuda pública

Las entidades rescatadas por el FROB han acudido en auxilio del Tesoro y se han convertido en las grandes compradoras de deuda pública española, junto al Fondo de Reserva de la Seguridad Social :roto2:. Según el Banco de España, los bancos y cajas nacionalizados incrementaron en un 80% sus posiciones en deuda pública española en 2011, mientras que las siete mayores entidades del país sólo las elevaron un 5%. Y los dos gigantes, Santander y BBVA, anunciaron en abril que no van a comprar más por haber rebasado sus niveles de exposición máximos.

Esto supone una especie de círculo vicioso por el que el Estado rescata a estas entidades, que a su vez rescatan al Estado comprando su deuda. Precisamente, el premio Nobel Joseph Stiglitz explicaba hace unos días que esta paradoja se aplica también al actual rescate de la banca española, puesto que en el fondo se está rescatando al Estado con las compras de deuda que realizarán las entidades. Algo que le hacía desconfiar del éxito de la medida. Anoche, Moody's también achacaba en parte la rebaja de rating de España a la dependencia de los bancos para poder colocar la deuda pública, que éstos a su vez canjean por liquidez en el BCE.

Según la Memoria de la Supervisión Bancaria en España, publicada ayer por el supervisor, las entidades que se incluyen en el epígrafe de "entidades FROB" son  Banco CAM, Catalunya Banc, NCG Banco,  Unnim Banc y Banco de Valencia. Es decir, no se incluye todavía a BFA-Bankia puesto que en 2011 todavía era una entidad privada.

Este documento señala que el aumento del 80% en las compras de deuda pública hace que este grupo suponga ya el 10,6% del saldo total de bonos en manos de la banca frente a su cuota del 8,3% en el balance conjunto del sistema. Esa cifra está lejos todavía del 50,9% de los siete mayores grupos y del 34,9% del resto de bancos y cajas no controlados por el FROB, pero se trata de un porcentaje muy elevado para tan sólo cinco entidades (y dos de ellas bastante pequeñas) y lo relevante es el fuerte salto de estas posiciones. La Memoria no ofrece cifras comparativas con 2010.

La gestión de estas entidades estaba controlada por los representantes del fondo estatal de rescate, lo que significa que es el propio FROB el responsable de ordenar esta enorme apuesta por la deuda española. Una apuesta que a todas luces responde a un intento de frenar el desplome del precio de la deuda pública española y el consiguiente aumento de la prima de riesgo frente a Alemania, así como de facilitar el éxito de las subastas del Tesoro.

Estas fuertes compras de las entidades nacionalizadas contrastan con la actitud cada vez más reservada de las grandes, que sólo elevaron un 5% sus posiciones en deuda española pese al fuerte incremento de las emisiones del Tesoro el año pasado para financiar el déficit público. Es más, los siete mayores bancos y cajas prefirieron guardar la liquidez obtenida del BCE en el propio banco central en vez de invertirlo en deuda o en conceder crédito: los depósitos de este grupo en Francfort se dispararon el 80% el año pasado. El resto del sector elevó sus posiciones en deuda en un 28%.

Caída generalizada de depósitos

Otra comparación llamativa entre grupos de entidades es que la caída de depósitos es generalizada, frente a la creencia extendida de que el dinero que salía de las entidades más débiles iba a parar a las fuertes. Es cierto que las cinco nacionalizadas sufrieron un descenso del 9% en los depósitos de la clientela, pero lejos de aprovecharla, los siete grandes perdieron también el 6,6% de sus recursos. El resto de bancos y cajas no nacionalizados sufrió también un descenso del 6%.

También es llamativo el fuerte incremento de la apelación a la liquidez del BCE, derivado sobre todo de la primera subasta a tres años (LTRO) realizada en diciembre. Los grandes bancos son los que más llenaron la hucha con esa inyección, con un incremento del 215% respecto a su apelación a la ventanilla de Francfort en 2010. Las entidades controladas por el FROB registraron un incremento del 150% y el resto, del 66%.


Vae victis ...
  :(
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John Nash

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #260 en: Junio 14, 2012, 09:35:19 am »
De cómo los CDS habrán matado al euro

Agradezco una vez más a Paul Jorion el permitirme amablemente traducir sus didácticos artículos.

12 de junio de 2012 por Paul Jorion |

¿Y por qué no se habla de los especuladores de CDS (Credit-default Swaps) que no pagan impuestos? Se habla mucho de los griegos que no pagan impuestos y, en estos días, por la torpeza de algunos, se habla también de los funcionarios internacionales, en particular los del FMI, que tampoco pagan impuestos, pero de los especuladores de CDS que tampoco lo hacen no se dice una palabra. Vete a saber porqué...

Hay que decir que no es fácil saber quienes son exactamente porque forman parte del shadow banking, sector financiero en la sombra. ¿Y eso qué es? Es la finanza no regulada. ¿Por qué no se ha regulado? Porque ella es quién paga a los lobbistas que redactan los textos de ley que reglamentan la finanza (y a veces las demás) que los diputados reciben perfectamente empaquetados listos para firmar.

Como están en la sombra, no se sabe realmente quienes son. ¿Pero acaso nunca explican quienes son realmente? Si, en cierto modo: cuando un especulador habla en su nombre utiliza siempre la misma expresión: “un buen padre de familia...” En adelante llamaré a los especuladores, los "buenos padres de familia" y sabréis de quien hablo.

En el momento en que se prepara el hundimiento de Grecia, se hablaba mucho de la responsabilidad de los CDS en lo que estaba ocurriendo. Ahora, a propósito de España, de nuevo ni una palabra. Ya no se habla de los CDS, ¿por qué? No lo sé, o quizá si, como reza una canción: “No se olvida nada de nada, uno se acostumbra eso es todo”.

¿Cómo los CDS habrán matado al euro? Explico. Recuerdo que los CDS puede jugar el papel de un seguro sobre una deuda. Habéis prestado 100€ a Oscar. Como no estáis seguros de que os los devolverá vais a ver a Eusebio que os los asegurará. Vais a pagarle cada mes 5€ euros a Eusebio, y a cambio de esta prima Eusebio os pagará el dinero que falte cuando toque cobrar esa deuda. Si Oscar sólo os devuelve 75€, Eusebio pondrá los 25€ que falten. Si Oscar se ha largado con todo el dinero Eusebio deberá abonar los 100€.

Eso es lo que se llama una posición « de cobertura » sobre los CDS. Ahora veremos las posiciones desnudas. Cuidado es algo mas complicado porque hay ahora cinco personas: llegan Julio y Juan. Julio a prestado 100€ a Juan. Voy a ver a Eusebio y le pido que me asegure contra el hecho de que Juan quizá no le devuelva su dinero a Julio. Por qué haría yo eso? Pues porque soy un buen padre de familia diantre! (¡Menudas preguntas hacen algunos!)

No hará falta que os explique porque se han llamado posiciones « desnudas » sobre los CDS al hecho de: « asegurarse sobre el coche del vecino », me parece que se entiende.

Las posiciones desnudas sobre CDS fueron prohibidas en Europa desde noviembre pasado. Por qué se esperó tanto cuando esas posiciones “desnudas” ya hacían caer a Grecia desde enero de 2010? ¡Vaya pregunta! Porque quedaban España, Italia, Francia…, por enviar a la quiebra, y que se podrá entonces vender los pedazos a un precio interesante a esos « padres de familia » tan previsores que tanto habrán ahorrado.

¿Y qué hacen los « buenos padres de familia » para que caigan países enteros ? Pues, esquemáticamente, se aseguran sobre los vecinos. Como son (al menos) cuatro veces mas numerosos que aquellos que se aseguran sobre su verdadero país (recuerden a Oscar y Eusebio quienes si tienen realmente algo que perder), aumenta la demanda y se hincha el precio del seguro y la prima a abonar mensualmente.

Al mismo tiempo los economistas que observan el fenómeno se dicen: «¡ Madre del amor hermoso, mirad cómo sube la prima de riesgo de que Juan no pueda devolver su dinero a Julio! ¡Qué miedo!

¿Los economistas no entienden entonces que los buenos padres de familia hacen subir los precios? Lo cierto es que no, en sus libros de “economistas” la especulación no existe: no se explica. Bueno, en parte sí, a pie de página hay una nota que dice: "Los buenos padres de familia aportan liquidez a los mercados ". Punto pelota.

El precio de la prima de los CDS aumenta porque aumenta la demanda. Los economistas calculan el riesgo de que los países no devuelvan el dinero prestado haciendo cálculos en la dirección opuesta. A partir de la prima de los CDS.

Resulta que, el día en que Juan se vuelve a presentar, el mercado de capitales le pide para hacerle un préstamo, un interés en que se ha « colado » (a eso se le llama « spread » en la prensa salmón) la prima de riesgo de los CDS (asegurados reales más « los buenos padres de familia »), y hop, se pide a Juan para un préstamo a diez años, un interés del 28,9% (como Grecia a día de hoy en Bloomberg). Para Juan esto es el fin: la Troïka llama a su puerta para explicarle como se vuelve uno siervo, y que al fin y al cabo tampoco es tan grave.

Esperad, esperad, esto no ha acabado aun: lo mejor esta por llegar ! A un asegurador “normal” se le pide que disponga de reservas, no? Así, si surge un imprevisto (incidente o contingencia) podrá recurrir a éstas. En general bastará, y si no bastara, pues sólo se planteará el problema para la diferencia entre la cantidad a pagar y las reservas disponibles, que habrán jugado un papel de amortiguador. Pero en el caso de los CDS (y en este punto muchos estarán empezando a esbozar una sonrisa maliciosa porque han entendido lo que les voy a decir), los CDS digo son el shadow banking ,el sector en la sombra, ¿no? Y de qué serviría un sector en la sombra, si en la sombra se tuvieran que hacer reservas como hacen "los cretinos" del sector en la luz?

Entonces, no hay reservas para amortiguar el choc en caso de incidente, y como hay, ya se ha dicho, cuatro veces más « padres de familia » que se han asegurado sobre el vecino que aquellos que corren un riesgo « real »…

Y ya está. Ahora ya entendéis el porqué de tanto silencio y por qué los CDS acabarán con el Euro (bueno, eso como mínimo, cuando vemos hacia donde vamos…).



Traducido del http://www.pauljorion.com/blog/?p=38113
En http://codigomatriz.blogspot.com.es/2012/06/de-como-los-cds-habran-matado-al-euro.html
« última modificación: Junio 14, 2012, 11:09:38 am por John Nash »
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

sincriterio

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #261 en: Junio 14, 2012, 10:14:32 am »
Pongo este artículo de Carolina Tabanera porque creo que lo entiendo, pero en el último párrafo pregunta ¿Cómo se sale del abismo?.
Copio y pego y espero vuestros comentarios.

http://www.fundacioncivil.org/2012/06/mentiras-que-se-pagan-al-contado/
Citar
Desde hace días escuchamos, vemos y leemos las comparaciones entre la situación financiera y económica de España y la de países de la Unión Europea como Irlanda, Grecia o Portugal. La situación en nuestro país, dicen que es distinta… entonces… ¿de qué forma podrá España reconstruir su camino? Os dejamos el siguiente artículo que recoge Presseurop. (Jornal de Negocios. Lisboa).

“Cómplices, los bancos y los políticos son responsables del desastre bancario en España. Y son los ciudadanos los que deberán asumir las consecuencias, acusa el director del diario portugués Jornal de Negócios”.
Pedro Santos Guerreiro
 
El descalabro de la banca española es la vergüenza de un Estado. Por haber construido un mito. Por la complicidad público-privada en lo que constituye un delito. Por los lucros en el pasado de unos y la desproporción de los perjuicios futuros sufridos por otros. Por la negación. Por el contagio. Por la mentira. Todo el mundo miente a los mismos: a los contrib…, perdón, al pueblo.

Hoy tenemos derecho a hablar de lo que pasa en las casas de los demás. Porque las casas de los demás están hipotecadas y vamos a pagarlo nosotros como siervos. Nosotros, los “europeos”. ¿Qué diferencia hay entre que Grecia haya mentido en las cuentas públicas y que los bancos españoles hayan mentido en los balances?
Cordón sanitario

El problema español se parece más al irlandés, porque es bancario, que al portugués, que de los problemas posibles no tiene ninguno gigantesco, pero los padece todos al mismo tiempo. En España, el mal nace de una relación incestuosa entre las cajas de ahorro y los poderes políticos regionales. A esto hay que añadirle la burbuja inmobiliaria en la que participaron y de la que se lucraron todos: los bancos por el crédito, las constructoras por el negocio, las inmobiliarias porque les daba qué hacer, el Estado por los impuestos, los partidos ya se sabe cómo, el Gobierno por el crecimiento del PIB.

Desde hacía al menos dos años, la burbuja inmobiliaria y sus efectos eran visibles. Pero España, mientras, lo hizo todo mal, con el Gobierno anterior, el de Zapatero, que le daba largas al problema, y con el nuevo, el de Rajoy, que pierde el control de su solución. Lo que se podría haber contenido en las cajas puede ahora contagiar a los mayores bancos (Santander, BBVA y La Caixa no dependen de esos cien mil millones [previstos por el plan de ayuda]). Peor: puede contagiar a la deuda del Estado.

Lo que diferencia a España de Irlanda es la solución por la que se ha optado. En Irlanda se nacionalizaron las pérdidas de los bancos, que se convirtieron en déficit público; en España se intenta rodear la banca con un cordón sanitario, mediante el préstamo de cien mil millones, que serán de la deuda pública. El objetivo es impedir que el problema de la banca se vuelva un problema de Estado. Pero está claro que esos cien mil millones son parte de un rescate a España. Incluyen un programa de austeridad no escrito pero que ya se está realizando. Y pondrá a los bancos españoles bajo la supervisión del BCE.
Hacia una unión bancaria

Esta puede ser una de las grandes consecuencias de esta crisis española: el salto hacia una unión bancaria en Europa. Una unión en la que abrir una cuenta en Lisboa, en Madrid o en Berlín sea lo mismo. Una unión en la que el Banco Central Europeo dirija la supervisión bancaria. El Banco de España sale mal, muy mal parado, de esta historia. Hasta que el Gobierno de Rajoy lo desautorizó, al trasladar la auditoría del sistema al Ministerio de Economía. Los bancos europeos no van en adelante a ganar dinero como hasta ahora, van a pasar por fusiones, extinciones, van a reducir el número de sucursales, el número de empleados, el endeudamiento, los activos, los balances. Nosotros los sabemos: en eso vamos por delante en Portugal.

Un párrafo para Portugal: el buen alumno tiene razones para sonreír. El proceso de capitalización está a punto de concluir y los bancos llegarán al verano con las provisiones de capital más altas de Europa. Falta saber qué parte es pública y qué parte es privada, pero eso se merece otro editorial.

“Paren el juego de las culpas”, dijo Bob Diamond, presidente de Barclays, hace año y medio. Es pronto. Cuando decimos que la banca capturó la política es de esto de lo que hablamos. De repúblicas de deudores y monarquías de acreedores. De financieros que lo saben todo que embaucan a políticos que no saben nada. Y de que unos y otros tienen el descaro supino de acusar de sus errores de analfabetismo financiero a quienes tienen que pagarlos. Sí, los que se cargan los presupuestos futuros, tapados con la austeridad y que destapan quiebras y desempleo, son los que tachan al pueblo de ignorante en finanzas. Qué bonito.

La crisis es bancaria. Ha hecho metástasis, en una crisis de la deuda pública. Y ambas las soportan los “europeos”. Nosotros la soportamos. Solo en una democracia deficiente mentir a las instituciones europeas, como hizo Grecia, es peor que mentir al pueblo, como en España. Se ayudará a la banca. Y nosotros, ¿qué les decimos? Nada. Ya dijimos todo lo demás. Ya escribimos todo lo que había que escribir. Queda sufrir. ¿Cómo se sale del abismo?.

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #262 en: Junio 14, 2012, 10:38:51 am »
Una pequeñita reflexión:

NOTICIAS DE RABIOSA ACTUALIDAD EN LOS MEDIOS


La Dirección de Policía prohíbe las redadas ya prohibidas

(...) “Es que es muy morenito”, decía su mujer como explicación para su detención e internamiento, mientras meneaba la cabeza, como si no se explicara cómo su marido no se había acordado en 40 años de sacarse la nacionalidad. “Hasta la crisis no he tenido ningún problema para trabajar. ¡Si hasta tengo mi número de la Seguridad Social!”, comentaba Juan Bautista entonces, cuando un grupo de vecinos le visitaba en su casa poco después de salir del CIE en 2008 (...)
http://diagonalperiodico.net/La-Direccion-de-Policia-prohibe.html

Javier Krahe acusado de blasfemo

Aunque más tarde quedase absuelto.
http://styluscomunicacion.com/stylusart/3601

Dívar aporta datos falsos para justificar otros 12 viajes de fin de semana

http://elpais.com/

La juez pide imputar a Blasco por el fraude de cooperación

El fiscal permite a Roca conservar sus bienes anteriores a 1996

Los arrepentidos de UM cargan contra sus exlíderes


Cubierta la vacante del juzgado del ‘caso Brugal’

El Consell prolonga su investigación de las ayudas de cooperación


La policía acredita 200.000 euros ilegales en la campaña de Camps

El fiscal pide cuatro años de cárcel para un exconsejero de UM

Castedo se cura en salud y dice que “imputado no significa condenado”


Correa sale de prisión, “contento” de ver a su familia tras tres años


Malaya entra en su fase definitiva


La imputación le complica a Lorente volver a la alcaldía


Un sistema para ocultar la corrupción

Causas como las de Terra Mítica, Emarsa o las ayudas a la Cooperación calcan el método de desviar dinero con facturas falsas

Julita Cuquerella, guardiana de los secretos de Iñaki Urdangarin


El caso de las donaciones pone bajo sospecha a Convergència


El fiscal pide 10 años para Millet y cuatro para la cúpula de Urbanismo


La exalcaldesa de Orihuela afronta su imputación con “tranquilidad”

Fabra destituye al directivo de RTVV imputado en el caso


Perales declara como imputado en el ‘caso Bahía’ por fraude de ayudas

Imputados cinco empresarios en el fraude de la cooperación

La consejería de Blasco vulneró “toda” la normativa de ayudas

Imputado el director económico de RTVV por la visita del Papa

El exalcalde de Totana se entrega tras ocho días huido


Un careo sobre la riqueza de Roca cierra la fase testifical de Malaya

29 imputados más en el ‘caso Brugal’ por la contrata de basura

El fiscal pide que el Tribunal de Cuentas indague los pagos a CDC


Cinco nuevos detenidos por el fraude de las ayudas a la cooperación

El juez impone 400.000 euros de fianza a la mujer de Cuesta

El exgerente de Emarsa pagaba hipotecas de inmuebles de Cristina Segarra a pesar de su separación de bienes
http://elpais.com/tag/corrupcion_politica/a/

 :roto2: :roto2:

¿Y de verdad no hay nadie que profundice en una reflexión de fondo sobre este paralelismo constante entre corruptelas políticas y acciones ultracatólicas con el postfranquismo?

¿Qué clase de credibilidad podemos tener tras los pirineos? De verdad, en serio.

!!Hostia!! País de pandereta.


sin CdE hay cosas que no saben igual;

conforme lo del lio de los viajes de fin de semana -divar- se sigue cociendo, se van detallando factores que saltan todo tipo de alarmas; por ejemplo, que hay quien dice que lo pusieron por ser muy manipulable

¿quien lo puso?

¿quien lo quita?

¿por que lo quitan?
por los dioses, la deuda y el jurgolesteban, al reclutamiento y la favela

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #263 en: Junio 14, 2012, 10:53:57 am »
Mi primer mensaje en este gran foro que descubrí en el dia de ayer:

Rendimiento bono español a 10 años: 6,95% (última actualización 37Rendimiento bono alemán a 10 años: 1,50% (última actualización td>10)
Spread de nuestra deuda: 545 pb

La cosa se acelera por momentos, no quiero pensar que pasará tras las elecciones griegas.

Eneko Aritza

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #264 en: Junio 14, 2012, 11:09:37 am »
Mi primer mensaje en este gran foro que descubrí en el dia de ayer:

Rendimiento bono español a 10 años: 6,95% (última actualización 37Rendimiento bono alemán a 10 años: 1,50% (última actualización td>10)
Spread de nuestra deuda: 545 pb

La cosa se acelera por momentos, no quiero pensar que pasará tras las elecciones griegas.


Pues ya esta en 550 puntos y ya hemos tocado el mítico  7%...

Citar
LA PRIMA DE RIESGO MARCA UN NUEVO RÉCORD EN 550 PUNTOS BÁSICOS TRAS LA REBAJA DE MOODY'S
El bono español roza el 7%, el nivel de rescate de Irlanda y Portugal
http://www.cotizalia.com/noticias/2012/06/14/el-bono-espanol-roza-el-7-el-nivel-de-rescate-de-irlanda-y-portugal-1407/
« última modificación: Junio 14, 2012, 11:11:49 am por Eneko Aritza »

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #265 en: Junio 14, 2012, 11:14:31 am »
Mirad los usanos qué ufanos, creo que tras el Pigtardazo europeo será su turno y nosotros seremos mutilados pero los anglos serán sacrificados en el altar multicopista junto con su fiel escudero la muy comunista China que se ha comido deuda usana a dos carrillos:

Citar
http://www.expansion.com/2012/06/14/economia/1339625021.html

El debate de EEUU: ¿un segundo rescate o dejar que España quiebre?

En Estados Unidos nunca ha habido ninguna duda: desde el sábado, el consenso del mercado ha tachado el rescate a la banca como una solución temporal, que sólo lograría calmar a los mercados momentáneamente. Así que la buena noticia ha estado siempre matizada y empañada por ese temor a una intervención mayor de toda la economía. Ahora, el miedo parece hacerse más fuerte e incluso en EEUU aparecen opiniones extremas.

El primero en salir a la palestra fue el famoso multimillonario Jim Rogers: “El rescate a la banca española es una locura, hay que dejar quebrar al país”. Sus declaraciones a la CNBC pronto empezaron a ganar adeptos en los medios de comunicación norteamericanos. Tanto su receta como sus explicaciones. “Lo que están haciendo es quitar los bienes a las personas competentes para dárselo a las personas incompetentes… es una moral absurda, la forma de que un sistema funcione es permitir a la gente competente entrar y hacerse cargo de los activos, reorganizarlos y volver a empezar”. Así que para Rogers todo aboca a un megarescate futuro, pues sólo se da una patada hacia delante al problema al “crear más deuda para solucionar el exceso de deuda”.

En el mismo foro, tampoco auguraba mucho futuro al préstamo a la banca Mohamed El-Erian, consejero delegado de Pimco. “El paquete no rompe el vínculo creciente y problemático entre los débiles bancos españoles y la deteriorada solvencia de su deuda”, decía el mayor gestor privado de fondos del mundo, para quien la acogida ha sido “decepcionante”. “Esto debería recordar a los políticos europeos que cuanto más erosionada está la credibilidad de la política, más difícil es conseguir que el sector privado comparta sus planes”.

Ambos agravaron así el pesimismo que ya había lanzado Joseph Stigliz, el Premio Nobel de Economía. “Si el Gobierno rescata a los bancos y la banca rescata al Gobierno, el sistema se convierte en una economía vudú. No está funcionando ni funcionará”, concluía.

“ESPIRAL DE LA MUERTE”
Time se acaba de sumar a estas preocupaciones: “El rescate bancario no hará sino aumentar la deuda del gobierno, agravando la preocupación entre los inversores sobre la salud de las finanzas del país, haciéndolos más reacios a mantener la deuda pública española y eso, a su vez, hará más difícil para España financiarse a tasas de interés asequibles”. “En otras palabras, el rescate bancario sólo puede hacer otro plan de rescate del gobierno español más probable”, añadía.

Para la publicación, el miedo a una gran intervención de la economía se basa en las “pobres” perspectivas económicas, que hacen sospechar que el país “seguirá necesitando apoyo sustancial”. ¿Y la solución? Que salga de su “espiral de muerte”, pues mientras la economía siga sumida en el paro y la recesión, la presión sobre los bancos persistirá. La contracción lleva a más quiebras y caídas de los precios inmobiliarios, ampliando el agujero de los balances de las entidades financieras.

Ya un día antes, un editorial de The New York Times apuntaba en la misma dirección, asegurando que es “inevitable” un segundo rescate. Es muchísimo más que una opinión aislada, como confirma Reuters. Según su última encuesta entre economistas de EEUU y Europa, España seguirá pronto los pasos de Portugal, Irlanda y Grecia y pedirá un rescate internacional para su deuda pública. En concreto, 35 de 59 analistas consultados dicen que es "probable" o "muy probable" que el país necesite ayuda internacional para financiarse en los próximos 12 meses, mientras que sólo los 24 restantes lo ven como "improbable". Estos resultados contrastan con los de un sondeo en abril, que arrojó una posibilidad de apenas una entre cuatro de que España fuera a necesitar una intervención.

En esta maraña de opiniones que se debaten entre un segundo rescate o dejar quebrar al país, la Casa Blanca no contribuye a aliviar las dudas. Da la bienvenida a la decisión del Eurogrupo de dar un préstamo para la banca española, pero se escabulle a la hora de valorar la situación concreta.


John Nash

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #266 en: Junio 14, 2012, 11:29:52 am »
La finanza de la sombra (shadow financial system en inglés) designa una serie de actores financieros poco o nada regulados tales como los hedge funds, firmas del capital-investissement, bancos de negocios, agencias de notación, especuladores de materias primas, cámaras de compensación y sociedades fuera de balance.

Esos « actores en la sombra » son típicamente intermediarios entre inversores y prestatarios.

Por definición, esas instituciones no aceptan depósitos como los depository bank (en), sometidos a una reglamentación mas estricta.

La multiplicación de estos actores después de los años 2000 fue considerada como una de las causas de la crisis económica mundial actual.

Aquí el rollo es que no solo conviene recordar el funcionamiento de los CDS sino que están siendo responsables de la desaparición del euro por los daños colaterales que están provocando. Evidentemente su actividad nefasta continua y como dice Jorion se deja de hablar de ello y es como si ya no existiera ese problema. Y si no existe pues no se arregla ni se exigen reformas y prohibiciones en ese sentido.
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

Currobena

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #267 en: Junio 14, 2012, 12:14:01 pm »
Las necesidades de financiación de 2012 de los principales países europeos. Fijaos en Italia.



Alemania es la segunda, pero cobra por recibir dinero prestado  :roto2:. Italia paga poco menos que nosotros y aún necesita más dinero.

http://soberlook.com/2012/06/2012-eurozone-funding-requirement-by.html
Estoy cansado de darme con la pared y cada vez me queda menos tiempo...

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pringaete

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Re:RESCATE DE ESPAÑA: LA TRAVESIA DEL DESIERTO HA COMENZADO (V)
« Respuesta #269 en: Junio 14, 2012, 13:17:44 pm »

Primero cayó el PSOE, ahora el PP. PPSOE a la mierda en menos de un año. Ni en mis mejores sueños.

(Y eso de que habla inglés es muy discutible).


Todavía queda por caer... Va más rápido de lo previsto, pero en caso de emergencia harían una alianza "a-la-griega".

Supongamos que mañana (o en un futuro cercano) le da una ventolera a Rajoy y dice que convoca elecciones anticipadas. ¿Resultado? PP y PSOE hundidos, pero con los escaños necesarios para gobernar en perfecta y armoniosa coalición, igual que ND y PASOK en Grecia. A 1 mísero escaño han estado de conseguirlo...

La cosa es que están hundiéndose pero no están hundidos del todo, y no sé yo si se hundirán hasta el fondo porque hagan lo que hagan tienen bastante apoyo popular fijo, gente que les votará sí o sí. Y más teniendo en cuenta que intentarán meter el miedo en el cuerpo a la gente (Grecia again) para que les voten.

Lo importante es la grieta. La grieta ya está ahí. La existencia de la grieta misma era inconcebible hace un año. Ahora ya contemplamos que tengan que andar haciendo frente común.

Cierto, no están hundidos. Están hundiéndose. Pero el simple hecho de que hablemos de su hundimiento como una posibilidad factible es significativo por sí mismo.

----


http://www.elconfidencial.com/economia/2012/06/14/las-entidades-nacionalizadas-salvan-al-tesoro-con-compras-masivas-de-deuda-publica-100000/

Citar
Las entidades nacionalizadas salvan al Tesoro con compras masivas de deuda pública


Vae victis ...
  :(

Je je, le han dado a Mariano su propia manguera para apagar fuego enchufado a un depósito de 100.000M€. A ver cuanto le dura.

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@John Nash: La relación entre los CDS y la prima de riesgo no la he visto en ningún sitio antes y en el artículo no está explicada, así que sería interesante algún enlace al respecto o alguien que sepa que explique un poco si se relacionan realmente. Eso de que asegurarse sobre el vecino hincha la demanda y con ello el precio del seguro o no lo he entendido o no me ha convencido.

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La señora Tabanera triunfaría en el clú de la comedia.
Citar
Desde hacía al menos dos años, la burbuja inmobiliaria y sus efectos eran visibles.

Dos años, dice  :roto2:

Todo lo demás, bueno, está muy bien para difundir entre conocidos, un resumen didáctico.

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¿Las necesidades de financiación venideras esas quieren decir que el foco de atención se va a desplazar a otra parte o todavía es pronto para ello?  ::)


 


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