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Autor Tema: La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)  (Leído 485545 veces)

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nora

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #525 en: Marzo 15, 2012, 21:47:03 pm »
En el último informe de GEAB que colgó aquí Tomasjos, daban por ganador en Francia a Hollande,  en general apuntaban a mayor avance en la integración europea y si no recuerdo mal, a eurobonos.

Ahora, mirando el periódico, he leido que Merkel, y también Cameron, se han negado a recibir a Hollande.
Y cacharreando por internet, he visto esta entrevista en Der Spiegel http://www.spiegel.de/international/europe/0,1518,820660,00.html

¿Cómo creeis que podría afectar una victoria de Hollande al proceso en UE?



Toda sociedad en la cual no esté establecida la garantía de los derechos, ni determinada la separación de los poderes, carece de Constitución.

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #526 en: Marzo 15, 2012, 22:05:59 pm »
En el último informe de GEAB que colgó aquí Tomasjos, daban por ganador en Francia a Hollande,  en general apuntaban a mayor avance en la integración europea y si no recuerdo mal, a eurobonos.

Ahora, mirando el periódico, he leido que Merkel, y también Cameron, se han negado a recibir a Hollande.
Y cacharreando por internet, he visto esta entrevista en Der Spiegel http://www.spiegel.de/international/europe/0,1518,820660,00.html

¿Cómo creeis que podría afectar una victoria de Hollande al proceso en UE?


Estoy escuchando en directo su entrevista en la tele publica francesa. Dice que aboga por euro bonos, pero no explica lo que hará si Alemania rehúsa. No sera una ruptura con el sistema pero advierte que revisara el tratado. Sus respuestas no son muy convincentes. Lo dicho: sera mas de lo mismo. Que nadie se crea que Hollande supondrá un cambio de política económica en la UE.
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

tomasjos

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #527 en: Marzo 16, 2012, 14:27:57 pm »
Recien salido del horno, el GEAB 63

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-63-est-disponible-Crise-systemique-globale-Les-cinq-orages-devastateurs-de-l-ete-2012-au-coeur-du-basculement_a9579.html

Dans son numéro de Janvier 2012, LEAP/E2020 a placé l'année en cours sous le signe du basculement géopolitique mondial. Le premier trimestre 2012 a largement commencé à établir qu'une époque était en effet en train de se terminer avec notamment : les décisions de la Russie et de la Chine de bloquer toute tentative occidentale d'ingérence en Syrie (1) ; la volonté affirmée des mêmes, associées à l'Inde (2) en particulier, d'ignorer ou de contourner l'embargo pétrolier décidé par les Etats-Unis et l'UE (3) à l'encontre de l'Iran ; les tensions croissantes dans les relations entre les Etats-Unis et Israël (4) ; l'accélération de la politique de diversification hors du Dollar US conduite par la Chine (5) et les BRICS (mais également le Japon et l'Euroland (6)) ; les prémisses du changement de stratégie politique de l'Euroland à l'occasion de la campagne électorale française (7) ; et l'intensification des actes et discours alimentant la montée en puissance de guerres commerciales trans-blocs (8). En Mars 2012, on est loin de Mars 2011 et du « bousculement » de l'ONU par le trio USA/UK/France pour attaquer la Libye. Mars 2011, c'était encore le monde unipolaire d'après 1989. Mars 2012, c'est déjà le monde multipolaire de l'après crise hésitant entre confrontations et partenariats.


Evolution des réserves de change chinoises et de leur part en titres US (2002-2011) (en millier de milliards USD) (en vert : total ; en saumon : titres US ; courbe rouge : évolution en % de part des titres US dans le total) - Sources : Banque populaire de Chine / Trésor US / Wall Street Journal / DollarCollapse, 03/2012
Ainsi, comme anticipé par LEAP/E2020, le traitement de la « crise grecque » (9) a rapidement fait disparaître la soi-disant « crise de l'Euro » des unes des médias et des inquiétudes des opérateurs. L'hystérie collective entretenue à ce sujet au cours du second semestre 2011 par les médias anglo-saxons et les Eurosceptiques aura fait long feu : l'Euroland s'impose de plus en plus comme une structure pérenne (10), l'Euro est à nouveau en vogue sur les marchés et pour les banques centrales des pays émergents (11), le duo Eurogroupe/BCE a fonctionné efficacement et les investisseurs privés auront dû accepter une décote allant jusqu'à 70% de leurs avoirs grecs, confirmant ainsi l'anticipation de LEAP/E2020 de 2010 qui parlait alors d'une décote de 50% quand personne ou presque n'imaginait la chose possible sans une « catastrophe » signifiant la fin de l'Euro (12). In fine, les marchés se plient toujours à la loi du plus fort … et à la peur de perdre plus, quoiqu'en disent les théologiens de l'ultra-libéralisme. C'est une leçon que les dirigeants politiques vont précieusement garder en mémoire car il y a d'autres décotes à venir, aux Etats-Unis, au Japon et en Europe. Nous y revenons dans ce GEAB N°63.


Encours de la dette publique détenue par la banque centrale (2002-2012) - Etats-Unis (en violet), Royaume-Uni (en gris), Euroland (en pointillés violets), Japon (en pointillés gris) - Sources : Datastream / banques centrales / Natixis, 02/2012
Parallèlement, et cela contribue à expliquer la douce euphorie qui alimente les marchés et nombre d'acteurs économiques et financiers ces derniers mois, pour cause d'année électorale et par nécessité de faire à tout prix bonne figure face à une zone Euro qui ne s'effondre pas (13), les médias financiers américains nous refont le coup des « green shoots » du début 2010 et de la « reprise » (14) du début 2011 afin de peindre une Amérique en « sortie de crise ». Pourtant les Etats-Unis de ce début 2012 ressemblent bien à un décor déprimant peint par Edward Hopper (15) et non pas à un chromo 60s rutilant à la Andy Warhol. Comme en 2010 et 2011, le printemps va d'ailleurs être le moment du retour au monde réel.

Dans ce contexte d'autant plus dangereux que tous les acteurs sont bercés d'une dangereuse illusion de « retour à la normale », en particulier du « redémarrage du moteur économique US » (16), LEAP/E2020 estime nécessaire d'alerter ses lecteurs sur le fait que l'été 2012 va voir cette illusion voler en éclat. En effet, nous anticipons que l'été 2012 verra la concrétisation de cinq chocs dévastateurs qui sont au cœur du processus de basculement géopolitique mondial en cours. Les nuages noirs qui s'amoncellent depuis le début de la crise en matière économique et financière sont maintenant rejoints par les sombres nuées des affrontements géopolitiques.

Ce sont donc, selon LEAP/E2020, cinq orages dévastateurs qui vont marquer l'été 2012 et accélérer ainsi le processus de basculement géopolitique mondial :

. rechute des USA dans la récession sur fond de stagnation européenne et de ralentissement des BRICS
. impasse pour les banques centrales et remontée des taux
. tempête sur les marchés des devises et des dettes publiques occidentales
. Iran, la guerre « de trop »
. nouveau krach des marchés et des institutions financières.

Dans ce GEAB N°63, notre équipe analyse donc en détail ces cinq chocs de l'été 2012.

Parallèlement, en partenariat avec les Editions Anticipolis, nous publions un nouvel extrait du livre de Sylvain Périfel et Philippe Schneider, « 2015 – La grande chute de l'immobilier occidental », à l'occasion de la mise en vente de sa version française. Il traite des perspectives du marché immobilier résidentiel américain.

Enfin, nous présentons nos recommandations mensuelles ciblées dans ce numéro sur l'or, les devises, les actifs financiers, les bourses et les matières premières.

---------
Notes:

(1) Un article de CameroonVoice, publié le 06/03/2012, offre un tour d'horizon intéressant de cette situation de blocage qu'il nous paraît utile d'analyser sous l'angle géopolitique autant que sons l'angle humanitaire qui a tendance à camoufler nombre de paramètres derrière les « évidences de la cause juste ». Souvenons-nous de l'attaque sur la Libye et des conséquences désastreuses qu'elle entraîne aujourd'hui pour de nombreux Libyens et pour toute la région ; dernière en date : la déstabilisation de toute une partie de l'Afrique sub-saharienne, comme le Mali par exemple. A ce sujet, on peut lire la très intéressante analyse de Bernard Lugan dans Le Monde du 12/03/2012.

(2) Et au Japon qui fait profil bas mais n'a pas l'intention d'arrêter de s'approvisionner en pétrole iranien. La Chine et l'Inde de leurs côtés accroissent leurs livraisons de pétrole iranien et s'engouffrent dans le vide laissé par les Occidentaux. Les Indiens utilisent même désormais l'Iran comme une porte vers le pétrole d'Asie centrale. Sources : Asahi Shimbun, 29/02/2012 ; Times of India, 13/03/2012 ; IndianPunchline, 18/02/2012

(3) Attendons de voir ce que sera la volonté de l'UE en la matière dans la seconde moitié de 2012. Avec la fin de la tutelle US sur la politique étrangère française suite au changement de président français, de nombreux aspects de la politique internationale de l'Europe vont changer.

(4) Nombreux sont les responsables israéliens et américains qui se demandent dans quel état vont être les relations entre les deux pays à l'issue de cette quasi-confrontation sans précédent sur la question d'une éventuelle attaque de l'Iran. Pour certains, on s'approche du moment de « ras-le-bol » d'Israël de la part des Etats-Unis, comme l'analyse l'article de Gideon Levy dans Haaretz du 04/03/2012.

(5) Derniers exemples en date : l'accord des BRICS pour organiser entre eux des échanges en devises nationales, et particulièrement en Yuan du fait de la volonté de Pékin d'internationaliser sa devise ; et la décision du Japon d'acheter des bons du Trésor chinois en accord avec Pékin. Pékin agit ainsi à l'opposé du Japon « dominant » des années 1980 qui n'avait jamais osé pousser à l'internationalisation du Yen. Cet aspect suffit à réduire à néant toutes les comparaisons entre l'ascension avortée du Japon et la situation de la Chine aujourd'hui. Tokyo était sous contrôle de Washington ; Pékin ne l'est pas. Sources : FT, 07/03/2012 ; JapanToday, 13/03/2012

(6) Les banques de l'Euroland se dégagent de leurs activités de prêts en USD. Source : JournalduNet, 23/02/2012

(7) A savoir la fin du social-libéralisme qui avait pris la place de la social-démocratie européenne au cours de ces deux dernières décennies ; et le retour de l' « économie sociale de marché » au cœur du modèle rhénan, modèle historique européen continental. De la Slovaquie du nouveau premier ministre Fico à la France du futur président Hollande (ceci n'est pas un choix politique mais le résultat de nos anticipations publiées dès Novembre 2010 dans le GEAB N°49) en passant par l'Italie de Mario Monti et une Allemagne où conservateurs et sociaux-démocrates doivent désormais faire le chemin européen ensemble puisqu'il le faut pour obtenir la majorité nécessaire à la ratification des nouveaux traités européens, on voit se dessiner les contours de la future stratégie économique et sociale de l'Euroland : fiscalité progressive renforcée, solidarité sociale, efficacité économique, mise sous contrôle du secteur financier, vigilance douanière, … en résumé : éloignement à grande vitesse du modèle anglo-saxon à la mode depuis 20 ans parmi les élites du continent européen.

(8) Derniers épisodes en date : l'attaque devant l'OMC de la politique commerciale chinoise concernant les « terres rares » par les Etats-Unis, appuyés par l'UE et le Japon ; les nouveaux rebondissements des accusations réciproques USA/UE toujours devant l'OMC concernant les subventions à Boeing et Airbus ; la « guerre monétaire » déclenchée par le Brésil contre les Etats-Unis et l'Europe. Sources : CNNMoney, 12/03/2012 ; Bloomberg, 13/03/2012 ; Mish's GETA, 03/03/2012

(9) D'ailleurs, impensable pour beaucoup il y a seulement trois mois, l'agence de notation vient de remonter la note de la Grèce. Source : Le Monde, 13/03/2012

(10) Les questions de démocratisation de ces structures se posent comme nous l'avons souligné. Mais ces structures (MES, BCE, …) sont désormais établies. Aux acteurs et forces politiques des deux prochaines années d'entamer leur mise sous contrôle par les citoyens plutôt que de passer leur temps à regretter un temps merveilleux … où les citoyens n'avaient même pas la moindre idée de comment leur pays gérait sa dette. Et ce n'est pas en attaquant les technocrates qui ont fait le « sale boulot » au milieu de la tempête que les politiques trouveront le chemin de la légitimation démocratique des institutions de l'Euroland, mais en proposant de nouveaux mécanismes et des processus d'implication des peuples dans les décisions. A ce propos, il est utile de savoir qu'au Parlement européen, le groupe PPE (où siègent notamment les partis de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel) tente de tuer dans l'œuf une proposition trans-partisane de création de 25 sièges du Parlement européen qui seraient élus sur des listes transnationales avec l'UE comme circonscription unique. Selon LEAP/E2020, cette proposition est un petit pas sur le seul chemin qui peut conduire à un contrôle citoyen des décisions européennes. Il est regrettable que des chantres de la nécessité de rapprocher l'Europe des peuples soient en fait complices du blocage d'une première tentative sérieuse dans cette direction. Source : European Voice, 11/03/2012

(11) Même le Financial Times, pourtant l'un des acteurs-clés de l'hystérie anti-Euro, doit désormais reconnaître que les marchés émergents (acteurs publics et privés) ont retrouvé leur appétit pour la devise européenne. Source : Financial Times, 26/02/2012

(12) Nous insistons sur ces points car il ne faut pas oublier trop vite les discours dominants de 2010 et 2011 qui ont incité les investisseurs à acheter de la dette grecque car c'était une « affaire en or » ! Souvent les mêmes « experts » ont aussi pronostiqué une parité €/$ entraînant nombre d'opérateurs à vendre leurs Euros pour acheter du Dollar dans cette même logique. Résultat : ces « experts », qui peuplent les unes des médias et les émissions financières, ont fait perdre beaucoup d'argent aux uns et aux autres. Pour savoir anticiper l'avenir, il faut aussi entretenir sa mémoire !

(13) N'oublions pas que sans l'hystérie collective entretenue autour de la « crise de l'Euro », dès la fin 2011, les Etats-Unis auraient été incapables de financer leurs énormes déficits. Wall Street et la City ont dû peindre une Europe au bord du gouffre pour pouvoir maintenir le flux d'achats de leurs titres. Maintenant que cette propagande ne fonctionne plus, il est donc vital d'essayer d'embellir la situation US faute de tarir la source extérieure du financement de l'économie américaine. Voir GEAB N°58 à 61.

(14) Pour mémoire, mi-2010, le FMI se préoccupait de ne pas « handicaper la reprise ». Et en Janvier 2011, les experts se demandaient comment bénéficier de la « reprise » démontrée par les fameux « indicateurs clés » ! Sources : FMI, 07/07/2010 ; CreditInfocenter, 27/01/2011

(15) Notre équipe tient à préciser que nous apprécions le talent de Hopper et qu'il n'est cité ici que parce qu'il est le peintre par excellence de la classe moyenne de l' « âge d'or » des Etats-Unis, qu'il a pourtant en général montrée dans une atmosphère très dépressive. Nous ne pouvons qu'imaginer ce que serait l'ambiance de ses tableaux aujourd'hui avec une classe moyenne en perdition dans un « âge de fer » pour le pays.

(16) Nous rappelons que c'est le crédo fondamental sur lequel repose tout le système économique et financier global. Et en trois ans de crise, pour la première fois depuis 1945, ce moteur ne fonctionne plus. Alors il faut prétendre le plus longtemps possible, en espérant un miracle. A l’été 2012, les orages porteront bien des éclairs mais il n'y aura pas de foudre miraculeuse ; bien au contraire.

Jeudi 15 Mar
La función de los más capaces en una sociedad humana medianamente sana es cuidar y proteger a aquellos menos capaces, no aprovecharse de ellos.

Y a propósito del tema, sostengo firmemente que la Anglosfera debe ser destruida.

John Nash

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #528 en: Marzo 16, 2012, 15:18:12 pm »
Recien salido del horno, el GEAB 63

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-63-est-disponible-Crise-systemique-globale-Les-cinq-orages-devastateurs-de-l-ete-2012-au-coeur-du-basculement_a9579.html

Jeudi 15 Mar[/i]

Lo estoy traduciendo desde ayer porque no me gusta su traducción googleiana. Hay mucho que decir sobre este nùmero. Si queréis voy editando poco a poco.
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

nora

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #529 en: Marzo 16, 2012, 15:26:17 pm »
Recien salido del horno, el GEAB 63

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-63-est-disponible-Crise-systemique-globale-Les-cinq-orages-devastateurs-de-l-ete-2012-au-coeur-du-basculement_a9579.html

Jeudi 15 Mar[/i]

Lo estoy traduciendo desde ayer porque no me gusta su traducción googleiana. Hay mucho que decir sobre este nùmero. Si queréis voy editando poco a poco.


Gracias!! Un lujo tenerle por aquí.

Cada vez que tomasjos lo cuelga en francés, me hago unos jaleos con el googleiano que pa qué   
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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #530 en: Marzo 16, 2012, 15:29:27 pm »
GEAB N°63 esta disponible! Crisis sistémica global - Las cinco tormentas devastadoras del verano de 2012 en el corazón del cambio geopolítico mundial

- Comunicado publico GEAB N°63 (15 de marzo de 2012) -


En su número de Enero de 2012, LEAP/E2020 ha situado al año en curso bajo el signo del cambio geopolítico mundial. El primer trimestre de 2012 ha empezado a mostrar que estábamos terminando una época con sobretodo: las decisiones de Rusia y China de bloquear todo intento occidental de injerencia en Siria; la firme voluntad de los mismos junto con la India en particular, de ignorar o esquivar el embargo petrolero decidido por los Estados unidos u la UE contra Irán; las tensiones crecientes entre los EEUU e Israel; la aceleración de la política de diversificación fuera del dólar conducida por China y los BRICS (pero igualmente de Japón y de Eurolandia; las premisas del cambio de estrategia política de Eurolandia con motivo de la campaña electoral francesa; y la intensificación de actos y discursos que alimenten la emergencia de guerras comerciales entre bloques. En Marzo de 2012 estamos muy lejos de lo acontecido en Marzo de 2011 cuando el trío USA/UK/Francia empujo a la ONU a atacar a Libia. En Marzo de 2011 existía aun un mundo unipolar post 1989. En Marzo de 2012 estamos ya en un mundo multipolar post crisis que se balancea entre la confrontación y la cooperación.

Evolución de las reservas de divisas chinas y su proporción en títulos US (2002-2011) (en billones de USD)
(En verde: total; en salmón: títulos US; en rojo: evolución del % de la proporción de los títulos US con respecto al total)-
 Fuentes: Banco popular de China/ Tesoro US/ Wall Street Journal/ Dollar Collapse, 02/2012


Así, como anticipo el LEAP/E2020, el tratamiento de la “crisis griega” ha hecho desaparecer rápidamente la tan cacareada “crisis del euro” de las portadas  de los medios y la inquietud de los operadores. La histeria colectiva alimentada sobre este tema durante el segundo semestre de 2011 por los medios anglosajones y los Euroescépticos no ha durado mucho: Eurolandia se esta imponiendo cada vez mas como una estructura perenne, el Euro esta de nuevo de moda en los mercados y para los bancos centrales de los países emergentes, el dúo Eurogrupo/BCE ha funcionado de manera eficaz y los inversores privados habrán tenido que aceptar una quita de hasta un 70% de sus bonos griegos, confirmando así la anticipación de LEAP/E2020 de 2010 que hablaba entonces de una quita del 50% cuando nadie, o casi, imaginaba que algo así fuera posible sin que se produjera una catástrofe que iba a significar el fin del Euro. Al final los mercados acaban cediendo ante la ley del mas fuerte… y al temor de perder mas, digan lo que digan los teólogos del ultraliberalismo. Es una lección que los políticos van a conservar en sus memorias ya que tendrán lugar mas quitas, en EEUU, Japón y en Europa. Hablaremos de ello en este GEAB N°63.


Evolución de la deuda publica en manos de los bancos centrales (2002-2012)- de EEUU (en violeta); Reino unido (en gris);
Eurolandia (en puntitos violeta); Japón (en puntitos gris)- Fuente: Datastream/Bancos centrales/Natixis, 02/2012


Paralelamente, y esto ayuda a explicar la dulce euforia que experimentan los mercados y muchos agentes económicos y financieros en estos últimos meses, debido al año electoral y por la necesidad de dar a toda costa buena imagen a una zona euro que no se hunde (13), los medios financieros norteamericanos nos vuelven a contar lo de “Los brotes verdes " de principios de 2010 y la "recuperación "(14) de inicios de 2011 con el objetivo de vendernos el cuadro de una América que “sale de la crisis". Sin embargo, los Estados Unidos de inicios del 2012, parece más una de las escenas deprimentes pintadas por Edward Hopper (15) que un brillante cartel de los 60 de los de Andy Warhol. Al igual que en 2010 y 2011, la primavera será, de nuevo, el momento de volver al mundo real.

En este contexto, tanto más peligroso en la medida en que hace creer a los actores en la ilusión de una "vuelta a la normalidad", y especialmente en la puesta en marcha del "motor económico USA" (16), el LEAP/E2020 considera necesario poner en alerta a su lectores sobre el hecho de que el verano de 2012 verá tal ilusión volar en pedazos. De hecho, prevemos que durante el verano de 2012 se producirán cinco golpes devastadores que están en el corazón del proceso de cambio de la geopolítica mundial. A los negros nubarrones que se ciernen desde el comienzo de la crisis en materia económica y financiera se suman ahora las oscuras nubes de enfrentamientos geopolíticos.

Según el LEAP/E2020, las cinco tormentas devastadoras que marcarán el verano de 2012, acelerando así el proceso de cambio geopolítico mundial, son las siguientes:

1. La recaída de los USA en una recesión en un contexto de estancamiento europeo y la desaceleración de los BRIC.
2. Un impasse (callejón sin salida) para los bancos centrales y el aumento de los tipos de interés.
3. La tempestad sobre los mercados de divisas y las deudas públicas occidentales
4. Irán, la guerra de "más"
5. Un nuevo crack de los mercados y de las instituciones financieras.

En el GEAB N°63, nuestro equipo analiza con detalle estos cinco elementos de impacto para el verano de 2012.
« última modificación: Marzo 16, 2012, 22:17:42 pm por John Nash »
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #531 en: Marzo 16, 2012, 18:53:15 pm »
Es bastante correcto, en cuanto tenga un rato la termino.
Edito: Acabada.
« última modificación: Marzo 16, 2012, 22:49:33 pm por John Nash »
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #532 en: Marzo 17, 2012, 01:16:21 am »
Gracias por la Traducción, a mi también se me ha olvidado el francés del cole  :biggrin:

¿Será en la segunda mitad de 2012 y primera de 2013 la época más turbulenta que permita asentar ya de manera contundente, la perspectiva de un mundo dividido en bloques comerciales?....

¿Será mediante el proteccionismo (encubierto o no) a favor de productos de "mejor calidad y sanos", el gripaje de China en su cambio de estructura económica y toda la nueva industria energética-transporte eléctrico, la que permitirá la creación de un bloque pseudoeuropeo?.....

¿Llegará esta semi-isla atrapada entre dos continentes a esa ilusión de seguridad y prosperidad de 2ª categoría por la que nos daríamos con un canto en los dientes?....

Sinceramente, creo que básicamente será un "rebobinado" autonómico, continental y mundial, cada uno intentará hacer lo que mejor sabe evitando que los demás se le suban a la chepa porque nadie tendrá dinero ni paciencia....miedo me da de que a alguien al ver que no aguanta la nueva situación se le vaya la mano...

Un saludo



tomasjos

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #533 en: Marzo 19, 2012, 17:16:28 pm »
En la Carta de la Bolsa siguen empeñados en hacernos la competencia en el arte del análisis geopolítico  :roto2:. Como si no tuviéramos bastante con los de GEAB  :roto2: :roto2:

http://lacartadelabolsa.com/leer/articulo/sarokozy_ante_su_ano_crucial

Tras el descalabro sufrido por la UMP de   Sarkozy en las pasadas elecciones locales del 2011, éste  procedió a la progresiva  instauración de un poder presidencialista , rebajando progresivamente el poder decisorio de sus ministros y sustituyéndoles por una nueva camarilla de poder oficioso formada por sus asesores que emularía al Partido Gaullista ( movimiento que cubría un espectro muy amplio desde el centro-izquierda hasta la extrema derecha y en el que sus dirigentes fueron correas de transmisión subordinadas a la cúpula gaullista ), lo que no ha evitado que su  popularidad roce actualmente mínimos históricos ( según  una encuesta realizada  por LH2 , Sarkozy contaría con el 23,5 por ciento de los votos en la primera ronda en las Presidenciales del 2012,  frente al 26 por ciento del mes anterior).
 
Reducción del Déficit Fiscal: .Francia, ( que habría reducido su  su déficit al 5,4 % del PIB en 2011), presentará un proyecto de ley sobre el presupuesto en el  que buscaría  ahorrar 100.000  millones de euros  durante los próximos años para cumplir las exigencias del BCE (Déficit del 3% del PIB en el horizonte del 2013). Así, el presidente francés Nicolas Sarkozy, anunció  la creación de una tasa sobre las transacciones financieras aplicable en agosto en Francia y un aumento del IVA de 1,6% hasta alcanzar el 21,2%, (lo que permitirá unos ingresos adicionales de 13 mil millones de € ),  con el objetivo de " restablecer la competitividad de la economía francesa y detener la hemorragia de empleos industriales".
 
Reforma del Mercado Laboral: Francia superará la barrera de los 3 millones de desempleados en 2012 ( rozando el 10 %), según el  organismo que subvenciona el subsidio de desempleo Unédic, que augura un déficit de 4.300 millones de euros para ese ejercicio  basándose en la estimación de  estabilización del Producto Interior Bruto (PIB) para el 2012 que rozaría la recesión.Por ello,  Sarkozy presentó a los agentes sociales un conjunto de medidas para fomentar la creación de empleo, (especialmente entre los jóvenes y los desempleados de larga duración), que tendrán un coste aproximado de más de 430 millones de euros y estudia la implantación de una profunda reforma laboral que  implicará la progresiva reducción de la Burocracia (se prevé que se suprimirán  100.000 puestos para el 2012);   la instauración de la jornada laboral mínima de 45 horas semanales (condenando al ostracismo a la ley de las 35 horas laborales semanales de Jospin) y el retraso de la jubilación de 60  a  los 62 años.
 
Agudización de la fractura social: Como consecuencia de todo lo anterior, asistiríamos a la agudización de la fractura social del país, obligando a amplias capas de la población ( especialmente los "sintecho", los "sinpapeles" y los desheredados de las banlieus) a depender en exclusiva de los subsidios sociales y quedarían así diluidos los efectos benéficos de sus anunciadas medidas sociales (desaparición de los "sintecho" para el 2010; subida de las prestaciones por desempleo y discriminación positiva en la inserción laboral de los inmigrantes )por la cruda realidad de la severa crisis económica.
 
Ello, unido a la pérdida del poder adquisitivo de los trabajadores debido a los exiguos incrementos salariales, congelación o dramática reducción de los mismos, provocará la radicalización de los otrora aburguesados y sumisos sindicatos de clase (CGT, CFDT y FO) y conllevará frecuentes estallidos de conflictividad laboral que aunados con el extraordinario auge de los grupos antiglobalización que aplicando técnicas de guerrilla urbana pondrán en jaque a las fuerzas de seguridad francesas y teledirigiendo las revueltas estudiantes,  podrían terminar por reeditar el Mayo del 68 que significió la consolidación del gaullismo y el finiquito político de De Gaulle.
 
 Nueva cruzada contra la Inmigración ilegal: El discurso xenófobo pronunciado en julio del 2011 por  Sarkozy, que abrió el camino de una campaña de expulsiones de gitanos del Este de Europa contribuyó en su momento a aumentar la popularidad de Sarkozy en las encuestas, expulsión que sería solamente la punta del iceberg de una nueva cruzada europea contra los "sinpapeles".
 
Así, la Ley aprobada por el Senado francés endurece la lucha contra los indocumentados y agiliza su expulsión  y  facilita además la expulsión de ciudadanos comunitarios sin recursos propios, endurece las medidas contra quienes vuelven a Francia tras haber sido expulsados y abre la puerta a la privación de la nacionalidad a los que tengan menos de diez años de naturalización y atenten contra las fuerzas del orden.
 
Incertidumbre en las Presidenciales del 2012: .En las próximas elecciones Presidenciales y legislativas del 2012, Sarkozy deberá enfrentarse a una Federación de Izquierdas que podría ponerle en aprietos en la primera vuelta debido a la sensible pérdida de popularidad fruto de la crisis económica y en el supuesto de lograr la   victoria    en   la segunda vuelta ,  procedería a la instauración  de un poder presidencialista (Década Sarkozy) que conjugado con la intensificación del ruido mediático de sus intervenciones en política exterior le convertirá en un referente inevitable de la política europea en el próximo decenio.
 
Así,   podríamos asisitir al nacimiento del Eje Franco-Alemán en el horizonte del 2013, (reviviendo el Tratado del Elíseo entre De Gaulle y Adenauer (1.963). que conjugando los acuerdos preferenciales energéticos con Rusia con la revitalización de la energía nuclear y el extraordinario desarrollo de las energías renovables será el referente político-económico europeo de la próxima década, reeditando los  plebiscitos de De Gaulle  en forma de referendums para aprobar  temas como el retraso de la jubilación; la optimización de los recursos de la Administración, la entrada en vigor de la Directiva de Retorno para los inmigrantes  y posteriormente la Salida de Francia de las estructuras militares de la NATO,  lo que le valdrá el apoyo incondicional de la ultraderecha a la hora de aplicar leyes que rozarán la inconstitucionalidad .
La función de los más capaces en una sociedad humana medianamente sana es cuidar y proteger a aquellos menos capaces, no aprovecharse de ellos.

Y a propósito del tema, sostengo firmemente que la Anglosfera debe ser destruida.

John Nash

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #534 en: Marzo 19, 2012, 22:55:27 pm »
De el Mundo, una de esas noticias que pasan desapercibidas pero que muestran la impunidad, opacidad, y laxismo con que se sigue moviendo la banca: http://www.elmundo.es/elmundo/2012/03/19/economia/1332161913.html

Bruselas se plantea regular la 'banca oculta' que movió 46 billones de euros en 2010

Entre otras actividades, replican índices bursátil y titulizan activos
Uno de los principales problemas es el apalancamiento de los fondos
Bruselas defiende que son un fuente de financiación alternativa
Una medida analizada es aplicar requisitos de capital como a la banca

La Comisión Europea ha abierto una consulta pública para analizar si es necesario regular más la llamada "banca en la sombra", el sistema de intermediación de inversiones que está fuera de los controles a los que se somete a la banca tradicional.

Según el Panel de Estabilidad Financiera, el sistema "en la sombra" gestionó 46 billones de euros en 2010 frente a los 21 billones de 2002. Es decir, en el segundo año de la crisis, la banca en la sombra acumulaba entre un 25% y 30% del sistema financiero y su tamaño equivalía a la mitad de los activos de la banca.

En Europa, el peso de estos intermediarios es "inferior a la media mundial", según Bruselas. En Reino Unido representa un 13% del sistema financiero británico, en Alemania un 5% y en España un 3% frente al 40% de Estados Unidos. [...]

Valga recordar que el PIB mundial es de unos 70 billones!
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #535 en: Marzo 20, 2012, 18:24:00 pm »
Muy buenas.

Ya que tenemos el placer de contar con John Nass por aquí ,unas preguntillas (Que sirve para todos):
¿Que os parece lo ocurrido en Toulouse? ¿Que consecuencias tendra en las elecciones?


Desde luego lo ocurrido da pie a todas las interpretaciones.



¿

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #536 en: Marzo 20, 2012, 18:41:05 pm »
Buena pregunta. Alguien esta tiroteando negros, moros y judíos; pero en los primeros casos eran soldados, y en el último, niños.

Es completamente incoherente. Si la motivación es de extrema derecha, no tiene mucho sentido la elección. Soldados y niños? Desde luego, poco va a conseguir en materia de adhesiones.

Es un caso muy extraño, y a la vez, atroz. Una primera impresión muy superficial me llevaría a pensar que alguien está realmente intentando agitar el polvorín, porque es lo único que encaja (si es que el asesinato de niños puede encajar en algún sitio que no sea una mente completamente enferma).

Normalmente intento abstraerme del impacto emocional de los sucesos para hacer un análisis. Puedo, incluso, llegar a comprender que un trastornado pegue cuatro tiros en una escuela y luego se vuele la cabeza, con todo lo dramático que es. Pero soy incapaz de abrazar el concepto de un cabrón que se lía a tiros con niños por alguna absurda motivación política y luego sale a escape con la moto.

John Nash

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #537 en: Marzo 20, 2012, 20:24:19 pm »
Muy buenas.

Ya que tenemos el placer de contar con John Nass por aquí ,unas preguntillas (Que sirve para todos):
¿Que os parece lo ocurrido en Toulouse? ¿Que consecuencias tendra en las elecciones?


Desde luego lo ocurrido da pie a todas las interpretaciones.



¿
Ha ocurrido antes en Montauban y en el mismo Toulouse un poco antes pero esta vez con militares de confesión musulmana y un antillés. Todo lleva a pensar que se trata de la misma persona y se especula con que podría ser un ex-militar de ideas neonazis. Pero solo hay especulaciones.
En cuanto a la campaña estas cosas suelen favorecer al poder en funciones y no veo en que manera pudiera beneficiar o ser instrumentalizado por unos o por otros. La extrema derecha ha condenado con dureza desmarcándose de todo intento de recuperación o de estrategia extraña. No parece ningún complot en ese sentido. Los próximos días serán cruciales para ver tendencias, pero hasta que no se pille al autor de todo esto reina el miedo.
« última modificación: Marzo 20, 2012, 20:28:49 pm por John Nash »
Según el "equilibrio de Nash, si todos quieren ganar sin tener en cuenta a los demás, entonces pierden. Existe el equilibrio cuando se ponen todos de acuerdo sobre unas reglas y la estrategia.

tomasjos

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #538 en: Marzo 20, 2012, 21:42:12 pm »
Mientras tanto, en la Carta de la  Bolsa, siguen haciéndonos la competencia  :roto2:

http://lacartadelabolsa.com/leer/articulo/el_ataque_a_iran_el_fin_del_euro_y_lo_que_vendra

“No sabemos lo que pasa, y eso es lo que pasa” (J. Ortega y Gasset) ¿Se atacará Irán? Veamos los hechos recientes:  -Enero 2011. El Pentágono filtra documentos donde se alude a los planes militares de la operación. -31-12-2011. El presidente Obama promulga una nueva ley de bloqueo financiero a capitales iraníes. -14 -1-2012. Japón y Corea del Sur se suman al embargo de crudo. -22- 1-2012. Barcos de guerra norteamericanos, ingleses y franceses se posicionan en el estrecho de Ormuz. -23-1-2012.  La Unión Europea  acuerda secundar el embargo a partir del 1 de julio. - 7- 2-2012. Se hace público que China y en menor medida India, recorren el mundo en busca de suministros alternativos al petróleo iraní. -14-2-2012. El jefe del Estado Mayor del ejército ruso advierte que un ataque a Irán sería catastrófico. -22-2-2012. El gobierno ruso reitera su oposición a las amenazas contra Irán. -25-2-2012. León Panetta, secretario de defensa USA, manifiesta que hay muchas posibilidades de que Israel ataque, aunque no cree que las autoridades iraníes hayan decidido aún sobre la fabricación de artefactos nucleares. -19-2- 2012 Irán cesa de suministrar petróleo a Francia y Reino Unido. -20-2-2012. China critica el cese de suministros. -24-2-2012. La CIA opina que Irán no ha hecho avances significativos en materia nuclear, y que está lejos de conseguir la bomba. -28-2-2012. Treinta y dos senadores  estadounidenses de ambos partidos  (de un total de 100)  presentan una resolución que urge intervenir en Irán.
-5-3-2012. Tras entrevistarse con  Obama, el primer ministro israelí Benjamín Netanyahu, declara que “no podemos esperar más tiempo” Este por su parte afirma que aún existen posibilidades de negociación, pero que “Estados Unidos siempre cubrirá las espaldas a Israel”
-6-3-2012. Catherine Ashton, en nombre de la Unión Europea, anuncia nueva ronda de negociaciones con el régimen de los ayatolás.
-Marzo 2012. Los tres candidatos favoritos en las primarias republicanas compiten en azuzar al presidente Obama en el camino de la guerra.
 
Por lo que se percibe que:
 
-Tanto el gobierno como la mayoría de la opinión pública de Israel apoya el ataque preventivo.
-Rusia se opone frontalmente a tal posibilidad.
-China e India, a pesar de que formalmente expresan reticencias, parecen resignadas.
-La Unión Europea está divida. El Reino Unido secundará la postura USA, sea cual fuere, mientras que el eje franco-alemán prefiere continuar por la vía de las sanciones.
- En USA se desarrolla una durísima confrontación entre el sector pro-israelí implantado sólidamente en la derecha republicana, en el Pentágono y  los medios de comunicación, y la facción demócrata más progresista instalada en la administración, el congreso y los sindicatos.
¿Y Obama? Por lo pronto ha conseguido una prórroga hasta julio para intentar un enésimo esfuerzo negociador que consiga evitar lo peor. En estos momentos, una escalada de los precios del petróleo es lo último que le conviene, pues podría poner en peligro su reelección. Por lo que el horizonte parece despejado al menos hasta el año que viene. Sin embargo, existen indicios preocupantes.
Uno de ellos: es el papel cada vez más relevante del comandante de la fuerza aérea Norton  Schwartz, pro belicista, en detrimento del jefe del estado mayor, Martin Dempsey, enfrentado a Netanyahu, y bestia negra del lobby judío- norteamericano.
Por otra parte, la declaración solemne de que “Estados Unidos siempre cubrirá las espaldas a Israel” liga de manera explícita el destino del propio Obama a la causa israelí, lo cual disminuye su capacidad de maniobra.
¿Se trata de aumentar la presión de cara a las negociaciones que se avecinan? Seguro.
USA se encuentra en año electoral, y si hay algo mutable son las declaraciones de un candidato en campaña..., pero un mandatario sabe que en asuntos de guerra, cada peldaño que se sube, cuesta mucho bajarlo..., y también que no se puede amagar indefinidamente...
El ataque a Irán es una suerte de Guadiana desde hace al menos una década. En varias ocasiones se ha pronosticado como inminente, y a la vista está que las predicciones han errado. ¿Por qué esta vez habría de ser diferente?
Es claro que el programa nuclear iraní ha progresado, pero más allá del debate de si ha traspasado alguna línea roja que lo haga irreversible, lo decisivo es que un anuncio tan dilatado otorga ventajas a la parte presuntamente atacada, posibilitando la toma de medidas defensivas que lo hagan técnicamente inviable. Siempre se puede escavar más hondo y dispersa las instalaciones en radios mayores. Muchos analistas coinciden en que se está llegando al punto límite en el que la operación podría ser efectiva. De ahí la premura israelí.
 
Y a todas estas..., ¿qué  pasa con el principal protagonista del asunto? ¿Qué pretende realmente el régimen iraní con su programa nuclear? Como todo el mundo sabe, siempre ha negado que su objetivo fuese bélico, y a día de hoy no existe ninguna prueba importante que refute tal afirmación. Pero Occidente e Israel no se fían. Esta desconfianza se ha trasmitido a la opinión pública mundial a través de la siguiente narración: en cuanto Irán consiga dos o tres armas nucleares, las instalara en sendos misiles y las lanzará sobre Tel Aví, provocando una respuesta del mismo calibre (Israel si tiene bombas atómicas) lo cual supondría una devastación de proporciones inimaginables. El mundo entero estaría en peligro y comenzaría un periodo de caos incontrolable.
Y la prueba de que estas son las intenciones iraníes, son las repetidas declaraciones de sus máximos dirigentes en el sentido de que Israel debe ser borrado del mapa.
Bien, cualquier analista serio sabe distinguir entre declaraciones para el consumo interno y las verdaderas intenciones de un político o mandatario. E Irán no es un país de suicidas dispuestos a inmolarse por vengar una causa palestina que ni siquiera toca sus fronteras.
 
Por lo que sus objetivos deben ser otros, y más modestos. ¿Afianzarse como potencia regional? Claro, como todo hijo de vecino que esté en condiciones de hacerlo (léase Arabia Saudí) Y en relación a su programa nuclear, lo más verosímil es lo apuntado por el propio secretario Panetta: una solución a la japonesa. Irán se dotaría de todos los elementos técnicos necesarios para obtener la bomba, pero sin llegar a fabricarla realmente.
Esto sería suficiente para conjurar el peligro de verse incluido el famoso eje del mal, dibujado por el anterior presidente norteamericano. Porque, propaganda aparte, lo cierto es que Irán ha vivido una década bajo amenaza directa,  y así lo siente y lo interpreta la mayoría de su población, incluidos los disidentes. El problema, el gran problema es que Israel no parece dispuesto a aceptar una convivencia semejante, por lo que existe el riesgo permanente de que adopte una decisión unilateral que arrastre a USA, y desencadene un conflicto de imprevisibles consecuencias.
Visto de esta manera, el compromiso público de Obama era inevitable, una forma de ganar tiempo, ya que en cierta medida está a merced de lo que decida el gobierno Israelí, y en el peor de los casos, lo único a su alcance sería fijar el día y la hora.
 
¿Qué consecuencias económicas acarrearía un ataque semejante? Lo primero que viene a la mente es aquella malhadada consigna de conmoción y pavor. El preció del petróleo se dispararía (se estima una subida entre 20 y 40 $ barril). Y todo en un momento en el que la económica mundial lucha por remontar un ciclo tenazmente adverso.
 Con China y los BRIC creciendo a menor ritmo, USA comenzando una recuperación todavía balbuceante,  la Zona Euro en recesión y luchando por estabilizar la crisis de deuda..., no es difícil de imaginar los estragos asociados.
Especialmente en esta última. Atendiendo a la máxima de que cada 10% de subida del precio del crudo supone una contracción del 0,25% del PIB mundial, supondría para la Zona Euro una previsión cercana al -2% del PIB para 2012.
En estas condiciones, ¿sería viable la ampliación del Mecanismo Europeo de Estabilidad? ¿Y el previsible segundo rescate a Portugal, y quizá un tercero a Grecia? ¿Se cumplirían los déficit acordados? ¿Y los eurobonos....? Mire como se mire, toda la arquitectura financiera tan laboriosamente diseñada para apartar a la Eurozona de las garras de los mercados se vería seriamente comprometida, y dependiendo de la extensión y duración del conflicto, el Euro podría descarrilar.
 
Por lo que habría que preguntarse...,  ¿es concebible que la administración Obama ponga en riesgo la reelección y la economía mundial (incluida la suya propia) para defender a Israel de una amenaza que el fondo se sabe inexistente?
Se trata en cierta medida de una pregunta trampa. Solo el hecho de formularla actúa como un talismán, pues las implicaciones son tales, que la opinión pública mundial cree, intuye, desea que la sangre no llegue al rio. Se hará ceder a los iraníes, a los israelíes, o ambos a la vez. Se llegará algún  compromiso que solucione o al menos posponga el conflicto. No puede ser de otra manera.
O quizá si.., desde luego sería un alivio evitarlo, pero dado el atronador sonido de tambores de guerra, conviene tener en cuenta otras hipótesis.
 
Desde los tiempos de Sun Tzu sabemos que en raras ocasiones se  inicia una guerra por un único motivo. Deben coincidir factores, intereses, circunstancias que convenzan al agresor  de que no tiene otra salida, y que el resultado final le será favorable.
En el caso iraní, no se puede obviar que se trata del cuarto exportador mundial de petróleo. Por lo que la reacción más evidente es imaginar que alguien (USA) quiere apropiarse o controlar sus reservas de crudo. El mismo argumento que muchos esgrimieron para explicar la invasión de Irak. Sin embargo, el tiempo ha pasado y se constata que ni USA ni UK, principales promotores de la guerra, han obtenido ventajas proporcionales al coste del conflicto. O de otra manera, no han conseguido nada sustancialmente diferente  de lo que hubiesen logrado negociando con Saddam Hussein en su momento. Si a esto unimos el hecho de que según las últimas previsiones, las necesidades de USA importar crudo disminuirán en la próxima década, el argumento petrolífero se debilita notablemente.
¿Entonces? Bueno..., hay algo mejor, mucho mejor que el petróleo...
 
 En 1944 se firmaron los acuerdos de Bretton Woods. Pese a la oposición de Keynes,  el Dólar USA adquirió el estatus de divisa de reserva e intercambio mundial. Esto suponía una evidente ventaja para la economía norteamericana, pues en manos de su banco central quedaba el control de flujo monetario mundial. Por su parte, se comprometía a mantener reservas de oro en la proporción 35$/onza que garantizaran las emisiones, de tal manera que poseer un billete de dólar equivalía a ser titular de una determinada cantidad de oro depositado en la reserva de USA.
Así estaban las cosas, hasta que en 1971 el presidente Nixon, acuciado por la impopular y carísima guerra de Vietnam, decidió auto liberar a la nación de la obligación de respaldar el Dólar con oro. Ahora, la Reserva Federal (FED) podía poner en circulación (o retirar) cuanto efectivo considerara conveniente.
Poco después, en 1975 tuvo lugar otro acuerdo decisivo. Por entonces, USA era exportador neto de crudo, y una economía notablemente proteccionista. A cambio de permitir el acceso a su mercado de la producción de los países de la OPEP, estos se comprometieron a realizar todas  sus operaciones exclusivamente en dólares.
La consecuencia fue un creciente flujo mundial de esta moneda, y que buena parte de ella no regresara jamás a USA. Y cuando  lo hacía, la mayoría se encauzaba hacía bonos y obligaciones del Tesoro. Esto en la práctica supone algo semejante a comprar gratis.
Supongamos que la FED emite un millón de dólares que pone a disposición de un banco comercial. Este a su vez lo presta a una empresa importadora, que lo utiliza para comprar 100 coches en Japón. El país asiático precisa de dólares para adquirir petróleo y otras materias primas denominadas en esta divisa. Pongamos que invierte el millón de dólares en petróleo nigeriano, que a su vez es invertido por el país africano en cobre chileno.
El resultado será que Japón ha cambiado coches por petróleo, Nigeria, petróleo por cobre y USA..., coches por..., mientras el millón de dólares no vuelva al país..., nada.
El asunto es desde luego más complejo, y se han de respetar ciertos equilibrios para que el mecanismo funcione, pero es indudable que cada dólar que circula fuera de USA supone una valor añadido al conjunto de la economía norteamericana.
Esto es igualmente cierto para cualquier otra moneda, por lo que en principio todas pretenden aumentar su área influencia. Es la llamada “guerra de divisas”, de  la cual el Dólar es el vencedor indiscutible.
Se estima (es imposible saberlo) que hay entre 3 y 5 veces más dólares circulando fuera que dentro del país.  Esto ha supuesto para la potencia americana una capacidad de financiación y endeudamiento muy superior, y cualitativamente diferente al resto de las economías del planeta. O de otra manera, desde hace casi 70 años el resto del mundo ha contribuido a la prosperidad de EEUU. Como decimos, la columna vertebral de esta estrategia es la obligatoriedad de que el comercio mundial de petróleo se realice exclusivamente en dólares... cosa cada vez más difícil.
 
-El 6 de noviembre de 2000, el régimen iraquí de Saddam Hussein, acosado por el embargo decretado tras la primera guerra del golfo, comenzó a vender su petróleo en euros. La situación se mantuvo hasta la invasión de 2003. La  “normalización” se produjo el 5 de junio del mismo año, al reanudarse la venta en dólares.
 
- En 1999 Irán hizo público que aceptaría euros por sus exportaciones. La medida era consecuencia de un embargo unilateral decretado por USA. Las transacciones comenzaron efectivamente en la primavera de 2003, como parte de un ambicioso proyecto destinado a crear en 2006 una Bolsa o mercado paralelo al regulado por IPE y NIMEX. El proyecto finalmente se aplazó hasta julio de 2011. A fecha de hoy, Irán opera en su propia Bolsa, en la rusa, y realiza operaciones de intercambio de crudo por oro y cereales.
 
-A lo largo de 2005,  Rusia vendió parte de su petróleo en Rublos, Euros y Oro.
El 10 de Mayo de 2006, Vladimir Putin anuncia oficialmente la apertura de una Bolsa de Petróleo y derivados en estas denominaciones. Por motivos nunca explicados, el proyecto fue abandonado apenas un mes después, regresando al patrón dólar.
Actualmente, los intercambios petrolíferos entre Rusia y China se realizan en las monedas respectivas.
 
-Recientemente, la rebelión anti-dólar ha llegado a Latinoamérica, con la puesta en marcha del Sucre en la alianza ALBA, y varios acuerdos bilaterales entre China, Argentina y Brasil, con el yuan como protagonista.
 
Que uno de los  principales activos de la economía americana es su moneda, es cosa sabida de antiguo. Durante décadas, Occidente  admitió este privilegio a cambio de que USA se ocupase de contener/derrotar al archienemigo soviético. Pero en 1991, desaparecido el imperio del mal, y la cosa comenzó a no estar tan clara.
En 1999 se creó el euro, y en 2002 ya era una moneda de circulación general. ¿Qué ha supuesto para el dólar la aparición de un competidor semejante? Veamos algunos indicadores
 
                                                                           2002                     2012
                                                                   Dólar      Euro        Dólar      Euro         
 Derechos Especiales de Giro  (DEG)        45%       29%         41,9%    37,4 %
 Reservas mundiales de divisas:                 71%       19,8%      61,7 %   26 %
Transacciones diarias de divisas                 90%       28%         86%       40%
Transacciones comerciales                          58%       18%         53%       20%
 
Como se aprecia, en todos los apartados se registran cambios favorables al Euro, quizá el más significativo el de los DEG, ya que este índice se elabora atendiendo a un abanico de indicadores. Por su parte, el Dólar se mantiene fuerte en el movimiento de divisas, lo cual refleja su hegemonía en los apartados de gas, petróleo, alimentos y materias primas.
 
 Se puede concluir que la introducción de la moneda única ha supuesto una apreciable reducción de la demanda mundial de dólares, con el consiguiente degaste de la economía USA. Por lo que no tiene nada de extraño la soterrada animadversión de importantes sectores del capitalismo financiero anglosajón hacia la divisa europea.
   
 No ha sido solo el Euro el que ha cuestionado la hegemonía dólar. El Yuan chino también ha jugado su papel, aunque por no ser plenamente convertible, su extensión mundial ha sido relativamente limitada. Pero el peligro más importante es otro.
 
En agosto de 2011 el gobernador del Banco Popular de China, Zhou Xiaochuan, propuso crear una divisa de reserva multinacional como parte de la reforma del sistema monetario internacional, sumándose así a la petición de Rusia e India.
En Julio la propuesta fue discutida en las reuniones de G5 y el G8. En las sesiones, el presidente ruso Dmitry Medvedev, lucía en la solapa una pegatina de “la nueva moneda mundial” El secretario del Tesoro USA Tim Geithner, se había mostrado con anterioridad “muy abierto” a estudiar la propuesta.
En agosto se presentó ante la Conferencia de Naciones Unidas para el Comercio y el Desarrollo, un informe sobre la reforma del sistema financiero mundial, que incluía la creación de una nueva unidad de reserva e intercambio constituida por una cesta de las monedas más importantes del mundo.
 
Los posicionamientos hacia una nueva unidad monetaria que sustituya al Dólar vienen de antiguo, e indudablemente avanzan. El propio Yuan funciona en parte como una cesta, que incluye Dólar, Euro, Yen y Won surcoreano. El Sucre de la alianza ALBA  ha elaborado la suya propia, con monedas locales e internacionales.
Mención aparte merece el caso Libia-Dinar Oro. A lo largo del año anterior a su derrocamiento, el régimen de Gadafi consiguió apreciables avances en su empeño en crear  una zona económica africana, basada en una nueva moneda anclada en el metal precioso. Ya sabemos cómo termino el experimento.
 
En definitiva, desde cualquier punto de vista, la hegemonía del Dólar está amenazada. Y este si sería un motivo válido para iniciar una guerra, pues hay fundadas sospechas de que ya ha ocurrido con anterioridad. Lo que sigue es una hipótesis de las probables intenciones y estrategias que se esconden tras el posible ataque a Irán.
 
-El  objetivo final consistiría en forzar una profunda remodelación del entramado financiero mundial que posibilitase un nuevo ciclo expansivo.
-Para ello, se crearía una moneda o cesta de monedas mundial con el consiguiente organismo emisor-regulador, que podría ser el FMI u otros creados al efecto.
-Esto supondría el cierre temporal de los mercados financieros, una drástica reordenación de los mismos, de la deuda mundial y de los circuitos comerciales.
-El medio para conseguirlo consistiría en un aumento sustancial del precio del crudo provocado por un ataque y bloqueo militar a Irán, patrocinado por la rama más agresiva del capitalismo anglosajón, instalado principalmente en USA, UK, Australia, Canadá, Israel y Japón.
- El razonamiento subyacente a la operación sería más o menos así: bien, parece inevitable a medio plazo la creación de una moneda mundial..., pues capitaneemos el proceso, y hagámoslo en el momento y la forma que mejor convenga a nuestros intereses.
-El efecto inmediato sería el fortalecimiento de la divisa norteamericana porque, tal como ocurrió durante crack del 2008, su papel de moneda refugio se vería realzado.
-El Euro desaparecería, o quedaría seriamente mermado mediante ataques especulativos en un escenario de déficits estatales galopantes, por lo que a la hora de fijar el peso relativo de las diferentes divisas en la nueva cesta mundial, el Dólar (junto a la Libra y el Yen) coparía la mayor parte de la cuota asignada al bloque occidental.
-Para que la maniobra funcionase, sería imprescindible el acuerdo y la cooperación de China, que vería satisfecha una de sus grandes aspiraciones: desprenderse de la dependencia de la moneda norteamericana.
-En definitiva, se trataría de crear un lapsus de gran inestabilidad económica y política que favoreciese al Dólar y sus aliados, y presentar como urgente e inevitable la creación de una moneda mundial. Un nuevo reparto del poder global en toda regla, en el que Europa, Rusia e India serían los grandes perdedores.
 
Aunque para perdedores de verdad, los millones de ciudadanos de todo el mundo que se verían atrapados en una espiral de inflación, paro y recesión. A fecha de hoy, los hechos conocidos son compatibles con la hipótesis presentada. Y lo que da más miedo: es del tipo de las que manejan las miríadas de Think Tank conservadores del mundo anglosajón.
loquinario.blogspot.com
La función de los más capaces en una sociedad humana medianamente sana es cuidar y proteger a aquellos menos capaces, no aprovecharse de ellos.

Y a propósito del tema, sostengo firmemente que la Anglosfera debe ser destruida.

pringaete

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Re:La unificación de Europa (Y que va a pasar con España)
« Respuesta #539 en: Marzo 21, 2012, 02:26:28 am »
Mientras tanto, en la Carta de la  Bolsa, siguen haciéndonos la competencia  :roto2:

http://lacartadelabolsa.com/leer/articulo/el_ataque_a_iran_el_fin_del_euro_y_lo_que_vendra

“No sabemos lo que pasa, y eso es lo que pasa” (J. Ortega y Gasset) ¿Se atacará Irán? Veamos los hechos recientes:  -Enero 2011. El Pentágono filtra documentos donde se alude a los planes militares de la operación. -31-12-2011. El presidente Obama promulga una nueva ley de bloqueo financiero a capitales iraníes. -14 -1-2012. Japón y Corea del Sur se suman al embargo de crudo. -22- 1-2012. Barcos de guerra norteamericanos, ingleses y franceses se posicionan en el estrecho de Ormuz. -23-1-2012.  La Unión Europea  acuerda secundar el embargo a partir del 1 de julio. - 7- 2-2012. Se hace público que China y en menor medida India, recorren el mundo en busca de suministros alternativos al petróleo iraní. -14-2-2012. El jefe del Estado Mayor del ejército ruso advierte que un ataque a Irán sería catastrófico. -22-2-2012. El gobierno ruso reitera su oposición a las amenazas contra Irán. -25-2-2012. León Panetta, secretario de defensa USA, manifiesta que hay muchas posibilidades de que Israel ataque, aunque no cree que las autoridades iraníes hayan decidido aún sobre la fabricación de artefactos nucleares. -19-2- 2012 Irán cesa de suministrar petróleo a Francia y Reino Unido. -20-2-2012. China critica el cese de suministros. -24-2-2012. La CIA opina que Irán no ha hecho avances significativos en materia nuclear, y que está lejos de conseguir la bomba. -28-2-2012. Treinta y dos senadores  estadounidenses de ambos partidos  (de un total de 100)  presentan una resolución que urge intervenir en Irán.
-5-3-2012. Tras entrevistarse con  Obama, el primer ministro israelí Benjamín Netanyahu, declara que “no podemos esperar más tiempo” Este por su parte afirma que aún existen posibilidades de negociación, pero que “Estados Unidos siempre cubrirá las espaldas a Israel”
-6-3-2012. Catherine Ashton, en nombre de la Unión Europea, anuncia nueva ronda de negociaciones con el régimen de los ayatolás.
-Marzo 2012. Los tres candidatos favoritos en las primarias republicanas compiten en azuzar al presidente Obama en el camino de la guerra.
Lo señalado en negrita me ha recordado algo que leí hace tiempo y es de rudimentos de tecnología nuclear. El nivel de enriquecimiento que están consiguiendo en Irán es del 20%, uso civil. El necesario para el uso bélico debe alcanzar el 90 y pico %. Que me corrijan los entendidos si me equivoco. Entonces ¿a qué tanto cuento de la bomba? Nos dicen que van a construir la bomba cada cierto tiempo y me hacen creer que ya han concentrado al 90 y pico pero luego leo y los persas siguen en su pacífico 20% según atestigua, no ya la IAEA, sino la mismísima CIA...
 
Por lo que se percibe que:
 
-Tanto el gobierno como la mayoría de la opinión pública de Israel apoya el ataque preventivo.
-Rusia se opone frontalmente a tal posibilidad.
-China e India, a pesar de que formalmente expresan reticencias, parecen resignadas.
-La Unión Europea está divida. El Reino Unido secundará la postura USA, sea cual fuere, mientras que el eje franco-alemán prefiere continuar por la vía de las sanciones.
- En USA se desarrolla una durísima confrontación entre el sector pro-israelí implantado sólidamente en la derecha republicana, en el Pentágono y  los medios de comunicación, y la facción demócrata más progresista instalada en la administración, el congreso y los sindicatos.
¿Y Obama? Por lo pronto ha conseguido una prórroga hasta julio para intentar un enésimo esfuerzo negociador que consiga evitar lo peor. En estos momentos, una escalada de los precios del petróleo es lo último que le conviene, pues podría poner en peligro su reelección. Por lo que el horizonte parece despejado al menos hasta el año que viene. Sin embargo, existen indicios preocupantes.
Uno de ellos: es el papel cada vez más relevante del comandante de la fuerza aérea Norton  Schwartz, pro belicista, en detrimento del jefe del estado mayor, Martin Dempsey, enfrentado a Netanyahu, y bestia negra del lobby judío- norteamericano.
Por otra parte, la declaración solemne de que “Estados Unidos siempre cubrirá las espaldas a Israel” liga de manera explícita el destino del propio Obama a la causa israelí, lo cual disminuye su capacidad de maniobra.
¿Se trata de aumentar la presión de cara a las negociaciones que se avecinan? Seguro.
USA se encuentra en año electoral, y si hay algo mutable son las declaraciones de un candidato en campaña..., pero un mandatario sabe que en asuntos de guerra, cada peldaño que se sube, cuesta mucho bajarlo..., y también que no se puede amagar indefinidamente...
El ataque a Irán es una suerte de Guadiana desde hace al menos una década. En varias ocasiones se ha pronosticado como inminente, y a la vista está que las predicciones han errado. ¿Por qué esta vez habría de ser diferente?
Es claro que el programa nuclear iraní ha progresado, pero más allá del debate de si ha traspasado alguna línea roja que lo haga irreversible, lo decisivo es que un anuncio tan dilatado otorga ventajas a la parte presuntamente atacada, posibilitando la toma de medidas defensivas que lo hagan técnicamente inviable. Siempre se puede escavar más hondo y dispersa las instalaciones en radios mayores. Muchos analistas coinciden en que se está llegando al punto límite en el que la operación podría ser efectiva. De ahí la premura israelí.
 
Y a todas estas..., ¿qué  pasa con el principal protagonista del asunto? ¿Qué pretende realmente el régimen iraní con su programa nuclear? Como todo el mundo sabe, siempre ha negado que su objetivo fuese bélico, y a día de hoy no existe ninguna prueba importante que refute tal afirmación. Pero Occidente e Israel no se fían. Esta desconfianza se ha trasmitido a la opinión pública mundial a través de la siguiente narración: en cuanto Irán consiga dos o tres armas nucleares, las instalara en sendos misiles y las lanzará sobre Tel Aví, provocando una respuesta del mismo calibre (Israel si tiene bombas atómicas) lo cual supondría una devastación de proporciones inimaginables. El mundo entero estaría en peligro y comenzaría un periodo de caos incontrolable.
Y la prueba de que estas son las intenciones iraníes, son las repetidas declaraciones de sus máximos dirigentes en el sentido de que Israel debe ser borrado del mapa.
Bien, cualquier analista serio sabe distinguir entre declaraciones para el consumo interno y las verdaderas intenciones de un político o mandatario. E Irán no es un país de suicidas dispuestos a inmolarse por vengar una causa palestina que ni siquiera toca sus fronteras.
Ya sabemos, las mentiras, si se repiten, se quedan. Lo que señalo en negrita es otra mentira de esas que nos cuentan a veces. Según tengo entendido lo de borrar del mapa fue una mala traducción a posta que se hizo aquí en occidente. La traducción literal no habla de nada de eso. Se ha desmentido desde Irán y como prueba han puesto la grabación con un traductor menos capcioso. Pero los hechos nunca han importado a la prensa. Incluso cuando se les trata de "defender" como en este artículo, se recurre al meme falso.
 
Por lo que sus objetivos deben ser otros, y más modestos. ¿Afianzarse como potencia regional? Claro, como todo hijo de vecino que esté en condiciones de hacerlo (léase Arabia Saudí) Y en relación a su programa nuclear, lo más verosímil es lo apuntado por el propio secretario Panetta: una solución a la japonesa. Irán se dotaría de todos los elementos técnicos necesarios para obtener la bomba, pero sin llegar a fabricarla realmente.
Esto sería suficiente para conjurar el peligro de verse incluido el famoso eje del mal, dibujado por el anterior presidente norteamericano. Porque, propaganda aparte, lo cierto es que Irán ha vivido una década bajo amenaza directa,  y así lo siente y lo interpreta la mayoría de su población, incluidos los disidentes. El problema, el gran problema es que Israel no parece dispuesto a aceptar una convivencia semejante, por lo que existe el riesgo permanente de que adopte una decisión unilateral que arrastre a USA, y desencadene un conflicto de imprevisibles consecuencias.
Visto de esta manera, el compromiso público de Obama era inevitable, una forma de ganar tiempo, ya que en cierta medida está a merced de lo que decida el gobierno Israelí, y en el peor de los casos, lo único a su alcance sería fijar el día y la hora.
 
¿Qué consecuencias económicas acarrearía un ataque semejante? Lo primero que viene a la mente es aquella malhadada consigna de conmoción y pavor. El preció del petróleo se dispararía (se estima una subida entre 20 y 40 $ barril). Y todo en un momento en el que la económica mundial lucha por remontar un ciclo tenazmente adverso.
 Con China y los BRIC creciendo a menor ritmo, USA comenzando una recuperación todavía balbuceante,  la Zona Euro en recesión y luchando por estabilizar la crisis de deuda..., no es difícil de imaginar los estragos asociados.
Especialmente en esta última. Atendiendo a la máxima de que cada 10% de subida del precio del crudo supone una contracción del 0,25% del PIB mundial, supondría para la Zona Euro una previsión cercana al -2% del PIB para 2012.
En estas condiciones, ¿sería viable la ampliación del Mecanismo Europeo de Estabilidad? ¿Y el previsible segundo rescate a Portugal, y quizá un tercero a Grecia? ¿Se cumplirían los déficit acordados? ¿Y los eurobonos....? Mire como se mire, toda la arquitectura financiera tan laboriosamente diseñada para apartar a la Eurozona de las garras de los mercados se vería seriamente comprometida, y dependiendo de la extensión y duración del conflicto, el Euro podría descarrilar.
 
Por lo que habría que preguntarse...,  ¿es concebible que la administración Obama ponga en riesgo la reelección y la economía mundial (incluida la suya propia) para defender a Israel de una amenaza que el fondo se sabe inexistente?
Se trata en cierta medida de una pregunta trampa. Solo el hecho de formularla actúa como un talismán, pues las implicaciones son tales, que la opinión pública mundial cree, intuye, desea que la sangre no llegue al rio. Se hará ceder a los iraníes, a los israelíes, o ambos a la vez. Se llegará algún  compromiso que solucione o al menos posponga el conflicto. No puede ser de otra manera.
O quizá si.., desde luego sería un alivio evitarlo, pero dado el atronador sonido de tambores de guerra, conviene tener en cuenta otras hipótesis.
 
Desde los tiempos de Sun Tzu sabemos que en raras ocasiones se  inicia una guerra por un único motivo. Deben coincidir factores, intereses, circunstancias que convenzan al agresor  de que no tiene otra salida, y que el resultado final le será favorable.
En el caso iraní, no se puede obviar que se trata del cuarto exportador mundial de petróleo. Por lo que la reacción más evidente es imaginar que alguien (USA) quiere apropiarse o controlar sus reservas de crudo. El mismo argumento que muchos esgrimieron para explicar la invasión de Irak. Sin embargo, el tiempo ha pasado y se constata que ni USA ni UK, principales promotores de la guerra, han obtenido ventajas proporcionales al coste del conflicto. O de otra manera, no han conseguido nada sustancialmente diferente  de lo que hubiesen logrado negociando con Saddam Hussein en su momento. Si a esto unimos el hecho de que según las últimas previsiones, las necesidades de USA importar crudo disminuirán en la próxima década, el argumento petrolífero se debilita notablemente.
¿Entonces? Bueno..., hay algo mejor, mucho mejor que el petróleo...
 
 En 1944 se firmaron los acuerdos de Bretton Woods. Pese a la oposición de Keynes,  el Dólar USA adquirió el estatus de divisa de reserva e intercambio mundial. Esto suponía una evidente ventaja para la economía norteamericana, pues en manos de su banco central quedaba el control de flujo monetario mundial. Por su parte, se comprometía a mantener reservas de oro en la proporción 35$/onza que garantizaran las emisiones, de tal manera que poseer un billete de dólar equivalía a ser titular de una determinada cantidad de oro depositado en la reserva de USA.
Así estaban las cosas, hasta que en 1971 el presidente Nixon, acuciado por la impopular y carísima guerra de Vietnam, decidió auto liberar a la nación de la obligación de respaldar el Dólar con oro. Ahora, la Reserva Federal (FED) podía poner en circulación (o retirar) cuanto efectivo considerara conveniente.
Poco después, en 1975 tuvo lugar otro acuerdo decisivo. Por entonces, USA era exportador neto de crudo, y una economía notablemente proteccionista. A cambio de permitir el acceso a su mercado de la producción de los países de la OPEP, estos se comprometieron a realizar todas  sus operaciones exclusivamente en dólares.
La consecuencia fue un creciente flujo mundial de esta moneda, y que buena parte de ella no regresara jamás a USA. Y cuando  lo hacía, la mayoría se encauzaba hacía bonos y obligaciones del Tesoro. Esto en la práctica supone algo semejante a comprar gratis.
Supongamos que la FED emite un millón de dólares que pone a disposición de un banco comercial. Este a su vez lo presta a una empresa importadora, que lo utiliza para comprar 100 coches en Japón. El país asiático precisa de dólares para adquirir petróleo y otras materias primas denominadas en esta divisa. Pongamos que invierte el millón de dólares en petróleo nigeriano, que a su vez es invertido por el país africano en cobre chileno.
El resultado será que Japón ha cambiado coches por petróleo, Nigeria, petróleo por cobre y USA..., coches por..., mientras el millón de dólares no vuelva al país..., nada.
El asunto es desde luego más complejo, y se han de respetar ciertos equilibrios para que el mecanismo funcione, pero es indudable que cada dólar que circula fuera de USA supone una valor añadido al conjunto de la economía norteamericana.
Esto es igualmente cierto para cualquier otra moneda, por lo que en principio todas pretenden aumentar su área influencia. Es la llamada “guerra de divisas”, de  la cual el Dólar es el vencedor indiscutible.
Se estima (es imposible saberlo) que hay entre 3 y 5 veces más dólares circulando fuera que dentro del país.  Esto ha supuesto para la potencia americana una capacidad de financiación y endeudamiento muy superior, y cualitativamente diferente al resto de las economías del planeta. O de otra manera, desde hace casi 70 años el resto del mundo ha contribuido a la prosperidad de EEUU. Como decimos, la columna vertebral de esta estrategia es la obligatoriedad de que el comercio mundial de petróleo se realice exclusivamente en dólares... cosa cada vez más difícil.
 
-El 6 de noviembre de 2000, el régimen iraquí de Saddam Hussein, acosado por el embargo decretado tras la primera guerra del golfo, comenzó a vender su petróleo en euros. La situación se mantuvo hasta la invasión de 2003. La  “normalización” se produjo el 5 de junio del mismo año, al reanudarse la venta en dólares.
 
- En 1999 Irán hizo público que aceptaría euros por sus exportaciones. La medida era consecuencia de un embargo unilateral decretado por USA. Las transacciones comenzaron efectivamente en la primavera de 2003, como parte de un ambicioso proyecto destinado a crear en 2006 una Bolsa o mercado paralelo al regulado por IPE y NIMEX. El proyecto finalmente se aplazó hasta julio de 2011. A fecha de hoy, Irán opera en su propia Bolsa, en la rusa, y realiza operaciones de intercambio de crudo por oro y cereales.
 
-A lo largo de 2005,  Rusia vendió parte de su petróleo en Rublos, Euros y Oro.
El 10 de Mayo de 2006, Vladimir Putin anuncia oficialmente la apertura de una Bolsa de Petróleo y derivados en estas denominaciones. Por motivos nunca explicados, el proyecto fue abandonado apenas un mes después, regresando al patrón dólar.
Actualmente, los intercambios petrolíferos entre Rusia y China se realizan en las monedas respectivas.
 
-Recientemente, la rebelión anti-dólar ha llegado a Latinoamérica, con la puesta en marcha del Sucre en la alianza ALBA, y varios acuerdos bilaterales entre China, Argentina y Brasil, con el yuan como protagonista.
 
Que uno de los  principales activos de la economía americana es su moneda, es cosa sabida de antiguo. Durante décadas, Occidente  admitió este privilegio a cambio de que USA se ocupase de contener/derrotar al archienemigo soviético. Pero en 1991, desaparecido el imperio del mal, y la cosa comenzó a no estar tan clara.
En 1999 se creó el euro, y en 2002 ya era una moneda de circulación general. ¿Qué ha supuesto para el dólar la aparición de un competidor semejante? Veamos algunos indicadores
 
                                                                           2002                     2012
                                                                   Dólar      Euro        Dólar      Euro         
 Derechos Especiales de Giro  (DEG)        45%       29%         41,9%    37,4 %
 Reservas mundiales de divisas:                 71%       19,8%      61,7 %   26 %
Transacciones diarias de divisas                 90%       28%         86%       40%
Transacciones comerciales                          58%       18%         53%       20%
 
Como se aprecia, en todos los apartados se registran cambios favorables al Euro, quizá el más significativo el de los DEG, ya que este índice se elabora atendiendo a un abanico de indicadores. Por su parte, el Dólar se mantiene fuerte en el movimiento de divisas, lo cual refleja su hegemonía en los apartados de gas, petróleo, alimentos y materias primas.
 
 Se puede concluir que la introducción de la moneda única ha supuesto una apreciable reducción de la demanda mundial de dólares, con el consiguiente degaste de la economía USA. Por lo que no tiene nada de extraño la soterrada animadversión de importantes sectores del capitalismo financiero anglosajón hacia la divisa europea.
   
 No ha sido solo el Euro el que ha cuestionado la hegemonía dólar. El Yuan chino también ha jugado su papel, aunque por no ser plenamente convertible, su extensión mundial ha sido relativamente limitada. Pero el peligro más importante es otro.
 
En agosto de 2011 el gobernador del Banco Popular de China, Zhou Xiaochuan, propuso crear una divisa de reserva multinacional como parte de la reforma del sistema monetario internacional, sumándose así a la petición de Rusia e India.
En Julio la propuesta fue discutida en las reuniones de G5 y el G8. En las sesiones, el presidente ruso Dmitry Medvedev, lucía en la solapa una pegatina de “la nueva moneda mundial” El secretario del Tesoro USA Tim Geithner, se había mostrado con anterioridad “muy abierto” a estudiar la propuesta.
En agosto se presentó ante la Conferencia de Naciones Unidas para el Comercio y el Desarrollo, un informe sobre la reforma del sistema financiero mundial, que incluía la creación de una nueva unidad de reserva e intercambio constituida por una cesta de las monedas más importantes del mundo.
 
Los posicionamientos hacia una nueva unidad monetaria que sustituya al Dólar vienen de antiguo, e indudablemente avanzan. El propio Yuan funciona en parte como una cesta, que incluye Dólar, Euro, Yen y Won surcoreano. El Sucre de la alianza ALBA  ha elaborado la suya propia, con monedas locales e internacionales.
Mención aparte merece el caso Libia-Dinar Oro. A lo largo del año anterior a su derrocamiento, el régimen de Gadafi consiguió apreciables avances en su empeño en crear  una zona económica africana, basada en una nueva moneda anclada en el metal precioso. Ya sabemos cómo termino el experimento.
 
En definitiva, desde cualquier punto de vista, la hegemonía del Dólar está amenazada. Y este si sería un motivo válido para iniciar una guerra, pues hay fundadas sospechas de que ya ha ocurrido con anterioridad. Lo que sigue es una hipótesis de las probables intenciones y estrategias que se esconden tras el posible ataque a Irán.
 
-El  objetivo final consistiría en forzar una profunda remodelación del entramado financiero mundial que posibilitase un nuevo ciclo expansivo.
-Para ello, se crearía una moneda o cesta de monedas mundial con el consiguiente organismo emisor-regulador, que podría ser el FMI u otros creados al efecto.
-Esto supondría el cierre temporal de los mercados financieros, una drástica reordenación de los mismos, de la deuda mundial y de los circuitos comerciales.
-El medio para conseguirlo consistiría en un aumento sustancial del precio del crudo provocado por un ataque y bloqueo militar a Irán, patrocinado por la rama más agresiva del capitalismo anglosajón, instalado principalmente en USA, UK, Australia, Canadá, Israel y Japón.
- El razonamiento subyacente a la operación sería más o menos así: bien, parece inevitable a medio plazo la creación de una moneda mundial..., pues capitaneemos el proceso, y hagámoslo en el momento y la forma que mejor convenga a nuestros intereses.
-El efecto inmediato sería el fortalecimiento de la divisa norteamericana porque, tal como ocurrió durante crack del 2008, su papel de moneda refugio se vería realzado.
-El Euro desaparecería, o quedaría seriamente mermado mediante ataques especulativos en un escenario de déficits estatales galopantes, por lo que a la hora de fijar el peso relativo de las diferentes divisas en la nueva cesta mundial, el Dólar (junto a la Libra y el Yen) coparía la mayor parte de la cuota asignada al bloque occidental.
-Para que la maniobra funcionase, sería imprescindible el acuerdo y la cooperación de China, que vería satisfecha una de sus grandes aspiraciones: desprenderse de la dependencia de la moneda norteamericana.
-En definitiva, se trataría de crear un lapsus de gran inestabilidad económica y política que favoreciese al Dólar y sus aliados, y presentar como urgente e inevitable la creación de una moneda mundial. Un nuevo reparto del poder global en toda regla, en el que Europa, Rusia e India serían los grandes perdedores.
 
Aunque para perdedores de verdad, los millones de ciudadanos de todo el mundo que se verían atrapados en una espiral de inflación, paro y recesión. A fecha de hoy, los hechos conocidos son compatibles con la hipótesis presentada. Y lo que da más miedo: es del tipo de las que manejan las miríadas de Think Tank conservadores del mundo anglosajón.
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Expuestas las puntualizaciones de arriba, lo demás me empezó pareciendo bastante coherente en lo que van enlazando. Hasta el punto culminante. Hasta ahí, poca novedad, pero todo muy bien hilvanado. Es como un resumen bastante bueno de lo que está sucediendo entre bambalinas, pero sin ser un resumen por lo tochaco. El problema es cuando se trata de proyectar al futuro.

Sobre las cestas de monedas quiero hacer un inciso, hace unos años se hablaba (no en occidente, evidentemente) de un tratado de Ekaterinoslav entre los BRICs, no sé en qué quedó la cosa. A ver si saco tiempo y traigo algún enlace.

Y cosa distinta es que la conclusión / predicción sea tan realista como nos plantean porque algunas premisas son erróneas. Para empezar, la mayor parte de la deuda europea es interna, así que esa premisa  de atacar por las deudas, en caso de ser un mecanismo de amenaza real, sería fácilmente yugulable. Si los "seres de luz" se huelen una puñalada como esa ya digo yo que se remangarían y empezarían a anular deuda soberana con la impresora.

Que el dólar se fortalezca contradice todo lo explicado por los chicos del GEAB desde hace mucho. No digo más.

Respecto a China, es sabido que ya se está desprendiendo de la moneda USAna sin necesidad de seguirles ese otro juego (bastantes les siguen ya) y precisamente usan esos dólares para comprar materias primas, empresas occidentales y expandirse como imperio comercial. Así que tampoco lo veo muy claro. Es lo de siempre, el bloque pan-pacífico frente al eurasiático... ¿cual será la alianza final? No lo sabemos.

Por todo eso y algunas cuestiones más que seguro me dejo en el tintero, los hechos NO son compatibles con la hipótesis que se nos plantea. Lo que tampoco significa que la invalide.

 


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