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.... Y si la banka no cumple con su funcion....
CitarEl experto que votó en contra del informe de pensiones: “El Gobierno lo tenía todo organizado de antemano” Juan Bosco Martín Algarra 15/06/2013http://noticias.lainformacion.com/espana/el-experto-que-voto-en-contra-del-informe-de-pensiones-el-gobierno-lo-tenia-todo-organizado-de-antemano_So9sVd3XYjWxSkER51U4X4/____________Un saludo a todos y gracias por sus aportaciones.
El experto que votó en contra del informe de pensiones: “El Gobierno lo tenía todo organizado de antemano” Juan Bosco Martín Algarra 15/06/2013http://noticias.lainformacion.com/espana/el-experto-que-voto-en-contra-del-informe-de-pensiones-el-gobierno-lo-tenia-todo-organizado-de-antemano_So9sVd3XYjWxSkER51U4X4/
Hace unos días se publicó un informe de una Comisión llamada de Expertos, que fue nombrada por el gobierno del PP con el objetivo de hacer recomendaciones que, en teoría, pudieran garantizar la solvencia de las pensiones públicas en España. Esta Comisión estaba integrada en su mayoría por profesionales próximos a las Compañías de Seguros Privados y a la Banca (9 miembros de un total de 12), instituciones financieras que tienen un gran interés en privatizar las pensiones a base de reducir las pensiones públicas.http://www.vnavarro.org/?p=9077
Lo que está sucediendo es que nos están sometiendo a un proceso de *saqueo* CALCADO, a los procesos neoliberales que practicaron con latinoamérica con la excusa de la "crisis de la deuda" desde los 70, 80 y 90
¿Esto cuenta como defensa de los CEO y del empresauriado? CitarEl empresario no explota al trabajador[Monton de basura racionalizando la esclavitud y el servilismo]http://juanramonrallo.com/2013/05/el-empresario-no-explota-al-trabajador/Y si cuela cuela. Y si no, pues a dar másteres en universidades... públicas. Otro día enlazaré el master de escuela austríaca. Hay una asignatura de "Imposibilidad del socialismo" por parte de Huerta de Soto.
El empresario no explota al trabajador[Monton de basura racionalizando la esclavitud y el servilismo]
- Communiqué public GEAB N°76 (15 juin 2013) -GEAB N°76 est disponible ! Alerte second semestre 2013 – Crise systémique globale II : seconde déflagration dévastatrice / explosion sociale à l’échelle planétaireLe choc de 2008 a certes été violent, mais la réaction du système, des pays et des banques centrales, par leurs plans de sauvetage d’une ampleur sans précédent, a réussi à en camoufler les pires conséquences : déclassement de l’Occident en général et des États-Unis en particulier, assainissement forcé de l’économie, lourde chute d’un niveau de vie artificiel, chômage de masse, amorce de mouvements sociaux… ont pu être en partie négligés au profit d’espoirs de reprise entretenus par les politiques irresponsables de déversement de liquidités sur les systèmes bancaires et boursiers. Malheureusement, pendant que la planète se dopait, les problèmes globaux n’étaient pas abordés… cinq ans de perdus : la solidité de l’édifice est encore plus faible qu’avant la crise ; la « solution » US orchestrée par la Fed, que tout le monde a laissé faire pour prendre le temps de panser ses propres plaies, a consisté à éteindre avec de l’essence l’incendie qu’ils avaient eux-mêmes allumé. Rien d’étonnant alors que ce soit encore eux, pilier du monde-d’avant refusant de rentrer dans le rang, avec leurs fidèles flotteurs japonais et britannique, qui enflamment à nouveau la situation mondiale. Et cette fois, il ne faudra pas compter sur les pays en faillite pour sauver la situation : ils sont à genoux suite au premier choc de 2008. C’est donc pratiquement une seconde crise mondiale qui s’annonce, provoquée une nouvelle fois par les États-Unis. Cette période de cinq ans n’aura finalement consisté qu’à reculer pour sauter de beaucoup plus haut, ce que nous avions nommé « la crise au carré ».Plan de l'article complet :1. Une situation désormais hors de contrôle2. Une seconde crise US3. Les impacts du second choc4. Stratégies des différents acteurs5. Faillites des institutions internationales6. Recommandations urgentesNous présentons dans ce communiqué public les parties 1 et 2.Une situation désormais hors de contrôleLes illusions qui aveuglaient encore les derniers optimistes sont en train de se dissiper. Nous avons déjà dressé le sombre bilan de l’économie mondiale dans les GEAB précédents. La situation a encore empiré depuis. L’économie chinoise confirme son ralentissement (1) ainsi que l’Australie (2), les monnaies des pays émergents dévissent (3), les taux des obligations remontent, les salaires britanniques continuent de baisser (4), des émeutes touchent la Turquie et même la tranquille Suède (5), la zone euro est toujours en récession (6), les nouvelles qui parviennent à filtrer depuis les États-Unis ne sont pas plus réjouissantes (7)…La fébrilité est maintenant clairement palpable sur tous les marchés financiers où la question n’est plus de savoir quel va être le prochain record mais de réussir à se dégager assez tôt avant la débandade. Le Nikkei a baissé de plus de 20% en trois semaines et a connu sur cette période 3 séances de pertes supérieures à 5%. La contagion atteint donc désormais les indicateurs « standard » comme les bourses, les taux d’intérêt, le taux de change des monnaies… derniers bastions encore contrôlés par les banques centrales, et donc jusqu’à présent totalement faussés, comme notre équipe l’a expliqué à maintes reprises.Évolution du cours de l’indice Nikkei 225, 02/11/2012-13/06/2013. La hausse vertigineuse est due au plan de la BoJ, la chute vertigineuse aux incertitudes actuelles. Source : Les Échos.Au Japon, cette situation est la conséquence du programme, délirant par son ampleur, d’assouplissement quantitatif entrepris par la banque centrale. La baisse du yen a provoqué une forte inflation sur les produits importés (notamment le pétrole). Les énormes mouvements de la bourse et de la monnaie japonaises déstabilisent toute la finance mondiale. Mais la mise en place du programme de la Banque du Japon est si récente que ses conséquences sont encore bien moins marquées que celles du quantitative easing de la Fed. C’est principalement lui qui est responsable de toutes les bulles actuelles : immobilier aux États-Unis (, records des bourses, bulle et déstabilisation des émergents (9), etc. C’est aussi grâce à lui, ou plutôt à cause de lui, que l’économie virtuelle est repartie de plus belle et que l’apurement nécessaire n’a pas eu lieu. Les mêmes méthodes produisant les mêmes effets (10), une virtualisation accrue de l’économie nous amène à une seconde crise en 5 ans, dont les États-Unis sont donc à nouveau responsables. Les banques centrales ne pouvaient tenir indéfiniment l’économie mondiale, elles en perdent actuellement le contrôle.Une seconde crise USSi les mois d’avril-mai, à grand renfort de matraquage médiatique, ont semblé donner raison à la méthode US-UK-Japon d’assouplissement monétaire (un bel euphémisme) contre la méthode eurolandaise d’austérité raisonnée, depuis quelques semaines les chantres du tout-finance ont un peu plus de difficulté à clamer victoire. Le FMI, terrifié par les répercussions mondiales du ralentissement économique européen, ne sait plus quoi inventer pour obliger les Européens à continuer à dépenser et à refaire exploser les déficits : même à vide, la boutique-Monde doit continuer de donner l’impression de tourner et l’Europe ne joue pas le jeu.Mais les effets toxiques des opérations des banques centrales au Japon, aux États-Unis et au Royaume-Uni démolissent désormais l’argumentation (ou plutôt la propagande) vantant le succès de l’ « autre méthode », supposée permettre la reprise japonaise, américaine et britannique (cette dernière n’a d’ailleurs même jamais pu être évoquée).La seconde crise en développement actuellement aurait pu être évitée si le monde avait acté le fait que les États-Unis, structurellement incapables de se réformer eux-mêmes, ne pouvaient mettre en place d’autres méthodes que celles qui avaient conduit à la crise de 2008. Comme les banques « too big to fail» irresponsables, les pays « systémiques » irresponsables auraient dû être mis sous tutelle dès 2009, comme suggéré dès le GEAB n°28 (octobre 2008). Malheureusement, les institutions de la gouvernance mondiale se sont révélées complètement inopérantes et impuissantes dans la gestion de la crise. Seules les logiques régionales ont pu se mettre en place ; les enceintes internationales ne produisant rien, chacun s’est mis à régler ses problèmes dans son coin.L’autre réforme primordiale préconisée (11) dès 2009 par l’équipe de LEAP/E2020 portait sur la remise à plat complète du système monétaire international. En 40 ans de déséquilibres commerciaux américains et de variations brutales de son cours, le dollar comme pilier du système monétaire international a été la courroie de transmission de tous les rhumes des États-Unis au reste du monde, et ce pilier déstabilisant est maintenant le cœur du problème mondial car les États-Unis ne souffrent plus d’un rhume mais de la peste bubonique. Faute d’avoir réformé le système monétaire international en 2009, une seconde crise arrive. Avec celle-ci s’ouvre une nouvelle fenêtre d’opportunité pour la réforme du système monétaire international au G20 de septembre (12) et on en vient presque à espérer que le choc intervienne d’ici-là pour forcer un accord à ce sujet, sinon le sommet risque d’arriver trop tôt pour emporter l’adhésion de tous.----------Notes :(1) Source : The New York Times, 08/06/2013.(2) Source : The Sydney Morning Herald, 05/06/2013. Lire aussi Mish’s Global Economic, 10/06/2013.(3) Source : CNBC, 12/06/2013.(4) Source : The Guardian, 12/06/2013.(5) Lire Sweden’s riots, a blazing surprise, The Economist, 01/06/2013.(6) Source : BBC News, 06/06/2013.(7) Lire Economic dominos falling one by one, MarketWatch, 12/06/2013.( Une bulle dans les conditions économiques actuelles ; en temps normal ce serait considéré comme un frémissement. Lire par exemple Market Oracle, 10/06/2013.(9) Sur les conséquences des QE mondiaux en Inde : Reuters, 13/06/2013.(10) Le retour des produits financiers à l’origine de la crise de 2008 n’est pas anodin. Source : Le Monde, 11/06/2013.(11) Cf. GEAB n°29, novembre 2008.(12) Source : Ria Novotsi, 14/06/2013.Samedi 15 Juin 2013Marie-Helene CaillolLu 895 foisDans la même rubrique :27 avril 2013 : Démarrage de la 4° session de formation en ligne à l'anticipation politique - 04/04/2013 MAP8 est disponible! Vers la conclusion des accords type “Schengen” entre Euro-BRICS, par Harald Greib - 29/03/2013 L'insoutenable légèreté des QE de l'été 2012 – les banques centrales américaine, britannique et japonaise hors-jeu (Extrait) - 01/02/2013 15/01/2013 - Conseil aux dirigeants Euro-BRICS : Organiser un mini-Sommet Euro-BRICS en amont du G20 de St Petersbourg pour formuler les positions stratégiques communes de sortie de crise et faire entrer la gouvernance mondiale dans le XXI° siècle - 23/01/2013 19 janvier 2013: Ne manquez pas le prochain cycle de formation à l'Anticipation Politique! - 29/11/2012 La Méthode d'Anticipation Politique© : Formation en ligne – 10 semaines - 11/07/2012 Le livre "2015 - La grande chute de l'immobilier occidental" par Sylvain Perifel et Philippe Schneider est disponible ! - 19/04/2012 Conseils aux leaders du G20 : Les trois priorités stratégiques du G20 en 2012/2014 pour éviter une « décennie tragique » - 10/10/2011 Pour 220 euros, accédez à 6 ans d'archives GEAB ! - 14/09/2011 Info-Trafic - Le site LEAP/E2020 est devenu le principal site sur la crise globale bénéficiant d'une audience mondiale - 21/08/2011
¿Esto cuenta como defensa de los CEO y del empresauriado? CitarMarx, por consiguiente, entendió el proceso social del capitalismo justo al revés: no se extraía el valor del proletario al capitalista sino, más bien, del capitalista al proletario. http://juanramonrallo.com/2013/05/el-empresario-no-explota-al-trabajador/Y si cuela cuela. Y si no, pues a dar másteres en universidades... públicas. Otro día enlazaré el master de escuela austríaca. Hay una asignatura de "Imposibilidad del socialismo" por parte de Huerta de Soto.
Marx, por consiguiente, entendió el proceso social del capitalismo justo al revés: no se extraía el valor del proletario al capitalista sino, más bien, del capitalista al proletario.
Está Anguita en la Sexta.Se puede estar más o menos de acuerdo con él, pero se está desconojando de las preguntas que le hacen
El GEAB tiene 6 partes. Nos presentan dos, espectaculares, y nos dejan ver los títulos de los otros cuatro, el último, El diluvio. ¿que hacer urgentemente? Marketing indisimulado.Cambia los apuntes... lo gordo que iba a pasar de abril a junio... pasa al segundo semestre. Todos sabemos que el timing es lo más difícil.