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Mensajes - zypion

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1
¿Se han fijado ustedes que, antiguamente, el máximo gesto de respeto que se podía tener con un difunto era un minuto de silencio y en cambio, ahora, hasta en los entierros hay aplausos?

Antiguamente lo que se pedía por el difunto era una oración, el minuto de silencio es cosa de hace cuatro días. Un invento para no ofender a la progresía no creyente.

2
Aquí está, en francés, el Geab de este mes, mientras esperamos a que publiquen la versión en español.

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GEAB N°78 est disponible ! La désaméricanisation du monde a commencé – émergence de solutions vers un monde multipolaire d’ici 2015

- Communiqué public GEAB N°78 (15 octobre 2013) -

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GEAB N°78 est disponible ! La désaméricanisation du monde a commencé – émergence de solutions vers un monde multipolaire d’ici 2015
Il est des instants où l’histoire s’accélère. Quelle que soit l’issue des négociations sur le shutdown et le plafond de la dette, octobre 2013 est de ceux-là. C’est le blocage de trop qui a ouvert les yeux de ceux qui soutenaient encore les États-Unis. Un leader est suivi quand il est craint, non quand il est ridicule.

« Construire un monde désaméricanisé » : il y a quelques années, l’affirmation aurait prêté à sourire. Tout au plus eût-elle passé pour une provocation d’Hugo Chavez. Mais quand on assiste en direct à la faillite des États-Unis et que c’est une agence de presse chinoise officielle qui le dit (1), l’impact n’est pas le même. En réalité elle décrit tout haut un processus déjà largement entamé : simplement, il est maintenant toléré d’en parler publiquement. Le blocage du gouvernement américain a au moins le mérite de délier les langues (2). Qu’on ne s’y trompe pas, cette analyse n’est pas parue dans un média chinois par hasard, elle reflète le durcissement de ton opéré par Pékin.

En effet, si le monde entier retient son souffle devant le jeu pathétique des élites US, ce n’est pas par compassion, c’est pour éviter d’être emporté dans la chute de la première puissance mondiale. Chacun tente de se découpler de l’emprise américaine et lâche des États-Unis discrédités définitivement par les récents épisodes sur la Syrie, le tapering, le shutdown et maintenant le plafond de la dette. Le pouvoir légendaire des États-Unis n’est plus qu’un pouvoir de nuisance et le monde a compris qu’il était temps de se désaméricaniser.

Cette perspective et la verbalisation de ce non-dit (3) libèrent enfin tout un ensemble de solutions qui étaient jusque-là à l’état de prémices, voire encore refoulées par certains. Ces solutions accélèrent la construction du monde-d’après et ouvrent sur un monde multipolaire organisé autour des grands blocs régionaux. Après un examen des déboires américains, notre équipe analyse dans ce numéro du GEAB les forces qui façonnent ce monde en mutation. Nous revenons également dans la partie « Télescope » sur l’état réel de la société US qui, derrière le mirage de la bourse et de la finance, explique la faillite de l’american way of life et participe à cette prise de distance avec le modèle américain. Nous donnons enfin la mise à jour de notre évaluation annuelle des risques-pays pour compléter ce panorama mondial, ainsi bien sûr que les traditionnels recommandations et GlobalEuromètre.

Plan de l'article complet :
1. "No we can't"
2. Des crises en rafale
3. Shutdown : la risée du monde, mais d'un rire jaune
4. Désaméricanisation à tous les étages
5. Le pétrodollar est mort, vive le pétroyuan
6. La Chine prend l'Euroland par la main
7. Russie, Amérique du Sud : suite de la désoccidentalisation

Nous présentons dans ce communiqué public les parties 1, 2 et 3.

"No we can't"
Comme les temps changent. Le monde entier a oublié les mots freedom, hope ou le fameux slogan « Yes we can » représentatifs de la société américaine aux yeux des générations précédentes pour ne parler maintenant que de taper, shutdown ou ceiling. Ce n’est pas exactement la même dynamique, et de positive l’image est devenue franchement négative.

Il est frappant de constater à quel point la situation américaine actuelle confirme l’adage selon lequel un malheur n’arrive jamais seul. En un mois et demi, d’abord un camouflet sur le dossier Syrien par la Russie elle-même. Puis une banque centrale qui avoue l’impossibilité de diminuer le quantitative easing (4). L’incapacité de voter un budget, ce qui implique la fermeture de l’État fédéral. Un shutdown qui se prolonge bien au-delà du raisonnable (5). Une négociation sur le plafond de la dette dans l’impasse à deux jours de la date limite. Les États-Unis sommés par le G20 de ratifier la réforme du FMI qu’ils bloquent depuis trois ans, et par la banque mondiale et le FMI de mettre de l’ordre dans leurs finances (6). Et maintenant le coup de semonce chinois.

Des crises en rafale
Cette succession de crises est tout à fait inquiétante pour le pays et témoigne d’une accélération sans précédent et d’un choc imminent. Il y a de la fatalité dans ces crises. Mais il y a aussi une dose de récupération stratégique. Le shutdown a ainsi pu être instrumentalisé par Obama pour mettre la pression sur les républicains afin qu’ils votent le rehaussement du plafond de la dette, échéance bien plus importante pour les États-Unis. Ce n’est visiblement qu’un demi-succès, mais on peut tout de même s’attendre à un rehaussement provisoire, qui reporte de quelques semaines tous les problèmes (7) ; il n’est cependant pas exclu que la voie tragique soit choisie, car ce n’est plus du domaine d’une décision rationnelle et qui pourrait être anticipée.

Coût d’assurer 10 millions $ de dette publique US. Source : Markit.

En effet, si les commentateurs se focalisent sur le Tea Party qui, de la même façon que des actionnaires minoritaires parviennent à contrôler une société via une holding, a réussi à prendre en otage le parti républicain et la société américaine, une autre lecture peut être faite. De nombreux américains voient la réalité en face : leur pays est en faillite. Dès lors, vaut-il mieux retarder la confrontation à la réalité, quitte à amplifier les problèmes, ou vaut-il mieux les résoudre maintenant ? Une large partie de la population ne voit pas d’un mauvais œil un défaut de paiement (8). Quelle autre solution, d’ailleurs, à terme ? N’y a-t-il donc pas la volonté chez les républicains de précipiter la crise ? C’est l’occasion rêvée puisqu’ils peuvent en faire porter le chapeau au Tea Party qui déclare sans ambages que « aucun accord vaut mieux qu'un mauvais accord » (9). Ce que nous voulons dire, c’est que cette fois, ou probablement à une autre occasion dans un futur très proche, ils pourraient ainsi être tentés de trancher le nœud gordien.

De même, une récupération stratégique a certainement eu lieu lorsque la Fed a fait machine arrière sur la réduction de son assouplissement quantitatif. Pourquoi a-t-elle laissé entendre jusqu’au bout qu’elle diminuerait QE3, sans le faire au final ? C’est la première fois qu’elle prend par surprise les investisseurs tous 100% convaincus du tapering, elle qui avait fait de la forward guidance un principe bien établi. N’y a-t-il aucun lien avec les grossiers délits d’initiés avérés au moment de l’annonce de la Fed (10), qui ont dû rapporter des milliards de dollars à leurs auteurs ? Tout cela conforte notre hypothèse d’établissements financiers américains aux abois qui doivent être renfloués discrètement par des opérations de ce genre, quitte à mettre à mal la crédibilité de la Fed. Encore des solutions de court terme qui empirent la situation mais repoussent un peu l’échéance fatale. Sur ces banques américaines, nous ne sommes plus les seuls à tirer la sonnette d’alarme : la banque d’Angleterre s’attend à des faillites de grandes banques qui auraient selon elle perdu le statut de « too big to fail » (11). Nous réitérons donc notre avertissement à ce sujet.

Comme un boxeur, tous ces coups encaissés ont rendu le pays groggy et il n’en manque qu’un dernier pour le terrasser. S’il ne vient pas d’un défaut de paiement américain en octobre, ce sera une autre échéance qui aura été repoussée mais qui, celle-là, ne cèdera pas.

Shutdown : la risée du monde, mais d'un rire jaune
Quand nous écrivions dans le GEAB n°77 au sujet du vote du budget : « nul doute qu’un compromis sera trouvé à la dernière minute, ou plus vraisemblablement quelques heures voire quelques jours après la date limite », force est de constater que nous sous- estimions encore les divergences politiques à Washington puisque les « quelques jours » que nous avions à l’esprit se sont transformés en semaines. Le quotidien Le Monde titre même en une de son site, « le piteux spectacle de Washington » (12). Mais finalement ce shutdown n’a pas un impact démesuré sur les marchés financiers (13), donc tout va pour le mieux, semblent penser de nombreux républicains qui s’accommodent fort bien d’une paralysie de l’État fédéral et de la réduction des dépenses publiques qui s’ensuit.

Ce n’est pas l’avis des pays possédant un montant élevé de bons du trésor US, qui se sentent pris en otage (14) par les États-Unis. Ils sont abasourdis par l’insoutenable légèreté des États-Unis et par l’attitude irresponsable de ce qui était encore récemment « le patron ». Si le pays fait défaut sur sa dette, en effet, l’onde de choc sera certainement terrible. Néanmoins, ce ne serait pas la fin du monde puisqu’un éventuel défaut pourrait simplement prendre la forme d’un retard de paiement de quelques jours ; par ailleurs, les différentes régions du monde seraient touchées très inégalement selon leur degré de découplage avec l’économie US. Non, le pays qui souffrira le plus de cette solution (et de toute autre, d’ailleurs) sera bien les États-Unis eux-mêmes. Pour mémoire, rappelons qu’ils détiennent les deux-tiers de leur propre dette publique.

Répartition de la dette publique américaine. Rouge : détenteurs étrangers / marron : détenteurs privés nationaux bleu : détenteurs publics nationaux. Source : npr.org.

C’est pourquoi les pays les mieux gouvernés ont déjà commencé ce grand découplage, en tête desquels la Chine qui sait depuis Sun Tzu que « lorsque le coup de tonnerre éclate, il est trop tard pour se boucher les oreilles. » (15)

---------
Notes :

(1) Sources : Xinhuanet (agence Chine Nouvelle, 13/10/2013), RFI (13/10/2013).

(2) Même le Financial Times s’y met (02/10/2013) : « le système actuel basé sur le dollar est intrinsèquement instable ». Aveu incroyable de la part d’un journal financier anglo-saxon.

(3) L’écho mondial qu’a reçu l’article chinois mentionné ci-dessus montre l’intérêt porté à cette déclaration de la deuxième puissance mondiale et confirme qu’elle brise un tabou qui va permettre de mettre en œuvre des solutions longuement attendues par une majorité de pays. Lire par exemple l’excellente analyse d’ Asia Times, 15/10/2013.

(4) Source : Bloomberg, 18/09/2013.

(5) Source : CNN, 14/10/2013.

(6) Source : par exemple PressAfrik, 12/10/2013.

(7) Source : New York Times, 15/10/2013.

(8) 58% des Américains voteraient contre le relèvement du plafond de la dette. Source : Fox News, 08/10/2013.

(9) Source : Le Monde, 15/10/2013.

(10) Source : USA Today, 24/09/2013.

(11) Source : The Telegraph, 12/10/2013.

(12) Le Monde, 14/10/2013.

(13) Évidemment, puisque la Fed poursuit son quantitative easing débridé.

(14) Ce sont quand même des otages consentants puisqu’ils ont financé massivement et volontairement ce pays...

(15) Sun Tzu, L’art de la guerre, VIème siècle av. J.-C.

Mardi 15 Octobre 2013
LEAP/E2020
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3
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#10pisitofilos_creditofagos09 Oct 2013(12:35)

(Femen ha hecho una de las suyas en el Congreso de los Diputados. Lo han hecho con un oxímoron: "aborto sagrado". Da igual.

http://www.telecinco.es/informativos/nacional/Activistas-descubierto-Pleno-Congreso-reivindicando_0_1681575037.html

El Presidente ha estado muy fino pidiendo que el desalojo se hiciera "con cuidado". Femen pone el dedo en la llaga de la religión.)

 

 

LA DOBLE DEPOSICIÓN PROTESTANTIZANTE DE JAIME BOTÍN, UNA MEMBRILLADA QUE PAGARÁ MUY CARA LA FAMILIA BOTÍN AL COMPLETO Y LA OLIGARQUÍA ESPAÑOLA EN SU CONJUNTO.-

 

http://elpais.com/elpais/2013/09/18/opinion/1379526120_302497.html

http://elpais.com/elpais/2013/10/06/opinion/1381078377_585878.html

 

Antes de nada, establezcamos cuán inequívoca es la naturaleza protestante de esta increíble y rechinante metedura de pata de Jaime Botín cargando contra la moral católica.

 

A lo que se refería de verdad el cínico es a una cosa que llevo oyendo toda la vida en los ambientes i-CEO* no opusdeianos:

 

- "Los católicos lo tenéis muy fácil. Os confesáis. Y se os perdona".

 

Los reformistas calvinistas se olvidan que, para pedir perdón, hay que apearse de la soberbia y echarle pantalones en esa ascética interior que tiene todo el que se sabe pecador (este enlace es muy pertinente estos días en El Confidencial, que no debiera ciscarse en la Casa Real para intentar suavizar su perfil facha, imputable a la i-CEO que infecta su línea editorial):

 

http://www.youtube.com/watch?v=DLSadZN2XAQ

 

Salirse voluntaria y expresamente de la lógica de la moral católica, habiendo sido uno pillado in fraganti como pecador, equivale a proclamar que se es tan soberbio que no se va a pedir perdón.

 

Conviene recordar la esencia del protestantismo.

 

Como saben, hay gran número de denominaciones cristianas reformistas. Sin embargo, se coincide en que todas tienen el mismo denominador común, que se resume en lo que se conoce como las Cinco Solas:

 

- SOLA SCRIPTURA: la Biblia no necesita interpretación oficial "romana" o no (sacerdocio universal).

- SOLA FIDE: Dios no nos juzga por nuestras obras buenas, sino por nuestra fe.

- SOLA GRATIA: la salvación es un favor inmerecido; se recibe por el hombre por parte de Dios de forma gratuita sin que éste pueda merecerla o adquirirla por sus propias fuerzas.

- SOLUS CHRISTUS: Jesucristo es el único mediador entre Dios y el hombre; no hay salvación a través de ningún otro mediador (rechazo, en general, de la intercesión de la Virgen María y los santos).

- SOLI DEO GLORIA, el grito de guerra de la Reforma: es en Dios y no en los sacerdotes donde el hombre debe buscar y encontrar sus respuestas.

 

En mi opinión, las cinco solas son sólo cinco negaciones que se resumen en dos proposiciones:

 

- la Biblia no necesita interpretación oficial (principio formal de la Reforma); y

- la salvación se recibe gratuitamente de Dios sólo mediante la fe en Cristo (principio material de la Reforma)

 

Para el protestantismo, haber nacido es demasiado tarde para salvarte: Dios, que es omnisciente, ya sabe si te salvas o si te condenas. Tus hechos sólo sirven para inferir de ellos si eres de los que se salvan o de los que se condenan. Si eres de éstos últimos, nunca llegas a triunfar en la vida: tu conducta desde la infancia te delatará como integrante de la lista de proscritos.

 

No me extraña que Gustavo Bueno diga que el contenido irracional del protestantismo "conduce en línea directa al racismo, al imperialismo depredador, y también al antisemitismo, al nazismo y a las cámaras de gas" ("La fe del ateo", pág. 377).

 

La increíble y vergonzante deposición antisistema de este emérito miembro de la familia Botín es anterior a saberse expresamente que el Papa Francisco "nunca ha sido de derechas". No obstante, ya se venía viendo que el nuevo Vaticano va a ser más indeseablemente rojo de lo que desearía la oligarquía. No menospreciemos estas circunstancias en lo que podría ser el comienzo de una conversión masiva al protestantismo de la casta de directivos de empresa, en frente común anticatólico con el falsosocialismo y su hombrenuevismo ciudadánico musulmanizante.

 

Dado que Jaime Botín no va a rectificar ni pedir perdón, Emilio Botín y su hija Ana Patricia Botín-Sanz de Sautuola O'Shea, que son los que nos importan al ir por la vida de banqueros-de-raza, sólo tienen una opción: regañar, respectivamente, con su hermano y tío. Como no lo van a hacer, a partir de esta membrillada, comienza el fin de esta familia como guinda del capitalismo financiero en España. Esperemos que el proceso dure, al menos, hasta que Fernando Alonso consiga su tercer título mundial con Ferrari o, si no, decida irse a otra escudería... donde esté Newey, je, je.

 

Gracias por leerme.

 

__

* La ideología Chief Exective Officer se constituye de dos elementos: a) caudillismo; y b) victimismo exculpatorio contra el Estado -funcionariofobia-, y, en ambientes angloamericanos, también contra el Vaticano -catolicofobia-. Se trata del cuerpo de doctrina de sostén del cuarto tipo de rentismo improductivo abusivo (honorarios extravagantes). Recordemos que los otros tres son: inmobiliario (plusvalías y exprimeinquilinato), pensiones y plazofijismo. Cada tipo excreta su correspondiente ideología-de-mierda, acompañándolo con gran lloriqueo de nenazas usureras. Los inmobiliarios: el nuncabajismo, el pocobajismo y la bichofobia. Los pensionistas: el toda-mi-vida-trabajandismo. Y los plazofijistas: el toda-mi-vida-ahorrandismo. El rentismo inmobiliario y el plazofijismo, adicionalmente, cualificados por su complacencia, respectivamente, con el lastre de costes inmobiliarios que asfixia el emprendimiento y con las primas que encarecen las nuevas emisiones de deuda.


http://blogs.elconfidencial.com/economia/valor-anadido/2013-10-09/el-peligroso-jardin-de-jaime-botin_38687/

4
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#13pisitofilos_creditofagos07 Oct 2013(12:54)

JAIME BOTÍN, UN PROTESTANTE CATÓLICO.-

 

http://elpais.com/elpais/2013/09/18/opinion/1379526120_302497.html

 

http://elpais.com/elpais/2013/10/06/opinion/1381078377_585878.html

 

Es increíble que un oligarca salga en contra de la moral (ética aplicada) católica que le ha permitido ser rico y, elevando sus brazos al Cielo, dé gracias a Dios por lo poco que peca, a la vez que proclama cuán víctima es de no-sé-qué.

 

Pero más increíble aún es que polemice estruendosamente con plebeyos que le reprochan dos infracciones muy graves de las reglas de su propio juego:

 

1) haber engañado al mercado, a sus socios y a las autoridades en relación con exactamente a cuánto ascendía su participación en su banco; y

 

2) haber engañado al Estado ocultando patrimonio y renta en el extranjero.

 

Lo hortera tiene dos elementos:

- expresión al margen de la superestructura dominante; y

- pretensión, no exenta de violencia, de hacer pasar dicha expresión por válida sólo porque nace de uno mismo.

 

Un ateo católico no tiene nada que ver con un ateo musulmán o un ateo protestante. Dicho de otro modo, hay católicos culturales, por muy musulmanizantes o protestantizantes que funcionalmente sean.

 

Jaime Botín es un protestante católico bastante vergonzante (al menos, nos está dando vergüenza ajena tanto articulito "filosófico" en El País). Nos presenta una deposición irracional reformista-calvinista, expresión de la ideología-Chief Executive Officer, según la cual, Dios, que es omnisciente, tiene un Plan que no cabe sino acatar, según el cual a él le toca ser rico y a ti pobre.

 

En la parábola de los talentos, tiene como muy claro que él es el directivito de los 5 talentos, llamado por el destino a devolver los 5 iniciales incrementados en otros 5 y, además, el tuyo, que Dios te quita a ti para que lo incremente él.

 

http://es.catholic.net/aprendeaorar/103/117/articulo.php?id=4151

 

Sin embargo, invoca el perdón de sus pecados terrenales perpetrados contra los mercados y las autoridades. Y nada más católico que el perdón, ¿o no?

 

¡En su paraíso protestante, Jaime Botín, después de haberle pillado, ya habría sido silenciado, probablemente, a hostias! Nada más sagrado que una buena hostia.

 

En suma:

- hipócrita cual fariseo;

- hortera por rechinante; y

- caradura en cuanto a predestinación sólo para las duras, no para las maduras.

 

Además de humillado por la sociedad e, íntimamente, por su hermano, se muere amargado dolido por tener que desapegarse de lo material y de su dandismo envidioso y fáustico.

 

Recogedor y escoba... salvo arrepentimiento público:

 

http://www.youtube.com/watch?v=U2Ev--1of44

 

En el fondo, Jime Botín, diciéndonos que los malos somos los demás, está proclamando que no tiene pantalones para pedir perdón.

 

Gracias por leerme.


http://www.elconfidencial.com/empresas/2013-10-07/jaime-botin-responde-a-el-confidencial-el-y-tu-mas-es-una-perversion-moral_38125/

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EAB N°77 est disponible ! Finance, économie, politique et la situation mondiale fin 2013 : trois étincelles et un baril de poudre

- Communiqué public GEAB N°77 (15 septembre 2013) -

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GEAB N°77 est disponible ! Finance, économie, politique et la situation mondiale fin 2013 : trois étincelles et un baril de poudre
Le soleil de l’été 2013, loin d’avoir apporté l’accalmie que certains espéraient, a continué de chauffer à blanc la finance, l’économie, et surtout la géopolitique mondiale. La pomme de discorde syrienne a montré à quel point la communauté internationale n’en était plus une ; les nouvelles économiques, malgré tous les artifices possibles, refusent obstinément d’annoncer une reprise tant attendue ; la guerre des monnaies a repris de plus belle, touchant de plein fouet les pays émergents ; les taux des obligations souveraines sont maintenant hors de contrôle...

L’automne approchant ne calmera malheureusement pas le jeu. La rentrée politique est en effet sous tension à Washington entre discussions sur la Syrie, vote du budget, plafond de la dette, etc. Les dissensions extrêmes entre démocrates et républicains en font la rentrée de tous les dangers. La rentrée financière ne l’est pas moins avec à l’ordre du jour le fameux tapering, c’est-à-dire la diminution progressive du programme d’assouplissement quantitatif de la Fed qui porte pourtant l’économie à bout de bras ; avec les séquelles de la faillite de Détroit ; et avec les grandes banques occidentales qui retirent par nécessité leur soutien au gouvernement américain.

Enfin, la rentrée géopolitique promet elle aussi d’être mouvementée: les pays émergents, échaudés par les opérations spéculatives sur leurs monnaies, ne vont certes pas rester les bras croisés, ce qui promet un beau feu d’artifice sur le marché des changes, et ils souhaiteront en outre profiter de leur victoire au sujet de la Syrie pour accroitre leurs prérogatives.

Plan de l'article complet :
1. Le feuilleton politique reprend à Washington
2. La Fed perd le contrôle
3. La prochaine Chypre sera américaine
4. Les banques ont lâché le trésor
5. Le grand bluff syrien
6. De Charybde en Scylla
7. Perte d'influence US
8. Émergent : suite et fin du processus de découplage des économies occidentales
9. Japon : recentrage régional
10. L'Europe à la croisée des chemins
11. Le bateau ivre de la gouvernance mondiale

Nous présentons dans ce communiqué public les parties 1, 2 et 3.

Le feuilleton politique reprend à Washington
On avait presque oublié les divergences entre démocrates et républicains tant l’actualité internationale est chargée. Mais ceux que les rebondissements de la série « alerte à Washington» intéressent seront tenus en haleine pendant encore de longues semaines (1). Entre des discussions sur la Syrie (dorénavant sans aucun enjeu mais qui témoignent du coup de poker occidental de l’été comme nous le verrons), le budget 2014 et le plafond de la dette, les républicains vont utiliser tout leur pouvoir de blocage pour obtenir un maximum de concessions de la part d’Obama. Et il va sans dire qu’ils sont prêts à en découdre, que ce soit en sacrifiant la réforme du système de santé US ou en sabrant d’autres dépenses sociales (ou, mieux, les deux) (2).

Évidemment, devant les dangers que représente l’absence d’un accord sur ces questions (3), nul doute qu’un compromis sera trouvé à la dernière minute, ou plus vraisemblablement quelques heures voire quelques jours après la date limite. Ce compromis accentuera encore la pression sur les millions d’Américains qui dépendent des aides sociales (4). Néanmoins, le spectacle d’États-Unis déchirés qui va s’offrir à nous est un nouveau coup dur porté à la crédibilité du pays, une fébrilité supplémentaire bien inutile sur les marchés, un jeu bien malvenu avec les nerfs des créditeurs étrangers et en premier lieu la Chine. Ce sera la cacophonie de trop qui mettra un terme à la faible confiance accordée à ce qui reste de la première puissance mondiale. Et sans confiance, le pays perd tout ce qui le maintient en vie.

Malheureusement, les lecteurs du GEAB savent que c’est dans la droite ligne de la dégradation inéluctable de l’influence des États-Unis, sur laquelle nous reviendrons car il s’agit d’une grille de lecture indispensable pour comprendre les évolutions mondiales en cours.

En deux mots, la politique américaine des mois qui viennent constitue la première des trois étincelles susceptibles d’allumer la mèche connectée au baril de poudre d’une économie mondiale qui n’a pas encore totalement coupé le cordon ombilical avec l’oncle Sam.

La Fed perd le contrôle
Plus grave, comme nous l’avions annoncé à maintes reprises, les taux des bons du trésor US sont désormais hors de contrôle. Malgré 45 milliards de dollars d’obligations publiques américaines achetées chaque mois par la Fed, malgré une émission réduite de bons du trésor grâce à la diminution du déficit budgétaire de l’administration fédérale, les taux continuent de monter. S’il ne s’agissait que des rumeurs de réduction de QE3, d’une part ils auraient commencé leur hausse après celles-ci, ce qui n’est pas le cas ; d’autre part, qu’une rumeur de réduction de 10% de QE3 provoque une hausse des taux de plus d’un point de pourcentage sur l’obligation à 10 ans augure mal de ce qui se passera lorsque la Fed devra arrêter complètement son soutien.



Taux d’intérêt des bons du trésor US à 10 ans : à gauche, septembre 2012 – septembre 2013, à droite, du 20 avril au 31 mai 2013 (source : MarketWatch/LEAP). Les premières rumeurs de tapering sont apparues le 13 mai et ont été confirmées par Bernanke le 19 juin.
Taux d’intérêt des bons du trésor US à 10 ans : à gauche, septembre 2012 – septembre 2013, à droite, du 20 avril au 31 mai 2013 (source : MarketWatch/LEAP). Les premières rumeurs de tapering sont apparues le 13 mai et ont été confirmées par Bernanke le 19 juin.
On comprend ainsi que la Fed ne maîtrise plus rien et que ses effets d’annonce a posteriori servent seulement à faire croire qu’elle contrôle encore la situation. De toute façon, ce QE3 est complètement inutile pour l’économie réelle puisqu’il ne soutient que la formation d’une bulle sur les marchés financiers et dans l’immobilier (5), c’est pourquoi elle ne rechigne pas trop à le réduire en le déguisant en une conséquence d’une soi- disant consolidation de l’économie. Tout n’est plus qu’une question d’image, la seule chose que la Fed réussisse encore à maintenir pour le moment.

En réalité elle n’a pas vraiment le choix : outre son bilan qui croît dangereusement, de l’avis général le remède est maintenant considéré pire que le mal en repoussant sans cesse la confrontation à la réalité et l’éclatement des bulles susmentionnées. Sans parler bien sûr de la pression politique exercée sans doute par la Chine et d’autres pays. En outre, la Fed doit plus que tout préserver le rôle international du dollar, ce qui est vital pour l’économie américaine qui ne sortirait pas indemne d’un changement de monnaie de réserve internationale : cela exige notamment de maintenir sa valeur et pour cela d’augmenter l’attractivité des obligations US. Il est ainsi remarquable de constater que malgré les rumeurs d’un tapering dès septembre (6) qui réduirait la quantité de dollars imprimés chaque mois, malgré les rumeurs de guerre en Syrie qui habituellement auraient provoqué une « fuite vers le dollar », celui-ci n’a pas augmenté face à l’euro, preuve qu’il a vraiment besoin d’un coup de pouce pour éviter une dépréciation brutale extrêmement dommageable. Nous reviendrons sur l’absence de «fuite vers la sécurité» provoquée par le risque d’une attaque en Syrie, signe révélateur d’un changement d’esprit très inquiétant pour les États-Unis.

Cette perte de contrôle des taux est la seconde étincelle proche du baril de poudre, une énorme étincelle celle-là, qui ressemble plutôt à un chalumeau.

La prochaine Chypre sera américaine
Mais il n’y a pas que les obligations fédérales qui sont en chute libre. À la suite de la faillite de Détroit, le marché des Munis (obligations municipales américaines) est lui aussi extrêmement tendu (7) comme on le voit à la figure suivante.

C’est une situation alarmante pour de nombreuses villes américaines qui va inévitablement amener d’autres faillites retentissantes dans les mois qui viennent. À séparer les dettes municipales et nationales, on affiche certes de meilleurs chiffres, mais on dédouble les risques.



Taux des bons municipaux à 20 ans. Source : Fed de Saint-Louis.
Taux des bons municipaux à 20 ans. Source : Fed de Saint-Louis.
Parmi les prochaines victimes sur la liste des marchés semble figurer le Porto Rico qui se débat déjà avec des taux insoutenables (8). Cela n’est pas sans rappeler l’épisode chypriote, sauf que l’île est trois fois plus peuplée. Et que ça ne se passe pas en Europe mais dans la sphère américaine. Parions que cette fois l’île sera considérée comme insignifiante, contrairement à Chypre.

---------
Notes :

(1) Source : ABC 7 News, 07/09/2013.

(2) Sources : Fox News (27/07/2013), CNN Money (06/09/2013), Huffington Post (10/09/2013).

(3) Lire par exemple Fiscal Times (10/09/2013) sur les conséquences d’un blocage concernant le plafond de la dette.

(4) Lire par exemple New York Times (05/09/2013) sur la diminution des aides versées à un nombre toujours plus grand de personnes dépendant des bons de nourriture.

(5) Pour ne parler que de ses conséquences internes aux États-Unis, les seules qui comptent aux yeux du pays malgré le rôle mondial toujours prépondérant du dollar qui devrait responsabiliser les dirigeants américains sur la scène internationale. Ça n’a jamais été le cas en 40 ans, ce n’est pas lors d’une crise majeure mettant en cause la survie du pays que cela va changer.

(6) Source : CNBC, 28/09/2013.

(7) Lire par exemple The Future Tense, 29/07/2013.

(8) Source : Wall Street Journal, (09/09/2013).


Dimanche 15 Septembre 2013
LEAP/E2020
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6
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#17pisitofilos_creditofagos19 Ago 2013(13:46)

EN LUGAR DE LUCHAR CONTRA LA EXTRACCIÓN IMPRODUCTIVA DE RENTAS, ¡QUE BAJEN LAS DE LOS ÚTILES!.-

Vamos a llegar a un punto en el que va a haber que pagar por ir a

 - trabajar (salarios) o
- emprender (beneficios empresariales);

 para que no sufran los "pobres":

 - caseros,
- pensionistas,
- plazofijistas, y
- trabajadores-directivos, profesionales, artistas y deportistas.

 Para más inri, España está descubierta en flanco liberal, infestado de obrerismo facha y libertinos:

 http://juanramonrallo.com/2013/08/critica-a-la-teoria-neo-ricardiana-y-clasica-del-valor/comment-42587

 http://adiosladrilloadios.libremercado.com/


http://www.elconfidencial.com/empresas/2013-08-19/ceoe-propone-igualar-el-mercado-laboral-quitando-privilegios-a-los-indefinidos_18976/

7
Estos dos comentarios de ayer habían quedado sin cita.

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#1pisitofilos_creditofagos15 Ago 2013(15:44)

ROSALÍA MERA ES UNA RENTISTA INÚTIL.-

 

Rosalía Mera es una persona agredecida con quien de verdad la ha hecho rica a ella individualmente.

 

Por eso se permite exhibir sin pudor esas ideas tan hombrenuevístico-ciudadánicas.

 

La sociedad actual no es burguesía contra proletariado, sino burguesía y proletariado contra extractores inútiles de renta.

 

Todos los recursos que van a los rentistas abusivos no van ni a los trabajadores (consumo ordinario) ni a los empresarios (acumulación de capital productivo),

 

Estamos en crisis estructural porque hemos llevado demasiado lejos un subtipo de rentismo inútil, el inmobiliario e hipotecario. Y no salimos de ella porque hay tanto rentista inútil que no nos lucirán nunca los esfuerzos:

 

- plusvalías inmobiliarias y alquileres;

- pensiones;

- intereses a plazo fijo y falsos intereses;

- honorarios extravagantes de trabajadores-directivos, profesionales, artistas y deportistas; y

- fraude fiscal.

 

Según nuestras estimaciones, a estas rentas (contra las que no estamos, siempre que sean razonables), les sobra un importe realmente alucinante, que representa nada menos que una de cada cinco unidades monetarias que se producen (20% del PIB).

 

Rosalía Mera, con su fortuna personal, no sólo no crea empleo sino que se pasa el día lloriqueando por cuán supuestamente represor, financieramente hablando, es el sistema contra ella.

 

Ante la extrema gravedad de su salud, rezamos por ella con todo nuestro corazón, pero ansiamos que sus herederos no se limiten a ser meros extractores de renta y pongan la fortuna heredada al servicio de los demás.

 

Gracias por leerme.


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#5pisitofilos_creditofagos17 Ago 2013(23:26)

ROSALÍA MERA NO SUPO TENER DINERO Y CHIRRIÓ.-

 

Rosalía Mera sólo se ha dedicado a extraer rentas, a la caridad simbólica (unos cientos de miles de euros frente a 2.500 millones) y a dar resonancia a las ideas hombrenuevístico-ciudadánicas falsosocialistas, especialmente en la época ZP. Yo soy más empresario que ella, porque además de tener participaciones minoritarias en empresas, trabajo de verdad ordenando medios de producción.

 

Rosalía Mera es un personaje que sirve muy bien para ilustrar por qué el rentismo nos ha metido en la crisis y porqué no salimos de ella a pesar de gozar de recursos más que suficientes para financiar toda la actividad y empleo que haría falta.

 

P.S.: Solicito a EC que suprima el impresentable comentario nº 3. Si estuviéramos con nombres y apellidos, tendría que querellarme. ¿El EC ampara estas conductas en sus foros? No.


http://www.elconfidencial.com/espana/2013-05-30/la-mujer-mas-rica-de-espana-contra-los-recortes-en-sanidad-y-educacion_4957/

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#19pisitofilos_creditofagos18 Ago 2013(13:45)

No tengo mucho más que añadir a lo ya expuesto en relación con esta buena señora aquí:

http://www.elconfidencial.com/espana/2013-05-30/la-mujer-mas-rica-de-espana-contra-los-recortes-en-sanidad-y-educacion_4957/

Sólo permítanme una reflexión adicional:

 NO PUEDE SER QUE LOS RENTISTAS GANEN A LOS TRABAJADORES POR LA IZQUIERDA.

Me quejo de que, del mismo modo que los supermegahiperrentistas se lo están montando de majos, las casi dos generaciones mutiladas por culpa del rentismo abusivo, se están portando como ogros en sus familias, en sus empresas y en sus administraciones públicas.

Entre los jóvenes que van de liberales en España hay mucho obrero facha.



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#20pisitofilos_creditofagos18 Ago 2013(13:52)

HAY DOS FORMAS DE CARIDAD.-

Está la caridad como la interpreta Cáritas Diocesana, por ejemplo.

Y luego está la otra, que a su vez tiene dos formas, la pija y la roja.

Finalmente, aparte de la caridad está la justicia.


http://blogs.elconfidencial.com/espana/mientras-tanto/2013-08-18/la-buena-vida-de-rosalia-mera_18700/

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07 Ago 2013(20:28)

(A los diseñadores de EC: Siempre me sale la línea de TAGS montada sobre el pie de foto; quizá es porque, en Personaliza-Pantalla, tengo el tamaño al 125%)

07 Ago 2013(20:19)

FUNCIONARIO DEL ESTADO: EN 2010, EL PSOE TE BAJÓ UN 5%TU RETRIBUCIÓN NOMINAL, DE GOLPE Y EN PROMEDIO. ¿HAS DECIDIDO HACER ALGO, A PARTIR DE AHORA, CONTRA LAS CERDADAS DE LOS (Y LAS) HIPÓCRITAS O VAS A SEGUIR RESENTIDO RELAMIÉNDOTE LAS HERIDAS?.-

 

Digo esto porque, mientras los salarios han bajado y los beneficios empresariales se han esfumado, las rentas improductivas han seguido su marcha imperial.

 

Estamos en crisis desde 2006 por culpa de un subtipo de rentas improductivas:

 

-  las plusvalías inmobiliarias.

 

Y seguimos en crisis en 2013 por culpa de cuatro subtipos de rentas improductivas;

 

- los alquileres,

- las pensiones,

- los dividendos disfrazados de gastos financieros, y

- los honorarios extravagantes de directivos, profesionales, artistas y deportistas.

 

Entre los tontos y tontas de los pisitos que usurpan el mando político y se alternan en él, ¿han visto ustedes alguna iniciativa a favor de una Política de Rentas que permita acumular capital productivo, o sólo han visto mamonadas de hijos de perra?

 

Perdonen por el tono. Es el calor.

 

Gracias por leerme.

 

P.S.: Una bajada de salarios nominales no acompañada de una bajada de precios de la vivienda, de alquileres y de pensiones, no serviría para nada. ¿Han visto ustedes que los cerdos y cerdas de los pisitos, de uno y otro bando, se refieran a esta cosa tan evidente y sencillita?


http://www.elconfidencial.com/espana/2013-08-07/valenciano-a-rehn-muchos-ganan-al-mes-lo-que-usted-gasta-en-dos-cenas_16267/

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#5pisitofilos_creditofagos23 Jul 2013(21:25)

SOLICITO A EL CONFIDENCIAL FORMALMENTE QUE BORRE LOS 13 COMENTARIOS ANTIGUOS QUE HA DEJADO EN MI PERFIL DE USUARIO Y QUE BORRE TAMBIEN QUE MI ANTIGÜEDAD ES SOLO DESDE EL 3 DE JULIO DE 2013.- A los de linkón estructural.net: evidentemente El Confidencial ya no funciona,para nosotros; desconozco si será más de provecho para el lector convencial y no sólo para nosotros; tampoco para el lector convencional; es imposible leer nada cómodamente en el tablet y en el smartphone. Es la primera vez en mi vida queo un cambio tecnológico es a peor en general. Tengo abiertos simultáneamente el portátil, el tablet y el smartphone Creo humildemente que han metido la pata y que es el principio del fin de este sitio de libertad en internet.

#6pisitofilos_creditofagos23 Jul 2013(21:50)

EL FIN DE LA RECESIÓN SIGNIFICARÁ LA PROFUNDIZACIÓN DE LA CRISIS ESTRUCTURAL Y LA ACELERACIÓN DEL ESTRANGULAMIENTO FINANCIERO TOTAL FINAL.- Gracias a la recesión el artefacto había dejado de generar su basura.

#7pisitofilos_creditofagos23 Jul 2013(21:54)

(Estoy muy agradecido a El Confidencial por estos años.)


http://blogs.elconfidencial.com/economia/informacion-privilegiada/2013-07-23/fin-de-la-recesion-no-de-la-crisis_11272/

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8pisitofilos_creditofagos 22/07/2013 | 08:41

¿CÓMO HA FINANCIADO RAJOY SUS CINCO INMUEBLES Y SUS 600 MIL EUROS?.-

Es mentira que un Registrador de Inmuebles de pueblo gane mucho dinero. Pero Rajoy no ha trabajado de eso sino de político.

- Hace dos años: "El presidente del Partido Popular, Mariano Rajoy, declara tener tres apartamentos [Pontevedra, Madrid y Canarias], una vivienda habitual en régimen de gananciales en Madrid y una oficina en Pontevedra. Además, dispone de un total 597.442 euros entre depósitos en cuentas corrientes, fondos de inversión, acciones en bolsa y seguros de ahorro. No tiene ninguna deuda ni ninguna obligación patrimonial".

Rajoy es relativamente joven. Nació en 1955. Sólo son 3 décadas obteniendo renta.

¿Salen las cuentas?

Veámoslo:

- 5 casas, una de ellas un chalet en Aravaca, adquiridas antes del pinchazo-derrumbe, 200 mill. ptas.;
- en dinero, 100 mill. ptas.;
- deudas, cero.

200 + 100 = 300

300 / 30 años = 10

En promedio, ha ahorrado 10 mill. ptas. cada año; es decir, 5.000 euros mensuales durante 30 años.

En promedio, ha ingresado 70.000 euros/año:

70 X 30 = 350 mill. pts.

Gasto:

350 - 300 = 50

50 / 30 años / 12 meses = 850 euros mensuales

Sí sale, pero viviendo como una rata.


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12pisitofilos_creditofagos 22/07/2013 | 08:49

¿RATA O EXPRIMEIQUILINOS?.-

Yo sí me creo que el dinero negro del partido no era para él y que el dinero inmobiliario que ha manejado era blanco:

- "Yo no he cobrado jamás dinero negro".

Tendrá casas alquiladas.

Además está que su mujer es hija de un constructor.

TENEMOS EN EL GOBIERNO UN TÍPICO PISITOS, encima de provincias identitarias.

¿Qué TRANSICIÓN ESTRUCTURAL podemos esperar?

POR EL BIEN DE ESPAÑA, EL PP DEBERÍA ESCINDIRSE EN "LIBERALES" isitófilo-creditófagos, como Rajoy, Aguirre, etc., Y LIBERALES AUTÉNTICOS. Los primeros, que se acuesten todo lo que quieran con el PSOE.


http://www.elconfidencial.com/espana/2013/07/22/rajoy-estudia-con-sus-intimos-alternativas-para-ldquodar-explicaciones-a-los-espanolesrdquo-125398/

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10pisitofilos_creditofagos 20/07/2013 | 15:56

LOS ACTUALES CAMBIOS REGULATORIOS DEL SECTOR ENÉRGETICO SÓLO PERJUDICAN A LOS TÍPICOS IDIOTAS DOSTOYEVSKIANOS DE SIEMPRE METIDOS A ENERGÉTICOS AL DECLINAR SU AMADA BURBUJA-PIRÁMIDE GENERACIONAL.-

¡Hala a rajar contra el Estado, perdedores!

Por cierto, la canción " Todos los paletos fuera de Madrid" formaba parte de las acciones dirigidas a superar el madrileñismo, tanto en su versión macarra como pija, de los 1960s, dando paso un nuevo supuesto Volksgeist pretendidamente mestizo, superador por tanto del resto de 16 neopaletismos que traía la Constitución. Recuerdo perfectamente cómo se festejaban la ventas de La Luna de Madrid en provincias.


http://blogs.elconfidencial.com/economia/lleno-energia/2013/07/20/vivir-por-el-boe-morir-por-el-boe-8722

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17pisitofilos_creditofagos 19/07/2013 | 21:19

LA CUESTIÓN DEL "VOLKSGEIST".-

Stalin dijo:

- "Cuando creía en un "porvenir luminoso", la gente luchaba junta, independientemente de su nacionalidad: ¡los problemas comunes ante todo! Pero cuando en el espíritu se insinuaron las dudas, la gente comenzó a dispersarse por barrios nacionales: ¡que cada cual cuente sólo consigo! ¡El "problema nacional" ante todo!".

- "Una parte de los socialdemócratas que antes rechazaba la "autonomía cultural-nacional", la presenta ahora como reivindicación inmediata".

- "La burguesía de la nación oprimida, que se ve acosada por todas partes, se pone, naturalmente, en movimiento. Apela a "los de abajo de su país" y comienza a clamar acerca de la "patria", haciendo pasar su propia causa por la causa de todo el pueblo. Recluta para sí un ejército entre sus "compatriotas" en interés... de la "patria". Así comienza el movimiento nacional".

La Movida coincidió con el nacimiento de la Comunidad Autónoma de Madrid, ¡qué curioso!:

http://www.youtube.com/watch?v=VjjGwdLUUbE

Que conste que yo formé parte activa de La Movida.


http://blogs.elconfidencial.com/economia/valor-anadido/2013/07/19/costosisima-patada-a-artur-mas-en-el-culo-de-ferrovial-8719

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29pisitofilos_creditofagos 18/07/2013 | 16:31

Muchas gracias por leerme y votarme.

La funcionariofobia es parte del odio obrerista-facha al Estado, que es un invento liberal:

- "Marujita, fíjate si somos 'de mercado' que aprovechamos siempre que podemos para rajar contra el Estado".

Es el timo falsoliberal que perpetran:

- los rentistas;
- los buscadores de pasivo especializados en rentistas; y
- los lametrasetos de CEOs.

En 1998, el falsoliberalismo en el poder en España, en vez de aprovechar el impulso del euro para vivificar el capitalismo-Empresa, apretó a fondo el acelerador de la burbuja-pirámide generacional montada por la socialdemocracia y el socioliberalismo a mediados de los 1980s y transfirió a las CCAA el centro de gravedad de la economía pública.

Ahora, vencidos y acorralados, son capaces de desguazar el Estado y la Función Pública, sólo por consideraciones teóricas que ni siquiera entienden, como cuando al payaso anterior se le ocurrió la "alianza de civilizaciones" para pacificar la furia musulmana empleando para ello la palabra alianza, que es hebrea, judía e israelita a más no poder; o como cuando se declaró la crisis estructural y confiaron en la estabilización automática.


http://blogs.elconfidencial.com/economia/valor-anadido/2013/07/18/receta-para-desastre-el-negro-futuro-de-la-cnmv-8713

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12pisitofilos_creditofagos 16/07/2013 | 16:39

[Muchas gracias por leerme votarme.]

Lo que digo es que los separatistas no se dan cuenta que los cinco escalones administrativos [local, regional, estatal, UE y mundial] concurren sobre cada milímetro cuadrado, molécula o átomo de territorio. Su lucha sólo consiste en simplificar a 4 escalones su sector público [provinciano] echando al Estado español, cuyas funciones habrían de ser asumidas por el segundo escalón. En realidad, pues, luchan por el establecimiento de una mierda de dictadurcitas de proximidad inspiradas en consideraciones étnico culturales. O sea, un horror. Por contra, nosotros no sólo estamos absolutamente en contra de semejantes sandeces, por fascistoides y, sobre todo, por ineficientes [el diseño del sector público es algo mucho más técnico de lo que los nacioncitas quieren creer] sino que ansiamos que los escalones 4 y 5 se expandan a sus máximos. Es en este sentido en el que decimos que las fronteras [Aduanas] deben ser competencia del nivel 4.

Otro fraude ideológico es el de identificar iglesia católica con ultraderecha. Cuando yo era ya no tan jovencito, era justo al revés: "Tarancón al paredón", Vaticano II, etc.


http://blogs.elconfidencial.com/economia/valor-anadido/2013/07/16/lsquoalemania-se-hundersquo-chusco-contraataque-de-francia-8694

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