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SEGUNDA PARTE DEL SONDEO DE METROSCOPIALos madrileños desean los JuegosEl sondeo de Metroscopia revela que el 76% apoya la candidatura olímpicaLos votantes de todos los partidos creen que Madrid 2020 será beneficiosohttp://ccaa.elpais.com/ccaa/2013/05/15/madrid/1368644969_199088.html
Malgré une sensation de calme relatif relayée à la fois par les médias et par des marchés financiers américains et japonais volant de records en records, l’économie mondiale ralentit sérieusement et une récession généralisée se profile. Les différents acteurs en ont pleinement conscience et, face aux enjeux d’une rechute imminente, les pays ou régions mettent en place diverses stratégies pour tenter d’en minimiser les conséquences. Quand certaines semblent dictées par le désespoir ou les solutions de la dernière chance, d’autres au contraire témoignent d’une réelle adaptation aux transformations actuelles du monde. Et sans surprise, dans la première catégorie nous retrouverons les « puissances du monde d’avant » qui n’ont plus de réelles options. Plan de l'article complet : 1. Récession mondiale en vue 2. Le commerce douteux des banques 3. Paradis ou enfers fiscaux 4. Néoprotectionnisme entre blocs régionaux 5. La stratégie en or des émergents 6. Dernière cartouches de la Fed 7. Euroland : Gouvernements d'union nationale et BCE à a rescousse 8. Risques à la hauteur des stratégies Nous présentons dans ce communiqué public les chapitres 1, 2 et 5.Récession mondiale en vuePlusieurs signaux montrent en effet qu’un retournement de conjoncture est imminent. À vrai dire le terme « retournement » n’est pas très adapté puisque l’économie réelle ne s’est jamais vraiment remise du choc de 2008 : c’est donc plutôt à une aggravation que nous allons assister. Les indices pour cela ne manquent pas. L’Europe est déjà en récession. Les exportations de la Chine, souvent considérée comme « l’atelier du monde », sont en forte baisse (figure ci-dessous) et ses indicateurs se contractent ou ralentissent dangereusement (1) avec en outre une importante bulle du crédit (2).Exportations chinoises vers différents pays. Rouge : contraction sur un an, vert : expansion. Source : BloombergL’Australie, bon indicateur de la santé de l’économie mondiale par son exposition aux matières premières, s’essouffle (3). Les consommateurs eux aussi marquent le pas. Les ventes en gros (4) ou en détail aux États-Unis sont en baisse.Ventes au détail aux États-Unis. Orange : ventes d’habits, gris : marchandise générale. Source : BloombergLa plupart des indicateurs américains virent au rouge, comme par exemple l’indice Chicago PMI (5), de même que l’indicateur mondial de Goldman Sachs (figure ci-dessous). En deux mots, une récession mondiale est en vue (6). Pour se prémunir de son impact, les différents acteurs, à commencer par les banques, usent de différentes stratégies que nous allons analyser.Le douteux commerce des banquesIl va sans dire que le milieu financier n’est guère un modèle de transparence. Mais entre JPMorgan ou Bank of America qui ont « miraculeusement » réussi à n’avoir aucun jour de perte dans leur activité de trading au premier trimestre (7), ou encore les réserves d’or de JPMorgan qui se sont mystérieusement vidées ( alors que par une drôle de coïncidence on a assisté à un krach sur le cours de l’or mi-avril, sans compter les diverses manipulations auxquelles se prêtent les banques au premier rang desquelles encore JPMorgan (9) et bien d’autres (10), ces opérations louches passent de moins en moins inaperçues.Indicateur de l’économie mondiale de Goldman Sachs - Global Leading Indicator (GLI), croissance et accélération. Source : Goldman SachsNéanmoins, toutes les banques savent qu’une nouvelle tempête se profile et usent des moyens à leur disposition (plus ou moins légaux) pour se mettre à l’abri, et tous les coups sont permis, y compris entre les établissements eux-mêmes. C’est à cette aune qu’il faut lire les bilans mirifiques des différentes banques au premier trimestre permettant d’attirer les investisseurs ou tout au moins de repousser la débâcle, ou le minikrach du cours de l’or mi-avril vraisemblablement causé par un ou plusieurs de ces établissements financiers.Ces âpres batailles en pleine tourmente économique laisseront des traces et les banques les plus faibles ou les plus touchées ne sortiront pas indemnes de la tempête. D’autant que les centres financiers font maintenant face à un nouvel adversaire, les États.La stratégie en or des émergentsQuand certains pays doivent protéger leur économie pour survivre, aller chercher des recettes fiscales dans les paradis fiscaux, et en même temps laisser paradoxalement leurs banques utiliser des méthodes peu orthodoxes pour éviter la faillite, d’autres ont choisi de miser sur l’or. Alors que l’or-papier a connu un krach effrayant mi-avril, la demande pour l’or physique n’a jamais été aussi grande, ce qui confirme le découplage complet entre le marché de l’or papier et celui de l’or physique. Qu’arrive-t-il lorsque tout le monde s’aperçoit que les papiers de possession d’or n’ont aucune contrepartie physique ? Lorsque le contrat de propriété d’un lingot ne peut être honoré ? Le papier en question n’a plus de valeur. Il faut donc s’attendre à d’autres mouvements violents sur le cours de l’or papier. C’est pourquoi certains courtiers n’autorisent plus aucun levier pour les positions sur l’or papier (11). Ce découplage montre également que de gros problèmes sont à venir car la confiance est maintenant ébranlée. Néanmoins, l’or physique a pour sa part de beaux jours devant lui. La Chine l’a bien compris et achète de l’or en masse (12).Importations d’or par la Chine via Hong-Kong, 2012 et 2013 (en tonnes). Source : HK census and statistics departmentCette forte demande n’est pas anodine : elle révèle d’une part la stratégie de sortie du dollar de la Chine, d’autre part la volonté du pays de se protéger d’un choc à venir, et enfin l’anticipation que la possession d’or doit accompagner l’internationalisation du yuan. En effet, la possession d’or permet de crédibiliser le yuan au plan international, sans parler de l’hypothèse où l’or ferait partie intégrante d’un nouveau système monétaire international. Car c’est la stratégie des BRICS : construire petit à petit un système mondial où ils seraient plus représentés, notamment en se passant du dollar et en utilisant leurs propres monnaies pour le commerce. Et par étapes, ce mouvement qui peut paraître lent mais qui en réalité est extrêmement rapide à l’échelle des changements à réaliser, permet de déplacer le centre de gravité mondial, et les émergents deviennent de plus en plus incontournables dans la marche du monde. C’est l’essence même de la « crise systémique globale » décrite et anticipée étape après étape par le GEAB depuis 7 ans. Évidemment, ce mouvement n’est possible qu’avec son corollaire : la perte d’influence de l’occident et en particulier des États-Unis.
Cualquier ideología puede servir en un momento dado para justificar alguna barbaridad, pero es evidente que algunas son más propensas a convertirse en pienso para locos homicidas que otras. No tiene sentido equiparar anarquismo y nazismo en sentido teórico, es infumable. En cuanto a la sexualidad de las jovencitas ( la de los jovencitos no preocupa tanto, supongo que debido a la asunción de su inevitabilidad; como si sólo el deseo femenino fuese contenible y controlable) también creo que se han confundido varias cosas durante las últimas páginas. Principalmente al destacar su faceta negativa, el riesgo que entraña la promiscuidad, las ETS o la exposición a situaciones de peligro. Incluso su instrumentalización por el marketing. Pocas cosas en esta vida presentan riesgo 0. Conducir, tomar el transporte público o consumir alimentos de cualquier tipo son actividades esenciales y en cierto modo "peligrosas"pero que vienen acompañadas de su libreto de instrucciones. El problema con la sexualidad es parecido al que tiene la droga: al ser tabú se restringe la información (y la formación) de primera mano, honesta y cualificada. Los agujeros se rellenan con teorías populares y lo que ofrezca la producción cultural masiva (tv). Al final tenemos no analfabetos sino iletrados sexuales de la misma forma que tenemos conductores temerarios o consumidores idiotas.
Miss Marple también señala el Deudalismo y el Timo del Tocomocho que yo mismo y otros llevamos denunciando años: CitarEl timo del tocomocho http://traslaburbuja.wordpress.com/2013/05/15/el-timo-del-tocomocho/
El timo del tocomocho http://traslaburbuja.wordpress.com/2013/05/15/el-timo-del-tocomocho/
Yo de verdad debo haber tenido una suerte increíble. En mi entorno de confianza nadie ha especulado, sólo un par se han empufado erróneamente, nadie ha vivido por encima de sus posibilidades, nadie se ha casado a lo imbécil ni mucho menos parido...La España que pintan a mí me resulta alienígena. Supongo que debe de ser real porque si no es imposible explicar las estadísticas del paro, pero...
Impresionante el Singulars de ayer con un pidiorista de El Pais, se gana 4 rotos.
Cita de: Pagador de Fuckturas en Mayo 16, 2013, 11:22:56 amSe van a presentar al grito de "No vamos a pagar las hipos!" Menuda escoria se han juntado...y lo peor es que pueden sacar un monton de votos. Esto empieza a dar miedoYa lo comenté una vez, y lo vuelvo a repetir para que el que quiera vaya tomando nota de lo que viene.Tal como es la sociedad española a día de hoy, y las circunstancias a las que se ve abocada, la reacción natural se llama PE-RO-NIS-MO...Bienvenidos a la Argentina de Europa! Ahora, sólo queda cruzar los dedos para que no recuperemos el control de la emisión de moneda (i.e. salida del euro), porque si no, amigos, 2 + 2 = 4 y ya saben lo que viene después...
Se van a presentar al grito de "No vamos a pagar las hipos!" Menuda escoria se han juntado...y lo peor es que pueden sacar un monton de votos. Esto empieza a dar miedo
Hauser's Law at Work in Spain In 2012, after Spain's government had run up an extraordinary budget deficit in the previous year, the newly elected government of Spain's new prime minister, Mariano Rajoy, committed to both increase the government's revenue and to decrease its spending to put the Spain on a more sound financial footing. Those changes had been demanded by the European Central Bank as a requirement for its continuing to lend money to bail out Spain's fiscally distressed government, which had been put at risk by its bailout of that nation's banks following the collapse of the Spanish housing bubble. To help put Spain's fiscal situation going into 2012 into context, we're presenting an updated version of the chart we first featured nearly a year ago when we first examined how Spain arrived at that state. The chart shows the relationship between Spain's GDP per capita and its annual government tax collections and expenditures per capita for each year from 2000 through 2011: Today, we're going to focus on the revenue side of what happened in Spain in 2012, using data just published within the past month. Starting with Spain's 2012 GDP per capita of $29,288.70 (in terms of U.S. dollars), let's first see how much the Spanish government could have hoped to collect in revenue for that level of GDP if they had kept the same tax rates as Spain had from 2000 through 2011.If you're reading this article on a site that republishes our RSS news feed, please click here to access a working version of this tool. Using our tool with Spain's data, we find that if Spain made no changes in its tax rates, the Spanish government could have expected to collect the equivalent of $10,556.48 USD per capita, given its actual 2012 GDP per capita figure. We'll revisit this estimate, based upon Spain's non-economic bubble-related government revenue figures from 2000 to 2003 and 2009 through 2011, shortly.... Now, let's consider just what Spain did with its tax rates in 2012. The Wall Street Journal's Real Time Brussels blog reports: Soon after it took office, the new government of Prime Minister Mariano Rajoy raised income taxes to curb a swelling budget deficit. We have written before that the by-now conventional wisdom, supported by the International Monetary Fund and others, is that cutting government spending is a more effective way to squeeze budget deficits than raising taxes. Mr. Rajoy's right-leaning government nonetheless chose to raise taxes "temporarily," apparently because it was viewed as socially more equitable than the alternatives. The tax increases, write Spanish economists Juan Ramón Rallo, Ángel Martín Oro and Adrià Pérez Martí in a paper published today for the free-market Cato Institute, have left Spaniards paying among the highest income tax rates in Europe. Our second chart shows how Spain's individual income tax rates changed from 2011 to 2012, which should result in increasing the nation's tax collections by anywhere from 3.0% to 13.5%, depending upon income bracket, where high income earners face much more dramatic tax hikes: In addition, Spain also increased its tax rates on investment income from 19% to 21% (for investment income under 6,000 Euros), and from 21% to either 25% or 27%, with the higher rate applying on investment income greater than 24,000 Euros). These taxes should have increased the Spanish government's revenue from taxes on investment income by anywhere from 9.5% to 22.2%. Later in 2012, Spain also implemented a surprise rate hike in its value-added tax, from 18% to 21%, which would be sufficient increase the government's take from this source of revenue by 16.7%. So the range of increases in the government's revenue from these various taxes runs from 3.0% to 22.2%, with the actual net increase in the government's tax collections then depending largely upon the distribution of income in Spain. As you can see from the very progressive nature of most of these tax hikes, the government of Mariano Rajoy went very much out of its way to impose higher taxes on high income earning individuals as part of the "tax the rich" portion of its deficit reduction strategy. And in fact, the Rajoy government predicted that it would collect 4.3% more revenue than the Spanish government collected in 2011. That 4.3% increase over its 2011 collections would have given Spain an expected tax revenue of $11,943.94 USD per capita for 2012.Our final chart reveals how 2012 actually played out for those expectations: In 2012, Spain's government revenue per capita was actually $10,661.09 USD. Only $104.61 more per person than our estimate of what would be reasonably expected if Spain had not hiked its taxes at all given how Spain's economy performed during the year. Given the magnitude of the tax hikes that Spain targeted to most affect the country's highest income earners, what this outcome demonstrates is Hauser's Law at work in Spain. Once a government has maximized its revenue collecting capability, it is unable to change how much it collects by imposing higher and higher tax rates on its highest income earning citizens, who generally respond to the increased tax burden placed upon them by no longer generating the same economic activity they did when they were subject to lower tax rates. That has major consequences, as these individuals are the most capable of generating the kind of economic activity that grows a nation's GDP. Without any ability to affect the European Union's monetary policy to offset the negative effects of Spain's contractionary fiscal policy, Spain paid a very large price to learn that lesson the hard way, as the country became a highly undesirable place to invest time, effort or money for its most productive residents and businesses. Consequently, Spain's economy has crashed to the point where it might reasonably be considered to be in a full economic depression in 2012, which is where it still stands today. All in all, a pretty clear example of austerity done wrong.[/l]
Impresionante el Singulars de ayer con un pidiorista de El Pais, se gana 4 rotos. -No pasa nada por suspender pagos, es algo muy normal-Estamos atrapados en el Euro-El problema no es la burbuja inmobiliaria, sino la deuda.-Lo que hay es mucho ni-ni que vive con los padres y que no tienen ningun futuro. De los preparaos, la Merkel se esta quedando con nuestros ingenieros.-Que las pensiones no esten referenciadas al IPC es "diabolico".-El unico sector capaz de crear empleo es la construccion. El I+D no es una solucion.Y mas...http://www.tv3.cat/videos/4575053/Ramon-Munoz-Espanya-pais-low-cost
ÚLTIMA HORA: Prisión sin fianza para Miguel Blesa, expresidente de Caja Madrid, por riesgo de fuga.
Atentos a ésta proyección social de Jaron Lanier: CitarEl profeta de Silicon Valley: “Van a destruir a la clase media para hacerse ricos" * EL CAOS QUE SE AVECINA, SEGÚN JARON LANIER* El antiguo alumno del físico Richard Feynman traslada su pesimista análisis de lo individual a lo social, y asegura que los mecanismos que proporcionaban estabilidad a la clase media están siendo derribados.* “En lugar de hacer crecer nuestra economía global, el aumento del networking digital está enriqueciendo a un grupo relativamente pequeño de personas”, explica en el libro. La riqueza se ha centralizado, y la mayor parte de trabajadores ahora se encuentran, como indica en una reciente entrevista realizada para Salon, “luchando por cada comida”. * “Quizá la tecnología haga todas las necesidades vitales tan baratas que será virtualmente gratis poder vivir bien, y nadie se tendrá que preocupar por el dinero, el trabajo, las desigualdad sociales o los planes de jubilación. Pero dudo seriamente que este panorama se desarrolle”, explica uno de los grandes antiutópicos del mundo de la tecnología. Por el contrario, el también músico y artista visual considera que lo más probable es que entremos en un panorama de “híperdesempleo, y con él, en una época de caos social y político”. Nos adentramos en un escenario caótico, y ya que “los resultados del caos son impredecibles”, es mejor ser cautos ante él. Héctor G. Barnés 16/05/2013 http://www.elconfidencial.com/alma-corazon-vida/2013/05/16/el-profeta-de-silicon-valley-ldquovan-a-destruir-a-la-clase-media-para-hacerse-ricos-120815/__________Un saludo a todos y gracias por sus aportaciones.
El profeta de Silicon Valley: “Van a destruir a la clase media para hacerse ricos" * EL CAOS QUE SE AVECINA, SEGÚN JARON LANIER* El antiguo alumno del físico Richard Feynman traslada su pesimista análisis de lo individual a lo social, y asegura que los mecanismos que proporcionaban estabilidad a la clase media están siendo derribados.* “En lugar de hacer crecer nuestra economía global, el aumento del networking digital está enriqueciendo a un grupo relativamente pequeño de personas”, explica en el libro. La riqueza se ha centralizado, y la mayor parte de trabajadores ahora se encuentran, como indica en una reciente entrevista realizada para Salon, “luchando por cada comida”. * “Quizá la tecnología haga todas las necesidades vitales tan baratas que será virtualmente gratis poder vivir bien, y nadie se tendrá que preocupar por el dinero, el trabajo, las desigualdad sociales o los planes de jubilación. Pero dudo seriamente que este panorama se desarrolle”, explica uno de los grandes antiutópicos del mundo de la tecnología. Por el contrario, el también músico y artista visual considera que lo más probable es que entremos en un panorama de “híperdesempleo, y con él, en una época de caos social y político”. Nos adentramos en un escenario caótico, y ya que “los resultados del caos son impredecibles”, es mejor ser cautos ante él. Héctor G. Barnés 16/05/2013 http://www.elconfidencial.com/alma-corazon-vida/2013/05/16/el-profeta-de-silicon-valley-ldquovan-a-destruir-a-la-clase-media-para-hacerse-ricos-120815/
Lo que está sucediendo es que nos están sometiendo a un proceso de *saqueo* CALCADO, a los procesos neoliberales que practicaron con latinoamérica con la excusa de la "crisis de la deuda" desde los 70, 80 y 90
Hoy, ha salido publicada en el BOE la primera Ley de este año, la pomposamente llamada de medidas para reforzar la protección a losdeudores hipotecarios, reestructuración de deuda y alquiler socialhttp://www.boe.es/boe/dias/2013/05/15/pdfs/BOE-A-2013-5073.pdfTras una leida por encima, mas parece una ley de protección de las entidades bancarias empufadas en créditos insolventes, ya que siendo como es una ley de emergencia, necesaria tras la sentencia del TSJUE; apenas cambia cuatro cositas -significativo que en el cómputo de los intereses de demora, autorice que sean hasta tres veces superiores al interés legal del dinero, cuando en el caso de lo descubiertos bancarios es de dos veces y media, y en el caso de la normativa europea sobre la morosidad, es un porcentaje fijo sobre el interés legal vigente en cada momento-, pero sigue manteniendo la "solvencia" de nuestro magnífico sistema hipotecario. Curioso también que como se ha comentado muchas veces en el foro, se monte una seudo protección sobre los deudores hipotecarios, y se demonice a los deudores arrendatarios; todo al servicio de los intentos de resurrección del ladrillo, tan llamados a futuro como intentar vaciar el mar con una cucharilla de café.
El esfuerzo colectivo que están llevando a cabo los ciudadanos de nuestro país con el fin de superar de manera conjunta la situación de dificultad que atravesamos, requiere que, del mismo modo y desde todos los sectores, se continúen adoptando medidas para garantizar que ningún ciudadano es conducido a una situación de exclusión social.Con este fin, es necesario profundizar en las líneas que se han ido desarrollando en los últimos tiempos, para perfeccionar y reforzar el marco de protección a los deudores que, a causa de tales circunstancias excepcionales, han visto alterada su situación económica o patrimonial y se han encontrado en una situación merecedora de protección.