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Autor Tema: Del Asesor de la Ex-Primera Ministra de Francia y la Pornografía de Menores  (Leído 4916 veces)

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Scandale : sexe, législatives et vidéo à Annaba Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte 


 le 27.04.12 | 10h00   


  



                          Un Français, Jean-Michel Baroche, 67 ans, a été placé dans la soirée de mardi à mercredi sous mandat de dépôt par le parquet de Annaba.  Quatre autres personnes – dont un gynécologue, Matmati Youssef et non Mahiédine comme cela a été rapporté dans notre édition de jeudi 26 avril (nos excuses au concerné) –, ont été frappées de la même mesure. Cités dans cette affaire, quatre gynécologues ont été placés sous contrôle judiciaire. C’est le magistrat instructeur de la première chambre qui a été désigné pour instruire l’affaire, dont plusieurs zones d’ombre restent à éclaircir. Ils sont accusés, selon des sources judiciaires, de 9 chefs d’inculpation, entre autres production et distribution de films pornographiques, détournement de mineures, incitation à la débauche, viol, avortements, corruption, infraction aux changes (96 000 euros) et détention et consommation de drogue. Les victimes sont au nombre de 18 filles, dont la quasi-totalité est mineure. Elles ont été enrôlées par Jean-Michel Baroche via ses complices pour finir dans son lit, sous le zoom de son caméscope dont les scènes sont destinées à des films pornographiques.

 
 QUI EST JEAN-MICHEL BAROCHE ? 
 
 Ce ressortissant français était venu en mars 2011, depuis la Tunisie, s’installer en Algérie. Grand de taille, cheveux argentés, il se décline en homme d’affaires, et comme conseiller de Edith Cresson, Premier ministre français (PS) de 1991 à 1992. Il se vante sur son blog d’être le fondateur la compagnie aérienne Italian Airline Charter. A Annaba, il se présente en tant que directeur général d’Algerian Development Agency et de l’agence de mannequins Glamour Arabian Talent. Un véritable piège pour les jeunes filles dont l’esprit est plein de rêves. Pour ce faire, il a su soigner son image trompeuse. Il a loué une luxueuse villa, à la cité résidentielle Oued Kouba, qu’il a transformée en lieu de débauche. Généreux, il dépense sans compter. Selon des éléments de l’enquête, il a dépensé plus de 96 000 euros en un mois qu’il a retirés de son compte bancaire de Société Générale. Les opérations de change, Jean-Michel Baroche les effectue au marché parallèle. Selon toujours les mêmes sources, c’est sa sœur qui alimente son compte depuis la France à chaque fois qu’il en émet le souhait. Lors de sa présentation devant le parquet de Annaba, il était vêtu d’un costume gris. Il avait l’air insouciant et répondant souvent par «je ne savais pas». Adepte des orgies arrosées, il préfère les adolescentes de moins de 18 ans. Il n’hésite pas à les saouler, droguer et dépuceler avant de les envoyer le lendemain chez un gynécologue pour réparation de l’hymen en contrepartie de fortes sommes d’argent. Pour s’attirer davantage de victimes, il n’a pas hésité à se convertir à l’islam et se prénommer «Abderrahim». Sa confession a été faite devant un imam et deux témoins, car la direction des affaires religieuses locale a refusé son dossier.
 
 DES GYNéCOLOGUES AU SERVICE DE JEAN-MICHEL
 
 Dans ce scandale, une partie prenante a été impliquée directement. Il s’agit de cinq médecins spécialistes en gynécologie obstétrique. Ils ont été sollicités à maintes reprises par Jean- Michel Baroche pour procéder à des opérations d’avortement et de réparation de l’hymen. En contrepartie, le sexagénaire français est très généreux avec eux. Pour services rendus, il n’hésite pas à payer d’importantes sommes, parfois en euros. En effet, parmi les séquences vidéo saisies dans le domicile du mis en cause, un film montrant une opération de réparation de l’hymen d’une jeune fille en direct. Ce qui est contraire à la déontologie médicale.
 
 SCANDALE EN PLEINE CAMPAGNE ELECTORALE 
 
 Force est de souligner que ce scandale a fait de l’ombre à la campagne électorale dont l’ambiance est déjà morose à Annaba. Et le parti FLN est la première victime des dégâts collatéraux de cette affaire. L’un des candidats de sa liste locale aux législatives du 10 mai prochain est Saâdni Abdenacer, un des vice-présidents de l’APC de Annaba. Selon son entourage, il était pressenti futur P/APC dans la même ville de par les services qu’il a rendus à l’ex-parti unique. Selon un des enquêteurs, dans l’une des séquences vidéo, cet élu apparut avec Jean-Michel Baroche dans une chambre d’hôtel où ils partagent le même lit avec une mineure. Un coup dur à l’ex-parti unique qui se vantait toujours d’être le parti majoritaire des 12 Assemblées communales de la wilaya de Annaba. Ce qui n’est pas le cas pour les différentes formations politiques islamistes qui, opportunistes à souhait, ont su tirer profit de la situation.

Ces derniers jours, elles reviennent aux discours moralisateurs, tentant d’attirer la population mécontente, selon eux, «nous sommes la solution à tous vos problèmes, même ceux relevant des mœurs». Une situation qui a fait réagir Mme Baya Hadad, présidente de l’Association des femmes algériennes pour le développement (AFAD), en s’interrogeant sur l’opportunité du moment pour déclencher ce scandale. «Pourquoi les services de sécurité ont choisi la campagne électorale pour mettre au grand jour ce scandale sexuel ? Cela ne peut qu’aider les islamistes dans leur quête au pouvoir. Bien que je condamne avec les plus fermes propos cette atteinte aux mœurs, notamment aux jeunes filles mineures, mais le moment n’est pas opportun. D’autant plus que ce réseau de malfaiteurs était en filature depuis plusieurs mois par nos services de renseignements», s’interroge-t-elle.     


http://www.elwatan.com/actualite/scandale-sexe-legislatives-et-video-a-annaba-27-04-2012-168407_109.php



Traductor de Google:


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Escándalo: sexo, legislativas y vídeo en Annaba

27.04.12 | 10:00

Un francés, Jean-Michel Baroche, de 67 años, fue colocado en la noche del martes al miércoles en custodia por el fiscal de Annaba.

Otras cuatro personas, entre ellos un ginecólogo, y no Matmati Youssef Mahiedine como se informó en nuestra edición del jueves 26 de abril (nuestras disculpas a la pregunta) - se han visto afectados por la misma medida. Las ciudades, en este caso, cuatro ginecólogos se han puesto bajo control judicial. Es el magistrado de la primera habitación que fue designado para conocer del asunto, muchas zonas grises quedan por aclarar. Se les acusa, según fuentes judiciales, 9 cargos, incluyendo la producción y distribución de películas pornográficas, corrupción de menores, corrupción, violaciones, abortos, la corrupción, la violación de divisas (96.000 euros) y la detención y el uso de drogas. Las víctimas son niñas entre los 18, que es casi todo menor de edad. Ellos fueron contratados por Jean-Michel Baroche a través de sus cómplices, finalmente, en la cama, bajo el zoom de la cámara de vídeo cuyas escenas son para películas pornográficas.


¿Quién es Juan Michel Baroche?


El ciudadano francés había llegado en marzo de 2011, de Túnez para instalarse en Argelia. El pelo alto, de plata, se trata de un hombre de negocios y como asesor de Edith Cresson, el primer ministro francés (PS) desde 1991 hasta 1992. Se jacta en su blog para ser el fundador de la aerolínea italiana Carta avión. En Annaba, se presentó como director general de la Agencia de Desarrollo de Argelia y el talento de modelos Glamour árabe de la agencia. Una verdadera trampa para las chicas jóvenes, cuyas mentes están llenas de sueños. Para ello, él tiene para su imagen engañosa. Alquiló una villa de lujo en la zona residencial de la ciudad Oued Kouba, que se ha transformado en un antro de perdición. Generoso, libre de gastos. De acuerdo con los resultados de la investigación, pasó más de 96.000 euros en un mes, se ha retirado de su cuenta bancaria de la Societe Generale. Las operaciones de cambio, Jean-Michel Baroche realiza el mercado paralelo. Siempre según las fuentes, que era su hermana, que alimenta a su cuenta de Francia cada vez que pide un deseo. Durante su presentación a la planta de Annaba, que llevaba un traje gris. Miró sin preocupaciones y, a menudo responde con "Yo no lo sabía." Adept orgías regadas, él prefiere las niñas menores de 18 años. No dude en ponerse borracho, drogado y desflorada antes de enviar el día siguiente al ginecólogo para la reparación del himen, a cambio de grandes sumas de dinero. Para atraer a más víctimas, que no dudó en convertirse al Islam y su primer nombre "Abderrahim". Su confesión fue hecha antes de un imán y dos testigos, debido a que el Departamento de Asuntos Religiosos local, negó su caso.


Ginecólogos al servicio de JEAN-MICHEL


En este escándalo, fue una de las partes directamente involucradas. Hay cinco médicos especialistas en ginecología y obstetricia. Se les pidió en varias ocasiones por Jean-Michel Baroche para realizar operaciones de aborto y la reparación del himen. A cambio, los franceses sexagenario es muy generoso con ellos. Por sus servicios, que no dudan en pagar grandes sumas de dinero, a veces en euros. De hecho, entre el video filmado en la casa del demandado, una película que muestra una operación para reparar el himen de una niña en directo. Esto es contrario a la ética médica.



ESCANDALO EN PLENA CAMPAÑA ELECTORAL

Cabe destacar que este escándalo ha arrojado una sombra sobre la campaña electoral, donde la atmósfera ya está moroso en Annaba. Y el partido del FLN es la primera víctima de los daños colaterales de este caso. Uno de su lista local de candidatos en las elecciones del 10 de mayo es Saâdni Abdenacer, un Vice-Presidente de la ACC de Annaba. De acuerdo con su séquito, se previó el futuro P / APC en la misma ciudad por los servicios que ha prestado a la antiguo partido único. De acuerdo con uno de los investigadores, en una de las películas, este funcionario electo apareció con Jean-Michel Baroche en una habitación de hotel en el que comparten la misma cama con un menor de edad. Un golpe en el antiguo partido único que siempre se jactó de ser el partido mayoritario de 12 Asambleas Comunales de la wilaya de Annaba. Esto no es el caso de los islamistas varios políticos que a los oportunistas han aprovechado de la situación.

En estos días, vuelven a los discursos moralizantes, tratando de atraer a la gente infeliz, ellos dicen: "nosotros somos la solución a todos sus problemas, incluso los que caen la moral." Una situación que ha reaccionado Baya Sra. Hadad, presidente de la Asociación de Mujeres de Argelia para el Desarrollo (AFAD), cuestionando la idoneidad de tiempo para provocar el escándalo. "¿Por qué los servicios de seguridad han optado por la campaña para sacar a la luz el escándalo sexual? Esto sólo puede ayudar a los islamistas en su búsqueda de poder. A pesar de que condenamos en los más fuertes sobre el abuso sexual, incluidas las niñas menores de edad, pero el momento no es apropiado. Sobre todo porque esta red de delincuentes estaba dando vueltas desde hace varios meses por nuestros servicios de inteligencia ", pregunta.



 
« última modificación: Abril 27, 2012, 14:35:46 pm por CdE »
Joan Queralt: "Me gustaría conocer la cantidad de empresas españolas de los últimos 25 años relacionadas con el crimen organizado. Nos llevaríamos una sorpresa."

Dimitris Christoulas: “Algún día los jóvenes cogerán las armas y colgarán a los traidores”

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Re:Del Asesor de la Ex-Primera Ministra de Francia y la Pornografía de Menores
« Respuesta #1 en: Abril 27, 2012, 14:50:10 pm »
De los Pozos de Petróleo Kuwaties, Elf, Miterrand, Aramco, Bush Padre y Halliburton



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L’affaire Joseph Ferrayé...

France/Koweit : Une escroquerie de 360 Milliards de Dollars !

La racine de tous les maux, c’est l’amour de l’argent



Joseph Ferrayé est l’inventeur des systèmes d’extinction et de blocage qui ont maîtrisé en trois mois au lieu de six à huit ans les 1.164 puits explosés en 1991 au Koweït.

Révolutionnant plus de 15.000 fois tous les procédés classiques, les systèmes Ferrayé ont été déclarés stratégiques et vendus en fraude à tous les pays producteurs de pétrole sous la couverture de la compagnie Elf, pour le compte du gouvernement de François Mitterrand et des hauts responsables français de gauche et de droite, ainsi que par le biais de la société américano-saoudienne Aramco, commanditée par l’administration Bush père et la compagnie Halliburton.


Système d'extinction - Heller
Système d'extinction Ferrayé en application au Koweït - Photo: Dr. Jack Heller, USACHPPM, Mai 1991.

Brevets des systèmes Ferrayé déposés à l’INPI et l’OMPI :
Système d’extinction    Système de blocage

A l’Office européen des brevets :
http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9219323&QPN=WO9219323
http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9218746&QPN=EP0593503&RPN=EP0593503&DOC=deb45b02a96922da995712cf974ff6c66d
Pour les dates de dépôt visionner les documents dans le registre européen.


L’affaire Joseph Ferrayé France/Koweit Une escroquerie de 360 Milliards de Dollars ! from Patrice De Bruyne on Vimeo.

A preuve de l’application frauduleuse des systèmes Ferrayé en 1991 au Koweït, voir l’article “How well control techniques were refined in Kuwait” (Comment les techniques de contrôle des puits ont été perfectionnées au Koweït) publié dans le magazine World Oil en mai 1992 par Larry Flak, l’ingénieur texan chargé de coordonner les travaux des extinctions des puits au Koweït du 19 mars au 15 novembre 1991.

L’article décrit les caractéristiques techniques des nouveaux systèmes, mais les attribue à ABB VETCO GRAY, dont le PDG n’était autre, à l’époque, que Percy Barnevik et où siégeait, à l’office de Zürich, le futur Secrétaire à la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, qui fit de sa place au conseil d’administration le moyen pour ses complices et lui d’encaisser en toute discrétion une partie des royalties escroqués à Joseph Ferrayé.

Notons aussi bien, qu’en tant que membres du Bilderberg Group, organe archi-secret de politique mondiale, Donald Rumsfeld et Percy Barnevik en ont toujours profité pour demeurer en constante collusion avec d’autres de ses membres tels que Loïk le Floch-Prigent et Philippe Jaffre d’Elf, ou pour citer quelques ministres des premiers gouvernements responsables du vol des brevets, Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin, Bernard Kouchner, Jacques Toubon.

Voici comment débute le rapport de Larry Flak : "ABB VETCO GRAY, qui a dirigé l’atelier mécanique de Kuwait Oil Company à Ahmadi, a été capable de réaliser des procédés géométriques".
Puis l’auteur entre dans la description des caractéristiques techniques des nouveaux systèmes de Joseph Ferrayé.

Chargée de vendre les systèmes, la Saudi Aramco, opérant sous l’inspiration du Prince Bandar ben Sultan ben Abd al-Aziz Al Saoud, ambassadeur à Washington et de l’homme d’affaires libanais, artisan des accords de Taëf, Rafic Hariri, faisait en sorte de blanchir en partie les comptes provenant de leur vente par des livraisons de pétrole couvrant les parts des plus hauts responsables.

Ainsi, l’Arabie Saoudite et le Koweït fournissaient du pétrole aux sociétés désignées par François Mitterrand (Total, Fina, Elf) de manière à couvrir les montants revenant aux plus hauts responsables français, comme aux sociétés désignées par George Bush (Tam Oil) pour couvrir les montants revenant aux américains.

Pour la France, Total-Fina-Elf renvoyait le prix de ce pétrole au directeur d’Elf Aquitaine International, Alfred Sirven, qui le déposait sur des comptes collectifs dans tous les paradis fiscaux du monde et particulièrement en Asie du Sud-Est.

A cette époque, comme le raconte Naggy Bressot, l’épouse aujourd’hui séparée de l’ambassadeur Jean Bressot, alors en poste au Koweït, les ministres du second gouvernement Rocard, Pierre Joxe (Défense), Roland Dumas (Affaires étrangères) et les autres, avaient coutume de se réunir à son domicile parisien, 7 rue de Javel dans le 15ème, pour discuter des suites de leur escroquerie.

Le 13 mai 1991, deux jours avant qu’il ne présente à Mitterrand sa démission, le Premier Ministre, Michel Rocard, signe le décret complémentaire relatif à l’organisation de l’INPI n° 91-432, légalisant la délégation à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), qui s’était prêté au pillage des brevets Ferrayé, des compétences de surveillance et de contrôle dévolues au ministre de l’Industrie.

Désormais, le directeur général de l’INPI, comme l’affirme le décret : "peut recevoir délégation de signature du ministre chargé de la propriété industrielle pour exercer les compétences dévolues à celui-ci dans le domaine de la propriété industrielle et des droits annexes à la propriété industrielle".

Ainsi dissociait-on le pillage des brevets de leur exploitation illégale à travers l’Institut Français du Pétrole (IFP) et la compagnie Elf, en préparant à Dominique Strauss-Kahn, par son indépendance de façade à l’égard de l’INPI, des conditions optimales pour succéder au Ministre de l’Industrie Roger Fauroux et poursuivre avec une pleine maîtrise les opérations frauduleuses.
Enfin, par le remaniement du gouvernement, Mitterrand croyait tourner la page sur l’abject complot qu’il avait ourdi et les multiples violations légales dont il s’était rendu coupable.

A la demande du Doyen de la Faculté des Sciences de Nice, Guy Turcot, qu’il a contacté le 22 mai, dans l’espoir de faire appliquer ses systèmes au Koweït par l’intermédiaire du Gouvernement français, Joseph Ferrayé se met en contact avec l’escroc Etienne Tillié, lequel se fait passer pour un chercheur, et l’expert-comptable, Christian Basano.

Celui-ci, comprenant la nécessité de soudoyer des membres du Gouvernement ayant autorité sur Strauss-Kahn, pour lui retirer la mainmise déjà solide qu’il a sur la gestion du complot, prend, le 4 juin, l’avion pour Paris, pour s’y rencontrer avec Aurélien Garcia, chargé de mission du Premier Ministre, Edith Cresson à qui, sans en avoir avisé Ferrayé, qu’il ne connaissait en personne que depuis la veille, il propose, par l’intermédiaire de Garcia, 500.000 francs français sur chaque puits traité par les systèmes Ferrayé, en échange de sa coopération et de l’éviction de Strauss-Kahn.

Profitant de l’aubaine, Edith Cresson adresse, dès le lendemain, une lettre en trompe-l’œil à Jean-Michel Baroche, dans laquelle elle feint de lui faire croire que la nouvelle technologie inventée par Joseph Ferrayé est prête à passer sous le contrôle exclusif de la Sofremi dépendante du Ministère de l’Intérieur, dans l’intention de rappeler à tous, et surtout à Strauss-Kahn, la priorité de ses propres droits sur les revenus de l’escroquerie.

Message auquel ne manque pas de réagir aussitôt le ministre de l’Industrie qui lui promet une commission équivalente à celle qu’offrait Basano mais prélevée sur les fonds occultes de la société Elf.

Cette contre-proposition permet à Cresson de jouer la surenchère et le 17 juin, Christian Basano confirme à Aurélien Garcia l’attribution au Premier Ministre d’un million de francs par puits, de sorte que les accords secrets avec le Koweït étant en passe de changer, cet Etat délègue à l’inventeur et ses nouveaux associés dans la société CONIRA (Compagnie Niçoise de Recherche Avancée), Etienne Tillié, Christian Basano et François Colonna, le général Mohammed Al Bader, en charge du Comité de sécurité de l’Etat du Koweït, qu’ils reçoivent officiellement avec Garcia, présent en qualité de représentant du Gouvernement, le 8 juillet 1991, au célèbre Hôtel Negresco à Nice.

Mais des divisions qu’ils surent adroitement susciter entre les ministres, les associés de Joseph Ferrayé n’avaient nulle intention de le faire profiter : aussi ne tardent-ils pas à se rallier à Strauss-Kahn, devenu le principal maître d’œuvre du complot, lorsque Mitterrand, comme l’a rapporté Naggy Bressot chez qui toutes les tractations mafieuses se déroulaient, parvient à réconcilier les deux camps du gouvernement.

Puisque le système d’extinction était depuis le 7 mai 1991 frauduleusement appliqué au Koweït par les quatre principales compagnies d’extinction des puits : Red Adair, Boots and Coots, Safety Boss et Wild Well Control, sous la direction logistique de Bechtel, dont l’ancien chef du FBI et de la CIA, William Webster, signait les contrats, et la haute main de l’administration Bush, avec qui le gouvernement français l’avait partagé (voir ici ce reportage du journal télévisé d’Antenne 2, daté du 7 mai précisément, où l’entreprise américaine Boots & Coots le met à l’essai avec succès dans le champ pétrolifère d’Al Ahmadi au Koweït), il ne restait plus qu’à détourner le système de blocage, en vue de quoi, Dominique Strauss-Kahn remit, le 26 juillet 1991, à François Colonna, l’un des perfides associés de l’inventeur, une lettre adressée au ministre koweïtien du pétrole, par où d’une part il attestait son rôle prépondérant dans la gestion du complot et de l’autre accréditait les négociateurs associés de Ferrayé comme ses loyaux acolytes.

Système de blocage
Système de blocage Ferrayé en application à Rumaylah en Irak sous la surveillance d'Aisa Bou Yabes, chef de l'équipe d'extinction de la Kuwait Oil Company - Photo: Peter Menzel, 1991.

Il ne fait aucun doute que les lettres du 5 juin 1991 d’Edith Cresson, Premier Ministre, à Jean-Michel Baroche et du 26 juillet 1991 de Dominique Strauss-Kahn, Ministre de l’Industrie et du Commerce Extérieur, à Hmoud Al Raqaba, Ministre koweïtien du Pétrole, constituent des preuves de leur implication consciente et résolue dans l’escroquerie.

Edith Cresson à Jean-Michel Baroche : "J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweït. Je souhaite vivement que la qualité de cette technologie, que la société du Ministère de l’Intérieur Français SOFREMI s’apprête à prendre sous sa responsabilité, vous permette de mener à bien vos négociations avec les autorités koweïtiennes".  (CM/EC/n° 897/GP , Châtellerault, le 5 juin 1991)

[N.B. Il faut avoir en tête que la Sofremi, qui sert ici d’épouvantail, était étroitement contrôlée comme l’Institut Français du Pétrole, par les politiques de droite au premier rang desquels Charles Pasqua, qui par l’intermédiaire de son homme de paille en Suisse, Patrick Chamarre, n’aura de cesse de blanchir les royalties astronomiques de Joseph Ferrayé.
Le complot qui a commencé avec les chiraquiens, comme on le verra se continuera sous leur constante surveillance.]

Dominique Strauss-Kahn à Hmoud Al Raqbah (Al Raqaba) : "J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays. Le gouvernement français est très sensible à cette intention. Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission".  (CAB. n° 7702 Paris, le 26 juillet 1991)

[N.B. HORWELL est une filiale de l’IFP (Institut Français du Pétrole), spécialisée dans le forage horizontal.

En 1991 la société obtient de la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) le Prix de l’Environnement pour la "remise en état de puits de pétrole en feu au Koweït" grâce à la technologie dérobée à Joseph Ferrayé.

Quelle ironie quand on pense d’ailleurs, que pour en cacher l’utilisation et le partage frauduleux avec d’autres puissances au mépris des intérêts de la France, où les brevets en étaient déposés, le Gouvernement français et l’Institut Français du Pétrole avaient exclu la possibilité, malgré le danger encouru par les soldats français stationnés au Koweït, d’une mission d’évaluation et de maîtrise du risque écologique et sanitaire inhérent à l’incendie des puits de pétrole, quoique celle-ci ressortît en propre aux attributions de l’IFP et fût tout à la fois d’un intérêt vital et national.

Auditionné le 22 novembre 2002 par des membres de la Commission de la défense nationale et des forces armées dans le cadre d’un rapport d’information sur les conditions d’engagement des militaires français dans la Guerre du Golfe, le Directeur de l’environnement à l’IFP, Alain Feugier n’avait ou su ou voulu, à la consternation déjà grande de ses intervieweurs, fournir d’éclaircissement significatif sur la question des puits incendiés au Koweït en 1991 et sur le rôle imparti à l’IFP à cette occasion, d’autant que le gouvernement français avait veillé à ce que le Koweït et ses champs pétrolifères en particulier fussent "hermétiquement fermés" pour reprendre les mots du député Aloyse Warhouver à toute mission publique d’intérêt général.]

Les comptes provenant du Koweït furent séquestrés au printemps 1995 au nom de Joseph Ferrayé, et ceux provenant de la vente des systèmes aux autres pays pétroliers en juillet 1995 au nom de la société Wildrose Investors Group, société désignée dans le mandat établi le 3 octobre 1995 par le notaire genevois auxiliaire des escrocs, Pierre Mottu, enregistrée au Panama et gérée par Jean-Marie Ghislain, dans le but prétendu de restituer tous ses droits à Joseph Ferrayé.

Suite au dernier séquestre, les gouvernements impliqués dans l’escroquerie s’entendirent pour verser à Joseph Ferrayé, au travers de conventions, ou cessions de droits, signées en l’Etude de Me Mottu les 16 et 23 novembre 1995, près de 17 milliards de dollars (une partie des royalties provenant de l’application de ses systèmes au Koweït) en l’escroquant du même coup, par ces mêmes accords que les notaires suisses à leur solde lui firent abusivement signer, des centaines de milliards provenant de la vente de ses systèmes aux autres pays pétroliers.

De même avaient-ils escroqué l’Irak en multipliant par 2.7, selon les propres aveux de Pierre Mottu et les révélations du Procureur de Genève Bernard Bertossa au banquier André Strebel, l’offre proposée par Joseph Ferrayé au Koweït pour l’application de ses systèmes (offre envoyée le 16 juin 1991 à Issam Al Sager), passant à plus de 80 millions de dollars par puits en feu au lieu de 30, devant être officiellement prélevés, par la United Nations Compensation Commission (UNCC), sur les ventes de pétrole de l’Irak, c’est-à-dire aux dépens du peuple irakien : 1.164 puits x 30 millions = 34.920 milliards x 2.7 = 94.284 milliards de dollars.

Une plainte fut alors déposée en Suisse par Joseph Ferrayé le 29 janvier 1996, suite à laquelle la Kuwait Oil Company, à l’instigation du procureur Bertossa, du notaire de Genève Pierre Mottu et des avocats Marc Bonnant et Dominique Warluzel (tous deux décorés de la légion d’honneur, par Jacques Chirac, pour services rendus au Crime Organisé) réduisit à 610 millions de dollars (Cf. Rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU, S/AC.26/1996/5 du 18 décembre 1996, par le Comité de Commissaires chargé d’examiner la demande  d’indemnisation de la Kuwait Oil Company des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits : Résumé du rapport en anglais, Rapport complet en anglais, Résumé du rapport en français), correspondant soi-disant aux montants versés aux sociétés de services (Red Adair, Wild Well Control, Safety Boss, Boots & Coots, Horwell, etc.), sa demande d’indemnisation pour les frais engagés dans la remise en état des puits de pétrole du Koweït – que le Prof. Tahir Husain, de la King Fahd University of Petroleum and Minerals de Dhahran en Arabie Saoudite, estimait en 1995, pour les seuls efforts d’extinction, à 1,5 milliard de dollars (Kuwaiti Oil Fires : Regional Environmental Perspectives, Pergamon Oxford, 1995, p. 68.) –, en reportant la différence, avec la complicité active de l’UNCC, qui prétendit à faux dans le rapport précité que la Kuwait Oil Company avait réclamé en 1993 un dédommagement de 951 millions de dollars, sur des réclamations fictives à l’Irak, du reste éloquemment documentées par les soins, ô combien louables, de l’ancien Chef adjoint de la Bibliothèque de l’ONU à Genève, aujourd’hui décédé, Theodore Dimitrov.

La surfacturation au départ imaginée par l’ancien associé de Joseph Ferrayé, Etienne Tillié, passé au service des escrocs, fut découverte par Daniel Levavasseur, le détective et ancien agent de la DST que Ferrayé avait mandaté pour récupérer son dû et qui bénéficiant de l’aide du cabinet d’investigation Kroll Associates, avait retracé quelques 100 milliards de dollars de comptes bancaires provenant du détournement des royalties de son mandant, selon sa déposition officielle du 24 novembre 1999 à la juge d’instruction et présidente du Collège des juges de Genève, Christine Junod, confirmée d’ailleurs par les déclarations d’un des principaux escrocs de l’affaire, le notaire de Genève, actuel patron du groupe Rolex, Pierre Mottu, dans sa déposition à la Brigade financière de Genève, le 6 février 1996.
Joseph Ferrayé, quant à lui, ne vit jamais la couleur d’un centime.

Puis, en octobre 1999, sans qu’il la connût auparavant, quoiqu’elle fût en liaison permanente avec Daniel Levavasseur, il reçut un coup de téléphone de la commissaire des Renseignements Généraux, Brigitte Henri : de sa voix grave, celle-ci l’avertit qu’elle avait reçu instruction de tous les hauts responsables de l’Etat et du Président Chirac en particulier, de lui proposer 800 millions de dollars, sans imposition, pour qu’il retire sa plainte générale déposée le 29 janvier 1996 contre les commanditaires et les exécuteurs du complot. Joseph Ferrayé, auquel les conventions signées précédemment donnaient droit au moins à 17 milliards de dollars, et qui répugnait à se laisser acheter par une organisation criminelle, rejeta son offre.

En février 2003, soit un mois avant son audition par Christine Junod, à qui Levavasseur avait en 1999 remis des documents bancaires concernant 24 milliards de dollars provenant de l’utilisation frauduleuse des systèmes Ferrayé au Koweït, cet enquêteur était assassiné dans le Var, près de Saint-Raphaël et son assassinat, probablement dû aux services secrets français, maquillé en accident de varappe.
Christine Junod, bien qu’elle eût attesté devant témoins, que les documents de Levavasseur étaient en sa possession (Cf. déclaration de l’avocat André Clerc), s’empressa de les faire disparaître.

Les investigations menées jusqu’à présent ont déjà permis d’identifier 14.000 sociétés de blanchiment d’argent, parmi lesquelles les réseaux financiers de la BCCI et la financière suisse SBA, contrôlées par Khaled ben Mahfouz.

Pour conclure, cette escroquerie a permis à ses auteurs de faire main basse sur l’économie mondiale en extorquant avec la complicité active de l’ONU plus de 100 milliards de dollars au peuple irakien, en outre de plusieurs centaines de milliards aux contribuables de tous les pays pétroliers.
Le total se monte à environ 360 milliards de dollars !!!
Enfin, si l’on en croit les révélations de l’homme d’affaires américain, Tullio Ponzi à Joseph Ferrayé, elle ne serait pas non plus étrangère à la décision prise par l’administration américaine d’envahir l’Irak en 2003, comme la preuve lui en fut donnée, lorsque cet affidé de William Webster, pour se crédibiliser, l’avertit, plus de deux mois avant, de la date secrètement fixée pour l’entrée en guerre officielle des Etats-Unis en Irak, à savoir le 19 mars 2003.

De tous ces crimes, association de malfaiteurs, escroquerie, corruption, falsification de documents, abus de pouvoir, homicides, jusqu’à l’impardonnable extorsion des ressources vitales de l’Irak, et jusqu’au financement du terrorisme islamiste, la preuve est faite que les responsables politiques français de gauche et de droite sont pleinement coupables et doivent en conséquence subir la juste sanction.

POUR EN SAVOIR PLUS, vous trouverez à votre disposition sur la page internet : www.googleswiss.com/fr/geneve/f/index.html des centaines de documents officiels propres à donner à ceux qui le souhaitent les moyens de combattre les criminels qui nous gouvernent !
http://www.realfile.net/0041ch-mb3c/


http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=395&cat=ataraxie





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El caso de José Ferraye ...

Francia / Kuwait: Una estafa de 360 ​​mil millones de dólares!

La raíz de todos los males es el amor al dinero


José Ferraye es el inventor de los sistemas de extinción de incendios y la congestión que han dominado en tres meses en lugar de seis a ocho años de los 1.164 pozos en 1991, las municiones en Kuwait.

Revolucionando más de 15.000 veces cada métodos convencionales, los sistemas de Ferraye fueron declarados estratégicos y vendidos ilegalmente a todos los países productores de petróleo bajo la cobertura de la empresa Elf, en nombre del gobierno de François Mitterrand y altos funcionarios franceses de izquierda y derecha, ya través de la Aramco EEUU-Arabia Saudita, patrocinado por la administración Bush y Halliburton Company.

...........................................

Aprovechando la bonanza, Edith Cresson abordar al día siguiente, una carta de trompe l'oeil de Jean-Michel Baroche, en la que pretende hacerle creer que la nueva tecnología inventada por José Ferraye está listo para pasar por debajo del el control exclusivo de Sofremi, dependiente del Ministerio del Interior, con la intención de recordar a todo el mundo, y especialmente Strauss-Kahn, la prioridad de sus propios derechos sobre los ingresos del fraude.

...........................................

No hay duda de que las cartas de 05 de junio 1991 Edith Cresson, el primer ministro, Jean-Michel Baroche y 26 de julio de 1991 por Dominique Strauss-Kahn, ministro de Industria y Comercio Exterior, en Al Hmoud Raqaba , ministro de Petróleo kuwaití, son pruebas de su participación en el fraude consciente y comprometida.

Edith Cresson a Jean-Michel Baroche: "He leído el archivo que la empresa SBA Châtellerault me dio acerca de la selección francesa que se han formado alrededor de Flandes el señor, bien conocido por nuestra Seguridad Civil para asistir a la supresión y el control de los pozos petroleros en Kuwait. espero sinceramente que la calidad de esta tecnología, la compañía francesa del Ministerio del Interior Sofremi se prepara para asumir la responsabilidad, le permite realizar a cabo sus negociaciones con las autoridades de Kuwait ". (CM / CE / 897/GP No, Châtellerault, 5 de junio de 1991)

[N.B. Debemos tener en cuenta que la Sofremi, que sirve aquí como un espantapájaros, fue seguido de cerca como el Instituto Francés del Petróleo, por el derechista jefe político entre ellos, Charles Pasqua, quien a través de su hombre de paja Suiza, Patrick Chamarre, no dejará para el lavado de las regalías Astronómico José Ferraye.





« última modificación: Abril 27, 2012, 18:35:44 pm por CdE »
Joan Queralt: "Me gustaría conocer la cantidad de empresas españolas de los últimos 25 años relacionadas con el crimen organizado. Nos llevaríamos una sorpresa."

Dimitris Christoulas: “Algún día los jóvenes cogerán las armas y colgarán a los traidores”

Aire Mutable

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Re:Del Asesor de la Ex-Primera Ministra de Francia y la Pornografía de Menores
« Respuesta #2 en: Abril 28, 2012, 01:22:43 am »
Algo corto se te ha quedado el título. La relación de delitos que hace el artículo, entre los que señala, la producción y distribución de películas pornográficas, corrupción de menores, corrupción, violaciones, abortos, la corrupción, la violación de divisas (96.000 euros) y la detención y el uso de drogas; nos muestra una depravación total.

Valiente gentuza hay suelta por el mundo!
"Más de 900 millones de personas vive en una situación de extrema pobreza. Mientras, el crimen organizado mueve más de 3 billones de dólares al año, el doble del presupuesto militar del mundo, los sobornos absorben un billón de dólares anuales y el lavado de dinero hasta 6,5 billones" CdE

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hablando de ARAMCO


London-based oil executive linked to 9/11 hijackers
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Abdulaziz al-Hijji and his wife Anoud left three cars at their luxurious home in a gated community in Sarasota, Florida — one of them new — and flew to Saudi Arabia in August 2001. The refrigerator was full of food; furniture and clothing were left behind; and the swimming pool water was still circulating.
Security records of cars passing through a checkpoint at the Prestancia gated community indicated that Mr al-Hijji’s home, 4224 Escondito Circle, had been visited a number of times by Mohamed Atta, the leader of the
19-strong hijack team, who piloted American Airlines Flight 11 into the North Tower of the World Trade Centre in 2001.

The logs also indicated that Marwan Al-Shehhi, who crashed United Airlines Flight 175 into the South Tower, and Ziad Jarrah, who was at the controls of United Airlines Flight 93 when it crashed in a field in Pennsylvania, had visited the house.
All three men had trained to fly at Venice Airport, which is 19 miles from Sarasota.

A US counter-terrorist agent told The Daily Telegraph: “The registration numbers of vehicles that had passed through the Prestancia community’s north gate in the months before 9/11, coupled with the identification documents shown by incoming drivers on request, showed that Mohamed Atta and several of his fellow hijackers, and another Saudi suspect still at large, had visited 4224 Escondito Circle.”
The suspect was Adnan Shukrijumah, an al-Qaeda operative who is on the FBI’s Most Wanted list, with a $5 million bounty on his head.A decade after the world’s worst terrorist attack, which claimed the lives of 3,000 people, Mr al-Hijji is resident in London, working for the European subsidiary of Saudi Aramco, Saudi Arabia’s state oil company. Described as a career counsellor, he is based in the offices of Aramco Overseas Company UK Limited and lives in an expensive flat in central London.

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/september-11-attacks/9089896/London-based-oil-executive-linked-to-911-hijackers.html

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