Nous sommes tous BANI ?
Lorsqu’on observe les comportements électoraux des Français lors des dernières élections (Européennes, Régionales, Cantonales,
Présidentielles, Municipales), on constate en moyenne que plus de 15 % ne sont pas inscrits sur les listes, que plus de 40 % des inscrits
s’abstiennent (voir bien au-delà de 50 % selon les échéances), et que près de 2 % des inscrits votent parfois blanc, soit un taux «
d’implication » de 35 % des Français, en âge de voter, et qui ont fait un jour le choix d’un candidat (1).
Si on prend conscience que le premier parti de France est plus que jamais, ce que nous appelons le BANI (Blanc, Abstention, Non-Inscrit), qui
comptabilisait 22,89 % au premier tour des présidentielles 2012, 44,29 % au premier tour des dernières législatives et 47,34 % au second (2) ;
Si on prend aussi la mesure des dernières municipales avec un taux d'abstention et de blanc de plus de 40 %, sans compter le corps électoral complet
et donc en excluant les non-inscrits (3) ;
On est alors en droit d’opposer à nos élus leur légitimé et l'existence même du rôle politique au sein de notre soit-disant démocratie
républicaine.
Si l’on met en parallèle le taux d’implication au sein du monde associatif de l’ensemble de nos compatriotes, on reste dubitatif sur la
motivation des « professionnels » de la politique et sur l’esprit d’abnégation qui les motive.
En effet, un tiers des personnes de 16 ans et plus sont membres d’au moins une association, et plus de la moitié le font de façon totalement
bénévole (4). Et ceux-ci dans une société de plus en plus individualiste, où le « je consomme, donc j’existe » est le seul pendant de notre
communication informative de divertissement.
Alors le bénévolat politique tel qu'envisagé au sein d'une réelle démocratie et contrôlé par un contrat moral sera-t-il à terme une solution
(5) ?
(1) Source : INSEE, Olivier Berruyer et Ministère de l’intérieur
(2) Voir tableaux des présidentielles 2012 : [url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-presidentielles-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-presidentielles-2012.jpg[/url]) (
[url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-presidentielles-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-presidentielles-2012.jpg[/url]) )
Du 1° tour des législatives 2012 : [url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-legislatives-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-legislatives-2012.jpg[/url]) (
[url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-legislatives-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-1-tour-legislatives-2012.jpg[/url]) )
Du 2° tour des législatives 2012 : [url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-2-tour-legislatives-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-2-tour-legislatives-2012.jpg[/url]) (
[url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-2-tour-legislatives-2012.jpg[/url] ([url]http://www.stephanebernard.eu/images/stories/bani-2-tour-legislatives-2012.jpg[/url]) )
(3) [url]http://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Actualites-des-elections/Elections-municipales-2014-resultats-partiels-au-niveau-national[/url] ([url]http://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Actualites-des-elections/Elections-municipales-2014-resultats-partiels-au-niveau-national[/url]) (
[url]http://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Actualites-des-elections/Elections-municipales-2014-resultats-partiels-au-niveau-national[/url] ([url]http://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Actualites-des-elections/Elections-municipales-2014-resultats-partiels-au-niveau-national[/url]) )
(4) Source INSEE 2008
(5) [url]http://www.la-democratie-participative.org/contrat-moral.html[/url] ([url]http://www.la-democratie-participative.org/contrat-moral.html[/url]) ( [url]http://www.la-democratie-participative.org/contrat-moral.html[/url] ([url]http://www.la-democratie-participative.org/contrat-moral.html[/url]) )
En el hilo de la abdicación estáis nombrando legislación europea.
Pongo enlaces de la casa común de las gentes del común.
Sí hablan de ir en contra de la corrupción y del fraude fiscal.
A lo mejor tenemos que montar una especie de ONG europea y enviar cartas como lo hace Amnistía Internacional y freírlos a correspondecia electrónica en la que preguntemos por el cumplimiento.
Prometo que sólo llevo cafeína y chocolate Valor como productores de oxitocina, esa sustancia que produce el cerebro cuando te enamorass y cuando resuelves un problema de matemáticas. Y también cuando crees que van a leer tus correos sobre el cumplimiento de los tratados, que para algo se firman, y para algo son tratados.
[url]http://www.europarl.europa.eu/aboutparliament/es/displayFtu.html?ftuId=FTU_1.1.6.html[/url] ([url]http://www.europarl.europa.eu/aboutparliament/es/displayFtu.html?ftuId=FTU_1.1.6.html[/url])
Aquí un documento majete.
[url]http://www.europarl.europa.eu/charter/default_es.htm[/url] ([url]http://www.europarl.europa.eu/charter/default_es.htm[/url])
Hay que ir aquí:
[url]http://bookshop.europa.eu/is-bin/INTERSHOP.enfinity/WFS/EU-Bookshop-Site/es_ES/-/EUR/ViewPublication-Start?PublicationKey=QC3209190[/url] ([url]http://bookshop.europa.eu/is-bin/INTERSHOP.enfinity/WFS/EU-Bookshop-Site/es_ES/-/EUR/ViewPublication-Start?PublicationKey=QC3209190[/url])
Es el 297 TCE (ya en Tradados anteriores)
TCE significa Tratado de la Comunidad Europea y es el de Roma, 2004, es decir la Constitucion que NO se aprobó como constituyente)CitarArtículo 347
(antiguo artículo 297 TCE)
Los Estados miembros se consultarán a fin de adoptar de común acuerdo las disposiciones necesarias para evitar que el funcionamiento del mercado interior resulte afectado por las medidas que un Estado miembro pueda verse obligado a adoptar en caso de graves disturbios internos
=== Instituciones de la Union articulos 1 a 53
Las negociaciones serán a puerta cerrada,
Tratado de Reforma de un plumazo,
no se hablará más de Constitución Europea (Constitución propuesta para Europa que ya había sido rechazada por Holanda y Francia),
Tratado sin participación ciudadana,
sin Asamblea Constituyente,
=== Banco Central (art 123-126, antiguos 101-104 TCE, y siguientes)
estabilidad de precios por encima del Estado Social o el empleo (proyección del Tratado de Maastricht),
Queda prohibida la autorización de descubiertos o la concesión de cualquier otro tipo de
créditos por el Banco Central Europeo
=== (...)
pérdida del significado "Derecho al Trabajo" por "Derecho a Trabajar" dentro de los Derechos Fundamentales,
se aceptan excepciones vinculantes a la protección social, servicios públicos y el poder de intervención pública en la economía,
desregulación de monopolios públicos,
transferencias de poder de los Estados a las Instituciones de la UE,
conversión de los servicios públicos en sectores económicos, y así un largo etc.
===CitarMaastricht: Artículo 104 Con eso ya está dicho todo.
¿Te refieres al de normas de competencia (Maastrich) o el del BCE (104 TCE)?
Al artículo 104 con sus apartados: A, B y C (Maastricht).
Le premier ministre polonais Donald Tusk prend la tête du Conseil européen
Le Monde.fr | 30.08.2014 à 22h25 |
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/le-premier-ministre-polonais-donald-tusk-prend-la-tete-du-conseil-europeen_4479443_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/le-premier-ministre-polonais-donald-tusk-prend-la-tete-du-conseil-europeen_4479443_3214.html[/url])
Donald Tusk va quitter une Pologne émancipée et dynamique pour prendre ses quartiers à Bruxelles. Le premier ministre polonais, âgé de 57 ans, a réussi à faire l'unanimité samedi 30 août parmi les principaux dirigeants de l'UE pour occuper le poste de président du Conseil européen. Il ne parle pas français, très mal anglais, parfaitement allemand. Cela donne une idée assez précise de ses penchants géopolitiques : proximité avec Berlin, plus grand réalisme vis-à-vis des Etats-Unis, et distance polie avec la France.
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/donald-tusk-l-homme-qui-assure-l-eau-chaude-dans-les-robinets-polonais_4479409_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/donald-tusk-l-homme-qui-assure-l-eau-chaude-dans-les-robinets-polonais_4479409_3214.html[/url])
L'Italienne Federica Mogherini prend la tête de la diplomatie européenne
Le Monde.fr | 30.08.2014 à 17h56 • Mis à jour le 30.08.2014 à 19h47 | Par Philippe Ridet (Rome, correspondant)
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/l-italienne-federica-mogherini-devrait-prendre-la-tete-de-la-diplomatie-europeenne_4479420_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/08/30/l-italienne-federica-mogherini-devrait-prendre-la-tete-de-la-diplomatie-europeenne_4479420_3214.html[/url])
au sein des différents partis de gauche qui ont conduit à la création du Parti démocrate (PD) en 2007. Diplômée en sciences politiques à l'université la Sapienza de Rome après un passage comme étudiante Erasmus à Aix-en-Provence où elle travaille à son mémoire sur les rapports entre religion et politique dans les pays islamiques, cette fille d'un décorateur et costumier de cinéma est rapidement devenue une professionnelle de la politique.
A todo esto, alguien que se hable con Pablo y Monedero, que les pregunte qué piensan ellos del tratado que viene.
Lo digo porque es una piedra de toque evidente, y ahora ya están en Europa.
A todo esto, alguien que se hable con Pablo y Monedero, que les pregunte qué piensan ellos del tratado que viene.
Lo digo porque es una piedra de toque evidente, y ahora ya están en Europa.
Bueno, yo no me hablo con ellos, pero tecleo en san google y siempre pesco algo.
[url]http://podemos.info/demoblog/ruedademasas-pablo-iglesias-29072014/[/url] ([url]http://podemos.info/demoblog/ruedademasas-pablo-iglesias-29072014/[/url])
El Parlamento Europeo no tiene formalmente competencias para impedirlo, pero sí puede presionar al Consejo. En la actualidad, el Consejo tiene mucho poder y los mecanismos de control parlamentario del mismo son escasos, pero siempre es posible hacer oír la voz de esta institución y al menos denunciar públicamente el atentado que supondría este tratado
La industria del copyright movió un dedo y se enviaron cartas advirtiendo de acciones legales. Cuando las cartas se ignoraron, la industria movió un dedo y se interpusieron las acciones judiciales. Cuando los jueces resolvieron en favor de denunciados y demandados, la industria movió un dedo y se recurrieron las resoluciones. Cuando volvieron a perder en los juzgados, la industria movió un dedo y desaparecieron los jueces.
Amenos [sic] de 72 horas del referéndum del 18 de septiembre sobre la independencia de Escocia, el Gobierno español ha enviado una seria advertencia a los partidarios del Sí. En una entrevista con la BBC, el secretario de Estado para Asuntos Europeos, Íñigo Méndez de Vigo, dejó claro en la madrugada del martes que España no es partidaria de poner una alfombra roja para que una Escocia independiente regrese a la UE. [ ... ]
CitarAmenos [sic] de 72 horas del referéndum del 18 de septiembre sobre la independencia de Escocia, el Gobierno español ha enviado una seria advertencia a los partidarios del Sí. En una entrevista con la BBC, el secretario de Estado para Asuntos Europeos, Íñigo Méndez de Vigo, dejó claro en la madrugada del martes que España no es partidaria de poner una alfombra roja para que una Escocia independiente regrese a la UE. [ ... ]
[url]http://cincodias.com/cincodias/2014/09/16/economia/1410888802_261523.html[/url] ([url]http://cincodias.com/cincodias/2014/09/16/economia/1410888802_261523.html[/url])
Me da que Cameron nos debe una...
CitarAmenos [sic] de 72 horas del referéndum del 18 de septiembre sobre la independencia de Escocia, el Gobierno español ha enviado una seria advertencia a los partidarios del Sí. En una entrevista con la BBC, el secretario de Estado para Asuntos Europeos, Íñigo Méndez de Vigo, dejó claro en la madrugada del martes que España no es partidaria de poner una alfombra roja para que una Escocia independiente regrese a la UE. [ ... ]
[url]http://cincodias.com/cincodias/2014/09/16/economia/1410888802_261523.html[/url] ([url]http://cincodias.com/cincodias/2014/09/16/economia/1410888802_261523.html[/url])
Me da que Cameron nos debe una...
A pesar de ser nuestro enemigo tradicional, Gran Bretaña y España en asuntos como la Monarquía y la soberanía nacional deberían ir de la mano en las circunstancias actuales.
[url]http://www.lepoint.fr/monde/berlin-va-payer-des-salaires-aux-chomeurs-de-longue-duree-05-11-2014-1878976_24.php[/url] ([url]http://www.lepoint.fr/monde/berlin-va-payer-des-salaires-aux-chomeurs-de-longue-duree-05-11-2014-1878976_24.php[/url])
[url]http://www.lepoint.fr/monde/berlin-va-payer-des-salaires-aux-chomeurs-de-longue-duree-05-11-2014-1878976_24.php[/url] ([url]http://www.lepoint.fr/monde/berlin-va-payer-des-salaires-aux-chomeurs-de-longue-duree-05-11-2014-1878976_24.php[/url])
¿Hartz V?
Toma liberalización laboral.
¿Luxemburgo está en Europa? es que a veces me confundo un poco.
[url]http://www.elconfidencial.com/empresas/2014-11-05/las-big-four-de-la-auditoria-juegan-un-papel-clave-en-la-evasion-de-impuestos_435392/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/empresas/2014-11-05/las-big-four-de-la-auditoria-juegan-un-papel-clave-en-la-evasion-de-impuestos_435392/[/url])
¿Juncker también tiene o ha tenido algo que ver con Luxemburgo? Me pierdo con esta Europa: una, santa y trina.
[url]http://www.elconfidencial.com/empresas/2014-11-05/mas-de-300-empresas-tienen-acuerdos-con-luxemburgo-para-pagar-menos-impuestos_435551/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/empresas/2014-11-05/mas-de-300-empresas-tienen-acuerdos-con-luxemburgo-para-pagar-menos-impuestos_435551/[/url])
Estas son las compañías que evitaron tributar en España gracias a los acuerdos secretos con Luxemburgo
([url]http://cdn3.gurusblog.com/jordi/wp/wp-content/uploads/2014/11/luxemburgo-spain1.jpg[/url])
Poco a poco se va tratando la información en manos de ICIJ (Consorcio Internacional de Periodistas de Investigación) que están haciendo un trabajo sublime al ir desvelando los acuerdos fiscales privados entre diversas multinacionales con Luxemburgo y que les permitía evitar tributar por sus beneficios en varios Estados Miembros de la UE traslandando sus beneficios a Luxemburgo tributando al 1%.
Entre las compañías que utilizaron este esquema para evitar tributar al 30% del impuesto de sociedades en España y trasladar sus beneficios a Luxemburgo por los que tributaban al 1% tenemos a varios fondos de inversión cómo Mercapital, OakTree o Palamon o compañías cómo Pepsi o McGraw-Hill.
Posiblemente lo más sangrante del caso, es que mientras Jean-Claude Juncker, actuando como presidente del EuroGrupo, imponía drásticos ajustes en los países de la perifería europea, por el otro lado, cómo presidente de Luxemburgo, facilitaba de forma secreta la organización de una estructura legal para que las multinacionales pudieran evadir miles de millones de euros en impuestos en el resto de los Estados Miembros.
El caso tiene varias implicaciones. ya que no sólo la comparta una reducción o evasión en el pago de impuestos, sino también otorga una ventaja competitiva q a determinadas multinacionales que pueden competir por ejemplo en España pagando el impuesto de sociedades al 1% mientras que los competidores locales que no han llegado a un acuerdo con secreto con Luxemburgo tienen que tributar por el 30% de sus beneficios.
La deslealtad es tan grande, que uno se sigue preguntando cómo es posible que hoy, Juncker aún este ejerciendo de presidente de la Comisión Europea.
Fuente: [url]http://www.gurusblog.com/archives/estas-son-las-companias-que-evitaron-tributar-en-espana-gracias-los-acuerdos-secretos-con-luxemburgo/07/11/2014/[/url] ([url]http://www.gurusblog.com/archives/estas-son-las-companias-que-evitaron-tributar-en-espana-gracias-los-acuerdos-secretos-con-luxemburgo/07/11/2014/[/url])
[url]http://iniciativadebate.org/2014/11/10/estas-son-las-companias-que-evitaron-tributar-en-espana-gracias-a-los-acuerdos-secretos-con-luxemburgo/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2014/11/10/estas-son-las-companias-que-evitaron-tributar-en-espana-gracias-a-los-acuerdos-secretos-con-luxemburgo/[/url])
COMISIÓN EUROPEA, OCDE Y HACIENDAS NACIONALES
¿Y ahora qué? El mundo estrecha el cerco sobre Luxemburgo, que tendrá que ceder
[url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url] ([url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url])
Sobre armonizaciones fiscales:CitarCOMISIÓN EUROPEA, OCDE Y HACIENDAS NACIONALES
¿Y ahora qué? El mundo estrecha el cerco sobre Luxemburgo, que tendrá que ceder
[url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url] ([url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url])
Sobre armonizaciones fiscales:CitarCOMISIÓN EUROPEA, OCDE Y HACIENDAS NACIONALES
¿Y ahora qué? El mundo estrecha el cerco sobre Luxemburgo, que tendrá que ceder
[url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url] ([url]http://bit.ly/1zGZo5E[/url])
Es igual... La lista es taaaan larga..; Dublín, Andorra, Isla de Jersey, Isla de Mann, la misma Viena, la City londinense...
Tamos en Cuentilandia ¿o no te habías enterao? :biggrin:
Cada día se parecen más a los de casa.
[url]http://noticias.lainformacion.com/economia-negocios-y-finanzas/juncker-descarta-dimitir-por-considerar-que-tiene-el-respaldo-de-eurocamara_zVmvD2VcOBydxi92XGMaQ3/[/url] ([url]http://noticias.lainformacion.com/economia-negocios-y-finanzas/juncker-descarta-dimitir-por-considerar-que-tiene-el-respaldo-de-eurocamara_zVmvD2VcOBydxi92XGMaQ3/[/url])
Hay movida en Hungría ¿alguien sabe algo?
Hay movida en Hungría ¿alguien sabe algo?
Por lo poco que sé Hungría es otro experimento europeo cogidos por los bajos por el FMI.
Lo clásico; crisis de caballo, nulo consumo, deuda, ultraderecha tocando poder, impuestos hasta por conectarse a internet, presiones bancarias del exterior, autarquía, etc, etc.
Se atragantaron de capitalismo.
Hay movida en Hungría ¿alguien sabe algo?
Por lo poco que sé Hungría es otro experimento europeo cogidos por los bajos por el FMI.
Lo clásico; crisis de caballo, nulo consumo, deuda, ultraderecha tocando poder, impuestos hasta por conectarse a internet, presiones bancarias del exterior, autarquía, etc, etc.
Se atragantaron de capitalismo.
No se de donde sacas eso la verdad. Hasta donde yo sé, se cansaron de Europa... y eligieron su propio camino. (Los primeros que falsificaron las "cuentas".)
No era una arenga cualquiera. El 26 de julio el primer ministro húngaro, Viktor Orbán, habló en un curso de verano en la ciudad rumana de Băile Tușnad para un público plagado de residentes de origen húngaro. Expuso sus planes para la legislatura que comienza tras su reelección en abril. También recordó a su audiencia que el imperio austrohúngaro había perdido dos tercios de sus súbditos tras la I Guerra Mundial, pero que él seguía contando con ellos. Bajo su control Hungría recuperaría el esplendor. Y adelantó la receta para lograrlo: la “democracia no liberal” que estaba diseñando.
"El Estado que vamos construyendo en Hungría no es liberal. No niega valores como la libertad, pero no los convierte en un componente central. Como núcleo propongo un elemento particular: el enfoque nacional”, explicó Orbán. En un lenguaje técnico que consideró que casaba bien a un acto académico, el político desgranó que su democracia será “aliberal”, en referencia a un término acuñado en los noventa por el analista estadounidense Fareed Zakaria -que ha criticado duramente el discurso de Orbán- para diferenciar las meras democracias (lugares en los que se vota libremente) de las democracias con separación de poderes etcétera. Orbán aseguró que él impulsará una basada en el trabajo y los valores comunitarios más que en el Estado de bienestar, porque el modelo liberal se estanca. Para demostrarlo citó a Singapur, China, India, Rusia y Turquía, las “estrellas” de unos nuevos sistemas que no imitan al occidental, pero que tienen éxito.
[...]
¡Aplastar a los griegos! El plan de rescate griego a la luz de las revelaciones de Geithner
Yanis Varoufakis
Tim Geithner lo ha hecho público, [1] confirmando lo que siempre hemos sabido: en febrero de 2010, sin tener la menor idea de la crisis del euro que estaba a punto de engullirlos, los líderes del norte de Europa decidieron aplastar Grecia. Castigar colectivamente (incluso en contra de la Convención de Ginebra) a una nación por haber quebrado dentro de una eurozona cuya arquitectura nunca tomó en consideración la posibilidad de que un Estado miembro pudiera llegar a ser insolvente.
" ‘Vamos a enseñar a los griegos una lección. Son realmente terrible. Nos mintieron. Chupones despilfarradores, se han aprovechado básicamente de todo y vamos a aplastarlos’. [Esa] era su actitud, la de todos ellos".
La reacción de Geithner a este tipo de discurso, no era porque le preocupase el 'inminente' aplastamiento de los griegos sino que los europeos del norte, en el proceso de triturar a los griegos, estaban a punto de pegarse un tiro en el pie. Como escribí en 2010 (en un artículo titulado "Un Nuevo Versalles amenaza Europa “ ): ...
"... convertir países como Grecia en eriales resecos, y obligar al resto de la Eurozona a caer en una espiral cada vez más rápida de deuda-deflación, es una manera muy eficiente de socavar la propia economía de Alemania. Asumiendo, por mor del argumento, que Grecia está recibiendo su merecido, merecen también los esforzados y trabajadores alemanes una élite política que les lleve a la carrera directamente a una catástrofe económica?"
Geithner fue la única persona en esa habitación de europeos moralmente enfurecidos con el ojo en la bola proverbial.
"Pero lo más importante es que recuerdo haberles dicho a aquellos tíos: podéis ponerles un pie en el cuello a esos tipos si eso es lo que queréis. Pero tenéis que aseguraros que se envía una señal compensatoria de tranquilidad a Europa y al mundo de que vais a mantener la cosa unida y no vais a permitir que se escape. [Que vais] a proteger al resto".
El resto es, por supuesto, historia. Grecia fue aplastada. Y no fue aplastada dejando que quebrase, sino, por el contrario, imponiendo el mayor préstamo de la historia sobre sus debilitados hombros con la condición de que debía renunciar al 30% de su PIB nominal (en euros). En el proceso, el resto de la Periferia (donde el modelo de gestión de la crisis “aplastar a Grecia” fue exportado) fue fiscalmente sometida a la tortura de la bañera con el resultado de que la zona euro llegó al borde del abismo y, una vez que el Sr. Draghi intervino, entró en una larga y lenta achicharrante espiral de deuda-deflación de la que sólo pueden surgir la fragmentación y la discordia.
De vuelta a Grecia, la élite que firmó el Tratado de Versalles griego, y que permanece en el poder (de una forma mutada), está invocando las revelaciones Geithner para decir (a la gente como yo): "¿Ve cual era el estado de ánimo en Europa en ese momento? Si nos hubiéramos puesto duros, como sugerían, ¡nos habrían aplastado! "
Mi réplica es: "¡nos han aplastado mediante el acuerdo de préstamo que ustedes firmaron y que continúan haciendo como si cumpliesen! Exactamente de la misma manera que Alemania fue aplastada por los aliados victoriosos después de la Gran Guerra obligándola a firmar el Tratado de Versalles, Grecia ha sido aplastada obligada a asumir los préstamos tóxicos de la troika para rescatar, no a Grecia, sino a los bancos del norte de Europa, con el rescate Mk1, y los banqueros griegos (que, a diferencia de los griegos más débiles, nunca fueron aplastados), con el rescate Mk2 ".
La opción que Grecia tenía a principios de 2010, cuando tuvieron lugar las reuniones que desvela Geithner, era simple: bancarrota en el euro o aplastamiento dentro del euro. Todas las amenazas de expulsar a Grecia del euro eran vanas en el sentido de que, de llevarse a cabo, el euro se habría derrumbado en el corto plazo.
Trágicamente, la élite griega optó por permitir que las élites del norte de Europa aplastasen a los griegos más débiles, salvándose en el proceso y situando a Europa en un planeo de misantropía, autoritarismo y fragmentación. Como escribí en ese mismo artículo en 2010, citando Las consecuencias económicas de la paz de Keynes:
“... La aceptación insincera ... de condiciones imposibles que no se tenía la intención de llevar a cabo [hicieron a] Grecia * casi tan culpable a la hora de aceptar lo que no podía cumplir como a la troika ** por imponer lo que no tenía derecho a exigir”.
Notas:
[1] Ver las transcripciones de las cintas Geithner publicadas por Peter Spiegel en su blog del Financial Times.
(*) Aquí he sustituido Alemania por Grecia; y (**) aquí he sustituido Aliados por la troika
Yanis Varoufakis es un reconocido economista greco-australiano de reputación científica internacional. Es profesor de política económica en la Universidad de Atenas y consejero del programa económico del partido griego de la izquierda, Syriza. Actualmente enseña en los EEUU, en la Universidad de Texas. Su último libro, El Minotauro Global, para muchos críticos la mejor explicación teórico-económica de la evolución del capitalismo en las últimas 6 décadas, fue publicado en castellano por la editorial española Capitán Swing, a partir de la 2ª edición inglesa revisada. Una extensa y profunda reseña del Minotauro, en SinPermiso Nº 11, Verano-Otoño 2012.
Traducción para [url=http://www.sinpermiso.info]www.sinpermiso.info[/url] ([url]http://www.sinpermiso.info[/url]): Gustavo Buster
[url]http://www.sinpermiso.info/textos/index.php?id=7488[/url] ([url]http://www.sinpermiso.info/textos/index.php?id=7488[/url])
French government will not sign TTIP agreement in 2015
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1316
Published: 17/11/2014 - 07:34 | Updated: 17/11/2014 - 08:291
[Dominik "Dome"/Flickr]
The French government does not believe the TTIP negotiations will be concluded by the end of 2015. [Dominik "Dome"/Flickr]
Matthias Fekl, France's Secretary of State for Foreign Trade, has made it clear that France will not support the inclusion of the Investor State Dispute Settlement mechanism (ISDS) in a potential TTIP agreement. The ISDS is a point of heated debate between the EU and the United States. EurActiv France reports.
Europe’s fears over the Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP) are not abating, while America is beginning to show signs of impatience. Europe and the United States have reached a standoff in the TTIP negotiations, over the question of the Investor State Dispute Settlement.
This mechanism could give companies the opportunity to take legal action against a state whose legislation has a negative impact on their economic activity.
"France did not want the ISDS to be included in the negotiation mandate," Matthias Fekl told the French Senate. "We have to preserve the right of the state to set and apply its own standards, to maintain the impartiality of the justice system and to allow the people of France, and the world, to assert their values," he added.
German opposition to the ISDS mechanism is also very strong. The German Minister for Economic Affairs has often expressed his support for the trade deal with the United States, on the condition that it does not include the ISDS.
The disagreement over the ISDS has caused negotiations to stall. "The year 2014 did not see any great advances in the transatlantic agreement," Fekl said during a speech to the French Senate.
In Brussels, the EU's position on the Investor State Dispute Settlement mechanism became clear after the appointment of the new team of EU Commissioners.
In his speech to the European Parliament on 22 October, the new Commission President Jean-Claude Juncker said he would not accept any external limitations being placed on the member states' ability to settle their own industrial disputes.
>> Read: Commission mulls TTIP minus investor arbitration
Negotiators from the United States are trying to move the talks forward, despite reluctance from the European Union.
During a visit to the European Parliament’s October plenary session in Strasbourg, Anthony Luzzatto Gardner, from the United States' mission to the EU, insisted that the ISDS was an important clause in the TTIP negotiations.
"Our message to the people of Europe is not to remove it from the table, but to conclude the discussion process and to improve it," he said.
A bad signal
"Removing the ISDS from the negotiations would give off a very bad signal. It would clear the way for the removal of other chapters of the negotiations," he added.
The American negotiators are beginning to show frustration at the demonisation of these arbitration tribunals. "Investor State Dispute Settlements have never been, and will not be, a way for businesses to challenge legislation they do not agree with," an American negotiator said in Paris.
>> Read: Commission swamped by 150,000 replies to TTIP consultation
The next cycle of negotiations is due to take place in December.
National parliaments remain vigilant
The European Commission's mandate for the TTIP negotiations was set by the member states, and the American negotiators will have to satisfy not only the Commission, but also the national parliaments of the EU if an agreement is to be reached.
In France, Matthias Fekl reminded the Senate that the Transatlantic Trade and Investment Partnership was "a mixed agreement". "It is the parliamentarians who will have the last word when the agreement is finalised,” he said, adding “I don't think will be any time soon".
Me parece que el caso húngaro puede ser una buena piedra de toque para hablar de europa, españa... etc., tomando una distancia que nos permita ser más objetivos.
Pongo otro enlace:
La tentación totalitaria llega a Europa
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2014/08/01/actualidad/1406919450_030792.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2014/08/01/actualidad/1406919450_030792.html[/url])CitarNo era una arenga cualquiera. El 26 de julio el primer ministro húngaro, Viktor Orbán, habló en un curso de verano en la ciudad rumana de Băile Tușnad para un público plagado de residentes de origen húngaro. Expuso sus planes para la legislatura que comienza tras su reelección en abril. También recordó a su audiencia que el imperio austrohúngaro había perdido dos tercios de sus súbditos tras la I Guerra Mundial, pero que él seguía contando con ellos. Bajo su control Hungría recuperaría el esplendor. Y adelantó la receta para lograrlo: la “democracia no liberal” que estaba diseñando.
"El Estado que vamos construyendo en Hungría no es liberal. No niega valores como la libertad, pero no los convierte en un componente central. Como núcleo propongo un elemento particular: el enfoque nacional”, explicó Orbán. En un lenguaje técnico que consideró que casaba bien a un acto académico, el político desgranó que su democracia será “aliberal”, en referencia a un término acuñado en los noventa por el analista estadounidense Fareed Zakaria -que ha criticado duramente el discurso de Orbán- para diferenciar las meras democracias (lugares en los que se vota libremente) de las democracias con separación de poderes etcétera. Orbán aseguró que él impulsará una basada en el trabajo y los valores comunitarios más que en el Estado de bienestar, porque el modelo liberal se estanca. Para demostrarlo citó a Singapur, China, India, Rusia y Turquía, las “estrellas” de unos nuevos sistemas que no imitan al occidental, pero que tienen éxito.
[...]
Voy a ir leyendo los tres a ver que "composición" me hago. A ver que sale entre todos. (Formateo la lista de artículos.)
- Hungría, en la mira ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=144622[/url])
- La desaparición de la Europa democrática y de la Europa social ([url]http://www.vnavarro.org/?p=7728[/url])
- La tentación totalitaria llega a Europa ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2014/08/01/actualidad/1406919450_030792.html[/url])
Tras el colapso de la Unión Soviética en 1991, Hungría intensificó los lazos con Europa occidental, se unió a la OTAN en 1999 y a la Unión Europea el 1 de mayo de 2004. Hungría fue el país que mejor afrontó la caída de la Unión Soviética en Europa Oriental, ya que el país había ido acercándose paulatinamente al sistema de libre mercado hacia los últimos años del régimen socialista.
El 18 de septiembre de 2006, miles de húngaros, en gran parte llamados por el FIDESZ (o Alianza de Jóvenes Demócratas), el partido conservador mayoritario (en la oposición en ese momento) salieron a las calles enarbolando las banderas del antiguo Reino de Hungría (comúnmente identificado con los movimientos de extrema derecha), luego de que fuera divulgado un audio donde el Primer Ministro, Ferenc Gyurcsány, admitía que mintió en cuanto a la situación económica húngara para ganar las elecciones. En el audio puede oírse claramente que: «si la economía se mantuvo encarrilada fue por la divina providencia, la abundancia de dinero efectivo en la economía mundial y cientos de engaños», para después agregar: «es obvio que hemos mentido en el último año y medio, dos años. No hay dudas de que lo que estamos diciendo no es verdad».
Los miles de húngaros movilizados por el FIDESZ exigieron tanto la renuncia del ministro como la de su gabinete, produciéndose enfrentamientos donde la policía fue desbordada y se ocupó el edificio de la televisión estatal húngara (MTV), produciéndose algunos incendios en su interior, en lo que fueron las jornadas más violentas vistas por Hungría desde la caída del Socialismo. En las elecciones del 2010 el FIDESZ resultó elegido para encabezar el nuevo gobierno por una mayoría abrumadora de más de dos tercios de los votos emitidos.
Este enlace no es del Banco Central Europeo, pero vamos, sirve para comparar.
[url]http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/11/20/hepatite-c-accord-sur-le-prix-du-sovaldi-en-france_4526251_1651302.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-3208[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/11/20/hepatite-c-accord-sur-le-prix-du-sovaldi-en-france_4526251_1651302.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-3208[/url])
¿Es libre el Tratado del “Libre Comercio” entre EEUU y la UE?
Este artículo analiza críticamente las propuestas del llamado Tratado de Libre Comercio entre EEUU y la Unión Europea.
Una de las áreas de macroeconomía donde el lenguaje contradice más las realidades que intenta definir es la que se conoce como libre comercio (dentro de la cual se incluye el propuesto Tratado de Libre Comercio entre EEUU y la Unión Europea). Como en todos los tratados de libre comercio, este tratado es promocionado, por sus promotores, como un tratado que intenta liberalizar el comercio, eliminando barreras que obstaculicen el intercambio comercial. Los principales promotores de estos acuerdos son las grandes empresas transnacionales, definidas erróneamente como multinacionales.
Lo primero que debe aclararse es que de libre comercio estos tratados tienen muy poco. La situación actual a los dos lados del Atlántico Norte ya permite la libre circulación del comercio, habiendo prácticamente desaparecido los impuestos y aranceles que solían dificultar el libre movimiento de productos y servicios. En realidad, tales tratados tienen muy poco que ver con facilitar el libre comercio. Lo que en realidad está detrás de estos tratados es proteger los intereses de dichas empresas frente a las regulaciones de los Estados que intentan proteger a la ciudadanía frente a sus prácticas desleales y dañinas para la población, que afectan a la salud y el bienestar de los ciudadanos, bien como trabajadores, consumidores o como personas que pueden estar sujetas a ofensas ambientales. De ahí que un elemento clave de estos tratados haya sido disminuir estas intervenciones públicas que existen en defensa de los ciudadanos de los países, y establecer tribunales de justicia que tengan mayor potestad y responsabilidad jurídica que los tribunales de cada Estado. Su objetivo es, pues, desarrollar sistemas jurídicos paralelos y con más poder que los tribunales nacionales. De ahí que cuando el gobierno de un Estado firma el tratado cede soberanía a una instancia superior. Las decisiones de sus Tribunales de Justicia pasan a ser secundarias a un Tribunal superior, el Tribunal que establece tal Tratado, siempre bien conocido por sus simpatías hacia tales transnacionales.
Es interesante notar que, por regla general, los partidos que más favorecen estos tratados son partidos conservadores y liberales (las derechas) que siempre se autodefinen como las fuerzas más “patrióticas”, siendo las que casi siempre ceden más la soberanía de sus Estados a favor de las empresas transnacionales. El caso español (incluyendo el catalán) es un claro ejemplo de ello.
La reproducción de las prácticas monopolistas
Un caso claro de ello es lo que está ocurriendo con la altamente monopolizada industria farmacéutica. Esta industria, claramente a la defensiva en estos día de crisis (generada en parte por el Ébola, pues nunca dieron ninguna prioridad a desarrollar la vacuna contra esta enfermedad), desea mantener la cláusula de permanencia de los monopolios, permitiendo a la empresa Gilead Sciences vender su medicamento contra la hepatitis C por 84.000$ (unos 67.000€) en EEUU, cuando este medicamento puede conseguirse por un precio mucho, pero muchísimo, más bajo en otro país (900$, unos 700€). Parecería lógico que en un Tratado de Libre Comercio los productores del mismo fármaco pero a un precio menor pudieran venderlo en el país donde el precio es mucho, pero muchísimo, mayor. Pues bien, la situación es precisamente la opuesta. Se protege a las empresas farmacéuticas que lo venden a un precio mucho más caro, manteniendo su monopolio sobre el mercado. Y a esto lo llaman libre mercado. :troll:
En realidad, estos tratados de libre comercio protegen descaradamente a las empresas que venden en varios países, lo que explica que se les llame multinacionales. Ahora bien, este término parecería indicar que son propiedad de varios países, lo cual no son. Son empresas transnacionales, basadas en un país, que a través del Estado en el que están basadas (por regla general, un país de economía más avanzada) ejercen su poder sobre el comercio internacional. Y cuentan con la protección del tribunal que gobierna cada tratado de libre comercio en beneficio suyo. De ahí que acompañando a los tratados de libre comercio siempre haya cláusulas que debilitan la normativa laboral, ambiental y social de los países que forman parte del tratado. Legislación que ha sido aprobada por los parlamentos nacionales resultado de la presión de fuerzas laborales, como sindicatos, o de prácticas políticas progresistas y/o verdes, se dejan de lado por considerarse que limitan el poder de las transnacionales. Y a esto, repito, también lo llaman libre comercio.
En Europa, este Tratado de Libre Comercio representa también una amenaza a los servicios públicos, como los Servicios Nacionales de Salud, que puede considerarse que vulneran el libre comercio de servicios, forzando la privatización de tales servicios. Esta ha sido una de las causas que defensores del Servicio Nacional de Salud de Gran Bretaña hayan denunciado dicho tratado. Las compañías transnacionales son plenamente conscientes de que sus acciones pueden ser muy impopulares, lo cual explica la falta de transparencia y opacidad de los preparativos de tal tratado. De ahí la urgencia de que haya una población bien informada para que pueda frenar tales comportamientos en los países afectados y sujetos al tratado. Por desgracia, los mayores medios de información y persuasión no han estado informando sobre los preparativos de tal tratado, en parte debido a la gran influencia que tales transnacionales ejercen en las instituciones políticas y mediáticas de los países. Y a esto, le llaman libertad de prensa. Es característico del discurso y narrativa dominante que la palabra libertad siempre se utiliza para defender los intereses de unas minorías que dominan aquellas instituciones que se presentan como democráticas las primeras (las políticas) y como plurales y libres, las segundas (las mediáticas). La libertad es, pues, la libertad para defender sus intereses. Así de claro.
[url]http://www.vnavarro.org/?p=11523[/url] ([url]http://www.vnavarro.org/?p=11523[/url])
Lavrov: la relaciones con la Unión Europea no volverán a ser como antes
El ministro de Asuntos Exteriores de Rusia, Serguéi Lavrov, afirmó hoy que Moscú no renuncia a la cooperación con la Unión Europea (UE), pero advirtió de que las relaciones no volverán a ser "como antes".
"La Unión Europea es nuestro principal socio colectivo. Y nadie piensa dispararse en el pie, en renunciar a la cooperación con Europa, aunque todos comprenden que ya es imposible que sea como antes", dijo Lavrov, citado por la agencia oficial RIA Nóvosti, en una reunión del Consejo de Política Exterior y de Defensa.
Al mismo tiempo, el jefe de la diplomacia rusa se mostró convencido de que Rusia y la UE superarán el actual período y crearán una "nueva base" para sus relaciones.
Tras la anexión, en marzo pasado, de la península ucraniana de Crimea por Rusia, la Unión Europea adoptó una serie de sanciones contra Moscú, las que han sido endurecidas progresivamente tras el estallido de la sublevación armada prorrusa en el este de Ucrania.
A fines de julio, la UE acordó restringir el accesos a los mercados de capitales europeos para los bancos públicos rusos, un embargo de armas, la prohibición de exportar a Rusia bienes de uso dual y un veto a las exportaciones de equipamiento para el sector petrolero.
En respuesta, Rusia prohibió las importaciones de alimentos de los países de la Unión Europea.
[url]http://es.rbth.com/noticias/2014/11/22/lavrov_la_relaciones_con_la_union_europea_no_volveran_a_ser_como_ant_45287.html[/url] ([url]http://es.rbth.com/noticias/2014/11/22/lavrov_la_relaciones_con_la_union_europea_no_volveran_a_ser_como_ant_45287.html[/url])
Los hogares con hipotecas indexadas en la inflacion borrarán una parte de la deuda dentro del limite de 25,8 Keuros
La medida llamada « Leidréttingin », la corrección supone para 69000 hogares una reduccion de cuota entre 95 y 130 euros mensuales.
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Dans le détail, les ménages qui, avant la crise, avaient contracté des emprunts immobiliers indexés sur l’inflation – la plupart – verront une partie de leur dette effacée, dans la limite de 4 millions de couronnes islandaises (25 800 euros).
Depuis juillet, 69 000 foyers (sur 320 000 habitants) ont demandé à bénéficier de ce « jubilé », également appelé « Leidréttingin », la correction. En moyenne, chacun d’entre eux profitera d’un allégement de 1,35 million de couronnes, si bien que les remboursements mensuels fondront de 13 % à 14 %, soit 95 à 130 euros.
La medida se financia con una tasa sobre bancos y fondos que tomaron el control de los establecimientos en quiebra de 2008. Era una promesa electoral de las eleccionede abril 2013.
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Le gouvernement islandais va alléger la dette des ménages mis en difficultés par la crise qui a ravagé l'économie en 2008. Cette mesure sera financée par une taxe sur les banques et les fonds qui ont mis la main sur les établissements mis en faillite en 2008. C'est l'application d'une promesse électorale des vainqueurs des élections législatives d’avril dernier.
Francia: Obligan a los sintecho a llevar triángulos amarillos como los judíos
Las autoridades de Marsella ha sido duramente criticadas por usar métodos nazis para identificar a su población sin hogar: ahora deberán mostrar tarjetas de identificación adornadas con un triángulo amarillo que se asemeja a la estrella de David.
([url]http://cdn.rt.com/actualidad/public_images/6f6/6f6ab6843d81f302ca9aaf2a44dd218a_article.jpg[/url])
[url]http://actualidad.rt.com/sociedad/view/149529-francia-sintecho-triangulos-amarillos-nazi[/url] ([url]http://actualidad.rt.com/sociedad/view/149529-francia-sintecho-triangulos-amarillos-nazi[/url])
Una estrella amarilla para identificar a los indigentes siembra la polémica en Francia
Las autoridades de Marsella han tendio que retirar la polémica tarjeta después de recibir numerosas críticas por su supuesto parecido con los distintivos que los nazis colocaban a los judíos durante la Segunda Guerra Mundial
[url]http://es.euronews.com/2014/12/05/una-estrella-amarilla-para-identificar-a-los-indigentes-siembra-la-polemica-en-/[/url] ([url]http://es.euronews.com/2014/12/05/una-estrella-amarilla-para-identificar-a-los-indigentes-siembra-la-polemica-en-/[/url])
Mapkc, estas noticias son las preocupantes, nos repetimos demasiado. La historia se repite con ese inolvidable aroma a exclusión.
Lo decía Manu Oquendo, que nos preparan poco a poco para despreciar la vida, y mpt nos lo recuerda siempre que de las favelas no se vuelve.
En esta guerra lenta e inexorable pierden/perdemos siempre los mismos.
Renacen las luchas en Italia
Italia está sometida desde hace años a políticas que están acabando con los derechos, las condiciones de vida y las libertades democráticas de las clases populares. El gobierno de derechas de Silvio Berlusconi (2008-2011), el gobierno “técnico” de Mario Monti (2011-2013), el gobierno de centro “izquierda” de Enrico Letta (2013) y, en estos momentos, el de Matteo Renzi (los tres últimos bajo la supervisión del presidente de la República, Giorgio Napolitano, que ejerce la jefatura del Estado desde 2006), todos ellos han aplicado duras políticas de austeridad de un modo cada vez más explícito.
En el plano institucional se está desarrollando una reforma encaminada a poner en manos de unos pocos todas las palancas del poder. Se pretende transformar el Senado en un ridículo organismo de 100 personas que ya no serán elegidas libremente por los ciudadanos, sino nombradas desde arriba y por tanto privadas de toda capacidad de decisión real. Ya han corrido la misma suerte los 100 consejos provinciales, también nombrados a dedo y no elegidos, que solo sirven para colocar a los notables que no consiguen salir elegidos para otra función. La nueva ley electoral en debate prevé un sistema en el que nada más que dos partidos puedan desempeñar algún papel político y estar presentes en las instituciones; permite al partido mayoritario, aunque sea muy minoritario en el conjunto del censo electoral, gozar de mayoría absoluta en el parlamento en detrimento de la representación real del país y de la democracia. Si prospera esta propuesta de ley, la mayoría de los diputados de la Cámara también serán nombrados a dedo. Además se prevé restringir drásticamente las opciones al referendo (o sea, a la expresión popular directa, entre otras cosas a raíz de la experiencia de los referendos de 2011) y la posibilidad de impulsar iniciativas legislativas populares. Se pretende alterar el mecanismo original de la Constitución, reduciendo u obstaculizando la libre participación de las ciudadanas y ciudadanos en la vida política y social. En esta cuestión también ha sido determinante la presión, impropia y anticonstitucional con respecto a su función de garante, del presidente de la República.
En el plano económico, la reforma constitucional, que obliga a “equilibrar el presupuesto”, impide formalmente cualquier tipo de intervención pública en la economía, empujando al Estado central y a las autonomías locales a emprender procesos de privatización generalizados. Todo esto en un contexto de crisis que dura desde el año 2008 y de profunda recesión (PIB negativo desde hace dos años…), prolonga la crisis del empleo, que formalmente ya afecta a más de tres millones de personas (una tasa de paro que ya ronda el 13%, con un pico del 42% entre los jóvenes), a los que hay que añadir otros tres millones que han renunciado a buscar trabajo y más de 600 000 en regulación de empleo, o sea, en un estado que podría calificarse de “desempleo temporal”. Los puestos de trabajo destruidos en los años de recesión ya superan el millón y medio, con decenas de pequeñas y medianas empresas que día tras día anuncian el cierre. Los pobres superan los tres millones (el 1,8 % de las familias), y los diez millones si se incluye la “pobreza relativa” (casi el 13% de las familias). Aunque se carece de datos estadísticos, son numerosísimos los llamados working poor (pobres con empleo).
Masacre social
Mientras tanto, en el plano social, los golpes de los sucesivos gobiernos se han abatido sobre todas las conquistas sociales de los años 60 y 70 del siglo pasado. Las pensiones se han visto mermadas tras varias “contrarreformas”, siendo la última y la peor la de noviembre de 2011, del gobierno Monti-Fornero, que aumentó drásticamente en 5 años la edad de jubilación y anuló toda posibilidad de jubilación anticipada. Los convenios colectivos nacionales, que habían asegurado desde finales de los años 60 la solidaridad de clase entre trabajadoras y trabajadores de todo el país, han quedado desvirtuados y convertidos en gran parte en instrumentos para agravar la explotación. Los salarios están congelados desde el año 2010, con un bloqueo también formal para los funcionarios públicos, y en el fondo también para el sector privado. Los horarios de trabajo se han ampliado mediante varios instrumentos, redoblando de este modo el aumento del paro y por tanto la presión social de los parados, dispuestos a aceptar un puesto de trabajo en las condiciones que sean.
Numerosos trabajadores (varios cientos de miles) que habían perdido el empleo, pero que debido a las nuevas normas en materia de pensiones de jubilación ya no tenían derecho a percibir ninguna, se han quedado sin ningún ingreso. Después se ha reducido el subsidio de paro, tanto en su cuantía como en su duración, a fin de llevar a los parados a la desesperación y a aceptar cualquier trabajo que les ofrezcan. El gasto público social se ha recortado drásticamente, tanto el que corre a cargo del gobierno central como –todavía más drásticamente– el que corresponde a las entidades autónomas locales, con la correspondiente merma de la cantidad y la calidad de los servicios públicos. La escuela y la universidad públicas han sufrido profundos recortes, en beneficio, claro está, de la enseñanza privada. Análogamente, el servicio sanitario nacional también ha visto fuertemente recortados sus ingresos a favor de las clínicas y las mutuas privadas. El recorte de los servicios ha dado pie a una disminución significativa del número de contratados de las administraciones públicas, bloqueando válvulas de escape para el empleo.
Paralelamente asistimos a una rápida y progresiva operación de privatización de todos los servicios, pese a que 26 millones de electores hubieran rechazado en 2011 la política de privatizaciones. Hace ya años que se ha anulado totalmente la financiación para las casas y las capas más pobres, forzando cada vez más la convivencia de más núcleos familiares en la misma vivienda. En los últimos meses el movimiento que con la ocupación de pisos vacíos había tratado de dar una respuesta a esta emergencia social se ha visto golpeado por un decreto que prohíbe a las compañías de gas y electricidad mantener el suministro a casas ocupadas “ilegalmente”. La actitud resignada y a veces cómplice de los grandes aparatos sindicales ha contribuido a que se consienta esta masacre social. Dos importantes organizaciones (la CISL y la UIL) han aceptado explícitamente la orientación neoliberal dominante tratando de reservarse una función servil en su seno.
Evolución de las centrales sindicales
La principal organización sindical, la CGIL, ha mantenido un perfil ambiguo, criticando, a veces incluso severamente, las decisiones de los gobiernos, pero siempre considerando inútil oponerse. Al adoptar una línea moderadamente crítica, la CGIL no ha logrado impedir, y ni siquiera limitar, las secuelas devastadoras de la política económica nacional y europea. La CGIL, el sindicato mayoritario del país (casi 6 millones de afiliados, 16 000 permanentes) que el siglo pasado estuvo vinculado al Partido Comunista, ha llegado a caer prácticamente, debido a su línea política, en la irrelevancia. De un modo cada vez más claro, de Berlusconi a Renzi, los sucesivos gobiernos la han relegado a un papel marginal, que puede comprometer incluso su continuidad en el plano organizativo. La federación metalúrgica de la CGIL, la FIOM, ha adoptado desde hace tiempo una línea política más combativa. En los primeros años de este siglo ya participó como tal organización en el movimiento antiglobalización y en las jornadas de Génova en 2001. Después se enfrentó a la patronal de la multinacional Fiat y se desvinculó abiertamente de las decisiones moderadas y colaboracionista de los metalúrgicos de la CISL y de la UIL. Alrededor de 2010 aparece como un punto de referencia alternativo a la deriva moderada de la CGIL y, en cierta medida, a la crisis de la izquierda política.
Sin embargo, en los últimos años el grupo dirigente de la FIOM ha adoptado una política bamboleante, oscilando entre proclamaciones radicales y una práctica sindical mucho más conformista. Tan solo en las últimas semanas, ante la nueva agresión gubernamental a los derechos de los trabajadores y sus condiciones laborales, la FIOM se orienta hacia un recrudecimiento de la lucha. En la CGIL existe desde siempre una izquierda sindical que en el último congreso obtuvo 42 000 votos, conquistando una presencia en la dirección nacional del sindicato. Esta corriente (que ha adoptado el polémico nombre de “El sindicato es otra cosa – Oposición CGIL”) cuenta con una implantación significativa en algunas fábricas importantes del país.
Al margen y a la izquierda de las grandes confederaciones tradicionales se formaron, en las décadas de 1980 y 1990, diversas organizaciones sindicales más radicales, como la COBAS, la USB, la CUB y numerosas siglas menores. Son organizaciones numéricamente muy pequeñas en comparación con las tradicionales, que además tienen dificultades para acceder a las prerrogativas sindicales y a la contratación. No obstante, han protagonizado algunas luchas significativas y acumulado energía y cuadros que, disgustados con la política de las grandes confederaciones, de otro modo se habrían dispersado y abandonado la militancia. En los últimos tiempos, sin embargo, y pese a que la moderación de los sindicatos confederales resulta cada vez más evidente, su capacidad de presión disminuye por momentos. Esta dificultad se agravará en los próximos meses a causa, entre otras cosas, del pésimo acuerdo sindical suscrito por la CGIL, la CISL y la UIL con la patronal privada, que limita escandalosamente las libertades sindicales de las demás organizaciones.
Nuevo ataque a los derechos laborales
En el mes de septiembre, el gobierno de Renzi sometió al parlamento una propuesta de ley sobre el trabajo, conocida por el anglicismo dominante de Jobs Act. Se trata de un proyecto que entre otras medidas (todas favorables a la patronal) prevé anular la norma que desde hace más de 40 años impide a las empresas los despidos injustificados, comúnmente denominada “artículo 18”. El gobierno de Berlusconi ya intentó en 2002 promulgar una medida similar, pero una fortísima movilización (en particular de la CGIL, que reunió en las calles de Roma a más de un millón de personas) se lo impidió. Ahora un gobierno presidido por el líder de un partido que se define de izquierda y que es miembro del Partido Socialista Europeo pretende hacer lo mismo. Pocos días después de la publicación de la Jobs Act, las plantillas de algunas empresas se declararon en huelga, bloquearon los accesos y se manifestaron en la ciudad. Se trata de movilizaciones semiespontáneas que inducen a la FIOM a dar un nuevo giro a la izquierda con la proclamación de huelgas locales.
La propia CGIL no puede permanecer de brazos cruzados. La política gubernamental es muy agresiva, no solo contra el mundo del trabajo y las clases populares, sino también contra el papel y las prerrogativas de los aparatos burocráticos. Una primera iniciativa ha consistido en organizar una gran manifestación nacional en Roma, en la que han participado 200 000 personas indignadas y combativas. Muchos jóvenes, muchos inmigrantes, muchas fábricas empeñadas en las luchas contra los despidos, los cierres de empresas, las deslocalizaciones. Se ha difundido a bombo y platillo la demanda de proclamar una huelga general. La corriente de izquierda de la CGIL, con una gran presencia en el cortejo, reclamaba en sus pancartas un salto delante de la lucha y la huelga general inmediata. Y la CGIL, al cabo de dos semanas de titubeos y tras un encuentro inútil con el gobierno, en el que se ha visto de nuevo maltratada, y después de un intento vano de reconstruir un frente unitario con la CISL y la UIL, ha decidido proclamar una jornada de huelga general con manifestaciones regionales.
Mientras, el 14 de noviembre, un frente de movimientos (organizaciones estudiantiles, asociaciones de trabajadoras y trabajadores precarios, centros sociales, movimientos ecologistas) y de pequeños sindicatos radicales (en particular la USB, COBAS y CUB) organizan una jornada de movilización y de huelgas. La FIOM participa en dicha jornada con una huelga del sector metalúrgico y una gran manifestación en Milán. Está claro que la plataforma reivindicativa de la CGIL para la huelga es ambigua, no aspira más que a modificar aspectos de la política económico-social del gobierno y no plantea la caída del gobierno de Renzi, que sigue siendo el líder del principal partido de centro-izquierda. Además sigue supeditándose abiertamente a la minoría “laborista” del PD, a la que considera el único interlocutor político disponible. Asimismo, la decisión de última hora de posponer la iniciativa del 5 al 12 de diciembre para converger en la huelga con la UIL, una organización sindical implicada en los peores acuerdos favorables a la patronal, contribuye a que los contenidos de esa jornada resulten todavía más ambiguos.
Cambio de clima político y social
En todo caso, la decisión del aparato burocrático de la CGIL de proclamar una huelga de 24 horas en todos los sectores tiene que ver con el cambio de clima que se está viviendo en Italia. La dureza del ataque y su carácter descarado; las protestas, minoritarias pero extendidas, que reciben al jefe del gobierno en todos sus viajes; las iniciativas de huelga espontánea que han protagonizado algunas fábricas más radicales; el despertar contradictorio, pero obligado, de los aparatos sindicales, todos estos son elementos que están contribuyendo a sacudir a la clase trabajadora italiana del sopor en que se había hundido últimamente, sobre todo tras el fin de los gobiernos de Berlusconi. En los últimos años, Italia se ha situado en la cola de los países en lo que respecta a la lucha contra la política de austeridad. Salvo las movilizaciones de las empresas directamente afectadas por quiebras o deslocalizaciones, aunque todas ellas aisladas, sin ni siquiera tratar de crear una red de coordinación entre luchas potencialmente convergentes, el grueso de la clase trabajadora parecía resignada a perder gran parte de las conquistas de los decenios anteriores.
El mismo mundo juvenil, salvo breves y esporádicas llamaradas de movilización, estaba sumido en la pasividad. Durante años, ningún episodio significativo de lucha generalizada del tipo de las que se vieron con las Mareas en el Estado español o de las huelgas generales repetidas en Grecia. Ahora están acumulándose los síntomas de un cambio de tendencia. Todavía es pronto para decir que la contestación a la política de austeridad está generalizándose, pero es cierto que es la primera vez en años que esta posibilidad parece concretarse. No es por casualidad que la popularidad de Renzi comience a decaer tras el éxito que obtuvo su partido en las elecciones europeas (el 40,8% de los votos, aunque con una participación electoral de tan solo el 58%). Esto es positivo, pero se ve contrarrestado por el hecho de que la inicial radicalización política y social empuja también a la derecha a modificar su política. En efecto, como alternativa al liderazgo de Berlusconi se afirma cada vez más el de Matteo Salvini, de la Liga Norte, en alianza con grupos de extrema derecha declaradamente nazifascistas.
Queda la extrema debilidad de la izquierda “radical”. Tras las derrotas de los últimos años, todas ellas debidas a una política subordinada al Partido Democrático, y las crisis organizativas, las principales organizaciones de la izquierda radical tratan confusamente de reorientarse ante la imposibilidad cada vez más evidente de buscar una alianza con el PD. La lista “Con Tsipras por la otra Europa” (que obtuvo 3 escaños en el Parlamento Europeo) manifiesta todas las contradicciones irresueltas de la izquierda italiana: una constante disputa interna que elude la necesidad de construir un frente social y político contra la austeridad y la nunca ocultada disposición a contraer alianzas hacia la derecha, siempre en versión electoralista y moderada. Sin embargo, el clima que está cambiando impone a todos la máxima claridad. Las potencialidades de las nuevas movilizaciones y la ocasión misma de la huelga del 12 de diciembre exigen dar un salto cualitativo.
[url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192622&titular=renacen-las-luchas-en-italia-[/url] ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192622&titular=renacen-las-luchas-en-italia-[/url])
[url]http://actualidad.rt.com/ultima_hora/view/149994-eurodiputado-insulta-angela-merkel-criticas-francia[/url] ([url]http://actualidad.rt.com/ultima_hora/view/149994-eurodiputado-insulta-angela-merkel-criticas-francia[/url])
[url]http://actualidad.rt.com/ultima_hora/view/149994-eurodiputado-insulta-angela-merkel-criticas-francia[/url] ([url]http://actualidad.rt.com/ultima_hora/view/149994-eurodiputado-insulta-angela-merkel-criticas-francia[/url])
Hace bien poco Mélenchon invitó a Pablemos en una conferencia en Grenoble.
Mélenchon le pegó un ligero toque de atención, el mismo que le pegó Alexis Tsipras en Madrid.
Italia le dice a Berlín que no se meta en sus asuntos
[url]http://www.euroxpress.es/index.php/noticias/2014/12/8/italia-le-dice-a-berlin-que-no-se-meta-en-sus-asuntos/[/url] ([url]http://www.euroxpress.es/index.php/noticias/2014/12/8/italia-le-dice-a-berlin-que-no-se-meta-en-sus-asuntos/[/url])
L’ESPAGNE DANS L’ABÎME DE LA PAUVRETÉ
Le lavage de cerveau permanent des médias aux ordres nous présente sans cesse l’Espagne comme le bon élève de l’Europe, miraculeusement sauvé de la crise par une austérité toute germanique, mais à deux vitesses. Bien sûr, a contrario, la France est le très mauvais élève, à sanctionner si elle continue à refuser de détruire son résidu de classe moyenne.
([url]http://www.vineyardsaker.fr/wp-content/uploads/2014/11/espagne-misere-premiere.png[/url])
L’Espagne n’a pas réduit le coût de son secteur public d’un centime, bien au contraire : les mêmes parasites continuent à se gaver et en tirent gloire. L’Espagne continue à s’endetter encore plus que la France, en pourcentage du moins. Elle en est réduite à falsifier misérablement ses comptes publics pour cacher sa récession. Elle a sauvagement augmenté la TVA, les impôts, le prix des services publics, drastiquement réduit les prestations sociales et détruit tout son tissu industriel. Bref, le massacre grand modèle, signé Troïka, celui appliqué aussi en Grèce et au Portugal avec les résultats que l’on connaît.
Soyez tranquilles, dans un an ou deux, les fonds vautours vont aussi s’intéresser à la dette française et la Hollandie passera sous les mêmes fourches caudines que ses voisins du Sud.
Le présent dossier rassemble des articles publiés entre 2012 et 2014, que j’ai sélectionnés car ils donnent un aperçu réaliste de ce qui vous attend, bon courage !
[url]http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/08/dossier-lespagne-dans-labime-de-la-pauvrete/[/url] ([url]http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/08/dossier-lespagne-dans-labime-de-la-pauvrete/[/url])
Grecia, Italia, Bélgica: la Europa que se levanta
La ortodoxia de Berlín y de Bruselas tiene motivos para estar inquieta.
¿Es aún capaz de hacer algo para contrarrestar el empuje de la multiforme protesta que se le ha echado encima?
Una vez más, Grecia amenaza con romper los equilibrios que sostienen al euro y la precaria estabilidad política de la UE. Atrapado entre dos fuegos –las presiones de la troika para que intensifique aún más la austeridad y los recortes, de un lado, y la protesta ciudadana, de otro- el gobierno derechista ha optado por jugársela a una carta. Adelantando a enero su elección, Andoni Samaras pretende evitar que la presidencia de la república caiga en manos de la oposición. No está dicho que lo logre. Si fracasa, lo que tendría que adelantar son las elecciones generales. Y éstas, según todos los indicios, serán ganadas por Siriza, es decir, por una izquierda que quiere renegociar la deuda externa del país y dejar de pagar una buena parte de la misma.
Los mercados han reaccionado histéricamente ante esa precipitación de los acontecimientos. Y la histeria sigue, indicando la escasa confianza que los centros financieros del continente tienen en el statu quo sin grandes sobresaltos que esos mercados viven desde hace más de un año.
Además, aun siendo Grecia la que amenaza con romper la baraja, es de Italia y de Francia de donde proceden las mayores inquietudes para los patrones de la política de austeridad que, sin resolver a fondo los problemas financieros, ha llevado a buena parte de la Europa del euro al borde de la recesión.
Italia sigue estancada económicamente y las reformas del gobierno centroizquierdista de Matteo Renzi no producen resultados positivos. Por el contrario, están alimentando una protesta social que se manifiesta en dos direcciones: por un lado, la movilización de los dos sindicatos que, en teoría, deberían estar de parte de Renzi y que acaban de hacer una importante huelga general. Por el otro, en la mejora en los sondeos del movimiento antisistema de Beppe Grillo y también de la recuperación de la xenófoba y derechista Liga Norte.
En Francia, mientras el gobierno socialista aprueba nuevas reformas para satisfacer a Angela Merkel, crece la oposición popular a esas reformas y el ultraderechista Front National de Marine Le Pen consolida su posición de primer partido en las encuestas.
Como remate, una seguidísima huelga general, igualmente contra la política de austeridad, acaba de paralizar Bélgica. En definitiva, que la ortodoxia de Berlín y de Bruselas tiene motivos para estar inquieta. ¿Es aún capaz de hacer algo para contrarrestar el empuje de la multiforme protesta que se le ha echado encima?
[url]http://iniciativadebate.org/2014/12/15/grecia-italia-belgica-la-europa-que-se-levanta/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2014/12/15/grecia-italia-belgica-la-europa-que-se-levanta/[/url])
Es la inflación. O la mentalidad inflacionaria, para ser precisos.
Ayer hablabamos de eso en otro hilo, el problema común de los países del Sur es que hemos generado una tremenda inflación con una moneda deflacionaria durante un cierto "período de adaptación" y eso se ha traducido en enormes desequilibrios en las cuentas públicas que cada país ha salvado como ha podido:
-Portugal y Grecia mal porque son los más pobres y desequilibrados al ser a la vez economías pequeñas y no especializadas, aunque los lusos tienen más industria y los griegos más turismo, pero ambos son por necesidad importadores netos,incluso totales en muchísimos renglones (Grecia no produce ni un automóvil y en material militar ambos países son casi 100% importadores).
-España va tirando mezclando trampitas, amenazas veladas ("tú verás si me haces quebrar, soy demasiado grande"), y cierta capacidad exportadora antes no bien explotada porque la escala del aparato productivo es más grande y cierta especialización productiva tenemos. Pero ahí seguimos renqueando. Y es triste porque seguramente con una política industrial algo decente y mejoras en la eficiencia energética del país podríamos ser un exportador neto o al menos un país en equilibrio sostenible.
-Italia simplemente mantiene la inercia del pasado, un tamaño importante,la segunda industria europea tras Alemania y la capacidad para ir encajando su elevada deuda al ahorro nativo más o menos bien camuflado, aparte de que su estructura pública es tan anticuada y parcheada que sería fácil reformarla para reducir mucho el déficit sin grandes quebrantos ni injusticias.
Todos estos países, unos más que otros, hemos construido esa "clase media" que el comercio y la industria no pudieron aflorar en la debida proporción, a base de sector público con salarios y pensiones más elevados respecto al promedio que los países del Norte, que no tienen ese problema de escasez/fragmentación/mala gestión del capital que tanto afecta a los del Sur.
Alemania tiene casi 5M de declarantes de renta en la banda €50-100K y otros 1,3M por encima de €100k; en España hay en total 600,000 declaraciones de más de €60K de las que 65.000 superan los €150k. Eso es una "clase media" (entrecomillo por el ya clásico debate sobre lo que realmente es clase media, estamos tomando por tal a la "obrera de lujo" en buena medida, pero se entiende) potente en gran medida en el sector privado donde la industria y sus servicios anexos pesan mucho. Por eso también el 1% de alemanes es millonario contra el 0,3% en España. Y entonces no podemos pedir cifras homologables en casi nada, pero en algunos capítulos de lo público las tenemos y de ahí las tensiones. Estamos obligados a una mayor eficiencia en la administración de unos dineros que en términos per capita son escasos en relación a lo que pedimos de ellos.
Con una moneda como el euro la otra cara de la moneda de la represión financiera que mantiene los tipos nominales bajitos y, con la deflación, la variación de precios en torno al cero, es que el ingreso nominal del sector público NO VA A CRECER o lo hará a ritmo muy lento y entretanto persiste un deficit demasiado elevado. Y adaptarse a eso viniendo de una década en la que se incrementaba a tasas muchos años de dos dígitos, por fuerza es doloroso y seguirá siéndolo porque no hay recetas mágicas.
Una reestructuración de la deuda con especial incidencia en alargamiento enorme de plazos y rebaja de tipos es algo que seguramente está en agenda, pero el alivio que tal cosa representaría sería, siendo optimistas, de €15.000M, que vendrían muy bien para el gasto pero deberían destinarse a seguir reduciendo el deficit, y administrar políticamente algo así es complicado. La cuestión de fondo es que el BCE no puede comportarse exactamente como la FED porque el euro todavía no es el dólar (y puede que nunca lo sea) a efectos de uso y aceptación universales como divisa comercial, así que difícilmente veremos un QE a la americana con el propio banco comprando incondicionalmente deuda. Y es que en el fondo la unidad política importa, en USA echar la mierda de Wisconsin y Louisiana a la Fed ed factible porque los contribuyentes bostonianos o californianos lo consideran normal y aceptable, no así en Europa, donde además la parte "rica" no es tan grande ni tan fuerte como para soportar el peso de todo el Sur.
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L’Espagne n’a pas réduit le coût de son secteur public d’un centime, bien au contraire : les mêmes parasites continuent à se gaver et en tirent gloire. L’Espagne continue à s’endetter encore plus que la France, en pourcentage du moins. Elle en est réduite à falsifier misérablement ses comptes publics pour cacher sa récession. Elle a sauvagement augmenté la TVA, les impôts, le prix des services publics, drastiquement réduit les prestations sociales et détruit tout son tissu industriel. Bref, le massacre grand modèle, signé Troïka, celui appliqué aussi en Grèce et au Portugal avec les résultats que l’on connaît.
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Bruselas se moviliza contra Syriza :roto2:
En los últimos días se han sucedido las intervenciones, o injerencias, de altos dignatarios de la UE para influir en la opinión de los ciudadanos griegos a fin de impedir la derrota electoral de la derecha que siguen pronosticando los sondeos.
Se diría que en Bruselas han tocado a rebato para impedir que Syriza llegue al poder en Grecia. Justo después de que el primer ministro conservador, Antonis Samaras, adelantara a la desesperada la elección parlamentaria del nuevo presidente de la república, provocando la histeria en los mercados, en los últimos días se han sucedido las intervenciones, o injerencias, de altos dignatarios de la UE para influir en la opinión de los ciudadanos griegos a fin de impedir la derrota electoral de la derecha que siguen pronosticando los sondeos.
El jueves pasado el propio presidente de la Comisión Europea intervino abiertamente en ese sentido. Jean Claude Juncker, que acaba de superar, con el apoyo del centro derecha y de los socialistas, un voto de censura en el Parlamento Europeo por el escándalo de los favores fiscales a cientos de multinacionales, tomó partido en términos nada ambiguos a favor de Samaras en una entrevista en la televisión austriaca ORF 3. “No quiero que las fuerzas extremistas lleguen al poder en Grecia” :biggrin:, dijo. Y en relación con la elección del presidente, cuya primera de las tres votaciones previstas tendrá lugar este miércoles, añadió: “Preferiría volver a ver rostros familiares en enero” (tras la tercera votación) en una clara defensa del candidato de la derecha Stavros Dimas, que ha sido comisario europeo y varias veces ministro en Grecia.
Pero Juncker fue más allá: “Soy consciente”, dijo, “de la plena soberanía de los electores, pero tengo que prevenirlos porque creo que es mi deber porque soy amigo de Grecia :rofl: y si se da la impresión de que los griegos quieren alejarse de los compromisos adquiridos, habrá países de la eurozona que preferirán terminar la presencia de Grecia en la zona del euro”.
El lunes 15, el turno de la injerencia le ha tocado al comisario europeo de Economía, Pierre Moscovici, en viaje a Atenas. “La vuelta potencial del riesgo de una salida de Grecia del euro sería una desgracia”, ha dicho el que durante muchos años ha sido alto dirigente del Partido Socialista francés. Al tiempo Moscovici ha hecho grandes elogios de Samaras y de su política, la que impone férreamente la troika: “Las autoridades griegas han realizado grandes progresos. Los ajustes fiscales empiezan a dar frutos. :rofl: Sería una desgracia no proseguir en esa dirección. Contemplar la posibilidad de no pagar la deuda es suicida” :biggrin:. También el jueves, la portavoz de la Comisión, Mina Andreeva, ha declarado: “Que Grecia siga en la eurozona es la única solución”.
Alexis Tsipras, el líder de Syriza, ha reaccionado en estos términos: “Quieren meter miedo para influir en la elección presidencial. Pero nada de lo que intenten va a funcionar y se volverá contra ellos como un bumerán”. Justamente este martes se hizo público un sondeo que pronostica el 28% de los votos para Syriza en las próximas generales (en octubre la misma fuente le atribuía un 27 %, casi cuatro puntos más que el 23,1% atribuido a la Nueva Democracia de Samaras, que también crece respecto del 20,2 % del mes anterior).
[url]http://iniciativadebate.org/2014/12/17/bruselas-se-moviliza-contra-syriza/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2014/12/17/bruselas-se-moviliza-contra-syriza/[/url])
Movilizaciones en Bélgica: Los jefes de Estado de la UE se marchan de Bruselas para no coincidir con las protestas
([url]https://www.diagonalperiodico.net/sites/default/files/styles/pantalla_comp/public/foto/bruselas.jpg?itok=VHb5H3p1[/url])
"los líderes del Consejo han optado por desconvocar la segunda jornada de la Cumbre Europea de Jefes de Estados".
[url]http://iniciativadebate.org/2014/12/20/movilizaciones-en-belgica-los-jefes-de-estado-de-la-ue-se-marchan-de-bruselas-para-no-coincidir-con-las-protestas/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2014/12/20/movilizaciones-en-belgica-los-jefes-de-estado-de-la-ue-se-marchan-de-bruselas-para-no-coincidir-con-las-protestas/[/url])
El nuevo “arco de inestabilidad” europeo
El Consejo Europeo de Relaciones Exteriores y el gabinete estratégico Friedrich Ebert Stiftung acaban de llegar más o menos a la misma conclusión:
Si el peligroso enfrentamiento entre la UE y Rusia respecto a Ucrania no se resuelve, la UE podría enfrentar, hasta 2030, una concentración militar en Europa oriental, una nueva carrera armamentista con la OTAN como protagonista y una “zona de inestabilidad” semipermanente del Báltico a los Balcanes y el Mar Negro.
Lo que esos dos grupos de expertos no reconocen –y no reconocerán jamás– es que un nuevo “arco de inestabilidad” –del Báltico al Mar Negro, como yo y otros analistas independientes hemos destacado– es exactamente lo que el imperio del caos y su brazo armado –la OTAN– postulan para impedir una integración más estrecha en Eurasia.
A propósito, el Pentágono descuella en la fabricación de “arcos de inestabilidad”. El anterior fue –y sigue siendo– masivo y se extiende del Magreb a Xinjiang en China occidental pasando por Medio Oriente y Asia Central.
Moscú ha identificado totalmente el complot. El Ministro de Exteriores Sergey Lavrov, una vez más, lo dejó bien claro, en detalle.
Y crucialmente, algunos sectores influyentes en Alemania también lo hicieron, como lo hicieron miembros de la elite cultural al destruir la noción de una nueva guerra en Europa: “No en nuestro nombre”.
Lo mismo se aplica a los que siempre predican más cooperación transatlántica, ensalzan el papel “definidor” de EE.UU. en Alemania y elogian efusivamente a Alemania como país más estadounidense en Europa; es el caso del periódico Frankfurter Allgemeine, conocido como centro del establishment político y económico en Alemania.
Todavía se encuentra en un estado embrionario y todavía no ha llevado a la Canciller Angela Merkel a ver la verdad, pero una reingeniería de procesos de las relaciones atlantistas ya está en progreso en Alemania. La guerra de SWIFT.
Mientras tanto, el grupo proverbial de senadores extremistas estadounidenses, más las tristemente célebres mascotas/vasallas de Gran Bretaña y Polonia, no han dejado de cabildear para excluir a Rusia de SWIFT, como hicieron con Irán.
Esto no sería nada más que otra declaración más de guerra (económica) o el contrapunto económico a la histeria de la OTAN. En honor a la verdad, una gran parte de la UE, especialmente Alemania, sabe que esto es demencial.
El principal periódico financiero de Alemania, Handeslsblatt, publicó recientemente una entrevista con el jefe de VTB-Bank, Andrei Kostin, que no se ha traducido en ningún importante periódico en lengua inglesa.
Kostin fue directamente al grano: “Por supuesto, existe un plan B [en caso de que se excluya a Rusia del sistema bancario SWIFT], pero mi opinión personal es que significaría guerra, si ese tipo de sanción se introdujese. EE.UU. y Europa hicieron eso contra Irán pero entonces no había relaciones diplomáticas con Irán, solo contención militar…. Si se prohibiera el acceso de los bancos rusos a SWIFT, el embajador estadounidense tendría que largarse ese mismo día. Las relaciones diplomáticas terminarían. La banca es la parte más vulnerable de la economía rusa porque el sistema se basa tan fuertemente en el dólar y el euro”.
El próximo mes de mayo el Banco Central de Rusia planifica introducir un sistema análogo a SWIFT después de consultas cruciales con China. También es siempre importante tener en cuenta que China estableció un SWIFT paralelo para hacer negocios con Irán bajo las sanciones. Pero todavía habrá un espacio de cuatro meses para quepasen muchas cosas desagradables después que un Senado controlado por los republicanos asuma el poder en enero.
Todo lo que brilla…
Y luego tenemos la regla de oro. ¿Por qué compra Rusia tanto oro? Con el dólar de EE.UU. fortalecido y el oro abaratado, tiene sentido comercial total vender gas por dólares inflados y comprar oro barato. Es lo que los chinos llaman un “win-win” (una situación beneficiosa para todos). Y por cierto, en ambos casos Occidente pierde.
Las elites de Washington/Wall Street son perfectamente conscientes de que tanto Moscú como Pekín ya no acumularán dólares estadounidenses. En cuanto a los plutócratas amos del universo que manipulan/controlan el valor del dólar estadounidense, existen razones poderosas para que uno de sus propósitos sea destruir la base industrial de EE.UU. y las clases medias de la nación.
Moscú, mientras tanto, se ha ajustado a la nueva “inestabilidad”. El débil rublo tiene un efecto positivo –que ya ha sido destacado por el presidente Putin– al obligar a Rusia a diversificar su manufactura y aumentar su autosuficiencia.
Por cierto, sigue existiendo el problema de que Rusia pague el interés extranjero de su deuda en dólares estadounidenses. Es siempre posible que Rusia declare una moratoria en los reembolsos de la deuda. El rublo podría bajar aún más. Pero como todos, de Lukoil a Rosneft, convierten más dólares en rublos, eso volverá a fortalecer el rublo. Además de que el rublo está en venta corta tal y como aparece. El resultado final es que Moscú ha aprendido una lección más para el futuro inmediato: nunca endeudarse con Occidente.
Lo que es seguro es que el imperio del caos no aflojará su estrategia de calentamiento del nuevo arco de inestabilidad –dentro de Europa, en todo el espectro económico-financiero e instrumentalizar su nuevo telón de acero prefabricado desde el Báltico al Mar Negro.
El Kremlin parece que sabe exactamente lo que está en juego. Como me dijo The Saker en un correo electrónico, “Putin está diciendo a Occidente y al pueblo ruso que se desarrolla una larga guerra y que el pueblo ruso tiene que estar moralmente preparado para aceptar sacrificios por la supervivencia de Rusia. Hay un paso más en el ‘debut’ de los que llamo los “soberanicistas eurasiáticos” en el cual ahora EE.UU. se [ha] declarado abiertamente enemigo rusofóbico (que odia a Rusia y teme a Rusia) y a los europeos como una colonia impotente. El poder militar no es directamente un factor en el asunto, el equilibrio del poder interno entre los ‘integracionistas atlánticos’ prooccidentales y los ‘soberanicistas eurasiáticos’ sí lo es.
Todo está presente, desde la debacle de un régimen (Bretton Woods) a la actual crisis provocada, todo explicado brillantemente por Mikhail Khazin. Rusia se prepara para hacer un buen papel. ¿Y Occidente?
[url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=193379&titular=el-nuevo-%93arco-de-inestabilidad%94-europeo-[/url] ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=193379&titular=el-nuevo-%93arco-de-inestabilidad%94-europeo-[/url])
Oubliez les déclinistes, voici venu les «çavapétistes» [1]
5. Une victoire de Marine Le Pen
Dernier scénario, qui commence à prendre corps, curieusement, dans les milieux économiques. Ce serait le moyen de «lever l'hypothèque». Comme elle mettrait la France à genoux, par dévaluations massives et nationalisations de force, elle ne tiendrait pas six mois. Le paysage politique pourrait enfin se reconstruire autour des réformistes de gauche et de droite.
Le «çavapétisme» est une forme de dernier espoir. Du chaos renaîtra une France redevenue normale, ayant enfin décidé d'épouser son époque et de se remettre en avant. Mais il est bien triste d'en arriver à souhaiter la crise. Le pays n'a-t-il plus assez de forces, d'atouts, de responsables courageux, pour s'éviter une catharsis?
Le «çavapétisme» est une forme de dernier espoir
En francés
Caso de estudio --- El ayuntamiento de Paris ejerce preempción sobre apartamentos en venta para convertirlos en viviendas de alquiler social.
Artículo pretexto:
[url]http://lci.tf1.fr/france/societe/la-mairie-de-paris-reinvente-la-mixite-sociale-8529701.html[/url] ([url]http://lci.tf1.fr/france/societe/la-mairie-de-paris-reinvente-la-mixite-sociale-8529701.html[/url])
Debate que le sigue en el foro
[url]http://www.bulle-immobiliere.org/forum/viewtopic.php?f=168&t=90358[/url] ([url]http://www.bulle-immobiliere.org/forum/viewtopic.php?f=168&t=90358[/url])
(Si hay alusiones que se os escapan, preguntad e intentaré aclararlas.)
Lo pongo como representativo de lo que supone poner en marcha ciertas medidas para transicionar.
Creo que es importante para comprender que no sólo se trata de esperar a que la PPSOE "haga lo que tiene que hacer" y todos mirando.
El debate es muy civilizado, por eso es instructivo.
página 1
-1- Adaptacion municipal de la ley de preempción publica para que se aplique a viviendas, con fines sociales, no sólo a inmuebles
-2. Reacción de himbersores del foro -- potenciales afectados sobre la salud del libre mercado,
-3- Apertura del debate con casos reales de beneficiarios de viviendas sociales
-4- Acusaciones veladas de futuro amiguismo en el municipio
-5- Noticia de la validación de la medida municipal por el Consejo supervisor (justicia)
página 2
-6- Deriva sobre el coste de los casos sociales para la sociedad. Deriva sobre los funcionarios
-7- Crispacion ortográfica/gramatical para atacar la credibilidad de los interlocutores
(Lo pongo en este hilo por no inundar otros hilos con referencias en v/FR)
Ya poniéndose en plan "malvado comunista terrorista contra la propiedad" se podría crear una expropiación parcial o total de viviendas que precisen rehabilitación a cambio de que se sufrague con dinero público. El plan F de que tanto hemos hablado. El que no quiera o no pueda pagar, que vea su vivienda en el registro hipotecada a favor de su ayuntamiento y al fallecer se convertirá en social del alquiler, que ya no estamos para jugar a regalar pisitos.
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
I. Los hombres han nacido, y continúan siendo, libres e iguales en cuanto a sus derechos. Por lo tanto, las distinciones civiles sólo podrán fundarse en la utilidad pública.
II. La finalidad de todas las asociaciones políticas es la protección de los derechos naturales e imprescriptibles del hombre; y esos derechos son libertad, propiedad, seguridad y resistencia a la opresión.
III. La nación es esencialmente la fuente de toda soberanía; ningún individuo ni ninguna corporación pueden ser revestidos de autoridad alguna que no emane directamente de ella.
Ya es oficial: UK supera a Francia
[url]http://www.zerohedge.com/news/2014-12-27/hookers-blow-lift-britain-over-france-worlds-5th-largest-economy[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2014-12-27/hookers-blow-lift-britain-over-france-worlds-5th-largest-economy[/url])
Ya es oficial: UK supera a Francia
[url]http://www.zerohedge.com/news/2014-12-27/hookers-blow-lift-britain-over-france-worlds-5th-largest-economy[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2014-12-27/hookers-blow-lift-britain-over-france-worlds-5th-largest-economy[/url])
El FMI suspende la ayuda a Grecia hasta la formación de nuevo Gobierno
[url]http://www.elmundo.es/internacional/2014/12/29/54a1711ae2704e12708b4580.html?cid=SMBOSO25301&s_kw=twitterCM[/url] ([url]http://www.elmundo.es/internacional/2014/12/29/54a1711ae2704e12708b4580.html?cid=SMBOSO25301&s_kw=twitterCM[/url])
La ciudad de Grenoble sustituirá las vallas publicitarias por árboles
[url]http://iniciativadebate.org/2014/12/29/la-ciudad-de-grenoble-sustituira-las-vallas-publicitarias-por-arboles/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2014/12/29/la-ciudad-de-grenoble-sustituira-las-vallas-publicitarias-por-arboles/[/url])
Hasta en Bélgica se habla de... fin de clase media, fin del trabajo, etc.
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2014-12-28/el-oasis-de-la-clase-media-belga-se-seca-parece-que-ahora-o-eres-rico-o-eres-pobre_599854/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2014-12-28/el-oasis-de-la-clase-media-belga-se-seca-parece-que-ahora-o-eres-rico-o-eres-pobre_599854/[/url])
[url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192639[/url] ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192639[/url])
Hasta en Bélgica se habla de... fin de clase media, fin del trabajo, etc.
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2014-12-28/el-oasis-de-la-clase-media-belga-se-seca-parece-que-ahora-o-eres-rico-o-eres-pobre_599854/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2014-12-28/el-oasis-de-la-clase-media-belga-se-seca-parece-que-ahora-o-eres-rico-o-eres-pobre_599854/[/url])
Échale un ojo.Citar[url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192639[/url] ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=192639[/url])
Le he dado al Like, llevado por la emoción, aunque antes de leer el último párrafo lepenista... :(
No estan pagando absolutamente nada.
Llevan ya años financiandose estupendamente en buena parte por contraste con nuestra debacle y la de Grecia etc, y años limpiando sus balances de la deuda griega etc, y de todo lo que huela mal.
Se que estoy escribiendo "burradas" pero es que leo eso de "ayudar" y me parece que eso no existe, y no me parece el enfoque adecuado.
Hace unos días, en el aeropuerto de Valencia, había personal del INE haciendo encuestas en la puerta de embarque:A mí ya digo que me desagrada esa señora pero entiendo que si no se busca un arreglo ambicioso al proyecto europeo, el hipernacionalismo va a ser el remedio más socorrido . Lo malo es que se empuje a las poblaciones a ello.
- Hola, soy del INE y blabla-traka-matraka, sería tan amable de responder unas preguntas?
- Por favor
- Es ustéc español?
- Si
- Trabaja en el extranjero?
- Si
- Ha venido de vacaciones?
- Si
- Cuántos días ha pasado aquí?
- Siete
- Reside ustéc en España?
- Nein
- Muchas gracias
- a ustéc
Escuché además las respuestas de otros viajeros y, excepto los días de estancia, todas las respuestas eran las mismas.
:roto2:
"El individuo ha luchado siempre para no ser absorbido por la tribu. Si lo intentas, a menudo estarás solo, y a veces asustado. Pero ningún precio es demasiado alto por el privilegio de ser uno mismo".
F.Nietzsche
El artefacto semántico "casta" es una de los puntos fuertes de Podemos.
Precisamente su fortaleza reside en su indefinición. Es imposible crear una regla clara y consistente que permita clasificar perfectamente a la gente en casta y no casta. Esa indefición es perfecta a los propósitos con que se está usando, porque el cerebro no rechaza este tipo de abstracciones imprecisas, en realidad estamos casi 'diseñados' para manejarlas, y las usamos a menudo en todo tipo de ámbitos y situaciones.
[...]
El artefacto semántico "casta" es una de los puntos fuertes de Podemos.
Precisamente su fortaleza reside en su indefinición. Es imposible crear una regla clara y consistente que permita clasificar perfectamente a la gente en casta y no casta. Esa indefición es perfecta a los propósitos con que se está usando, porque el cerebro no rechaza este tipo de abstracciones imprecisas, en realidad estamos casi 'diseñados' para manejarlas, y las usamos a menudo en todo tipo de ámbitos y situaciones.
[...]
El punto fuerte no es sólo el concepto de "casta" cuya autoría, por otra parte, no es de Podemos.
El punto fuerte es que Podemos es de facto el administrador del concepto de "casta", que ellos irán cambiando conforme a las necesidades electorales, las suyas, del momento.
Quítese a Podemos la administración casi en exclusiva del concepto de casta - o en su defecto, repártase con terceros tanto como sea posible -, y a este partido se le privará de una de sus más potentes armas.
Europa prefiere buitres
Las autoridades europeas se ponen del lado de los fondos financieros y de los bancos
Últimamente se han aprobado en Naciones Unidas varias resoluciones sobre la deuda soberana que significativamente han pasado casi desapercibidas en los medios de comunicación españoles.
El septiembre pasado, la Asamblea General aprobó una resolución para impulsar un marco multilateral que regule los procesos de reestructuración de deuda soberana y posteriormente se han ido tomando acuerdos para definirlo y establecer el calendario de actuaciones.
Los promotores realizaron la propuesta con motivo de la batalla legal que mantenía Argentina con fondos financieros de los llamados buitres por su forma de actuar. Uno de ellos compró en su día 48 millones de dólares en bonos argentinos por una fracción de su valor nominal y cuando ese país acordó la reestructuración con el 92,4% de sus acreedores el fondo se negó a aceptarla. Demandó entonces al Estado argentino en Estados Unidos reclamándole el 100% de los títulos más los intereses (1.500 millones en total) y un juez le dio la razón. Argentina se encontró en un gran aprieto pero no porque no quisiera pagar, como dijeron algunos, sino porque un 1% de los acreedores había bloqueado sus pagos al resto.
Estados Unidos, Japón y los miembros de la Unión Europea fueron los principales países que no apoyaron la resolución, bien absteniéndose (41, como España) o votando en contra (11), mientras que 124 países (el 70%) votaron a favor
Estados Unidos se opuso alegando que la medida provocaría incertidumbre en los mercados financieros y porque prefiere otros foros como el Fondo Monetario Internacional (donde el 9% de los miembros de la ONU que se oponen a estas medidas tienen el 46% de los votos). El representante italiano que habló en nombre de todos los Estados miembros de la Unión Europea reconoció la importancia de la reestructuración pero se opuso a la resolución por una razón más simple y "a la europea": "necesitamos realizar muchas deliberaciones en nuestras capitales".
Como desgraciadamente viene ocurriendo en tantas ocasiones, las autoridades europeas también ahora se pusieron del lado de los fondos financieros y de los bancos, de los grandes acreedores. Todas las crisis de deuda han terminado con algún tipo de reestructuración de modo que lo que con toda seguridad hay por delante en Europa no será reestructurar o no la que tenemos, sino hacerlo bien o hacerlo mal, a favor de unos o de otros. Al rechazar estos marcos multilaterales ni siquiera se favorece a todos los acreedores o a la estabilidad de los mercados y de la economía sino a los fondos especulativos y a quienes solo buscan jugar con ventaja. Los dirigentes europeos han hecho otro flaco servicio a sus pueblos que son los que pagan la deuda colosal generada en su beneficio por los bancos y las grandes empresas.
[url]http://ccaa.elpais.com/ccaa/2015/01/04/andalucia/1420371044_024930.html[/url] ([url]http://ccaa.elpais.com/ccaa/2015/01/04/andalucia/1420371044_024930.html[/url])
[url]http://vozpopuli.com/economia-y-finanzas/55388-ataque-a-tiros-en-la-sede-de-la-revista-francesa-que-desnudo-a-mahoma-al-menos-11-muertos[/url] ([url]http://vozpopuli.com/economia-y-finanzas/55388-ataque-a-tiros-en-la-sede-de-la-revista-francesa-que-desnudo-a-mahoma-al-menos-11-muertos[/url])
Ataque a tiros en la sede de la revista francesa que desnudó a Mahoma: al menos 11 muertos
Testigos del tiroteo aseguran que varios hombres encapuchados y armados con rifles kalashnikov irrumpieron en la sede del semanario 'Charlie Hebdo' al grito de "vamos a vengar al profeta". Entre las víctimas podría encontrarse un agente de policía. Hollande dará una rueda de prensa en El Elíseo a las 14.00 horas.
¿Procede un hilo sobre inmigración y racismo? ¿O, más específico, uno sobre el islam en occidente?
Estaría bien comprobar si aquí en TE podemos tener ese debate sin que se arme un carajal y acabemos llamándonos de todo. Seguro que sí, esto no es burbuja, pero está por comprobar.
Si Europa necesita población, mi humilde opinión es que es preferible firmar tratados con Hispanoamérica y con el África subsahariana que con una inmigración cuya integración es incierta.incierta.... como el agua y el aceite, más bien.
A mí me han dicho tales barbaridades, no ya por abordar el tema, sino sólo por decir en público que el tema debía abordarse, que a estas alturas de mi vida y mi progresivo burn out no sé si tengo ganas de participar, aunque prometo seguir el hilo con interés. :biggrin:
Edito. Venga, ¿quién lo abre?
en el nuevo hilo, no se olviden que la religion solo es una escusa; que se hacen propaganda cruzada entre ellas a base de enfrentamientos y que su afan por ofenderse es cosa suya, como los fans de un club de jurgol; que es una gran palanca de reclutamiento
https://www.youtube.com/watch?v=tS_MT79m4Vw (https://www.youtube.com/watch?v=tS_MT79m4Vw)
CitarSi Europa necesita población, mi humilde opinión es que es preferible firmar tratados con Hispanoamérica y con el África subsahariana que con una inmigración cuya integración es incierta.incierta.... como el agua y el aceite, más bien.
No sé si estoy leyendo demasiado burbuja, pero la verdad es que es chocante que los mismos progres que consideran agresión sexual mirarle el culo a una mujer estén defendiendo que los musulmanes "tienen sus costumbres y hay que respetarlas". Los mismos que cuando matan a un inmi piden guillotinas y llaman a la rebobolución, hoy están haciendo llamamientos a la "no violencia", como si fuera un muerto en una pelea futbolera.
Y reconozcamos que, en mayor o menor medida, todos los partidos relevantes están en esa posición. No es que sean neutros, es que salen por la tele a decir que el que tenga alguna duda es un asqueroso inmoral. Están empujando a los votantes hacia el FN, la manifas de Pegida y el Amanecer Dorado.
[...]
Estoy con Crozet; erradicar con la educación todo tipo extremismos.
No hablo de pena de muerte, a la cual me opongo (caso de que se los capturen). Aunque soy contrario a la aplicación judicial de la pena de muerte, soy más que favorable al asesinato.
[...]
Estoy con Crozet; erradicar con la educación todo tipo extremismos.
Buenismo.
La razón, por mucha que se tenga, no siempre se impone por sí misma. De ser así, ningún país tendría necesidad de tener ejército y policía.
Y acerca de la educación, tiene sus límites. Cabe destacar que ésta no es exclusiva del estado: de iure - al menos en el caso de España, constitución en mano - y, sobre todo, de facto.
Por ejemplo, por mucho que a un niño le razonen en el cole que el racismo no tiene base científica alguna, si en su entorno familiar le ríen las gracias a otro majadero que en el estadio de fútbol tira desde la grada bananas a un futbolista de raza negra, pues mal veo a ese futuro adulto.
No hablo de pena de muerte, a la cual me opongo (caso de que se los capturen). Aunque soy contrario a la aplicación judicial de la pena de muerte, soy más que favorable al asesinato.
A esta alturas, no es necesario recordar como se las gastan en el estado de la egalité con sus fuerzas de seguridad.
No hablo de pena de muerte, a la cual me opongo (caso de que se los capturen). Aunque soy contrario a la aplicación judicial de la pena de muerte, soy más que favorable al asesinato.
A esta alturas, no es necesario recordar como se las gastan en el estado de la egalité con sus fuerzas de seguridad.
Lo tengo muy presente y espero que se apliquen a conciencia. Más aún, tengo la intuición de que mi deseo es muy probablemente también el suyo.
Y para mí la justicia aquí no es precisamente lo más importante; tampoco lo menos, pero en todo caso, subsidiario frente tanto a la reparación de la afrenta, como a nuestra seguridad.
Juzgarlos sólo traerá problemas, en mi modesta opinión. Por todo eso, propongo localización y eliminación.
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Estoy con Crozet; erradicar con la educación todo tipo extremismos.
Buenismo.
La razón, por mucha que se tenga, no siempre se impone por sí misma. De ser así, ningún país tendría necesidad de tener ejército y policía.
Y acerca de la educación, tiene sus límites. Cabe destacar que ésta no es exclusiva del estado: de iure - al menos en el caso de España, constitución en mano - y, sobre todo, de facto.
Por ejemplo, por mucho que a un niño le razonen en el cole que el racismo no tiene base científica alguna, si en su entorno familiar le ríen las gracias a otro majadero que en el estadio de fútbol tira desde la grada bananas a un futbolista de raza negra, pues mal veo a ese futuro adulto.
Buenismo.
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La educación de esta gente es de militar-mercenario. No son 3 frikis extremistas que han conseguido unas kalashnikov, son paramilitares con experiencia real en combate. De esto se desprende que actuaban por encargo.
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No creo que nunca en la historia la gente se haya respetado tanto como ahora. Tengo en casa textos de hace un siglo donde se describen a pueblos asiáticos ridiculizando sus "paganas costumbres" cuando habla sobre el budismo o el hinduismo. Y si a un europeo del siglo XVI le hubieran tocado sus creencias como actualmente les sucede a los musulmanes, hubiera actuado de forma parecida.
Pero todos hemos aceptado ser tolerantes, lo que en el fondo es un síntoma de que la globalización nos pone de manifiesto que nuestra "religioncita" local no tiene ni más ni menos fundamento que las demás.
Una opción para Europa es construir un muro en la frontera sur e intentar aislarse pero otra más efectiva (en mi opinión) es ayudar a los musulmanes que quieren reformar sus países. Al fin y al cabo, el ascenso de la islamización vino de forma paralela a la "multiculturalidad", el falso "respeto" y una cierta auto-culpa en Occidente. Otra cuestión sería plantear qué es lo que ofrece Europa intelectualmente si ni nosotros nos creemos nuestros ideales.
Escribí rápido, entendí se sobreentiende que son extremistas (Alah hu Akbar)
edit: es más, el objetivo lo és sólo bajo el punto de vista extremista.
Dudo mucho que sean mercenarios.Vale, pongo en cuarentena el término mercenario, pero por lo mismo que apuntas en lo citado, una acción así no la puedes realizar en París sin ayuda. Hay más gente involucrada, una logística, ejecutores y un jefe. En París no hay campos de entrenamiento terrorista ni nada semejante. O los han traído de fuera o son extremistas locales con experiencia en conflictos de oriente medio.
La burrada la han perpetrado en pleno París, no en una zona de guerra donde todo vale. Los franceses no olvidan este tipo de 'bromas' en su casa, ergo, estos terroristas están marcados de por vida.
[...]
Todo muy planificado. La fecha, el objetivo, las consignas para que se oigan, la coincidencia con otos eventos internacionales. Huele a servicios de inteligencia que tira para atrás.
[...]
El choque Occidente - Oriente medio no es una guerra ideológica. Es por los recursos. Por el petróleo. No puede haber nada más evidente. Las ideologías y religiones son los vectores de pastoreo.
Recursos de todo tipo los tienes en occidente y sin embargo se actúa militarmente siempre contra otros bloques, [...]
[...]
Todo muy planificado. La fecha, el objetivo, las consignas para que se oigan, la coincidencia con otos eventos internacionales. Huele a servicios de inteligencia que tira para atrás.
[...]
Perdona por el tono, pero tú flipas a lo grande.
A Francia un servicio de inteligencia extranjero le puede hacer una putada así en su territorio nacional: atacar a civiles que no tienen ninguna medida de seguridad está chupado.
La diferencia es que Francia no es España. Francia es eso, Francia; y no un concepto "discutido y discutible" [1]. Así, si hay que ir a la guerra se va, aunque se pierda; en el peor de los casos, Francia vendería su derrota muy cara.
([url]http://ep00.epimg.net/diario/imagenes/2006/01/20/internacional/1137711608_740215_0000000000_noticia_normal.jpg[/url])
Yo, ante la posibilidad de que me planten - sólo para empezar - un par pepinazos atómicos en mi territorio, me lo pensaría [2]. Joder con el precio de la victoria, suponiendo que finalmente ganase a esos franchutes.
([url]http://www.jccanalda.es/jccanalda_doc/jccanalda_alcala/artic-alcala/artic-cisneros/graficos_cisneros/poderes.jpg[/url])
[1] [url]http://ecodiario.eleconomista.es/interstitial/volver/216172702/flash/noticias/4488158/12/12/Zapatero-aclara-que-cuando-hablo-de-la-nacion-discutida-y-discutible-no-hablaba-de-Espana.html#.Kku8edO01bQtUsW[/url] ([url]http://ecodiario.eleconomista.es/interstitial/volver/216172702/flash/noticias/4488158/12/12/Zapatero-aclara-que-cuando-hablo-de-la-nacion-discutida-y-discutible-no-hablaba-de-Espana.html#.Kku8edO01bQtUsW[/url])
[2] [url]http://elpais.com/diario/2006/01/20/internacional/1137711603_850215.html[/url] ([url]http://elpais.com/diario/2006/01/20/internacional/1137711603_850215.html[/url])
CitarRecursos de todo tipo los tienes en occidente y sin embargo se actúa militarmente siempre contra otros bloques, [...]
PETRÓLEO, ¡coño!
Mira que eres obstinado :o
Que el petróleo es una obsesión norteamericana ante la pérdida de eficacia económica lo sabe hasta mi sobrina de once años.Vale.
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Todo muy planificado. La fecha, el objetivo, las consignas para que se oigan, la coincidencia con otos eventos internacionales. Huele a servicios de inteligencia que tira para atrás.
[...]
Perdona por el tono, pero tú flipas a lo grande.
A Francia un servicio de inteligencia extranjero le puede hacer una putada así en su territorio nacional: atacar a civiles que no tienen ninguna medida de seguridad está chupado.
La diferencia es que Francia no es España. Francia es eso, Francia; y no un concepto "discutido y discutible" [1]. Así, si hay que ir a la guerra se va, aunque se pierda; en el peor de los casos, Francia vendería su derrota muy cara.
([url]http://ep00.epimg.net/diario/imagenes/2006/01/20/internacional/1137711608_740215_0000000000_noticia_normal.jpg[/url])
Yo, ante la posibilidad de que me planten - sólo para empezar - un par pepinazos atómicos en mi territorio, me lo pensaría [2]. Joder con el precio de la victoria, suponiendo que finalmente ganase a esos franchutes.
([url]http://www.jccanalda.es/jccanalda_doc/jccanalda_alcala/artic-alcala/artic-cisneros/graficos_cisneros/poderes.jpg[/url])
[1] [url]http://ecodiario.eleconomista.es/interstitial/volver/216172702/flash/noticias/4488158/12/12/Zapatero-aclara-que-cuando-hablo-de-la-nacion-discutida-y-discutible-no-hablaba-de-Espana.html#.Kku8edO01bQtUsW[/url] ([url]http://ecodiario.eleconomista.es/interstitial/volver/216172702/flash/noticias/4488158/12/12/Zapatero-aclara-que-cuando-hablo-de-la-nacion-discutida-y-discutible-no-hablaba-de-Espana.html#.Kku8edO01bQtUsW[/url])
[2] [url]http://elpais.com/diario/2006/01/20/internacional/1137711603_850215.html[/url] ([url]http://elpais.com/diario/2006/01/20/internacional/1137711603_850215.html[/url])
Tienes razón, flipo mucho. Ya he dicho que tengo el punto conspiranoico todo el día.
El fin de semana pasado manifestaciones, días antes ataques a mezquitas en Suecia, la derecha fuerte ganando posisiones en Francia. No analizo con cordura, me cueta mucho aceptar que todo ocurre de manera casual, porque sí, porque de pronto unos deicden atacar, otros manifestarse y otros atentar. Lo siento, pero creo que es como en las películas de suspense. Nos dejan ver lo que quierren y por detrás se maneja todo.
Y sí, tienes razón, flipo mucho, pero es que no me creo nada de nada de nadie.
No puedo evitar pensar que alguien mueve los hilos.
estoy contigo burbu, pero lo del DNI olvidado en el coche revienta cualquier navaja 8)
[...]
En su huida, y de nuevo al grito de “Alahu al akbar”, los terroristas dispararon y remataron en el suelo a un policía que había acudido al lugar. Su vehículo recibió 15 impactos de bala en el cristal delantero. Un segundo agente, el encargado de proteger al director de Charlie Hebdo, había sido igualmente asesinado poco antes en la segunda planta del edificio. Al menos dos de los terroristas huyeron a bordo de un pequeño Citroën 1 de color negro en el que habían llegado. Fue abandonado poco después a escasa distancia, en el distrito 19, tras haber chocado con otro vehículo. Los terroristas reanudaron la huida en otro coche que robaron.
[...]
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/07/actualidad/1420660515_471033.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/07/actualidad/1420660515_471033.html[/url])
“Je n’ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C’est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux.”
No tengo chavales, no estoy casado, no tengo coche, NO TENGO UN CRÉDITO.
Puede parecer un poco pomposo lo que voy a decir, pero prefiero morir de pié que vivir de rodillas.
On n’a pas envie d’avoir peur, mais de se marrer, de prendre la vie avec légèreté
No tenemos ganas de vivir con miedo, sino de divertirnos, y tomarnos la vida con ligereza.
Sólo que llevara el DNI ya tiene su cosa. Contrasta con la planificación y entrenamiento demostrados. Si además justo se le cae... ¿del bolsillo de la camisa? Yo que sé. Igual lo del DNI es mentira.
Yo estoy contigo en que no hay grandes planificadores que mueven los hilos del mundo, ni falta que hacen para explicar las cosas. Lo que sí creo, y me parece que está mas que comprobado y documentado, es que hay mucho hijo de puta suelto y que en las partidas globales las manos fuertes actúan sin miramientos, y las débiles más aún. Yo, por ejemplo, lo del WTC7 no me lo creo, y a partir de ahí dudar de estas pequeñeces se me hace facilisimo. Como sincriterio, me lo creo todo pero no me creo nada, y veo las noticias como si fuera Juego de Tronos. Total, pa lo que sirve acojonarse...
A mí me han dicho tales barbaridades, no ya por abordar el tema, sino sólo por decir en público que el tema debía abordarse...
No te jode.., con ese avatar y ese nick qué espera usted, hombre de Diox.. :biggrin:
A mí, egoísta, bárbaramente, me alivia algo que todo esto esté pasando en Francia. Yo hace unos años sostenía la tesis de que, igual que la Guerra Civil fue presagio y terreno de pruebas del conflicto inevitable que se fraguaba en toda Europa, la España del siglo XXI iba a serlo del conflicto euroárabe, que también considero inevitable. Prefiero que la primera línea de fuego la soporten los franceses, que además, tienen mucha mayor responsabilidad histórica.
Lo del DNI debe de ser como las tres capas de calzoncillos: un ritual que consideran necesario.
A mí, egoísta, bárbaramente, me alivia algo que todo esto esté pasando en Francia. Yo hace unos años sostenía la tesis de que, igual que la Guerra Civil fue presagio y terreno de pruebas del conflicto inevitable que se fraguaba en toda Europa, la España del siglo XXI iba a serlo del conflicto euroárabe, que también considero inevitable. Prefiero que la primera línea de fuego la soporten los franceses, que además, tienen mucha mayor responsabilidad histórica.
En cualquier caso, Taliván, mi comentario no pasaba de un simple broma.
¿Qué te hace pensar que nosotros no somos el eslabón más debil en esta Europa tan especial?
Que la fiesta comience en Francia no quiere decir que la música fuerte no suene en otro sitio.
Sólo que llevara el DNI ya tiene su cosa. Contrasta con la planificación y entrenamiento demostrados. Si además justo se le cae... ¿del bolsillo de la camisa? Yo que sé. Igual lo del DNI es mentira.
Yo estoy contigo en que no hay grandes planificadores que mueven los hilos del mundo, ni falta que hacen para explicar las cosas. Lo que sí creo, y me parece que está mas que comprobado y documentado, es que hay mucho hijo de puta suelto y que en las partidas globales las manos fuertes actúan sin miramientos, y las débiles más aún. Yo, por ejemplo, lo del WTC7 no me lo creo, y a partir de ahí dudar de estas pequeñeces se me hace facilisimo. Como sincriterio, me lo creo todo pero no me creo nada, y veo las noticias como si fuera Juego de Tronos. Total, pa lo que sirve acojonarse...
A mí, lo del DNI me supera.
La nueva –y preocupante- revolución europea contra el islamismo yihadista
Los atentados en Francia parecen indicar que se ha desatado ya el yihadismo más criminal contra los intereses europeos. Pero, ¿vendrá acompañado de una respuesta ciudadana xenófoba o racista? Hay temor en los gobiernos.
[url]http://vozpopuli.com/analisis/55421-la-nueva-y-preocupante-revolucion-europea-contra-el-islamismo-yihadista[/url] ([url]http://vozpopuli.com/analisis/55421-la-nueva-y-preocupante-revolucion-europea-contra-el-islamismo-yihadista[/url])
Recuerda Catherine Millet que Maurizio Cattelan -el artista- no fue llevado a los tribunales hace dos años cuando erigió una efigie del Papa hecha trizas por un meteorito. “Oh ¡la la!” dice la directora de la revista ‘vanguardista’ art press, “¡la que se hubiera armado si la dirección de la galería de Cattelan hubiera tenido que inclinarse ante el Vaticano!”
...
Sería más eficaz bombardear con minifaldas que con maximisiles. El eslabón debil de la sociedad musulmana es el chocho. [La “chatte” en francés] Es el valor estratégico.
B. M. : Nous allons vers une économie de partage, de la gratuité, du logiciel libre en effet. La figure centrale de demain sera le chercheur qui, lorsqu'il donne quelque chose à la communauté, ne le perd pas. Le chercheur répond aux besoins fondamentaux de l'homme : la création, la curiosité, le changement, le progrès. Il est obligé de coopérer. La coopération canalise la violence, que le libéralisme espérait canaliser par le doux commerce ! L'au-delà du capitalisme sera une économie solidaire et fraternelle. Aujourd'hui, la question incontournable porte sur la nature du travail. La question des 35 heures est essentielle.
Pour Marx, la révolution socialiste commençait avec la réduction du temps de travail, mais parce qu'il ne le voyait que comme une source d'aliénation. Or, M. Valls, comme Nicolas Sarkozy d'ailleurs, affirme le contraire : « Le travail libère » et, en cela, il est tout à fait libéral.
François Mitterrand demandait : « Mais pourquoi tous les hommes n'auraient pas le droit à la beauté ? » La beauté est un bien public, alors pourquoi construire des zones misérables et y parquer des citoyens déclassés pour ensuite s'étonner qu'ils votent Front national ? L'économiste britannique John Maynard Keynes disait, dans un entretien à la BBC, quelque chose comme : « Construisez des immeubles magnifiques aux ouvriers et vous verrez qu'ils deviendront plus intelligents et épanouis. » Ce sont des questions qu'autrefois les socialistes se posaient.
L'horizon de Manuel Valls, c'est sa rencontre avec la chancelière Angela Merkel, les 21 et 22 septembre, à Berlin. Libéraliser le marché du travail, renforcer le contrôle des chômeurs et contourner la loi des 35 heures : il affirme ce tournant libéral pour essayer de coller à cette guerre économique que nous font les autres et d'abord l'Allemagne. N'est-ce pas avaliser un certain échec de l'Europe ? Le clivage pour les socialistes se portera sur les 30 % de l'électorat socialiste qui risquent de se tourner vers Marine Le Pen aux prochaines élections. La crainte, c'est qu'ils érigent l'Allemagne, l'Europe et l'euro en coupables.
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/09/16/surmonter-la-crise-politique-grace-a-une-economie-de-la-gratuite_4488343_3232.html#txDM4KrERhDeLGs4.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/09/16/surmonter-la-crise-politique-grace-a-une-economie-de-la-gratuite_4488343_3232.html#txDM4KrERhDeLGs4.99[/url])
[...]
Sobre todo, si el Islam tolerante existe, que no se limite a repudiar verbalmente los atentados, sino que condenen al ostracismo a quienes apoyan tal tipo de actos.
Mt. 7, 15-20
Guardaos de los falsos profetas, que vienen a vosotros con disfraces de ovejas, pero por dentro son lobos rapaces. Por sus frutos los conoceréis. ¿Acaso se recogen uvas de los espinos o higos de los abrojos? Así, todo árbol bueno da frutos buenos, pero el árbol malo da frutos malos. Un árbol bueno no puede producir frutos malos, ni un árbol malo producir frutos buenos. Todo árbol que no da buen fruto, es cortado y arrojado al fuego. Así que por sus frutos los reconoceréis.
En todo caso, aplaudo que se desnuden contra el Islam intolerante (supongo que tolerante también lo habrá, pero son como los billetes Bin Laden de 500 leuros, que todo el mundo dice que existen pero muy pocos los han visto).
Sobre todo, si el Islam tolerante existe, que no se limite a repudiar verbalmente los atentados, sino que condenen al ostracismo a quienes apoyan tal tipo de actos.
Ya tenemos parte de la letra, la música la ponéis vosotros.
Allons, allons, doucement...
[url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/08/marine-le-pen-rappelle-son-voeu-d-un-referendum-sur-la-peine-de-mort_1176176[/url] ([url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/08/marine-le-pen-rappelle-son-voeu-d-un-referendum-sur-la-peine-de-mort_1176176[/url])
Ya tenemos parte de la letra, la música la ponéis vosotros.
Allons, allons, doucement...
[url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/08/marine-le-pen-rappelle-son-voeu-d-un-referendum-sur-la-peine-de-mort_1176176[/url] ([url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/08/marine-le-pen-rappelle-son-voeu-d-un-referendum-sur-la-peine-de-mort_1176176[/url])
Qué te crees, que la Marine pierde el tiempo?
Faltaría plus.
Stiglitz sobre Europa:
[url]http://www.project-syndicate.org/commentary/european-union-austerity-backlash-by-joseph-e--stiglitz-2015-01[/url] ([url]http://www.project-syndicate.org/commentary/european-union-austerity-backlash-by-joseph-e--stiglitz-2015-01[/url])
En direct - Prise d'otages Porte de Vincennes : cinq personnes retenues
Une fusillade a éclaté vendredi près de la Porte de Vincennes à Paris vers 13 heures, où une prise d’otages dans une épicerie casher est en cours. Il y aurait cinq personnes retenues.
[url]http://www.liberation.fr/societe/2015/01/09/prise-d-otages-dans-une-epicerie-casher-a-la-sortie-de-paris_1176953[/url] ([url]http://www.liberation.fr/societe/2015/01/09/prise-d-otages-dans-une-epicerie-casher-a-la-sortie-de-paris_1176953[/url])
([url]http://1-ps.googleusercontent.com/hk/6jZcD27TYHX0i7lztiIU65hHvG/www.eljueves.es/medio/2015/01/08/xreligion_terrorismo_620x565_2.jpg.pagespeed.ic.rePwlkj6zpClilTKAPyp.webp[/url])
Los rehenes de Vincennes, muertos cuatro de ellos, más el islamista que los secuestró. Era un supermercado judío. El secuestrador exigía que dejaran escapar a los de Charlie Hebdo
Nuevo secuestro en una joyería de Montpellier. Veamos si también es islamista...
Actualizo. Según EuroNews también en Versalles hace una media hora.
A este paso no llegamos al estrangulamiento ppcciano de 2016
Actualizo otra vez: alertas de bomba en las estaciones de la SCNF de Montpellier y Burdeos. Visto en Burbuja de un tweet
elmundo.es: "La policía mata a los dos yihadistas de la masacre de 'Charlie Hebdo'" ([url]http://goo.gl/aaslzE[/url] ([url]http://goo.gl/aaslzE[/url]))
elmundo.es: "Las fuerzas especiales liberan a los rehenes del supermercado judío" ([url]http://goo.gl/8su31v[/url] ([url]http://goo.gl/8su31v[/url]))
Y miren que le tengo tirria a los gabachos, pero cuando se hacen las cosas bien...
Vive la France !
Como decía un ilustre antepasado nuestro...
([url]http://www.jccanalda.es/jccanalda_doc/jccanalda_alcala/artic-alcala/artic-cisneros/graficos_cisneros/poderes.jpg[/url])
He estado hablando con un conocido que tengo en la TF1; el cual por cierto era amigo de uno de los asesinados del Charlie Hebdo, este periodista me comentaba esta misma mañana que esperan una cadena de atentados sin fin durante todo el 2015 según se comentaba desde el Ministerio de Interior Francés, eso sí entre bambalinas.
Habrá también este año hostiones de los gordos, Francia e Inglaterra los objetivos más nítidos (la maquinaria del MI5 ya está puesta en marcha).
Feo, feo de cojones.
Europa es hoy un Continente muy débil precisamente por la falta de políticas comunes y no solo fiscales sino también en exteriores y muy especialmente con el Oriente Próximo.
[url]http://srogers.cartodb.com/viz/123be814-96bb-11e4-aec1-0e9d821ea90d/embed_map[/url] ([url]http://srogers.cartodb.com/viz/123be814-96bb-11e4-aec1-0e9d821ea90d/embed_map[/url])
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Muy interesante. Me pregunto de cuantas herramientas similares ó más potentes que esta dispondrán los "pastores" para pastorearnos con toda la información que les proporcionamos a través de internet, redes sociales, correo electrónico, whatsapps, llamadas telefónicas, gps y tracks, pulseras cuantificadoras... un ejemplo: [url]https://immersion.media.mit.edu/[/url] ([url]https://immersion.media.mit.edu/[/url])
Cierto. Se pretendió que la unión monetaria fuera el estímulo definitivo para promover/provocar la unión política, y ni ha habido unión monetaria (en cuanto a área monetaria óptima, o algo que se le parezca), ni unión política; de hecho, políticamente la UE está más separada y dividida en bloques que nunca.
El otro día me puse a buscar películas de la guerra que tuvimos aquí, en Europa, no hace tanto.https://www.diagonalperiodico.net/global/25308-nunca-mas-nuestro-nombre.html (https://www.diagonalperiodico.net/global/25308-nunca-mas-nuestro-nombre.html)
Si eso, os paso un listado.
A llorar y a reír, a amar la vida por encima de todo, no tenemos otra salida.
Tras el atentado en París
Nunca más en nuestro nombre
Brigitte Vasallo
, Es escritora
El pasado 7 de enero dos atentados similares dejaron un reguero de muertos en el mundo: 37 personas en Saná, 12 más en París. El primero pasó casi desapercibido en Europa. El segundo parece haber abierto un espacio de irrealidad insoportable donde todo se viene abajo y el clima post 11-S del “nosotros o contra nosotros” emerge a cada instante. El “nosotros” incluye, por una lógica deductiva siniestra, a la Europa laica, la libertad de expresión, la democracia y la civilización. El “ellos” incluye todo lo demás en una especie de conjunto indisociable: lo que ni es Europa, ni es laico, ni es libre, ni demócrata, ni civilizado. La encrucijada recuerda dolorosamente la falsa dicotomía que proponía el hijo Bush para iniciar una guerra contra el terror en la que seguimos inmersas. La opinión pública se ha convertido en un western donde indios y vaqueros sacan pecho e increpan, amenazantes: ¿tú, con quién estás?
La urgencia de desmontar el binomio
La realidad es demasiado compleja para dejarse atrapar en un titular, un twit o una caricatura. Demasiado para resumirse en un artículo. El espacio de expresión y de pensamiento que se ha tragado la polarización sigue existiendo y es urgente ocuparlo. Ese lugar desde el que es posible la defensa la libertad de expresión y el derecho a la vida, la condena del terror y la afirmación rotunda de que ni los asesinos ni la sátira islamófoba, homófoba, racista y sexista de Charlie Hebdo representan el mundo al que aspiramos. Un espacio que se niega a legitimar el discurso que asocia la libertad con una Europa que en la práctica la secuestra a cada paso, deteniendo a anarquistas, reprimiendo manifestaciones, cerrando medios de comunicación incómodos. Y bombardeando en nombre de la democracia o financiando grupos terroristas siempre y cuando maten en lugares lejanos a personas con nombres que no sabremos y que, en tanto que ni se nombran, no existen.
Es urgente parar el ruido y negarnos a alimentar una guerra que no se puede ganar, sino solo perder de infinitas maneras
El shock que ha supuesto ver la barbarie llamar a nuestra puerta, tener muertos con nombre y apellido, conlleva el terrible riesgo de una respuesta visceral y sinsentido que nos lleve a caminar la senda misma que los terroristas nos ofrecen en su sangrienta bandeja. Rechazar el terrorismo es hacer frente común e inquebrantable con sus víctimas, todas ellas, la mayoría de las cuales resultan ser personas musulmanas en el mundo entero. Víctimas directas de un terrorismo que no queremos ver hasta que nos hiere y víctimas también de la ira islamófoba que se cultiva en Europa sin reparo alguno, desde los partidos políticos nacional-católicos y laico-beligerantes, así como desde infinidad de medios de comunicación que surfean alegremente entre la libertad de expresión y una incitación al odio que, lejos de ser gratuita, pagamos todos y todas a un precio desmesurado.
La banalidad del mal
Tras la aterradora jornada del 7 de enero necesitamos un tiempo de duelo que, desgraciadamente, no tenemos. Es urgente parar el ruido y negarnos a alimentar una guerra que no se puede ganar, sino solo perder de infinitas maneras. La islamofobia es el antisemitismo del siglo XXI. Se está construyendo de la misma espantosa manera, en un calco histórico alarmante. Testimonio de una época que aún es la nuestra, Hannah Arendt nos advierte de la banalidad de un mal camuflado en pequeños gestos cotidianos, en las oportunidades perdidas de oponernos a los mandatos, en las veces que seguimos la corriente, que simplemente nos dejamos llevar. Arrastrar. El abismo que se abre ante nosotras se constituye de esa mezcla fatal de ira e indiferencia por el destino de nuestra conciudadanía musulmana, abocada al fanatismo de los que se apropian de su identidad y de su creencia, y abocada al desprecio de las que nos proponemos laicas y civilizadas mientras alimentamos el odio hacia “los otros”. Hacia nosotros y nosotras.
Tenemos la oportunidad de demostrar que hemos entendido algo de nuestra historia reciente. Infinidad de asociaciones y personas musulmanas se han posicionado ante el terror sin dilaciones. Los terroristas no las representan. No en su nombre. Es el momento crucial de que el resto de la ciudadanía, las que no somos musulmanas, las que decimos defender las libertades, la vida, la alegría, el derecho a estar, a ser, a construir, lo digamos también bien alto: la islamofobia tampoco será en nuestro nombre. El fascismo que se justifica en el delirio sangriento de unos cuantos, el que busca explicaciones racionales para responder a la barbarie con más barbarie, no podrá hacerlo en nuestro nombre. No pasarán. No permitiremos que vuelvan a pasar. Defender la libertad es detener el odio. Todo el odio. Inmediatamente y sin excusas.
ni los asesinos ni la sátira islamófoba, homófoba, racista y sexista de Charlie Hebdo representan el mundo al que aspiramos.
Citarni los asesinos ni la sátira islamófoba, homófoba, racista y sexista de Charlie Hebdo representan el mundo al que aspiramos.
Otra vez la polarización tramposa, los asesinos en un extremo, equiparados con las víctimas en otro. ¿Cuál es el medio, entonces, en la geometría ideológica de esta mujer, que afirma colocarse, equilibradamente, entre dos odios?
¿Por qué la sátira de Charlie Hebdo es "islamófoba, homófoba, racista y sexista"? ¿Porque tú lo dices investida de alguna extraña autoridad que otros no tenemos? Porque esa sátira no representará el mundo al que tú, que la ubicas en un extremo, aspiras, un mundo en el justo medio, según parece, en el que la gente no puede criticar al Islam (un extremo que rechazas) y a cambio no se la mata (otro extremo que rechazas, eso está bien) pero sí representa el mundo al que yo aspiro. Y como mínimo mis aspiraciones valen tanto como las tuyas.
Un mundo en el que la gente puede decir lo que quiera y reírse de seres imaginarios y legendarios como Dios Padre y Mahoma que otros, el odio, intentan convertir en referentes morales absolutos, ajenos a la crítica. Pero ya hemos visto que para esta mujer la crítica es odio. Me pregunto, bajo esas sonoras repulsas suyas del odio, quién odia más, si ella o yo. Si ella o las pobres víctimas de Charlie Hebdo, que si lees su artículo con poco cuidado, parecen cómplices del bombardeo del Yemen, víctimas que de este artículo extraigo que esta supuesta deploradora del odio, odiaba, y mucho.
Es urgente parar el ruidoy es cierto que nunca es bueno montar binomios, reduccionismos ni maniqueismos y también que la autora cae en cierto modo en otro (el que tu has visto) y usa la vieja trampa del plural inclusivo "nosotros no queremos la sátira de Charlie Hebdo" (cuando a mí personalmente me encantaba, y además repartía contra todas las religiones lo mismo que contra políticos y otros personajes)
Echo de menos la época en que por citar a Hannah Arendt me llamaban facha y xenófago. :biggrin: Ahora ya la cita cualquiera.
Y sí, esta situación es susceptible de ser manipulada hacia un "invadamos Irak", pero el paradigma de la multiculturalidad y el mantra de la alianza de civilizaciones y el equilibrio, que es lo que esta mujer defiende so capa de serenidad, es insostenible. Y el sacar un bombardeo en el quinto pino para hacernos ver que somos inhumanos porque nos importan más unas víctimas cercanas que unas lejanas es, precisamente, banalizar el mal. Yo lo he visto hacer cuando ETA, cuando los atentados de Atocha, cuando los de Londres. El ser humano se guía por la cercanía emocional, no por sofismas.
Echo de menos la época en que por citar a Hannah Arendt me llamaban facha y xenófago. :biggrin: Ahora ya la cita cualquiera.
Y sí, esta situación es susceptible de ser manipulada hacia un "invadamos Irak", pero el paradigma de la multiculturalidad y el mantra de la alianza de civilizaciones y el equilibrio, que es lo que esta mujer defiende so capa de serenidad, es insostenible. Y el sacar un bombardeo en el quinto pino para hacernos ver que somos inhumanos porque nos importan más unas víctimas cercanas que unas lejanas es, precisamente, banalizar el mal. Yo lo he visto hacer cuando ETA, cuando los atentados de Atocha, cuando los de Londres. El ser humano se guía por la cercanía emocional, no por sofismas.
lo que al final me arrastró al llanto fue saber que los andenes en torno a los trenes reventados estaban llenos de jirones de libros de Harry Potter, aquella imagen mental de miles de pequeñas burbujas de fantasía, de miles de universos de magia nacidos en la rutina de un vagón abarrotado, convertidos de repente por una explosión en horror, en ruido, en llanto, en muerte.
aquella imagen mental de miles de pequeñas burbujas de fantasía, de miles de universos de magia nacidos en la rutina de un vagón abarrotado
This is a war being waged on public streets between very disparate religious and cultural affinities.
Any other questions?
The attackers were Arabs probably shouted Allah Akbar and openly said that they wanted to die martyrs.
So, kill 'em all and let God sort 'em out.
The only way this shit's gonna stop is if the West leaves the ME, disappears, goes home and then shortly thereafter, they'll be all cool buying shit from the arms makers to kill their own kind over some other crap.
We have created this monster.
It will go away if we leave it alone.
And yes, they'll still sell their oil because it buys the food, meds and arms, etc.
Not rocket science to figure this shit out.
me ha gustado este resumen del tinglao que ha hecho un forero de ZHCitarThis is a war being waged on public streets between very disparate religious and cultural affinities.
Any other questions?
The attackers were Arabs probably shouted Allah Akbar and openly said that they wanted to die martyrs.
So, kill 'em all and let God sort 'em out.
The only way this shit's gonna stop is if the West leaves the ME, disappears, goes home and then shortly thereafter, they'll be all cool buying shit from the arms makers to kill their own kind over some other crap.
We have created this monster.
It will go away if we leave it alone.
And yes, they'll still sell their oil because it buys the food, meds and arms, etc.
Not rocket science to figure this shit out.
Se trata de una guerra librada en plena calle entre dos afinidades culturales y religiosas muy enfrentadas.
¿Alguna otra duda?
Los atacantes eran árabes, probablemente gritaron "Alla akbar", y dijeron abiertamente que deseaban morir mártires.
Pues matémoslos y ya que Dios disponga.
La única vía para que esta mierda acabe es que occidente se vaya de oriente medio, desaparezca, se vaya a casa, y poco después estarán tan contentos comprándonos armas para seguir masacrándose entre ellos por alguna otra gilipollez.
Nosotros hemos creado este monstruo.
Desaparecerá si lo dejamos solo.
Y sí, seguirán vendiendo petróleo, porque es lo que paga la comida, las medicinas, las armas, etc.
Tampoco hay que ser astrofísico para entender esta mierda.
Edit: A este le falta encajar el hecho de que no hay petróleo para todos. Hay el justito, habrá cada vez menos, y todos los jugadores lo quieren todo.
[...]
Para entonces otra voz se estaba alzando contra los judíos. Los flagelantes habían hecho acto de aparición. Como súplica desesperada a la piedad de Dios, su movimiento surgió en un espasmo repentino que recorrió Europa con la misma rapidez que la peste.
La autoflagelación pretendía expresar remordimiento y expiar los pecados de la comunidad. Como forma de penitencia era muy anterior a la peste, pero nunca había tenido el auge que consiguió gracias a la plaga.
Organizados en grupos de doscientos o trescientos y a veces más -los cronistas mencionan hasta mil- iban de ciudad en ciudad, desnudos hasta la cintura, azotándose con látigos de cuero que acababan en púas de hierro. Mientras gritaban pidiendo perdón a Dios y piedad a Cristo y a la Virgen, las gentes de la ciudad en cuestión lloraban y se lamentaban con ellos. Estas bandas hacían funciones regulares tres veces al día, dos en público en la plaza de la iglesia y otra en privado. Organizados bajo el mando de un maestro laico durante un período de tiempo prefijado, que normalmente era de 33 días y medio para representar los años de Cristo en la Tierra, a los participantes se les exigía obediencia al maestro y mantenerse a sí mismos mediante el pago de una cantidad de dinero fijada de antemano.
[...]
[url]http://www.vallenajerilla.com/berceo/lopezjara/muertenegra.htm[/url] ([url]http://www.vallenajerilla.com/berceo/lopezjara/muertenegra.htm[/url])
Echo de menos la época en que por citar a Hannah Arendt me llamaban facha y xenófago. :biggrin: Ahora ya la cita cualquiera.
Y sí, esta situación es susceptible de ser manipulada hacia un "invadamos Irak", pero el paradigma de la multiculturalidad y el mantra de la alianza de civilizaciones y el equilibrio, que es lo que esta mujer defiende so capa de serenidad, es insostenible. Y el sacar un bombardeo en el quinto pino para hacernos ver que somos inhumanos porque nos importan más unas víctimas cercanas que unas lejanas es, precisamente, banalizar el mal. Yo lo he visto hacer cuando ETA, cuando los atentados de Atocha, cuando los de Londres. El ser humano se guía por la cercanía emocional, no por sofismas.
Yo no soy Charlie
José Antonio Gutiérrez D. | Rebelión | 10/01/2015
Parto aclarando antes que nada, que considero una atrocidad el ataque a las oficinas de la revista satírica Charlie Hebdo en París y que no creo que, en ninguna circunstancia, sea justificable convertir a un periodista, por dudosa que sea su calidad profesional, en un objetivo militar. Lo mismo es válido en Francia, como lo es en Colombia o en Palestina. Tampoco me identifico con ningún fundamentalismo, ni cristiano, ni judío, ni musulmán ni tampoco con el bobo-secularismo afrancesado, que erige a la sagrada “République” en una diosa. Hago estas aclaraciones necesarias pues, por más que insistan los gurús de la alta política que en Europa vivimos en una “democracia ejemplar” con “grandes libertades”, sabemos que el Gran Hermano nos vigila y que cualquier discurso que se salga del libreto es castigado duramente. Pero no creo que censurar el ataque en contra de Charlie Hebdo sea sinónimo de celebrar una revista que es, fundamentalmente, un monumento a la intolerancia, al racismo y a la arrogancia colonial.
Miles de personas, comprensiblemente afectadas por este atentado, han circulado mensajes en francés diciendo “Je Suis Charlie” (Yo soy Charlie), como si este mensaje fuera el último grito en la defensa de la libertad. Pues bien, yo no soy Charlie. No me identifico con la representación degradante y “caricaturesca” que hace del mundo islámico, en plena época de la llamada “Guerra contra el Terrorismo”, con toda la carga racista y colonialista que esto conlleva. No puedo ver con buena cara esa constante agresión simbólica que tiene como contrapartida una agresión física y real, mediante los bombardeos y ocupaciones militares a países pertenecientes a este horizonte cultural. Tampoco puedo ver con buenos ojos estas caricaturas y sus textos ofensivos, cuando los árabes son uno de los sectores más marginados, empobrecidos y explotados de la sociedad francesa, que han recibido históricamente un trato brutal: no se me olvida que en el metro de París, a comienzos de los ‘60, la policía masacró a palos a 200 argelinos por demandar el fin de la ocupación francesa de su país, que ya había dejado un saldo estimado de un millón de “incivilizados” árabes muertos. No se trata de inocentes caricaturas hechas por libre pensadores, sino que se trata de mensajes, producidos desde los medios de comunicación de masas (si, aunque pose de alternativo Charlie Hebdo pertenece a los medios de masas), cargados de estereotipos y odios, que refuerzan un discurso que entiende a los árabes como bárbaros a los cuales hay que contener, desarraigar, controlar, reprimir, oprimir y exterminar. Mensajes cuyo propósito implícito es justificar las invasiones a países del Oriente Medio así como las múltiples intervenciones y bombardeos que desde Occidente se orquestan en la defensa del nuevo reparto imperial. El actor español Willy Toledo decía, en una declaración polémica -por apenas evidenciar lo obvio-, que “Occidente mata todos los días. Sin ruido”. Y eso es lo que Charlie y su humor negro ocultan bajo la forma de la sátira.
No me olvido de la carátula del N°1099 de Charlie Hebdo, en la cual se trivializaba la masacre de más de mil egipcios por una brutal dictadura militar, que tiene el beneplácito de Francia y de EEUU, mediante una portada que dice algo así como “Matanza en Egipto. El Corán es una mierda: no detiene las balas”. La caricatura era la de un hombre musulmán acribillado, mientras trataba de protegerse con el Corán. Habrá a quien le parezca esto gracioso. También, en su época, colonos ingleses en Tierra del Fuego creían que era gracioso posar en fotografías junto a los indígenas que habian “cazado”, con amplias sonrisas, carabina en mano, y con el pie encima del cadáver sanguinolento aún caliente. En vez de graciosa, esa caricatura me parece violenta y colonial, un abuso de la tan ficticia como manoseada libertad de prensa occidental. ¿Qué ocurriría si yo hiciera ahora una revista cuya portada tuviera el siguiente lema: “Matanza en París. Charlie Hebdo es una mierda: no detiene las balas” e hiciera una caricatura del fallecido Jean Cabut acribillado con una copia de la revista en sus manos? Claro que sería un escándalo: la vida de un francés es sagrada. La de un egipcio (o la de un palestino, iraquí, sirio, etc.) es material “humorístico”. Por eso no soy Charlie, pues para mí la vida de cada uno de esos egipcios acribillados es tan sagrada como la de cualquiera de esos caricaturistas hoy asesinados.
Ya sabemos que viene de aquí para allá: habrá discursos de defender la libertad de prensa por parte de los mismos países que en 1999 dieron la bendición al bombardeo de la OTAN, en Belgrado, de la estación de TV pública serbia por llamarla “el ministerio de mentiras”; que callaron cuando Israel bombardeo en Beirut la estación de TV Al-Manar en el 2006; que callan los asesinatos de periodistas críticos colombianos y palestinos. Luego de la hermosa retórica pro-libertad, vendrá la acción liberticida: más macartismo dizque “anti-terrorismo”, más intervenciones coloniales, más restricciones a esas “garantías democráticas” en vías de extinción, y por supuesto, más racismo. Europa se consume en una espiral de odio xenófobo, de islamofobia, de anti-semitismo (los palestinos son semitas, de hecho) y este ambiente se hace cada vez más irrespirable. Los musulmanes ya son los judíos en la Europa del siglo XXI, y los partidos neo-nazis se están haciendo nuevamente respetables 80 años después gracias a este repugnante sentimiento. Por todo esto, pese a la repulsión que me causan los ataques de París, Je ne suis pas Charlie.
([url]http://www.rebelion.org/imagenes/194136_1.jpg[/url])
[url]http://iniciativadebate.org/2015/01/10/yo-no-soy-charlie/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/01/10/yo-no-soy-charlie/[/url])
CitarYo no soy Charlie
José Antonio Gutiérrez D. | Rebelión | 10/01/2015
En vez de graciosa, esa caricatura me parece violenta y colonial, un abuso de la tan ficticia como manoseada libertad de prensa occidental. ¿Qué ocurriría si yo hiciera ahora una revista cuya portada tuviera el siguiente lema: “Matanza en París. Charlie Hebdo es una mierda: no detiene las balas” e hiciera una caricatura del fallecido Jean Cabut acribillado con una copia de la revista en sus manos? Claro que sería un escándalo: la vida de un francés es sagrada. La de un egipcio (o la de un palestino, iraquí, sirio, etc.) es material “humorístico”. Por eso no soy Charlie, pues para mí la vida de cada uno de esos egipcios acribillados es tan sagrada como la de cualquiera de esos caricaturistas hoy asesinados.
Más puntos de vista...CitarYo no soy Charlie
José Antonio Gutiérrez D. | Rebelión | 10/01/2015
Parto aclarando antes que nada, que considero una atrocidad el ataque a las oficinas de la revista satírica Charlie Hebdo en París y que no creo que, en ninguna circunstancia, sea justificable convertir a un periodista, por dudosa que sea su calidad profesional, en un objetivo militar. Lo mismo es válido en Francia, como lo es en Colombia o en Palestina. Tampoco me identifico con ningún fundamentalismo, ni cristiano, ni judío, ni musulmán ni tampoco con el bobo-secularismo afrancesado, que erige a la sagrada “République” en una diosa. Hago estas aclaraciones necesarias pues, por más que insistan los gurús de la alta política que en Europa vivimos en una “democracia ejemplar” con “grandes libertades”, sabemos que el Gran Hermano nos vigila y que cualquier discurso que se salga del libreto es castigado duramente. Pero no creo que censurar el ataque en contra de Charlie Hebdo sea sinónimo de celebrar una revista que es, fundamentalmente, un monumento a la intolerancia, al racismo y a la arrogancia colonial. Y tus argumentos un monumento a la estulticia, no te j***....
Miles de personas, comprensiblemente afectadas por este atentado, han circulado mensajes en francés diciendo “Je Suis Charlie” (Yo soy Charlie), como si este mensaje fuera el último grito en la defensa de la libertad. Pues bien, yo no soy Charlie. No me identifico con la representación degradante y “caricaturesca” que hace del mundo islámico, en plena época de la llamada “Guerra contra el Terrorismo”, con toda la carga racista y colonialista que esto conlleva.Ya sé que el Islam es muy plural (empezando por la división histórica sunnitas/chiítas, previa a nuestra occidental y cristiana división católicos/protestantes, junto con el cristianismo oriental), pero es el Islam el que se degrada él sólo (o al menos, las facciones que podrían hacer frente a quienes desde él pretenden la barbarie no hacen ni mucho menos lo suficiente por contenerlos) No puedo ver con buena cara esa constante agresión simbólica que tiene como contrapartida una agresión física y real, mediante los bombardeos y ocupaciones militares a países pertenecientes a este horizonte cultural. Tampoco puedo ver con buenos ojos estas caricaturas y sus textos ofensivos, cuando los árabes son uno de los sectores más marginados, empobrecidos y explotados de la sociedad francesa non-séquitur de libro: que un colectivo sufra explotación no dá ninguna justificación a sus perspectivas vitales, ni debe impedir que se las critique con dureza, que han recibido históricamente un trato brutal: no se me olvida que en el metro de París, a comienzos de los ‘60, la policía masacró a palos a 200 argelinos por demandar el fin de la ocupación francesa de su país, que ya había dejado un saldo estimado de un millón de “incivilizados” árabes muertos.Compara una situación de guerra civil abierta con actos terroristas en una situación de paz; impresentable No se trata de inocentes caricaturas hechas por libre pensadores, sino que se trata de mensajes, producidos desde los medios de comunicación de masas (si, aunque pose de alternativo Charlie Hebdo pertenece a los medios de masas)De nuevo, recurso al non-séquitur: que un medio de comunicación sea de masas (que admito que CH lo es), no pone ni quita a la validez de sus argumentos, sus críticas o sus burlas, cargados de estereotipos y odios, que refuerzan un discurso que entiende a los árabes como bárbaros a los cuales hay que contener, desarraigar, controlar, reprimir, oprimir y exterminar.Ésa es la conclusión del autor. Igual podría decirse que los de CH proponen simplemente contención del islamismo militante a través de la burla Mensajes cuyo propósito implícito es justificar las invasiones a países del Oriente Medio así como las múltiples intervenciones y bombardeos que desde Occidente se orquestan en la defensa del nuevo reparto imperial.¿Y qué les impedía ser más explícitos? :roto2: El actor español Willy Toledo decía, en una declaración polémica -por apenas evidenciar lo obvio-, que “Occidente mata todos los días. Sin ruido”Sí claro, y a millones por día, además; se vé que de mates no anda muy bien, porque entonces hace muchos años que no debería quedar nadie vivo no-occidental. En todo caso, quienes matan son occidentales: ¿no argumentan los progres de mierda que quienes han cometido los atentados son gente islámica, pero no el Islam? Deberían apreciar un poco más sus contradicciones... :vomit: :facepalm:. Y eso es lo que Charlie y su humor negro ocultan bajo la forma de la sátira.
No me olvido de la carátula del N°1099 de Charlie Hebdo, en la cual se trivializaba la masacre de más de mil egipcios por una brutal dictadura militar, que tiene el beneplácito de Francia y de EEUU, mediante una portada que dice algo así como “Matanza en Egipto. El Corán es una mierda: no detiene las balas”. La caricatura era la de un hombre musulmán acribillado, mientras trataba de protegerse con el Corán.Seguramente entre esos egipcios también habría muchos laicos, de otras confesiones, o simplemente egipcios musulmanes que si ser radicales querían expresar su repulsa por un régimen; ¿ésos no cuentan? Habrá a quien le parezca esto gracioso. También, en su época, colonos ingleses en Tierra del Fuego creían que era gracioso posar en fotografías junto a los indígenas que habian “cazado”, con amplias sonrisas, carabina en mano, y con el pie encima del cadáver sanguinolento aún caliente. De nuevo, non-séquitur y falacia del hombre de paja En vez de graciosa, esa caricatura me parece violenta y colonial, un abuso de la tan ficticia como manoseada libertad de prensa occidental. ¿Qué ocurriría si yo hiciera ahora una revista cuya portada tuviera el siguiente lema: “Matanza en París. Charlie Hebdo es una mierda: no detiene las balas” e hiciera una caricatura del fallecido Jean Cabut acribillado con una copia de la revista en sus manos?Pues me temo que poco o nada Claro que sería un escándalo: la vida de un francés es sagrada. La de un egipcio (o la de un palestino, iraquí, sirio, etc.) es material “humorístico”. Por eso no soy Charlie, pues para mí la vida de cada uno de esos egipcios acribillados es tan sagrada como la de cualquiera de esos caricaturistas hoy asesinados.
Ya sabemos que viene de aquí para allá: habrá discursos de defender la libertad de prensa por parte de los mismos países que en 1999 dieron la bendición al bombardeo de la OTAN, en Belgrado, de la estación de TV pública serbia por llamarla “el ministerio de mentiras”Pues precisamente Belgrado nunca se caracterizó por pro-islamista, sino todo lo contrario; antes al contrario, la razón oficial de los bombardeos era defender a los bosnios musulmanes; que callaron cuando Israel bombardeo en Beirut la estación de TV Al-Manar en el 2006; que callan los asesinatos de periodistas críticos colombianos y palestinos. Luego de la hermosa retórica pro-libertad, vendrá la acción liberticida:la libertad en abstracto, como los derechos humanos, están fenomenal, pero hay que demostrar día a día que se merecen más macartismo dizque “anti-terrorismo”, más intervenciones coloniales, más restricciones a esas “garantías democráticas” en vías de extinción, y por supuesto, más racismo.De nuevo, non-séquitur, y van...; la religión musulmana se dá entre muchas razas, igual que las diversas confesiones cristianas Europa se consume en una espiral de odio xenófobo, de islamofobia, de anti-semitismo (los palestinos son semitas, de hecho) y este ambiente se hace cada vez más irrespirable. Los musulmanes ya son los judíos en la Europa del siglo XXI, y los partidos neo-nazis se están haciendo nuevamente respetables 80 años después gracias a este repugnante sentimiento. Por todo esto, pese a la repulsión que me causan los ataques de París, Je ne suis pas Charlie.
([url]http://www.rebelion.org/imagenes/194136_1.jpg[/url])
[url]http://iniciativadebate.org/2015/01/10/yo-no-soy-charlie/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/01/10/yo-no-soy-charlie/[/url])
Charlie Hebdo shooting suspect defended by classmates on Twitter
Students say suspected getaway driver Mourad Hamyd was in class at time of attack, in series of tweets under hashtag #MouradHamydInnocent
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Emma Graham-Harrison
The Guardian, Thursday 8 January 2015 13.16 GMT
A woman adds her floral tribute outside the Charlie Hebdo headquarters A woman adds her floral tribute outside the Charlie Hebdo headquarters in central Paris. Photograph: Etienne Laurent/EPA
Classmates of an 18-year-old accused of being the getaway driver in the deadly attack on Charlie Hebdo magazine offices in Paris on Wednesday have defended him on Twitter, saying he was in class when masked gunmen opened fire.
Mourad Hamyd turned himself in to police in his home town of Charleville-Mézières, near the Belgian border, after he was named as one of three suspects in the attack, which killed 12, and saw his name on social media.
Soon afterwards, people claiming to be his classmates started tweeting under the hashtag #MouradHamydInnocent. “He’s in my class, and he was there for lessons this morning,” wrote @babydroma. Her account has been active since 2012, and before Wednesday was full of chatter about teachers and lessons, with a picture of film star James Franco as wallpaper.
Apparently frustrated by journalists and others questioning her identity and motive, a couple of hours later she added: “I swear to you I haven’t spoken to Mourad more than five times, but I felt obliged to help him.” She later clarified that they had been in a philosophy class at the time of the attack.
Others also joined in on the same hashtag: “Imagine that you went to class with your mate, and then in the evening he is accused of [taking part in] the attack. Please retweet #MouradHamydInnocent,” said @_neednobody. The 18-year-old, called Laura, has a longstanding account with tens of thousands of tweets and says she is studying for a BTS, a vocational qualification.
Another teenager, @AnyceDz, who said Hamyd was a friend and the two had spent the morning together, changed his profile name to #MouradHamydInnocent. He tweeted that school officials had advised him to stop giving interviews about his friend
Sin entrar el el tema de la incompatibilidad cultural la cual veo irresoluble, lo que nadie comenta en los medios es que en realidad estos grupos extremistas en su mayoría han sido creados por los servicios secretos occidentales y el dinero saudita. Al-qaeda, ISIS, etc,etc. El modus operandi siempre es el mismo: crear el grupo, financiarlo y entrenarlo para luego soltarlo en el territorio enemigo, luego pasa lo que pasa. Como dijo algún político norteamericano: "no se puede pretender criar serpientes en el jardín de casa y que solo piquen al vecino".
La realidad es terrible.
Un saludo
Ah, le grandeur
[url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url] ([url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url])
Ah, le grandeur
[url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url] ([url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url])
Le grandeur vendrá si es que son capaces de verdad de ser implacables, porque el que lo traten de ser, es su derecho y su obligación.
Hollande: «Francia está dispuesta a intervenir en Siria aunque no lo haga Reino Unido»
[url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url] ([url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url])
Ah, le grandeur
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Le grandeur vendrá si es que son capaces de verdad de ser implacables, porque el que lo traten de ser, es su derecho y su obligación.
Francia..., mejor dicho, Hollande quiso intervenir en Siria mientras otros mandatarios europeos no.CitarHollande: «Francia está dispuesta a intervenir en Siria aunque no lo haga Reino Unido»
[url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url] ([url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url])
Porque según la ONU sí se utilizaron armas químicas.., lo que no se sabe ni se ha demostrado es quiénes las lanzaron.
Que es lo que vengo diciendo siempre, equivocados o no, no existe determinación ni políticas únicas como conjunto en la UE y eso se paga sieeempre.
Ahora... ¿quiénes son realmente los meapilas?
¡Voilà!
Ahora vengo yo con mi libro y mi interpretación de la realidad. Del mismo modo que la paz se define de forma negativa, como la ausencia de guerra, la realidad la interpreto de forma contraria a lo que proponen los medios de comunicación. Así pues, si los medios de comunicación me dicen que compre en El Corte Inglés, yo, por precaución, compro en el mercadillo.
[...]
Después del tocho, ya sabéis que gafas uso para guiarme entre tanta maraña, pero es la única forma que tengo de tener un referente rápido de lo que ocurre. Después, vengo al foro y veo otras opiniones y ya difumino, pongo sombras, luces, perfilo…pero los trazos gruesos del dibujo los hago siempre en sentido contrario a lo que dicen los medios de comunicación, y la verdad es que creo que no voy muy descaminada. Ya me contaréis si os parecen unas buenas gafas para mirar la realidad, o tengo que graduar los cristales.
Después del tocho, ya sabéis que gafas uso para guiarme entre tanta maraña, pero es la única forma que tengo de tener un referente rápido de lo que ocurre. Después, vengo al foro y veo otras opiniones y ya difumino, pongo sombras, luces, perfilo…pero los trazos gruesos del dibujo los hago siempre en sentido contrario a lo que dicen los medios de comunicación, y la verdad es que creo que no voy muy descaminada. Ya me contaréis si os parecen unas buenas gafas para mirar la realidad, o tengo que graduar los cristales.
En cualquier caso siempre pagan inocentes por pecadores. Esta semana pagó con la vida la libertad de expresión bajo el nombre Charlie Hebdo, mientras, los responsables políticos que son los que alimentan esta mierda se van de rositas..., eso sí, los políticos occidentales porque los islamistas ya sabemos qué suerte corren.
Ah, le grandeur
[url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url] ([url]http://www.liberation.fr/politiques/2015/01/10/chirac-a-hollande-sur-les-attentats-la-republique-doit-etre-implacable_1177910[/url])
Le grandeur vendrá si es que son capaces de verdad de ser implacables, porque el que lo traten de ser, es su derecho y su obligación.
Francia..., mejor dicho, Hollande quiso intervenir en Siria mientras otros mandatarios europeos no.CitarHollande: «Francia está dispuesta a intervenir en Siria aunque no lo haga Reino Unido»
[url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url] ([url]http://www.abc.es/internacional/20130830/abci-hollande-intervencion-siria-201308301127.html[/url])
Porque según la ONU sí se utilizaron armas químicas.., lo que no se sabe ni se ha demostrado es quiénes las lanzaron.
Que es lo que vengo diciendo siempre, equivocados o no, no existe determinación ni políticas únicas como conjunto en la UE y eso se paga sieeempre.
Ahora... ¿quiénes son realmente los meapilas?
¡Voilà!
Hollande sea probablemente de los más prousanos que hay en el país galo; seguramente aún más que Sarkozy, que ya es decir.
En todo caso, golpear y castigar a líderes musulmanes como Bachar-al-Asad (el sirio), por muy brutales que sean, es un profundo error, pues ellos hacen la labor de contención de sus radicales mucho mejor de lo que nosotros podamos hacer nunca a través de guerras buffer, revoluciones de colores o similares.
Que haya que contener a la hola proislámica en nuestra casa no significa que no podamos y debamos colaborar con ellos, pero cada uno en su casa, y Dios (si es que existe), en la de todos.
Irán insinúa que los ataques en Francia se deben a la intervención occidental en Siria
[url]http://www.eleconomista.es/flash/noticias/6381586/01/15/Iran-insinua-que-los-ataques-en-Francia-se-deben-a-la-intervencion-occidental-en-Siria.html[/url] ([url]http://www.eleconomista.es/flash/noticias/6381586/01/15/Iran-insinua-que-los-ataques-en-Francia-se-deben-a-la-intervencion-occidental-en-Siria.html[/url])
Sí y no, saturno, te llevaría la contraria en muchos aspectos, pero sería muy largo.
Sí pienso que hay luchas de estados. Los estados europeos y occidentales y, algunos estados de Oriente Medio.
Hay guerra de estados por la energía.
Antes de que se constituyeran los estados árabes ya había choques entre la cultura occidental y la árabe.
Los estados utilizan a sus poblaciones para sus fines y aquí se armó hasta los dientes tanto a Irán como a Iraq en su particular guerra que duró diez años o más (no lo recuerdo).
Los estados occidentales ayudaron al régimen del Sha de Persia (Irán).
La Internacional Socialista era amiga del dictador de Iraq.
Lo que ocurre ahora no se puede limitar a que unas personas educadas en una cultura y socializadas en occidente, de pronto abrazan ideas que van en contra de su socialización occidental.
Lo que sucede en estos tiempos tienen multiples causas y los debates son difíciles porque ninguno somos expertos en estos temas, y son muchos los que hay que tener en cuenta.
Mira las fechas del nacimiento de los estados árabes, mira lo rectas que son sus fronteras, mira quien ha gobernado en esos países, mira la demografía, mira la pobreza y también el petroleo y la cultura laica y la cultura religiosa.
No creo que se pueda reducir todo a cuatro o diez variables que nos puedan explicar lo que ocurre.
Hay que añadir que por estos lares cada día vamos a ser más pobres y eso también hay que tenerlo en cuenta.
Yo no soy capaz de reducirlo tanto.
Por ejemplo, los terroristas tienen amigos o familiares que apoyan su causa, lo que les proporciona un respaldo psicológico y una sensación de comunidad. Sin una tribu que te apoye por detrás es complicado ejercer tal crueldad. El sentimiento de culpa se instalaría en sus vidas para siempre. Para contrarrestarlo, estos grupos terroristas aseguran una identidad poderosa y una sensación de lealtad inquebrantable del grupo, algo fundamental para los humanos y otros primates.
Los antropólogos sabemos bien la importancia de los símbolos para las comunidades. Las banderas, ciertos libros, las vestimentas, estilo de vida, etc. son compartidos. Éstos generan cohesión, incluso entre individuos que nunca se han visto personalmente. Todos estos elementos son fundamentales a la hora de crear sensación de "tribu" y de identificarse unos a otros. Estos jóvenes terroristas, según el estudio de Hogan, están convencidos de que formar parte de un movimiento terrorista tiene recompensas, como sentir emoción y aventura, sentimiento de camaradería y un alto sentido de la identidad, ha descubierto Horgan.
La victimización del colectivo, sea real o no, es otra de las claves para construir argumentos con los lanzarse al asesinato. De hecho, una estrategia mental a la que suelen recurrir los terroristas es la deshumanización del enemigo. Se trata de ver a las personas que no piensan como tú como si no fueran personas. Porque de no ser así, sería complicado ser capaces de derramar tanta sangre sin pestañear. Ya que a diferencia de los psicópatas puros, los terroristas sí son conscientes de las consecuencias de sus actos y probablemente jamás harían algo así a un compañero o compañera. Los terroristas no son individuos patológicos en un sentido clínico, piensan psiquiatras y psicólogos
Esta noche en la TVE2 tienen un documental en la noche temática sobre el Sahel y los grupos que controlan la zona, es en la NOCHE TEMÁTICA, mañana ya estará en la red.
Parece que allí hay de todo, petróleo, uranio... y Argelia quiere mandar en la zona y pide ayuda a USA, pero los franceses se lo piensan, y así estamos.
El que quiera conocer más sobre el tema, mañana que se lo vea, eso sí, sin desconectar con lo que suceda en París.
Y para ahora, antes de dormir, un poquito de infomación diferente.
[url]http://www.voltairenet.org/es[/url] ([url]http://www.voltairenet.org/es[/url])
El tsunami nos pillará igual, pero al menos sabremos la altura de la ola. ;)
Ahora vengo yo con mi libro y mi interpretación de la realidad. Del mismo modo que la paz se define de forma negativa, como la ausencia de guerra, la realidad la interpreto de forma contraria a lo que proponen los medios de comunicación. Así pues, si los medios de comunicación me dicen que compre en El Corte Inglés, yo, por precaución, compro en el mercadillo.
oye, como los mamporreros y los castuzos que les soban la chepa y los empujan;CitarPor ejemplo, los terroristas tienen amigos o familiares que apoyan su causa, lo que les proporciona un respaldo psicológico y una sensación de comunidad. Sin una tribu que te apoye por detrás es complicado ejercer tal crueldad. El sentimiento de culpa se instalaría en sus vidas para siempre. Para contrarrestarlo, estos grupos terroristas aseguran una identidad poderosa y una sensación de lealtad inquebrantable del grupo, algo fundamental para los humanos y otros primates......
Esta noche en la TVE2 tienen un documental en la noche temática sobre el Sahel y los grupos que controlan la zona, es en la NOCHE TEMÁTICA, mañana ya estará en la red.
Parece que allí hay de todo, petróleo, uranio... y Argelia quiere mandar en la zona y pide ayuda a USA, pero los franceses se lo piensan, y así estamos.
El que quiera conocer más sobre el tema, mañana que se lo vea, eso sí, sin desconectar con lo que suceda en París.
Y para ahora, antes de dormir, un poquito de infomación diferente.
[url]http://www.voltairenet.org/es[/url] ([url]http://www.voltairenet.org/es[/url])
El tsunami nos pillará igual, pero al menos sabremos la altura de la ola. ;)Ahora vengo yo con mi libro y mi interpretación de la realidad. Del mismo modo que la paz se define de forma negativa, como la ausencia de guerra, la realidad la interpreto de forma contraria a lo que proponen los medios de comunicación. Así pues, si los medios de comunicación me dicen que compre en El Corte Inglés, yo, por precaución, compro en el mercadillo.
Entonces todo lo que digan será falso, ¿no?
No, wait! Si lo dicen en un telediario, entonces mi criterio es oponerme; si lo sirve el mismo mass media en forma de documental, la cosa cambia.
Sin criterio.
¿Qué clase de civilización somos?
- DERECHO A OFENDER. Su decisión de publicar unas viñetas de Mahoma para denunciar la autocensura encendió el debate sobre el futuro de la libertad de expresión. Flemming Rose, jefe de Internacional del ‘Jyllands-Posten’, el principal diario danés, reflexiona sobre el uso de la sátira como respuesta de una civilización sana ante la barbarie
Philippe Val, entonces redactor jefe de Charlie Hebdo, no podía ocultar su irritación cuando, en 2007, con motivo del juicio celebrado contra la revista satírica de izquierdas por publicar unas viñetas de Mahoma, se le preguntaba si realmente había sido necesario, si no se trataba de una provocación innecesaria y un ataque a una minoría débil y oprimida. Charlie Hebdo había reproducido unos dibujos del diario Jyllands-Posten, junto con otras viñetas del profeta hechas por sus caricaturistas, como reacción a los ataques contra las Embajadas danesas y las amenazas al diario. “¿Qué civilización seríamos si no nos pudiésemos burlar, mofar y reír de los que vuelan trenes y aviones y asesinan en masa a inocentes?”, se preguntaba indignado Philippe Val. La pregunta resurge con fuerza tras la matanza en la redacción de Charlie Hebdo.
La sátira es una de las respuestas de una sociedad abierta ante la violencia, las amenazas y la barbarie. La sátira es pacífica, aunque pueda picar y escocer. No mata; ridiculiza y expone públicamente. Nos mueve a la risa, no al miedo o al odio.
La sátira es la respuesta de una civilización sana ante la barbarie. Por supuesto que un dibujo nunca vale la vida de una sola persona. El problema es que hay quienes insisten en esa idea. ¿Y cómo debemos comportarnos nosotros, en tanto que gestores de la palabra libre? ¿Cuántas amenazas y actos terroristas habrá que sumar para que los fundamentalistas de la ofensa comprendan que con su defensa del derecho a no ser ofendidos y su absurda equiparación entre malas palabras y malas acciones le están haciendo un favor a la tiranía?
La matanza de París es la trágica culminación, por ahora, de más de 25 años de debate en Europa en torno a la libertad de expresión y sus límites. Comenzó con Salman Rushdie, que en 1989 tuvo que desaparecer después de que las autoridades religiosas de Irán, mediante una fetua (edicto), llamasen a todos los creyentes musulmanes a asesinar al escritor debido a unas pocas páginas de su novela Los versos satánicos. Desde entonces se ha sucedido un caso tras otro. La mayoría ha girado en torno a cómo tratar el islam en la esfera pública de una democracia, pero no se trata únicamente de musulmanes ofendidos. Casos similares han afectado a sijs, hindúes, cristianos ortodoxos, nacionalistas y todo tipo de grupos que insisten en prohibir la expresión de lo que consideran ofensivo.
“La sátira no mata; ridiculiza. Nos mueve a la risa, no al miedo o al odio”
Tanto Charlie Hebdo como Jyllands-Posten han sido objeto de procesos judiciales. Ambos hemos sido absueltos en los casos planteados contra nosotros. En una democracia y en un Estado de derecho, se respetan las decisiones de los tribunales, aun cuando se pueda estar en desacuerdo con una sentencia. Ese es uno de los modos en los que resolvemos los conflictos. La otra forma es mediante el debate libre y abierto. Este debate lo perdieron en Dinamarca y Francia los musulmanes radicales, pero en lugar de mantenerse fieles al principio básico de la democracia de confrontar palabra con palabra, dibujos con dibujos y dejar hablar a los argumentos verbales, aquellos que se sintieron ofendidos por causa de su dios o su profeta se aferraron a la violencia o la alentaron.
Justamente por eso, es indignante que tantas voces en este debate (sin mencionar nombres y sin olvidar a nadie) hayan hecho algo más que insinuar que Jyllands-Posten, Charlie Hebdo, el director holandés Theo van Gogh, asesinado en 2004, Lars Vilks en Suecia, Lars Hedegaard y Naser Khader en Dinamarca, Robert Redeker en Francia, Ayaan Hirsi Ali en Holanda, Maryam Namazie en Gran Bretaña y una larga serie de europeos que en los últimos años han sido amenazados de muerte o víctimas de intentos de asesinato, en cierto modo se lo han buscado. Un famoso humorista danés comparó en su día la publicación de las viñetas de Mahoma con provocar a un violento roquero. La indigencia moral e intelectual que subyace tras una afirmación así es sorprendente, pero el razonamiento prospera en nuestra cultura en distintas variantes.
Incluso un diario respetable como The New York Times escribió que las caricaturas desataron la violencia en el mundo musulmán. Naturalmente, eso no significa que los fundamentalistas de la ofensa toleren la violencia como reacción a unas viñetas. Pero sí que supone que en demasiados lugares de nuestra cultura, hay un acuerdo latente en que palabras y hechos pueden ser violentos y ofensivos en la misma medida. Pakistán y muchos otros países musulmanes han llegado incluso al punto de que el insulto, burla y ridiculización del Profeta mediante la palabra o gráficamente se castiga con la misma dureza que el asesinato y el terrorismo: con la pena de muerte. En las últimas décadas, la política de identidad y la lucha por un espacio público libre de ofensas ha hecho que este modo de pensar se extienda.
En el contexto de la crisis de las viñetas de Mahoma, Charlie Hebdo publicó a finales de febrero de 2006 un manifiesto con el título “Juntos. Haciendo frente a un nuevo totalitarismo”. Estaba firmado por Salman Rushdie, Philippe Val, Ayaan Hirsi Ali, el danés Mehdi Mozaffari y otros intelectuales procedentes de diferentes sectores del espectro político, pero que se unieron en su defensa de la libertad de expresión.
([url]http://ep01.epimg.net/internacional/imagenes/2015/01/10/actualidad/1420921359_949870_1420922797_sumario_normal.jpg[/url])
En él se decía: “Después de haber doblegado al fascismo, al nazismo y al comunismo, el mundo se enfrenta a una nueva amenaza totalitaria: el islamismo. Nosotros, periodistas e intelectuales hacemos un llamamiento a la resistencia contra este totalitarismo religioso y a la defensa de la libertad, la igualdad de oportunidades y los valores seculares. Los últimos sucesos relacionados con la publicación de las viñetas de Mahoma en periódicos europeos han revelado la necesidad de luchar por estos valores universales. Esta lucha no será ganada mediante las armas, sino en el campo de batalla ideológico”.
El manifiesto contra el totalitarismo concluía: “Nos negamos a renunciar a nuestro espíritu crítico por miedo a ser acusados de “islamófobos”, un concepto gastado que mezcla la crítica del islam con la estigmatización de los creyentes. Defendemos la libertad de expresión como un derecho universal, para que el espíritu crítico pueda darse en todos los continentes, alzarse frente a cualquier maltrato o dogma. Apelamos a los demócratas y a los espíritus libres de todos los continentes para que nuestro siglo sea el de la luz y no el de la oscuridad”.
Charlie Hebdo fue quizá el único medio de comunicación europeo que, a pesar de las amenazas y a un atentado incendiario, insistió en el derecho a continuar burlándose de todas las religiones. Dirigieron sus punzadas tanto contra el Papa como contra el Profeta. Trabajaban desde una tradición bien establecida en la que no hay nada sagrado; una tradición que tras la Reforma, y especialmente en tiempos de la Ilustración, se fue extendiendo a la par que lo hacían la tolerancia, la libertad religiosa y la libertad de expresión.
Cuando hace ya más de diez años Theo van Gogh fue asesinado en una calle de Ámsterdam por un joven musulmán ofendido, el entonces ministro de Justicia holandés, es decir, el más alto defensor electo del Estado de derecho, dijo que se debería sopesar un endurecimiento de la legislación contra el llamado discurso de odio. Porque si hubiese existido una ley así, Van Gogh aún estaría con vida. Es decir, si se hubieran criminalizado diferentes tipos de expresiones, habría habido una oportunidad para que Van Gogh nunca hubiera realizado el documental sobre la violencia contra las mujeres en nombre del profeta, documental que llevó a Mohammed Bouyeri a asesinarlo.
“Indigna que tantos hayan sugerido que ‘Charlie Hebdo’ se lo ha buscado”
Hoy podemos decir lo mismo de los colaboradores de Charlie Hebdo. Si se hubieran limitado a lanzar sátiras contra el cristianismo, los políticos y el Papa, y hubieran dejado en paz al islam, estarían vivos gracias a esta terrible discriminación. Pero no lo hicieron. Continuaron haciendo su trabajo.
Y así volvemos al punto de partida: ¿Qué civilización somos si renunciamos a nuestro derecho a publicar opiniones y dibujos que a algunos pueden resultarles ofensivos? Básicamente se trata de un debate sobre cómo convivir en una sociedad cada vez más multicultural y al mismo tiempo mantener nuestras libertades. Podemos, como en las sociedades que no son libres, buscar una falsa armonía criminalizando continuamente nuevas expresiones de acuerdo con la siguiente máxima: si aceptas mi tabú y no te expresas crítica u ofensivamente sobre lo que para mí es sensible y sagrado, yo haré lo mismo.
En sociedades como la nuestra, en las que crece la diversidad, este es el camino hacia la tiranía del silencio.
Otro camino es insistir en que el precio que todos tenemos que pagar por vivir en democracia, con libertad de expresión y de culto, es que nadie tenga un especial derecho a no ser ofendido. Los colaboradores de Charlie Hebdo no habrán muerto en vano, si elegimos este camino como reacción a su asesinato.
Flemming Rose es autor del libro The tirany of silence.
Una imagen vale más que mil mentiras. Mirad que curioso:
https://twitter.com/StarmanCB/status/554312629230239744 (https://twitter.com/StarmanCB/status/554312629230239744)
... y mirad luego la portada de todos los periodicos.
[...]
Hoy, la corriente predominante al menos entre los sunies -el islam está dividido en dos corrientes principales, sunies y chiies (estos últimos si tienen jerarquía religiosa)- es la promovida por quienes tienen el dinero en estos momentos, las monarquías del golfo, y no es otra que el fundamentalismo wahabi -que tiene dos siglos de antigüedad-; fundamentalismo tolerado por los paises occidentales (la pela es la pela).
[...]
Esos polvos, son los que nos han llevado a estos lodos, asi que si no toleramos a los guerrilleros de cristo rey, y tenemos bajo estricta vigilancia a los del Palmar de Troya, [...]
[...]
« Je ne veux plus que, sur Internet, on puisse avoir ces mots effrayants de haine », a en outre développé le chef du gouvernement. Plusieurs membres de la classe politique et des représentants de la société civile ont, en effet, évoqué ces derniers jours le risque que représente la prolifération des discours antisémites et contre l'islam sur la Toile, sans contrôle.
« C'est là où une partie de la radicalisation se forme », a insisté Manuel Valls. « Mais pour cela, il faut des moyens (...) Nous créons des postes supplémentaires. S'il faut en créer davantage, (on) le fera parce que la sécurité des Français ne peut pas se discuter. »
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html#eM5jrrJuBgI47Gl4.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html#eM5jrrJuBgI47Gl4.99[/url])
[url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html[/url])
A esto me refería. La libertad de expresión sólo la puede poner en peligro quién es su garante.Citar« Je ne veux plus que, sur Internet, on puisse avoir ces mots effrayants de haine », a en outre développé le chef du gouvernement. Plusieurs membres de la classe politique et des représentants de la société civile ont, en effet, évoqué ces derniers jours le risque que représente la prolifération des discours antisémites et contre l'islam sur la Toile, sans contrôle.
« C'est là où une partie de la radicalisation se forme », a insisté Manuel Valls. « Mais pour cela, il faut des moyens (...) Nous créons des postes supplémentaires. S'il faut en créer davantage, (on) le fera parce que la sécurité des Français ne peut pas se discuter. »
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html#eM5jrrJuBgI47Gl4.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/12/manuel-valls-promet-une-reponse-exceptionnelle_4554115_3224.html#eM5jrrJuBgI47Gl4.99[/url])
En otro artículo que no tengo a mano, le contestaban que la radicalización se produce en las cárceles. Y las cárceles sí son una responsabilidad positiva del Estado.
El Patriot Act de los USA, aunque se defiendan de imitarlo, nos llevó a todos a organizar Irak.
-- Servidores: obligacion de eliminar posts, pero supervision a posteriori, en el 99% a petición de los propios usuarios
Citar-- Servidores: obligacion de eliminar posts, pero supervision a posteriori, en el 99% a petición de los propios usuarios
¿êntonces yo podré pedir que eliminen cualquier publicación que considere ofensiva o contraria a la convivencia? ¿Sólo en foros o también en "medios"? ¿Y en los comentarios de los medios?
Supongo que no será así, porque entonces la tentación para liarla cada vez que uno esté aburrido será enorme, legiones de indignados con tijera. El Jueves se mete con las monjas, la feministas del Pis denigran a los hombres, TV3 dice que les robo ... los comentarios cazurros en las noticias, Burbuja, TE.net,
¿Se lo pido al responsable de la web con alguna justificación genérica y como primera medida deberá borrarlo? ¿Y si no lo hace?
Va a ser divertido.
-- Servidores: obligacion de eliminar posts, pero supervision a posteriori, en el 99% a petición de los propios usuarios
Pero la mayoría aplastante se manifestaba, como ayer, por dejarlos hacer.Ya, pero se está legislando o se pretende hacerlo en dirección contraria. Por supuesto, por nuestro bien :biggrin:
Los que no hayáis estado en alguna manifa o gran evento en Deutschland, debéis saber que la policía aquí está muy bien equipada, nada que ver con el anti-disturbio español. Éstos traen de serie armadura y por protocolo siempre despliegan barbaridades de efectivos.
12 de enero de 2015
Falta de sentido del humor
El amigo Charlie ya no se ríe. ¿Qué ha pasado, con lo buenas que eran las bromas?
Bueno, aquí hubo gente que se dedicó al insulto y a la burla de aquello que otros consideran lo más sagrado. Y pasó un poco como en la canción de Loquillo: "cogido el revólver de tener más valor / o simplemente menos sentido del humor".
Pero no es de esto de lo que quería hablar, sino de una frase que acabo de leer ahora. No voy a citar la fuente, no hace falta. La frase es: "contrariamente a lo que pretenden hacernos creer, el mundo musulman está indignado...".
Resulta que trabajo este año en un instituto con un cierto porcentaje de marroquíes. En la clase de Educación para la Ciudadanía se preguntó a todos. El 100% de los musulmanes se declararon a favor de los atentados, una de las chicas afirmó que si hubiese estado en Francia lo hubiese hecho igual, otro chaval se fabricó una pistola de cartón y estuvo apuntando y haciendo como que disparaba a sus compañeros. Ni tan siquiera las chicas más estudiosas y aplicadas, las que creíamos más moderadas, admitieron ninguna fisura en la postura doctrinal: aquel que representa gráficamente la figura de Muhammad debe morir.
Por eso yo empiezo a considerar como enemigo mío, como una amenaza directa, no sólo al Islam sino a todo ese sector paguito-universal que sigue, con los cadáveres aún calientes, predicando la unidad de religiones y asegurando que todo se calmará si los amansamos a base de paguitas y pensiones. Esta gente tiene que callarse ya. Tenemos que hacerles callar.
A mí no me van a matar los fundamentalistas islámicos, porque estoy completamente de acuerdo con ellos: la única interpretación verdadera y coherente del Islam es la que hacen ellos. No creo que el llamado Islam moderado sea más que la perversión y decadencia de una religión que se desdibuja, igual que hizo el Cristianismo. Porque creo también que la única interpretación correcta del Cristianismo es la Reconquista, todo lo demás es hipocresía.
Soy ateo completamente y no creo en las religiones moderadas. Creo en el ateísmo, niego la existencia de Dios e identifico la idea de Dios con los vestigios psicológicos de la infancia, o incluso del feto. Alguien encuentra la forma de aprovecharse y de vivir a costa de alguien. Y punto. Si por eso tengo que morir fusil en mano, lo haré. Si me intentan someter y arrodillarme de cara a la Meca, mataré a quien tenga que matar. Por unas caricaturas de unos gilipollas, no. Por una supuesta "libertad de expresión", para que luego salga un político corrupto en mi entierro a decir "no acabarán con nuestro modelo de convivencia", en ningún caso.
Los atentados de Charlie Hebdo vienen de gente que fue captada, adoctrinada y entrenada en el Estado Islámico. Este nuevo Estado ha aparecido después de aquellas revueltas que tanto apoyó Obama y otras mentes preclaras en Europa. Yo en su momento ya avisé de que quitar aquellas dictaduras sólo traería islamismo, porque ése es el Podemos musulmán, el movimiento que tiene el arraigo popular y que genera la ilusión de la gente. Quieren la Edad Media, quieren recuperar Al-Andalus, quieren matarnos a nosotros y someter a nuestras mujeres. Y todas las feministas que sigan queriendo conciliar con la morisma, que vayan al EI a que les pongan el cepo en las tetas.
Occidente tiene que unirse y usar sus armas para borrar del mapa el Estado Islámico ahora mismo. Esto no creo que se haga hasta que Obama, que es hijo de un musulmán, no abandone la Casa Blanca. Y luego, hay que cortar en seco la financiación del wahabismo en nuestro suelo, que es dinero nuestro que ha ido a Arabia Saudí a pagar el petróleo y que luego vuelve en forma de mezquitas y de imanes radicales. El imán de la mezquita de la M-30 salió condenando el atentado y diciendo que ellos eran gente de paz. No he visto en mi vida a alguien con más cara de mentiroso. No me creo nada.
El modelo de integración de la población musulmana en las democracias occidentales ha fracasado en Europa. Simplemente, sólo hay problemas. Yo me llevo bien con estas personas, en contra de lo que podáis pensar. Pero pienso que España debería tener dos políticas migratorias bien diferenciadas: una para los países musulmanes y otra para todos los demás.
http://albertonoguera.com/ (http://albertonoguera.com/)
/quote]
De Alberto Noguera, patrón de muchos burbujistas e inventor del conceto del pepito (y por ende, del pepitismo):Citar12 de enero de 2015
Falta de sentido del humor
El amigo Charlie ya no se ríe. ¿Qué ha pasado, con lo buenas que eran las bromas?
Bueno, aquí hubo gente que se dedicó al insulto y a la burla de aquello que otros consideran lo más sagrado. Y pasó un poco como en la canción de Loquillo: "cogido el revólver de tener más valor / o simplemente menos sentido del humor".
Pero no es de esto de lo que quería hablar, sino de una frase que acabo de leer ahora. No voy a citar la fuente, no hace falta. La frase es: "contrariamente a lo que pretenden hacernos creer, el mundo musulman está indignado...".
Resulta que trabajo este año en un instituto con un cierto porcentaje de marroquíes. En la clase de Educación para la Ciudadanía se preguntó a todos. El 100% de los musulmanes se declararon a favor de los atentados, una de las chicas afirmó que si hubiese estado en Francia lo hubiese hecho igual, otro chaval se fabricó una pistola de cartón y estuvo apuntando y haciendo como que disparaba a sus compañeros. Ni tan siquiera las chicas más estudiosas y aplicadas, las que creíamos más moderadas, admitieron ninguna fisura en la postura doctrinal: aquel que representa gráficamente la figura de Muhammad debe morir.
Por eso yo empiezo a considerar como enemigo mío, como una amenaza directa, no sólo al Islam sino a todo ese sector paguito-universal que sigue, con los cadáveres aún calientes, predicando la unidad de religiones y asegurando que todo se calmará si los amansamos a base de paguitas y pensiones. Esta gente tiene que callarse ya. Tenemos que hacerles callar.
A mí no me van a matar los fundamentalistas islámicos, porque estoy completamente de acuerdo con ellos: la única interpretación verdadera y coherente del Islam es la que hacen ellos. No creo que el llamado Islam moderado sea más que la perversión y decadencia de una religión que se desdibuja, igual que hizo el Cristianismo. Porque creo también que la única interpretación correcta del Cristianismo es la Reconquista, todo lo demás es hipocresía.
Soy ateo completamente y no creo en las religiones moderadas. Creo en el ateísmo, niego la existencia de Dios e identifico la idea de Dios con los vestigios psicológicos de la infancia, o incluso del feto. Alguien encuentra la forma de aprovecharse y de vivir a costa de alguien. Y punto. Si por eso tengo que morir fusil en mano, lo haré. Si me intentan someter y arrodillarme de cara a la Meca, mataré a quien tenga que matar. Por unas caricaturas de unos gilipollas, no. Por una supuesta "libertad de expresión", para que luego salga un político corrupto en mi entierro a decir "no acabarán con nuestro modelo de convivencia", en ningún caso.
Los atentados de Charlie Hebdo vienen de gente que fue captada, adoctrinada y entrenada en el Estado Islámico. Este nuevo Estado ha aparecido después de aquellas revueltas que tanto apoyó Obama y otras mentes preclaras en Europa. Yo en su momento ya avisé de que quitar aquellas dictaduras sólo traería islamismo, porque ése es el Podemos musulmán, el movimiento que tiene el arraigo popular y que genera la ilusión de la gente. Quieren la Edad Media, quieren recuperar Al-Andalus, quieren matarnos a nosotros y someter a nuestras mujeres. Y todas las feministas que sigan queriendo conciliar con la morisma, que vayan al EI a que les pongan el cepo en las tetas.
Occidente tiene que unirse y usar sus armas para borrar del mapa el Estado Islámico ahora mismo. Esto no creo que se haga hasta que Obama, que es hijo de un musulmán, no abandone la Casa Blanca. Y luego, hay que cortar en seco la financiación del wahabismo en nuestro suelo, que es dinero nuestro que ha ido a Arabia Saudí a pagar el petróleo y que luego vuelve en forma de mezquitas y de imanes radicales. El imán de la mezquita de la M-30 salió condenando el atentado y diciendo que ellos eran gente de paz. No he visto en mi vida a alguien con más cara de mentiroso. No me creo nada.
El modelo de integración de la población musulmana en las democracias occidentales ha fracasado en Europa. Simplemente, sólo hay problemas. Yo me llevo bien con estas personas, en contra de lo que podáis pensar. Pero pienso que España debería tener dos políticas migratorias bien diferenciadas: una para los países musulmanes y otra para todos los demás.
[url]http://albertonoguera.com/[/url] ([url]http://albertonoguera.com/[/url])
Es que no tiene sentido pretender conservar la pureza ideológica y dogmática de ninguna religión, que no son bienes que haya que atesorar, ni especies protegidas que conservar; a la pureza, que le dén bien dado por dónde amargan los pepinos, c***.
El Cristianismo ya evolucionó y aceptó, primero a regañadientes, y luego con convencimiento, que la separación Iglesia- Estado en el fondo era la mayor garante de la libertad religiosa y de culto. ¡Qué el Islam haga lo mismo!, pero no porque se lo impongamos, sino porque desde dentro se convenzan.
Y para ello lo mejor son buenas dosis de Realpolitik, que nos permitan colaborar con ellos en lo económico y en lo estratégico, de puertas para afuera; las injerencias son de muy dudoso resultado, y en todo caso, costosísimas (muy en particular, pienso en la idea de exportar la democracia, para mí error entre los errores).
Y ya de puertas para adentro, en la medida en que aquí quieran vivir (no ya convivir), exigencia de respeto a nuestra legalidad y de reciprocidad en sus países.
Es que no tiene sentido pretender conservar la pureza ideológica y dogmática de ninguna religión, que no son bienes que haya que atesorar, ni especies protegidas que conservar; a la pureza, que le dén bien dado por dónde amargan los pepinos, c***.
El Cristianismo ya evolucionó y aceptó, primero a regañadientes, y luego con convencimiento, que la separación Iglesia- Estado en el fondo era la mayor garante de la libertad religiosa y de culto. ¡Qué el Islam haga lo mismo!, pero no porque se lo impongamos, sino porque desde dentro se convenzan.
Y para ello lo mejor son buenas dosis de Realpolitik, que nos permitan colaborar con ellos en lo económico y en lo estratégico, de puertas para afuera; las injerencias son de muy dudoso resultado, y en todo caso, costosísimas (muy en particular, pienso en la idea de exportar la democracia, para mí error entre los errores).
Y ya de puertas para adentro, en la medida en que aquí quieran vivir (no ya convivir), exigencia de respeto a nuestra legalidad y de reciprocidad en sus países.
La separación Iglesia-Estado , para mi, consiste en neutralidad. Ni obligar ni prohibir.
Ponéis como ejemplo la educación. Veo mal que haya una asignatura de religión que puntúe académicamente. Veo aún peor que algunos pretendan prohibir a los católicos que eduquen a sus hijos en colegios religiosos.
La agresión a la libertad es la misma, obligar y prohibir son equivalentes. Si considero aún peor a los segundos es por su incoherencia absoluta. Los primeros por lo menos van de cara. Los segundos no tienen vergüenza, son igual de totalitarios que los primeros pero encima tienes que tragarte que es por defender la libertad.
No hay ningún país occidental (salvo el Vaticano) más afecto a las fórmulas religiosas, en particular cristianas, que los EE.UU. Pues oigan, allí la religión a los niños se imparte en las iglesias, en la "escuela dominical". La religión en los centros públicos no sólo está prohibida. Es que es anticonstitucional.
Sólo apuntar que la separación Iglesia-Estado es parcial en España, pues de acuerdo, pero en los países islámicos es virtualmente inexistente (y en retroceso en dónde ha llegado a haberla).
[...]
Los líderes políticos no encabezaron la manifestación de París, pese a las fotos
Los mandatarios posaron para los medios en una calle aledaña sin mezclarse con el pueblo, pero hicieron parecer que sí estaban con los ciudadanos franceses.
([url]https://s.yimg.com/bt/api/res/1.2/QheSUNsIytgirj3V.SpZOA--/YXBwaWQ9eW5ld3M7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/en_us/News/ap_webfeeds/235ae132c8f8f1016a0f6a70670016c2.jpg[/url])
En esta protesta, sin embargo, hubo algún elemento extraño, algo que se salía de lo normal. ¿Por qué todas las fotos que se estaban publicando de la unión de los gobernantes eran de frente? La explicación la dio el periódico francés Le Monde y no está exenta de polémica.
Porque ni Merkel ni Hollande ni Rajoy ni ninguno de ellos estaban liderando la manifestación del pueblo. Estaban en una calle aledaña junto a un centenar de personas haciéndose las fotos en repulsa por los atentados, pero no se habían juntado con los ciudadanos franceses.
:roto2: :roto2: :roto2: :troll:
([url]https://pbs.twimg.com/media/B7E6sVOCEAEW9Sv.jpg[/url])
Puede llegar a ser entendible que en esta situación de violencia extrema la seguridad de los gobernantes sea crucial, pero lo que difícilmente se justifica es la campaña de maquillaje en la que intentan hacer creer al mundo entero que están en la manifestación. No solo era innecesario, sino que incluso ha resultado ofensivo para muchas personas.
Y es que los mismos líderes que se manifestaron por la libertad de expresión no han dudado en reprimirla con dureza en sus países. Ejemplos hay de sobra, empezando por el rey Abdalá de Jordania (presente en París), encarceló en 2014 a 15 periodistas palestinos, tal y como cuenta Daniel Wickham en Twitter o siguiendo por los represivos gobiernos de Turquía, Israel, Egipto o Malí. Realmente pocos se salvan de esta vergonzosa lista.
[url]https://es.noticias.yahoo.com/blogs/gaceta-trotamundos/los-lideres-politicos-no-encabezaron-la-manifestacion-de-paris--pese-a-las-fotos-094203756.html[/url] ([url]https://es.noticias.yahoo.com/blogs/gaceta-trotamundos/los-lideres-politicos-no-encabezaron-la-manifestacion-de-paris--pese-a-las-fotos-094203756.html[/url])
Eso no es cierto, lego.Marx, no he dicho que muchos quieran prohibir la religión. Digo que sí que hay muchos en contra de que existan colegios religiosos.
Pareciese que los que no estamos por la labor educativa religiosa en este país prohibiésemos la religión. Ningún país laico (por lo menos europeo) las prohíben.
Puede que haya poca vergüenza, pero si cualquiera de nosotros fuese el responsable de seguridad de la manifestación, creo que ninguno hubiese expuesto a todos los líderes juntos. No creo que estuvieran separados por no mezclarse con la gente, sino porque es mucho más fácil "securizar" un perímetro pequeño y poco poblado, en el que no te puede salir un fundamentalista disfrazado de manifestante y escabechar a todos los líderes de una tacada. Al César lo que es del César.
Puede llegar a ser entendible que en esta situación de violencia extrema la seguridad de los gobernantes sea crucial, pero lo que difícilmente se justifica es la campaña de maquillaje en la que intentan hacer creer al mundo entero que están en la manifestación. No solo era innecesario, sino que incluso ha resultado ofensivo para muchas personas.
¿Qué os parece este escrito?
[url]http://www.profesionalesetica.org/2015/01/atentados-de-paris-tres-debilidades-de-europa/[/url] ([url]http://www.profesionalesetica.org/2015/01/atentados-de-paris-tres-debilidades-de-europa/[/url])
Libertad, amenazas, seguridad. Me parece un poco corto, pero al menos se toma la molestia de separar conceptos.
Me gusta el final, cuando dice que solo con ejercito y seguridad lo tenemos oscuro, oscurito.
Y también me ha gustado lo de que los acios se llenan, parece que en Europa hemos dejado un gtran hueco que se llena de lo que no defendemos.
Intentan hacer creer que en la Manifestación parisina reinaba la Unidad de toda Francia y, por ende, de Europa. Esto es una mentira política de gran calibre.
Por recordar, es una manipulación política de una parte de los dirigentes políticos franceses para dejar impresa en la mente del pueblo -en claro estado de shock emocional y de sentimientos- una mentira de calado.
Hollande y otros prohibieron a una cuarta parte del electorado francés, los partidarios de Marine Le Pen, la asistencia oficial al acto.
Este es un error profundo y ya irremediable, del que Hollande fue consciente horas después. Gran error.
Francia aún no ha tenido su 11-S y lo saben. La cuenta atrás ha comenzado. Siempre hay prolegómenos. Los terroristas han tanteado y obviamente es más que realizable.
Francia no ha estado unida. Uno de cada cuatro franceses han sido censurados oficialmente (ya que, a título personal, uno puede asistir). De este hecho ya han tomado nota los terroristas.
Lo verdaderamente terrible es el sufrimiento de las familias y amigos de las víctimas. El inmenso dolor. Horrible.
___________
Un saludo a todos y gracias por sus aportaciones.
[...]
Y guerras, porque el 11S francés o inglés ha de llegar por desgracia.
Esta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
Esta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.:facepalm:
CitarEsta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
:facepalm:
¿Para eso están las elecciones, no?
Ah claro, que en Francia, Bélgica, Suiza... no hay democracia. :troll:
Constructo social
Una construcción social o un constructo social es una entidad institucionalizada o un artefacto en un sistema social "inventado" o "construido" por participantes en una cultura o sociedad particular que existe porque la gente accede a comportarse como si existiera, o acuerdan seguir ciertas reglas convencionales, o a comportarse como si tal acuerdo o reglas existieran.
[url]http://es.wikipedia.org/wiki/Constructo_social[/url] ([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Constructo_social[/url])
Las autoridades francesas, tras declarar su firmeza contra el terrorismo islamista radical, han detenido en la mañana del miércoles al humorista Dieudonné. Este hombre, condenado por antisemitismo y que ha liderado una corriente que se autoidentifica con un saludo pseudonazi, publicó el domingo un mensaje en Facebook en el que se leía "Yo me siento Charlie Coulibaly". De esta manera, el humorista combinaba el eslogan a favor de la revista atacada con Amedy Coulibaly, el nombre del terrorista que mató el jueves a una agente municipal y, el viernes, a cuatro judíos en el supermercado de comida kosher Hyper Cacher, en el este de París.h**p://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/14/actualidad/1421226824_640137.html
La fiscalía abrió el lunes una inmediata investigación sobre el mensaje de Dieudonné por posible "apología de terrorismo". Tras su detención esta mañana, su abogado, Jacques Verdier, ha mostrado su disconformidad. "No veo cómo puede provocar Dieudonné un acto terrorista", dijo, y se preguntó si Francia no debería reflexionar más seriamente sobre la libertad de expresión.
CitarEsta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
:facepalm:
¿Para eso están las elecciones, no?
Ah claro, que en Francia, Bélgica, Suiza... no hay democracia. :troll:
Piense que desde un inicio, ademas de lo mencionado por vd de la base legal romana; el cristianismo como cosmogonia no pretende reglamentar en mundo temporal (aunque luego sucediese asi por desarrollos politicos, sociologicos e ideologicos, fundamentalmente en la Edad Media); mientras que el Islam si tiene desde su inicio una intencion de reglamentacion del mundo temporal segun una concepcion determinada.
Es decir; el Islam tiene como objetivo una identificacion de la organizacion politica con la superestructura de fe. El cristianismo en origen no la tiene; los mundos temporal y trascendente caminan paralelos, y es una opcion moral propia el intentar comunicarlos o no.
Sds.
No lo sé, no he leído lo suficiente como para estar de acuerdo o discrepar.
La optativa de sociología de las religiones no me entusiasmaba, aunque ahora, pasado el tiempo, quizá me equivoqué.
Lo que sí sé por historia, es que desde que se pinto la Sixtina (el hombre en el centro) hasta que se separaron el poder de la Iglesia Cristiana y el Estado hubo muchos muertos por el camino.
Despejar el camino para la razón, parece que siempre nos cuesta algunos muertos.
Ahora esa capilla sirve para mucha gente para hacerse una foto antes de entrar, pero les da igual que el hombre se convierta en el centro, por eso el escrito que puse unas pantallas atrás es para recordarnos que no educamos para valorar lo que hemos conseguido, educamos en un gran vacío que se llena con cosas compradas en las nuevas catedrales (centros comerciales) y ese vacío es responsabilidad nuestra, así como poner en valor nuestra tradición de libertades civiles, como eso no lo hacemos, la libertad retrocede y el vacío crece, y conseguimos que la gente soporte muy mal la incertidumbre, y ante eso, o nos refugiamos en salvamundos o en religiones. Mal asunto.
Esta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
Esta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
Os viene muy bien no hablar de las contramanifestaciones.
Porque según vuestra teoría, "ellos" no son la ciudadanía, ni el pueblo, ni deberían formar parte de la democracia. Ni que decir de los pro-islamistas franceses con derecho a voto.CitarEsta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
En vuestra teoría buensalvajista politicoculpista el pueblo es una unión homogénea de buenas gentes que hacen pastel de manzana para repartir con los niños en el parque.
Yo no creo tanto en la democracia y digo que el pueblo es rencoroso, violento, voluble e infantil. El pueblo son personas, desde el bombero hasta el violador. Algunos os empeñais en negar esta realidad, no hablemos ya de las proporciones (p.ej.: la mayoría absoluta del gangoso).
Solo quiero decir que la mención a los políticos, sobra.
Creo que no ha lugar.
Con los políticos os han puesto un monigote encorbatado y seguís dándole golpes, en la fantasía de que tiene la culpa de-no-se-que. Y cuando lo rompéis ponéis a otro, hasta que lo volvéis a romper. Los más listos del grupo incluso llegan a creer que quien pone y quita los monigotes son "las multinacionales". Y vuelta a empezar. Otro nuevo. Y otro.
Yo solo digo que los políticos los pone y mantiene el pueblo. Los politicos son los peleles que hace de catalizador. Cuando uno desaparece hay mil para ocupar su puesto. Para la democracia son totalmente irrelevantes. De hecho, la mayoría de ellos están ahí porque no tienen otro oficio -y lo sabéis.
Son IRRELEVANTES para el hecho democrático.CitarEsta chusma política europea y trasatlántica va a acabar con todo.
Pues eso.
Que la frase resume una forma de ver la realidad que no comparto.
Piense que desde un inicio, ademas de lo mencionado por vd de la base legal romana; el cristianismo como cosmogonia no pretende reglamentar en mundo temporal (aunque luego sucediese asi por desarrollos politicos, sociologicos e ideologicos, fundamentalmente en la Edad Media); mientras que el Islam si tiene desde su inicio una intencion de reglamentacion del mundo temporal segun una concepcion determinada.
Es decir; el Islam tiene como objetivo una identificacion de la organizacion politica con la superestructura de fe. El cristianismo en origen no la tiene; los mundos temporal y trascendente caminan paralelos, y es una opcion moral propia el intentar comunicarlos o no.
Sds.
Ojala solo fuera el Pueblo, aparte, un modelo bipartidista no creo que represente a la población
ni mucho menos, es como un menú en el que hay pechuga o huevos, pues eliges lo que menos odias aunque no te guste nada.MENTIRA.
No exactamente.
Dos matizaciones:
La primera es que la evolución de la edad media se da desde lo politico hacia lo religioso para dar cobertura y afianzar el poder temporal justificandolo filosofica y socialmente.
No nace de la religión hacia la politica sino al revés.
Una de las razones es que en la caida del imperio la unica organización estable y potente sobre las comunidades era la del obispado, y se aprovecho para respaldar los nuevos modos feudales.
Los señores feudales como afirmación se sometian y buscaban el reconocimiento de la iglesia y no al revés.
La segunda es propiamente filosofica.
El cristianismo no tiene el objetivo declarado de hacer ese cielo en la tierra. De hecho desde su inicio lo reconoce como de otro mundo.
El desarrollo político medieval no surge de la religión sino del uso de la misma desde el estamento politico con fines de afianzarse.
En el islam ab initio existe una voluntad declarada de perseguir una sociedad así.
Desean conseguir montar el cielo en la tierra.
Es algo así como los principios inspiradores de la constitucion y los derechos fundamentales protegidos.
El cristianismo serian principios rectores no exigibles y el islam los derechos protegidos exigibles.
Es por ello por lo que pp.cc. equipara las ideitas con el islam, por su pretension de dotar con derecho positivo justificado en la busqueda de la pureza, areas ds la vida que el cristianismo considera que solo pueden ser principios inspiradores no exigibles.
Sds.
Sí pero no son universalizadores.
Y los subvencionados sin trabajar son los de la tribu de judá debido a mandato de yahve desde el éxodo.
Sds.
Ojala solo fuera el Pueblo, aparte, un modelo bipartidista no creo que represente a la población
Siempre repitiendo las mismas vulgaridades... no os cansais ¿?
El modelo bipartidista NO TIENE porqué representar al 100% población.
Representa a la mayoría de la población.
Punto final.
Como algunos creeis que el sistema no funciona, pero el resto no tiene que tragar con vuestros deseos supremos de reestructuración democrática... ::)
Tu opinión particular representa una veinte-millonésima parte de la muestra democrática española, ¿en serio crees que es significativa en el hecho democrático?
Vamos hombre, proponed algún argumento serio que no sea "yo creo, a mi me parece..."Citarni mucho menos, es como un menú en el que hay pechuga o huevos, pues eliges lo que menos odias aunque no te guste nada.MENTIRA.
Sólo queda ver si es por desconocimiento o voluntaria.
-A las elecciones se presentan mas de 70 partidos políticos. Esto lo llevo diciendo meses y lo ha repetido Lego hace 2 posts. De donde deduzco que o no lo habías leído, o si lo habías leído y no lo asimilaste. Si no lo habías leído mal hecho, porque el foro es para leer y aprender ;)
Si lo habías leído y haces como que no, entonces estamos en el peor de los casos, te importa una mierda la realidad y sólo te acoges al meme que mejor te suena (=no hay democracia).
EL problema de fondo, creo es que os gustaría ser demócratas pero la democracia es tan fea, que no quereis bailar con ella. Por eso os pasais el día quejandoos de su vestido, de no sabe bailar, que no lleva perfume... No la aceptáis como es realmente, y os pasais el día pretendiendo que se haga la cirugía porque os da verguenza salir a la calle con ella.
EXCUSAS para no reconocer que los asesinos de mujeres y pederastas votan, y su voto vale exactamente lo mismo que el vuestro.
¿Me vas a decir que el bipartidismo no representa a la totalidad de la poblacion?
No me hagas reir... ::)
Vladimir Putin ordered the Russian state energy giant Gazprom to cut supplies to and through Ukraine amid accusations, according to The Daily Mail, that its neighbor has been siphoning off and stealing Russian gas. Due to these "transit risks for European consumers in the territory of Ukraine," Gazprom cut gas exports to Europe by 60%, plunging the continent into an energy crisis "within hours." Perhaps explaining the explosion higher in NatGas prices (and oil) today, gas companies in Ukraine confirmed that Russia had cut off supply; and six countries reported a complete shut-off of Russian gas. The EU raged that the sudden cut-off to some of its member countries was "completely unacceptable," but Gazprom CEO Alexey Miller later added that Russia plans to shift all its natural gas flows crossing Ukraine to a route via Turkey; and Russian Energy Minister Alexander Novak stated unequivocally, "the decision has been made."h**p://www.zerohedge.com/news/2015-01-14/russia-cuts-ukraine-gas-supply-6-european-countries
Cuando Vlad actúa, mariconadas ni una. A loro que esto es gordo:CitarVladimir Putin ordered the Russian state energy giant Gazprom to cut supplies to and through Ukraine amid accusations, according to The Daily Mail, that its neighbor has been siphoning off and stealing Russian gas. Due to these "transit risks for European consumers in the territory of Ukraine," Gazprom cut gas exports to Europe by 60%, plunging the continent into an energy crisis "within hours." Perhaps explaining the explosion higher in NatGas prices (and oil) today, gas companies in Ukraine confirmed that Russia had cut off supply; and six countries reported a complete shut-off of Russian gas. The EU raged that the sudden cut-off to some of its member countries was "completely unacceptable," but Gazprom CEO Alexey Miller later added that Russia plans to shift all its natural gas flows crossing Ukraine to a route via Turkey; and Russian Energy Minister Alexander Novak stated unequivocally, "the decision has been made."h**p://www.zerohedge.com/news/2015-01-14/russia-cuts-ukraine-gas-supply-6-european-countries
Cuando la capacidad de voto viene dada del control de los medios de comunicaciones y el presupuesto, quedan anulados el resto de partidos por falta de recursos.:roto2:
No me jodas tío, tu crees que la población tiene el control?
Cuando la capacidad de voto viene dada del control de los medios de comunicaciones y el presupuesto, quedan anulados el resto de partidos por falta de recursos.:roto2:
¿La capacidad del voto viene dada por los medios de comunicación?
A los partidos minoritarios la ley les garantiza que sus papeletas estén en todos los colegios electorales, desde Murcia hasta Vigo. Otra cosa es que tu quieras obligar a un militar a que vote lo que tu quieres, y cuando te mande a la mierda digas "ejque no hay democracia".
Joder con los demócratas!!!
¿En las elecciones, que diferencia TU opinión personal de la opinión de un pederasta?
Yo no entiendo porque a los democratas os cuesta tanto asumir la diferencia de opinion.
Para los "demócratas" los que trabajan en un banco no son pueblo. Y los antidisturbuios tampoco. Y los millonarios tampoco. El pueblo sois vosotros defendiendo que el 80% de la población no es población, sino infiltrados de las multinacionales y los mass-media.
Voy a darte el beneficio de la duda.
Y si así fuera... ¿que propondrías? ::)
Ah si, el control público de los medios de comunicación. El control del pueblo.
Tambien llamado nacionalizar la banca y las televisiones públicas.
¿Entonces porqué "el pueblo" os quejais de Bankia y Telemadrid?
Ah claro, que a Esperanza Aguirre y Gallardón no los había elegido el pueblo ::)
Si es que se os cae el invento con dos párrafos.
Yo no voy a discutir más sobre este tema.
Tu vota a quien quieras.
Los pederastas votarán a quien quieran.
Y luego, juntos, os quejareis de que vuestros deseos no son atendidos al grito de
"NO NOS REPRESENTAN".
Y tendréis razón.
Claro que no os representan.
Representan a la mayoría.CitarNo me jodas tío, tu crees que la población tiene el control?
El control de que ¿?
¿Tu eres el portavoz de LA POBLACIÓN? :roto2:
Yo no quiero que la población controle NADA.
¿Tan dificil es de entender?
:)
Radio 3W entrevista a Goytisolo y Boadella y desvela 6 pruebas que unen a la diputada Arenales (PP) con Gürtel
([url]http://www.espiaenelcongreso.com/wp-content/uploads/2015/01/maria-arenales-las-mujeres-estamos-a-las-6-de-la-manana-donde-nos-da-la-gana.-solo-faltaba.jpg[/url])
“Juan Carlos, mírame a los ojos: lo que acabas de decir sabes que es una absoluta infamia. Yo no conozco a nadie de la red Gürtel, no sé quienes forman la red Gürtel, no los he visto en mi vida, no sé lo que estás diciendo y yo no he cobrado nada que haya tenido que devolver. Lo que has dicho es una infamia, es absolutamente mentira y probablemente nos veamos en los tribunales, Monedero”. Quien así se expresa de forma tan contundente es la diputada del Partido Popular (PP) por Valladolid, Arenales Serrano. Este jueves 15 de enero será protagonista del programa de “Espía en el Congreso” en Radio 3w (16.00, hora peninsular española) junto con el novelista Juan Goytisolo y Albert Boadella, el dramaturgo y cómico, que son entrevistados en el programa sobre los sangrientos sucesos acaecidos en el semanario “Charlie Hebdo“.
([url]http://www.espiaenelcongreso.com/wp-content/uploads/2015/01/ArenalesSerrano1.jpg[/url])
[url]http://www.espiaenelcongreso.com/2015/01/15/radio-3w-entrevista-boadella-y-desvela-6-pruebas-que-vinculan-la-diputada-arenales-pp-con-la-mafia-gurtel/[/url] ([url]http://www.espiaenelcongreso.com/2015/01/15/radio-3w-entrevista-boadella-y-desvela-6-pruebas-que-vinculan-la-diputada-arenales-pp-con-la-mafia-gurtel/[/url])
La PPOE pedía el dinero a particulares para protegerse de ETA y resulta que se lo gastaba en ladrillo: :rofl: un timo que ni inventado por algunas mafias de rumanos o bulgaros. :rofl:CitarHacienda apunta que el PP pagó la sede de Bilbao con fondos para proteger a sus concejales de ETA
:vomit:
Ó. López-Fonseca/J. Ruiz 15/01/2015
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/55784-hacienda-apunta-que-el-pp-pago-la-sede-de-bilbao-con-fondos-para-proteger-de-eta-a-sus-concejales-vascos[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/55784-hacienda-apunta-que-el-pp-pago-la-sede-de-bilbao-con-fondos-para-proteger-de-eta-a-sus-concejales-vascos[/url])
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Un saludo a todos y gracias por sus aportaciones.
A la Casta no se la puede atacar por el Pisito. En cambio donde sí se le puede romper la crisma, hasta tal punto que no se levantará del golpe. es analizando artículos como éste, de tal forma que tengan que admitir como un evidencia que su lucha contra el terrorismo la llevaron como si fuera una carrera para saber cuál de los dos bandos se cargaba las libertades cívicas el primero, y se quedaba con el control de las finanzas públicas.
El cambio en Europa comienza en el Sur
Los votantes de Grecia y España pueden dar un vuelco a la política
El 25 de enero Grecia cerrará la puerta al pasado. La victoria de Syriza es la esperanza del cambio para el mundo del trabajo y de la cultura europeos. Desde la oscuridad de la austeridad y el autoritarismo a la luz de la democracia, la solidaridad y el desarrollo sostenible. Pero Grecia es solamente el inicio del cambio que viene por el Sur de Europa. Pronto veremos como también llega a España... La derrota de los patrocinadores políticos de la austeridad, la inseguridad y el miedo, de la corrupción y los escándalos comienza en nuestros países. Nuestros pueblos tienen el futuro en sus manos para abrir la puerta del mañana a gobernantes incorruptibles. :roto2: Una nueva forma de hacer política para recobrar el futuro que nos han negado durante esta crisis. Por esta razón, la victoria del pueblo griego y de Syriza es el mensaje de un camino nuevo y prometedor para España. El sur sigue adelante, para cambiar Europa.
Europa ya no es víctima de la crisis. La crisis terminó donde comenzó, en Estados Unidos, gracias a la política monetaria y fiscal expansiva :troll:. Europa es hoy víctima de las políticas de austeridad impuestas por la Europa conservadora y por las decisiones insolidarias de la canciller Merkel. La gestión neoliberal de la crisis ha llevado a los países del Sur de Europa a un equilibrio políticamente inaceptable y económicamente insostenible. Sobrevivimos entre el estancamiento y el bajo crecimiento del PIB, entre la deflación, la elevada deuda, el alto desempleo y la pobreza que alcanza ya a cotas inimaginables de la población.
Hablar de salida de la crisis con tasas de crecimiento para la zona euro todavía muy débiles (0,8% en 2014 y 1,1% para 2015) sólo puede entenderse desde una visión de la política que ignora a los más damnificados por las políticas de austeridad.
Por esta razón, la lucha de nuestros pueblos para el cambio es la lucha del sentido común contra el fanatismo ideológico. Es la lucha de la dignidad contra la servidumbre.
Para nosotros, esta nueva normalidad de precariedad y de recorte de los derechos sociales que surge de la crisis y que es aceptada de manera acrítica por los poderes conservadores no es aceptable y nos motiva para propiciar el cambio que Grecia, España y el conjunto de Europa necesitan.
La victoria de Syriza representa un nuevo comienzo para la colaboración entre todas las fuerzas progresistas del Sur europeo al mismo tiempo que supone el freno a las políticas de austeridad que están detrás de la situación de estancamiento, de desempleo masivo y del sobreendeudamiento.
Es el comienzo también para restaurar la seguridad económica, alejar las prácticas corruptas que infectan a la política y para recuperar la dignidad de nuestros países. También para repatriar a nuestra juventud exiliada, la nueva generación de inmigrantes.
En esta nueva fase de la crisis, el Banco Central Europeo (BCE) tiene las llaves de Europa. La política de la flexibilización cuantitativa es una de las medidas necesarias para la salida colectiva y sostenible de la crisis en la que lleva sumida la eurozona ya demasiados años. Si se adopta, será bienvenida, a pesar de que para muchos llegue tarde. Sin embargo, para que sea eficaz, debe responder plenamente al espíritu del “haremos lo que sea necesario” enunciado por Mario Draghi. Esto significa que el programa del BCE deberá ser a gran escala, sin condiciones y sin excepciones. Es decir, debe incluir a todos los países que lo necesiten.
Pero la política monetaria por si sola no tiene la capacidad para sacar a Europa del estancamiento. Necesitamos con urgencia una política fiscal expansiva que impulse el crecimiento y la inversión; un New Deal europeo que dote de financiación a programas de inversión en sectores de alto valor añadido y un plan de reindustrialización que priorice sus actuaciones en aquellas economías con tasas de desempleo más elevadas. Por último, es imprescindible aliviar la carga de la deuda de manera coordinada a través de la creación de una Conferencia Europea sobre la Deuda, que tome como referencia la Conferencia de Londres de 1953 que facilitó la recuperación alemana en la posguerra. Una solución colectiva y socialmente sostenible para el sobreendeudamiento de la zona euro no debe entenderse, por parte de la canciller Merkel, como una medida asociada al riesgo moral; debería ser un deber moral.
El 25 de enero, la esperanza tiene patria. Y Europa tiene la brújula para el cambio.
Alexis Tsipras es presidente de Syriza y candidato del partido en las elecciones generales que se celebrarán en Grecia el próximo 25 de enero.
El otro día estuvimos hablando con un ex-alto cargo político, hablábamos sobre el sistema educativo y especialmente de la universidad, el tema vino cuando le empezamos a criticar el absurdo modelo de titulitis y el exceso de universidades españolas, con el consecuente coste económico y exceso de oferta. El en confianza nos dijo que los políticos ya saben que las cosas no funcionan así, no son ciegos, ven lo absurdo del sistema educativo, de las autopistas vacías y los aeropuertos , pero en política todo se basa en votos, y ya se sabe que vende más una autopista, un aeropuerto o una nueva facultad.
Simplemente quiero remarcar esta historieta porque a este país aun le falta mucho, sobretodo a la sociedad.
Es que es la cuadratura del círculo. Por un lado las masas lobotomizadas es verdad que gustan de estos dispendios, pero es que estos dispendios son la base del sostenimiento económico de todo el montaje partitocrático. Todos felices, hasta que llego el NHD.
Hasta que la austeridad no deje de ser una teoría o praxis económico/política y pase a ser una virtud personal y social, estaremos en las mismas.
salud
16/01/2015
Le combat des Lumières est devant nous -- Par Jean-Claude Monod
la revendication de la liberté de philosopher et de penser a également une longue histoire dans la tradition musulmane, qui conduisit Leo Strauss à parler de «Lumières du Moyen Age», notamment pour l’Andalousie musulmane (avec Averroès, et Avicenne) et Alain de Libera à évoquer «l’invention musulmane de l’intellectuel».
La régression massive que représentent aujourd’hui l’islamisme politique et ses prétentions totales entend faire table rase, quand elle les connaît, de ces germes à actualiser d'une liberté de penser et de s’exprimer qui n’est nullement une revendication «occidentale», mais une revendication de la raison et de la liberté humaines qui a eu et a toujours d’innombrables relais dans l’espace musulman.
El combate por las Luces está ante nosotros
La reivindicacion de la libertad de filosofar y opinar tambien tuvo una larga historia en la tradicion musulmana y Leo Strauss llegó a hablar de las "Luces del Medievo", en alusion particular a la Andalucia musulmana (Averroès y Avicena) del mismo modo que Alain de Libera evocó "el invento musulman de la figura del intelectual".
La regresión aplastante que hoy día significan el islamismo politico y sus pretensiones totales, pretende borrar de su horizonte, si es que llega a conocerlos, los gérmenes que buscan actualizarse de una libertad de opinion y de expresion que no es de ninguna manera una reivindicación "occidental", sino una exigencia de la razón y de la libertad humanas, que en el pasado y en el presente siempre tuvo innumerables portavoces dentro del espacion musulman
Es que es la cuadratura del círculo. Por un lado las masas lobotomizadas es verdad que gustan de estos dispendios, pero es que estos dispendios son la base del sostenimiento económico de todo el montaje partitocrático. Todos felices, hasta que llego el NHD.
Hasta que la austeridad no deje de ser una teoría o praxis económico/política y pase a ser una virtud personal y social, estaremos en las mismas.
salud
El otro día estuvimos hablando con un ex-alto cargo político, hablábamos sobre el sistema educativo y especialmente de la universidad, el tema vino cuando le empezamos a criticar el absurdo modelo de titulitis y el exceso de universidades españolas, con el consecuente coste económico y exceso de oferta. El en confianza nos dijo que los políticos ya saben que las cosas no funcionan así, no son ciegos, ven lo absurdo del sistema educativo, de las autopistas vacías y los aeropuertos , pero en política todo se basa en votos, y ya se sabe que vende más una autopista, un aeropuerto o una nueva facultad.
Simplemente quiero remarcar esta historieta porque a este país aun le falta mucho, sobretodo a la sociedad.
[url]http://itar-tass.com/en/economy/771688[/url]
Russia may lift food import ban from Greece if it quits EU
- Russian agriculture minister
Economy January 16, 23:55 UTC+3
“If Greece has to leave the European Union, we will build our own relations with it, the food ban will not be applicable to it,” he said
Sentencia del 1976 -- Corte Europea de derechos humanos
la liberté d’expression vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec ferveur ou considérées comme inoffensives, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance ou l’esprit d’ouverture, sans lesquels il n’y a pas de société démocratique »
La libertad de expresión vale no sólo para las informaciones o ideas recibidas con fervor o consideradas inofensivas, sino también para aquellas que violentan, chocan o inquietan al Estado o una fracción cualquiera de la población. Así lo lo exigen el pluralismo, la tolerancia o el espíritu de apertura, sin los cuales no hay sociedad democrática. [/b]
22 mars 2007 - Tribunal correccional de Paris, contra CHebdo, acerca de las caricaturas de Mahoma
Attendu qu’en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu’elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème, qui outrage la divinité ou la religion, n’y est pas réprimé (…) "
Considerando que en FR sociedad laica y plural, el respeto a todas las creencias anda parejo con la libertad de criticar todas las religiones sin distinción, y con la libertad de representar sujetos u objetos de veneracion religiosa ; que el blasfemo que ofende a la divinidad o la religion no esta reprimido (...)
El otro día estuvimos hablando con un ex-alto cargo político, hablábamos sobre el sistema educativo y especialmente de la universidad, el tema vino cuando le empezamos a criticar el absurdo modelo de titulitis y el exceso de universidades españolas, con el consecuente coste económico y exceso de oferta. El en confianza nos dijo que los políticos ya saben que las cosas no funcionan así, no son ciegos, ven lo absurdo del sistema educativo, de las autopistas vacías y los aeropuertos , pero en política todo se basa en votos, y ya se sabe que vende más una autopista, un aeropuerto o una nueva facultad.
Simplemente quiero remarcar esta historieta porque a este país aun le falta mucho, sobretodo a la sociedad.
Repetiré mi modesta opinión: éste país tiene una democracia muy imperfecta, pero democracia al fin y al cabo (lo que traes lo ilustra a la perfección de hecho).
Pero también ilustra que quienes componen ésa democracia son lo que yo llamo PDM's (Puercos Demócratas de Mierda), lo cual se refiere tanto a los electores como a los elegidos (de los que no pondré en duda que han sido elegidos democráticamente).
También mucho se insiste en señalar los defectos de nuestra democracia, cuando son sólo reflejo de los defectos de la democracia a secas*.
*: Lo cual no quita para que aquí se manifiesten de peor manera que en muchos otros sitios.
"Gazprom" se ha cansado de financiar a Europa
El Vicepresidente de la Comision Europea por Union energetica, Márosh Shefchóvich se ha sorpendido con la declaración del jefe de "Gazprom" , Aleksey Miller respecto a "Turkish Stream", ya que Shefchovich ha llegado para discutir las cuestiones de la seguridad energética de Europa del Sur.
"Sinceramente, para nosotros esto fue una gran noticia (lo que dijo Miller), porque yo he llegado aquí para discutir, como podemos continuar a desarrollar nuestra cooperación gasistica en intereses de los países de Europa del Sud-este. Esta noticia nos ha sorprendido, porque nosotros no trabajamos así. El comercio hoy se realiza de otro modo, mientras que la proposición de Aleksey Miller sobre los suministros de todo el gas a la frontera de Turquía y Grecia daña la imagen de Gazprom "como un suministrador seguro", - dijo Shefchovich.
La pregunta para Shefchovich: ¿y para que entonces ha llegado Usted a discutir las asuntos con "Gazprom"? Los EEUU han prometido a inundar a Europa con el gas de esquisto por el precio accesible. Vayase Usted a los EEUU y pongase de acuerdo con ellos. Que se hagan los EEUU como el suministrador seguro del gas, el "Gazprom" no va a estar en contra. La Comision Europea bajo la presión de los EEUU intencionadamente "ha tumbado" el proyecto "South Stream", ¿y la culpa de ello es de "Gazprom"?
Otra pregunta para Shefchovich: ¿y quien que no sea "Gazprom" tomaba sobre sí los créditos para la construcción del "South Stream", y también concedía los créditos a otros países (sabiendo de antemano que son insolventes) para la construcción de este gasoducto? Todo a expensas de "Gazprom". A la Comision Europea convenía tal estado de las cosas. .Rusos, construid el"South Stream" con vuestro dinero, ya luego la CE quitará de "Gazprom" la mitad de este gasoducto por la ley del "3r paquete energetico", y entonces llamará a "Gazprom" como un socio seguro".
Y cuando "Gazprom" ha propuesto a la CE a desembolsar un poco y construir el sistema de tuberia de distribución por la cuenta europea, ¿en seguida el "Gazprom" se ha convertido en el socio poco seguro? Pues entonces , que proponga la CE a los americanos a construir en Europa la infraestructura para el gas de esquisto a expensas de los EEUU. Pero si Shefchovich llega con tal proposición a los EEUU, al día siguiente lo despedirán de CE.
A la réplica del Ministro de Energía, Alejandro Novak sobre seguridad de los suministros de "Gazprom" , Shefchovich ha respondido: "Gazprom" es un suministrador seguro. Sin duda, esto es así. Pero en los contratos siempre se indican los sitios de entrega del gas,y estos no estan en la frontera entre Turquía y Grecia ".
La pregunta para Shefchovich: ¿De que contrato (contratos) Usted habla? En cuanto a los contratos que estan en activo de "Gazprom" con Europa, los puntos de entrega del gas se quedan en sus lugares, todo sigue como antes, el gas llega a Europa. Pero si hablamos de "South Stream", este proyecto esta muerto, sobre el ya no se habla, igual que sobre los supuestos puntos de entrega del gas de "South Stream". Y Miller le hablaba sobre un nuevo proyecto del gasoducto "el Turkish Stream", y sobre los nuevos puntos de entrega. ¿Que Usted aquí no ha entendido?
Shevchovich sigue: "Hoy hemos conocido que aquel gas, que va como tránsito via Ucrania, este volumen será remitido ya a nueva tubería. Se trata de los volúmenes bastante grandes del gas, que probablemente no necesita ni Turquía, ni los países de Europa del Sud-este", - ha declarado Shefchovich a "Interfax". "Nosotros primero tenemos que analizar, cuánto gas necesita Turquía, los países de Europa del Sur y Europa Central", - ha añadido el eurofuncionario.
La pregunta para Shefchovich: ¿y no es más lógico que Turquia por sí misma analizara, cuánto gas necesita? Mejor, Ud analice cuánto gas necesita la UE, ya sabra Turquía hacer sus calculos sin CE.
Otra pregunta: ¿Acaso la CE hasta ahora no ha calculado, cuánto gas es necesario a los países de Europa del sur y a la Europa Central? Ya que tales cálculos CE debía preparar para el "South Stream" en su momento. ¿Que hacian vosotros en la CE todo este tiempo? ¿Bebían cerveza en los viajes a expensas de CE y no supisteis hasta ahora, cuanto gas necesitais? He aquí "Gazprom" ,ha calculado todo y ha presentado estos cálculos a la CE, ha realizado el trabajo enorme. Entonces, la imagen de quien sufre: ¿de CE o de "Gazprom"?
Shevchovich: "Ademas, surge la pregunta que deben hacer después los países de Europa Central. Es necesario analizar, a lo mejor nosotros podemos encontrar una decisión mejor, económicamente más argumentado. Justo con este objetivo nosotros vamos a crear un grupo de trabajo del alto nivel, donde entrarán los representantes de los países de Europa del Sud-este, que mirarán, que infraestructura debe ser, que volumen del consumo, que medios se necesitaran (incluso a la hora de ampliar las potencias del gasoducto de Turquía a Europa)", - ha declarado Shefchovich.
Tonterías. Solo ahora la CE esta lista a crear un grupo de trabajo "de alto nivel" para el estudio del asunto de los suministros de gas a Europa del Sur. ¿Y cómo lanteriormente la Comision Europea discutía las cuestiones de "South Stream? Mediante el grupo de "bajo nivel"? "Gazprom" discutía los suministros de gas via "South Stream" con los presidentes de Bulgaria, Serbia, Chequia, Austria. ¿Acaso esto no es"un nivel alto"?
"Gazprom" proponía lasmuy bienas condiciones de la construcción del "South Stream" para olvidada por Dios y EEUU, Bulgaria , empobrecida completamente después de entrar en la UE y en la OTAN. "Construiremos con nuestro dinero, crearemos para vosotros los puestos de trabajo, después solo estad sentaditos y recibid el dinero por el tránsito", - decia "Gazprom" a Bulgaria. ¿Acaso esto no es una decisión "económicamente argumentada"? ¿Acaso la Comision Europea proponía a Bulgaria tales condiciones y tales créditos? Entonces, de quien la imagen ha sufrido: ¿la de Eurocomisión o de"Gazprom"?
El jefe de "Gazprom" Aleksey Miller ha expuesto a Shefchovich la nueva posición de la parte rusa. "Gazprom" llevará el flujo de transito via Ucrania a Turquía.
"Europa tiene que dar prisa con la construcción de las potencias de transporte de gas, para poder recibir el gas ruso en el nuevo punto de la entrega-recepción en la frontera de Turquía y Grecia", -dijo Miller y ha subrayado que "Gazprom" construye su posición para negociar con CE en vista de que los nuevos funcionarios de CE.han proclamado ahora una nueva idea, la del "comprador único".
"Nosotros construimos nuestra estrategia y los siguientes movimientos en vista del plan de la creación de la ""Unión Energética en la UE . Para nosotros esto significa nuevos desafios y nuevos posibilidades. Esperamos que la creación de la Unión Energética no conllevará al descenso de seguridad de los suministros ", - ha subrayado Miller.
Y aquí se esconde la causa principal de la indignación de CE: "Gazprom" por primera vez ha propuesto a Europa a construir los gasoductos por la cuenta de UE. Construid, poseed, disponed. Justo esto es lo que queria Europa - tener propios gasoductos y no depender de Rusia en esta cuestion. Pues entonces, construid,, "Gazprom" no esta en contra. "Gazprom" llevará el gas hasta la frontera con Grecia, y después que vaya la CE a distribuir el gas y disponer de él como mejor le conviene .
Pero Europa no tiene dinero para la construcción de los gasoductos, ademas los países de la UE se han acostumbrado a resolver estas cuestiones a expensas de "Gazprom" .Estamos hablando sobre miles de miliones de euros. El esquema que funcionaba hasta ahora era asi: "Gazprom" tomaba en Europa los creditos y los devolvía con sus correspondientes intereses, construía los gasoductos, y luego la CE tomaba estos gasoductos bajo su control (el famoso 3r paquete energetico). Ningún riesgo, y "Gazprom" en este caso es "un socio seguro".
Ahora Europa tendra que desembolsar. ¿Pero tiene Bulgaria, Serbia y otros países del sur de Europa el dinero para la construcción de los gasoductos? Alemania en este asunto no ayudará, Alemania tiene ya el "Nord Stream", asi que Alemania no está para los asuntos gasisticos de los búlgaros y los serbios.
Y "Gazprom" de repente va y se niega a meterse en deudas y construir a los europeos la infraestructura. Precisamente por eso "Gazprom" se ha covertido de repente en "el suministrador poco seguro",y cuya imagen "puede estar dañada". ¿Entonces para que la CE debe tener sus asuntos con el poco seguro "Gazprom" ? Firmad vuestros acuerdos con Irán, Azerbaiyán, el Qatar y los EEUU sobre los suministros de gas.
Es un hecho que la Comision Europea ha bloqueado la entrega de los permisos al "South Stream , y "Gazprom" ha anulado el proyecto. "El proyecto esta cerrado. El gasoducto" Turkish Stream "es la única ruta, por el que pueden ser suministrados los 63 mil millones de metros cúbicos del gas ruso, que de momento van de tránsito via Ucrania. Otras variantes no hay. Nuestros socios europeos estan informados de ello, y ahora su tarea es la creación de su infraestructura necesaria de transporte de gas desde la frontera de Turquía y Grecia", - ha declarado Miller.
"Ellos (la UE) para esto tienen como máximo algunos años. Es un gráfico muy duro. Para limitarse en estos plazos, el trabajo de la construcción de los nuevos gasoductos principales en los países de la UE deben ser comenzados ahora mismo. En caso contrario estos volúmenes del gas puede ser que se iran a otros mercados", - ha subrayado Miller. (se refiere que el gas se ira a China)
¿Que es lo que no comprende Shefchovich y la CE a la que él representa? Hay gas ,el deseo de suministrarlo tambien hay. A Europa se le han propuesto a construir ella misma su cubo y traerlo al punto de la distribución del gas. Y saca, Europa,cuanto quieres (pagando,claro). El cubo se quedará para siempre bajo el control de Europa. La CE quería esto, y "Gazprom" ha cumplido este deseo por fin.
[url]http://www.vestifinance.ru/articles/51890[/url] ([url]http://www.vestifinance.ru/articles/51890[/url])
P. (Cuando dice "el cubo" se refiere a que Europa con su cubo de fregar puede ir al charco de gasolina y llenar el cubo. )
En mi opinión el artículo pretende una diana diáfana y cercana, como muy para todos y, creo sinceramente, merece un análisis más trabajado.
El mundo islámico es susceptible de amplias críticas; en eso creo estamos todos de acuerdo, pero el problema de Occidente para con el islam es que éste defiende a Arabia Saudí (país derrochador y putero hasta la médula), mientras que el verdadero dolor de cabeza del mundo árabe no son los israelíes precisamente sino los sauditas; país también segregacionista para con la mujer, fundamentalista hasta el extremo, tan rico como derrochador pero eso sí para unos pocos (terratenientes, aristócratas y con los que merodean la corte), con unas diferencias sociales extremas donde su ciudadanía se debate entre el pastoreo y el nomadismo, país de referencia gracias a su dinero con el que compra lealtades tanto en Occidente como en Oriente.
Dense una vuelta por Marbella y obsérvenlos.., verdaderos puteros con volantes de oro macizo en sus Rolls pero eso sí, cada vez más alejados del resto del mundo islámico el cual hace tiempo que no ve precisamente con buenos ojos a los guardianes de su Meca.
Pero es que la abundancia de su oro negro y por tanto sus negocios y amistades occidentales; entre ellos nuestros monarcas y máximos mandatarios estadounidenses entre otros hace que la cosa cambie a nuestros ojos con este país de Oriente Medio. Ahí no existen los malos, y con eso nos quedamos, pero las inserciones en Irak, Afganistán y tantos otros países se gestionan también en el reino wahhabita.
El problema musulmán está enraizado en su cultura, en su religión pero sobre todo en su relación con Occidente.
Lo de París más me suena a restricciones de libertades por un lado y enfrentamiento civil por otro como justificación a ese incidente internacional de aspecto algo rarito por cuanto poco creíble que a una guerra cultural-religiosa entre Occidente y EI.
Por lo menos así lo veo yo.
"Charlie Hebdo fue denunciada en los tribunales por la presión de Chirac"
- Philippe Val, director de Charlie Hebdo entre entre 1992 y 2009, explica en esta entrevista realizada en 2008 cómo el Gobierno francés de Chirac hizo lo posible para que los tribunales secuestraran un número de la revista
- "Chirac siempre ha tenido muy buena relación con Arabia Saudí y siempre ha hecho lo posible para que Francia no perjudique a sus contactos con el régimen wahabí"
[url]http://www.eldiario.es/internacional/atentados-razones-publicacion-ria-integristas_0_346465700.html[/url] ([url]http://www.eldiario.es/internacional/atentados-razones-publicacion-ria-integristas_0_346465700.html[/url])
TERAPIA CONTRA EL FUNDAMENTALISMO ISLÁMICO
Con la Iglesia hemos topado
Los hermanos Kouachi se equivocaron. Si lo que querían era vengar insultos al islam, en lugar de gastarse 5.000 euros en kaláshnikovs y ser denostados por medio mundo como “terroristas”, podrían haber echado currículum para el puesto de verdugo en Arabia Saudí o en Mauritania. Podrían ahora tranquilamente cobrar un sueldo mientras azotan hasta la sangre al bloguero Raif Badawi en Yidda, o preparen el pelotón para Mohamed Cheikh Ould Mkhaitir en Nouakchot. O podrían hacer de celadores para Karim Banna, condenado a tres años de cárcel en El Cairo.
Raif, Mohamed y Karim fueron condenados por insultos al islam prácticamente a la vez que los dirigentes de sus paises condenaron, con lágrimas de hipopótamo, los asesinatos de Charlie Hebdo. Es muy fácil decir que los pistoleros “no tienen nada que ver con el islam” pero ¿y los jueces saudíes, mauritanos, egipcios? ¿Tampoco?
No: ellos tampoco tienen nada que ver con el islam. No con el islam tradicional de los países de los que proceden los inmigrantes en Europa. Tienen que ver, y mucho, con una secta radical saudí que en las últimas décadas ha engullido el mal llamado mundo musulmán, de Nigeria a Indonesia, y que solemos llamar wahabismo. El mayor conflicto de esta vasta región es la guerra que libra el wahabismo contra el islam. El problema es que ambos usan el mismo nombre: islam.
Y el “islam” que vemos en Europa -no el de millones de ciudadanos o residentes que llamamos musulmanes, pero sí el que se exhibe mediante sus fetuas y sus velos- es ya el wahabí. Gracias al incesante bombardeo de mensajes sectarios y machistas desde las cadenas satélite de Arabia Saudí y los países del Golfo -representados en la marcha de París, quién lo diría- y sus imanes de barrio pagados con los mismos petrodólares.
Nada en el Corán fundamenta esa idea, ni se sostiene históricamente (existen dibujos devotos de Mahoma), ni fue conocida fuera de Arabia Saudí hasta 2005: ese año, la revista egipcia 'Al Fagr' publicó las caricaturas danesas sin que nadie se inmutase. Sólo meses después, los gobiernos wahabíes decretaron un conflicto internacional religioso. Por la cara
No sólo en Europa: todos los países que se definen islámicos prohibieron la reproducción de la última portada de Charlie Hebdo. Hasta la república (ex)laica de Turquía. Parece de conjura. Porque ¿quién, en su sano juico, consideraría “insultante” un dibujo que muestra a Mahoma afligido por un asesinato? Y no se crean que representar al profeta está “prohibido en el islam”. Nada en el Corán (salvo la prohibición general de representar a personas, hoy obsoleta) fundamenta esa idea, ni se sostiene históricamente (existen dibujos devotos de Mahoma), ni fue conocida fuera de Arabia Saudí hasta 2005: ese año, la revista egipcia Al Fagr publicó las caricaturas danesas sin que nadie se inmutase. Sólo meses después, los gobiernos wahabíes decretaron un conflicto internacional religioso. Por la cara.
Y Europa, intenté explicar la semana pasada, es cómplice de este proceso. Hasta ahí, el diagnóstico. La pregunta: ¿cuál es la terapia? En primer lugar, dejar de tomar antibióticos contra la fiebre.
Con los enemigos que tiene en Europa, el radicalismo islámico no necesita amigos. Nada mejor para azuzarlo que las declaraciones de la derecha que achacan al “islam” como tal una inherente, innata disposición a la violencia, frente a la “religión de la paz” que sería el cristianismo. Este discurso, que enaltece los “valores cristianos” de Europa para defenderlo contra todo individuo que surge de un país “islámico” es tan absurdo, tan contrario a la razón, que no hace falta ser musulmán para sentirse impulsado a rebatirlo; basta con no haber faltado a clase de Historia en el colegio.
Hay toda una escuela de expertos europeos en “islam”, que conoce de memoria los dos o tres versos del Corán que llaman a combatir al enemigo; ni que hubiesen estudiado con Al Baghdadi de profesor. Y derivan la conclusión de que todo musulmán lleva por dentro un yihadismo infuso. Si uno responde que, por la misma regla de tres, todo cristiano debería lapidar sin piedad a cualquier homosexual que vea -sí, el Antiguo Testamento es parte de las Escrituras Sagradas cristianas- no falta quien aduce Juan 8, 7, y si uno contesta con Mateo 5, 17, nos quedamos con una disputa teológica medieval que ni Tomás de Aquino. Edificante espectáculo.
No menos edificante es, desde luego, el debate con quienes intentan demostrar que los “valores europeos” de democracia, libertad de expresión, respeto a los derechos humanos, igualdad de sexos o separacion de política y religión se basan en el cristianismo. Como si ni la Inquisición ni el index librorum prohibitorum ni los Reyes Católicos hubiesen existido, las mujeres dijeran misa y cada cuatro años se colocasen urnas de votar en la Plaza de San Pedro.
Invocar el cristianismo como baluarte contra el islamismo radical (“el islam” en esta visión) lleva a un callejón sin salida. Es una cortina de humo con un triple efecto perverso. Uno, es falso. Islam y cristianismo (y judaísmo) se parecen como dos gotas de agua bendita. Dos, excluye a quien no es cristiano ni quiere defender la “superioridad” de una religión que en España ha hecho suficientes estragos en nuestra muy reciente historia, por lo que nunca podrá aglutinar un frente común al wahabismo. Tres, respalda el discurso islamista, ese que pide a todo musulmán mantenerse alejado de “los cristianos” y someterse únicamente a las leyes del Corán.
No: invocar el cristianismo como baluarte frente al islamismo radical lleva a un callejón sin salida. Es una cortina de humo con efectos perversos. Islam y cristianismo (y judaísmo) se parecen como dos gotas de agua benditaLa otra corriente, la que trata de reformar el islam desde dentro, tratando de demostrar que en realidad, cada palabra que dijo el profeta Mahoma es compatible con las últimas normas de Bruselas, tuvo su atractivo en los años setenta, cuando aún parecía -en Túnez casi funcionó- que una lectura ilustrada del islam fuera posible. Una especie de pasarela suave desde las leyes tradicionales de los pueblos norteafricanos o levantinos, que nunca tuvieron que ver gran cosa con el Corán, hacia las de inspiración europea, no tan distintas, pasando de puntillas por una afirmación formal de que todo estaba acorde al Corán.
Fue un trágico error. Confirmado el islam como religión del Estado, los fundamentalistas tuvieron el punto de apoyo que necesitaban para hacer palanca y sacar la sociedad de sus goznes. Porque el islam verdadero, aprendimos, siempre es el del que puede forrar su megáfono con una capa más gruesa de petrodólares.
Acabar con el islamismo radical, en Europa o en cualquier pais del mundo, y muy especialmente en los llamados musulmanes, sólo se puede hacer desde una única postura: la laicidad.
Sólo la laicidad permite establecer el postulado básico universal: que todas las personas tienen los mismos derechos, iguales en un juicio. La religión enseña lo contrario: en el Juicio, quien tenga la fe será salvado. El resto, al infierno. No merece la vida eterna, y quién sabe si la de aquí.
Las leyes de Europa, zona razonablemente democrática, si se le compara con el resto del mundo (pregunten a un marroquí, un kurdo, un sirio, qué sistema legal prefiere, el español o el de su país) se fundamentan en ese sobreentendido laico: no se basan en enseñanzas divinas sino en acuerdos consensuados por una sociedad que en los últimos siglos ha aprendido a poner la razón por encima de la revelación.
Un clérigo egipcio durante las protestas contra Mubarak, cerca de la plaza Tharir, en El Cairo (Reuters).Un clérigo egipcio durante las protestas contra Mubarak, cerca de la plaza Tharir, en El Cairo (Reuters).
No defender esta laicidad, no defenderla a ultranza frente a las pretensiones del wahabismo, es el delito de Europa. Las mismas leyes que costó tantos siglos, tanta sangre, tanta hoguera y tanta tinta consensuar ¿por qué se abandonaron a la primera ante un imam gritón de barrio que pedía no enseñar pelos de mujer o de Mahoma?
Porque Europa nunca se ha creído su propia laicidad. No pudo creérsela: sólo la tiene conquistada en la superficie. Por debajo sigue encadenada a siglos de poder eclesiástico: desde los colegios de monjas de España hasta los representantes obligatorios de las Iglesias -católica y protestante- en los consejos audiovisuales de Alemania o la obligatoriedad de la cruz en las aulas de Baviera, desde la jefatura eclesiástica de la Reina de Inglaterra hasta el préambulo de la Carta Magna irlandesa en nombre de la Santísima Trinidad, no hay prácticamente país europeo que no arrastre este vínculo.
La gran excepción parece Francia, laica por definición. No tanto: un 17% del alumnado estudia en colegios católicos, la misma proporción que en España. Y por mucho que la Iglesia española protestara contra la legalización del matrimonio homosexual en 2005, nunca articuló un movimiento popular tan enconado como el que revolvió Francia en 2013. El barniz laico apenas es algo más grueso que en nuestras latitudes.
Pero en la laicidad no hay compromiso: Europa ha aceptado, por consenso y razón, que nadie debe ser discriminado por razón de su fe. Este artículo, de obligado cumplimiento -si se vulnera, el Tribunal de Estrasburgo amparará al ciudadano- fuerza a entregarles a los musulmanes la misma cuota de poder, proporcional a su población, de la que disfrutan los cristianos. Si hay clases de religión católica en los colegios, debe haber lecturas coránicas. Si existen capellanes en el Ejército debe haber imames. Si se financian iglesias, deben subvencionarse mezquitas. Puede usted patalear pero es la ley.
Este artículo, de obligado cumplimiento, fuerza a entregarles a los musulmanes la misma cuota de poder, proporcional a su población, de la que disfrutan los cristianos. Si hay clases de religión católica en los colegios, debe haber lecturas coránicas
Ante este dilema, a Europa sólo le quedan dos opciones: acabar de una vez con todo respaldo público a la Iglesia cristiana o abrirle las puertas al islam. No hay otra.
Es así como el Vaticano se ha convertido en el respaldo más firme de la islamización de Europa. Al luchar denostadamente por mantener su influencia en la cosa pública ha forzado a los Estados a dar el visto bueno a que su homólogo saudí adquiera la misma posición de fuerza. No sólo en el plano teórico: la postura del Papa Francisco respecto al atentado contra Charlie Hebdo - “¡Es normal! No se puede provocar, no se puede insultar la fe de los demás. No se le puede tomar el pelo a la fe. No se puede” - no se distingue un ápice de la de los dirigentes islamistas.
¿Pensó Europa que pudiera tener control sobre qué islam exactamente colocaría en sus colegios, sus centros sociales, sus barrios? ¿Que pudiera orientar las prédicas desde los púlpitos que erige? Entonces hizo sus cuentas sin ese poderoso caballero que es don petróleo. Ni siquiera lo intentó: quienes más ponen el grito en el cielo ante la “islamización de Occidente” siempre han dado por bueno los discursos de cualquier señor barbudo como faz verdadera del “islam”; nunca han preguntado por las verdaderas creencias de quienes llegaron a Francia desde el Magreb.
Otros quizás aplaudieran incluso esta “apertura” a la “multiculturalidad” para difuminar el papel preponderante de la curia en una sociedad que ya no se quiere cristiana. Pero para reducir el poder del clero, lo que no se debe hacer es duplicarlo.
Europa no tiene otra: si realmente quiere hacer frente a un fundamentalismo wahabí rampante que amenaza con destruir la sociedad, debe dar el paso hacia el laicismo. Si la Iglesia realmente quiere salvar los valores de democracia y libertad de conciencia que hoy se atribuye, debe retirar sus aspiraciones de poder mundano, debe defender, ella misma, la laicidad. Dicen que Jesús, el de María, sacrificó su vida para salvar la humanidad. ¿Podrá la Iglesia sacrificar los sueldos de los profesores de religión?
Y sí, hay una cosa que los pensadores cristianos pueden enseñarle a los islámicos: en el siglo XIX, fueron teólogos ilustrados quienes desmenuzaron el proceso de composición de la Biblia, quienes demostraron que este libro no es un documento histórico. Hoy no nos escandalizamos si afirmo que Jesucristo es una figura mitológica. Falta por reconocer que también lo es Mahoma, que también el Corán es una constructo humano. Quienes lo señalaron -Taha Hussein a principios del siglo XX- fueron rápidamente forzados a retractarse. Hoy, hasta los arabistas europeos hacen causa común con las dictaduras -religiosas o militares- que mantienen como valor supremo la calidad intocable de la leyenda dorada coránica. Esta revolución del islam desde dentro aún queda pendiente. Pero es imprescindible.
Los muertos de París fueron las últimas víctimas de esta claudicación de la Europa laica ante los poderes de aura divina. Las primeras son, desde hace décadas, los millones de musulmanes europeos que nuestros gobiernos han puesto bajo tutela de potencias geopolíticas y petrolíferas extranjeras. Es por su libertad que han muerto los dibujantes de Charlie Hebdo.
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-01-18/con-la-iglesia-hemos-topado_622847/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-01-18/con-la-iglesia-hemos-topado_622847/[/url])
*llya U. Topper es fundador y editor de MSur
Charb había entendido perfectamente. Lo que hoy se llama islam, aquello que se refleja en las banderas negras, pero no menos en las verdes, con el credo de dios y profeta, en letra cursiva o en redonda, es una asociación criminal con el fin de erradicar la religión de la que ha tomado prestado el nombre.
Lo que hoy se llama islam es una asociación criminal con el fin de erradicar la religión de la que ha tomado prestado el nombre
La masacre de Charlie Hebdo no es un encontronazo en una guerra entre ‘islam’ y ‘cultura europea’. La libertad por la que ha muerto Charb, por la que han muerto sus compañeros, es la libertad de los musulmanes. Son ellos, los musulmanes, quienes viven bajo la espada de la opresión religiosa. Europa se libró de ella, a grandes rasgos, y más bien poco a poco, desde 1789. Hoy, en la mayor parte de los países de Europa, burlarte de la religión que te asignan al nacer ya no es delito.
Charlie Hebdo se podría haber limitado a reírse del Papa o alguna vaca sagrada de la política local, pero eligió situarse en el bando de los oprimidos, luchar por la libertad de los musulmanes.
En otros temas, y si quieren flipar:
Los imperios fantasmas de Mesopotamia
[url]http://www.ilya.it/chrono/pages/sumersp.htm[/url] ([url]http://www.ilya.it/chrono/pages/sumersp.htm[/url])
¡Qué bueno!
Charlie Hebdo como pretexto
por Thierry Meyssan
Sin vacilación, millones de franceses acaban de salir a las calles en defensa de la libertad de expresión y de culto mientras que los políticos y la prensa, violadores de esas libertades, explotan esa reacción popular para redorar su propia imagen pública. Thierry Meyssan estima que el gobierno de Francia ha orquestado una manipulación de gran envergadura para exhibirse a la cabeza de una gran manifestación popular precisamente en momentos en que busca cómo justificar una nueva operación militar en Libia.
En 3 días, un grupo de 4 o 5 personas que dijeron actuar en nombre de al-Qaeda en Yemen y del Emirato Islámico (Daesh) masacró en Francia a los miembros de la redacción del semanario satírico Charlie Hebdo y asesinó después a una agente de la policía municipal así como varios rehenes, en 3 acciones diferentes.
Francia, que no había conocido hechos de tanta violencia desde la época de los atentados de la OAS [1], hace más de 50 años, reaccionó proclamando «¡Todos somos Charlie!», abatiendo a 3 de los terroristas y organizando una gran manifestación de varios millones de personas.
El presidente la República, Francois Hollande, recibió a los jefes de los partidos políticos representados en la Asamblea Nacional, lanzó un llamado a la unidad nacional y participó personalmente en la manifestación acompañado de unos 50 jefes de Estado y de gobierno extranjeros.
En un artículo anterior [2], observé que el modus operandi de los terroristas no tenía nada que ver con el comportamiento habitual de los yihadistas sino más bien con el de un comando militar. A partir de lo cual señalé que poco importa quiénes fueron los ejecutores y que lo único verdaderamente importante es saber quién está detrás de ellos. Ahora quisiera, en este segundo artículo, referirme a las reacciones que esos hechos están suscitando.
Suspensión del derecho a organizar manifestaciones
Inmediatamente después del anuncio de la masacre perpetrada en las oficinas de Charlie Hebdo, hacia el mediodía del 7 de enero de 2015, el primer ministro francés Manuel Valls decidió implantar el Plan Vigipirate-atentados en toda la región parisina. Este plan incluye un centenar de medidas de aplicación automática y unas 200 medidas opcionales. Entre las medidas, el ministerio del Interior anunciaba la suspensión de todas las manifestaciones ya autorizadas. Las autoridades temían que los terroristas disparasen contra la multitud.
Pero un partido de extrema izquierda llamaba a manifestar de inmediato en señal de respaldo a Charlie Hebdo. Luego de varias horas de vacilación, el prefecto de policía autorizaba una manifestación en la que habrían de participar unas 100 000 personas. Más extraño aún, el primer ministro declaraba una jornada de duelo nacional para el día siguiente, 8 de enero. Las autoridades locales organizaron numerosos mítines para observar un minuto de silencio. Y, todavía más sorprendente, el Partido Socialista llamaba a la realización –el domingo 11– de una gran manifestación nacional que reuniría más de 2 millones de personas en París.
O sea, el gobierno prohibió las manifestaciones por considerar que podían ser peligrosas para los participantes. Pero los miembros de ese mismo gobierno organizaron una manifestación gigantesca e invitaron además a jefes de Estado y de gobierno extranjeros sin plantearse ningún tipo de inquietud por cuestiones de seguridad.
Esta manipulación demuestra que, al contrario de lo que declaró públicamente, el gobierno conocía con precisión la verdadera importancia de la amenaza y sabía que no había peligro para las manifestaciones.
De todo esto, optaremos por retener la extraordinaria muestra de entusiasmo popular por la libertad.
Unión nacional
En esta situación de crisis, la derecha y la izquierda se pusieron de acuerdo para participar juntas en una manifestación nacional. Pero ¿para manifestarse a favor de qué y contra quién?
Nos enteramos así de que tanto los dirigentes de derecha como los de la izquierda compartían los valores antirreligiosos, antinacionales y antimilitaristas del muy izquierdista semanario Charlie Hebdo . Ya se sabía que el fundador de la publicación, Philippe Val, era amigo de Sarkozy. Ahora nos enteramos súbitamente de que Charb, el nuevo director del semanario, estaba involucrado sentimentalmente con una ex ministra de derecha, Jeannette Bougrab.
Esta última fue invitada al noticiero del canal francés de televisión TF1. Muy emocionada, habló de su relación sentimental con el caricaturista. Luego presentó las convicciones antirreligiosas de Charb como un compromiso laico contra el islamismo para compararlo después con Jean Moulin y pedir que el caricaturista sea inhumado en el Panteón –como el gran héroe de la Resistencia francesa contra la ocupación nazi que fue Jean Moulin. Jeannette Bougrab terminó revelando que ella y Charb habían pensado en irse de Francia y rehacer sus vidas en otra parte. En pocas palabras, la ex ministra de derecha acaba de mostrar su desprecio por sus propios conciudadanos, de asimilar el laicismo a la lucha contra la religión y de poner un humorista antinacional al mismo nivel que el fundador del Consejo Nacional de la Resistencia. Por mucho que proteste la familia de Charb, Jeannette Bougrab ha sembrado la duda.
Y para que se entienda bien en qué consiste la «unión nacional» de la que nos hablan la derecha y la izquierda, varios líderes socialistas declaran que el Frente Nacional será excluido de la manifestación «republicana». ¿Acaso se ha entendido bien la enormidad de ese anuncio? Los líderes políticos del país invocan la República para excluir a sus propios rivales. Finalmente, el FN se unió a las manifestaciones realizadas en diferentes ciudades del interior de Francia.
Unión internacional
El presidente de Francia quiso dar solemnidad a la manifestación de París invitando a ella a todo tipo de jefes de Estado y de gobierno.
Entre los que vinieron a la manifestación de París pudimos ver a David Cameron y Benyamin Netanyahu, cuyos países gozan de una censura militar omnipotente; al secretario de Justicia estadounidense Eric Holder, cuyo país es tan amante de la libertad de prensa que ha bombardeado y destruido numerosas estaciones de televisión, desde la de Belgrado –en la ex Yugoslavia– hasta las de Libia–; al primer ministro de Turquía, Ahmet Davutoglu, cuyo país prohíbe la construcción de iglesias cristianas (aunque ahora parece dispuesto a autorizar una). Y tampoco podemos olvidar que hace poco Netanyahu felicitaba personalmente a los heridos de al-Qaeda que reciben cuidados en hospitales israelíes y que los países de Eric Holder, Ahmet Davutoglu y la Jordania rey Abdallah reorganizaron el Estado Islámico en enero de 2014.
¿Qué hacían entonces estos personajes en París? En todo caso no estaban defendiendo la libertad de expresión ni la libertad de culto, que sus países combaten activamente.
La libertad de expresión
No fueron los políticos los únicos que trataron de mejorar su imagen exhibiéndose en la manifestación de París. También lo hizo la prensa, que ve en Charlie Hebdo un ejemplo de la libertad que ella misma pisotea constantemente con su permanente autocensura y mostrándose cada vez más solidaria con los crímenes que el gobierno comete en el extranjero.
Es verdad que son numerosos los medios de prensa existentes en Francia. Pero también es cierto que se trata de una prensa extremadamente conformista y, por consiguiente, nada pluralista. Esto se refleja incluso en la unanimidad de esa prensa al presentar el semanario satírico ya que, al contrario de lo que afirma esa prensa, Charlie Hebdo se oponía a la libertad de expresión cuando abogaba por la ilegalización del Frente Nacional o militaba a favor de la censura de internet.
En todo caso, no podemos más que regocijarnos al ver la prensa retomar ¡por fin! la defensa de quienes son víctimas de ataques por lo que han dicho o escrito.
Sobre la pista yihadista
Prosiguiendo su investigación tras la pista equivocada, la prensa francesa traza el perfil de los terroristas y se olvida de tratar de encontrar a los que les dieron las órdenes. Y nos dice, con la mayor seriedad, que esta ola de atentados se debe a una colaboración entre al-Qaeda en Yemen y el Emirato Islámico, olvidando que esas dos organizaciones están en guerra entre sí desde hace más de un año, una guerra feroz que ya cuenta más de 3 000 víctimas en ambos bandos.
Son por lo tanto sorprendentes tales referencias, y es probable que dentro de poco aparezca algo –algún hecho o noticia– que vincule los hechos de París con Libia. En efecto, si Francois Hollande sigue los pasos de George W. Bush, bien pudiera decidir una intervención en Yemen, a pesar de que algo así no sería de interés para Francia. En todo caso, el general Puga, jefe del estado mayor particular de Hollande, está preparando actualmente una nueva intervención militar en Libia.
Esta última sería un blanco mucho más lógico ya que Francia podría esperar obtener ahora los dividendos que nunca llegaron en el momento de su primera intervención en Libia. Francia culminaría así el proyecto estadounidense de rediseño del «Medio Oriente ampliado», correspondiente a lo publicado en el New York Times por la periodista Robin Wright en septiembre de 2013 [3], proyecto que el Emirato Islámico ya está concretando en Irak y en Siria.
Thierry Meyssan
En v/F, resumen de jurisprudencia francesa y europea sobre el derecho de expresión;
[url]http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2015/01/17/satire-et-droit-a-lhumour-un-si-long-combat-judiciaire/[/url] ([url]http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2015/01/17/satire-et-droit-a-lhumour-un-si-long-combat-judiciaire/[/url])Citar
Sentencia del 1976 -- Corte Europea de derechos humanos
la liberté d’expression vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec ferveur ou considérées comme inoffensives, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance ou l’esprit d’ouverture, sans lesquels il n’y a pas de société démocratique »
La libertad de expresión vale no sólo para las informaciones o ideas recibidas con fervor o consideradas inofensivas, sino también para aquellas que violentan, chocan o inquietan al Estado o una fracción cualquiera de la población. Así lo lo exigen el pluralismo, la tolerancia o el espíritu de apertura, sin los cuales no hay sociedad democrática. [/b]
22 mars 2007 - Tribunal correccional de Paris, contra CHebdo, acerca de las caricaturas de Mahoma
Attendu qu’en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu’elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème, qui outrage la divinité ou la religion, n’y est pas réprimé (…) "
Considerando que en FR sociedad laica y plural, el respeto a todas las creencias anda parejo con la libertad de criticar todas las religiones sin distinción, y con la libertad de representar sujetos u objetos de veneracion religiosa ; que el blasfemo que ofende a la divinidad o la religion no esta reprimido (...)
Y ya está. Si no te gusta la sentencia que te condena, la acatas.
Si no te gusta que se pueda caricaturar a tu dios , lo acatas también
El paralelo está absolutamente justificado:
El monopolio legal de la violencia por el Estado tiene como contrapartida la libertad legal de expresión por todos los ciudadanos sin distinción. Una cosa no va sin la otra. Son una sola y misma cosa y son el fundamento del pacto civil entre el Estado y el Ciudadano, en una sociedad que se reconozca LIBRE.
Que les den a todos..
Merde.
En v/F, resumen de jurisprudencia francesa y europea sobre el derecho de expresión;
[url]http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2015/01/17/satire-et-droit-a-lhumour-un-si-long-combat-judiciaire/[/url] ([url]http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2015/01/17/satire-et-droit-a-lhumour-un-si-long-combat-judiciaire/[/url])Citar
Sentencia del 1976 -- Corte Europea de derechos humanos
la liberté d’expression vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec ferveur ou considérées comme inoffensives, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance ou l’esprit d’ouverture, sans lesquels il n’y a pas de société démocratique »
La libertad de expresión vale no sólo para las informaciones o ideas recibidas con fervor o consideradas inofensivas, sino también para aquellas que violentan, chocan o inquietan al Estado o una fracción cualquiera de la población. Así lo lo exigen el pluralismo, la tolerancia o el espíritu de apertura, sin los cuales no hay sociedad democrática. [/b]
22 mars 2007 - Tribunal correccional de Paris, contra CHebdo, acerca de las caricaturas de Mahoma
Attendu qu’en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu’elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème, qui outrage la divinité ou la religion, n’y est pas réprimé (…) "
Considerando que en FR sociedad laica y plural, el respeto a todas las creencias anda parejo con la libertad de criticar todas las religiones sin distinción, y con la libertad de representar sujetos u objetos de veneracion religiosa ; que el blasfemo que ofende a la divinidad o la religion no esta reprimido (...)
Y ya está. Si no te gusta la sentencia que te condena, la acatas.
Si no te gusta que se pueda caricaturar a tu dios , lo acatas también
El paralelo está absolutamente justificado:
El monopolio legal de la violencia por el Estado tiene como contrapartida la libertad legal de expresión por todos los ciudadanos sin distinción. Una cosa no va sin la otra. Son una sola y misma cosa y son el fundamento del pacto civil entre el Estado y el Ciudadano, en una sociedad que se reconozca LIBRE.
Que les den a todos..
Merde.
Muy de acuerdo en principio. Sin embargo, harto a menudo tenemos un Estado que se erige en monopolista del uso legítimo de la fuerza, sin que exista la contrapartida de derecho de réplica, de repulsa y de blasfemia (prácticamente todos los estados totalitarios y sin libertad política caen dentro de éste epígrafe, así como muchos de los estados democráticos de nuevo cuño, trufados de PDM's, como yo suelo decir).
Y también tenemos estados, que viniendo de tradiciones democráticas asentadas en mayor o menor grado, avanzan ¿o mejor sería decir retroceden? en la dirección de poner cortapisas a ésta contrapartida, cuando no reprimirla sin más; la guerra contra el terrorismo siempre ha sido primero y ante todo, guerra contra nuestros propios valores más sagrados, y desde nuestras propias élites gobernantes...
En v/F, resumen de jurisprudencia francesa y europea sobre el derecho de expresión;
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Sentencia del 1976 -- Corte Europea de derechos humanos
la liberté d’expression vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec ferveur ou considérées comme inoffensives, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance ou l’esprit d’ouverture, sans lesquels il n’y a pas de société démocratique »
La libertad de expresión vale no sólo para las informaciones o ideas recibidas con fervor o consideradas inofensivas, sino también para aquellas que violentan, chocan o inquietan al Estado o una fracción cualquiera de la población. Así lo lo exigen el pluralismo, la tolerancia o el espíritu de apertura, sin los cuales no hay sociedad democrática. [/b]
22 mars 2007 - Tribunal correccional de Paris, contra CHebdo, acerca de las caricaturas de Mahoma
Attendu qu’en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu’elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème, qui outrage la divinité ou la religion, n’y est pas réprimé (…) "
Considerando que en FR sociedad laica y plural, el respeto a todas las creencias anda parejo con la libertad de criticar todas las religiones sin distinción, y con la libertad de representar sujetos u objetos de veneracion religiosa ; que el blasfemo que ofende a la divinidad o la religion no esta reprimido (...)
Y ya está. Si no te gusta la sentencia que te condena, la acatas.
Si no te gusta que se pueda caricaturar a tu dios , lo acatas también
El paralelo está absolutamente justificado:
El monopolio legal de la violencia por el Estado tiene como contrapartida la libertad legal de expresión por todos los ciudadanos sin distinción. Una cosa no va sin la otra. Son una sola y misma cosa y son el fundamento del pacto civil entre el Estado y el Ciudadano, en una sociedad que se reconozca LIBRE.
Que les den a todos..
Merde.
Muy de acuerdo en principio. Sin embargo, harto a menudo tenemos un Estado que se erige en monopolista del uso legítimo de la fuerza, sin que exista la contrapartida de derecho de réplica, de repulsa y de blasfemia (prácticamente todos los estados totalitarios y sin libertad política caen dentro de éste epígrafe, así como muchos de los estados democráticos de nuevo cuño, trufados de PDM's, como yo suelo decir).
Y también tenemos estados, que viniendo de tradiciones democráticas asentadas en mayor o menor grado, avanzan ¿o mejor sería decir retroceden? en la dirección de poner cortapisas a ésta contrapartida, cuando no reprimirla sin más; la guerra contra el terrorismo siempre ha sido primero y ante todo, guerra contra nuestros propios valores más sagrados, y desde nuestras propias élites gobernantes...
Tal y como lo planteas, asumes que el Estado preexiste al derecho de expresión. Sin duda, así es. Y si no el Estado (que como ppcc nos insiste en recordar, es un invento liberal y reciente, pues la estructura vertical de poder que toque en el tiempo y lugar que corresponda
Así ocurre en su génesis histórica. Así es cuando el Estado se identifica a la persona de un monarca.
Pero en sus génesis "civil" (por decirlo así) ese Estado histórico debe morir y para luego renacer como la expresión libre de su pueblo.
En este último sentido, el derecho de expresión preexiste al Estado, y es el Pueblo el que le otorga el monopolio de la violencia. El soberano ahora, es el Pueblo. Como yo, aunque a menudo no lo parezca, tengo simpatías liberales, no reconozco al Pueblo ni como sujeto pasivo, ni como perceptor de derechos; sin embargo, contra thatcheristas y asimiliados, sí que reconozco a la sociedad como entidad emergente de la interacción de los individuos, y no reductible a ellos. La sociedad, en la medida en que es abierta en sentido popperiano, puede hacer algo como lo que dices.
El debate no lo tenemos por ahí:
No te discutiré que la memoria genética del Estado tiende a subvertir esa jerarquía entre Pueblo y Estado civil. Ahí tienes a todos nuestros gobernantes dandoles mordiscos a la libertad de opinión-caricatura, de manifestación, de acudir a juicio, o -- de forma más sutil -- erosionando el área de la privacidad de las comunicaciones.
Pero una vez el Estado "monárquico-genético" ha muerto, a partir de ese momento hay que tener muy claro que la única genética que interviene dentro del marco civil, y que busca subvertir el Pacto civil, es la genética del propio Pueblo. Es el Pueblo el responsable último de todo lo que tolere del Estado. No insistiré en mi objeción previa, sino que me limito a señalar que si eso se viola, estás reconociendo implícitamente que hay un derecho a la revolución, o en su defecto, a la revocación de quienes se erijan como poderes de dicho Estado.
Observa que no hay vuelta atrás a la responsabilidad del Pueblo. No puede haberla, porque quien se presente desde entonces como un Monarca será necesariamente un usurpador. Será un ciudadano usurpador de la soberanía del Pueblo.
Más allá de las contingencias históricas, geoplíticas, la lucha contra el fascismo tiene como fundamento la defensa de un orden civil que es la propia identidad del Pueblo. Sin ese orden civil, los pueblos de Europa (y Francia en particular) están condenados a desaparecer. Sería en todo caso responsabilidad de sus individuos, y por ende, de la sociedad que componen, y no al revés.
Si me dices que "harto a menudo el Estado" actúa sin tolerar el derecho a replica, etc., yo te contesto, un poco a la manera de Chosen (que éste me perdone, -- ¡lo hago por caricaturar! ;), diciendo:
-- EL ESTADO, NO, SUS VOTANTES; ACTÚA COMO PIENSAN SUS VOTANTES:
Tú mismo, cuando dices Puercos Demócratas de Mierda, asumes implícitamente que tu crítica no va dirigida contra el Estado, sino contra tus conciudadanos. Sin duda es así. De hecho, en alguna ocasión yo tildé a esta crisis como la crisis de los espejos invisibles
... Y añado que a la hora de buscar soluciones, hay que aplicarse la misma vara de medir.
Nada de esperar que el Estado venga a limpiarnos el culo.
Si no sabemos fabricar pañales, tendremos que aguantar el mal olor.
Empezando por el propio. 8)
Hay que afrontar que mal olor siempre va a haber. Otra cosa es si lo aceptamos pasivamente o tratamos de hacer algo al respecto.
!Saludos!
Pero una vez el Estado "monárquico-genético" ha muerto, a partir de ese momento hay que tener muy claro que la única genética que interviene dentro del marco civil, y que busca subvertir el Pacto civil, es la genética del propio Pueblo. Es el Pueblo el responsable último de todo lo que tolere del Estado.
No insistiré en mi objeción previa, sino que me limito a señalar que si eso se viola, estás reconociendo implícitamente que hay un derecho a la revolución, o en su defecto, a la revocación de quienes se erijan como poderes de dicho Estado.
Pero en sus génesis "civil" (por decirlo así) ese Estado histórico debe morir y para luego renacer como la expresión libre de su pueblo.
En este último sentido, el derecho de expresión preexiste al Estado, y es el Pueblo el que le otorga el monopolio de la violencia. El soberano ahora, es el Pueblo. Como yo, aunque a menudo no lo parezca, tengo simpatías liberales, no reconozco al Pueblo ni como sujeto pasivo, ni como perceptor de derechos; sin embargo, contra thatcheristas y asimiliados, sí que reconozco a la sociedad como entidad emergente de la interacción de los individuos, y no reductible a ellos. La sociedad, en la medida en que es abierta en sentido popperiano, puede hacer algo como lo que dices.
Tú mismo, cuando dices Puercos Demócratas de Mierda, asumes implícitamente que tu crítica no va dirigida contra el Estado, sino contra tus conciudadanos. Sin duda es así. De hecho, en alguna ocasión yo tildé a esta crisis como la crisis de los espejos invisibles
... Y añado que a la hora de buscar soluciones, hay que aplicarse la misma vara de medir.
Nada de esperar que el Estado venga a limpiarnos el culo.
Si no sabemos fabricar pañales, tendremos que aguantar el mal olor.
Empezando por el propio. 8)
Hay que afrontar que mal olor siempre va a haber. Otra cosa es si lo aceptamos pasivamente o tratamos de hacer algo al respecto.
"Qué indecencia!", prosigue el Global Times (diario próximo al PCC)en su editorial titulado "La ola de la libertad de expresión corre el riesgo de agravar conflictos".
"Sólo se puede recomandar a la sociedad francesa que cese de representar la imagen del profeta", insistió este lunes el Times. "Es más dificil para los musulmanes cambiar su fe que para Europa ajustar su concepto de la libertad de expresión. Si los franceses consideran que semejante ajuste supone rebajarse, es que su búsqueda de la libertad de expresión se aparenta a una religion", añade el quotidiano chino
Papandreu: el castigo a Sísifo
([url]http://pacotraver.files.wordpress.com/2008/01/sisifo.jpg[/url])
El dirigente que acaba con el falseamiento de las cuentas públicas, para enderezarlas, termina como víctima de su propia seriedad
La tragedia empieza y se ceba con Yorgos Papandreu. El dirigente que acaba con el falseamiento de las cuentas públicas, para enderezarlas, termina como víctima de su propia seriedad. Desafía a los dioses. Le castigan a encaramarse una y otra vez a la cima con la pesada piedra que siempre le devuelve al vacío: es Sísifo. Su pugna por salvar la economía le vale el demoledor estigma del hombre que lleva la troika a Grecia.
Tras llegar al poder con mayoría absoluta en octubre de 2009, aclara que el déficit público no es del 2,7% aducido por su predecesor conservador Kostas Karamanlis, sino el 12,7% (aún aumentaría, toma herencia recibida) y articula un plan de estabilización que la carencia de Administración disuelve: primera caída. Luego pacta el rescate europeo en mayo de 2010, cruel e insuficiente. Confía en sacarlo en solitario (la oposición es renuente), por imperativo moral kantiano, autosuficiencia que le merma el prestigio: segundo descenso.
Al no bastar, acuerda el segundo rescate —más generoso en plazos (30 años) y tipos de interés (3%)—, en julio de 2011. Pero para enmendar la altivez que le dejó solo, busca la legitimidad decreciente en un referéndum que valide la austeridad. Peca de ingenuidad democrática: Nicolas Sarkozy, flanqueado por Angela Merkel, le espeta antes de la cumbre de Cannes, el 2 de noviembre: votar "carece de sentido: ¡estás preguntando a la gente si quiere un plan de austeridad!; o lo retiras o formulas la verdadera pregunta, ¿queréis seguir en la eurozona?". Es la tercera caída. La definitiva. Dimite.
Con él se esfuma el socialista moderado, nacido en el exilio (Minnesota). El que reverbera a su mítico abuelo Yorgos, ex primer ministro de la monarquía, fundador de la Unión del Centro, detenido por los coroneles. El modernizador del legado populista y sanguíneo de su padre Andreas, fundador del Pasok. El ministro de Exteriores de Kostas Simitis (1996-2004), que templó la izquierda, se reconcilió con Turquía y negoció, en vez de imponer, sobre Chipre. Al deje cosmopolita del profesor de Harvard le carcome el furioso pathos de la política griega.
La derrota de este socialista liberal es el colapso del centroizquierda posibilista. Una metáfora de las clases medias arruinadas por el sabotaje de la austeridad rampante, por él iniciada (triple presión fiscal, diezmo de funcionarios...). Ellas le encumbraron y apenas están. Sísifo quiere volver. La Sibila de las encuestas no le augura siquiera disponer de piedra.
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/20/actualidad/1421777889_368955.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/20/actualidad/1421777889_368955.html[/url])
CitarPapandreu: el castigo a Sísifo
([url]http://pacotraver.files.wordpress.com/2008/01/sisifo.jpg[/url])
El dirigente que acaba con el falseamiento de las cuentas públicas, para enderezarlas, termina como víctima de su propia seriedad
La tragedia empieza y se ceba con Yorgos Papandreu. El dirigente que acaba con el falseamiento de las cuentas públicas, para enderezarlas, termina como víctima de su propia seriedad. Desafía a los dioses. Le castigan a encaramarse una y otra vez a la cima con la pesada piedra que siempre le devuelve al vacío: es Sísifo. Su pugna por salvar la economía le vale el demoledor estigma del hombre que lleva la troika a Grecia.
[...]
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/20/actualidad/1421777889_368955.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/01/20/actualidad/1421777889_368955.html[/url])
El futuro de EE.UU. es la ruina
Paul Craig Roberts
Traducido del inglés para Rebelión por Germán Leyens
Los neoconservadores formados en sus oficinas en Washington se felicitan por su éxito en el uso del affaire Charle Hebdo para volver a unir a Europa con la política exterior de EE.UU. No más votos franceses con los palestinos contra la posición de Washington e Israel. No más simpatía europea con los palestinos. No más creciente oposición europea al inicio de nuevas guerras en Medio Oriente. No más llamados del presidente francés a terminar las sanciones contra Rusia.
¿Comprenden también los neoconservadores que han unido a los europeos con los partidos políticos derechistas opuestos a la inmigración? La ola de apoyo para los caricaturistas de Charlie Hebdo es la ola del Frente Nacional de Marine Le Pen, del Partido de la Independencia de Nigel Farage en el Reino Unido, y de PEGIDA en Alemania que barre Europa. Esos partidos son empoderados por el fervor contra la inmigración que fue orquestado a fin de volver a unir a los europeos con Washington e Israel.
Una vez más los arrogantes e insolentes neoconservadores han cometido un craso error. El empoderamiento por Charlie Hebdo de los partidos contra la inmigración tiene el potencial de subvertir la política europea y de destruir el imperio de Washington. Ved mi entrevista del fin de semana con King World News para conocer mis pensamientos sobre este potencial cambio de la situación. [url]http://kingworldnews.com/paul-craig-roberts-new-crisis-worse-russia-unleashing-black-swans-west/[/url] ([url]http://kingworldnews.com/paul-craig-roberts-new-crisis-worse-russia-unleashing-black-swans-west/[/url])
Los informes del Daily Mail británico y de Zero Hedge de que Rusia ha cortado sus entregas de gas natural a seis países europeos deben ser erróneos. Esas fuentes son creíbles y bien informadas, pero semejante corte habría producido instantáneamente un torbellino político y financiero del que no hay ninguna señal. Por ello, a menos que haya un bloqueo informativo, la acción rusa ha sido mal interpretada.
Sabemos que algo real ha ocurrido. De otra manera, el funcionario responsable de energía de la UE, Maros Sefcovic, no estaría expresando semejante consternación. Aunque no posee ninguna información definitiva, creo que sé cuál es la verdadera historia. Rusia, cansada por el robo en Ucrania del gas natural que pasa por su territorio en camino para ser entregado a Europa, ha tomado la decisión de enviar el gas a Turquía, soslayando Ucrania al hacerlo.
El ministro ruso de energía ha confirmado esa decisión y agregó que si los países europeos desean aprovechar ese suministro de gas, deben instalar la infraestructura o un gasoducto para llevar el gas a sus países.
En otras palabras, existe un potencial para un corte en el futuro, pero ningún corte en la actualidad.
Estos dos eventos –Charlie Hebdo y la decisión rusa de dejar a entregar gas a Europa a través de Ucrania– debieran recordarnos que el potencial para una sorpresa inesperada, y consecuencias imprevistas de decisiones oficiales que pueden producir sorpresas inesperadas, siempre existe. Ni siquiera la “superpotencia” estadounidense es inmune a “cisnes negros”.
Existe mucha evidencia circunstancial de que la CIA y la Inteligencia Francesa son responsables por la matanza en Charlie Hebdo como ser que el hecho que los disparos fueron realizados por los dos hermanos cuyas tarjetas de identidad fueron convenientemente encontradas en el coche supuestamente utilizado en su huída. Como los franceses se aseguraron de que los hermanos fueran muertos antes de que pudieran hablar, nunca sabremos lo que ellos podrían haber dicho sobre la conspiración.
La única evidencia que tenemos que los hermanos eran culpables es la afirmación de las fuerzas de seguridad. Cada vez que escucho afirmaciones gubernamentales sin verdadera evidencia, recuerdo las “armas de destrucción masiva” de Sadam Hussein, el “uso de armas químicas” por Assad, y el “programa de armas nucleares” de Irán. Si un Consejero de Seguridad Nacional puede evocar como por arte de magia “nubes en forma de hongo sobre una ciudad estadounidense”, Cherif y Said Kouachi pueden ser convertidos en asesinos. Después de todo, están muertos y no pueden protestar.
Si esto fue, y nunca sabremos con seguridad, un ataque de bandera falsa, logró el objetivo de Washington de volver a unir a Europa bajo los auspicios estadounidenses e israelíes. Pero este éxito tiene una consecuencia imprevista. La consecuencia imprevista es unir Europa bajo la política contra la inmigración de los partidos derechistas, empoderando así a los dirigentes de esos países.
Si esta conjetura es correcta, Marie Le Pen y Nigel Farage verán sus vidas y / o reputaciones en peligro ya que Washington se opondrá al ascenso de gobiernos europeos que no adhieran a la línea de Washington.
La consternación causada por la decisión de Rusia de reubicar sus entregas de gas a Europa es una prueba de que Rusia posee muchas cartas que podría jugar que derribarían las estructuras políticas y financieras del Mundo Occidental.
China posee cartas semejantes.
Los dos países no están usando sus cartas, porque no piensan que las necesitan. En su lugar, las dos potencias se están retirando del sistema financiero occidental que sirve la hegemonía occidental sobre el mundo. Están creando todas las instituciones económicas que necesitan a fin de ser completamente independientes de Occidente.
Por ello, los gobiernos ruso y chino razonan: “¿Para qué ser provocadores y bajar los humos a los badulaques occidentales? Podrían recurrir a sus armas nucleares, y se destruiría todo el mundo. Simplemente marchémonos mientras ellos nos alientan a irnos con sus provocaciones.”
Podemos agradecer que Vladimir Putin y los dirigentes del gobierno chino sean inteligentes y humanos, no como los dirigentes de Occidente.
Imaginad, por ejemplo, las consecuencias calamitosas para Occidente si Putin se involucrara personalmente como resultado de las numerosas afrentas a Rusia y a su propia persona. Putin puede destruir la OTAN y todo el sistema financiero occidental cuando le dé la gana. Todo lo que tiene que hacer es anunciar que ya que la OTAN ha declarado la guerra económica a Rusia, Rusia ya no venderá energía a miembros de la OTAN.
La alianza de la OTAN se disolvería ya que Europa no puede sobrevivir sin suministros de energía rusa. El imperio de Washington se acabaría.
Putin se da cuenta de que los insolentes neoconservadores tendrían que apretar el botón nuclear a fin de salvar su prestigio. A diferencia de Putin, sus egos están en juego. Por lo tanto, Putin salva el mundo de la guerra nuclear al no ser provocador.
Ahora, imaginad si el gobierno chino llegara a perder su paciencia con Washington. Para enfrentar la “excepcional, indispensable, superpotencia” con la realidad de su impotencia, todo lo que China necesita hacer es lanzar al mercado sus masivos activos financieros denominados en dólares, todos de una vez, tal como los agentes bancarios del oro en lingotes de la Reserva Federal lanzan masivos contratos sin respaldo de oro en el mercado de futuros.
A fin de evitar el colapso financiero de EE.UU., la Reserva Federal tendría que imprimir cantidades masivas de nuevos dólares con los cuales comprar los activos chinos vendidos a precios ruinosos. Ya que la Reserva Federal protegería los mercados financieros estadounidenses al comprar los activos vendidos por los chinos, los chinos no perderían nada con la venta. Lo decisivo es el paso siguiente. El gobierno chino entonces vendería las masivas posesiones de dólares que ha recibido de su venta de instrumentos financieros denominados en dólares.
¿Qué pasa entonces? La Fed puede imprimir dólares con los cuales comprar las posesiones chinas resultantes del dumping, pero la Fed no puede imprimir divisas extranjeras con las cuales comprar los dólares resultantes del dumping.
El masivo suministro de dólares vendidos en el mercado de divisas por China no encontraría compradores. El valor del dólar se derrumbaría. Washington ya no podría pagar sus deudas imprimiendo dinero. Los estadounidenses, viviendo en un país dependiente de importaciones, gracias a la exportación de puestos de trabajo, se verían enfrentados con altos precios que afectarían seriamente su nivel de vida. EE.UU. experimentaría inestabilidad económica, social y política.
Dejando de lado su lavado de cerebros, su actitud defensiva y su apoyo patriótico al régimen en Washington, los estadounidenses tienen que preguntarse: ¿Cómo es posible que el gobierno de EE.UU., una supuesta Superpotencia, sea tan inconsciente de su verdaderas vulnerabilidades que Washington sea capaz de presionar a dos verdaderas potencias hasta que digan basta y jueguen las cartas que poseen?
Los estadounidenses tienen que comprender que lo único excepcional respecto a EE.UU. es la ignorancia de la población y la estupidez del gobierno.
¿Qué otro país permitiría que un puñado de delincuentes de Wall Street controlen su política económica y exterior, dirijan su banco central y el Tesoro, y subordinen los intereses de los ciudadanos a los intereses del bolsillo del uno por ciento?
Una población tan indiferente está a la merced de Rusia y China.
Ayer hubo un evento excepcional, un evento que todavía podría desencadenar otros eventos excepcionales. [url]http://www.zerohedge.com/news/2015-01-16/largest-retail-fx-broker-stock-crashes-90-swiss-contagion-spreads[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-01-16/largest-retail-fx-broker-stock-crashes-90-swiss-contagion-spreads[/url]) El banco central suizo anunció un fin de la vinculación del franco suizo al euro y al dólar estadounidense. [url]http://www.zerohedge.com/news/2015-01-15/its-tsunami-swiss-franc-soars-most-ever-after-snb-abandons-eurchf-floor-macro-hedge-[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-01-15/its-tsunami-swiss-franc-soars-most-ever-after-snb-abandons-eurchf-floor-macro-hedge-[/url])
Hace tres años la huída de euros y dólares hacia francos suizos impulsó el valor de cambio del franco tan alto que amenazó la existencia de las industrias suizas de exportación. Suiza anunció que cualquier ingreso de divisas extranjeras hacia francos sería enfrentado mediante la creación de nuevos francos para absorber la afluencia a fin de no seguir aumentando la tasa de cambio. En otras palabras, los suizos vincularon el franco.
Ayer el banco central suizo anunció que se acabó la vinculación. El franco aumentó instantáneamente su valor. Las acciones de las compañías suizas de exportación bajaron, y los fondos de alto riesgo mal posicionados sufrieron importantes golpes a su solvencia.
¿Por qué eliminaron la vinculación los suizos? No fue una acción sin costes. Costó sustancialmente al banco central y a las industrias suizas de exportación.
La respuesta es que el fiscal general de la UE dictaminó que era permisible que el banco central de la UE iniciara la Flexibilización Cuantitativa –es decir, la impresión de nuevos euros– a fin de rescatar los errores de los banqueros privados. Esa decisión significa que Suiza espera verse confrontada con una masiva huída del euro y que el banco central suizo no está dispuesto a imprimir suficientes nuevos francos suizos para mantener la vinculación. El banco central suizo cree que tendría que imprimir tanto que la base del suministro de dinero suizo estallaría, excediendo de lejos el PIB de Suiza.
La política de impresión de dinero de EE.UU., Japón y aparentemente ahora la UE, ha obligado a otros países a inflar sus propias divisas a fin de impedir el aumento en el valor de cambio de sus monedas que limitaría su capacidad de exportación y ganar divisas extranjeras para pagar por sus importaciones. Por lo tanto Washington ha obligado al mundo a imprimir dinero.
Los suizos se han salido de este sistema. ¿Seguirán otros, o seguirá el resto del mundo a los gobiernos ruso y chino hacia nuevos planes monetarios y simplemente darán la espalda al corrupto e incorregible Occidente?
El nivel de corrupción y manipulación que caracteriza la actual política económica y exterior de EE.UU. era imposible en épocas anteriores cuando la ambición de Washington estaba limitada por la Unión Soviética. La avidez por poder hegemónico ha convertido a Washington en el más corrupto gobierno del mundo.
La consecuencia de esta corrupción es la ruina.
“El liderazgo se convierte en imperio. El imperio engendra insolencia. La insolencia provoca la ruina.”
El futuro de EE.UU. es la ruina.
Paul Craig Roberts es un economista estadounidense, escritor, columnista, antiguo adjunto al Secretario del Tesoro, editor asociado del Wall Street Journal y autor del libro “ The Failure of Laissez Faire Capitalism”, entre otros. Su último libro es How America was lost.
Fuente: [url]http://www.informationclearinghouse.info/article40723.htm[/url] ([url]http://www.informationclearinghouse.info/article40723.htm[/url])
Hay que distinguir el sistema político de los contenidos políticos.
Si en un sistema democrático decidimos expulsar a todos los inmigrantes, es democracia y es democrático.
¿Es una medida de corte ideológico "fascista"?, pues sí, pertenece a esa ideología, pero mientras el sistema sea democrático, hay democracia.
Si elegimos a un partido o lo que sea y deroga el sistema democrático e impone otro y no hacemos nada, pues democráticamente nos habremos cargado la democracia.
No me parece tan difícil.
La democracia es el sistema político, NO las ideologías.
La democracia es el ring donde luchan esas ideologías.
Qué te crees que es el FN francés.
O los partidos fascistas en auge en Holanda, Suecia, Alemania, Austria, Hungría, Grecia, España (dentro del PP), Croacia, Dinamarca...
Chosen, es verdad, en España pueden votar todos, pero ahí se termina, para todo lo demás existen castas,clases o como se quiera llamarlo.
Qué te crees que es el FN francés.
O los partidos fascistas en auge en Holanda, Suecia, Alemania, Austria, Hungría, Grecia, España (dentro del PP), Croacia, Dinamarca...
No se, dímelo tu porque A TI te lo he preguntado y no me has respondido.
Sólo has dicho que los populismos están en auge, cosa que aparte de ser lo que yo te estoy diciendo, no responde a la pregunta que te hice.
Erais vosotros quienes hace un mes decíais que no había democracia y que "el pueblo" se deberían unir para echar a la casta del poder y ser todos amigos y comer perdices.
Ahora que parte del pueblo griego se une y decide que es neonazi, demostrando que existe democracia y que depende de la voluntad de la gente (no de las multinacionales) te sales por la tangente y respondes sin responder ::)
Yo pregunto: que respuesta teneis los neodemócratas a la polarización de la sociedad griega en buenos (Syriza) y malos (Amanecer Dorado).
Eres tu el que se ha metido en el jardín.
Sal si puedes.
y en cuanto al secuestro de nuestras democracias tienes noticias y textos en detalle [...]
Lee a Habermas y te enterarás de la crisis que empañan nuestras democracias y su necesidad de ... [...]
... o a Carmen Sancho en cuanto a las cada vez mayores imperfecciones de nuestras democracias liberales [...]
Norberto Bobbio es otro tío interesante.Wikipedia: "Por todo lo anterior Bobbio es percibido como el filósofo de “La democracia en el mundo contemporáneo”, entendida como la búsqueda crítica de consensos.
No lo decimos sólamente nosotros, en definitiva, lo dicen muchísimos académicos de referencia.
Hablando de Europa, de Grecia y de la democracia;
Amanecer Dorado -el partido neonazi- va camino de convertirse en la TERCERA FUERZA POLÍTICA en Grecia.
Supongo que diréis que estos votos no son del amigable y castigado "pueblo" griego, sino de marcianos infiltrados en las cabinas de votación.
O si admitís que lo son -como no puede ser de otra forma- tal vez digáis que los votan por culpa de las multinacionales y los medios de comunicación que les han comido el cerebro. Curiosamente esto no sería de aplicación a Syriza, que sale en los mismos canales de televisión ::)
([url]http://s.libertaddigital.com/fotos/noticias/michaloliakos-efe.jpg[/url])
Tengo curiosidad por ver cómo se explica este fenómeno después de la defensa de lo imposible que algunos habeis hecho días atrás (no hay democracia, "el pueblo" esto, "el pueblo" lo otro...).
CNN le preguntó a un experto una pregunta tonta. Su respuesta simplemente la mató
[url]http://www.paginapopular.net/cnn-le-pregunto-a-un-experto-una-pregunta-tonta-su-respuesta-simplemente-la-mato/[/url] ([url]http://www.paginapopular.net/cnn-le-pregunto-a-un-experto-una-pregunta-tonta-su-respuesta-simplemente-la-mato/[/url])
O secuestrada.
Si tecleas en google por qué surge el fascimo te salen más de dos millones de entradas, con referencias a libros.
O secuestrada.¿Secuestrada por quien?
¿Los malvados griegos neonazis tienen secuestrada la democracia?
al no existir una correcta separacion de los poderesOtro meme salido de la escuela de lobotomización de la Complutense.
El grito de no nos representan no fue de la izquierda contra un gobierno de derechas, fue de la izquierda contra un gobierno socialista.Enésimo análisis equivocado.
al no existir una correcta separacion de los poderesOtro meme salido de la escuela de lobotomización de la Complutense.
Lo que se pretende es que los jueces no tengan afinidades políticas, que no voten y que no tengan criterio propio mas allá del que marque "el pueblo" y sus líderes.
Supongo que en Podemos estarán de acuerdo en la expulsión de Garzón, declarado militante en las ideas del PSOE. Ah no, que "es de los nuestros" :roto2:CitarEl grito de no nos representan no fue de la izquierda contra un gobierno de derechas, fue de la izquierda contra un gobierno socialista.Enésimo análisis equivocado.
Fue el grito de una generación estafada contra la generación anterior.
Si partes de 20 proposiciones falsas... ¿cómo pretendes luego entender lo que te rodea o hacer un análisis medianamente aceptable de la realidad? Combustible para populismo barato.
La casta, las multinacionales, la CIA etc... ;)
Una pregunta: has disfrutado con la reunión SECRETA que los DIRIGENTES del PARTIDO POLÍTICO Podemos han tenido con los miembros de LA CASTA ¿?
Jajaja :rofl: Hace dos días decían en asamblea que iban a gobernar con, por y para el pueblo.
Tres semanas después ya están conspirando a escondidas del resto de militantes.
:rofl: :rofl:
Sigues dando vueltas sin responder.
¿Quien tiene secuestrada la democracia?
Yo digo que El Pueblo tiene secuestrada la democracia.
Tautología que no podéis destruir, porque es cierta.
Ahora quien tiene que dar las explicaciones sois quienes decíais que no había democracia.
Debeis explicar porqué cuando Syriza está a punto de ganar las elecciones griegas, cambiáis y decís que si hay democracia. Pero entonces os tenéis que tragar el sapo de Amanecer Dorado y su enorme masa social.
Y eso os jode doblemente :biggrin: Pero ya da igual, las cartas están boca arriba.
Venimos a divertirnos, yo lo estoy pasando muy bien con vuestras idas y venidas argumentales ;D
Salud y saludos.
Yo digo que El Pueblo tiene secuestrada la democracia.Creo que el término "tautología" lo empleas mal. :facepalm:
Yo digo que El Pueblo tiene secuestrada la democracia.Creo que el término "tautología" lo empleas mal. :facepalm:
TAUTOLOGÍA
En retórica, una tautología (del griego ταυτολογία, decir lo mismo) es una afirmación obvia, vacía o redundante.
Eso es una tautología (democracia=gobierno del pueblo) cosa que algunos negabais que hubiera, hasta hace dos días cuando las encuestas en Grecia os dejaron con el culito al aire.
Ahora resulta que en Grecia ya hay democracia porque "van ganando los buenos" :roto2:
Decís por aqui que la democracia está secuestrada.
Yo pregunto, si está secuestrada, porqué Syriza se postula como ganador de las elecciones griegas ¿? Ah, que cuando ganan los que os gustan si hay democracia, pero cuando pierden entonces es que las multinacionales y los medios de comunicación engañan a las masas.
Ya.
Y en España... ¿que?
¿Vais a esperar a que las encuestas den ganador a Pablemos para venir a decir que si hay democracia? ::)
Me alegra ver que ya no defendéis a Podemos.
¿El paso siguiente cual es, decir que nunca lo defendisteis?
Vamos hombre.
Que está escrito ;)
Yo digo que El Pueblo tiene secuestrada la democracia.
Tautología que no podéis destruir, porque es cierta.
Me alegra ver que ya no defendéis a Podemos.Profecía cumplida.
¿El paso siguiente cual es, decir que nunca lo defendisteis?
Me alegra ver que ya no defendéis a Podemos.Profecía cumplida.
¿El paso siguiente cual es, decir que nunca lo defendisteis?
:rofl:
Ahora solo me queda esperar al lunes para verte decir que hay democracia, porque Syriza ha ganado las elecciones ;)
Syriza extiende el debate
Irlanda se desmarca: apoya una Conferencia para reestructurar deuda e incluye a España
[url]http://www.elconfidencial.com/economia/2015-01-25/irlanda-se-desmarca-apoya-una-conferencia-para-reestructurar-deuda-e-incluye-a-espana_625040/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/economia/2015-01-25/irlanda-se-desmarca-apoya-una-conferencia-para-reestructurar-deuda-e-incluye-a-espana_625040/[/url])
¿Se trata entonces de tirarse un farol, de amenazar con no pagar la deuda para forzar un compromiso?
-No, para nada. Yo no hablo de faroles, hablo de no movernos ni un milímetro de nuestras posiciones. Si quieren me podrán matar, pero yo no me voy a mover. Imaginemos que soy el próximo ministro de Economía griego: en junio nos tiene que llegar un préstamo de 7.000 millones de euros de nuestros socios europeos. ¿Y para qué es ese dinero? Para dárselo al Banco Central Europeo (BCE). En 2010 Trichet, el peor presidente de un banco central que haya existido nunca sobre la faz de la tierra, compró millones de euros de deuda griega, de bonos del Gobierno. Nosotros los griegos no le pedimos que lo hiciera, lo hizo pensando que así salvaría a Grecia y fracasó. Fracasó porque fue estúpido: anunció a los mercados los millones que pensaba gastarse, lo que equivalió a hacer un llamamiento a los especuladores para que apostaran contra él. El caso es que compró esos bonos, y esos bonos vencen en junio. Si no los hubiera comprado, su valor se habría reducido drásticamente en un 90%. Pero eso no pasó, y ahora tenemos que pagar por sus errores. El BCE sabe que no tenemos ese dinero, así que nos obliga a tomarlo prestado de los alemanes, de los españoles... y del propio BCE para dárselo al BCE. Si yo en ese momento soy ministro de Economía les diré que me asesinen si quieren, que maten a mis hijos, pero yo no pienso hacer eso.
[...] El caso es que compró esos bonos, y esos bonos vencen en junio. Si no los hubiera comprado, su valor se habría reducido drásticamente en un 90%. Pero eso no pasó, y ahora tenemos que pagar por sus errores.[/b] El BCE sabe que no tenemos ese dinero, así que nos obliga a tomarlo prestado de los alemanes, de los españoles... y del propio BCE para dárselo al BCE. Si yo en ese momento soy ministro de Economía les diré que me asesinen si quieren, que maten a mis hijos, pero yo no pienso hacer eso. [...]
Syriza / Podemos.
No va a pasar nada. No va a pasar nada porque no puede pasar nada. Y no puede pasar nada porque solo hay un país que se podría permitir salir del euro sin tener que volver a la Edad de Piedra. Y ese país no es Grecia, sino Alemania. El día que las cosas se pongan feas de verdad, los alemanes echarán el cierre de la unión monetaria y resucitarán el marco. Mientras tanto, no hay demasiado peligro de que nadie apriete el botón nuclear. [...]
[...]
Al cabo, el aparente sinsentido económico de la austeridad impuesta a los piigs solo admite una explicación lógica: el temor de Berlín a la fragilidad extrema del modelo de reserva fraccionaria por el que se rige el sistema financiero. Un sistema financiero, el europeo, muchísimo más grande que el norteamericano en relación al tamaño de las dos economías, algo que lo convierte en una bomba de relojería en potencia. Europa, simplemente, no tiene capacidad a día de hoy para rescatar a un gran banco en caso de quiebra. [...]
Y luego está el euro. Un traje que nos viene demasiado grande y que nos condena a una disyuntiva fatal: o igualar la productividad de Alemania o desaparecer. Repárese al respecto en la miseria estadística que se esconde tras la propaganda oficial a cuenta de los 434.000 empleos creados en 2014: el empleo ha crecido, sí, un 2,5%, pero el PIB apenas lo ha hecho en un raquítico 1,6%. Volvemos a lo de siempre: muchos puestos de trabajo que no sirven para producir casi nada dado el escaso valor añadido que generan. Eso no es acercarse a Alemania, sino a Marruecos. No, nosotros, pese al ruido de la charanga mediática, tampoco estamos saliendo de la crisis. Y nosotros, a diferencia de Grecia, sí somos sistémicos. Si gana Syriza no pasa nada. Si gana Podemos... Y dentro de cuatro años pueden ganar.
[url]http://www.libertaddigital.com/opinion/jose-garcia-dominguez/syriza-74633/[/url] ([url]http://www.libertaddigital.com/opinion/jose-garcia-dominguez/syriza-74633/[/url])
Pues mira, Grecia será a partir de ya una referencia de peso en lo político y económicoGrecia apenas representa un barrio grande de MéxicoDF :roto2:
Pues mira, Grecia será a partir de ya una referencia de peso en lo político y económicoGrecia apenas representa un barrio grande de MéxicoDF :roto2:
Por el bien del debate, te pediría que fueras mas realista.
Por favor ::)
Y escribe José García Domínguez en libertaddigital.com ([url]http://www.libertaddigital.com/[/url]):CitarSyriza / Podemos.
No va a pasar nada. No va a pasar nada porque no puede pasar nada. Y no puede pasar nada porque solo hay un país que se podría permitir salir del euro sin tener que volver a la Edad de Piedra. Y ese país no es Grecia, sino Alemania. El día que las cosas se pongan feas de verdad, los alemanes echarán el cierre de la unión monetaria y resucitarán el marco. Mientras tanto, no hay demasiado peligro de que nadie apriete el botón nuclear. [...]
[...]
Al cabo, el aparente sinsentido económico de la austeridad impuesta a los piigs solo admite una explicación lógica: el temor de Berlín a la fragilidad extrema del modelo de reserva fraccionaria por el que se rige el sistema financiero. Un sistema financiero, el europeo, muchísimo más grande que el norteamericano en relación al tamaño de las dos economías, algo que lo convierte en una bomba de relojería en potencia. Europa, simplemente, no tiene capacidad a día de hoy para rescatar a un gran banco en caso de quiebra. [...]
Y luego está el euro. Un traje que nos viene demasiado grande y que nos condena a una disyuntiva fatal: o igualar la productividad de Alemania o desaparecer. Repárese al respecto en la miseria estadística que se esconde tras la propaganda oficial a cuenta de los 434.000 empleos creados en 2014: el empleo ha crecido, sí, un 2,5%, pero el PIB apenas lo ha hecho en un raquítico 1,6%. Volvemos a lo de siempre: muchos puestos de trabajo que no sirven para producir casi nada dado el escaso valor añadido que generan. Eso no es acercarse a Alemania, sino a Marruecos. No, nosotros, pese al ruido de la charanga mediática, tampoco estamos saliendo de la crisis. Y nosotros, a diferencia de Grecia, sí somos sistémicos. Si gana Syriza no pasa nada. Si gana Podemos... Y dentro de cuatro años pueden ganar.
[url]http://www.libertaddigital.com/opinion/jose-garcia-dominguez/syriza-74633/[/url] ([url]http://www.libertaddigital.com/opinion/jose-garcia-dominguez/syriza-74633/[/url])
La ciudad belga de Tournai se declara ‘zona de exclusión’ del TTIP
([url]http://www.cuartopoder.es/invitados/files/2015/02/torunai_panoramica_pueblo.jpg[/url])
[url]http://iniciativadebate.org/2015/02/03/la-ciudad-belga-de-tournai-se-declara-zona-de-exclusion-del-ttip/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/02/03/la-ciudad-belga-de-tournai-se-declara-zona-de-exclusion-del-ttip/[/url])
(...) ellos no son los primeros. En Francia, casi una veintena de localidades se han declarado ya zona de exclusión del TTIP además de otras cuatro regiones. Entre ellas, la región Nord-Pas de Calais, al norte del país, que votó en junio de 2014 una petición por la paralización de la negociación del tratado.
¿Con que base jurídica, si puede saberse? ;D
Me recuerda a las declaraciones unilaterales de independencia en pueblos vascos bajo el control democrático de Sortu-HB.
Al final, los nacioncitas estan siempre igual, metiendole el miedo a la gente "con los de fuera". La mitad de los antiTTIP que conozco tienen un Ford, utilizan GPS y navegan con un Ipad de Apple ::)
¿Base jurídica?¿Y tu eres el que pide separación de poderes? :rofl:
Mediante moción tras proposición del Partido Socialista, Movimiento Reformador (liberales), cdH (democristianos) y PartiÉcologiste (los verdes), es decir, del órgano de Gobierno y toda oposición. Finito. Si leyeses te sería suficiente.
¿Base jurídica?
Mediante moción tras proposición del Partido Socialista, Movimiento Reformador (liberales), cdH (democristianos) y PartiÉcologiste (los verdes), es decir, del órgano de Gobierno y toda oposición. Finito. Si leyeses te sería suficiente.
¿Y tu eres el que pide separación de poderes? :rofl:
Un acuerdo supranacional con rango de ley no puede ser revocado a nivel nacional.
Aún menos por una ley regional y mucho menos por una declaración firmada en una servilleta por un alcaldillo de pueblo.
Me parece perfecto que los antiglobalización querais volver a vivir en la cueva y el pueblo.
Sólo pido que nos dejeis a los demás llevar una vida del S.XXI
Aunque la Comisión Europea ha insistido en que la negociación es transparente, lo cierto es que el proceso de negociación es prácticamente secreto. No se conocen detalles concretos de las negociaciones y sólo algunos documentos filtrados desde las propias instancias europeas han permitido ir desgranando los pilares del futuro acuerdo. El negociador principal de la parte europea reconoció en una carta pública que todos los documentos relacionados con las negociaciones estarían cerrados al público durante al menos treinta años. Concretamente aseguró que esta negociación sería una excepción a la Regla 1049/2001 que establece que todos los documentos de las instituciones europeas han de ser públicos[1]. Asimismo, el comisario De Gucht aseguró en el Parlamento Europeo que la negociación del TLC debía tener grado de confidencialidad y negó la función de negociación al Parlamento[2]. Lo que supone un ataque más a la ya escasa democracia en el seno de la Unión Europea.
[url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=191649[/url] ([url]http://www.rebelion.org/noticia.php?id=191649[/url])
Sólo dos meses antes,
el jefe del equipo negociador de la UE, Ignacio García Bercero, aseguraba
en una carta a su homólogo estadounidense que la Comisión Europea
bloquearía el acceso público a todos los documentos relacionados con
las negociaciones o el desarrollo del TTIP y que no serían accesibles para
el público durante los próximos 30 años.9 El comisario de Comercio de
la Unión Europea, Karel de Gucht, explicó al Parlamento Europeo que
la Comisión abordaría el TTIP con el mismo nivel de secretismo con el
que pactó acuerdos comerciales previos e instó a los miembros del Parlamento
a respaldar la “confidencialidad” en las negociaciones
[url]http://www.rebelion.org/docs/191623.pdf[/url] ([url]http://www.rebelion.org/docs/191623.pdf[/url])
¿Porqué decís que el tratado se está llevando en secreto, CUANDO ES MENTIRA?
¿Por qué se oculta a la sociedad lo que es el TTIP?
Estados Unidos y la UE negocian un acuerdo cuyas resoluciones no tendrán marcha atrás
Un nuevo acrónimo ha llegado para quedarse, por lo menos este 2015. ¿Quién no ha oído hablar del TTIP? Nadie, pero ¿Quién sabe realmente lo que es? El Acuerdo Transatlántico para el Comercio y la Inversión (conocido por el acrónimo en inglés TTIP), es un tratado que se está negociando en la actualidad entre los Estados Unidos y la Unión Europea que busca hacer crecer aumentar el comercio y la inversión entre ambas partes. Las explicaciones que dan ambas partes suenan a panacea en medio de la crisis económica mundial ya que hablan del potencial sin explotar de un auténtico mercado transatlántico que genere nuevas oportunidades económicas de creación de empleo y crecimiento.
Pero la contrapartida no es del gusto de todos. Para un Estado, da igual cuál pero pondremos como ejemplo a España hay dos riesgos:
El primero, la eventual imposibilidad de aplicar políticas distintas a los enunciados neoliberales que se fijen en el TTIP. Es decir, España sería tan dependiente de la UE que resultaría materialmente imposible su modificación en el caso de que nuevas mayorías pidieran cambiarlo. Desde sueldos mínimos, hasta derechos legales, pasando por privatizaciones de servicios públicos y rebaja de medidas de control.
Y, en segundo lugar, existiría una privatización de la Justicia, al someter todas las discrepancias sobre las inversiones exteriores a procedimientos arbitrales privados.
En definitiva todo se negociará de forma paralela y, según la UE "formará parte de un acto único que garantice un resultado equilibrado entre la eliminación de derechos, la desaparición de obstáculos reglamentarios al comercio innecesarios y la mejora de las normas".
Esas bondades no son compartidas por buena parte de la sociedad y algunos partidos políticos. Articulada a través de la Asamblea Popular de Tres Cantos del 15M ha nacido una campaña que quiere dar a conocer el proceso a todo el mundo, especialmente lo que entienden por la parte negativa, y pedir que se frene el proceso. Y aquí se han topado con un círculo vicioso del que quieren salir porque, según sus palabras, para enfrentarse al Tratado Transatlántico de Comercio e Inversión (TTIP) se necesita que todo el mundo esté informado. Para informar se necesita a los medios. Pero, para seguir publicando, los medios necesitan la publicidad de las corporaciones que han ideado el Tratado.
[url]http://youtu.be/JeuxTgCtX-E[/url] ([url]http://youtu.be/JeuxTgCtX-E[/url])
Ahí está el enredo que quieren desenredar y para ello piden la ayuda de la prensa. Especialmente de la 'prensa valiente'. Reclaman a las grandes firmas que den un paso al frente con el fin de denunciar el silencio de los grandes medios de comunicación respecto a este tratado que negocian gobiernos y multinacionales. Casualidades de la vida, el vídeo que ilustra este post y que denuncia la connivencia de gobiernos y multinacionales salió ayer. El mismo día en que todos los grandes periódicos de tirada nacional compartieron la misma publicidad, del Banco Santander.
La UE, de momento, no ha decidido firmar el TTIP, pero Estados Unidos está metiendo prisa. ¿Cómo? Diciendo que si la UE no acepta, firmarán un pacto igual con Asia.
[url]https://es.noticias.yahoo.com/blogs/episodios-nacionales/%C2%BFpor-qu%C3%A9-se-oculta-a-la-sociedad-lo-que-es-el-ttip-153524939.html[/url] ([url]https://es.noticias.yahoo.com/blogs/episodios-nacionales/%C2%BFpor-qu%C3%A9-se-oculta-a-la-sociedad-lo-que-es-el-ttip-153524939.html[/url])
Yo estoy informado gracias a ustedes.
Y a pesar de ello no sé si estoy en contra o a favor.
"Protecting public services in TTIP and other EU trade agreements....
Monopolies – if they wish, EU governments can organise public services so that just one supplier provides the service. This is what economists call a 'monopoly'. The single supplier can be:And it can operate at any level – nationally, regionally or locally."
- publicly owned – in other words, a 'public monopoly'
- a private firm with the exclusive right to offer a particular service.
Si no sabemos nada.¿Tu has votado la empresa que se encarga de la gestión de residuos en tu ciudad? :roto2:
Pero habemos votao!!!
Para eso están los políticos, y los directores de banco, los gestores, efectivamente.
Para eso debería existir un debate político entre gente que sí se hubiera leído esos 5000 folios, para que me puedan contar lo que opinan de ellos, unos y otros. El asunto es que los 5000 folios están bajo llave.
En respuesta al lobby que está haciendo EEUU
Movilización europea contra el recortazo que supondrá el tratado comercial con EEUU
Se está preparando otra gran movilización en Europa, junto a una campaña para recoger otro millón de firmas, en contra del tratado de libre comercio con EEUU, que puede poner en peligro el Estado de Bienestar europeo.
Sindicalistas, ecologistas, economistas, partidos de izquierda y decenas de asociaciones y organizaciones diversas -como Attac- están preparando otra campaña para recoger firmas más y una gran movilización en toda Europa para contrarrestar el lobby ejercido por Estados Unidos para acelerar la conclusión del Tratado Transatlántico de Comercio e Inversiones (TTIP, en sus siglas en inglés) que se está negociando en Bruselas. La idea es entregar a la Comisión Europea otro millón de firmas como las que ya se entregaron a finales de 2014.
Esta nueva ofensiva, centralizada en España a través de la “Campaña no al TTIP”, se va a lanzar a la vista de cómo en todas las embajadas norteamericanas en las capitales europeas han movilizado a sus diplomáticos para que expliquen a la ciudanía las excelencias de este tratado de libre comercio.
Desde julio de 2013, el Departamento de Comercio de Estados Unidos y la Comisión Europea están negociando en secreto un tratado de libre comercio que, de aprobarse en los términos ahora conocidos, podría terminar en Europa con el Estado de Bienestar tal y como lo conocemos. Según los datos que se han filtrado –el secretismo es total-, Estados Unidos y la Comisión discuten la privatización de servicios públicos como la sanidad, la educación y las pensiones, y plantean rebajar la mayoría de los derechos laborales existentes bajo el argumento de que hay que parar a los países BRICS (Brasil, Rusia, India, China y Sudáfrica) que nos están ‘invadiendo’, comercialmente hablando.
En definitiva, que la Unión Europea (UE) está dispuesta a liberalizar los servicios públicos de sus Estados miembros y a abrir a las multinacionales norteamericanas las puertas de un mercado único de 800 millones de personas. El tratado deberá aprobarse en este año de 2015, de ahí la campaña de lobby que Estados Unidos y la propia Comisión han puesto en marcha para ir preparando a la ciudadanía europea.
Los sindicatos europeos alertan: peligra el Estado de Bienestar
El contenido de los documentos pudo ser conocido hace unos meses porque la Federación Europea de Sindicatos de Servicios Públicos (EPSU), que incluye a 265 sindicatos de 8 millones de trabajadores de servicios públicos, los recibió de fuentes gubernamentales y los filtró convenientemente. Así se ha podido poner en marcha la campaña “No al Tratado Transatlántico de Comercio e Inversiones” (#NoalTTIP), ante la opacidad reinante en estas negociaciones.
Según el análisis realizado por Attac, Ecologistas en Acción y otras organizaciones, el TTIP en su actual nivel de negociación tendría en síntesis las siguientes consecuencias:
Se eliminan las normas reguladoras y las barreras reglamentarias que reducen los beneficios de las grandes corporaciones transnacionales. El objetivo es crear un mercado libre para los inversores en Estados Unidos y la Unión Europea y dar a las grandes empresas transnacionales todo el poder, incluso por encima del poder de los Estados.
Creación de un Consejo de Compensación Regulatoria que daría a las empresas el poder de escoger y eliminar las normativas, recibir notificación de las nuevas propuestas de normativas antes de que sean aprobadas y la potestad de eliminar las restricciones que piensen que les pueden perjudicar.
Se quieren relajar o eliminar las normas que pueden suponer una restricción o barrera para la libre inversión de las grandes empresas. Por ejemplo, en Estados Unidos, tras la crisis, se estableció la llamada regla Volcker, similar a la Ley Glass-Steagall (establecida en 1933 tras la crisis de 1929 y abolida por la Administración Clinton en 1999), que regula la actividad de la banca comercial o de depósito: esta norma o regla prohíbe la comercialización de productos derivados tóxicos, limita los bancos too big to fail (demasiados grandes para dejarlo caer y que, por tanto, hay que rescatar con dinero público) y establece algunas regulaciones a las transacciones financieras. En Europa esta regulación no existe y los lobbies de la City y el Gobierno alemán en nombre del sector bancario están presionando para eliminar la normativa estadounidense y suprimir cualquier tipo de restricción o regulación a la actividad de la banca financiera o de inversiones.
Eliminación de la legislación sobre consumo europea, mucho más garantista que la estadounidense. Esto significa que podrán llegar a los supermercados europeos infinidad de productos alimenticios que, por ejemplo, podrían contener ingredientes genéticamente modificados, hoy prohibidos en Europa.
Se favorece la deslocalización y relaja las normativas laborales. El hecho poco conocido es que Estados Unidos solo ha ratificado dos de las ocho normas fundamentales de la Organización Internacional del Trabajo (OIT) y que la “armonización” USA-UE se hará sobre el mínimo común denominador: restringe el derecho de huelga y cualquier reforma futura encaminada a mejorar las condiciones de empleo podrá ser objeto de demandas de indemnización por parte de las empresas.
Los servicios públicos serán víctimas de privatización. La educación, la sanidad, el transporte, las pensiones… todo será objeto de negocio para las grandes empresas.
Se pondría en marcha un denominado Investor State Dispute Settlement (ISDS o Mecanismo de Resolución de Conflictos entre inversores y Estados), un mecanismo tan peligroso que permitiría a las grandes corporaciones y empresas denunciar a los gobiernos locales, regionales y estatales cuando consideren que una norma emitida por cualquiera de ellos puede restringir o limitar sus ganancias presentes o futuras. Se propone la existencia de tribunales especiales, formados por tres abogados privados, al margen de cualquier tribunal estatal o internacional, al que solo podrán recurrir los inversores y sus fallos serán inapelables.
El peligro es tan grave, que las organizaciones agrupadas en torno al #TTIPnoGracias avisan que en la lista de ofertas en las negociaciones sobre servicios se extenderá a otras esferas, como la concesión de licencias para centros de cuidados de salud, la acreditación universitaria y escolar, el suministro municipal de agua, las instalaciones de eliminación de residuos, las centrales eléctricas y las licencias de radiodifusión, entre otros. Y, por si fuera poco, las pequeñas y medianas empresas quedarían laminadas por completo.
¿Qué lobbies manejan los hilos del TTIP?
([url]http://www.lamarea.com/wp-content/uploads/2015/02/ttip-e1423126937680-680x365.jpg[/url])
Un grupo de activistas entregaron una iniciativa contra el TTIP firmada por más de un millón de personas / Friends of the Earth Europe.
El tratado de libre comercio (TTIP) entre la Unión Europea y Estados Unidos sigue forjándose en lo más oscuro de las instituciones de ambos lados del Atlántico. El pasado 2 de febrero comenzaron las octavas jornadas de su negociaciones en Bruselas, que durarán hasta el 8 del mismo mes. Mientras la opinión pública empieza a ver las orejas del lobby, grupos de presión, think tanks o firmas de abogados y relaciones públicas al servicio del poder privado llevan dos años moviendo en la sombra los hilos de un tratado que afectara a millones de personas.
Durante la preparación de las negociaciones entre finales de 2012 y principios de 2013 , el Departamento de Comercio de la Comisión Europea fue presionado por 298 “partes interesadas”, de las cuales 269 correspondían al sector privado. Además, el 92% de las reuniones que la Comisión tuvo a puerta cerrada fue con corporaciones de presión empresariales. Esto deja en 26 los encuentros con grupos de interés público y significa que por cada cita con un sindicato o conjunto de consumidores se producían 20 con empresas y federaciones industriales. Así lo denunció el pasado verano el Corporate Europe Observatory. También, que los 25 grupos que más presionaron correspondían a lobbies de la industria.
Agrupadas bajo “organizaciones paraguas”, las compañías más poderosas del planeta presionan a los poderes políticos para asegurarse de que sus polémicos intereses no se vean afectados. Desde el ACEA, grupo del sector automovilístico que representa a BMW, Ford, Renault, Volskwagen y otras muchas -cuyas acciones de lobby no han pasado desapercibidas- hasta el CEFIC, el conglomerado de farmacéuticas donde se esconden laboratorios como BASF o Bayer.
Pero sin duda, BusinessEurope (federación de empleadores) y la Mesa Redonda Europea de Industriales son los lobbies más fuertes de la Unión Europea. Esta última fue fundada en 1983 para influir en políticas que favorecieran cada vez más a las grandes empresas transnacionales. Suyos son los éxitos del Mercado Único, las Redes Transeuropeas o algunos aspectos clave del Tratado de Maastricht, donde ya en 1991 dejó sus huellas sobre las bases de lo que sería en el futuro la Unión Económica y Monetaria.
Este grupo de presión industrial, actualmente presidido por el CEO de la compañía de gas francesa Air Liquide, engloba a los magnates de las multinacionales europeas más importantes. Entre sus selectas filas hay cuatro españoles: Cesar Alierta (Telefónica), Pablo Isla (Inditex), Antonio Brufau (Repsol) e Ignacio S. Galán (Iberdrola). A diferencia de la mayoría de grupos de presión en Bruselas, la ERT (por sus sigas en inglés) no hace lobby en detalles legislativos, sino que gracias a su libre acceso a comisarios y parlamentarios centra la influencia en llenar la agenda de la UE con proyectos favorables a la globalización, y por tanto, a las multinacionales.
También en América, compañías que engloban a Apple, Blackberry, Microsfot o IBM presionan con el nombre de Digital Europe :roto2:para lograr sus fines. Especial mención merece la potente maquinaria americana de lobby que la Cámara de Comercio de EEUU ejerce sobre el TTIP. Sólo en 2014, su gasto en cabildeo ascendió a 124 millones de dólares. En su sede en España (AmCham) hemos podido ver a lo largo del último año a todo el establishment español. Monsanto, McDonald’s o Procter & Gamble son los representados de este gigante americano que también trabaja estrechamente con la ERT en los temas que más interesan a sus miembros, ahora, el Tratado de Libre Comercio.
Pero si hay una industria que se ha esforzado en influir a políticos europeos y americanos, esa es la agroindustrial. De las 560 reuniones con la Dirección General de Comercio que se han llevado a cabo, este sector ha protagonizado 113. Más encuentros que el lobby farmacéutico, médico, financiero y automovilístico juntos. “Se trata de tirar hacia abajo los derechos laborales, ambientales y supeditar la democracia al comercio para abaratar el precio de sus productos y servicios”, afirma sobre este sector a La Marea el portavoz de Equo, Florent Marcellesi, desde Bruselas.
Las reuniones secretas de los grupos de presión
El 82% de los encuentros celebradas por la Dirección General de Agricultura son con lobbies agroindustriales de gran alcance, que como Cargill o la Asociación Americana de la Soja poseen documentados antecedentes en la lucha contra la seguridad y sostenibilidad del medioambiente. Desde presionar en contra de los etiquetados de alimentos favorables al consumidor hasta cabildear en contra de la prohibición de pesticidas dañinos con la naturaleza. “El hecho de que la Comisión Europea trabajara de manera tan estrecha con estos agresivos grupos mientras preparaba las negociaciones del TTIP es una buena razón para preocuparse acerca del futuro que le espera a la naturaleza”, afirma Marcellesi.
En función del grupo de presión, las políticas del tratado internacional sobre las que se quiere influir varían, pero el objetivo final de todos estos lobbies es la “cooperación normativa”. Un concepto de sonido inocente que propone alejar los asuntos más contenciosos del TTIP del examen público, ya que sólo se discutirían una vez firmado el tratado, mediante pactos secretos y acuerdos a puerta cerrada. Los parlamentos nacionales y las instituciones electas no podrán intervenir plenamente, y se limitará peligrosamente el debate público.
Diversas organizaciones contrarias al tratado avisan de que cualquier intento futuro de establecer medidas más sostenibles y favorables a los derechos laborales serán desestimadas por las multinacionales como una “barrera contra el comercio”. Las corporaciones empresariales más fuertes -denuncian- han estado presionando para incorporar este idílico escenario incluso antes de que las negociaciones comenzaran. Así lo muestran la filtración de diversas cartas remitidas a la Comisión Europea por BussinesEurope o US Chamber of Commerce (Cámara de Comercio de EEUU).
Otro problema que destacan los opositores del TTIP es que muchos lobbies ni siquiera están inscritos en el registro de transparencia europea, concretamente, más del 30% de los sectores privados que han presionado a la Dirección General de Comercio durante el inicio de las negociaciones: 94 empresas, entre las que encontramos nombres como Walmart, Walt Disney, General Motors o France Telecom.
Un caso concreto de esta opacidad es el que ha llevado a varias organizaciones a presentar una denuncia contra Goldman Sachs. En el Registro de Transparencia Europea, el gasto en representación ante instituciones europeas que esta compañía declara es de 50.000 euros, una cantidad muy baja teniendo en cuenta que en Estados Unidos refleja una inversión en este aspecto 58 veces mayor. Las ONG denunciantes también alegan que el importe que se declara en este registro no cuadra con el que reflejan las firmas de relaciones públicas que le prestan servicio, ya que estas afirman haber recibido pagos de Goldman Sachs por un valor de más de 450.000 euros, una cantidad 9 veces superior a la que el banco de inversión dice gastar en lobby.
Filtraciones que delatan a las multinacionales
A la falta de conocimiento sobre quiénes se reúnen con los políticos europeos se suman las continuas filtraciones sobre oscuras demandas que los grupos de presión realizan. Los ejemplos van desde los documentos que ha publicado Filtra.la o Wikileaks, hasta el informe presentado por el Centro de Derecho Ambiental Internacional (CIEL) y ClientEarth, que muestra cómo una propuesta secreta de los lobbies químicos podría dañar la legislación protectora de productos tóxicos.
También, el hecho de no reflejar los temas que se tratan durante las reuniones entre lobbistas y políticos preocupa a las organizaciones de la sociedad civil. Durante el periodo inicial de negociaciones, sólo 5 de los 298 grupos indicaban los temas que se trataban en las reuniones.
Todo esto sucede mientras la Comisión Europea afirma que no hay “ningún secreto”. Las organizaciones, de nuevo, denuncian que no sólo hay un interés por no publicar la lista de reuniones con los lobbistas, sino que cuando son exigidas se envían con meses de retraso y con amplios signos de censura. Un ejemplo es la petición de información que Corporate Europe Observatory envió en abril de 2013 para obtener una visión general de los contactos que la Comisión había mantenido con la industria durante los preparativos del TTIP. Los documentos llegaron 14 meses después de la presentación de la solicitud (si bien el derecho de la UE requiere una respuesta en un plazo de 15 días laborables) y además, en los informes la Comisión había blanqueado o ennegrecido partes comprometidas. “Si la Comisión Europea se tomara en serio el cabildeo y la transparencia publicaría las listas de todas las reuniones con los grupos de presión en su sitio web”, critican desde el CEO.
La inexistencia de un debate público acerca del TTIP
En España pocos han sido los medios privados que han informado sobre el Tratado. De hecho, El Mundo sólo recoge en su hemeroteca 18 noticias relacionadas con el TTIP durante los dos años de negociación. En El País, durante los últimos dos meses sólo hay cuatro referencias: dos son cartas al director y otras dos son tribunas abiertas que reflejan las voces de sus partidarios, una de ellas la firman Miguel Arias Cañete, comisario europeo de Acción por el Clima y Energía :roto2:, y Cecilia Malmström, comisaria europea de Comercio.
La falta de conocimiento de la opinión pública nacional sobre las consecuencias de este polémico tratado, a pesar de las campañas de organizaciones contrarias a este, quedó en evidencia cuando la Comisión realizó una consulta sobre el criticado mecanismo de arbitraje entre Estados e Inversores (llamado ISDS). De las 150.000 respuestas ciudadanas recibidas, sólo el 2 por ciento venían de España.
“Cuanto más se informa al público de lo que está en juego con el TTIP, más impopular se vuelve el acuerdo, porque la gente entiende que tiene mucho que perder”, afirman desde el Corporate Europe Obsevatory en relación a la falta de información que hay en los medios sobre las consecuencias negativas de este tratado. Quizá sea por ello por lo que la Comisión Europea elaboró una estrategia de comunicación para “comunicar de manera adecuada” las ventajas del Tratado. En un documento filtrado se refleja el contexto del TTIP, los retos principales de su comunicación, así como los mensajes y objetivos sobre los que debe de girar el discurso de las partes interesadas en su firma.
Como afirma el Premio Nobel Paul Krugman en el New York Times. “Hay razones para apoyar este Tratado y razones para oponerse a él. Pero cuando la Cámara de Comercio de Estados Unidos hace de un acuerdo muy complicado su gran prioridad, y ofrece falsedades para justificarlo, deberíamos sospechar de que hay asuntos perversos ocultos en la letra pequeña”.
Lo mismo que hace tu ayuntamiento cuando contrata UNA empresa para la recogida de basuras, o contrata UNA empresa para la teleasistencia :roto2:De una vez por todas, deja de tomarnos por tontos, CHOSEN: contra el chino y el paquistaní no tenemos nada. Lo tenemos contra los que pretenden que traguemos con las condiciones laborales y los (nulos) derechos (laborales, de salud, medioambientales, libertades básicas) que sufren los paquistaníes y los chinos en nombre de la "libre competencia". Contra aquellos cuyas fortunas (a buen recaudo en cuentas numeradas en paraisos fiscales) salen de nuestra depauperación (y de la de los chinos y paquistaníes). Que contraten a los paquistanies ó chinos que quieran. Pero con las condiciones de aqui, y pagando los correspondientes impuestos por sus beneficios.
¿Que problema existe en que la empresa sea americana, chilena o alemana?
XENOFOBIA y NAZIONALISMO. Ese es el problema.
En la izquierda neodemocrática se creen que un blanco vale más que un paquistaní o un chino, y tiran piedras contra todo lo que venga de fuera. Con razón Syriza ha pactado con la ultraderecha antieuropea; son tal para cual.
Europa presa de la angustia y del espectro de la guerra
Europa, que la Unión europea (UE) considera representar, libra una doble guerra. Contra Grecia dentro de sus fronteras y contra Rusia en Ucrania, una situación que le está haciendo correr el riesgo de desfigurarla al punto de volverla irreconocible.
Una exposición realizada en Roma. « La era de la angustia: desde Cómodo hasta Dioclesiano » no podría ilustrar mejor, sin proponérselo, el espíritu de su tiempo. A los emperadores romanos les hubiera resultado difícil imaginar hasta que punto se están deteriorando las cosas bajo el gobierno de la UE. El cara a cara tan extremadamente tenso entre el jefe del eurogrupo Jeroen Dijsselbloem y el nuevo ministro griego de finanzas, Yanis Varoufakis, evidencia el alcance de ese enfrentamiento. La UE no aceptará medidas unilaterales de Grecia y Grecia no aceptara la continuidad de un plan de salvataje ni los dictados de la troika (UE, BCE, FMI).
El enfrentamiento ha entrado ya en la leyenda. Luego de que Varoufakis se mantuviera firme en su rechazo a discutir con la troika (terminado, el terrorismo económico), terminada la conferencia de prensa en Atenas, Dijsselbloem le deslizó ciertas palabras al oído, que los funcionarios griegos interpretaron como una réplica a la Pulp Fiction, [N. de T: « Pulp Fiction »(conocida en Latinoamérica como « Tiempos violentos ») es una película estadounidense de 1994 Pulp-Fiction dirigida por Quentin Tarantino), del tipo de « I’ma get medieval on your ass » (« me llamo mulo y hablando no podrás salvar tu culo »).
Estamos, por lo tanto, asistiendo a un duelo entre Atenas y los Dueños del Universo (división Europa) Los observadores independientes se verían tentados de ver aquí un Perseo posmoderno intentando decapitar la Medusa de la UE, un monstruo tan terrorífico que ningún ser vivo podría mirar a los ojos sin ser convertido en piedra.
La Medusa es actualmente la troika. La reina medusa Merkel y sus subalternos como el ministro de Finanzas Wolfgang Schaüble (no cederemos al chantaje) además de sus habitualmente grises burócratas sin rostro que nos arrojan sus dudosas metáforas homéricas (estamos atados al mástil de la confrontación) aumentando la presión sobre el rechazo de reducir la deuda. A continuación del enfrentamiento Dijsselbloem-Varoufakis, volvería la burocrática pesadilla de la Comisión europea (CE) tratando de proponer una alternativa viable tendiente a la restructuración de la deuda griega.
Syriza dice que quiere permanecer en la zona euro pero no a costa de recurrir a la austeridad para pagar una deuda griega aplastante. La pelota debería mantenerse en el campo de Bruselas aunque Dijsselboem diga lo contrario. La presión de la troika sobre Atenas para convencerla de honrar su deuda para no lamentarlo, sería prácticamente insoportable. Concretamente para reestructurar la deuda sería cuestión de realizar un montaje ultra-complejo, aumentar por parte de la UE la ayuda financiera a Atenas o eventualmente ambas soluciones.
La táctica de Perseo no debería ser la de matar la Medusa mientras duerme (los Dueños del Universo no duermen jamás) sino declarar más bien unilateralmente un default de pago por una parte de la deuda. Si fracasa la diplomacia, Bruselas deberá enconces imponer sanciones ( y de eso sabe mucho, basta con recordar a Irán y a Rusia) y últimamente, sacar a Grecia de la zona euro, opción nuclear a la que los Eurócratas temen más que a la peste negra. Por el momento el ministro alemán de economía Sigmar Gabriel solo compadrea poniendo en guardia al primer ministro griego Tsipras acerca de que la zona euro puede sobrevivir sin Grecia (No tenemos que inquietarnos como nos inquietábamos antes).
Sin embargo si Bruselas reconoce un default de pago, aunque fuere parcial, España, Portugal, Irlanda y muchos otros países de la UE que también se encuentran mal van a requerir a los gritos que ¡quieren un acuerdo similar!
Medusa se ha desencadenado y el endurecimiento de las medidas por las miles de serpientes surgidas de su troika alcanzará proporciones titánicas La próxima prueba de fuerza, se planteará durante la próxima cumbre de jefes de Estado de la UE a realizarse el 12 de febrero próximo. Bien le valdría al Perseo Tsipras que apronte con cuidado su escudo y su espada. ¿Vlad al rescate?
Un elemento crucial entre también en escena en esta versión replanteada de la Edad de la angustia: Rusia [1]
Moscú puede ir efectivamente al rescate de Atenas, una posibilidad que ya ha sido planteada. Todo el rollo de la prensa occidental sobre Grecia proponiendo la continuación de las sanciones impuestas contra los intereses rusos no son más que tonterías.
He aquí la puesta en contexto que se impone, según Yanis Varoufakis [2] : Grecia no ha sido ni siquiera consultada acerca de esta decisión. Otro clavo hundido en el suntuoso ataúd de las supuestas prácticas democráticas de la UE. No esperen ustedes que las frágiles marionetas de la UE que se creen jefes de Estado y que deben su prestigio a su vasallaje al Imperio del amnésico Caos cultiven la memoria histórica. Lo que nos conduce a Ucrania.
Ucrania ha formado parte de Rusia durantes tres siglos, es decir mucho más tiempo que Texas y California lo han sido de los EEUU. El abandono de Ucrania por parte de Rusia, luego del desmantelamiento de la URSS, no cuenta como precedente histórico [3] para justificar el golpe de estado de Maidan, los miles de millones de dólares dedicados a la subversión interna y el subsiguiente acaparamiento de Ucrania por parte de las multinacionales de los EEUU, Alemania y la City de Londres. Sin olvidar que toda esta saga se apoya ante todo y continuará siendo apoyada por el interés a ampliarse de la OTAN.
¿Creen ustedes que Washington toleraría la presencia de misiles de crucero nucleares rusos en sus primeras líneas de defensa estratégica como lo son sus fronteras con Canadá y México? Eso sería con seguridad la invasión del Imperio del Caos.
Ucrania constituye y sigue siendo para Rusia una primera línea de defensa estratégica, algo que siempre han sabido Washington y Bruselas.
Lentamente pero con firmeza, Moscú comienza a responder a la guerra financiera y económica que le libran los Dueños del Universo. Moscú ha comprendido finalmente (y con dolor) que los verdaderos Dueños del Universo son los que controlan los créditos de los bancos centrales. La idea de querer que un banco central constituya un instrumento independiente es pura ficción. Los bancos centrales son deudores de los grupos bancarios privados.
Sobre el tablero militar las cosas también se complican, debido a que Moscú podría vender a Damasco y a Teherán sistemas de defensa antimisiles S-300.
Ya lo ha dicho públicamente el jefe del estado mayor del ejército ruso, el general Valery Gerasimov, que moscú va a responder inmediatamente a cualquier despliegue de defensas antimisiles estaounidenses que violen el Tratado START III y el tratado sobre fuerzas nucleares de porte intermedio. Los analistas del Pentágono saben muy bien que los sistemas armamentísticos rusos son superiores a los sistemas de defensa antimisiles de los EEUU.
En el caso en que las marionetas de Washington y Bruselas no lo hubieran comprendido aún, tienen también el sistema de defensa antimisiles S-500 digno de la Guerra de las Galaxias que estaría operativo en 2017 o aún antes. Los misiles del S-500 que se desplazan a una velocidad de 24.913 km/h y que tienen un alcance de 3.500km son capaces de abatir cualquier misil balístico intercontinental que Washington pudiera lanzar contra Rusia. En síntesis el espacio aéreo ruso está protegido contra todo misil balístico intercontinental desde los EEUU portador de ojivas nucleares.
Contrariamente a lo que sucede en el Imperio del Caos que arroja a lo bruto sanciones que fracasan desde un dron, Rusia habla con mayor fuerza, pasando a la acción con paciencia y discreción, asiáticas y propias cualidades. Mientras que los atques contra el petróleo, el rublo y los productos derivados amenazan la misma existencia rusa sus dirigentes de preparan silenciosamente para lo peor.
Gorbachov que sabe de lo que habla cuando se trata de guerra fría tiene razón cuando dice que si Washington persiste en su locura las cosas pueden llegar a volverse graves para Europa que podrá encontrarse entre dos fuegos [4].
Soñar con otra UE
Algo que nos conduce nuevamente a Roma. Podríamos soñar si mucho esfuerzo en una UE sustituta, una UE romana centrada en el eje Roma-Atenas-Estambul más que sobre el eje Bruselas-Francfort-Estrasburgo. El actual centro de la UE se halla en el corazón mismo del imperio de los Francos de los siglos VIII al IX. Fue Carlomagno, según algunas corrientes del pensamiento histórico, el primer emperador que intentó unificar a Europa. Algunas otras corrientes del pensamiento se remontan aún más lejos, cuando la fuerza bruta germánica fue puesta a la luz de la cultura y el refinamiento galo-romanos.
Yo debería más bien seguir el ejemplo de Gibbon, quién mientras meditaba sentado en el Capitolio (que punto de vista fabuloso) en una hermosa tarde de octubre de 1764 (hice algo similar esta semana) en ocasión de un serio peregrinaje por las ruinas romanas decidió escribir su Historia de la Decadencia y Caída del Imperio Romano que describe la disolución de un mundo que estaba literalmente construido en piedra.
Como lo ha descrito tan brillantemente Bryan Ward-Perkins de Oxford, en los más profundos niveles de su siquis Europa teme que como le sucedió su derrumbe a Roma, también las más magnificas civilizaciones modernas pueden correr suerte similar. Pero todos sabemos que la UE actual presa de los estragos de los eurócratas no electos que detestan a Grecia, que se montan a Rusia que se revuelcan en el cenagal adonde los conduce su vasallaje al Imperio del Caos y que tratan a la mayor parte de sus ciudadanos ultra cargados de impuestos como basuras, es cualquier cosa menos magnífica.
Original : « Europe Slouching Towards anxiety & war »
[url]http://iniciativadebate.org/2015/02/06/europa-presa-de-la-angustia-y-del-espectro-de-la-guerra/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/02/06/europa-presa-de-la-angustia-y-del-espectro-de-la-guerra/[/url])
Me pregunto una cosa.
Si mañana la gente que vive en China, Pakistán, India, los inmigrantes en Emiratos o Arabia saudí, los maquiladores de Méjico, los pescadores de Perú, los mineros de Chile o Ucrania, los de los astilleros coreanos...y otros muchos millones, consiguiesen que les pagásemos por su trabajo lo que consideramos lineas rojas en España (no hablo de Suecia o Finlandia). ¿No creen que no tendríamos con que hacerlo?.
Podríamos soñar si mucho esfuerzo en una UE sustituta, una UE romana centrada en el eje Roma-Atenas-Estambul
De una vez por todas, deja de tomarnos por tontos, CHOSEN: contra el chino y el paquistaní no tenemos nada. Lo tenemos contra los que pretenden que traguemos con las condiciones laborales [...] que sufren los paquistaníes y los chinos en nombre de la "libre competencia".
Contra aquellos cuyas fortunas (a buen recaudo en cuentas numeradas en paraisos fiscales) salen de nuestra depauperación (y de la de los chinos y paquistaníes). Que contraten a los paquistanies ó chinos que quieran. Pero con las condiciones de aqui, y pagando los correspondientes impuestos por sus beneficios.
Me parece que al que hay que explicarle como funciona el mundo moderno es a tí.
De una vez por todas, deja de tomarnos por tontos, CHOSEN: contra el chino y el paquistaní no tenemos nada. Lo tenemos contra los que pretenden que traguemos con las condiciones laborales [...] que sufren los paquistaníes y los chinos en nombre de la "libre competencia".
A ver, porque esto se ha explicado mil veces y todavía seguís haciendoos los sordos soltando eslóganes baratos. (maximum trolling detected: you fail)
3 puntos:
- Los chinos TIENEN DERECHO a ir a trabajar en coche.
- El petróleo es limitado, y quien lo extrae se lo vende al que mas le paga.
- Si el chino aumenta su poder adquisitivo, él irá a su trabajo en coche mientras el parado español tendrá que vender su seat león.
El español no podrá pagar gasolina si paga 400 euros de alquiler por su pisito. (plas,plas,plas,plas 100% agree, ahora ve más allá: ¿qué se debe hacer al respecto?)
No hay mas.
Me hace gracia tu argumentación "al revés", porque aqui el rico ERES TU.(buen intento pero sofisma y no cuela: posiblemente tenemos mucho más en comun con el chino o el paquistaní que con los amos del mundo cuyas decisiones afectan a nuestros destinos) El pobre está peleando para poder comprar TU litro de gasolina y que tu te quedes sin él. Ese es el problema. (en efecto, ese es el problema, las élites globales -esas que tu dices que no existen-y sus organizaciones han conseguido que los pobres acabemos peleándonos entre nosotros por ver quien es capaz de trabajar más horas por menos dinero, mientras ellos con sus estructuras societarias, financieras y legales escapan a todo control y tienen cada vez más beneficios) Mientras el dinerito de los españolitos se marcha en pagar el alquiler o hipoteca (correcto, y sin embargo estais en contra de la PAH, a favor de la insoportable ley hipotecaria española -declarada ilegal por Europa- y demás, es un poco esquizofrénico esto) no queda renta para otras cosas (restaurantes, cine, coches, viajes...)
Sin embargo hablas de ricos y pobres con desahogo. Como si no fuera contigo.CitarContra aquellos cuyas fortunas (a buen recaudo en cuentas numeradas en paraisos fiscales) salen de nuestra depauperación (y de la de los chinos y paquistaníes). Que contraten a los paquistanies ó chinos que quieran. Pero con las condiciones de aqui, y pagando los correspondientes impuestos por sus beneficios.
Me parece que al que hay que explicarle como funciona el mundo moderno es a tí.
¿Ves a lo que me refiero?
Quieres competir en el mundo obligando a otros países a cambiar su legislación :roto2:(incorrecto: son precisamente las multinacionales -sus dueños y directivos- las que hacen esto)
Y lo quieres hacer con florecillas. (maximum trolling, once again)
Los chinos están en China. Y trabajan en China. Quieres controlar los beneficios de las empresas chinas ¿? No: quiero que se controle qué venden aqui las empresas chinas, o de cualquier país, si sus productos y servicios respetan la normativa sobre seguridad y los derechos de los consumidores, si contienen productos tóxicos, si sus procesos de producción respetan el medio ambiente, si respetan los derechos humanos de las personas a las que explotan, y de las poblaciones a las que afectan, y que dichas empresas paguen los mismos impuestos que las locales por los beneficios que obtienen aqui de vender sus productos, y eso puede hacerse perfectamente con legislación hecha aquí, para eso existen aranceles, permisos de importación, etc..., como te acabo de recordar más arriba -no hace falta que te lo vuelva a explicar porque lo sabes perfectamente- son las empresas multinacionales los que obligan a los paises a cambiar sus legislaciones para poder quitarse de encima todos estos límites, maximizar su lucro y externalizar todos los costes posibles) :roto2: Es que todo tu argumento orbita en torno al despropósito.(¿seguro? desproposito es creer que la única ley válida es la del máximo lucro y que el mercado se autorregula y resuelve todos los problemas porque si una empresa causa problemas nadie comprará sus productos) Es pura soflama comunistoide para regar los oídos de aquellos que están perdiendo su capacidad de consumo. (de nuevo intentas trolearme y no voy a entrar a tu trapo: no es así y además lo sabes, yo podría decir -y mi argumento tendría la misma validez que el tuyo- de tu discurso que es pura soflama liberaloide para justificar lo injustificable, pero discutir en esos terminos no lleva a ningún sitio a donde queramos ir, y sinceramente no creo que sea esa tu intención si te tomas tanto trabajo en contestar)
¿Que mas da que Bárcenas tenga 50 millones de euros en Suiza? (¿a tí te da igual?¿en serio esperas que nos lo creamos?¿tal vez ese dinero no es -en parte- tuyo ó no ha salido de degradar algún servicio público?)
Ese dinero lo está utilizando el banco suizo para invertir en una fábrica de HongKong que fabrica remaches de aluminio.(hombre claro, o en cualquier otra cosa, vete tú a saber: en sobornar a políticos, en financiar guerras, en derrocar algún gobierno díscolo, en construir pozos petrolíferos en Nigeria ó en comprar latifundios en el Amazonas, en construir algún Cástor ó algún hotel Algarrobico... posiblemente en lo que sea más lucrativo de todo ello para los inversores, seguramente los remaches, seguramente....¿pero qué digo?, ay perdón, todo esto solo es demagogia populista y una soflama comunistoide... :biggrin: :troll: )
¿Tu te crees que el banco tiene una bóveda con miles de biletes guardado cogiendo polillas? :roto2:(hombre, claro y dentro está el tío Gilito -vale, Botín- que se da baños en su piscina de monedas¿no?, jeje.. :biggrin:)
Es que no teneis ni idea de como funciona el sistema.
El dinero que "está fuera" está invertido, tal vez incluso en la propia Ford de Almussafes.
Es que joder, en eso consiste el coeficiente de caja!!! El banco no tiene el dinero "fisico" :roto2:
Son cosas tan obvias que me sorprende tener que explicarlas otra vez (a ti que llevas muchos años de forero).
“Una bomba a punto de estallar en la UE”: Grecia planea salir de la OTAN
El nuevo primer ministro griego, Alexis Tsipras, cuenta con un plan secreto que tiene que ver con la salida de Grecia de la Alianza del Atlántico Norte (OTAN), lo que cambiaría el curso del juego geopolítico internacional, afirman medios italianos.
Según el periódico ‘Il Giornale‘, entre los programas de Syriza se encuentra “una bomba a punto de estallar en el escenario geopolítico internacional”, debido al cierre de “todas las bases militares extranjeras en Grecia y abandonar la OTAN”.
“La decisión griega de decir adiós a la Alianza tendrá muchas repercusiones en el escenario internacional. Las bases de la OTAN asentadas en territorio griego son de gran importancia militar y estratégica” para la Organización, y “Atenas es su socio clave en el Mediterráneo“, señala el diario.
En caso de que Tsipras concrete este plan, es probable “que acabemos teniendo una pequeña Cuba justo en las puertas de nuestra casa“, agrega el diario. Pero el programa de Syriza incluiría también otras “medidas aún más arriesgadas” como: la retirada de las tropas griegas de Afganistán y los Balcanes, la abolición de los acuerdos de cooperación militar con Israel o apoyar la creación de un Estado palestino respetando las fronteras de 1967.
“En pocas palabras todos estos movimientos demuestran el deseo de Atenas de desmarcarse de las políticas de Occidente. En paralelo va a nacer un nuevo eje de cooperación entre Grecia y Rusia“, finaliza el periódico.
[url]http://iniciativadebate.org/2015/02/07/una-bomba-a-punto-de-estallar-en-la-ue-grecia-planea-salir-de-la-otan/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/02/07/una-bomba-a-punto-de-estallar-en-la-ue-grecia-planea-salir-de-la-otan/[/url])
Tsipras el que sonríe.[url]http://info-grecia.com/2015/02/07/bild-porque-sonrie-tsipras/[/url] ([url]http://info-grecia.com/2015/02/07/bild-porque-sonrie-tsipras/[/url])
(Quiero añadir que soy muy escéptico acerca de la salud mental de quienes, incluso en este foro, protestan regularmente contra la experiencia Europa y razonan sistemáticamente sobre los problemas en clave Nacional. Porque gran parte del edificio juridico de protección social, laboral, de sanidad, está jurídicamente tutelado por Europa, amén de que todo el edificio economico ya sea Europeo. Si esa Europa de los derechos desaparece, hay que entender que esos derechos sociales y ciudadanos no "se restituirán", sino que desaparecerán al mismo tiempo que la Tutela europea. Sólo se mantendrán las normas y la integración economica que ya garantizan el libre mercado, y los derechos sociales nacionales se volverán a reescribir desde cero, bajo una presión economica brutal, y bajo supervisión o dictado directo de las empresas europeas. Será como si volviéramos a la situación social de principios del XIXe, (1815, Viena, fin de la etapa Napoleón) con grandilocuentes derechos humanos, pero ningún aparato juridico y admnistrativo y sindical/laboral para hacerlos aplicar. En la práctica serán imposibles de hacer respetar para el 99% de la población. Hasta la Comuna de 1871 y la II internacional, se necesitaron casi 90 años de salvajadas y hostias permanentes. Aunque con la Web se vaya más rápido, los que aqui escribimos, nos moriremos añorando los derechos de los que gozábamos al nacer. Derechos que para entonces, nuestros nietos no sabrán ni qué significan y tendrán que reinventar.)
De todas maneras, CHOSEN, ¿el tratado con EEUU es para que los Pakistaníes vivan mejor?
España, Grecia y Alemania. No es un conflicto de naciones, sino de clases y sectores económicos
Michael Pettis explica la eurocrisis (y muchas otras cosas)
Matthew C. Klein | Financial Times | 06/02/2015
“Tengo mis dudas a la hora de introducir aquí lo que podría parecer pura guerra de clases, pero si ustedes distinguen entre quienes más se beneficiaron de las políticas europeas antes de la crisis y quienes se beneficiaron menos (aquellos, precisamente, de los que se espera ahora que paguen el grueso de los costes del ajuste), lo que se ve es que no se trata de un conflicto entre alemanes y españoles: mucho más ajustado a la verdad es verlo como un conflicto entre la elite del mundo de los negocios y de las finanzas (junto con los altos funcionarios de la UE), por un lado, y los trabajadores y las clases medias ahorradoras, por el otro. En otras palabras: se trata de un conflicto entre grupos económicos, no de un conflicto nacional, aun cuando resulta harto difícil evitar que acabe convirtiéndose en un conflicto nacional.”
“Una cantidad terriblemente grande de europeos entiende la crisis primariamente en términos de diferencias de caracteres nacionales, virtudes económicas y lucha moral entre la prudencia y la irresponsabilidad. Esta interpretación resulta intuitivamente atractiva, pero es poco menos que absolutamente falsa. Y puesto que el coste de la salvación de Europa es la condonación de la deuda, y puesto que Europa debe decidir si éste es un coste que vale la pena –yo creo que sí—, en la medida en que le crisis europea es vista como una pugna entre países prudentes y países irresponsables, parece muy improbable que los europeos estén dispuestos a pagar el coste.”
ESTE texto de Michael Pettis es, literalmente, el mejor análisis que yo haya leído de los problemas de la Eurozona. Tómense su tiempo para estudiarlo por sí mismos.
Entretanto, lo que haremos aquí será darle cierto valor añadido subrayando y ampliando los puntos que creemos más iluminadores e importantes del análisis de Pettis.
Las unidades relevantes en la Eurozona no son las naciones, sino los sectores económicos y las clases sociales
PRIMERO: las unidades relevantes en la Eurozona no son los países, sino los sectores económicos. A despecho de todo el sufrimiento registrado en sitios como España, Irlanda y Grecia, no deberíamos olvidar que los trabajadores alemanes han sufrido lo suyo a causa del estancamiento salarial y la degradación de las infraestructuras alemanas.
Uno de los peores costes –para Alemania— ha sido la falta de crecimiento de su productividad. Si dejamos de lado la cháchara gacetillera sobre la competitividad teutónica, lo cierto es que la productividad del trabajo en Alemania ha crecido al magro ritmo de sólo un 0,6% anual, de promedio, desde 1998. El producto por hora trabajada es, en realidad, más bajo ahora que en 2007. Visto en perspectiva, este registro es peor que el de prácticamente cualquier otro país, ¡incluidas Grecia y España!
([url]http://iniciativadebate.org/wp-content/uploads/2015/02/OECD-avg-labor-prod-growth-1998-20141.png[/url])
(Fuente: Organisation for Economic Co-operation and Development, cálculos del autor)
La distinción, correcta, así pues, no es la que se da entre países, sino entre clases:
“No fue el pueblo alemán quien prestó dinero al pueblo español. Las políticas desarrolladas por Berlín, que redundaron en una gigantesca transformación de la balanza alemana por cuenta corriente –del déficit de los 90 al superávit de la década de 2000—, se impusieron con un coste para los trabajadores alemanes, y esas políticas han sido parcialmente responsables del crecimiento extremadamente bajo de la productividad laboral alemana. El grueso del crecimiento alemán antes de la crisis puede explicarse por el cambio en su balanza por cuenta corriente, no por una productividad creciente.
“Además, puesto que los flujos de capital desde Alemania hacia España garantizaban que la inflación española excedía la inflación alemana, los tipos crediticios que podían haber sido ‘razonables’ en Alemania resultaban extremadamente bajos en España, tal vez incluso negativos en términos reales. Dada la oferta, por parte de bancos alemanes, españoles y de otros países, de cantidades prácticamente ilimitadas de crédito extremadamente barato a todos los prestatarios en España, el hecho de que algunos de esos prestatarios fueran terriblemente ‘irresponsables’ no fue una ‘elección’ española.
“Tengo mis dudas a la hora de introducir aquí lo que podría parecer pura guerra de clases, pero si ustedes distinguen entre quienes más se beneficiaron de las políticas europeas antes de la crisis y quienes se beneficiaron menos (aquellos, precisamente, de los que se espera ahora que paguen el grueso de los costes del ajuste), lo que se ve es que no se trata de un conflicto entre alemanes y españoles: mucho más ajustado a la verdad es verlo como un conflicto entre la elite del mundo de los negocios y de las finanzas (junto con los altos funcionarios de la UE), por un lado, y los trabajadores y las clases medias ahorradoras, por el otro. En otras palabras: se trata de un conflicto entre grupos económicos, no de un conflicto nacional, aun cuando resulta harto difícil evitar que acabe convirtiéndose en un conflicto nacional.”
Irónicamente (hasta ahora), los beneficiarios políticos de la crisis no han sido los socialistas paneuropeos, sino los movimientos nacionalistas, de derecha y de izquierda.
Cuando se trata de enormes flujos de capital a través de fronteras, normalmente es mejor dar que recibir
SEGUNDO, cuando se trata de enormes flujos de capital a través de fronteras, normalmente es mejor dar que recibir. El problema básico es que los grandes flujos de capital ingresado casi nunca se ven correspondidos con grandes incrementos del número de proyectos de inversión rentable, de modo que un montón de dinero se despilfarra en mamarrachadas derrochadoras, normalmente relacionadas con los bienes raíces. Lo que termina disparando los salarios sin acrecer la productividad. Eso mema la competitividad y empeora la balanza comercial, lo que, a su vez, dificulta el servicio de la deuda exterior precisamente cuando se acumulan las obligaciones.
(Tomar préstamos en una moneda que tú mismo puedes imprimir sirve de ayuda, pero tampoco previene la mala asignación de un montón de recursos, ni evita que mucha gente termine con cargas de deuda excesivas.)
Es paradigmáticamente fácil percatarse de cómo se combina todo esto atendiendo al caso de España. De acuerdo con Eurostat, un asombrosamente grande 20 por ciento de todos los empleos creados en España entre 1998 y 2007 fueron puestos de trabajo en el sector de la construcción, siendo así que ese sector no representaba sino poco más que el 10 por ciento del empleo total en 1998. Resultado: crecimiento cero de la productividad laboral en ese período. (El sector de la construcción es bien conocido por su decreciente productividad, como Cardiff ha observado.)
Observen ahora qué pasó con las importaciones de capital en España comparando su balanza por cuenta corriente con su PIB total:
([url]http://iniciativadebate.org/wp-content/uploads/2015/02/Spain-current-account-as-a-share-of-world-GDP.png[/url])
Fuente: International Monetary Fund World Economic Outlook database on GDPand current account balances, según mis cálculos)
En el momento culminante de la burbuja, España –una economía de tamaño medio con sólo 45 millones de habitantes— estaba importando más capital que cualquier otro país en el mundo, salvo los EEUU. Obsérvese también que Grecia –un país con sólo 11 millones de habitantes— era el quinto país más dependiente de los acreedores extranjeros:
([url]http://iniciativadebate.org/wp-content/uploads/2015/02/Biggest-current-account-deficits-2007-590x271.png[/url])
Además de reducir la productividad, el préstamo que permitió el boom español de la construcción llevó también a la sobreconstrucción. Los recortes subsiguientes al exceso de inventario registrado hundieron el empleo y el PIB. De no haber habido esos recortes de por medio, a la economía española le iría hoy bastante bien. Vía JPMorgan:
([url]http://iniciativadebate.org/wp-content/uploads/2015/02/Spanish-GDP-ex-construction.png[/url])
Pettis ilustra brillantemente esto dirigiendo su mirada a lo que pasó con la economía alemana luego de recibir las indemnizaciones bélicas de Francia tras la Guerra Franco-Prusiana:
“Entre 1871 y 1873, enormes volúmenes de capitales fluyeron de Francia hacia Alemania. Ese flujo, ni que decir tiene, dio la vuelta a la balanza y trajo consigo los déficits por cuenta corriente de Alemania, y el sector manufacturero alemán tuvo que lidiar con el hecho de que una parte creciente de la creciente demanda interna alemana fuera abastecida por empresas manufactureras francesas, británicas y norteamericanas.
“Pero hay mucho más que esas leves dificultades para el sector de bienes comerciales. El impacto de conjunto sobre Alemania fue muy negativo. En efecto: hace mucho que los economistas vienen sosteniendo que la economía alemana se vio negativamente afectada por el pago de las indemnizaciones bélicas a causa del impacto de las mismas en las condiciones del comercio –minaron su industria manufacturera— y de su papel en el desencadenamiento de la burbuja especulativa del mercado de valores en 1871-73, que, entre otras cosas, trajo consigo un boom de la inversión improductiva y disparó la deuda.”
La partida terminó con el inicio de la Gran Depresión en 1873. Cuando pinchó la burbuja, las opiniones sobre las pretendidas ventajas de la reparación bélica cambiaron drásticamente:
“Muy pocos años después del inicio de la crisis, las actitudes sobre la indemnización francesa habían cambiado espectacularmente: no pocos economistas y políticos en toda Alemania la culpaban del colapso económico del país. Tan malamente llegó Alemania a verse afectada por los flujos de las reparaciones, que llegó a creerse de manera generalizada, particularmente en Francia, que Berlín estaba pensado seriamente en devolver todo el importe. Ello es que el gran beneficiario de la ‘generosidad’ francesa no se benefició más de lo que España se ha beneficiado 135 años después con la generosidad alemana.”
No tiene ningún sentido moralizar y culpar de causar la crisis a los receptores de los flujos de capital
TERCERO, no tiene ningún sentido culpar de causar la crisis a los receptores de los flujos de capital. Si hay dinero suficiente brujuleando en busca de invertir en cualquier idea estúpida, no deberías sorprenderte demasiado de que un montón de ideas estúpidas reciban financiación. Por ejemplo, Wolfgang Schäuble, el ministro de finanzas alemán, sostiene que:
“Las razones de los problemas griegos han de atribuirse sólo a Grecia, y no a otros agentes foráneos, y desde luego no a Alemania”
Así lo hizo durante la conferencia de prensa que siguió a su reunión con Yanis Varoufakis, su homólogo griego, y hay que decir alto y claro que Schäuble disparata. Es lógicamente imposible que haya excesos del prestatario a menos que haya alguien lo suficientemente temerario (o estúpido) como para suministrar financiación.
El problema de las imputaciones de culpa à la Schäuble es que se atraviesan en el camino de las soluciones óptimas, las que resultan ser las mejores para la mayoría de europeos, tanto griegos, como españoles o alemanes. Pettis:
“Una cantidad terriblemente grande de europeos entiende la crisis primariamente en términos de diferencias de caracteres nacionales, virtudes económicas y lucha moral entre la prudencia y la irresponsabilidad. Esta interpretación resulta intuitivamente atractiva, pero es poco menos que absolutamente falsa. Y puesto que el coste de la salvación de Europa es la condonación de la deuda, y puesto que Europa debe decidir si éste es un coste que vale la pena –yo creo que sí—, en la medida en que le crisis europea es vista como una pugna entre países prudentes y países irresponsables, es parece muy improbable que los europeos estén dispuestos a pagar el coste.”
De hecho, Pettis piensa que, puestos a buscar responsables de lo sucedido, hay que buscarlos antes en los prestamistas netos de Alemania y Holanda, que en los prestatarios de Irlanda, Grecia o España:
“Seria una asombrosa coincidencia que tantos países hubieran decidido simultáneamente embarcarse en juergas consumistas. Y aún más notable que, una vez embarcados, todos a una hubieran resuelto chuparle los dineros a una reluctante Alemania tirando por los suelos los tipos de interés. Resulta harto difícil de creer, dicho de otra manera, que la enorme deriva registrada en la balanza de pagos europea fuera impulsada por otra causa que la de una deriva interna de la economía alemana que, inopinadamente, conoció la repentina elevación del ahorro total en relación con la inversión total.”
Esa deriva, a su vez, está vinculada al anémico crecimiento salarial y al aún más débil consumo interior en Alemania.
Varoufakis lleva razón, porque el modo en que están estructuradas tus obligaciones de pago importa
CUARTO: es importante el modo en que están estructuradas tus obligaciones de pago. Mucha gente inteligente, y notablemente Daniel Davies, han sostenido que las cifras de la deuda pública griega resultan irrelevantes a la hora de entender la situación en Grecia. Conforme a Davies:
“La cifra global de ‘la carga deudora griega’ es un número que carece de todo significado económico. Todo el mundo sabe que será reestructurada en algún momento futuro políticamente conveniente; la deuda, simplemente, no puede ser devuelta. De manera que incrementar la magnitud de la deuda pendiente ahora por una magnitud de 2,5 sólo significa incrementar por esa misma magnitud la dimensión de la condonación en el año dos mil y pico. Hay que concentrarse en los flujos, y en nada más que en los flujos: los stocks han dejado de ser una medida intelectualmente útil.”
Pero poner el foco en los flujos obvia el impacto de la estructura del stock de deuda en los incentivos de los prestamistas y los productores del sector privado, dice Pettis:
“El valor nominal y la estructura de la deuda pendiente importan, y por mucho más que por razones cosméticas. Determinan en una medida significativa el modo en que productores, trabajadores, políticos, ahorradores y acreedores modifican su conducta, de manera que, o bien se revitalizará drásticamente el crecimiento, o bien se inducirá una lenta sangría desvalorizadora.
“En otras palabras: los incentivos deben alinearse correctamente, de manera que esté en el mejor interés de todas las partes la maximización colectiva del valor: esta tesis suficientemente obvia casi nunca prospera, porque los economistas experimentan verdaderas dificultades a la hora de conceptualizar y modelar la conducta reflexiva en los sistemas dinámicos.
“Antes que dejar a los economistas elaborar la aritmética de la reestructuración basándose en estimaciones lineales de flujos de caja venideros enormemente inciertos –y cuyos valores andan, ellos mismos, afectados por el modo en que los pagos de deuda se indexan a esos flujos de caja—, Grecia y sus acreedores deberían poder poner a trabajar a un equipo de expertos en opciones en la elaboración de fórmulas de repago y permitir a esos expertos calcular el grado en que la volatilidad afecta al valor de esos pagos, así como el impacto que eso podría tener en los incentivos y en la conducta económica.”
Por eso Pettis cree que el plan de Varoufakis, consistente en permutar la deuda griega existente por obligaciones indexadas al PIB, es una buena idea que debería extenderse a otros países, incluyendo a España e Italia. El atractivo de esas obligaciones indexadas al PIB es que ofrecen a los acreedores un incentivo para apoyar las inversiones en crecimiento futuro.
Lo que es muy diferente al marco actual, en el que la Troika tiene todos los incentivos para ligar su financiación a la disposición política a aplicar programas de austeridad. Aun si esos programas lograran disparar la productividad a largo plazo hurtando recursos al Estado, lo cierto es que la conducta exigida por el sector oficial de los acreedores de la Eurozona exacerba la debilidad cíclica.
La buena noticia, empero, es que una distinta estructura de pasivos que estimulara la inversión adicional podría llevar instantáneamente a un más robusto crecimiento, dadas las reformas ya realizadas. Además, una reestructuración a gran escala, siempre que se hiciera sin dilación, debería servir de estímulo para una miríada de nuevas inversiones aun en el caso de que eliminara a muchos actuales acreedores. Como lo formula Pettis:
“Hay pruebas empíricas abrumadoras –la más obvia, los EEUU del siglo XIX— de que el comercio y la inversión fluyen hacia países con buenas perspectivas de futuro, no hacia países con buenos registros pasados. La principal inversión que probablemente veremos en España en los próximos años es la compra exterior de apartamentos ya construidos en las hermosas playas del país.
“Pero cuando sus perspectivas de crecimiento mejoren, con –entre otras cosas— una carga manejable de deuda, los empresarios e inversores foráneos se pelearán por reconquistar el mercado español, con total independencia de su historial de pagos y devoluciones de deuda. Esta es una de aquellas cosas sobre las que el registro histórico resulta concluyente.”
Las autoridades de la Eurozona actúan a destiempo
Lo que nos lleva a nuestro QUINTO punto: las autoridades de la Eurozona actúan a destiempo. Puede que la paciencia sea una virtud en algunas situaciones, pero no en momentos de resolución de crisis y de reestructuración de deuda. Esto es particularmente cierto cuando aprecias la diferencia existente entre “las crisis financieras que se dan dentro de un ciclo de mundialización y las que se dan al final de un ciclo de mundialización”.
Estos últimos años han ofrecido una oportunidad de oro, incluso a los prestatarios más timoratos, para reunir capital con márgenes muy bajos, porque el mundo rico –del que viene el grueso de la inversión exterior— andaba rebosante de ahorro en busca de rentabilidades decentes. En las actuales circunstancias, hay miríadas de inversores ávidos de lanzarse al ruedo y financiar la inversión en Grecia, España, Irlanda, etc., si esos países reestructuran drásticamente sus deudas. Basta pensar en todos esos ardientes agujeros de “pólvora seca” en los bolsillos de empresas privadas de capital riesgo (¡y sus sociedades comanditarias!), o en los inversores en bonos que buscan en vano tasas decentes de rentabilidad en sus países de origen. Después de todo, Ecuador lo ha conseguido…
Y Pettis nos recuerda que siempre ha sido por esta vía. Alemania se asombró en su día de lo fácil que le resultó a Francia reunir el dinero necesario para pagar sus reparaciones bélicas en 1871 (una factura que rebasaba el 20% del PIB anual de la Francia de la época [5 billones de francos oro; N.T.]). El caso es que “la indemnización francesa lo que hizo realmente fue incrementar la liquidez mundial expandiendo la oferta mundial de activos ‘monetiformes’ altamente líquidos.”
El gobierno de la República de Weimar tuvo también un momento fácil cuando logró asegurarse crédito procedente de Norteamérica y de otros prestamistas para cubrir sus propias reparaciones bélicas medio siglo después, luego de que la hiperinflación hubiera evaporado sus deudas internas.
Pero a veces el calendario es adverso. El boom del préstamo a América Latina, financiado por los petrodólares en los 70, terminó del modo más desdichado porque los 80 fueron un período de tipos relativamente altos en Norteamérica y Europa, por no hablar de los bajos precios de las materias primas. La combinación resultó un desastre para los prestatarios que se habían endeudado en dólares.
Nosotros no tenemos el menor vislumbre de la política monetaria futura, o de la liquidez global aquí o en Europa. Pero no nos sorprendería demasiado que la ventana para la reestructuración óptima –incluso dejando de lado las implicaciones políticas de un desempleo persistentemente alto— se cerrara muy pronto. Algo que los eurócratas, tan aficionados a dejar que las cosas se cuezan en su propio jugo, deberían tener presente.
No hay nada históricamente nuevo en la presente eurocrisis.
POR ÚLTIMO, y ya se lo habrá figurado el lector, nada resulta particularmente nuevo en la presente eurocrisis. Todo esto ya ha ocurrido antes, y todo esto volverá (probablemente) a ocurrir en el futuro. No hay ninguna necesidad de entender la naturaleza de productos financieros radicalmente nuevos, o de innovaciones tecnológicas o de alteraciones histórico-mundiales en la política para comprender por qué todo estalló. La historiografía y/o un mínimamente decente modelo de los flujos de capitales en cualquier sistema de cambios fijos habrían sido más que suficientes.
Ello es que uno de nuestros libros favoritos de finanzas y teoría económica –The Volatility Machine del propio Michael Pettis— contiene en substancia todo lo que se necesita para entender la eurocrisis, aun cuando el libro fue escrito antes incluso de la introducción del euro. (Solo el apéndice sobre la relación entre valoración de opciones y riesgo crediticio ya compensa por el precio del libro, en nuestra opinión.)
No es, pues, sorprendente que en su último artículo, objeto de este comentario, Pettis deje caer que “la actual crisis europea es aburridamente similar a cualquier otra crisis monetaria y de deuda soberana ocurrida en la historia moderna”.
Matthew C. Klein es reconocido un analista financiero, cuyo blog ftalphaville está alojado en las páginas del Financial Times.
Traducción para [url=http://www.sinpermiso.info]www.sinpermiso.info[/url] ([url]http://www.sinpermiso.info[/url]): Mínima Estrella
[url]http://iniciativadebate.org/2015/02/08/espana-grecia-y-alemania-no-es-un-conflicto-de-naciones-sino-de-clases-y-sectores-economicos[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/02/08/espana-grecia-y-alemania-no-es-un-conflicto-de-naciones-sino-de-clases-y-sectores-economicos[/url])
A esto añadiré que soy muy escéptico acerca de la salud mental de quienes, incluso en este foro, aplauden regularmente a favor de la experiencia Europa sin razonar sistemáticamente sobre los problemas en clave Nacional (ahora que Grecia está de moda).
Para olvidar la historia de la UE (olvidando sus crónicas de guerra que no son pocas) y avanzar en su construcción haríamos bien en repensar esta UE, cosa que ni lo espero ni me lo creo.
No sé si en Grecia está habiendo algún tipo de limpieza, pero hay una cosa común a griegos y españoles: haya la limpieza que haya, la sociedad tiene que convencerse de que no puede vivir de manera sostenible robándose a sí misma. Y eso no se consigue sólo limpiando "casta", sino limpiando toda la masa que vive de la "casta" (redes clientelares, redes caciquiles, economía sumergida, etc.). Mientras no suceda esto, irán/iremos dando tumbos de un escándalo a otro, de un gobierno a otro y de Guatemala a Guatepeor.
Pues mira, Rajoy gobierna Ejpaña, mi vecino gobierna en su casa, y ya.Por eso uno es presidente y el otro tu vecino.
Los dos son muy malos, pero uno tiene infinitamente mas poder que otro.
Los pakistaníes los sacaste tú, no yo, de repente cuando hablábamos de el tratado con EEUU tú, y sólo tú, te pusiste ha hablar de pakistaníes, y chinosEl TTIP me afecta a mi.
El TTIP me afecta a mi.
Y democráticamente, escojo tener más en común con USA que con Irán.
Aceptarás mi decisión y la de otros tantos millones de españoles, o también me vas a decir que hay que pensar que la solución a la crisis la tiene el fantasioso de la coleta o alguno de los círculos de la amistad que antes eran horizontales, pero ahora aplauden al líder incluso cuando se demuestra que defraudó al fisco?
Es lo que tiene la política.
Ahora de repente Iran :rofl: :rofl: :rofl:Vaya, otro musulmanizante que no se ha enterado de que existe una guerra soterrada por el consumo de los próximos 50 años :rofl:
No sé si en Grecia está habiendo algún tipo de limpieza, pero hay una cosa común a griegos y españoles: haya la limpieza que haya, la sociedad tiene que convencerse de que no puede vivir de manera sostenible robándose a sí misma. Y eso no se consigue sólo limpiando "casta", sino limpiando toda la masa que vive de la "casta" (redes clientelares, redes caciquiles, economía sumergida, etc.). Mientras no suceda esto, irán/iremos dando tumbos de un escándalo a otro, de un gobierno a otro y de Guatemala a Guatepeor.
Lo grave es que las redes clientelares pueden ser dos ordenes de magnitud más caras que lo que llamamos "casta". Los CEOs de las 100 mayores empresas de España, que tanto dan que hablar y sin duda muchos merecidamente porque son enchufados, cobrarán todos juntos 200M, y eso son 8000 enchufados que los tienes en el mismo ayuntamiento madrileño y en cualquier comunidad un poco grande, o en forma de "incapacitados" en la Bahía de Cádiz o en Gijón y los valles mineros asturianos. Solamente las maravillosas "transferencias corrientes" de SusiChoni son 10.000M y es una autonomía que pesa 1/5 en el total.
Esa masa es la que o se corta o nos quedaremos igual o peor, porque la vieja España de las cesantías era en cierto modo más sana (para el bolsillo) que esta, ya que al menos los empotrados pasaban sus años de penurias cuando no mandaban los suyos, ahora tenemos capas superpuestas a cual más cara.
Islandia camina hacia el 2% de paro tras dejar caer a sus bancos
El primer ministro considera demasiado alto el 4% desempleo actual :roto2:
El país pone un impuesto a los bancos para ayudar a quienes tienen riesgo de desahucio
[url]http://economia.elpais.com/economia/2014/01/28/actualidad/1390907687_788318.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2014/01/28/actualidad/1390907687_788318.html[/url])
Grecia ya nació en quiebra.
El dinero solo da la felicidad, no la inteligencia. [...] entre un tiburón de Wall Street y una sardina del Cantábrico hay muchas más similitudes que diferencias. De hecho, las únicas diferencias significativas entre ambos resultan ser de orden cuantitativo, no cualitativo. Así, la sardina común posee una memoria máxima de tres segundos. Podemos cruzarnos la mirada con ella durante horas y horas tras el cristal de un acuario. Nada importa el tiempo que hayamos compartido juntos, tres segundos después de darle la espalda nos habrá olvidado para siempre.
Bien, pues a los mercados financieros les sucede exactamente lo mismo. Pueden ser testigos y protagonistas en primera persona de diez, cien, mil quiebras con resultados catastróficos para ellos mismos. Da igual: transcurridos quince años –como máximo– ya no recordarán nada y volverán a tropezar con la misma piedra. El caso de Grecia, por ejemplo, resulta paradigmático. Tanto que su propia existencia como país independiente fue una decisión de los mercados a fin de evitar el impago de la deuda. Y es que Grecia ya estaba en quiebra técnica antes incluso de haberse constituido como nación, asunto que no deja de tener algún mérito. Ocurrió allá por 1821, cuando unos autodenominados griegos dieron en sublevarse contra el Imperio otomano del que siempre habían formado parte.
Viendo en aquella lejana y exótica tangana una oportunidad para hacer dinero, ciertos inversores de la Bolsa de Londres se apresuraron a [...] especular con trozos de papel emitidos por unos desarrapados que combatían en las montañas al ejército imperial. Huelga decir que la prima de riesgo de aquellos bonos subía y bajaba en función de las victorias y derrotas militares de los rebeldes. Así las cosas, el precio de mercado comenzó a desplomarse tras una gran ofensiva turca que parecía augurar la derrota final de los independentistas. Algo que, de consumarse, hubiera llevado a una quita del cien por cien en el valor nominal de los títulos en cartera de los inversores británicos. Llegados a ese punto, y ante el riesgo cierto de un default, los tenedores de activos griegos reclamaron a la reina de Inglaterra que enviara una flota de guerra al Adriático para defender sus legítimos intereses.
Como no podía ser de otro modo, accedió la soberana. Y en la posterior batalla de Ambarino los turcos fueron derrotados, proclamándose acto seguido la independencia de Grecia. Ya solo restaba pendiente un pequeño detalle: que los griegos pagasen. Nunca ocurrió tal cosa. Jamás pagaron. De ahí que el flamante Estado griego permaneciese durante la totalidad del siglo XIX en suspensión de pagos. De hecho, Grecia lleva en suspensión de pagos desde el mismo día de su fundación. Y esas lumbreras de la banca alemana, los linces que decidieron enterrar en Atenas los millones que después tuvimos que pagarles los contribuyentes europeos con el rescate, podrían haberlo sabido si conocieran la historia. Pero lo de leer no es lo suyo. Qué cara nos está saliendo tanta y tan lerda ignorancia.
[url]http://www.libremercado.com/2015-02-11/jose-garcia-dominguez-grecia-ya-nacio-en-quiebra-74790/[/url] ([url]http://www.libremercado.com/2015-02-11/jose-garcia-dominguez-grecia-ya-nacio-en-quiebra-74790/[/url])
...... Hablo de Rafael Poch.
This article is adapted from a lecture originally delivered at the 6th Subversive Festival in Zagreb in 2013
La UE prepara una directiva ‘antifiltraciones’
(...)
Noticias que no habrían aparecido
En un vídeo publicado por Anonymous antes de la retirada de la enmienda del secreto comercial en Francia se detallan algunos de los grandes escándalos “de los que no habrías oído hablar” si esta norma se hubiera aprobado. Todos ellos implicaron la publicación de documentos internos o información confidencial de empresas, y afectaron a las compañías y, en algunos casos, también a importantes políticos. Entre ellos, el caso Bygmalion, que afectó gravemente al partido de Sarkozy; un escándalo que afecta al magnate de las armas Serge Dassault; la amplia red de financiación política a través de contratos de armas ideada por el ex primer ministro Édouard Balladur; la estrategia de H&M para no pagar impuestos en Francia: un caso de contaminación de agua provocado por Veolia; la estrategia de Ikea para evitar conflictos laborales en sus tiendas, el escándalo que afecta a la empresa nuclear Areva o el caso LuxLeaks.
[url]http://iniciativadebate.org/2015/02/18/la-ue-prepara-una-directiva-antifiltraciones/[/url] ([url]http://iniciativadebate.org/2015/02/18/la-ue-prepara-una-directiva-antifiltraciones/[/url])
Alemania sólo busca su otra Europa
Los medios de comunicación y los centros de poder económico y político de Europa tratan de hacer creer que las dificultades para llegar a un acuerdo con Grecia provienen de las exigencias y de las malas prácticas de este país y que es la posición del nuevo gobierno heleno lo que justifica que sea tratado con intransigencia por sus socios europeos, con Alemania a la cabeza.
Lo cierto es, sin embargo, que Grecia ha cumplido a rajatabla las imposiciones de la troika pero que éstas se han mostrado como un completo fracaso para recuperar la economía, disminuir la deuda y mejorar la vida de las personas, lo que justificaría que se iniciara un camino diferente. Además, lo que está planteando el nuevo gobierno no es sino tratar de encontrar fórmulas que permitan hacer frente a estos problemas de una manera más efectiva y no haciendo oídos sordos a los compromisos anteriores sino replanteándolos. Y a ello se une que lo que necesita Grecia para salir adelante es un montante de recursos o una generosidad de los demás realmente ínfimos si se comparan con los que se han dedicado hasta ahora a los bancos o incluso a economías mucho más prósperas como la alemana. Tanto es así, que hasta alguien tan poco sospechoso de simpatías con Syriza como el presidente Obama ha manifestado que lo razonable sería no presionar tanto a Grecia y ayudarle a recobrar el crecimiento para que pueda salir de su situación.
Por eso creo que lo necesario para entender la intransigencia de la señora Merkel y de sus aliados no es mirar tanto a Grecia sino precisamente a Alemania y a lo que viene sucediendo con su economía en los últimos tiempos.
A menudo los europeos no somos conscientes de que Alemania no es para nosotros un socio más, una especie de hermano mayor más grande y poderoso. No. Alemania es mucho más que eso. Alemania es la cuarta potencia mundial, tras Estados Unidos, Japón y China, y, sobre todo, es la segunda economía exportadora del mundo. Es decir, es una economía gigantesca, en consecuencia obligada a pensar principalmente en sí misma, y que necesita permanentemente de los mercados exteriores, lo que significa que ha de condicionar cualquier otra de sus estrategias a disfrutar de una posición adecuada (es decir, de ventaja) en el entorno en el que actúa. En los últimos diez años, prácticamente la mitad del crecimiento de su economía ha dependido de sus exportaciones netas. Y creo que es en esa naturaleza de la economía alemana donde hay que encontrar la razón de la intransigencia con la que viene imponiendo sus intereses en la Unión Europea y ahora frente a Grecia.
En ese sentido, hay tres factores que en esos momentos están influyendo decisivamente en la estrategia alemana.
En primer lugar, que el comercio mundial se está resintiendo fuertemente y no solo con carácter coyuntural. Según un estudio reciente de economistas del FMI y del Banco Mundial (Slow trade), en 2012-2013 creció menos de la mitad que en los 20 años anteriores y por debajo de lo que crece la economía mundial, lo que no había ocurrido en las últimas cuatro décadas. Eso significa que las economías exportadoras, como la alemana, van a tener en los años venideros muchas dificultades para lograr los mismos ritmos de crecimiento que en etapas anteriores.
En segundo lugar, hay que tener en cuenta que las exportaciones alemanas están cambiando de destino en los últimos años. En 1990, el 50% de ellas se destinaba a los países que ahora forman la zona euro y en 2014 solo el 40%. El crecimiento medio anual registrado en sus exportaciones a la Eurozona desde el año 2000 (4,5%) es justamente la mitad del aumento de las destinadas a otras zonas como Europa central (9%) o Asia (10%). Alemania, por tanto, está empezando a tener otros socios comerciales preferentes.
En tercer lugar, hay que considerar también que la propia situación interna de la economía alemana está cambiando. Otro artículo publicado en diciembre pasado por el departamento de investigación del Banco Nacional de París (BNP) Paribas (Inflexible Allemagne) mostraba al respecto que, además de problemas futuros por la caída en el comercio internacional, Alemania se encuentra ante dos retos internos de gran envergadura. El primero, el envejecimiento creciente de su población, que la ha convertido en el segundo país del mundo (tras Japón) con más porcentaje de población mayor de 65 años, el 21% —por cierto, por haber dificultado mucho la compatibilidad entre la maternidad y el desarrollo de la carrera profesional de las mujeres—. Algo que puede producir, entre otras cosas, una caída muy fuerte en su tasa de ahorro interno en los próximos años.
Además de eso, Alemania viene descuidando en los últimos años la inversión interna —la privada ha caído 7 puntos en los últimos 20 años y la dedicada a infraestructuras públicas es un 30% menor que la media de la OCDE—, lo que hace que hoy día presente unas carencias muy importantes. Según este estudio del BNP Paribas, la brecha acumulada de 1999 a 2012 entre la tasa de inversión observada y la óptima supondría un 40% del PIB. Y a eso se añade que al haber dedicado los excedentes obtenidos en las últimas décadas a inversión exterior —en gran parte para financiar burbujas especulativas en otros países— ha descuidado su renta interior, lo que también ha provocado que la tasa de pobreza alcanzara un nuevo récord en 2013: afectaba al 16,1% del total de la población, al 69% de los desempleados, al 35,2% de los monoparentales y al 5,7% de los niños y niñas.
Lo que está ocurriendo, por tanto, es que el futuro para Alemania no será tan halagüeño, que no le resultará tan fácil obtener excedentes exteriores, que su focos de interés comercial van a dejar de estar en sus socios del euro —a los que parece que ya ha exprimido del todo—, y que va a tener que dedicar mucha más atención que hasta ahora a sus problemas y demandas de inversión internas.
Alemania no va a tomar la iniciativa para romper el actual statu quo del euro porque eso se vería como una agresión en toda regla al proyecto europeo. Pero sí va a imponer con más rigidez que nunca condiciones frente a los terceros que ya no considera socios de interés o de preferencia. Y no le importará, por tanto, apretar la soga hasta que no les quede otro remedio que rendirse o autoexcluirse del euro. Alemania ya mira sobre todo a un nuevo eje europeo de referencia con Francia y Polonia. Es por eso que no esperan buenos tiempos dentro del euro a países como Grecia, España, Portugal, Chipre o incluso Italia. Lo sensato sería que todos ellos se empezaran a plantear si se conforman con ser invitados de piedra o simples comparsas de un euro diseñado en favor de Alemania o si tienen en común algo más que ser despreciados por esta gran potencia.
blogs.publico.es/juantorres/2015/02/23/alemania-solo-busca-su-otra-europa/ ([url]http://blogs.publico.es/juantorres/2015/02/23/alemania-solo-busca-su-otra-europa/[/url])
[...] En una estación de autobuses atiborrada de viajeros que apuran el puente de tres días, Anthoula, universitaria, clase media y profundo escepticismo, se encoge de hombros al preguntársele su opinión sobre el pacto. “No sabría qué decirle, porque negociar en Bruselas invocando la crisis humanitaria del país mientras la ocupación hotelera ha sido [este puente] del 100%, parece un contrasentido, ¿no? También es verdad que mi familia no ha sufrido mucho la crisis, por suerte, por eso entiendo que los más desfavorecidos se agarren a un clavo ardiendo, aunque sea la esperanza en el cambio… pero es tan poca cosa, y tan volátil…”. El aterrizaje en la realidad, o el despertar del sueño, se impone día a día en Grecia.
[...] The countries that are in trouble were fascist at one point – Spain under Franco, Portugal, Greece under the Colonels. Right-wing military dictatorships put in place tax systems that favored the rich and avoided taxing real estate or financial wealth. You could think of these tax systems as the Republican Party’s dream, or for that matter that of the Obama Administration’s Wall Street backers. Shifting the tax burden onto labor and industry seems to be the direction in which the world is heading these days. That is what is causing such trouble for countries going neoliberal, that is, favoring a financial oligarchy. [...]
[...] Se puede observar que los países en dificultades son países que en algún momento sucumbieron al fascismo: España bajo Franco, Portugal [bajo Salazar], Grecia bajo los coroneles. Las dictaduras militares derechistas establecieron sistemas fiscales que favorecían a los ricos y evitaban gravar fiscalmente la propiedad inmobiliaria y la riqueza financiera. Esos sistemas fiscales fascistas son ahora el sueño dorado del Partido Republicano estadounidense, o incluso, para lo que aquí importa, de los banqueros de Wall Street en la administración Obama. Desplazar la carga fiscal hacia el mundo del trabajo y de la industria parece ser la dirección en la que se mueve el mundo en estos tiempos. Eso es lo que causa tal desjarretamiento en los países que se hacen neoliberales, es decir, favorecedores de una oligarquía financiera. [...]
Emmanuel Todd: "Europa debe deslegitimar a sus élites"
Unas semanas atrás, el presidente del Eurogrupo y ministro de finanzas neerlandés, Jeroen Dijsselbloem, revelaba en una entrevista que a mediados de 2012 en el punto álgido de la crisis de la deuda europea, los Países Bajos tenían preparada una hoja de ruta para abandonar el euro y restablecer el florín. Nada sorprendente para Emmanuel Todd, que lleva advirtiendo desde 1995 de la imposibilidad histórico-antropológica de la moneda única.
Emmanuel Todd es un reputado historiador y antropólogo francés que saltó a la fama con sólo 25 años al predecir en 1975, cuando aún estudiaba en la Universidad de Cambridge, la explosión del sistema soviético en su libro La Chute Finale (El Hundimiento Final) , que se convierte rápidamente en un best-seller. Han sido tantos los pronósticos acertados en su haber que el periódico Le Monde le dedicó un artículo intitulado “el profeta de los políticos”.
Diecinueve años atrás aprovechó el prólogo a la edición de bolsillo de su libro La Invención de Europa (Tusquets,1996) para prevenir de las consecuencias que traería la implantación de la moneda única en el continente: “Una sensibilidad real a la diversidad de las costumbres y de los valores europeos conduce a una sola conclusión: la regulación monetaria centralizada de sociedades tan dispares como, por ejemplo, Francia y Alemania conducirá a un disfuncionamiento masivo, al principio , de una u otra sociedad, y, luego , de las dos (...) Si el proyecto de la moneda única se lleva a cabo, este libro permitirá comprender, en veinte años más, por qué la unificación estatal impuesta sin una conciencia colectiva ha producido una jungla más que una sociedad."
El hombre que nos recibe en su casa es extremadamente cordial y sencillo. Su salón, inundado de luz y cómodamente amueblado, contiene todos los elementos del “burgués desenfadado” que Emmanuel Todd pretende ser, salvo que una cierta agitación se palpa en el ambiente. Salta inmediatamente a la vista los numerosos libros de historia y antropología desparramados en la mesa central y el anfitrión está en ebullición cuando comienza la entrevista. A veces iconoclasta, Emmanuel Todd rebosa de ideas. Su análisis geopolítico de Europa está íntimamente vinculado a sus investigaciones antropológicas sobre las estructuras familiares que estudia sin descanso desde su tesina en Cambridge.
La hipótesis de Todd, tal como la expone en su interesante obra La Invención de Europa, es que el núcleo familiar es el primer factor de condicionamiento psíquico del ser humano. Asimismo, puede ser un buen instrumento para comprender las diferencias que existen entre los comportamientos de los distintos pueblos de Europa.
Todos intuimos que los alemanes y austriacos son –en su mayoría- más ordenados y disciplinados, que los ingleses y holandeses son liberales, y que los españoles, franceses e italianos son –de nuevo en su mayoría- más desordenados e indecisos que sus vecinos. Sin embargo, nadie puede explicarlo de manera racional. Emmanuel Todd nos ofrece una respuesta antropológica y sus resultados sorprenden .
Su teoría, que reposa en hechos objetivos, tiene el mérito de identificar en cada estructura familiar sus virtudes y sus defectos. “Tengo la sensación de tener las herramientas necesarias para explicar racionalmente las diferencias entre los pueblos, lo que permite escapar a todo racismo”, explica.
Ello nos viene bien, porque lo vamos a verificar.
P: En 1995, cinco años después de la publicación de La Invención de Europa, aprovecha el prólogo de la nueva edición del libro para oponerse al tratado de Maastricht y el euro. ¿Por qué?
R: Cuando escribí La Invención de Europa, yo era profundamente apolítico. El objetivo inicial de mis investigaciones no era llegar a una conclusión sobre Europa, sino más bien estudiar la divergencia de los sistemas familiares para comprender la historia. El azar hizo que el libro se publicara en el mismo momento en que todo el mundo estaba eufórico con el paso adelante de Europa e inicialmente el libro fue recibido como una contribución al europeísmo. Por aquel entonces, la diversidad de Europa era percibida como algo positivo.
Mi tranquilidad se vio alterada cuando unos tipos llegaron con su maravillosa idea del euro. En ese momento yo estaba trabajando sobre los problemas de integración de los inmigrantes en Francia, Reino Unido y Alemania. Estaba observando las enormes divergencias de matrimonios mixtos entre estos tres países y mi instinto me dijo que estos países no estaban preparados para converger. Me di cuenta que mi modelo basado en las divergencias de los sistemas familiares era más potente de lo que había imaginado. Llegué a la conclusión de que el euro no podía funcionar.
Como historiador de largo recorrido, no puedo más que sentir aversión al angelismo pro-europeo; la realidad de Francia no es que se está fusionando con España, Finlandia, Irlanda y Alemania, sino que poblaciones de origen europeo, africano, árabe y asiático están fusionándose, en particular en la región parisina, y frente a la grandeza histórica de estos encuentros planetarios, la idea europea es por naturaleza reductora, incluso mezquina.
P: ¿Qué opina la crisis de la Unión Europea?
R: El sistema europeo es disfuncional, es una evidencia más que flagrante. La pregunta no es saber si Europa funciona, Europa es un desastre. El problema estriba en poder responder a la siguiente pregunta. ¿Por qué no ocurre nada? ¿Qué ocurre con el cuerpo electoral?
Uno de los grandes problemas que tenemos al describir la realidad de la Unión Europea es el inmovilismo de las palabras y las costumbres verbales que impiden una descripción correcta de lo que está ocurriendo. Seguimos hablando de Europa, o de federalismo, como si estuviésemos hablando de la misma "cosa". Sin embargo, no es la misma Europa de antes. Es una Europa donde las naciones son desiguales. Hay un jefe, que es Alemania y sus satélites de Europa del norte y los países bálticos. Ya no estamos ante la Europa de papá, la Europa simpática de la política agrícola común, de Airbus, de Ariane y del proyecto Erasmus. Es otro mundo, que yo defino como “austeritario”, desigual y sadomasoquista.
P: Según usted, Alemania ha retomado el control del continente europeo. ¿Cómo ha ocurrido?
R: Si dejamos de escuchar el blablá europeísta, constatamos que a lo largo de los últimos cinco años Alemania ha tomado el control del continente europeo tanto en el plano económico como político.
Alemania ha recorrido un camino prodigioso, de sus dificultades económicas durante la reunificación a su restablecimiento económico. Aprovechando su solidez económica, tuvo la capacidad de utilizar la crisis de la deuda para poner en cintura al conjunto del continente. ¡No se puede reprochar a la gente de ser eficaz! Ha encontrado de nuevo su espacio de dominación en Europa del Este con los antiguos satélites soviéticos, sumado al control de facto de Europa del Sur.
Lo que es verdaderamente inquietante es la amnesia. Todo el mundo nos da la tabarra con el culto a la memoria y no estoy haciendo burla -soy de origen judío-, pero en realidad la memoria histórica es cero. Todo el mundo parece sorprendido cuando redescubrimos que Alemania sigue siendo Alemania. ¡La memoria debería habérnoslo dicho!
P: Le acusan de ser germanófobo…
R: ¡Menudo error! Mi actitud es fundamentalmente una aceptación de historiador y antropólogo. Acepto ver la especificidad de la potencia de Alemania, la evidencia de un rol particular de Alemania en la historia. Por ejemplo, la modernidad educativa europea comenzó con la reforma protestante en Alemania, que estaba alfabetizada mucho antes que Francia, por no hablar de España. Pero Alemania es Alemania, disciplina, eficiencia, obstinación en la búsqueda de objetivos específicos.
P: Thomas Mann, en 1953, en un discurso a unos estudiantes de Hamburgo les advertía contra una “Europa alemana” y preconizaba más bien a aspirar a una “Alemania europea”. ¿Qué opina de esta advertencia?
R: Esto me recuerda una broma. ¿Qué es Europa? Un conjunto de naciones que temen a Alemania… ¡y esta definición incluye a la propia Alemania! ( risas)
Tener miedo de Alemania en la época de Thomas Mann era un sentimiento totalmente natural. No solo por la devastación que había provocado durante la Segunda Guerra Mundial, sino también porque era un país que había conseguido hacer cosas completamente inconcebibles en términos de potencia y eficiencia militar. De ello, los militares franceses se acuerdan... Cuando uno piensa que finalmente fueron necesarios los ingleses, los americanos y los rusos para doblegarla, ¡es sencillamente increíble! Para los europeos de la posguerra, Alemania era un país prodigiosamente civilizado, disciplinado y eficaz, que podía de vez en cuando, transformarse en un perro enrabiado completamente demente. Evidentemente, es algo que Mitterrand y Thatcher tenían en mente cuando se negaron en un principio a la reunificación de Alemania.
P: ¿Entonces el destino de Alemania sería dominar periódicamente al resto de Europa?
R: Tampoco hay que dramatizar, ¡estamos en tiempos de paz! Por suerte, sólo hablamos del nivel de vida. El problema de Alemania, es su incapacidad tradicional de permanecer tranquilamente en posición de jefe. Este fenómeno tiene una explicación antropológica, vinculada a la estructura familiar típica de Alemania, que desarrollo en La Invención de Europa.
El modelo familiar alemán es por naturaleza autoritario, jerárquico y desigual. En una sociedad estructurada alrededor de este modelo familiar, la persona que se siente incómoda es el jefe, que se encuentra en lo alto de la jerarquía y tiene que decidir, actuando libremente en un universo muy vasto. Por definición, esta persona es incapaz de pensar en términos de libertad o igualdad y entra en pánico ante la libertad que le procura el poder. Es una explicación racional a los desvaríos periódicos de Alemania cuando alcanza de manera autónoma la posición de superpotencia.
Pensad por ejemplo en el primer periodo de crecimiento alemán justo después de la reunificación de 1870, cuando Alemania se convirtió rápidamente en la primera potencia económica del continente. A nivel político, el país había fundado su unidad en oposición al enemigo nacional que era Francia. Pero cuando tomó conciencia de su dominación, Alemania empezó a comportarse de manera irracional. Guillermo II se deshizo de Bismarck, y Alemania pasó de tener un sólo enemigo, Francia, a enemistarse con todo el continente. Tiempo más tarde Europa se enfrentaba a la Primera Guerra Mundial.
Hoy en día lo que observamos es que Europa está empezando a convertirse en un modelo jerárquico que los alemanes consideran justo. Este pensamiento está expandiéndose en toda la esfera de influencia germánica y, poco a poco, los países del Norte comienzan a considerarse superiores a los países del Sur. Lo que está emergiendo en Europa es una división Norte-Sur. Es algo muy llamativo para un historiador, que nos devuelve a la época de enfrentamientos entre los católicos y protestantes, mucho tiempo atrás...
P: En el proceso en el que Alemania retomó el control del continente, Francia se desolidarizó del Sur de Europa y decidió no oponerse al poder de Berlín, hasta tal punto que usted acusa a su propio país de servidumbre voluntaria frente a Alemania. ¿Cómo explicar esta actitud?
R: La fascinación hacia Alemania es una neurosis francesa profunda que viene de muy lejos. Las elites francesas siempre han tenido devoción por este pueblo disciplinado y obediente. Ello tiene también una explicación antropológica basada en el sistema familiar.
Tanto en Francia como en España el sistema familiar dominante se caracteriza por el individualismo y el igualitarismo de los miembros de la familia. Como analizo en La Invención de Europa, este sistema familiar fue el que permitió, sumado a las circunstancias históricas, los ideales de libertad, igualdad y fraternidad de la Revolución Francesa. Este modelo puede parecer genial pero causa numerosos problemas de organización social: todo el mundo es igual y ello debilita los poderes. Los países latinos son agotadores para las élites porque son pueblos indisciplinados y desordenados. Entonces, las élites tienen el sueño de convertirse en alemanes.
Para volver a su pregunta, hablo efectivamente de una servidumbre voluntaria de Francia hacia Alemania. Dicha servidumbre es reciente y no se parece a la admiración clásica de las élites que evocaba antes. Pasó a ser una servidumbre técnica. Ello se debe a la hipertrofia del sistema bancario francés (con sus cuatro bancos sistémicos) y a las relaciones demasiado estrechas que tiene con el Estado francés. Existe en Francia una colusión sistémica entre los dirigentes de los grandes bancos y los altos cargos de la administración. Tarde o temprano la mayoría de los inspectores de finanzas terminan trabajando para la banca. El problema radica en que estas personas no tienen la más remota idea del trabajo de banquero y su propensión natural de especular en bonos del Estado ha llevado a que el sistema bancario francés se encuentre en una mala situación durante la crisis de la deuda. El Estado, al carecer de poder sobre la moneda, se ha visto obligado a dirigirse al único país crediticio o casi de Europa, Alemania.
P: ¿Cómo ha respondido Alemania ?
R: Alemania ha hecho gala de una sorprendente bondad hacia Francia. Ha decidido privilegiar Francia en detrimento del resto de los países de Europa.
Si comparamos Francia con sus vecinos vemos que es el único país que se comporta como si la crisis no fuese con ellos. Portugal, España e Italia las están pasando canutas y mejor no hablar de Grecia… En cambio, Francia, que no es uno de los países eficientes de la Europa protestante, está más bien tranquila. Si ustedes hablan con franceses, verán que siguen pensando en términos de subida de salario en las negociaciones sindicales. En muchos países, al contrario, las personas suelen más bien discutir cuánto le van a bajar el salario.
Esto no pasaría si Francia no fuese privilegiada por Alemania, y, claro, Francia, en contrapartida, se somete a ella. Asimismo, Francia tiene una enorme responsabilidad al permitir la dominación de Alemania sobre el Sur de Europa. ¡Por supuesto, la industria francesa se está esfumando!
***
Definitivamente, ¡Todd no tiene pelos en la lengua! Lo habíamos previsto, hasta lo esperábamos. Sabíamos, antes de venir, que nos íbamos a encontrar con un intelectual que asume sus ideas sin compromisos y sin concesiones, y no estamos decepcionados. Las personas como él le desaprenden a uno lo políticamente correcto en dos horas y eso es bueno, se piense lo que se piense, de sus teorías. Regularmente invitado a los platós de televisión y radio franceses, el antropólogo irrita a más de uno que lo tacha de provocador, incluso de nacionalista, germanófobo, racista u otro epíteto poco amable.
¿Se puede decir que Emmanuel Todd es un provocador? Nosotros no lo creemos.
Si lo pensamos bien, su idea de servidumbre de Francia hacia Alemania encuentra un cierto eco histórico. Prueba de ello es que durante la Segunda Guerra Mundial, varios intelectuales denunciaron una capitulación ideológica y política similar de las elites francesas hacia Alemania como origen de la derrota de junio de 1940. Como fue el caso de Marc Bloch y su ‘Extraña derrota’ (1940), pero también del periodista español Manuel Chaves Nogales que publicó en 1941 su célebre ensayo, ‘La agonía de Francia’.
Asimismo, la visión de una Alemania por naturaleza autoritaria y disciplinada incomoda a más de uno que, por miedo a ser tachado de racista, decide hacer como si las diferencias entre los pueblos no existieran. Sin embargo, es necesario recordar que este temperamento germánico ha sido ya observado en el pasado por muchos intelectuales de lengua alemana, como Thomas Mann. También Stefan Zweig, en su ‘Mundo de ayer’, describe este fenómeno:
“Para el pueblo alemán el orden ha sido siempre más importante que la libertad o el derecho. Y quien prometía orden (el propio Goethe dijo que preferiría una injusticia a un desorden) desde el primer momento podía contar con centenares de miles de seguidores”.
Nadie puede pretender que Stefan Zweig era racista, o germanófobo y tras estas aclaraciones, proseguimos la entrevista.
***
P: En una entrevista que concedió al periódico alemán Die Zeit, usted se refirió a Alemania como una “Herrenvolk Democracy” ( Democracia del pueblo de los señores). ¿Qué significa?
R: Es un concepto que he tomado prestado al antropólogo Pierre van den Berghe, que lo utilizó para explicar el concepto de democracia étnica en la África del Sur del apartheid. En África del Sur una parte de los ciudadanos vivía en pie de igualdad, en una sociedad que funcionaba perfectamente según las reglas liberales y democráticas, pero cuya libertad y democracia funcionaba porque había un grupo dominado.
En mi opinión Europa comienza a tomar la forma general de una “Herrenvolk Democracy” con, en su corazón, una democracia alemana reservada a un pueblo dominante y, alrededor, toda una jerarquía de poblaciones más o menos dominadas. Cuando digo Alemania, me refiero en realidad a toda la esfera germánica. En Grecia o en España, la gente puede seguir votando pero al mismo tiempo estos países reciben diktats que vienen de Bruselas o de Berlín... De esta manera, el voto de los ciudadanos españoles o griegos se convierte en papel mojado.
P: Usted se ha opuesto al euro desde 1995. ¿Sigue manteniendo su posición?
R: El euro no funcionará jamás, es una certeza antropológica. La moneda única ha forzado a los países de Europa a converger sus economías a marcha forzada, sin tener en cuenta sus enormes diferencias estructurales. Naturalmente, tenía que terminar por servir al más fuerte entre todos, Alemania, gran país crediticio y exportador.
Normalmente la moneda está al servicio de la economía; en cambio, el euro es una moneda que la economía debe servir. En numerosas ocasiones me he referido al euro como el becerro de oro de una nueva religión monetaria y mantengo la metáfora. El euro es una moneda sacrificial que contiene una carga religiosa, una creencia colectiva en el sueño europeo. Sin embargo, es difícil dejar de creer, ahí radica el drama.
Los alemanes harán todo lo posible para que el euro no colapse al seguir siendo indispensable para su industria. El problema es que esta estrategia económica de Alemania lleva un toque de locura… Si todo el mundo hiciera como Alemania -es decir, si todo el mundo produjera excedentes comerciales- nos enfrentaríamos a una insuficiencia masiva de la demanda y Europa entraría en recesión. De hecho, ya casi estamos... Si Europa vuelve a entrar en recesión, Alemania habrá realmente contribuido a ello no sólo por su actividad económica sino por las medidas de austeridad impuestas a Europa. Se está reproduciendo lo que ocurrió con la crisis del año 29, se originó en los Estados Unidos pero el rebote vino de Alemania y su política deflacionista.
Otra vez más me gustaría subrayar que Alemania no es la única responsable de este desastre. Mis investigaciones antropológicas demuestran el comportamiento irracional de Alemania cuando no hay ningún contrapoder sólido a su hegemonía. La inacción de Francia, Reino Unido y la falta de unión de los países del Sur de Europa son igual de responsables de esta deriva de Alemania. La Historia prueba que la cobardía de los franceses antes de la Primera y Segunda Guerra Mundial contribuyeron tanto a la catástrofe como la irracionalidad hegemónica de Alemania. ¡Si quieren calificarme de germanófobo, que me califiquen también de francófobo! Pero como también soy un gran patriota francés, comprenderán que no soy anti alemán ( risas). Analizo fríamente la situación, eso es todo.
P: Habla en serio de salir del euro aunque reconozca que, al elegir esta vía, nos enfrentaríamos a dificultades. ¿Piensa usted que los sufrimientos producidos por una salida del euro son más aceptables que los sufrimientos inducidos por el mantenimiento a todo precio de la moneda única?
R: No sé lo que ocurriría en los países del Sur al ya tener serios problemas internos.
En lo que respecta a Francia, es evidente que tiene que ser visto como un choque operatorio. Imagínese que usted tiene un tumor grave, que tiene que ser operado y es seguro que al despertar de la operación se va a sentir muy muy mal. Es un problema de aceptación del choque operatorio. Qué es lo que preferimos, ¿morir tranquilamente de cáncer o extirpar el tumor?
Acepto la idea de las dificultades económicas que conllevan la salida del euro, acepto la bajada del nivel de vida, temporal, porque de todas maneras la calidad de vida ya está bajando. Sin lugar a dudas, será un choque brutal. El choque se distribuirá de manera diferente sobre las diferentes capas de la población y los de edad más avanzada son los que más sufrirán, como ocurrió durante la desintegración de la URSS. Hay que decir que esto constituye sin embargo un freno importante a la salida del euro, dada la importancia cada vez mayor de los ancianos en nuestras sociedades. El mundo occidental se enfrenta a una pirámide de edades jamás vista en la Historia... A pesar de esto, veo la salida del euro como un choque ideológico, social y positivo en estas sociedades paralizadas, calcificadas, envejecidas.
Unos pretenden que si cada país vuelve a su propia moneda, entramos de nuevo en una Europa donde los países se aíslan y donde la paz entre ellos está amenazada. Este análisis recae en una concepción falsa, al revés, de Europa. A estos pesimistas contesto que justamente, el euro ha creado una zona de guerra máxima entre los países europeos. Existe una competición económica feroz entre nuestros Estados que bajan poco a poco el coste del trabajo para sacar ventajas laborales frente a su vecino. Con el euro, todos nos estamos arrastrando en una mecánica implacable de desplome del nivel de vida.
Europa no sólo necesita flexibilidad monetaria, es decir, que los países encuentren en el plano técnico la posibilidad de protegerse con la moneda, de tener su propia política monetaria. Desde el principio me opuse a la implementación del euro por razones técnicas, pero visto el daño que ha producido, ahora mismo lo veo como un nudo gordiano. La moneda única se ha convertido en el símbolo de la incompetencia de la clase dirigente. Comprendo perfectamente las grandes dificultades de la transición, pero el hundimiento del euro sería una suerte para Europa. ¡Europa debe deslegitimar a sus élites!
P: Usted ha afirmado en una reciente entrevista que Francia es el único país con capacidad de cambiar las reglas del juego. Sin embargo, en varios países del sur están surgiendo partidos políticos con apoyo electoral que quieren cambiar la dinámica actual. Nos referimos en particular a Syriza y Podemos. ¿Por qué piensa usted que los países del Sur no pueden cambiar la dinámica actual?
R: ¡Nada de eso! Si los países del sur consiguen unirse para doblegar a Alemania sería fantástico. Yo constato que en el proceso de derrumbamiento del sistema, todos los países han sido impotentes, mientras que Francia tenía algo que decir y hubiese podido actuar para federar el sur. Si los países del sur consiguen organizarse, estaría muy bien y sería otra historia. ¡La Historia no se para! Las personas tardan en comprender, hay que contar con el tiempo de supervivencia de las viejas ideas pero es necesario que los ciudadanos reaccionen.
Como ciudadano francés me da mucha vergüenza la complacencia francesa. Sería fantástico si la gente del sur consiguiera entenderse y pudiese prescindir de la contribución francesa. Aunque pienso que sería mejor si Francia estuviese movilizada del lado de los países del sur. En estos momentos nos encontramos con un racismo no asumido de las élites francesas, que es la contrapartida tradicional de la neurosis alemana que evocaba al principio. Nosotros, franceses, rechazamos nuestras raíces latinas y nos queremos identificar con la gente del norte, seria y eficiente. ¡Yo siempre les digo: fijaos más bien en quien gana al fútbol! (risas)
[url]http://www.eldiario.es/alternativaseconomicas/Emmanuel-Todd-Europa-deslegitimar-elites_6_335676446.html[/url] ([url]http://www.eldiario.es/alternativaseconomicas/Emmanuel-Todd-Europa-deslegitimar-elites_6_335676446.html[/url])
Hay que decir que en el franquismo la propiedad inmobiliaria y no digamos los activos financieros, valían tan poco que mucha diferencia no habría. El franquismo era baratillo y casposete porque se apoyaba en una urbanización a medio completar y que se hizo en plan "low cost". los pisitos del Caudillo que tantas alegrías han dado a nuestros viejunócratas se van a caer como un dominó en las dos próximas décadas, tres a lo sumo. Y lo que valía la bolsa de un país apestado como lo era España en 1974, tampoco era gran cosa. Lo que no hacía el franquismo era generar imposición fiscal sobre las rentas de trabajo ni ser generoso con el gasto público en cualquier escalón.
El Prof. Centeno añora 1975 pero hay que recordarle que los 900.000 empleados públicos de entonces no aportaban, evidentemente, lo mismo a la sociedad que los 2,5 que por entonces tenía Francia. El hueco más llaamtivo en gasto social eran las pensiones, que en 1975 iban 3 puntos por detrás de la media europea, sumadas a otros gastos de política social (que incluyen vivienda, subsidios, y todo lo que no es educación, sanidad, desempleo y pensiones). Por eso con el 25% del PIB se mantenía el edificio.
El franquismo en general eludió toda reforma impositiva que no fuera la creación y extensión de la SS, que es cierto que tenía niveles de ingreso muy apañados ya en 1975 (10% del PIB), pero dejó sin tocar la arcaica imposición indirecta y la directa la mantuvo muy baja.
El franquismo golpista con todo lo cutre, casposo, burro, gris, asesino y mediocre que llegó a ser tenía conciencia de Estado.
Lo de ahora es de una oligofrenia brutal.
Que tenga que decir yo esto... :roto2:
[...]
The Decade Ahead
The world has been restructuring itself since 2008, when Russia invaded Georgia and the subprime financial crisis struck. Three patterns have emerged. First, the European Union entered a crisis that it could not solve and that has increased in intensity. We predict that the European Union will never return to its previous unity, and if it survives it will operate in a more limited and fragmented way in the next decade. We do not expect the free trade zone to continue to operate without increasing protectionism. We expect Germany to suffer severe economic reversals in the next decade and Poland to increase its regional power as a result.
The current confrontation with Russia over Ukraine will remain a centerpiece of the international system over the next few years, but we do not think the Russian Federation can exist in its current form for the entire decade. Its overwhelming dependence on energy exports and the unreliability of expectations on pricing make it impossible for Moscow to sustain its institutional relations across the wide swathe of the Russian Federation. We expect Moscow's authority to weaken substantially, leading to the formal and informal fragmentation of Russia. The security of Russia's nuclear arsenal will become a prime concern as this process accelerates later in the decade.
We have entered a period in which the decline of the nation-states created by Europe in North Africa and the Middle East is accelerating. Power is no longer held by the state in many countries, having devolved to armed factions that can neither defeat others nor be defeated. This has initiated a period of intense internal fighting. The United States is prepared to mitigate the situation with air power and limited forces on the ground but will not be able or willing to impose a settlement. Turkey, whose southern border is made vulnerable by this fighting, will be slowly drawn into the fighting. By the end of this decade, Turkey will emerge as the major regional power, and Turkish-Iranian competition will increase as a result.
China has completed its cycle as a high-growth, low-wage country and has entered a new phase that is the new normal. This phase includes much slower growth and an increasingly powerful dictatorship to contain the divergent forces created by slow growth. China will continue to be a major economic force but will not be the dynamic engine of global growth it once was. That role will be taken by a new group of highly dispersed countries we call the Post-China 16, which includes much of Southeast Asia, East Africa and parts of Latin America. China will not be an aggressive military force either. Japan remains the most likely contender for the dominant position in East Asia, both because of its geography and because of its needs as a massive importer.
The United States will continue to be the major economic, political and military power in the world but will be less engaged than in the past. Its low rate of exports, its increasing energy self-reliance and its experiences over the last decade will cause it to be increasingly cautious about economic and military involvement in the world. It has learned what happens to heavy exporters when customers cannot or will not buy their products. It has learned the limits of power in trying to pacify hostile countries. It has learned that North America is an arena in which it can prosper with selective engagements elsewhere. It will face major strategic threats with proportional power, but it will not serve the role of first responder as it has in recent years.
It will be a disorderly world, with a changing of the guard in many regions. The one constant will be the continued and maturing power of the United States — a power that will be much less visible and that will be utilized far less in the next decade.
Europe
The European Union will be unable to solve its fundamental problem, which is not the eurozone, but the free trade zone. Germany is the center of gravity of the European Union; it exports more than 50 percent of its GDP, and half of that goes to other EU countries. Germany has created a productive capability that vastly outstrips its ability to consume, even if the domestic economy were stimulated. It depends on these exports to maintain economic growth, full employment and social stability. The European Union's structures — including the pricing of the euro and many European regulations — are designed to facilitate this export dependency.
This has already fragmented Europe into at least two parts. Mediterranean Europe and countries such as Germany and Austria have completely different behavioral patterns and needs. No single policy can suit all of Europe. This has been the core problem from the beginning, but it has now reached an extreme point. What benefits one part of Europe harms another.
Nationalism has already risen significantly. Compounding this is the Ukrainian crisis and Eastern European countries' focus on the perceived threat from Russia. Eastern Europe's concern about Russia creates yet another Europe — four, total, if we separate the United Kingdom and Scandinavia from the rest of Europe. Considered with the rise of Euroskeptic parties on the right and left, the growing delegitimation of mainstream parties and the surging popularity of separatist parties within European countries, the fragmentation and nationalism that we forecast in 2005, and before, is clearly evident.
These trends will continue. The European Union might survive in some sense, but European economic, political and military relations will be governed primarily by bilateral or limited multilateral relationships that will be small in scope and not binding. Some states might maintain a residual membership in a highly modified European Union, but this will not define Europe.
What will define Europe in the next decade is the re-emergence of the nation-state as the primary political vehicle of the continent. Indeed the number of nation-states will likely increase as various movements favoring secession, or the dissolution of states into constituent parts, increase their power. This will be particularly noticeable during the next few years, as economic and political pressures intensify amid Europe's crisis.
Germany has emerged from this mass of nation-states as the most economically and politically influential. Yet Germany is also extremely vulnerable. It is the world's fourth-largest economic power, but it has achieved that status by depending on exports. Export powers have a built-in vulnerability: They depend on their customers' desire and ability to buy their products. In other words, Germany's economy is hostage to the economic well-being and competitive environment in which it operates.
There are multiple forces working against Germany in this regard. First, Europe's increasing nationalism will lead to protectionist capital and labor markets. Weaker countries are likely to adopt various sorts of capital controls, while stronger countries will limit the movement of foreigners — including the citizens of other EU countries — across their borders. We forecast that existing protectionist policies inside the European Union, particularly on agriculture, will be supplemented in coming years by trade barriers created by the weaker Southern European economies that need to rebuild their economic base after the current depression. On a global basis, we can expect European exports to face increased competition and highly variable demand in the uncertain environment. Therefore, our forecast is that Germany will begin an extended economic decline that will lead to a domestic social and political crisis and that will reduce Germany's influence in Europe during the next 10 years.
At the center of economic growth and increasing political influence will be Poland. Poland has maintained one of the most impressive growth profiles outside of Germany and Austria. In addition, though its population is likely to contract, the contraction will most probably be far less than in other European countries. As Germany undergoes wrenching shifts in economy and population, Poland will diversify its own trade relationships to emerge as the dominant power on the strategic Northern European Plain. Moreover, we expect Poland to be the leader of an anti-Russia coalition that would, significantly, include Romania during the first half of this decade. In the second half of the decade, this alliance will play a major role in reshaping the Russian borderlands and retrieving lost territories through informal and formal means. Eventually as Moscow weakens, this alliance will become the dominant influence not only in Belarus and Ukraine, but also farther east. This will further enhance Poland's and its allies' economic and political position.
Poland will benefit from having a strategic partnership with the United States. Whenever a leading global power enters into a relationship with a strategic partner, it is in the global power's interest to make the partner as economically vigorous as possible, both to stabilize its society and to make it capable of building a military force. Poland will be in that position with the United States, as will Romania. Washington has made its interest in the region obvious.
Russia
It is unlikely that the Russian Federation will survive in its current form. Russia's failure to transform its energy revenue into a self-sustaining economy makes it vulnerable to price fluctuations. It has no defense against these market forces. Given the organization of the federation, with revenue flowing to Moscow before being distributed directly or via regional governments, the flow of resources will also vary dramatically. This will lead to a repeat of the Soviet Union's experience in the 1980s and Russia's in the 1990s, in which Moscow's ability to support the national infrastructure declined. In this case, it will cause regions to fend for themselves by forming informal and formal autonomous entities. The economic ties binding the Russian periphery to Moscow will fray.
Historically, the Russians solved such problems via the secret police — the KGB and its successor, the Federal Security Services (FSB). But just as in the 1980s, the secret police will not be able to contain the centrifugal forces pulling regions away from Moscow this decade. In this case, the FSB's power is weakened by its leadership's involvement in the national economy. As the economy falters, so does the FSB's strength. Without the FSB inspiring genuine terror, the fragmentation of the Russian Federation will not be preventable.
To Russia's west, Poland, Hungary and Romania will seek to recover regions lost to the Russians at various points. They will work to bring Belarus and Ukraine into this fold. In the south, the Russians' ability to continue controlling the North Caucasus will evaporate, and Central Asia will destabilize. In the northwest, the Karelian region will seek to rejoin Finland. In the Far East, the maritime regions more closely linked to China, Japan and the United States than to Moscow will move independently. Other areas outside of Moscow will not necessarily seek autonomy but will have it thrust upon them. This is the point: There will not be an uprising against Moscow, but Moscow's withering ability to support and control the Russian Federation will leave a vacuum. What will exist in this vacuum will be the individual fragments of the Russian Federation.
This will create the greatest crisis of the next decade. Russia is the site of a massive nuclear strike force distributed throughout the hinterlands. The decline of Moscow's power will open the question of who controls those missiles and how their non-use can be guaranteed. This will be a major test for the United States. Washington is the only power able to address the issue, but it will not be able to seize control of the vast numbers of sites militarily and guarantee that no missile is fired in the process. The United States will either have to invent a military solution that is difficult to conceive of now, accept the threat of rogue launches, or try to create a stable and economically viable government in the regions involved to neutralize the missiles over time. It is difficult to imagine how this problem will play out. However, given our forecast on the fragmentation of Russia, it follows that this issue will have to be addressed, likely in the next decade.
The issue in the first half of the decade will be how far the alliance stretching between the Baltic and Black seas will extend. Logically, it should reach Azerbaijan and the Caspian Sea. Whether it does depends on what we have forecast for the Middle East and Turkey.
The Middle East and North Africa
The Middle East — particularly the area between the Levant and Iran, along with North Africa — is experiencing national breakdowns. By this we mean that the nation-states established by European powers in the 19th and 20th centuries are collapsing into their constituent factions defined by kinship, religion or shifting economic interests. In countries like Libya, Syria and Iraq, we have seen the devolution of the nation-state into factions that war on each other and that cross the increasingly obsolete borders of countries.
This process follows the model of Lebanon in the 1970s and 1980s, when the central government ceased to function and power devolved to warring factions. The key factions could not defeat the others, nor could they themselves be defeated. They were manipulated and supported from the outside, as well as self-supporting. The struggle among these factions erupted into a civil war — one that has quieted but not ended. As power vacuums persist throughout the region, jihadist groups will find space to operate but will be contained in the end by their internal divisions.
This situation cannot be suppressed by outside forces. The amount of force required and the length of deployment would outstrip the capacity of the United States, even if dramatically expanded. Given the situation in other parts of the world, particularly in Russia, the United States can no longer focus exclusively on this region.
At the same time, this evolution, particularly in the Arab states south of Turkey, represents a threat to regional stability. The United States will act to mitigate the threat of particular factions, which will change over time, through the use of limited force. But the United States will not deploy multidivisional forces to the region. At this point, most countries in the area still expect the United States to act as the decisive force even though they witnessed the United States fail in this role in the past decade. Nevertheless, expectations shift more slowly than reality.
As the reality sinks in, it will emerge that, because of its location, only one country has an overriding interest in stabilizing Syria and Iraq, is able to act broadly — again because of its location — and has the means to at least achieve limited success in the region. That country is Turkey. At this point, Turkey is surrounded by conflicts in the Arab world, in the Caucasus and in the Black Sea Basin. But Turkey has avoided taking risks so far.
Turkey will continue to need U.S. involvement for political and military reasons. The United States will oblige, but there will be a price: participation in the containment of Russia. The United States does not expect Turkey to assume a war-fighting role and does not intend one for itself. It does, however, want a degree of cooperation in managing the Black Sea. Turkey will not be ready for a completely independent policy in the Middle East and will pay the price for a U.S. relationship. That price will open the path to extending the containment line to Georgia and Azerbaijan.
We expect the instability in the Arab world to continue through the decade. We also expect Turkey to be drawn in to the south, inasmuch as its fears of fighting so close to its border — and the political outcomes of that fighting — will compel it to get involved. It will intervene as little as possible and as slowly as possible, but it will intervene, and its intervention will eventually increase in size and breadth. Whatever its reluctance, Turkey cannot withstand years of chaos across its border, and there will be no other country to carry the burden. Iran is not in a position geographically or militarily to perform this function, nor is Saudi Arabia. Turkey is likely to try to build shifting coalitions ultimately reaching into North Africa to stabilize the situation. Turkish-Iranian competition will grow with time, but Turkey will keep its options open to work with both Iran and Saudi Arabia as needed. Whatever the dynamic, Turkey will be at the center of it.
This will not be the only region drawing Turkey's attention. As Russia weakens, European influence will begin inching eastward into areas where Turkey has historical interests, such as the northern shore of the Black Sea. We can foresee Turkey projecting its power northward certainly commercially and politically but also potentially in some measured military way. Moreover, as the European Union fragments and individual economies weaken or some nations become oriented toward the East, Turkey will increase its presence in the Balkans as the only remaining power able to do so.
Before this can happen, Turkey must find a domestic political balance. It is both a secular and Muslim country. The current government has attempted to bridge the gap, but in many ways it has tilted away from the secularists, of whom there are many. A new government will certainly emerge over the coming years. This is a permanent fault line in contemporary Turkey. Like many countries, its power will expand in the midst of political uncertainty. Alongside this internal political conflict, the military, intelligence and diplomatic service will need to evolve in size and function during the coming decade. That said, we expect to see an acceleration of Turkey's emergence as a major regional power in the next 10 years.
East Asia
China has ceased to be a high-growth, low-wage economy. As China's economy slows, the process of creating and organizing an economic infrastructure to employ low-wage workers will be incremental. What can be done quickly in a port city takes much longer in the interior. Therefore, China has normalized its economy, as Japan did before it, and as Taiwan and South Korea did in 1997. All massive expansions climax, and the operations of the economies shift.
The problem for China in the next decade are the political and social consequences of that shift. The coastal region has been built on high growth rates and close ties with European and American consumers. As these decline, political and social challenges emerge. At the same time, the expectation that the interior — beyond parts of the more urbanized Yangtze River Delta — will grow as rapidly as the coast is being dashed. The problem for the next decade will be containing these difficulties.
Beijing's growing dictatorial tendencies and an anti-corruption campaign, which is actually Beijing's assertion of its power over all of China, provide an outline of what China would like to see in the next decade. China is following a hybrid path that will centralize political and economic powers, assert Party primacy over the military, and consolidate previously fragmented industries like coal and steel amid the gradual and tepid implementation of market-oriented reforms in state-owned enterprises and in the banking sector. It is highly likely that a dictatorial state coupled with more modest economic expectations will result. However, there is a less likely but still conceivable outcome in which political interests along the coast rebel against Beijing's policy of transferring wealth to the interior to contain political unrest. This is not an unknown pattern in China, and, though we do not see this as the most likely course, it should be kept in mind. Our forecast is the imposition of a communist dictatorship, a high degree of economic and political centralization and increased nationalism.
China cannot easily turn nationalism into active aggression. China's geography makes such actions on land difficult, if not impossible. The only exception might be an attempt to take control of Russia's maritime interests if we are correct and Russia fragments. Here, Japan likely would challenge China. China is building a large number of ships but has little experience in naval warfare and lacks the experienced fleet commanders needed to challenge more experienced navies, including the U.S. Navy.
Japan has the resources to build a significantly larger navy and a more substantial naval tradition. In addition, Japan is heavily dependent on imports of raw materials from Southeast Asia and the Persian Gulf. Right now it depends on the United States to guarantee access. But given that we are forecasting more cautious U.S. involvement in foreign ventures and that the United States is not dependent on imports, the reliability of the United States is in question. Therefore, the Japanese will increase their naval power in the coming years.
Fighting over the minor islands producing low-cost and unprofitable energy will not be the primary issue in the region. Rather, an old three-player game will emerge. Russia, the declining power, will increasingly lose the ability to protect its maritime interests. The Chinese and the Japanese will both be interested in acquiring these and in preventing each other from having them. We forecast this as the central, unsettled issue in the region as Russia declines and Sino-Japanese competition increases.
Post-China Manufacturing Hubs
International capitalism requires a low-wage, high-growth region for high rewards on risk capital. In the 1880s it was the United States, for example. China was the most recent region, replacing Japan. No one country can replace China, but we have noted 16 countries with a total population of about 1.15 billion people where entry-level manufacturing has gone after leaving China.
Bueno pues.., ¡Mira tu por dónde! No sólo en Bolivia se nacionaliza la distribución de la electricidad. En Alemania lo están haciendo y no nos dicen nada ¿Por qué será?Un ayuntamiento gestionando su recogida de basuras no es "nacionalizar" el servicio. El engaño con el cambio de escala es muy burdo, de todas formas es una iniciativa aplaudible en la pequeña escala.
[...]
72 eléctricas municipales en Alemania, promovidas por sus vecinos y subiendo...
Bueno pues.., ¡Mira tu por dónde! No sólo en Bolivia se nacionaliza la distribución de la electricidad. En Alemania lo están haciendo y no nos dicen nada ¿Por qué será?Un ayuntamiento gestionando su recogida de basuras no es "nacionalizar" el servicio. El engaño con el cambio de escala es muy burdo, de todas formas es una iniciativa aplaudible en la pequeña escala.
[...]
72 eléctricas municipales en Alemania, promovidas por sus vecinos y subiendo...
Pero me queda la duda de porqué cuando el pueblo decide privatizar esos mismos servicios, salís en tromba a decir "ej que no hay democracia". Lo vimos en Bankia, cuando políticos, empresarios y sindicalistas hacían de la "democracia" su forma de vida.
Supongo que será que en Alemania hay democracia y aqui no.
Aunque el resto de los 12.000 municipios tengan "privatizados" los servicios energéticos.
Será que a ellos la democracia todavía no ha llegado :rofl:
Respecto al tema eléctrico. Existe un gran límite técnico/tecnológico y es el almacenamiento, el problema de las renovables es que producen cuando producen ,es decir si hay sol o viento, en cambio la demanda es constante , aunque varía 100% del día (mas consumo) a la noche(menos consumo. Los costes de crear un sistema de almacenaje a base de baterías de ion-litio,níquel-cadmio o del tipo que sean son estratosféricos aparte de que la producción mundial no puede suplir actualmente una demanda tan grande. La única solución es la existente, complementar la energía renovable con las convencionales y esto solo se consigue con grandes infraestructuras (centrales nucleares, ciclos combinados, centrales de carbón...) que difícilmente pueden ser controladas por cooperativas. Eso no quita que plante unas cuantas placas solares el que lo desee.El asunto es que esa mala gestión revela la extrema inutilidad de la casta, y lo digo asi, casta politica y empresarial, que era tan inutil para creerse de verdad que esto ya era pa siempre.
A veces veo que se critica la privatización de las eléctricas como causa del coste energético que estamos soportando, y de hecho lo que ha provocado el caos actual ha sido la mala política energética de los sucesivos gobiernos. Se ha creado un sistema sobredimensionado, con un déficit tarifario para competir en costes con nuestros vecinos, y también , pero en menor medida, se han pagado unos sueldos excesivos en el sector energético, aunque eso,actualmente se está resolviendo en subcontratas. Todo esto unido a un descenso de consumo debido a la crisis, ha hecho muy difícil amortizar las centrales montadas.
Que ha pasado? Pues que subían el precio, pero entonces la gente consumía menos, y así sucesivamente. Solución? Pues subir la parte fija, es decir la potencia contratada.
No mezclemos privatización con mala gestión.
Eso no quiere decir que este o no esté a favor de la privatización. De lo que estoy a favor es de la buena gestión.
Respecto al tema eléctrico. Existe un gran límite técnico/tecnológico y es el almacenamiento, el problema de las renovables es que producen cuando producen ,es decir si hay sol o viento, en cambio la demanda es constante , aunque varía 100% del día (mas consumo) a la noche(menos consumo. Los costes de crear un sistema de almacenaje a base de baterías de ion-litio,níquel-cadmio o del tipo que sean son estratosféricos aparte de que la producción mundial no puede suplir actualmente una demanda tan grande. La única solución es la existente, complementar la energía renovable con las convencionales y esto solo se consigue con grandes infraestructuras (centrales nucleares, ciclos combinados, centrales de carbón...) que difícilmente pueden ser controladas por cooperativas. Eso no quita que plante unas cuantas placas solares el que lo desee.El asunto es que esa mala gestión revela la extrema inutilidad de la casta, y lo digo asi, casta politica y empresarial, que era tan inutil para creerse de verdad que esto ya era pa siempre.
A veces veo que se critica la privatización de las eléctricas como causa del coste energético que estamos soportando, y de hecho lo que ha provocado el caos actual ha sido la mala política energética de los sucesivos gobiernos. Se ha creado un sistema sobredimensionado, con un déficit tarifario para competir en costes con nuestros vecinos, y también , pero en menor medida, se han pagado unos sueldos excesivos en el sector energético, aunque eso,actualmente se está resolviendo en subcontratas. Todo esto unido a un descenso de consumo debido a la crisis, ha hecho muy difícil amortizar las centrales montadas.
Que ha pasado? Pues que subían el precio, pero entonces la gente consumía menos, y así sucesivamente. Solución? Pues subir la parte fija, es decir la potencia contratada.
No mezclemos privatización con mala gestión.
Eso no quiere decir que este o no esté a favor de la privatización. De lo que estoy a favor es de la buena gestión.
Porque ampliar potencia y tener esas previsiones de crecimiento no se vota, lo cual revela la cruda realidad, que tenemos una casta que se creyo el mismo tinglado que creaba (tenemos hasta una princesa visillera) , luego viene CHOSEN y nos dice que mejor que la gente no decida... pues hoyga seguro que peor no lo hubiese hecho.
Respecto al tema eléctrico. Existe un gran límite técnico/tecnológico y es el almacenamiento, el problema de las renovables es que producen cuando producen ,es decir si hay sol o viento, en cambio la demanda es constante , aunque varía 100% del día (mas consumo) a la noche(menos consumo. Los costes de crear un sistema de almacenaje a base de baterías de ion-litio,níquel-cadmio o del tipo que sean son estratosféricos aparte de que la producción mundial no puede suplir actualmente una demanda tan grande. La única solución es la existente, complementar la energía renovable con las convencionales y esto solo se consigue con grandes infraestructuras (centrales nucleares, ciclos combinados, centrales de carbón...) que difícilmente pueden ser controladas por cooperativas. Eso no quita que plante unas cuantas placas solares el que lo desee.
A veces veo que se critica la privatización de las eléctricas como causa del coste energético que estamos soportando, y de hecho lo que ha provocado el caos actual ha sido la mala política energética de los sucesivos gobiernos. Se ha creado un sistema sobredimensionado, con un déficit tarifario para competir en costes con nuestros vecinos, y también , pero en menor medida, se han pagado unos sueldos excesivos en el sector energético, aunque eso,actualmente se está resolviendo en subcontratas. Todo esto unido a un descenso de consumo debido a la crisis, ha hecho muy difícil amortizar las centrales montadas.
Que ha pasado? Pues que subían el precio, pero entonces la gente consumía menos, y así sucesivamente. Solución? Pues subir la parte fija, es decir la potencia contratada.
No mezclemos privatización con mala gestión.
Eso no quiere decir que este o no esté a favor de la privatización. De lo que estoy a favor es de la buena gestión.
El problema es que ahora tenemos un problemón con la energía eléctrica en españa, que difícilmente se puede salir de él sin pagar el pato por la mala gestión
Respecto al tema eléctrico. Existe un gran límite técnico/tecnológico y es el almacenamiento, el problema de las renovables es que producen cuando producen ,es decir si hay sol o viento, en cambio la demanda es constante , aunque varía 100% del día (mas consumo) a la noche(menos consumo. Los costes de crear un sistema de almacenaje a base de baterías de ion-litio,níquel-cadmio o del tipo que sean son estratosféricos aparte de que la producción mundial no puede suplir actualmente una demanda tan grande. La única solución es la existente, complementar la energía renovable con las convencionales y esto solo se consigue con grandes infraestructuras (centrales nucleares, ciclos combinados, centrales de carbón...) que difícilmente pueden ser controladas por cooperativas. Eso no quita que plante unas cuantas placas solares el que lo desee.
No es del todo asi, en hidroelectricas siempre se ha almacenado energia de superavit bombeando agua a depositos elevados para compensar la demanda y ha funcionado toda la vida muy bien. En termosolar de concentracion ahora esta el sistema de sales liquidas que hace que la central siga funcionando hasta bien entrada la noche por el calor residual. Y para los otros metodos las soluciones de almacenaje ya estan casi ahi, desde los acumuladores de grafeno que no les queda tanto hasta soluciones antiguas "low tech" actualizadas a materiales modernos como las baterias inerciales y que no necesitan de ningun elemento raro ni estrategico.
Lo de los ciclos combinados por si solo daria para un hilo. Hace falta tener a la chusma politica comiendo de la mano para que se te pague por no producir nada mas que una mala excusa.
[...] al final termina pagando el pato el gobierno, es decir los Españoles
Respecto al tema eléctrico. Existe un gran límite técnico/tecnológico y es el almacenamiento, el problema de las renovables es que producen cuando producen ,es decir si hay sol o viento, en cambio la demanda es constante , aunque varía 100% del día (mas consumo) a la noche(menos consumo. Los costes de crear un sistema de almacenaje a base de baterías de ion-litio,níquel-cadmio o del tipo que sean son estratosféricos aparte de que la producción mundial no puede suplir actualmente una demanda tan grande. La única solución es la existente, complementar la energía renovable con las convencionales y esto solo se consigue con grandes infraestructuras (centrales nucleares, ciclos combinados, centrales de carbón...) que difícilmente pueden ser controladas por cooperativas. Eso no quita que plante unas cuantas placas solares el que lo desee.
No es del todo asi, en hidroelectricas siempre se ha almacenado energia de superavit bombeando agua a depositos elevados para compensar la demanda y ha funcionado toda la vida muy bien. En termosolar de concentracion ahora esta el sistema de sales liquidas que hace que la central siga funcionando hasta bien entrada la noche por el calor residual. Y para los otros metodos las soluciones de almacenaje ya estan casi ahi, desde los acumuladores de grafeno que no les queda tanto hasta soluciones antiguas "low tech" actualizadas a materiales modernos como las baterias inerciales y que no necesitan de ningun elemento raro ni estrategico.
Lo de los ciclos combinados por si solo daria para un hilo. Hace falta tener a la chusma politica comiendo de la mano para que se te pague por no producir nada mas que una mala excusa.
Respecto a las hidroeléctricas, tenemos la cuenca hidrográfica que tenemos, esto no es Noruega.
Respecto a la termosolar, diría que es viable en zonas muy asoleadas-calurosas creo, aparte de que no siempre hace sol.
Respecto al grafeno: Bueno ya sabemos que el grafeno lo resolverá todo.... cuando vea algo de grafeno hablamos.
No es tan fácil, y sin ser un experto, el almacenaje lo veo muy lejos.
Respecto a las centrales de ciclo combinado: Totalmente de acuerdo, pero piense usted que en este tipo de infraestructuras el gobierno de España siempre funciona como promotor o avalista, sino, nadie construiría una central porque el banco no le prestaría el dinero que cuesta. En el fondo pasa igual en las autopistas privadas,el estado paga si no funcionan. La idea es que el Estado quiere hacer una infraestructura ya sea una central, una autopista o un puerto, y para hacerlo no quiere hipotecarse y aumentar el déficit, entonces traspasa la construcción gestión a una empresa privada a cambio de quedarse con el beneficio de explotación, el problema es que el elevado coste que tienen este tipo de infraestructuras provoca que solo las construyen si en última instancia avala el Estado, porque se financian a base de crédito. Y si en origen se ha hecho un estudio de viabilidad manipulado o irreal (que suele ocurrir, para justificar la infraestructura, véase la previsión de trafico en las atopistas) al final termina pagando el pato el estado, es decir los Españoles
[...]
En España (por diversas razones a las que no me extenderé) tenemos y hemos tenido históricamente un gran déficit en cuanto a todo tipo de asociaciones civiles. No es algo casual, ni mucho menos, es más, parte de nuestro subdesarrollo social viene por ahí, el franquismo ya se cuidó muy mucho de desactivarlo.., de ahí también nuestro déficit democrático, algo que, por cierto, parece despertar en no pocos sectores por fin (debe ser por eso de que la letra con sangre entra).
[...]
[...]
J.D.L.: Y los libertarios que hacían.
J: R. El problema fue que la CNT, no tuvo tiempo de consolidarse como sindicato independiente que defendiera a los trabajadores sin pactar con el poder. Por otro lado los Pactos de la Moncloa fueron utilizados por los partidos políticos para repartirse el Franquismo, lo que yo ahora llamo no hay una democracia, sino un franquismo de partidos, al pactar, ellos y el PSOE se repartieron el pastel franquista para acabar con la incipiente sociedad civil que se estaba organizando, fuera o no libertaria y acabar con los movimientos sociales,
Esto lo ves claramente lo ocurrido con las Asociaciones de Vecinos, órganos populares de base. A partir de cierto momento fueron orquestados por los comunistas, en el 77 cuando surgen los ateneos libertarios la gente se da cuenta que las AAVV, eran órganos del poder del PSOE –PCE, cuando llegan a los ayuntamientos. Excepto en el País Vasco, este detalle es importante, los ayuntamientos a todos lo dirigentes los cooptan y prometen descentralización municipal, educación…. todo esto ha sido mentira, los partidos fagocitaron a los lideres de las AAVV.
J.D.L.: Ellos, los del PSOE, no tenían mucha gente en aquellos años para llenar esa estructura del estado.
J.R.: La universidad se lo quedo PCE, los ayuntamientos el PSOE y el mundo del poder se lo quedo UCD y los franquistas. Yo entiendo los políticos en la transición a Suárez y a Carrillo. Carrillo tenía la obsesión del Pacto Histórico, la Reconciliación Nacional, puedo entender que no tenia que repetirse una Guerra Civil. Por otro lado Suárez curiosamente y cuanto mas lo estudias, paradójicamente, fue el presidente mas demócrata que ha habida aunque viniera del franquismo, pero trajo la democracia parlamentaria, Suárez no se metió con la prensa, dijo No a la OTAN.
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[url]http://www.alasbarricadas.org/noticias/node/6852[/url] ([url]http://www.alasbarricadas.org/noticias/node/6852[/url])
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Ribas hablaba también de cómo la transición política española, que pintaba de fábula en los 70, fue chamuscada por los partidos políticos. Los que cumplimos unos cuantos años, sabemos que paradójicamente fue el PSOE el más eficaz en la destrucción sistemática de toda fuerza popular organizada –la llamada sociedad civil- que se venía mostrando tan valiosa: asociaciones de vecinos, de amas de casa, de barrio, de consumidores, de estudiantes, de mujeres, de amantes del tango, todos contribuían a mejorar la vida común, no era fácil que transigieran con las gracietas de los políticos. ¿Dónde se fueron esas gentes valerosas?, como diría Bob Dylan.
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[url]http://www.cuartopoder.es/otromilagro/a-proposito-de-ajoblanco/2365[/url] ([url]http://www.cuartopoder.es/otromilagro/a-proposito-de-ajoblanco/2365[/url])
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Así los Ateneos resurgen como lugar de encuentro, de cultura y de lucha social. Sin embargo hacia 1979 muchas asociaciones de vecinos van siendo cooptadas por los partidos políticos de izquierda, captando a algunos de sus militantes clave y desactivando las reivindicaciones en los barrios. El asociacionismo que hubo en los años 70 fue decayendo hasta 1982. Es el proceso que se conoce como "desencanto". De aquella época sobrevive el Ateneu Popular de Nou Barris, en Barcelona, que fue resultado de una okupación vecinal.
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[url]http://es.wikipedia.org/wiki/Ateneo_popular#Transici.C3.B3n[/url] ([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Ateneo_popular#Transici.C3.B3n[/url])
[...]
Para el movimiento de la radio libre el año 1984 fue un año de una actividad frenética. A las protestas por una serie de cierres de emisoras en diversos puntos del país se une la celebración, de nuevo en Madrid, del VII Encuentro Estatal de Radios Libres. Se produce un recrudecimiento de la actitud de las autoridades con respecto a las radios libres. Se reciben apercibimientos de cierre, se abren expedientes e incluso se llegan a clausurar algunas emisoras en diversos puntos de la península. A pesar del apoyo mostrado por personalidades del momento – “desde Javier Solana, pasando por Enrique Tierno Galván, hasta numerosos concejales socialistas” 39 – esta actitud contraria a las radios libres se mantendría en el seno del gobierno y se vería reflejada en sus actuaciones, que serían “un flaco servicio a esa promesa de libertad y transformación de la sociedad que llevó al PSOE a ganar las elecciones” mientras que el movimiento de la radio libre “no parará hasta conseguir la reapertura de las radios clausuradas y el reconocimiento de su existencia” .
[...]
[url]http://dialnet.unirioja.es/descarga/articulo/4052252.pdf[/url] ([url]http://dialnet.unirioja.es/descarga/articulo/4052252.pdf[/url])
[...] al final termina pagando el pato el gobierno, es decir los Españoles
El Gobierno no, el Estado.
Para el carro... que el franquismo en ese sentido no fue, sin pretenderlo, tan malo. Cierto es que a la dictadura cualquier reunión de más de tres personas no le gustaba, con las naturales excepciones de toros, fútbol, misas y similares. Lo paradójico, y sin que en ningún caso la dictadura la pretendiese, es que tanta represión sembró la semilla del asociacionismo en España.
Yo te lo explico para que lo entiendas.
En España (por diversas razones a las que no me extenderé) tenemos y hemos tenido históricamente un gran déficit en cuanto a todo tipo de asociaciones civiles.
Yo te lo explico para que lo entiendas.
En España (por diversas razones a las que no me extenderé) tenemos y hemos tenido históricamente un gran déficit en cuanto a todo tipo de asociaciones civiles.
Estimado Mapkc ¿puedes aceptar que hay asociaciones civiles que defienden voluntariamente la privatización de los servicios públicos?
::)
¿O es que ellos no merecen ser llamados demócratas?
En la España nacionalsocialista de los 60 los servicios públicos estaban nacionalizados.
No se si te parece bien o mal...
El término sociedad civil, como concepto de la ciencia social, designa a la diversidad de personas que, con categoría de ciudadanos y generalmente de manera colectiva, actúan para tomar decisiones en el ámbito público que consideran a todo individuo que se halla fuera de las estructuras gubernamentales.
La sociedad civil se concibe como el espacio de vida social organizada que es voluntariamente autogenerada, independiente, autónoma del estado y limitada por un orden legal o juego de reglas compartidas. Involucra a ciudadanos actuando colectivamente en una esfera pública para expresar sus intereses, pasiones e ideas, intercambiar información alcanzando objetivos comunes.
No conozco ni sé de asociaciones civiles, iniciativas civiles o algún tipo de sociedad civil que defienda privatización alguna (creo que eso usa de otra terminología). Suena a oxímoron.
Puedes explicarme porque... ¿o vas a volver a decirme que Tania Sanchez es de derechas? ::)
Tan pronto como estas irreverentes declaraciones llegaron a Atenas, la salida en tromba de los miembros del Gobierno heleno no se hizo esperar, en una escalada de reacciones a cual más subida de tono. Uno de ellos, Nikos Pappas, un amigo de la infancia de Tsipras y ministro del Estado, apareció en televisión para respaldar a Varoufakis
Respecto a la visita de la Troika, Varoufakis sostuvo en la entrevista que los funcionarios enviados no pisarán un solo Ministerio.
Según tu, la formación Podemos es derecha pura y dura.
Tania Sanchez era la candidata por IU a Madrid.
...
el resto ya lo sabes ::) (aunque no lo viste hasta que lo tuviste encima, como todo lo demás)
En otro orden de cosas más interesantes...
[url]http://vozpopuli.com/economia-y-finanzas/58969-sch-uble-califica-a-varoufakis-de-estupidamente-naif-y-causa-una-gran-bronca-con-grecia[/url] ([url]http://vozpopuli.com/economia-y-finanzas/58969-sch-uble-califica-a-varoufakis-de-estupidamente-naif-y-causa-una-gran-bronca-con-grecia[/url])
Del desencuentro entre la nueva casta Griega y la vieja Europa:CitarTan pronto como estas irreverentes declaraciones llegaron a Atenas, la salida en tromba de los miembros del Gobierno heleno no se hizo esperar, en una escalada de reacciones a cual más subida de tono. Uno de ellos, Nikos Pappas, un amigo de la infancia de Tsipras y ministro del Estado, apareció en televisión para respaldar a Varoufakis
Ni Aznar tuvo tamaña desvergüenza, pero a éstos les perdona todo "porque son de los nuestros" :rofl:CitarRespecto a la visita de la Troika, Varoufakis sostuvo en la entrevista que los funcionarios enviados no pisarán un solo Ministerio.
Más nacionalistas resistiéndose a la fusión acreedor-deudor.
Esto si que es hidalguía y no lo que tenemos en Hispania.
En IU está integrado el PC, pero IU no es el partido comunista. Un partido comunista NUNCA y bajo ningún concepto colaboraría con otras fuerzas políticas, Podemos es la derecha de la derecha para cualquier comunista español o europeo, y si no que se lo pregunten al KKE qué piensa de Podemos o de Syriza.
En IU está integrado el PC, pero IU no es el partido comunista. Un partido comunista NUNCA y bajo ningún concepto colaboraría con otras fuerzas políticas, Podemos es la derecha de la derecha para cualquier comunista español o europeo, y si no que se lo pregunten al KKE qué piensa de Podemos o de Syriza.
[url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2039.msg127174#msg127174[/url] ([url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2039.msg127174#msg127174[/url])
Dices que el partido comunista está integrado en IU, pero que IU no es el partido comunista.
Si Podemos está a la derecha de la derecha para cualquier comunista ¿Donde deja eso a Podemos? ¿En el centro? :rofl:
Venga hombre. No me obligues a quotearte 50 páginas del debate de Podemos ::)
[url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2039.msg127157#msg127157[/url] ([url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2039.msg127157#msg127157[/url])
Es que con tantos vaivenes argumentales es normal que no recuerdes ni lo que escribes.
Cordialmente:
Asume que IU va a ser fagocitada por el socialismo científico de Podemos.
Así te será mas sencillo cambiarte la chaqueta después de las elecciones ::)
PD: pero si hastas IU tiene que llevar en las siglas la U de UNIDA para dejar claro que son mil facciones peleandose para ver cual es la que manda!!! :facepalm:
La UE sólo deja a cada eurodiputado ver dos horas el texto del tratado con Washington
Bruselas prometíó transparencia, pero prohíbe a los parlamentarios hablar de la información a la que tienen acceso, sólo pueden leer en una sala segura, sin dispositivos electrónicos ni bolígrafos, y siempre bajo vigilancia
[url]http://www.publico.es/politica/ue-deja-eurodiputado-ver-horas.html[/url] ([url]http://www.publico.es/politica/ue-deja-eurodiputado-ver-horas.html[/url])
Islandia retira su candidatura para ingresar en la Unión Europea
El país escandinavo solicitó formalmente su ingreso a Bruselas en 2009
Islandia atribuye su recuperación a haber rechazado aplicar la austeridad
Islandia camina hacia el 2% de paro tras dejar caer a sus bancos
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/03/12/actualidad/1426190934_707894.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/03/12/actualidad/1426190934_707894.html[/url])
A juzgar por la entrevista en Infolibre.com, sus posiciones son más gaullistas que bolivarianas.Tal vez el problema sea ese.
[...]
Francia mantuvo esta posición hasta 2004.
Cuando al pueblo se le promete patria es que se le va a hacer pasar hambre.
Le llaman tratado de “libre comercio”, pero no lo es
Este artículo cuestiona algunos de los argumentos que utilizan los defensores del Tratado de Libre Comercio entre EEUU y la Unión Europea, señalando que este tratado no facilitará el comercio entre los dos continentes, tal como sus proponentes asumen.
La gran mayoría de la población española no ha oído ni leído prácticamente nada sobre el llamado Tratado de Libre Comercio entre EEUU y la Unión Europea. Y lo poco que habrá leído u oído le habrá parecido que es un tema que debería favorecerse, pues un tratado con este título seguro que aumentará el comercio entre los dos lados del Atlántico Norte, y con ello la actividad económica y la creación de empleo. Los mayores medios de información y persuasión, en manos de grandes grupos financieros y empresariales, o bajo el control de opciones políticas próximas a estos intereses, seguro que proveerán las cajas de resonancia para que el lector, el oyente y el televidente de tales medios saque esta percepción de dicho tratado.
Y ahí está el problema, pues tal tratado afectará a la gran mayoría de la población en términos desfavorables a sus estándares de vida y al nivel de protección social que ha adquirido, protección que se debilitará considerablemente con la aplicación de ese tratado. Y la causa de que ello ocurra así y no de otra manera es consecuencia del enorme poder que los grandes conglomerados económicos y financieros tienen sobre el Estado federal de EEUU y sobre los Estados miembros de la Unión Europea. Y existe evidencia muy robusta de que ello será así. Solo basta mirar otros tratados semejantes para ver quién se ha beneficiado de ellos y quién ha salido perjudicado.
La experiencia de otros tratados de libre comercio
Hace algo más de un mes, el Premio Nobel de Economía Joseph Stiglitz escribió un artículo en el New York Times (31.01.15), significativamente titulado “No negocien con nuestra salud” (“Don’t Trade Away our Health”), en el que detallaba cómo la industria farmacéutica, una de las más poderosas en EEUU (y en Europa), estaba, en realidad, escribiendo las reglas del nuevo Tratado de Libre Comercio de la Asociación Trans-Pacífico (Trans-Pacific Partnership, TPP), que regula el intercambio internacional de fármacos en los países del Pacífico. El objetivo de dicha industria es crear sistemas de propiedad monopolística (que entran en conflicto, por cierto, con el libre comercio) que imposibiliten medidas que rompan con tal monopolio. Y la manera de conseguirlo es dar a la industria el poder para definir el precio de los productos farmacéuticos mediante el establecimiento de patentes, por un lado, e imposibilitando el desarrollo, venta y distribución de productos genéricos, no sujetos a patentes, por otro. Tener una patente quiere decir que la industria que ha producido el fármaco patentado tiene pleno control de la producción y distribución del producto durante un largo periodo de tiempo, lo cual le permite pedir el precio que quiera por el fármaco. El caso más conocido es la producción de la medicina que cura la Hepatitis C, cuyo precio en EEUU es nada menos que de 84.000 dólares por paciente, mientras que en la India, una versión genérica (no patentada) del fármaco se vende por menos de un 1% de ese precio.
De libre, tal comercio tiene muy poco
La intención del Tratado de Libre Comercio, desde el punto de vista de la industria farmacéutica, controlada por las grandes empresas estadounidenses y europeas, es dificultar al máximo la introducción de los productos genéricos no patentados. Y lo están consiguiendo. Como Stiglitz menciona, las normas del TPP en el comercio de fármacos las están escribiendo las grandes empresas farmacéuticas que, en la práctica, controlan la agencia federal de EEUU a cargo de regular el comercio internacional de fármacos, las cuales utilizan la gran influencia comercial y diplomática del gobierno federal de EEUU para aplicar estas normas a los once países del área del Pacífico que forman parte del tratado, donde la extensión de los genéricos ha alcanzado niveles alarmantes para las grandes empresas. Un tanto semejante ocurre en el propio EEUU, donde los genéricos, para muchos productos farmacéuticos, representan ya el 86% de todas las ventas de fármacos, lo cual ha significado un ahorro para el gobierno federal de nada menos que de 100.000 millones de dólares.
De ahí la movilización de tales grandes empresas farmacéuticas para revertir este proceso, utilizando como argumento la necesidad de aumentar el comercio, cuando, en realidad, la aplicación de sus propuestas es precisamente lo opuesto a lo que indican. Su exigencia a los Estados de permitirles un comportamiento monopolístico se basa en la necesidad de recuperar el dinero supuestamente invertido en el descubrimiento y producción del nuevo fármaco, argumento sobre el que varias investigaciones académicas, creíbles y rigurosas, muestran su gran falsedad, pues la mayoría de lo que definen como producción son, de hecho, gastos de marketing y promoción. En realidad, gran parte del conocimiento científico sobre el cual se producen los nuevos fármacos procede de universidades y centros de investigación, como los famosos Institutos Nacionales de Salud (National Institutes of Health), que son financiados públicamente, lo cual explica que un número creciente de economistas, como Dean Baker, Codirector del Center for Economic and Policy Research de Washington, estén proponiendo el final de las patentes, asignando a las autoridades públicas la tarea de producir tales fármacos, lo cual resultaría más económico para los Estados, pues se librarían de tener que pagar unos precios tan altos.
Una última observación. La única defensa que la ciudadanía tiene es hacer valer su influencia sobre las instituciones democráticas que, al menos en teoría, representan sus intereses, para exigir plena transparencia en la preparación de esos tratados, rompiendo con una opacidad que intenta ocultar el maridaje y la complicidad de los intereses particulares de lobbies económicos con las agencias reguladoras públicas cautivas de tales intereses.
Vicenç Navarro
[url]http://www.vnavarro.org/?p=11883[/url] ([url]http://www.vnavarro.org/?p=11883[/url])
Creo que no se ha comentado nada en el foro sobre el programa de ayer de Salvados. Estuvo muy bien, pero destacable un extrabajador de banca de inversión, Rainer Voss. Entrevista de muy alto nivel, y entrevistado nada al uso. Un gustazo. Acabó su intervención con algo leido más de una vez por aquí, esto es un problema antes político que económico......me recuerda vagamente a aquello de ppcc de lo de esto es un problema financiero......pero mucho más certero y profundo.... hechos y medidas.......vayamos a los hechos.....
[url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url] ([url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url])
salud
Creo que no se ha comentado nada en el foro sobre el programa de ayer de Salvados. Estuvo muy bien, pero destacable un extrabajador de banca de inversión, Rainer Voss. Entrevista de muy alto nivel, y entrevistado nada al uso. Un gustazo. Acabó su intervención con algo leido más de una vez por aquí, esto es un problema antes político que económico......me recuerda vagamente a aquello de ppcc de lo de esto es un problema financiero......pero mucho más certero y profundo.... hechos y medidas.......vayamos a los hechos.....
[url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url] ([url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url])
salud
Hay grados de ciencia.
La física lo es.
La economia un poco.
La politica menos.
Cuanto más lejos de ciencia pura, más fácil el deslizamiento a la ideología.
Sds
Creo que no se ha comentado nada en el foro sobre el programa de ayer de Salvados. Estuvo muy bien, pero destacable un extrabajador de banca de inversión, Rainer Voss. Entrevista de muy alto nivel, y entrevistado nada al uso. Un gustazo. Acabó su intervención con algo leido más de una vez por aquí, esto es un problema antes político que económico......me recuerda vagamente a aquello de ppcc de lo de esto es un problema financiero......pero mucho más certero y profundo.... hechos y medidas.......vayamos a los hechos.....
[url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url] ([url]http://www.atresplayer.com/television/programas/salvados/temporada-10/capitulo-6-funcionamiento-economa-financiera_2015031400122.html[/url])
salud
Los que ponen siempre la política antes que la economía, son los que al final ponen la ideología antes que la política.
La verdad sobre la peineta de Varoufakis a Alemania
Un presentador alemán reconoce que manipuló el vídeo que ha causado un gran revuelo en Alemania. Aunque el ministro griego negó que hubiera hecho ese gesto, los medios alemanes no pusieron en duda su autenticidad lanzando duras críticas contra él.
([url]http://estatico.vozpopuli.com/imagenes/Noticias/B3EA81B3-8DCA-9272-CF7A-D76A54AB107C.jpg/resizeCut/789-0-960/0-38-535/imagen.jpg[/url])
Yanis Varoufakis no es muy querido en Alemania, y mucho menos tras la polémica por la supuesta peineta que dedicó al país germano. El gesto causó un gran revuelo a principios de semana y, pese a que el propio ministro de Finanzas griego negó la autenticidad del vídeo, los medios germanos le señalaron ante tal falta de respeto.
Ha sido la confesión del responsable del vídeo, Jan Bohermann, la que ha tenido que poner fin a la polémica. El presentador ha detallado que el vídeo que el también presentador Günther Jauch mostró a Varoufakis durante una entrevista en directo, era fruto de un montaje realizado por el programa satírico Neo Magazin Royale, de la cadena pública ZDF. En dicha entrevista en directo, el griego advirtió que se trataba de una manipulación. "El vídeo es falso, sin duda. Nunca he levantado el dedo a nadie", dijo entonces Varoufakis.
El presentador del espacio televisivo no solo ha reconocido que manipuló los fotogramas del vídeo, sino que ha explicado cómo lo hizo. Y todo para demostrar la falta de rigor de sus colegas, que defendieron a ultranza que el griego había realizado el irrespetuoso gesto. Bohermann dijo que estuvo esperando desde el domingo a que alguien le preguntara si había falsificado el polémico vídeo, pero nadie lo puso en duda. "Lo siento señor Varoufakis. No lo volveremos a hacer", se disculpó el presentador.
Tras la confesión de Bohermann, el ministro griego dijo a los periodistas que ya dijo desde un principio que él no enseñó el dedo. "Los alemanes merecen mejores medios de comunicación", zanjó.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/59373-la-verdad-sobre-la-peineta-de-varoufakis-a-alemania[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/59373-la-verdad-sobre-la-peineta-de-varoufakis-a-alemania[/url])
FlipanteCitar
La verdad sobre la peineta de Varoufakis a Alemania
Un presentador alemán reconoce que manipuló el vídeo que ha causado un gran revuelo en Alemania. Aunque el ministro griego negó que hubiera hecho ese gesto, los medios alemanes no pusieron en duda su autenticidad lanzando duras críticas contra él.
([url]http://estatico.vozpopuli.com/imagenes/Noticias/B3EA81B3-8DCA-9272-CF7A-D76A54AB107C.jpg/resizeCut/789-0-960/0-38-535/imagen.jpg[/url])
Yanis Varoufakis no es muy querido en Alemania, y mucho menos tras la polémica por la supuesta peineta que dedicó al país germano. El gesto causó un gran revuelo a principios de semana y, pese a que el propio ministro de Finanzas griego negó la autenticidad del vídeo, los medios germanos le señalaron ante tal falta de respeto.
Ha sido la confesión del responsable del vídeo, Jan Bohermann, la que ha tenido que poner fin a la polémica. El presentador ha detallado que el vídeo que el también presentador Günther Jauch mostró a Varoufakis durante una entrevista en directo, era fruto de un montaje realizado por el programa satírico Neo Magazin Royale, de la cadena pública ZDF. En dicha entrevista en directo, el griego advirtió que se trataba de una manipulación. "El vídeo es falso, sin duda. Nunca he levantado el dedo a nadie", dijo entonces Varoufakis.
El presentador del espacio televisivo no solo ha reconocido que manipuló los fotogramas del vídeo, sino que ha explicado cómo lo hizo. Y todo para demostrar la falta de rigor de sus colegas, que defendieron a ultranza que el griego había realizado el irrespetuoso gesto. Bohermann dijo que estuvo esperando desde el domingo a que alguien le preguntara si había falsificado el polémico vídeo, pero nadie lo puso en duda. "Lo siento señor Varoufakis. No lo volveremos a hacer", se disculpó el presentador.
Tras la confesión de Bohermann, el ministro griego dijo a los periodistas que ya dijo desde un principio que él no enseñó el dedo. "Los alemanes merecen mejores medios de comunicación", zanjó.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/59373-la-verdad-sobre-la-peineta-de-varoufakis-a-alemania[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/59373-la-verdad-sobre-la-peineta-de-varoufakis-a-alemania[/url])
Calumnia, que algo queda. (Algo no, casi todo. La peineta la habrán visto treinta millones; la rectificación tres, con suerte.)
Edit: El video tocado
[url]http://www.youtube.com/watch?v=1KSmcUyAZwU#t=115[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=1KSmcUyAZwU#t=115[/url])
Un postproductor experimentado hace eso en dos o tres horas con un equipo de mil euros. No sé si habrá hecho la mano con photoshop o fotografiando su propia mano, pero lo demás, la sustitución, es trabajo rutinario. Está bien que salgan casos como éste, a ver si la gente empieza a desconfiar de estas cosas de forma espontánea. Si el periodista no canta, el Yanis se come el marrón.
La peineta de Varufakis es auténtica: el vídeo que la desmiente es una broma.
[...]
[url]http://www.libremercado.com/2015-03-19/la-peineta-de-varufakis-es-autentica-el-video-que-la-desmiente-es-una-broma-1276543537/[/url] ([url]http://www.libremercado.com/2015-03-19/la-peineta-de-varufakis-es-autentica-el-video-que-la-desmiente-es-una-broma-1276543537/[/url])
JEjejeje no se me había ocurrido la posibilidad de que la broma fuera el making off. QUé bueno...
En cualquier caso todo gira en torno a Nuke, un PC y un buen monitor. En ese video has visto lo sencillo que sería hacerlo.
Así que no sólo hay que desconfiar de los videos, si no también de los desmentidos. Es lo lógico. Simplemente, los video ahora son como dibujos, no sirven como prueba de nada. Ni siquiera en tiempo real, en riguroso directo. Hoy, un plano frontal controlado, como por ejemplo un presentador de informativos, es susceptible de ser alterado en 3D (cambiarle la cara por otra, o la de un gato si lo prefieres), en tiempo real. así, según sucede.
Hoy podría hacerse un video de Strauss Khan haciendo el Pedro J, o de Pablemos saliendo de Langley, o de Rajoy diciendo la verdad
La política es necesariamente después de la economía, porque así es en el origen. No se juntan 20 en una isla desierta sin más que ruidos en las tripas y se sientan a hablar sobre gasto social, ni de cómo redistribuir la nada.
Primero es la acumulación, el excedente (la primera agricultura, la primera producción), y después es la política, cuando ésta acumulación alcanza masa crítica, se expande y se hace necesario gestionarla.
Economía es la manera en que se produce y se distribuye. Lo malo es que para muchos la economía es lo que hace un Ministro de Economía. O lo que sale en las películas de Wall Street, o el Botín y el Rato... y entonces lo que están haciendo es ideología, pero preocupándose mucho por decir constantemente que hablan de política.
Peor para ellos.
La economía, no como ciencia ni como disciplina de estudio, sino como fenómeno, es antes, porque es antes de la organización política. De hecho, es la economía la que hace posible a la política.
Poniendo la política por delante es como hemos llegado hasta aquí, yendo en contra de la realidad a golpe de boletín: ya sea por Plan E o paseando al Cid muerto a caballo.
La economía, como fenómeno si quieres, implica necesariamente un juicio de valor sobre qué hacer con los recursos disponibles
Por aquí dicen que mañana Varoufakis va a hacer el papel de copiloto de la nave griega. Vamos a ver.
Por aquí dicen que mañana Varoufakis va a hacer el papel de copiloto de la nave griega. Vamos a ver.
Por aquí dicen que mañana Varoufakis va a hacer el papel de copiloto de la nave griega. Vamos a ver.
Oye, cuéntanos más, queremos de saber :troll:
Lunchtime summary: Clock ticking for Greece
A quick recap.
Greek officials are sitting down with their creditors in Brussels for another round of talks over the country’s reform plans, as time continues to run short.
Greece had been expected to present a final programme by today. But after a weekend of talks on the proposals submitted on Friday, Athens appears as far away as ever from receiving any of the €7bn of bailout funds that are outstanding.
Germany has insisted that Greece has not yet presented adequate plans, and cautioned that money won’t be released until reforms have been approved by the Athens parliament.
The Commission says that talks are continuing in an attempt to reach a credible and comprehensive conclusion.
Without a breakthrough, Greece is still expected to run out of funds in April.
Ilya Spivak, Currency Strategist, at DailyFX, explains:
“Investors fear that if external funding is not secured, a cash crunch and subsequent default may lead to the country’s exit from the Eurozone.
Such an outcome would be unprecedented, carrying with as-yet unknown implications for the financial markets at large.
Prime minister Alexis Tsipras is due to speak to the Greek parliament this evening, from 8pm local time or 6pm GMT.
Members of his own Syriza party sound increasingly concerned about the situation, and unhappy that measures including privatisating Greece’s Piraeus Port are going ahead.
Greece is proposing around €3bn of new tax revenue – partly from fighting tax evasion, and partly from raising VAT rates on Greece’s island and through a property tax he’d vowed to abolish. Its lenders, though, are concerned that the government is still not delivering reforms on pensions and the labour market.
The uncertainty has weighed on Greek bonds today, pushing yields higher.
On the economic front, though, the picture is brighter - with eurozone economic sentiment hitting a 44-month high.
And the eurozone’s flirtation with negative inflation may be ending - Germany’s CPI has turned positive, while Spanish prices are falling at a slower rate.
....... mantener un impopular impuesto del patrimonio que Syriza había prometido abolir. Esta última medida sería la más lucrativa para el Estado: podría recaudar unos 2.500 millones de euros de los 3.000 millones que están buscando.....
Syriza se niega a imponer más recortes en salarios y pensiones
Details of #Greece govt's reform & fiscal proposals [via @toxrima]:
- 2015 privatizations to bring in €1.5bn (€700ml less than previous target). Privatizations to include Piraeus Port Authority, 14 regional airports, Horse Racing Agency.
Fiscal measures are calculated to bring in €3.7bn. These measures are as follows:
- €725ml from tax checks in deposits that were sent abroad
– €350ml from fight against VAT fraud
– €350ml from TV licenses
– €600ml from tax & social security arrears arrangement
– €300ml from reform of Personal Tax Code
– €270ml from tax receipts lottery, acc to Portugal model
– €250ml from fight against oil and tobacco smuggling
– €225ml from enhanced tax collecting measures
– €200ml from Internet gambling
Cost of non-implementation of previous bailout measures up to €1bn:
– Greek gov't says will not implement automatic deficit cuts in supplementary pension funds (estimated ~€326ml)
– Christmas welfare for pensioners that live below poverty level (est. €600ml)
– Social Solidarity welfare program to remain intact (€82ml)
A bad bank for NPLs
– Greek gov't proposes setting up a bad bank in association with EIB, by using EFSF/HFSF's €10.9bn leftover monies and initiating a non-judicial settlement scheme.
Debt swaps
– Greek gov't proposes 'reprofiling' of the Greek debt to the Eurozone via a 'menu' of GDP-linked.
Drastic cut of early retirements
– Greek gov't proposes a drastic cut of early retirements and a cut in tax exemptions.
Greek gov't proposes eight reform bills
– Enhanced autonomy of the Tax Authority
– Drastic cut early retirements that 'undermine viability of pension system
- Personal tax reform bill and drastic cuts in tax exemptions
- Automatic clearing of tax payers' arrears and vice versa of State arrears to vendors & citizens
- Introduction of a bill for increased fiscal governance
- Non-judicial arrangement of Non-Performing Loans (NPLs)
- New Civil Law code that will enhance clearance of civil cases through electronic documents
- A new bill to enhance credibility and institutional independence of Hellenic Statistics Authority.
Siguen con el tira y afloja. Lo cierto es que de momento no les dan los fondos.
"No nos han dado más euros desde agosto, no hay ningún país en el mundo que pague sus deudas solo con sus recursos propios, sin pedir dinero prestado", señala Nikos Voutzis, ministro del Interior griego, a Der Spiegel.
También es cierto que no son los únicos metidos en esa locura de pagar la deuda con más deuda. Véase EEUU y Japón en la última década, brutal. Y ahora China, también. :roto2:
Pero dicho así es cierto que llama la atención.
Greece draws up drachma plans, prepares to miss IMF payment
'We are a Left-wing government. If we have to choose between a default to the IMF or a default to our own people, it is a no-brainer,' says senior Greek official
Greece is drawing up drastic plans to nationalise the country's banking system and introduce a parallel currency to pay bills unless the eurozone takes steps to defuse the simmering crisis and soften its demands.
Sources close to the ruling Syriza party said the government is determined to keep public services running and pay pensions as funds run critically low. It may be forced to take the unprecedented step of missing a payment to the International Monetary Fund next week.
Greece no longer has enough money to pay the IMF €458m on April 9 and also to cover payments for salaries and social security on April 14, unless the eurozone agrees to disburse the next tranche of its interim bail-out deal in time.
“We are a Left-wing government. If we have to choose between a default to the IMF or a default to our own people, it is a no-brainer,” said a senior official.
“We may have to go into a silent arrears process with the IMF. This will cause a furore in the markets and means that the clock will start to tick much faster,” the source told The Telegraph.
Syriza’s radical-Left government would prefer to confine its dispute to EU creditors but the first payments to come due are owed to the IMF. While the party does not wish to trigger a formal IMF default, it increasingly views a slide into pre-default arrears as a necessary escalation in its showdown with Brussels and Frankfurt.
The view in Athens is that the EU creditor powers have yet to grasp that the political landscape has changed dramatically since the election of Syriza in January and that they will have to make real concessions if they wish to prevent a disastrous rupture of monetary union, an outcome they have ruled out repeatedly as unthinkable.
“They want to put us through the ritual of humiliation and force us into sequestration. They are trying to put us in a position where we either have to default to our own people or sign up to a deal that is politically toxic for us. If that is their objective, they will have to do it without us,” the source said.
Going into arrears at the IMF – even for a few days – is an extremely risky strategy. No developed country has ever defaulted to the Bretton Woods institutions. While there would be a grace period of six weeks before the IMF board declared Greece to be in technical default, the process could spin out of control at various stages.
Syriza sources say are they fully aware that a tough line with creditors risks setting off an unstoppable chain-reaction. They insist that they are willing to contemplate the worst rather than abandon their electoral pledges to the Greek people. An emergency fall-back plan is already in the works.
“We will shut down the banks and nationalise them, and then issue IOUs if we have to, and we all know what this means. What we will not do is become a protectorate of the EU,” said one source. It is well understood in Athens such action is tantamount to a return to the drachma, even though Syriza would rather reach an amicable accord within EMU.
Eurozone creditors may be willing to release enough funds to cover Greece’s government costs on April 14, but only if Syriza pays the IMF first. However, trust has already collapsed to the point where key ministers in Greece no longer believe the assurances from Brussels, fearing they may be lured into a trap. The mood has become poisonous.
“They want us to impose capital controls and cause a credit crunch, until the government becomes so unpopular that it falls," said one official.
"They want make an example of us, and demonstrate that no government in the eurozone has a right to have mind of its own. They don’t believe that we will walk away, or that the Greek people will back us, and they are wrong on both counts,” he said.
Syriza is still hoping that German Chancellor Angela Merkel can defuse the crisis, deeming her a “real ally”, but fear that she will be confronted with a fait accompli beyond even her control.
Bank of America warned that a “critical sequence of events could unfold” once Greece misses a payment to the IMF. It would trigger a parallel default to the eurozone bail-out fund (EFSF) under the legal master agreement, and might force the EFSF to cancel its loan packages and demand immediate repayment. This in turn would trigger a default on Greek government bonds issued under the bail-out accord.
The situation is now critical. Even if Greece manages to cobble together enough money to cover the April deadline, it owes the IMF a further €200m on May 1 and €763m on May 12. A Greek official told EMU counterparts at a teleconference on Wednesday that the country has run out of money. "There is no way we can go beyond April 9," the official reportedly said.
The drama comes after the creditors refused to rubber stamp Athens' latest bid to unlock funds, raising objections over Syriza plans to boost union powers in collective bargaining and boost pensions for lower income groups.
Brussels continues to insist on more concrete pledges, despite receiving a 26-page list of reforms on Wednesday. Athens hopes to raise €6.1bn in 2015 by clamping down on fuel smuggling and tax evasion, introducing new levies on luxury goods, and reforming public procurement. It estimated funding needs at €19bn over the coming year, meaning that there will inevitably be fresh tensions over the summer even if there a deal on interim funds until June.
Former European Commission head Jose Manuel Barroso warned Greece that they have a moral obligation to other states, describing the demands for more time and money as "completely unacceptable".
“We should remember that there are poorer countries that are lending money to Greece, so to propose a cut to their debt would be certain to receive a no from their partners," he said.
Greece Nazi occupation: Athens asks Germany for 279bn euros
he Greek government says Germany owes Greece nearly €279bn (£204bn; $303bn) in war reparations for the Nazi occupation during World War Two.
It is the first time Greece has officially calculated what Germany allegedly owes it for Nazi atrocities and looting during the 1940s.
However, the German government says the issue was resolved legally years ago.
Greece's radical left Syriza government is making the claim while struggling to meet massive debt repayment deadlines.
Greek Prime Minister Alexis Tsipras raised the reparations issue when he met German Chancellor Angela Merkel in Berlin last month.
The new figure given by Greek Deputy Finance Minister Dimitris Mardas includes €10.3bn for an occupation loan that the Nazis forced the Bank of Greece to pay.
"According to our calculations, the debt linked to German reparations is 278.7bn euros," Mr Mardas told a parliamentary committee investigating responsibility for Greece's debt crisis.
Mr Mardas said the reparations calculation had been made by Greece's state general accounting office.
Berlin paid 115m Deutschmarks to Athens in 1960 in compensation - a fraction of the Greek demand. Greece says it did not cover payments for damaged infrastructure, war crimes and the return of the forced loan.
Germany insists the reparations issue was settled in 1990 legally and politically before Germany reunified.
Syriza politicians have frequently blamed Germany for the hardship suffered by Greeks under the tough bailout conditions imposed by international lenders.
Mr Tsipras is trying to renegotiate the €240bn EU-IMF bailout that saved Greece from bankruptcy. Greece has not received bailout funds since August last year, as the lenders are dissatisfied with the pace of Greek reforms.
A Greek repayment of €448m to the International Monetary Fund is due this Thursday.
Greek Finance Minister Yanis Varoufakis has said that Greece "intends to meet all obligations to all its creditors, ad infinitum".
CitarGreece draws up drachma plans, prepares to miss IMF payment
'We are a Left-wing government. If we have to choose between a default to the IMF or a default to our own people, it is a no-brainer,' says senior Greek official
Stunned Greeks React To Initial Capital Controls And The "Decree To Confiscate Reserves", And They Are Not Happy
Porcentaje de jóvenes adultos (18-34) viviendo en casa de sus padres (AEE, EEUU)
#1 Eslovaquia, 74%
#14 Spain 55%
USA 31,2%
último, Dinamarca 16%
[url]http://dadaviz.com/i/3896[/url] ([url]http://dadaviz.com/i/3896[/url])
ATHENS – Three months of negotiations between the Greek government and our European and international partners have brought about much convergence on the steps needed to overcome years of economic crisis and to bring about sustained recovery in Greece. But they have not yet produced a deal. Why? What steps are needed to produce a viable, mutually agreed reform agenda?
We and our partners already agree on much. Greece’s tax system needs to be revamped, and the revenue authorities must be freed from political and corporate influence. The pension system is ailing. The economy’s credit circuits are broken. The labor market has been devastated by the crisis and is deeply segmented, with productivity growth stalled. Public administration is in urgent need of modernization, and public resources must be used more efficiently. Overwhelming obstacles block the formation of new companies. Competition in product markets is far too circumscribed. And inequality has reached outrageous levels, preventing society from uniting behind essential reforms.
This consensus aside, agreement on a new development model for Greece requires overcoming two hurdles. First, we must concur on how to approach Greece’s fiscal consolidation. Second, we need a comprehensive, commonly agreed reform agenda that will underpin that consolidation path and inspire the confidence of Greek society.
Beginning with fiscal consolidation, the issue at hand concerns the method. The “troika” institutions (the European Commission, the European Central Bank, and the International Monetary Fund) have, over the years, relied on a process of backward induction: They set a date (say, the year 2020) and a target for the ratio of nominal debt to national income (say, 120%) that must be achieved before money markets are deemed ready to lend to Greece at reasonable rates. Then, under arbitrary assumptions regarding growth rates, inflation, privatization receipts, and so forth, they compute what primary surpluses are necessary in every year, working backward to the present.
The result of this method, in our government’s opinion, is an “austerity trap.” When fiscal consolidation turns on a predetermined debt ratio to be achieved at a predetermined point in the future, the primary surpluses needed to hit those targets are such that the effect on the private sector undermines the assumed growth rates and thus derails the planned fiscal path. Indeed, this is precisely why previous fiscal-consolidation plans for Greece missed their targets so spectacularly.
Our government’s position is that backward induction should be ditched. Instead, we should map out a forward-looking plan based on reasonable assumptions about the primary surpluses consistent with the rates of output growth, net investment, and export expansion that can stabilize Greece’s economy and debt ratio. If this means that the debt-to-GDP ratio will be higher than 120% in 2020, we devise smart ways to rationalize, re-profile, or restructure the debt – keeping in mind the aim of maximizing the effective present value that will be returned to Greece’s creditors.
Besides convincing the troika that our debt sustainability analysis should avoid the austerity trap, we must overcome the second hurdle: the “reform trap.” The previous reform program, which our partners are so adamant should not be “rolled back” by our government, was founded on internal devaluation, wage and pension cuts, loss of labor protections, and price-maximizing privatization of public assets.
Our partners believe that, given time, this agenda will work. If wages fall further, employment will rise. The way to cure an ailing pension system is to cut pensions. And privatizations should aim at higher sale prices to pay off debt that many (privately) agree is unsustainable.
By contrast, our government believes that this program has failed, leaving the population weary of reform. The best evidence of this failure is that, despite a huge drop in wages and costs, export growth has been flat (the elimination of the current-account deficit being due exclusively to the collapse of imports).
Additional wage cuts will not help export-oriented companies, which are mired in a credit crunch. And further cuts in pensions will not address the true causes of the pension system’s troubles (low employment and vast undeclared labor). Such measures will merely cause further damage to Greece’s already-stressed social fabric, rendering it incapable of providing the support that our reform agenda desperately needs.
The current disagreements with our partners are not unbridgeable. Our government is eager to rationalize the pension system (for example, by limiting early retirement), proceed with partial privatization of public assets, address the non-performing loans that are clogging the economy’s credit circuits, create a fully independent tax commission, and boost entrepreneurship. The differences that remain concern how we understand the relationships between the various reforms and the macro environment.
None of this means that common ground cannot be achieved immediately. The Greek government wants a fiscal-consolidation path that makes sense, and we want reforms that all sides believe are important. Our task is to convince our partners that our undertakings are strategic, rather than tactical, and that our logic is sound. Their task is to let go of an approach that has failed.
Inmigración & Deutschland
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-04-29/alemania-no-quiere-rumanos-los-conservadores-legislan-para-expulsarlos_784517/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-04-29/alemania-no-quiere-rumanos-los-conservadores-legislan-para-expulsarlos_784517/[/url])
Ser rumano en Alemania, como en otros países de Europa, no es fácil. Al estigma de los estereotipos se ha sumado ahora la iniciativa impulsada por el ala más conservadora del Gobierno de Merkel, que limita a seis meses la estancia de comunitarios que llegan al país y no encuentran empleo ni tienen expectativas de lograrlo. Una medida redactada con rumanos y búlgaros en mente y justificada con un supuesto abuso de las ayudas sociales.
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“A mí me parece muy mal. Me parece racismo. No pueden juzgar a todos por su nacionalidad”, se queja Marcus Stanescu. Este rumano tiene 25 años y ha vivido los últimos cuatro en Berlín. Criado en España, Marcus emigró a Alemania en busca del trabajo que le negaba la crisis en nuestro país. En una entrevista con El Confidencial explica que la locomotora europea le proporcionó casi de inmediato empleo –y desde entonces no ha parado–, pese a los prejuicios sociales y las trabas burocráticas para residir y trabajar en Alemania. La nueva ley le ha sentado como un mazazo.
La normativa, que acabó recientemente un largo trámite parlamentario, comenzó a fraguarse a finales de 2013. Entonces, desde la Unión Socialcristiana (CSU) de Baviera, el partido hermano de la Unión Cristianodemócrata (CDU) de Merkel, clave en los resultados electorales de la canciller, acuñaron el término “Sozialtourismus”, en referencia a los ciudadanos de otros estados de la Unión Europea (UE) que supuestamente aprovechaban su libertad de movimientos dentro del bloque para trasladarse a Alemania no con intención de trabajar, sino para disfrutar de los beneficios sociales de la mayor economía europea, desde las prestaciones por desempleo hasta las ayudas por hijo. La controversia arrancó casi a la vez que echaba a andar el nuevo Ejecutivo de Merkel –con la CSU a cargo de tres carteras– y justo cuando por fin rumanos y búlgaros comenzaban a disfrutar de la libre circulación dentro de la UE, como el resto de comunitarios, tras una larga prórroga.
El debate cuajó a nivel nacional y, para finales de enero de 2014, Merkel aseguró que no iba a tolerar “abusos” en la libre circulación de ciudadanos comunitarios ni a permitir que los inmigrantes recién llegados a Alemania tuviesen acceso “directo” a las prestaciones sociales. El pasado julio el Ejecutivo presentó el correspondiente proyecto de ley, que incluía la limitación a seis meses de estancia para los comunitarios recién llegados y en busca de empleo. Entonces se envió la propuesta a las cámaras legislativas, que en diciembre fue finalmente ratificada por el Bundestag.
La ley prevé que, tras los seis primeros meses de estancia en el país, los extranjeros comunitarios que no hayan encontrado trabajo y no tengan expectativas de obtenerlo vean cancelado su permiso de residencia. Esto, basado en legislaciones similares de otros países europeos, implicará la pérdida inmediata de los beneficios que conlleva este documento, como la asistencia sanitaria y otras prestaciones sociales. Berlín ha subrayado en todo momento que esta legislación cumple con la normativa europea.
El Gobierno alemán se ha visto especialmente respaldado en sus tesis por la sentencia del pasado noviembre del Tribunal de Justicia de la Unión Europea (TJUE), que falló en su favor al confirmar su derecho a negar algunas ayudas sociales a ciudadanos comunitarios si estos no desarrollan ninguna actividad económica ni buscan activamente trabajo. El fallo surgió a raíz de una disputa legal, precisamente, con una rumana de 25 años a la que su oficina de empleo alemana le negó las ayudas sociales que, en principio, están previstas para todos los ciudadanos de la UE. La joven, con un hijo, vive con su hermana en Leipzig desde hace cinco años y no consta que haya buscado empleo. Además de los 184 euros mensuales que percibe por tener un menor a su cargo, solicitó la ayuda estatal básica para aquellos sin ingresos ni activos, de 391 euros. Esto desató el caso.
Encontrar trabajo en dos semanas
Marcus recuerda aún con terror cuánto le costó tener sus papeles en regla al llegar a Alemania, en 2011, junto a su novia española. Ella, comunitaria de pleno derecho, accedió rápidamente al mercado laboral, aunque fuese a unas prácticas. Él tuvo que patear varias oficinas y entregar multitud de documentos hasta que obtuvo el permiso de residencia y trabajo. “Cuando llegué tuve que entregar un montón de papeles”, afirma. Entonces aún no había explotado el debate sobre el “Sozialtourismus”, pero los rumanos todavía no tenían libertad total de movimientos dentro de la UE pese a que su país se había integrado en el bloque en 2007. Sin embargo, a las dos semanas de llegar a la capital alemana, Marcus tenía trabajo. Cinco euros la hora en la cocina de un elegante restaurante mexicano del centro de Berlín.
“Para cuando llevaba dos semanas en Berlín, ya estaba trabajando. Yo no vine para perder el tiempo”, explica este joven, al que sorprendió entonces la cantidad de empleo disponible que había en Alemania en comparación con España. “Mandé 20 currículos y me llamaron de todos para hacer una entrevista. Estaba flipando: ¡Había trabajo!”, cuenta Marcus, que entre 2000 y 2011 vivió en distintas localidades de la provincia de Zaragoza, siguiendo los empleos que encontraba su padre en el sector de la construcción durante los años de la burbuja.
Aquí he vivido el racismo. En el autobús, en las tiendas... Como me he criado en España, digo muchas veces que soy español
Las condiciones laborales que encontró Marcus en sus primeros pasos por Berlín no eran las mejores, pero necesitaba un empleo relativamente estable, sobre todo a jornada completa, porque no podía recurrir a los denominados “minijobs”, esos empleos parciales de 40 horas y 450 euros al mes como máximo. “Soy diabético y los 'minijobs' no incluyen seguridad social”, explica. Actualmente, como autónomo debe aportar mensualmente unos 250 euros a la seguridad social, pero sus medicinas cuestan más.
Desde aquellos primeros días en Berlín, Marcus ha ejercido de cocinero, camarero, albañil, pintor, electricista y carpintero, ha realizado labores generales de mantenimiento, de decorador y de limpieza… Y seguro que alguna cosa más. “No he estado en paro nunca. Sí, bueno, una semana”, reconoce, y relata a continuación cómo se vio metido en un embrollo burocrático por haber tardado tan poco tiempo en conseguir un nuevo empleo. Al final, le obligaron a devolver la única prestación que ha cobrado en Alemania por no tener trabajo, según su relato.
“Aquí vives el racismo. En el bus, en tiendas…”
Pese a que la mayor economía europea le ha dado el empleo que España le negaba, Marcus no siente que Berlín sea su sitio, por razones más profundas que el desapacible clima o el carácter de la gente. “Aquí he vivido el racismo. Mil historias. En el autobús, en las tiendas...”, asegura. “Como me he criado en España, aquí digo muchas veces que soy español. Simplemente porque sé lo que hay en sus cabezas”, asegura.
Esos prejuicios contra los rumanos (y los búlgaros) que prevalecen en gran parte de Europa, pueden tener algún fundamento, reconoce Marcus, pero son una generalización que acarrea grandes injusticias para una mayoría normalmente silenciosa, entre los que se encuentra también él. “Algunos no vienen en plan legal, (…) no vienen a ganar dinero con el sudor”, reconoce sin medias tintas. Marcus habla, con una sinceridad que no entiende de corrección política ni corporativismos, de una forma de vida extendida en algunos sectores de su país, y entre los que hay personas de raza gitana, donde prevalece, a toda costa, el interés por aparentar. “Tienen que demostrar siempre. Tienen una competencia increíble entre ellos”, describe. Esto les lleva al extremo de caer en la ilegalidad: “Quieren dinero fácil y rápido para comprarse un coche o una casa”.
“Aquí vives el racismo. En el bus, en tiendas…”
Pese a que la mayor economía europea le ha dado el empleo que España le negaba, Marcus no siente que Berlín sea su sitio, por razones más profundas que el desapacible clima o el carácter de la gente. “Aquí he vivido el racismo. Mil historias. En el autobús, en las tiendas...”, asegura. “Como me he criado en España, aquí digo muchas veces que soy español. Simplemente porque sé lo que hay en sus cabezas”, asegura.
Esos prejuicios contra los rumanos (y los búlgaros) que prevalecen en gran parte de Europa, pueden tener algún fundamento, reconoce Marcus, pero son una generalización que acarrea grandes injusticias para una mayoría normalmente silenciosa, entre los que se encuentra también él. “Algunos no vienen en plan legal, (…) no vienen a ganar dinero con el sudor”, reconoce sin medias tintas. Marcus habla, con una sinceridad que no entiende de corrección política ni corporativismos, de una forma de vida extendida en algunos sectores de su país, y entre los que hay personas de raza gitana, donde prevalece, a toda costa, el interés por aparentar. “Tienen que demostrar siempre. Tienen una competencia increíble entre ellos”, describe. Esto les lleva al extremo de caer en la ilegalidad: “Quieren dinero fácil y rápido para comprarse un coche o una casa”.
¿Y los datos del supuesto fraude?
¿Qué explica esta ley? El cálculo político, según los sindicatos y la oposición. La Confederación Alemana de Sindicatos (DGB) y Los Verdes han acusado al Gobierno alemán de reaccionar ante un problema inexistente y de no aportar datos que demuestren el supuesto fraude masivo frente al que pretenden reaccionar con esta norma. La organización no gubernamental Cáritas, de la Iglesia católica, ha lamentado por su parte los prejuicios que empañan este debate y la “falsa imagen” que ofrece el Ejecutivo sobre los inmigrantes rumanos y búlgaros. El presidente del Consejo Central de los Gitanos Alemanes, Romani Rose, ha tachado de “populista” este endurecimiento de la ley y criticado la acusación generalizada de fraude.
La CSU está reafirmándose en su espacio político. Su lema, según dijo su gran patriarca, Franz Josef Strauß, es que no haya ningún partido “con legitimidad democrática” a su derecha. Y, de pronto, ha aparecido la euroescéptica y conservadora Alternativa por Alemania (AfD), una estrella política ascendente, aunque aún con sólo un 6 o 7% de intención de voto a nivel nacional y sin representación parlamentaria (aunque sí en la Eurocámara). AfD, acusada de no contar con un programa comprensivo más allá de sus críticas al euro, ha abrazado encantada la cuestión de la inmigración en Alemania. La formación ha abogado por restringir la entrada de extranjeros, limitar la doble nacionalidad y endurecer los criterios del derecho de asilo.
Según la Oficina Federal de Estadística, el número de extranjeros en Alemania (inmigrantes, refugiados y asilados) alcanzó el año pasado su máximo histórico, al rondar los 8,2 millones de personas, más del 10% de la población. Entre 2013 y 2014, la cifra de extranjeros en el país se disparó en 519.000 personas. Sólo el año pasado llegaron unas 200.000 personas a Alemania en busca de asilo, procedentes principalmente de Siria (aunque queda por ver qué porcentaje logra quedarse).
Al finalizar la Segunda Guerra Mundial los Yankees querían dejar Alemania como un país de vacas y ovejas, no los veían como gente de fiar, pero vino la Guerra Fría y Alemania les sirvió como tapón al comunismo, de ahí el énfasis de que fueran ricos, para remarcar la calidad de vida del capitalismo frente al comunismo, y ver la diferencia entre la RFA y la RDA.
Siempre me pregunto cuantas veces uno puede decidir y cuantas veces han decidido por ti.
Es que hay una cosa, que es muy políticamente incorrecta pero es real. Y es que los Alemanes se creen superiores, no todos, pero muchos sí.Solo hace falta tratar con ellos para darte cuenta. Lo curioso es como catalogan a los diferentes países, bueno, a sus ciudadanos, y lo mejor de todo es que siguen como una escala. Los Austriacos son hermanos, los Franceses les caen bien, aunque piensan que son algo tontos, después vienen los Italianos, del norte mejor, el sur es otro rollo, después los Españoles, después a la gente del Este de Europa, a esos no se los tragan mucho, y finalmente musulmanes y Africanos en general.
Tengo una amiga que se fue un año a Alemania a vivir con una familia de Polacos, en la época de las dos Alemanias, el señor se ganaba bien la vida, trabajaba en una multinacional e iba y venía de Rusía, vivían en un Barrio Alemán, pues nadie, absolutamente nadie les dirigía la palabra, solo a mi amiga y porque hablaba francés ,es más cuando iban juntos se mostraban especialmente simpáticos con ella para remarcar la diferencia de lo que sentían por ellos.
Prejuicios, racismo y prepotencia existe en todas partes.
Y por mas que se diga, en España somos menos racistas que en la mayoría de países Europeos, lógicamente mucho menos que los Alemanes.
Es que hay una cosa, que es muy políticamente incorrecta pero es real. Y es que los Alemanes se creen superiores, no todos, pero muchos sí.Solo hace falta tratar con ellos para darte cuenta. Lo curioso es como catalogan a los diferentes países, bueno, a sus ciudadanos, y lo mejor de todo es que siguen como una escala. Los Austriacos son hermanos, los Franceses les caen bien, aunque piensan que son algo tontos, después vienen los Italianos, del norte mejor, el sur es otro rollo, después los Españoles, después a la gente del Este de Europa, a esos no se los tragan mucho, y finalmente musulmanes y Africanos en general.
Tengo una amiga que se fue un año a Alemania a vivir con una familia de Polacos, en la época de las dos Alemanias, el señor se ganaba bien la vida, trabajaba en una multinacional e iba y venía de Rusía, vivían en un Barrio Alemán, pues nadie, absolutamente nadie les dirigía la palabra, solo a mi amiga y porque hablaba francés ,es más cuando iban juntos se mostraban especialmente simpáticos con ella para remarcar la diferencia de lo que sentían por ellos.
Prejuicios, racismo y prepotencia existe en todas partes.
Y por mas que se diga, en España somos menos racistas que en la mayoría de países Europeos, lógicamente mucho menos que los Alemanes.
Mi experiencia alemana es muy bena, por otra parte.
Pero ojo. Es muy importante en qué parte de Alemania vivas. En el Este el racismo es palpable y en el Sur están encantados de haberse conocido.
Son bastante dados a los estereotipos, pero no creo que mucho más que nosotros. Lo primero que les sorprendió a mis antiguos compañeros de allí es que yo no sólo iba a trabajar todos los días, sino que encima era eficiente y lo hacía bien. Vamos, los esquemas se les resquebrajaron.
El tema racismo es algo muy, muy complejo allí. Se nota que les han zurrado bien psicológicamente y los han moldeado para que sientan vergüenza de las barbaridades que ampararon como sociedad durante el nazismo. Ello hace que ante situaciones de evidente cara-dura por parte de los inmigrantes, no sepan cómo reaccionar de manera natural. Y caen en el buenrollismo incomprensible o en situaciones que acarician la discriminación evidente.
Pero como decía una amiga mia: Europa es un sitio jodido donde vivir porque si eliges lo más "top" del continente acabarás en una sociedad que peca de racismo y si vives con los anglos, en una sociedad clasista. No hay salida.
Grèce : le président allemand favorable à des réparations de guerre
LE MONDE | 02.05.2015 à 09h48 • Mis à jour le 02.05.2015 à 12h16 | Par Adéa Guillot (Athènes, correspondance) et Cécile Boutelet (Berlin, correspondance)
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/international/article/2015/05/02/grece-le-president-allemand-favorable-a-des-reparations-de-guerre_4626280_3210.html#B5Yqg0ue3PdOQrMp.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/international/article/2015/05/02/grece-le-president-allemand-favorable-a-des-reparations-de-guerre_4626280_3210.html#B5Yqg0ue3PdOQrMp.99[/url])
Supongo que saldrá esta noche o maana en la prensa ES (buscando directamente, ya que news.google.com ES ya no funciona)
Pero lo interesante es la conjunción siguiente:
-- El calendario de pagos de Grecia que no se pueden cumplir
-- El presidente alemán, cargo honorifico pero muy respetado y estudioso de la historia moderna del Este europeo
-- Le Monde, que es la ·voz oficial· de Francia
Y también, se entiende que el diagnóstico de Varoufakis (y Galbraith, y muchos..) es compartido en muchas capitales:
Dejar de aumentar las deuda de Grecia que no puede devolver y, en lugar de una expulsion o quiebra traumática, meter el dinero o garantizar la deuda perpétua a través de un Banco de Inversiones, con lo que reinviertes en "reconstruccion de Grecia" y de ahí, proceder a la Union fiscal
El crédito alemán a Grecia no son reparaciones, [1]
es un crédito contraido por la Alemania Nazi que... la RFA y luego Alemania evitó pagar.
Intentó colarlo en la carpeta de las reparaciones en el 50 y en el 89, pero no es una "reparación de guerra".
¡Es una deuda! Con el interés compuesto desde la IIWW, ya suman 11 millardos. Oiga,
Rusia no creo que vaya a reclamara nada. Suponiendo que tenga un contrato firmado en papel, lo suyo supongo que se resolvió en el 89 también.
Eso sí, las deudas son las deudas: en Francia aún hay asociaciones reclamando los empréstitos rusos de la IGM, que los bolcheviques se negaron a devolver. Con los intereses compuestos, habría como para 10 burbujas inmobiliarias parisinas
:biggrin:
[1] No encuentro el blog de Varoufakis que hizo un post explicando esto
Este artículo es un buen resumen:
[url]http://america.aljazeera.com/opinions/2015/2/germany-owes-greece-for-nazi-era-debts.html[/url] ([url]http://america.aljazeera.com/opinions/2015/2/germany-owes-greece-for-nazi-era-debts.html[/url])
.../...
Y también, se entiende que el diagnóstico de Varoufakis (y Galbraith, y muchos..) es compartido en muchas capitales:
Dejar de aumentar las deuda de Grecia que no puede devolver y, en lugar de una expulsion o quiebra traumática, meter el dinero o garantizar la deuda perpétua a través de un Banco de Inversiones, con lo que reinviertes en "reconstruccion de Grecia" y de ahí, proceder a la Union fiscal
El crédito alemán a Grecia no son reparaciones, [1]
.../...
[1] No encuentro el blog de Varoufakis que hizo un post explicando esto
Triple equation: A realistic proposal
The wartime coercive loan presents the German government with a great opportunity to avoid misleading the German electorate on the Greek debt’s restructuring. Three numbers can help in this direction: (1) The present value of the wartime loan from Greece to Germany, (2) the amount of loan guarantees put up by Germany as part of the recent Greek ‘bailouts’, and (3) the gains of the German government from the reduction in interest payments on German federal debt due to the flight of capital from Peripheral to German bonds (as measured by the Bundesbank itself). The fact that these three numbers are approximately €40 billion each is a wonderful opportunity to settle this issue.
So, here is the simple proposal: The German government conveys to its constituents, to the German public, that Germany has a responsibility to make amends for the ‘overdraft facility’ that was imposed upon the Central Bank of Greece by German authorities. It offers Greece a cashless agreement according to which the two credit facilities will cancel each other out, thus effecting an immediate reduction in Greek debt of around €40 billion. The German government can add, in its missive to German citizens, that the proposed ‘deal’ will, in the end, have been paid by monies the federal government has earned due to the implosion of the bond markets of countries like Greece.
This way, German citizens will have been told the truth: about the inescapable haircut of Greece’s debts to them, about the gains of the federal government from other people’s troubles, about the responsibility to make amends for a coercive loan extracted from a poor nation at gunpoint. Meanwhile the Greeks will see a gesture of genuine good will from Germany that may help put to rest, once and for all, the memories of the destroyed villages, of the Nazi-induced famine, of the wanton destruction of Greece’s infrastructure as the Wermacht and the SS were withdrawing in 1944 (losses of life, limb and property that Greece was never really compensated for – and which are separate from the coercive loan under discussion here).
In short, a mutual write-off of equivalent debts pressed in the service of restoring German-Greek relations and of avoiding another lie from the German government to the German people regarding Greece’s debt.
Any objections?
[url]http://yanisvaroufakis.eu/2013/10/15/interviewed-by-geraldine-dooge-abc-radio-national-on-greeces-wartime-loan-to-germany-plus-a-simple-proposal-for-killing-two-birds-with-one-stone/[/url] ([url]http://yanisvaroufakis.eu/2013/10/15/interviewed-by-geraldine-dooge-abc-radio-national-on-greeces-wartime-loan-to-germany-plus-a-simple-proposal-for-killing-two-birds-with-one-stone/[/url])
Las ideas de Londres no representan para nada las ideas del "Anglo-saxon world". USA desea una Europa federal unida y como se ha visto con el reciente escándalo de las escuchas, está virando hace una relación especial con Alemania para todo tipo de asuntos "sucios" que antes solo confiaba a los británicos. Y está fomentando una Europa unida aprovechando el temor a los "malvados rusos".
Irlanda es parte del mundo anglo y a pesar de la crisis sigue en la UE y en el euro. Y Escocia ya veríamos que haría ante una salida de UK de la UE.
Las ideas de Londres no representan para nada las ideas del "Anglo-saxon world". USA desea una Europa federal unida y como se ha visto con el reciente escándalo de las escuchas, está virando hace una relación especial con Alemania para todo tipo de asuntos "sucios" que antes solo confiaba a los británicos. Y está fomentando una Europa unida aprovechando el temor a los "malvados rusos".
Irlanda es parte del mundo anglo y a pesar de la crisis sigue en la UE y en el euro. Y Escocia ya veríamos que haría ante una salida de UK de la UE.
Los intereses geopolíticos de EEUU no siempre están en línea con los de la city de NY o la de Londres.
Las ideas de Londres no representan para nada las ideas del "Anglo-saxon world". USA desea una Europa federal unida y como se ha visto con el reciente escándalo de las escuchas, está virando hace una relación especial con Alemania para todo tipo de asuntos "sucios" que antes solo confiaba a los británicos. Y está fomentando una Europa unida aprovechando el temor a los "malvados rusos".
Las ideas de Londres no representan para nada las ideas del "Anglo-saxon world". USA desea una Europa federal unida y como se ha visto con el reciente escándalo de las escuchas, está virando hace una relación especial con Alemania para todo tipo de asuntos "sucios" que antes solo confiaba a los británicos. Y está fomentando una Europa unida aprovechando el temor a los "malvados rusos".
Pues no lo vemos igual. Lo que mencionas son apariencias o filtraciones (es decir, interesadas).
A EUU le interesa EEUU. Agita el avispero de Ucrania (y utiliza a ciertas fuerzas europeas) para distanciar a la UE de Rusia. Agita avisperillos europeos (España, Grecia) para que no llegue a haber unión en la UE, excepto si y cómo le interese a EEUU.
Mientras tanto va negociando el TTIP, el abrazo del oso de EEUU a Europa. Si sale el TTIP, adiós a la UE (a sus Estados Miembros y a una Europa autónoma y fuerte) y la UE/euro será el colchón en el que apoyará sus caídas EEUU/dólar.
Europa debería estar ganando peso y cerrando alianzas con otros bloques geopolíticos, y sin embargo va camino de ser el último y más débil (comparsa del bloque en declive).
Sí, pero las bases políticas existen: el sistema politico usano es periférico de los intereses de las empresas. Los sistemas politicos europeos son históricamente anteriores al modelo comercial (y muchas veces antagonistas).
Según como se apruebe eL TTIP, si se adopta el concepto usano, supondrá un vaciado profundo de las raices, de las formas de entender la politica en Europa. Y creo que ceder en este punto nos conduce directamente a servir de carne de cañon, en conflictos indirectos de USA contra Rusia o contra Asia central.
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Por otro lado, no estoy de acuerdo con que el TTIP sea convertir USA+UE en una unión defensiva contra China. En todo caso, esa sería la idea que tiene USA, donde la UE no tiene idea propia.
Si nos centramos en la UE, la visión del Heartland de Mackinder (encima, era un ¡inglés!) me parece mucho más más pertinente.
Estuve leyendo un artículo -- China ha creado un Banco de desarrollo de insfrastructuras asiaticas que (entre otras) tiene como finalidad financiar las infrastructuras de la ruta de la seda. En el otro extremo de la ruta, está Europa, y en particular Alemania.
...
Pues ya está en wikipedia:
[url]http://es.wikipedia.org/wiki/Banco_Asi%C3%A1tico_de_Inversi%C3%B3n_en_Infraestructura[/url] ([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Banco_Asi%C3%A1tico_de_Inversi%C3%B3n_en_Infraestructura[/url])
Observen que EEUU y Japon se negaron a unirse:
([url]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c5/AIIBMap.svg/640px-AIIBMap.svg.png[/url]) ([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Banco_Asi%C3%A1tico_de_Inversi%C3%B3n_en_Infraestructura[/url])
En amarillo= paises que estudian la adhesion
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/03/27/actualidad/1427478032_652247.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/03/27/actualidad/1427478032_652247.html[/url])
........ De aquí a veinte años no quedará ni el tato en la UE.
........ De aquí a veinte años no quedará ni el tato en la UE.pues en un mundo de bloques que se miran de reojo, un enano o es "suizo" o es "fallido";
y un rebaño de enanos bizcos y mal encarados, menudo corral de lios;
Europa lo que debería de hacer es estrechar su relación con Rusia, los rusos necesitan de todo y Europa acceso a energía, materia primas y a 100 millones de posibles clientes. Geográficamente la cosa no tiene discusión.
Merkel und Gabriel machen Putin ein Angebot
([url]http://polpix.sueddeutsche.com/polopoly_fs/1.2317065.1421936937[/url]!/httpImage/image.jpg_gen/derivatives/860x860/image.jpg)
Die Bundesregierung hat dem russischen Präsidenten Wladimir Putin ein verstecktes Angebot unterbreitet, um den Ukraine-Konflikt zu lösen.
Kanzlerin Merkel und Wirtschaftsminister Gabriel bringen einen gemeinsamen Handelsraum von Russland und Europa ins Spiel. Das hatte der russische Präsident Putin bereits vor ein paar Jahren angeregt.
...
Merkel wie Gabriel benutzten die Formel von einem Handelsraum "zwischen Lissabon und Wladiwostok" ...
[url]http://www.sueddeutsche.de/politik/ukraine-konflikt-merkel-und-gabriel-machen-putin-ein-angebot-1.2316286[/url] ([url]http://www.sueddeutsche.de/politik/ukraine-konflikt-merkel-und-gabriel-machen-putin-ein-angebot-1.2316286[/url])
Quizás se trata de respetar los tiempos y las formas. El Transatlantic Trade and Investment Palliative se prolongará lo que se prolongue pero luego la economía seguirá girando y los más rápidos ya han descontado el duelo.CitarMerkel und Gabriel machen Putin ein Angebot
([url]http://polpix.sueddeutsche.com/polopoly_fs/1.2317065.1421936937[/url]!/httpImage/image.jpg_gen/derivatives/860x860/image.jpg)
Die Bundesregierung hat dem russischen Präsidenten Wladimir Putin ein verstecktes Angebot unterbreitet, um den Ukraine-Konflikt zu lösen.
Kanzlerin Merkel und Wirtschaftsminister Gabriel bringen einen gemeinsamen Handelsraum von Russland und Europa ins Spiel. Das hatte der russische Präsident Putin bereits vor ein paar Jahren angeregt.
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Merkel wie Gabriel benutzten die Formel von einem Handelsraum "zwischen Lissabon und Wladiwostok" ...
[url]http://www.sueddeutsche.de/politik/ukraine-konflikt-merkel-und-gabriel-machen-putin-ein-angebot-1.2316286[/url] ([url]http://www.sueddeutsche.de/politik/ukraine-konflikt-merkel-und-gabriel-machen-putin-ein-angebot-1.2316286[/url])
US Tells Greece To Reject Putin Pipeline Marking Return To Cold War Politics
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-05-09/us-tells-greece-reject-putin-pipeline-marking-return-cold-war-politics[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-05-09/us-tells-greece-reject-putin-pipeline-marking-return-cold-war-politics[/url])
Creo que la oferta de marras tendrá algo que ver también con ésto:CitarUS Tells Greece To Reject Putin Pipeline Marking Return To Cold War Politics
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-05-09/us-tells-greece-reject-putin-pipeline-marking-return-cold-war-politics[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-05-09/us-tells-greece-reject-putin-pipeline-marking-return-cold-war-politics[/url])
Parece que convergemos:
Grecia:
General:18%
Reducido: 9,5%
Alemania:
General:19%
Reducido: 7%
Propuesta de ciudadanos (Ciudadanos=Syriza=Podemos=PP :rofl:):
General:18%
Reducido: 7%
"...quienes decidan utilizar tarjeta de crédito o débito en lugar de dinero en efectivo para pagar por los bienes o servicios que consuman, verán como esos dos tramos se reducen un 3% cada uno, hasta el 15% y el 6,5%. Los cambios podrían aplicarse a partir del próximo septiembre."
Más diversos y con menos facilidades de integración que ahora, eran los Estados-Ciudad, nobiliarios o burgueses que dieron lugar a los Estados Nación. Unificar Europa es infantil comparado con lo de antes.
Lo de antes tardó 11 o 12 siglos desde que los Imperios Germánico, Sajon o Franco (o Hispano, pero supongo que eso se mira desde la Rconquista) se sacudieron el poder de los papas, hasta parir el Estado moderno, cuando hoy basta con un par de directivas para que Europa deje de buscarse los piojos y de chuparse el dedo.
la Union Europea está formada por Estados de derecho, es condición sine-qua-non de adhesion y pertenencia.
Considerar que los Estados nación son un problema para la unificación Europea, es equivocarse de 2 siglos como poco.
El problema no está por ahí,
Net migration to the UK reached 318,000 last year - the highest total for a decade, new figures show.
The Office for National Statistics said this was a "statistically significant" rise of more than 109,000 from 2013.
There were increases in both EU and non-EU migration, with the total figure close to 2005's all-time high.
It comes as the Conservatives unveil new plans to seize the wages of illegal workers as proceeds of crime in an attempt to reduce the numbers.
Prime Minister David Cameron will say it has become "too easy" for migrants not entitled to be in the country to exploit loopholes.
At the moment, firms can be fined up to £20,000 for employing illegal workers.
However, the scale of the challenge facing ministers in reducing levels of legal immigration has been highlighted again by the new official figures on net migration.
The figures measure the difference between the numbers of people moving the UK for a year or more and those leaving the UK for a year or more.
They reveal:
641,000 people moved to the UK over the period, with 323,000 going the other way
284,000 people immigrated for work, a 70,000 increase
The number of Romanian and Bulgarians moving to the UK doubled to 46,000 in 2014
Employment of non-British EU nationals in the UK in January to March 2015 was 283,000 higher than the previous year
The Conservatives pledged before the 2010 election to reduce numbers to less than 100,000, a target they acknowledge they have failed to meet.
"There is no good news here for David Cameron," said BBC assistant political editor Norman Smith.
He said ministers were shifting the emphasis of the immigration debate away from numbers towards "blue collar concerns" like jobs, pay and housing.
Speaking on BBC Radio 4's Today programme, Home Secretary Theresa May said immigration in the tens of thousands remained the government's "aim".
"It's the ambition that we have set out in our manifesto," she said.
Setting out how the target could be met, she said the Conservative government would "do some things that we wanted to do previously but we weren't able to do before because we were in coalition".
She also said the reforms would not necessarily need more investment in police and border services, saying they were about "making the system work better".
Mr Cameron will see first-hand efforts to combat illegal immigration on Thursday when he visits a premises in London shortly after it has been raided by immigration officials.
He will say the government is determined to "control and reduce" immigration, saying criminalising illegal workers must go hand-in-hand with other measures to lower demand for migrant labour, such as boosting the skills of UK workers.
The government says depriving illegal migrants of their wages will make it harder for them to remain in the UK.
A new criminal offence of illegal working will apply to migrants who have entered the country illegally and also those who came to the country legally but are in breach of their conditions or have overstayed.
At the moment, migrants with current leave to remain who are working illegally in breach of their conditions may be prosecuted and are liable, if convicted, to a six months' custodial sentence and-or an unlimited fine.
But migrants who entered the UK illegally or have overstayed their leave are not subject to the same sanctions, and the police do not have the same powers of confiscation in all cases.
'Less attractive'
Mr Cameron will say that "making Britain a less attractive place to come and work illegally" is a crucial part of a fair immigration policy - adding that a "strong country is one that controls immigration... not one that pulls up the drawbridge".
"The truth is it has been too easy to work illegally and employ illegal workers here," he will say in a speech in London.
"So we'll take a radical step - we'll make illegal working a criminal offence in its own right.
"That means wages paid to illegal migrants will be seized as proceeds of crime… and businesses will be told when their workers' visas expire… So if you're involved in illegal working - employer or employee - you're breaking the law."
However, lawyer Saira Grant, director of the Joint Council for the Welfare of Immigrants, questioned how the new measure would be enforced.
"We're talking about people who're illegally here, working cash-in-hand below the radar," she said.
"Are the wages going to be seized retrospectively? But more importantly we are talking about very vulnerable people, with very little money as it is, often supporting families."
She added that extending the "deport first, appeal later" principle to all non-asylum cases, another measure set to feature in a forthcoming immigration bill, would be "extremely detrimental to access to justice".
Among other proposed measures are new powers for councils to deal with unscrupulous landlords and to evict illegal migrants more quickly, while all foreign criminals awaiting deportation will be fitted with satellite tracking tags.
It will also become an offence for businesses and recruitment agencies to hire abroad without first advertising in the UK - a policy which featured prominently in Labour's election manifesto.
'Tackling exploitation'
Ministers say the package builds on the progress made over the past five years but critics say the Conservatives' tough rhetoric has not been matched by action on the ground, either in tackling illegal immigration or curbing legal immigration.
Labour welcomed the action but said it did not go far enough.
"A lot of this will look very familiar to anyone who read Labour's manifesto," shadow immigration minister David Hanson said.
"It is clear the measures outlined here will not be sufficient to tackle exploitation. There needs to be a clear offence of exploitation that undercuts local jobs and wages, which the police and other experts have called for."
Figures published in February showed that not only is net migration 50,000 higher than when Mr Cameron came to power, but even non-EU migration - which ministers had claimed to have brought under control - has been increasing rapidly.
Don Flynn, of the Migrants' Rights Network, said seizing wages would force some people into "systems of modern slavery without hope of protection from the law".
"Irregular migrants in the UK fit no one's image of a law-breaker living on the proceeds of crime," he said.
"Their vulnerable status means they are confined to the most insecure and exploitative forms of employment, usually earning scarcely enough to maintain themselves on a day-to-day basis."
The Joint Council for the Welfare of Immigrants said the measures would do nothing to ease the pressure on public services.
'We can't just throw Greece out of the euro' - Juncker warns ahead of crunch summit
German finance minister opens up rift with Brussels after reportedly touting parallel currency plan for Greece
An agreement over Greece's eurozone future continued to elude European leaders, as late night talks failed to bridge the gap between Athens' Leftist government and its creditor partners.
Meeting until 1am in Riga, Germany's Angela Merkel and France's Francois Hollande came no closer to a breakthough with Greek premier Alexis Tsipras on the sidelines of a European summit.
Describing talks as "friendly" and "constructive", Ms Merkel dashed hope that a deal could be struck between Europe's heads of state.
"A conclusion needs to be found with the three institutions and there needs to be very, very intensive work," the German premier said on Friday morning.
Athens' Syriza government has failed to extract any concessions from its international lenders after four months of fruitless talks.
German finance minister Wolfgang Schaeuble has hinted the country should not remain in the euro at all costs, pressuring Mr Tsipras to back down over his Leftist "red lines" on labour and pensions reform.
In contrast to Ms Merkel's comments in Riga, Mr Schaeuble is thought to have touted the possibility of a "parallel currency" for Greece at a recent meeting of European officials, according to reports in Bloomberg.
The German number two is reported to have cited the example of Montenegro, which uses the euro but sits outside the currency union, without explicitly advocating it as a blueprint for Greece. In an interview with Les Echos earlier this week, Mr Schaeuble refused to either support or deny plans for a parallel currency.
The introduction of an alternative currency, to help Greece make its domestic obligations in the form of IOU's, is seen as the first step towards ejecting the country from the single currency.
Any plans for Greece to drop the euro would cause "havoc" in Greece, according to Willem Buiter, chief economist at Citi.
"The notion that Greece exits with or without a shadow currency or a proper currency [is rubbish]. Greece has not, historically, been good at managing an independent currency," Mr Buiter told CNBC.
He also dismissed the notion of a Montenegro-style arrangement for Greece as "rubbish" but insisted a default to international lenders would not be "the end of the world" for the country.
In a signs of a rift between Brussels and hard-liners in Berlin, European Commission chief Jean-Claude Juncker warned the single currency was "not just about monetary policy and economic reasons, but also the dignity of the Greeks".
"You can not just throw a country out from the monetary union", Mr Juncker told Wirtschaftswoche
Mr Tsipras, who is due to meet the former Luxembourg chief at noon, said he was "optimistic" the country's partners would come to an agreement with his government.
"I am hopeful that we will soon be able to reach a stable, long-term and sustainable solution without the mistakes of the past – and that Greece will return, cohesively, to growth.”
The three leaders are thought to have agreed on the continued involvement of the International Monetary Fund in any new deal for Greece. IMF chief Christine Lagarde however ruled out any partial deal for Greece, saying the Fund would not agree to a "quick and dirty" arrangement that could delay the country's fate until the Autumn.
Mr Tsipras and Ms Merkel are both facing domestic backlashes from their respective parties over the bail-out negotiations.
The Greek premier is facing down the Left Platform of Syriza, who have called for Greece to default on its international lenders and continue making its social security and salary payments to public sector workers.
Outspoken leader of the Left faction, Panagiotis Lafazanis vowed not to sign-up to any deal that would jettison pre-election pledges.
"We will not accept an agreement that puts our program on the fringe," warned the firebrand energy minister.
Ms Merkel meanwhile has seen resistance to Greek aid grow within her Christian Democrat party.
Athens, which has been without international aid since August 2014, faces a series of repayments worth €1.5bn to the IMF in the first two weeks of June.
The government is also battling to convince lenders of its planned reforms to VAT and agreeing to softer budgetary targets for the next two years.
Finance minister Yanis Varoufakis has also insisted the state will prioritise its workers and pensioners over the Fund if no emergency cash is released, raising the spectre of an unprecedental international default.
Esta claro que el sistema francés de imposición a las plusvalías tiene por objeto dar trabajo a mucha gente en lo privado asesorando y en lo públoco gestionando. Y se ve tambien por que los ricos franceses residen en la Suisse Romande o EN Bélgica . Es compicado esto de unificar fiscalidades en europa.
ATENAS – Una falacia común permea en la cobertura informativa de la prensa mundial sobre las negociaciones entre el gobierno griego y sus acreedores. La falacia, que se ilustra en un comentario reciente de Philip Stephens del diario Financial Times, es que “Atenas no logra o no quiere –o las dos– poner en aplicación un programa de reforma económica.” Una vez que esta falacia se presenta como hecho es natural que la cobertura se centre en que nuestro gobierno, en palabras de Stephens, “está desperdiciando la confianza y buena voluntad de sus socios de la eurozona”.
No obstante, la realidad de las negociaciones es muy distinta. Nuestro gobierno está dispuesto a aplicar un programa que incluya todas las reformas económicas que señalan los grupos de reflexión económica de Europa. Además, estamos en una posición única para conservar el apoyo del público griego para un programa económico sólido.
Consideremos lo que eso significa: un organismo fiscal independiente; superávits fiscales primarios razonables permanentes; un programa sensato y ambicioso de privatización combinado con un organismo de desarrollo que utilice los activos públicos para crear flujos de inversión; una reforma verdadera de las pensiones que garantice la sostenibilidad a largo plazo del sistema de seguridad social; la liberalización de los mercados de bienes y servicios, etc.
Así pues, si nuestro gobierno está dispuesto a adoptar las reformas que nuestros socios esperan, ¿por qué no han producido las negociaciones un acuerdo? ¿En qué punto están bloqueadas?
El problema es sencillo: los acreedores de Grecia insisten en una austeridad incluso mayor para este año y más adelante –enfoque que impediría la recuperación, obstruiría el crecimiento, agravaría el ciclo deuda-deflación, y al final erosionaría la disponibilidad y capacidad de Grecia para aplicar el programa de reforma que el país necesita con tanta urgencia. Nuestro gobierno no puede aceptar –y no aceptará– un remedio que mostró durante más de cinco años ser peor que la enfermedad.
La insistencia de nuestros acreedores en aplicar una mayor austeridad es sutil y al mismo tiempo firme. Se pone de manifiesto en su exigencia de que Grecia mantenga superávits primarios elevados que no son sostenibles (más del 2% del PIB en 2016 y superiores al 2.5% o incluso al 3% en los años siguientes). Para lograrlo, tendríamos la obligación de aumentar la carga global del impuesto al valor agregado al sector privado, reducir pensiones ya de por sí reducidas en todos los sectores; y compensar las ganancias de la privatización (debido a los precios deprimidos de los activos) con medidas de consolidación fiscal “equivalentes”.
La opinión de que Grecia no ha logrado una consolidación fiscal suficiente no solo es falsa, es patentemente absurda. La gráfica (ver abajo) no solo lo muestra sino también explica sucintamente por qué Grecia no ha tenido resultados tan positivos como por ejemplo, España, Portugal, Irlanda o Chipre desde la crisis financiera de 2008. En comparación con los demás países de la periferia de la eurozona, Grecia ha sido objeto de una austeridad de al menos el doble. Eso es todo.([url]http://www.project-syndicate.org/flowli/image/varoufakis4-graph/original/english[/url])
Después de la reciente victoria del primer ministro, David Cameron en Reino Unido, mi buen amigo, Lord Norman Lamont, ex ministro de Finanzas, comentó que la recuperación económica británica respalda la posición de nuestro gobierno. Recordó que en 2010, Grecia y Reino Unido tenían déficits fiscales más o menos similares (en comparación con el PIB). Grecia volvió a tener superávits primarios (que excluyen los pagos de intereses) en 2014, mientras que el gobierno británico consolidó de forma mucho más gradual y aún no tiene superávit.
Asimismo, Grecia ha enfrentado una contracción monetaria (que recientemente se ha convertido en asfixia monetaria), a diferencia del Reino Unido, donde el Banco de Inglaterra ha respaldado cada acción del proceso. El resultado es un continuo estancamiento de Grecia, mientras que el Reino Unido ha registrado un crecimiento sólido.
Observadores objetivos de las negociaciones entre Grecia y sus acreedores que han durado cuatro meses, no pueden evitar llegar a una simple conclusión: el mayor obstáculo, lo único que impide llegar a un acuerdo, es la insistencia de los acreedores en que se aplique una austeridad incluso mayor, aún a expensas del programa de reforma que nuestro gobierno está dispuesto a aplicar.
Evidentemente, la demanda de nuestros acreedores de una mayor austeridad no tiene que ver con preocupaciones sobre una reforma verdadera o avanzar hacia un camino fiscal sostenible en Grecia. Su única motivación es algo que solo los historiadores futuros – quienes sin duda examinarán gran parte de la cobertura de los medios actuales con algo de escepticismo– podrán averiguar.
Une tendance orchestrée par les pouvoirs publics
Néanmoins, tout a été fait et orchestré par les pouvoirs publics pour forcer la main des banques à se montrer généreuse en termes de prêts immobiliers, comme pour motiver les achats à crédit de la part des citoyens. En effet, si les déductions fiscales accordées aux contribuables stimulent à l'évidence les acquisitions - voire la spéculation - immobilières. C'est les modifications des règles prudentielles dès les années 1970, et surtout dès 1988 (Bâle I), qui jetèrent littéralement les banques dans le précipice des crédits hypothécaires, à la faveur d'un assouplissement notable des ratios capitalistiques exigés pour toute opération immobilière, considérée nettement moins risquée par le régulateur qu'un prêt consenti à une entreprise.
It is not surprising that in a few short months Yanis Varoufakis has proven himself to be a thoroughgoing Keynesian statist. After all, what would you expect from an economics PhD who co-authored books with Jamie Galbraith? The latter never saw an economic malady that could not be cured with bigger deficits, prodigious printing press “stimulus” and ever more intrusive state intervention and redistribution.
In what is apparently a last desperate game theory ploy, however, Varoufakis has done his countrymen, Europe and the world a favor. By informing his Brussels paymasters that they must continue to subsidize his bankrupt Greek state because it is the only way to preserve the European Project and vouchsafe the Euro, the Greek Finance minister blurted out the truth of the matter, albeit perhaps not intentionally:
“It would be a disaster for everyone involved, it would be a disaster primarily for the Greek social economy, but it would also be the beginning of the end for the common currency project in Europe,” he said.
“Whatever some analysts are saying about firewalls, these firewalls won’t last long once you put and infuse into people’s minds, into investors’ minds, that the eurozone is not indivisible,” he added.
He sure got that right. People who believe in democracy and economic liberty anywhere in the world should pray for a Graccident. During the next several weeks, when $1.8 billion in IMF loans come due that Greece cannot possibly pay, there will occur a glorious moment of irony for Syriza.
If it holds firm to its leftwing statist agenda and takes Greek democracy back from the clutches of the EU/IMF apparatchiks, Syriza will strike a blow for democracy and capitalism in one great historic volte-face. That is to say, defiance of the Germans and the troika would amount to a modern monetary Marathon; it would trigger a thundering collapse of the ECB and the cancerous superstate regime built upon it in Frankfurt and Brussels—–and, along with it, cast a mortal blow upon the worldwide Keynesian central banking regime, too.
The hour comes none to soon. In a few short years under Draghi and in the context of Europe’s fiscal and economic enfeeblement, the ECB has been transformed into a hideous reverse Robin Hood machine. So doing, it has gifted financial gamblers and front-runners with hundreds of billions of ill-gotten gains in the euro debt markets.
In the days shortly before Draghi issued his “whatever it takes” ukase, for example, the Italian 10-year bond was trading at 7.1%. So speculators who bought it then have made a cool 350% gain if they were old-fashioned enough to actually buy the bonds with cash. And they are laughing all the way to their estates in the South of France if their friendly prime broker had arranged to hock these deadbeat Italian bonds in the repo market even before payment was due. In that case, Mario’s front-runners are in the 1000% club and just plain giddy.
([url]http://research.stlouisfed.org/fredgraph.jpg?hires=1&type=image/jpeg&chart_type=line&recession_bars=off&log_scales=&bgcolor=%23e1e9f0&graph_bgcolor=%23ffffff&fo=verdana&ts=12&tts=12&txtcolor=%23444444&show_legend=yes&show_axis_titles=yes&drp=0&cosd=2011-11-01&coed=2015-03-01&width=670&height=550&stacking=&range=Custom&mode=fred&id=IRLTLT01ITM156N&transformation=lin&nd=&ost=-99999&oet=99999&lsv=&lev=&scale=left&line_color=%234572a7&line_style=solid&lw=2&mark_type=none&mw=1&mma=0&fml=a&fgst=lin&fgsnd=2007-12-01&fq=Monthly&fam=avg&vintage_date=&revision_date=[/url])
While it is extremely difficult to think of a reason that would justify such wanton redistribution to financial gamblers, the ECB rationale is so astoundingly threadbare as to be laughable. In a word, Draghi and his minions claims that Europe’s economic torpor stems from too little inflation and too little borrowing by private households and businesses. Hence, they have no choice except to drastically falsify prices in Europe’s entire $20 trillion bond market in order to rekindle 2% inflation and get economic growth off the flat line.
Oh, puleeze. The Eurozone economies have had no problem whatsoever in generating an ample quotient of inflation ever since the inception of the single currency—-as if that had anything to do with the growth of real production and wealth anyway.
In fact, the european CPI has gained an average of 2.1% per annum during the last decade and one-half. Self-evidently, the temporary flattening of the inflation curve in the last year is a consequence of the plunge of oil and other commodity prices, not anything that could possibly account for Europe’s languishing growth rate.
([url]http://www.tradingeconomics.com/charts/euro-area-consumer-price-index-cpi.png?s=euroareaconpriindcp&d1=19990101&d2=20151231[/url])
In fact, the euro area core CPI is up by nearly 1% during the last year, and has gained about 1.5% per annum during the past eight years during which time global oil prices have soared and collapsed twice. Quite simply, low-flation is a myth invented by the Keynesian money printers to justify massive monetization of the public debt.
([url]http://www.tradingeconomics.com/charts/euro-area-core-consumer-prices.png?s=euroareacorconpri&d1=20070101&d2=20151231[/url])
So there is really nothing behind the low-flation mantra except the spurious argument that consumers will defer purchases unless assured that prices will continue to rise and eat away at their paychecks.
No, Mario, European consumers are not spending owing to the fact that their incomes are not growing. Household “demand” is tepid because take home pay everywhere in the eurozone is being eviscerated by high taxes. And consumers are not borrowing because their balance sheets are already saturated with more debt than they can sustain.
Indeed, private sector borrowing nearly tripled during the decade before the financial crisis. That it has flattened out since then only means that the supply of credit worthy borrowers has been exhausted, not that there exists some mysterious economic malady that can be cured by the ECB’s printing press.
Stated differently, even after accounting for the stagnation of loan growth in the last few years, private sector loans outstanding still represent a 6.0% per annum gain since 1997. And that compares to an average nominal GDP growth rate in the eurozone countries of just 3.3% annually. At some point, every debt addicted economy runs out of balance sheet runway——a condition that Europe attained long ago.
([url]http://www.tradingeconomics.com/charts/euro-area-loans-to-private-sector.png?s=emuevolvloatoprisec&d1=19970101&d2=20151231[/url])
The good thing is that this whole misbegotten euro project cannot survive the impending Greek default. The ECB alone is now on the hook for $138 billion of Greek liabilities—–an amount that is equal to the remaining deposits in its entire banking system. Needless to say, when the impending “Graccident” explodes onto the front pages, there will be pandemonium at the ECB, and in Brussels and capitals throughout the 19-nation Eurozone.
Did the German politicians and voters really understand that their Bundesbank representatives in Frankfurt were not ferocious watchdogs of monetary rectitude after all; and that in crab-like fashion they backed their nation’s central bank into $35 billion of liabilities——–debts that are owed by a Greek banking system and central bank that is hopelessly insolvent?
No, the Greek banking system is actually such a complete financial zombie as to make the US savings and loan industry of the late 1980s look like a paragon of financial health in comparison. For crying out loud, most of the Greek banking system’s so-called “capital” consists of deferred tax assets; and the collateral posted for its $87 billion of ELA loans consists of the debt and guaranteed bonds of a Greek government that is self-evidently insolvent.
Never has such a gargantuan scam been pulled off in plain sight by official national and superstate institutions. Never has a central bank accepted such outright financial trash as collateral for massive advances to its member banks.
Yet week-by-week the clueless apparatchiks in Frankfurt have been metering out a couple of billions of ELA funding to keep the Greek banking zombie alive. When the scam finally blows, there will be a witch-hunt in the halls of the ECB’s grandiose new $2 billion palace like Europe hasn’t seen in generations.
([url]http://3.bp.blogspot.com/-B_8HxFKLLMQ/VS-pBD8em3I/AAAAAAAAXzc/OcI5p-w60w0/s1600/CCtm-yCWIAEiJiw.png-large.png[/url])
The fact is, the ECB can’t survive the coming Graccident. It will not only be technically insolvent, but, more importantly, it will also be stripped of every vestige of credibility. How in the world, it will be demanded, did Draghi and his clueless posse loan $138 billion to the massively insolvent banking system of a bankrupt economy which is on the verge of economic and civic anarchy?
Moreover, it will also become swiftly evident that there was no Draghi miracle at all—-just a giant, preposterous con job. Accordingly, the front runners parade of the last three years will turn into a panicked selling rout among the fast money gamblers who have made a killing on paper, and the dim-witted bond managers and European bank investors which went along for the ride.
The truth is, Europe is a socialist fiscal time bomb waiting to explode. There is not one honest price left in the European sovereign debt market, including the 10-year German bund trading at 58 bps. Its all been an illusion conjured by the foolish Mario Draghi, who had no clue that all that soaring peripheral debt about which he was taking endless victory laps was actually being rented by the day by heavily leveraged speculators with their fingers on the sell button.
In short, when the taxpayers of Europe wake up to the $350 billion euros they have loaned the bankrupt state of Greece, and when the feckless politicians of Spain, Italy, Portugal, France and much of central Europe discover they can’t fund their bloated state budgets with 1% money after all, the financial furies will be unleashed throughout the continent.
Nor is there any hope for escape. The euro-19 area is now close to having a 100% debt to GDP ratio, and that’s flattered by German surpluses from an export boom that is rapidly cooling, and the fact the for a few quarters Mario’s printing press has conferred huge interest rate subsidies on their depleted fiscal accounts.
([url]http://www.tradingeconomics.com/charts/euro-area-government-debt-to-gdp.png?s=emudebt2gdp&d1=20070101&d2=20151231[/url])
The pending Graccident will puncture that illusion, tipping most of Europe into acute fiscal crisis and political upheaval of the type that has already roiled Greece and was starkly evident in Spain’s elections last weekend. The odds that the European superstate and the ECB’s Keynesian monetary regime will survive the resulting upheaval are, thankfully, somewhere between slim and none.
And there is a silver-lining, too. Someday the historians will point to the image below and say that the end game of Keynesian central banking started here. It could not commence too soon.
MUNICH – Game theorists know that a Plan A is never enough. One must also develop and put forward a credible Plan B – the implied threat that drives forward negotiations on Plan A. Greece’s finance minister, Yanis Varoufakis, knows this very well. As the Greek government’s anointed “heavy,” he is working Plan B (a potential exit from the eurozone), while Prime Minister Alexis Tsipras makes himself available for Plan A (an extension on Greece’s loan agreement, and a renegotiation of the terms of its bailout). In a sense, they are playing the classic game of “good cop/bad cop” – and, so far, to great effect.
Plan B comprises two key elements. First, there is simple provocation, aimed at riling up Greek citizens and thus escalating tensions between the country and its creditors. Greece’s citizens must believe that they are escaping grave injustice if they are to continue to trust their government during the difficult period that would follow an exit from the eurozone.
Second, the Greek government is driving up the costs of Plan B for the other side, by allowing capital flight by its citizens. If it so chose, the government could contain this trend with a more conciliatory approach, or stop it outright with the introduction of capital controls. But doing so would weaken its negotiating position, and that is not an option.
Capital flight does not mean that capital is moving abroad in net terms, but rather that private capital is being turned into public capital. Basically, Greek citizens take out loans from local banks, funded largely by the Greek central bank, which acquires funds through the European Central Bank’s emergency liquidity assistance (ELA) scheme. They then transfer the money to other countries to purchase foreign assets (or redeem their debts), draining liquidity from their country’s banks.
Other eurozone central banks are thus forced to create new money to fulfill the payment orders for the Greek citizens, effectively giving the Greek central bank an overdraft credit, as measured by the so-called TARGET liabilities. In January and February, Greece’s TARGET debts increased by almost €1 billion ($1.1 billion) per day, owing to capital flight by Greek citizens and foreign investors. At the end of April, those debts amounted to €99 billion.
A Greek exit would not damage the accounts that its citizens have set up in other eurozone countries – let alone cause Greeks to lose the assets they have purchased with those accounts. But it would leave those countries’ central banks stuck with Greek citizens’ euro-denominated TARGET claims vis-à-vis Greece’s central bank, which would have assets denominated only in a restored drachma. Given the new currency’s inevitable devaluation, together with the fact that the Greek government does not have to backstop its central bank’s debt, a default depriving the other central banks of their claims would be all but certain.
A similar situation arises when Greek citizens withdraw cash from their accounts and hoard it in suitcases or take it abroad. If Greece abandoned the euro, a substantial share of these funds – which totaled €43 billion at the end of April – would flow into the rest of the eurozone, both to purchase goods and assets and to pay off debts, resulting in a net loss for the monetary union’s remaining members.
All of this strengthens the Greek government’s negotiating position considerably. Small wonder, then, that Varoufakis and Tsipras are playing for time, refusing to submit a list of meaningful reform proposals.
The ECB bears considerable responsibility for this situation. By failing to produce the two-thirds majority in the ECB Council needed to limit the Greek central bank’s self-serving strategy, it has allowed the creation of more than €80 billion in emergency liquidity, which exceeds the Greek central bank’s €41 billion in recoverable assets. With Greece’s banks guaranteed the needed funds, the government has been spared from having to introduce capital controls.
Rumor has it that the ECB is poised to adjust its approach – and soon. It knows that its argument that the ELA loans are collateralized is wearing thin, given that, in many cases, the collateral has a rating below BBB-, thus falling short of investment grade.
If the ECB finally acknowledges that this will not do, and removes Greece’s liquidity safety net, the Greek government would be forced to start negotiating seriously, because waiting would no longer do it any good. But, with the stock of money sent abroad and held in cash having already ballooned to 79% of GDP, its position would remain very strong.
In other words, thanks largely to the ECB, the Greek government would be able to secure a far more favorable outcome – including increased financial assistance and reduced reform requirements – than it could have gained at any point in the past. A large share of the acquired resources measured by the TARGET balances and the cash that has been printed would turn into an endowment gift for an independent future.
Many people in Europe seem to believe that Varoufakis, an experienced game theorist but a political neophyte, does not know how to play the cards that Greece has been dealt. They should think again – before Greece walks away with the pot.
Varoufakis' Great Game ([url]http://www.project-syndicate.org/commentary/varoufakis-ecb-grexit-threat-by-hans-werner-sinn-2015-05[/url]) by Hans-Werner Sinn
([url]http://cdn1.spiegel.de/images/image-30830-thumbflex-aiom.jpg[/url])Cita de: Hans-Werner SinnMUNICH – Game theorists know that a Plan A is never enough. One must also develop and put forward a credible Plan B – the implied threat that drives forward negotiations on Plan A. Greece’s finance minister, Yanis Varoufakis, knows this very well. As the Greek government’s anointed “heavy,” he is working Plan B (a potential exit from the eurozone), while Prime Minister Alexis Tsipras makes himself available for Plan A (an extension on Greece’s loan agreement, and a renegotiation of the terms of its bailout). In a sense, they are playing the classic game of “good cop/bad cop” – and, so far, to great effect.
Plan B comprises two key elements. First, there is simple provocation, aimed at riling up Greek citizens and thus escalating tensions between the country and its creditors. Greece’s citizens must believe that they are escaping grave injustice if they are to continue to trust their government during the difficult period that would follow an exit from the eurozone.
Second, the Greek government is driving up the costs of Plan B for the other side, by allowing capital flight by its citizens. If it so chose, the government could contain this trend with a more conciliatory approach, or stop it outright with the introduction of capital controls. But doing so would weaken its negotiating position, and that is not an option.
Capital flight does not mean that capital is moving abroad in net terms, but rather that private capital is being turned into public capital. Basically, Greek citizens take out loans from local banks, funded largely by the Greek central bank, which acquires funds through the European Central Bank’s emergency liquidity assistance (ELA) scheme. They then transfer the money to other countries to purchase foreign assets (or redeem their debts), draining liquidity from their country’s banks.
Other eurozone central banks are thus forced to create new money to fulfill the payment orders for the Greek citizens, effectively giving the Greek central bank an overdraft credit, as measured by the so-called TARGET liabilities. In January and February, Greece’s TARGET debts increased by almost €1 billion ($1.1 billion) per day, owing to capital flight by Greek citizens and foreign investors. At the end of April, those debts amounted to €99 billion.
A Greek exit would not damage the accounts that its citizens have set up in other eurozone countries – let alone cause Greeks to lose the assets they have purchased with those accounts. But it would leave those countries’ central banks stuck with Greek citizens’ euro-denominated TARGET claims vis-à-vis Greece’s central bank, which would have assets denominated only in a restored drachma. Given the new currency’s inevitable devaluation, together with the fact that the Greek government does not have to backstop its central bank’s debt, a default depriving the other central banks of their claims would be all but certain.
A similar situation arises when Greek citizens withdraw cash from their accounts and hoard it in suitcases or take it abroad. If Greece abandoned the euro, a substantial share of these funds – which totaled €43 billion at the end of April – would flow into the rest of the eurozone, both to purchase goods and assets and to pay off debts, resulting in a net loss for the monetary union’s remaining members.
All of this strengthens the Greek government’s negotiating position considerably. Small wonder, then, that Varoufakis and Tsipras are playing for time, refusing to submit a list of meaningful reform proposals.
The ECB bears considerable responsibility for this situation. By failing to produce the two-thirds majority in the ECB Council needed to limit the Greek central bank’s self-serving strategy, it has allowed the creation of more than €80 billion in emergency liquidity, which exceeds the Greek central bank’s €41 billion in recoverable assets. With Greece’s banks guaranteed the needed funds, the government has been spared from having to introduce capital controls.
Rumor has it that the ECB is poised to adjust its approach – and soon. It knows that its argument that the ELA loans are collateralized is wearing thin, given that, in many cases, the collateral has a rating below BBB-, thus falling short of investment grade.
If the ECB finally acknowledges that this will not do, and removes Greece’s liquidity safety net, the Greek government would be forced to start negotiating seriously, because waiting would no longer do it any good. But, with the stock of money sent abroad and held in cash having already ballooned to 79% of GDP, its position would remain very strong.
In other words, thanks largely to the ECB, the Greek government would be able to secure a far more favorable outcome – including increased financial assistance and reduced reform requirements – than it could have gained at any point in the past. A large share of the acquired resources measured by the TARGET balances and the cash that has been printed would turn into an endowment gift for an independent future.
Many people in Europe seem to believe that Varoufakis, an experienced game theorist but a political neophyte, does not know how to play the cards that Greece has been dealt. They should think again – before Greece walks away with the pot.([url]http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/03194/grecegametheory_3194259b.jpg[/url])
Greece has very little in the way of bargaining power with European creditors.
Outside of gimmicks like tapping its SDR reserves, Athens has no cash to make payments to the IMF in June and, perhaps more importantly, there's very little in the way of wiggle room when one looks at revenues versus spending (see below), meaning Greece will also struggle to pay public sector employees which, in combination with Greeks’ consternation about the safety of their deposits, could contribute to social unrest and put unwelcome political pressure on PM Alexis Tsipras and his Syriza party that swept to power just five months ago on a defiant (and apparently naive) anti-austerity platform.
The troika (and Germany) knows this of course and they are also acutely aware that Spain's Podemos and Portugal's Socialists are watching the Greek drama closely for the slightest indication of concessions from the IMF or from the EU. In other words, the standoff is now just as much about politics as it is about economics, and the 'institutions' do not want any Syriza sympathizers to be able to say that Greece made anyone blink by threatening an exit from the currency bloc.
What all of the above means is that for better or worse, Greece has essentially no leverage because for many European officials, trading austerity concessions for the right to maintain the idea of euro indissolubility is no longer a desirable outcome as it could embolden anti-austerity governments in larger, more influential countries.
All of that said, Greece still has one card to play: the so-called 'Russian pivot'. Over the course of negotiations between Syriza and the troika Moscow has, at various times, sought to take advantage of the hostilities between Athens and Brussels by making a series of overtures including the possibility of a €5 billion advance on Greece’s portion of the Turkish Stream natural gas pipeline and an invitation for the country to join the BRICS bank, a possibility Goldman’s Jim O’Neill wrote off as a politically-motivated “joke.”
But Vladimir Putin isn’t fond of joking (unless he’s participating in his yearly town hall meeting with the Russian people) and sure enough, less than two months ahead of this year’s BRICS Summit in Ulfa, it appears Greece may accept Moscow’s invite.
Enikos has more:
Greece is preparing and will probably submit a request to participate in the new development bank for BRICS countries and has secured Russia’s support on the issue, Productive Reconstruction, Environment and Energy Minister Panagiotis Lafazanis told ANA-MPA news agency on Friday evening.
“During my meeting with Russian Deputy Finance Minister Sergey Storchak, we secured the decisive Russian support to Greece’s request for participation in the new development bank of BRICS countries. The relevant request for Greece’s participation…will be symbolic and will be paid in installments, while right after operations begin, it will be able to accept financial support,” the minister said.
Lafazanis added that technical details were also discussed on how to submit the request so that it will be accepted after discussions within the Greek government conclude.
He also noted that he also discussed the credit facility that will be provided by Russian banks to the Greek company which will undertake the construction of the new gas pipeline which will cross Greece.
“Repayment of the Russian loan will be achieved by the profits made through the operation of the pipeline and this facility is not related to loans or economic assistance between states,” he said.
As mentioned above, this comes as Russia, Brazil, India, China, and South Africa are set to officially launch the BRICS bank and a related reserve pool when the group of emerging powers convenes on July 8-9 in Russia. It also comes as Moscow looks set to put plans for a Eurasian currency bloc into motion and as the Central Bank of Russia explores the possibility of establishing a BRICS-associated alternative to SWIFT.
Additionally, China's recent $50 billion commitment to Brazil underscores the degree to which BRICS nations are expanding their economic and political cooperation in the face of declining Western hegemony. The BRICS bank speaks to the idea that the world's most influential emerging markets now feel it necessary to support each other in the face of what they view as a half-hearted attempt on the part of the world's existing multilateral institutions to serve EM interests or even to give them representation that's comparable to their place in the world economy. Here's what we said on Friday:
Much like the China-led AIIB, the BRICS bank is in many ways a response to the failure of US-dominated multilateral institutions to meet the needs of modernity and offer representation that’s commensurate with the economic clout of its members.
Why would Russia want Greece to join the bank? The motivation is clearly geopolitical consdering that Greece is broke, and what's interesting about the statement from Lafazanis is that it appears to suggest that Greece's paid in capital would come in installments while Athens would immediately be eligible for a loan from the bank.
In short, Putin would like nothing better than to establish a symbolic relationship with the first country to break from the supposedly indissoluble currency bloc, especially given the situation in Ukraine. Meanwhile, Greece is out of leverage, especially now that recent regional and municipal elections in Spain have proven to Athens' EU creditors that the austerity (or, 'fauxterity' as we're fond of calling it) revolt is very real. We'll see what, if any, impact this latest Russian pivot trial balloon has on Greek debt deal negotiations.
un canto a los valores tradicionales: la familia, la escuela, la autoridad, “la moral compartida” o “la herencia de la civilización cristiana”.
En su arremetida contra el poder actual dijo haber sentido “vergüenza y tristeza” porque el presidente François Hollande ha preferido entrevistarse en Cuba con Fidel Castro “en lugar de rendir homenaje al pueblo ruso” en el reciente aniversario del fin de la II Guerra Mundial.
Otra de sus críticas se centró en la Unión Europea. También abogó por “refundarla”. “Literalmente”, remachó. Para él, la UE ha fracasado en Ucrania y Oriente Próximo y se equivoca cuando propone el reparto por cuotas de refugiados. Por eso, llegó a preguntarse en tono apocalíptico: “¿Hemos creado Europa para que Europa y la civilización europea desaparezcan?”; “¿a qué grado de impotencia política, diplomática, militar y económica habrá que llegar para que Europa cambie?”.
“No se es ciudadano francés solo por vivir o tener un empleo en Francia, sino por compartir una lengua, una cultura, una moral común, un modo de vida”. “La República os respeta, pero vosotros tenéis que respetar la República”.
Terruños de geometría (literalmente) variable
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-06-01/de-16-a-6-lander-alemania-rumia-una-reforma-radical-de-su-estructura-regional_855302/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-06-01/de-16-a-6-lander-alemania-rumia-una-reforma-radical-de-su-estructura-regional_855302/[/url])
¡Nosotros también podríamos recrear una República Ibérica Federal Descentralizada... y No-Étnica!
([url]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/09/Provincias_de_la_Hispania_Romana_(Diocleciano).svg/1280px-Provincias_de_la_Hispania_Romana_(Diocleciano).svg.png)[/url]
Pues lo que están debatiendo los Alemanes me parece muy interesante. De hecho, no sería mala idea fusionar las CC.AA en cuatro o cinco regiones federales, la mierda mamandurriera y corrupta que nos sacaríamos de encima.
A ver qué pasa finalmente con UK...
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-05-29/los-espanoles-son-bienvenidos-el-problema-es-el-abuso-del-sistema-del-bienestar_862361/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-05-29/los-espanoles-son-bienvenidos-el-problema-es-el-abuso-del-sistema-del-bienestar_862361/[/url])
Entre estos y el TTIP tenemos dos buenos caballos de troya metidos en Europa. :-[
El argumento de los "benefits" es un "red herring" como la copa de un pino y por aquí cualquiera que esté prestando atención lo sabe. Pastoreo puro y duro.
Los inmigrantes europeos apenas se acojen al estado del bienestar británico. Lo hacen en mucho menor medida que los locales. Esto lo saben los de UKIP y los tories, y lo sabe todo el mundo con luces, pero no el "white van man" y el "little englander" y esos son muchos votos.
Peligroso es eso de crear macro-regiones. Porque al final podríamos resucitar a Castilla.Hacer resucitar a Castilla, nos llevaría a tener los mismos problemas que en UK, donde la existencia de un ente fantasmagórico que no existe oficialmente en ningún sitio pero que existe en la realidad, llamada Inglaterra y que tiene más del 80% de la población, hace que el federalismo sea inviable.
Peligroso es eso de crear macro-regiones. Porque al final podríamos resucitar a Castilla.Hacer resucitar a Castilla, nos llevaría a tener los mismos problemas que en UK, donde la existencia de un ente fantasmagórico que no existe oficialmente en ningún sitio pero que existe en la realidad, llamada Inglaterra y que tiene más del 80% de la población, hace que el federalismo sea inviable.
UK tiene cuatro entes fantasmagóricos para casi 70 millones de habitantes, mientras que en Hispanistán nos hemos montado 17 nacioncitas con destino en lo universal. Diría que el problema territorial lo tenemos nosotros.
En España no se puede rebobinar el desastre autonómico, ni fusionar, ni nada. La gente ha nacido, crecido, y reproducido, como las cucarachas del Cucal, bajo el sistema autonómico. Dile a un valenciano que lo juntas con los catalanes. O a un balear. Por decir un par.
Solo un evento internacional muy, MUY catastrófico podría asustar tanto a la gente que la convenciese de formar entidades políticas más grandes, y dejar España dividida en 4-5 regiones, estados federales, o lo que fuera.
Pero hablamos de algo gordísimo. Si no, es imposible. Es como tratar de convencer a un holandés de que se junte con los belgas. Imposible.
Acaba de llegarme este enlace desde Estrasburgo.
[url]http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+REPORT+A8-2015-0175+0+DOC+PDF+V0//EN[/url] ([url]http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+REPORT+A8-2015-0175+0+DOC+PDF+V0//EN[/url])
A ver si podemos comenzar a entender qué se está cociendo a toda prisa y según dicen a escondidas.
Saludos
PD. Se agradecen comentarios
Parece que es así, la conciencia local en España ha sido muy convenientemente hiperdesarrollada y aquí eso de tratar a entes "históricos" como a vulgares PACAs francesas o una hipotética STB (Sajonia-Turingia-Brandemburgo), es impensable, se trataría de un crimen contra un Volk milenario de tradiciones que se remontan a miles de años (en realidad casi nunca a antes de 1.850, pero bueno).Peligroso es eso de crear macro-regiones. Porque al final podríamos resucitar a Castilla.Hacer resucitar a Castilla, nos llevaría a tener los mismos problemas que en UK, donde la existencia de un ente fantasmagórico que no existe oficialmente en ningún sitio pero que existe en la realidad, llamada Inglaterra y que tiene más del 80% de la población, hace que el federalismo sea inviable.
UK tiene cuatro entes fantasmagóricos para casi 70 millones de habitantes, mientras que en Hispanistán nos hemos montado 17 nacioncitas con destino en lo universal. Diría que el problema territorial lo tenemos nosotros.
En España no se puede rebobinar el desastre autonómico, ni fusionar, ni nada. La gente ha nacido, crecido, y reproducido, como las cucarachas del Cucal, bajo el sistema autonómico. Dile a un valenciano que lo juntas con los catalanes. O a un balear. Por decir un par.
Solo un evento internacional muy, MUY catastrófico podría asustar tanto a la gente que la convenciese de formar entidades políticas más grandes, y dejar España dividida en 4-5 regiones, estados federales, o lo que fuera.
Pero hablamos de algo gordísimo. Si no, es imposible. Es como tratar de convencer a un holandés de que se junte con los belgas. Imposible.
Yo apostaría por una dictadura férrea, siendo pragmático.
Peligroso es eso de crear macro-regiones. Porque al final podríamos resucitar a Castilla.Hacer resucitar a Castilla, nos llevaría a tener los mismos problemas que en UK, donde la existencia de un ente fantasmagórico que no existe oficialmente en ningún sitio pero que existe en la realidad, llamada Inglaterra y que tiene más del 80% de la población, hace que el federalismo sea inviable.
Varoufakis' Great Game ([url]http://www.project-syndicate.org/commentary/varoufakis-ecb-grexit-threat-by-hans-werner-sinn-2015-05[/url]) by Hans-Werner Sinn
([url]http://cdn1.spiegel.de/images/image-30830-thumbflex-aiom.jpg[/url])Cita de: Hans-Werner SinnMUNICH – Game theorists know that a Plan A is never enough. One must also develop and put forward a credible Plan B – the implied threat that drives forward negotiations on Plan A. Greece’s finance minister, Yanis Varoufakis, knows this very well. As the Greek government’s anointed “heavy,” he is working Plan B (a potential exit from the eurozone), while Prime Minister Alexis Tsipras makes himself available for Plan A (an extension on Greece’s loan agreement, and a renegotiation of the terms of its bailout). In a sense, they are playing the classic game of “good cop/bad cop” – and, so far, to great effect.
Plan B comprises two key elements. First, there is simple provocation, aimed at riling up Greek citizens and thus escalating tensions between the country and its creditors. Greece’s citizens must believe that they are escaping grave injustice if they are to continue to trust their government during the difficult period that would follow an exit from the eurozone.
Second, the Greek government is driving up the costs of Plan B for the other side, by allowing capital flight by its citizens. If it so chose, the government could contain this trend with a more conciliatory approach, or stop it outright with the introduction of capital controls. But doing so would weaken its negotiating position, and that is not an option.
Capital flight does not mean that capital is moving abroad in net terms, but rather that private capital is being turned into public capital. Basically, Greek citizens take out loans from local banks, funded largely by the Greek central bank, which acquires funds through the European Central Bank’s emergency liquidity assistance (ELA) scheme. They then transfer the money to other countries to purchase foreign assets (or redeem their debts), draining liquidity from their country’s banks.
Other eurozone central banks are thus forced to create new money to fulfill the payment orders for the Greek citizens, effectively giving the Greek central bank an overdraft credit, as measured by the so-called TARGET liabilities. In January and February, Greece’s TARGET debts increased by almost €1 billion ($1.1 billion) per day, owing to capital flight by Greek citizens and foreign investors. At the end of April, those debts amounted to €99 billion.
A Greek exit would not damage the accounts that its citizens have set up in other eurozone countries – let alone cause Greeks to lose the assets they have purchased with those accounts. But it would leave those countries’ central banks stuck with Greek citizens’ euro-denominated TARGET claims vis-à-vis Greece’s central bank, which would have assets denominated only in a restored drachma. Given the new currency’s inevitable devaluation, together with the fact that the Greek government does not have to backstop its central bank’s debt, a default depriving the other central banks of their claims would be all but certain.
A similar situation arises when Greek citizens withdraw cash from their accounts and hoard it in suitcases or take it abroad. If Greece abandoned the euro, a substantial share of these funds – which totaled €43 billion at the end of April – would flow into the rest of the eurozone, both to purchase goods and assets and to pay off debts, resulting in a net loss for the monetary union’s remaining members.
All of this strengthens the Greek government’s negotiating position considerably. Small wonder, then, that Varoufakis and Tsipras are playing for time, refusing to submit a list of meaningful reform proposals.
The ECB bears considerable responsibility for this situation. By failing to produce the two-thirds majority in the ECB Council needed to limit the Greek central bank’s self-serving strategy, it has allowed the creation of more than €80 billion in emergency liquidity, which exceeds the Greek central bank’s €41 billion in recoverable assets. With Greece’s banks guaranteed the needed funds, the government has been spared from having to introduce capital controls.
Rumor has it that the ECB is poised to adjust its approach – and soon. It knows that its argument that the ELA loans are collateralized is wearing thin, given that, in many cases, the collateral has a rating below BBB-, thus falling short of investment grade.
If the ECB finally acknowledges that this will not do, and removes Greece’s liquidity safety net, the Greek government would be forced to start negotiating seriously, because waiting would no longer do it any good. But, with the stock of money sent abroad and held in cash having already ballooned to 79% of GDP, its position would remain very strong.
In other words, thanks largely to the ECB, the Greek government would be able to secure a far more favorable outcome – including increased financial assistance and reduced reform requirements – than it could have gained at any point in the past. A large share of the acquired resources measured by the TARGET balances and the cash that has been printed would turn into an endowment gift for an independent future.
Many people in Europe seem to believe that Varoufakis, an experienced game theorist but a political neophyte, does not know how to play the cards that Greece has been dealt. They should think again – before Greece walks away with the pot.([url]http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/03194/grecegametheory_3194259b.jpg[/url])
No veo la jugada. El BCE juega a largo, y además hay otros jugadores... nosotros por ejemplo. Una cantidad importante para Grecia puede ser una minucia para la unión... y un chantage no lo puede aceptar casi por definición.
Casi cualquier persona razonablemente avisada llega, en algún momento, a una conclusión parecida.
Y entonces el dilema se convierte en ético, porque de lo que estamos hablando es de la dignidad humana. Es decir, si tal cosa hubiere.
Los que se decantan por hacer cosas por el pueblo pero sin el pueblo, son pragmáticos, pero rebajan a la persona a la condición de ganado, y por supuesto, dejan a un lado el amor.
Y yo me pregunto, si no amas al ser humano, tal y como es, ¿qué sentido tiene querer guiarlo, cuidarlo y procurar su bien a expensas de sus propios deseos, por muy inadecuados que se te antojen?
Peligroso es eso de crear macro-regiones. Porque al final podríamos resucitar a Castilla.Hacer resucitar a Castilla, nos llevaría a tener los mismos problemas que en UK, donde la existencia de un ente fantasmagórico que no existe oficialmente en ningún sitio pero que existe en la realidad, llamada Inglaterra y que tiene más del 80% de la población, hace que el federalismo sea inviable.
Pues yo creo que esa Castilla, de facto, existe. Existe una Castilla sociológica que no entiende que hay sitios donde todo sobre España está mal si se usan sus lentes. España con las gafas de Castilla se ve desenfocada desde fuera de Castilla. Desde el ordinal del Rey para abajo nada encaja.
La jugada es sencilla, al pasar el tiempo y al reducirse la contrapartida de las cuentas corrientes en manos de ciudadanos y empresas griegas las perdidas por la futura salida del euro no existen. Grecia podria salir del euro, instaurar el novadracma, quebrar, quebrar su banco central, y la mayor parte de los griegos forrados con activos en euros, pero pasivos en dracmas.
El griego medio puede acabar con un monton de euros por alli repartidos, y debiendo un porron de dracmas que en realidad poco valen.
Varu es listo, y ademas es un jodido cabron.
Tranquilo visi, sólo era una boutade, ya sabéis que a menudo hablo muy suelto... Pero ojo, que sólo he exagerado un poquito. Retiro lo de férrea, que parece que se trata de dar muchos palos y encarcelar o "desaparecer" disidentes, y lo sustituyo por "Sólida": Pero supongo que no es eso lo que te deja ojiplático. Veamos:Casi cualquier persona razonablemente avisada llega, en algún momento, a una conclusión parecida.
Y entonces el dilema se convierte en ético, porque de lo que estamos hablando es de la dignidad humana. Es decir, si tal cosa hubiere.
Los que se decantan por hacer cosas por el pueblo pero sin el pueblo, son pragmáticos, pero rebajan a la persona a la condición de ganado, y por supuesto, dejan a un lado el amor.
No es rebajar a la persona a la condición de ganado; es asumir que, como sociedad, en agregado, somos políticamente inmaduros (por no decir, directamente, infantiles), y sí, también con una componente borreguil muy acusada. Supongo que son dos cosas bastante relacionadas.
Pongámonos en la hipótesis (improbabilísima, pero estamos hablando de fundamentos) de que un golpe de estado nos trajera a alguien capad de de articular una TE de libro, con su reforma teritorial y administrativa, su separación de poderes, su coto a la impunidad, la despolitización de la educación, la sanidad y la vivienda, una reforma electoral o hasta un proceso constituyente etc etc. Todo cojonudo, pero por las bravas y contra la voluntad furiosa de la MN.
Pregunta: ¿Ese "dictador" ha ido contra la dignidad de los españoles o se la ha devuelto? ¿Habrá demostrado amor o desapego hacia su prójimo? Yo sabría argumentar las dos cosas, sobre todo porque "dignidad" es un concepto bastante complejo y poliédrico.CitarY yo me pregunto, si no amas al ser humano, tal y como es, ¿qué sentido tiene querer guiarlo, cuidarlo y procurar su bien a expensas de sus propios deseos, por muy inadecuados que se te antojen?
No es incompatible. La relación padre/hijo es un ejemplo fácil de que el verdadero amor a alguien puede requerir, en determinadas circunstancias, imponerte contra la voluntad de aquellos a los que amas. Sobre todo si las otras opciones son ver cómo se autodestruye cuando tú podías evitarlo, o, porqué no, tratar de sacar algún provecho.
No se trata tampoco de que los deseos del amado "se te antojen inadecuados", como si habláramos del tamaño de las minifaldas o la dieta fast food. Se trata de que sabes a ciencia cierta que esos deseos llevan a un desastre social que la gente es incapaz de prever ni valorar, porque el mundo es como es y la gente es la que es.
Además, una cosa son los deseos llamémosles "profundos" de la gente, (paz, justicia, futuro ) y otra sus antojos, manías o ideítas sobre cómo conseguirlo. Argumento que el dictador de mi novela está cumpliendo los deseos más profundos de ese hipotético pueblo, y haciéndolo por amor. (Es mi novela y la acabo como quiero)
Acusar de inmadurez a la sociedad, para justificar una tecnocracia dictatorial es muy cuestianable.
Diganme algún dictador que haya llevado a su pueblo un nivel de prosperidad parecido al de Occidente
[...]
Acusar de inmadurez a la sociedad, para justificar una tecnocracia dictatorial es muy cuestionable.Cuestionable lo es todo, pero vamos por partes.
Diganme algún dictador que haya llevado a su pueblo un nivel de prosperidad parecido al de OccidenteSi me pides que nombre a algún dictador que haya convertido su país en la Arcadia feliz, claro que no existe. Pero no por culpa del dictador, es que la Arcadia feliz no existe porque sólo sería posible con humanos ideales (no sólo el dictador, tendrían que serlo todos y cada uno). Pero sí que puedo poner varios ejemplos de dictadores que son, en muchos aspectos, un "mal menor" a su alternativa. ¿Saddam? ¿Gadafi?. Claro que yo estoy fijándome en el número de muertos, refugiados, y cosas tan frías y tecnócratas como que tengan luz eléctrica, agua potable, comida, y estabilidad.
Cuestiono también el ego de ciertas personas que se ven como líderes, porque en esencia una persona que se crea merecedor de dirigir a los demás no es buena persona.El problema es la palabra "merecedor". La responsabilidad, sobre todo cuando se trata de afrontar retos difíciles, es un marrón, no un premio. En cualquier caso, me opongo a esa idea de que cualquiera que se considere a sí mismo apto o necesario haya de ser una mala persona.
Pero aunque todo eso fuera cierto, no tiene derecho la gente a equivocarse? No son libres de votar a quien quieran? Aunque sea al PPSOE por más que nos pese, tienen su derecho y nadie puede ir en contra de su voluntad.Pues eso es lo que cuestiono.
Ajá, eso quise dejar claro. Sólo es una hipótesis maximalista para discutir esas asociaciones entre dignidad/amor/voluntad/imposición etc etc, que yo no tengo tan claras (por eso me interesa la conversación.)CitarPongámonos en la hipótesis (improbabilísima, pero estamos hablando de fundamentos) de que un golpe de estado nos trajera a alguien capad de de articular una TE de libro, con su reforma teritorial y administrativa, su separación de poderes, su coto a la impunidad, la despolitización de la educación, la sanidad y la vivienda, una reforma electoral o hasta un proceso constituyente etc etc. Todo cojonudo, pero por las bravas y contra la voluntad furiosa de la MN.
Esto es irreal, es soñar con un héroe salvador que no existe.
No existe el "dictador bueno" y una dictadura no es solución a nada.
No existe dictador bueno, ni ciudadano bueno.
La dictadura no es solución a nada. Ni la democracia tampoco. Son, en todo caso, caminos para aportar soluciones.
Pues nada, ahora sólo tienen ustedes que decidir si sacan la ouija o clonan a Franco a partir de muestras de ADN.
Lo que hay que leer...
Diganme algún dictador que haya llevado a su pueblo un nivel de prosperidad parecido al de Occidente
Visi, si mañana me dicen que ha habido un golpe militar y que tú eres el nuevo jefe del estado y fuerzas una TE según tu criterio personal, yo aplaudo con las orejas, salgo de mi exilio y remonto mi empresita, ahí es ná. Y eso contando con que no eres perfecto, cometerás errores y probablemente alguna injusticia.
Y si sale todo la mitad de bien de lo que yo me imagino, podría argumentar que has sido un auténtico salvapatrias, jeje.
No sé si me explico...
Es que nuestra Democracia falla un poco, y nada mejor que compararla con la Danesa. En aquel pequeñito país del norte existe un pleno sentimiento democrático con derecho a voz y debate.Entonces no es que nuestra democracia falle. Si tú mismo lo dices, que allí la gente tiene eso que llamas "sentimiento democrático" el sistema es mejor.
Lejos queda el modelo Español, donde en mi tierra el PP ha actuado como caudillo económico y ideológico. Su poder se ha extendido mas allá de sus competencias y una población atontada (eso no te lo discuto) le ha dado su apoyo hasta el fin de la fiesta. Pero de Democrático tiene poco a mi entender, y más cuando veo como se debate en otros países.De nuevo me das la razón y automáticamente nos contradices. Si la gente le ha votado con megamayorías, pues sará muchas cosas, pero antidemocrático no es. Madmen, esto ya se ha hablado mil veces: La democracia no garantiza nada bueno. Sólo garantiza que se reflejará en el poder la cultura política del pueblo, sea la que sea, para bien o para mal. Si la gente aquí debate política como si fuera fútbol, ¿qué otra cosa se puede esperar de los partidos y, por extensión, de los gobiernos?
Que existan Gaddafis o Huseins, que hayan otorgado cierta estabilidad "temporal" a través del uso de las armas y en mucha medida el miedo, pues bien, pero es un caso particular, Libia y sobretodo Irak son zonas de mucha inestabilidad y choques, donde los señores de la guerra son los Amos, no me parece un buen ejemplo la verdad.Si que es un buen ejemplo. Cada dictador ejercerá la violencia para imponer su criterio en proporción a la violencia de la oposición. DEjemos a francos y gadafis aparte, esto no va de historia, va de filosofía. Hablemos del dictador Visi en estado de gracia. Déjame que ese sea mi punto de partida para plantear mis preguntas. Déjame que intente hacer una reflexión partiendo de la premisa de que el agregado Españoles es culturalemente infantil y borrego. Coñe, que eso en otros hilos lo tenemos todos muy claro.
En el caso de Singapur, pues no negaré que la Dictadura Blanda de ese señor haya aportado un nivel de riqueza muy alto, tampoco negaré que es un señor muy hábil que supo instaurar la mentalidad para progresar. Tampoco se mucho sobre este pequeño país, pero no creo que sea representativo el caso de una Isla pequeña con unos 5-6 millones de habitantes.Claro que es representativo! Hablamos de fundamentos. Yo me resignaba a intentar explicarme con un caso hipotético, pero resulta que había uno real que yo desconocía.
Ojalá el estado debatiese como se hace en este foro, eso sería democracia, donde todos nos respetamos y ponemos (quizás gracias al anonimato que otorga internet) nuestras ideas sobre la mesa.Y tanto. Pero si ahí fuera no se discute así no es porque esté prohibido hacerlo. Es que es lo que hay. Somos unos coñazos y lo sabes jejejeje
¿Cuál es el papel ideal (ético, moral, como quieras) de las élites? (Me refiero por élites a aquellos que por posición y preparación, ven más allá que el común y tienen capacidad de influencia.)
Merkel se muestra dispuesta a cambiar los tratados de la UE «si es necesario»
La canciller alemana ha abierto la puerta a reformar algunas de las cosas que pide el Gobierno de Reino Unido
[...]«Soy optimista, encontraremos una solución», ha explicado en la entrevista, en la que ha dicho estar dispuesta a apoyar «algunas de las cosas» que ha comenzado a plantear Cameron y a mantener una Europa «de dos velocidades». En otras cuestiones, ha matizado, mantiene «una opinión diferente» a la de su homólogo. [...]
[url]http://www.lavozdegalicia.es/noticia/internacional/2015/06/04/merkel-muestra-dispuesta-cambiar-tratados-ue-necesario/00031433426619197168153.htm[/url] ([url]http://www.lavozdegalicia.es/noticia/internacional/2015/06/04/merkel-muestra-dispuesta-cambiar-tratados-ue-necesario/00031433426619197168153.htm[/url])
Visi, si mañana me dicen que ha habido un golpe militar y que tú eres el nuevo jefe del estado y fuerzas una TE según tu criterio personal, yo aplaudo con las orejas, salgo de mi exilio y remonto mi empresita, ahí es ná. Y eso contando con que no eres perfecto, cometerás errores y probablemente alguna injusticia.
Y si sale todo la mitad de bien de lo que yo me imagino, podría argumentar que has sido un auténtico salvapatrias, jeje.
No sé si me explico...
Es que nuestra Democracia falla un poco, y nada mejor que compararla con la Danesa. En aquel pequeñito país del norte existe un pleno sentimiento democrático con derecho a voz y debate.
Lejos queda el modelo Español, donde en mi tierra el PP ha actuado como caudillo económico y ideológico. Su poder se ha extendido mas allá de sus competencias y una población atontada (eso no te lo discuto) le ha dado su apoyo hasta el fin de la fiesta. Pero de Democrático tiene poco a mi entender, y más cuando veo como se debate en otros países.
Que existan Gaddafis o Huseins, que hayan otorgado cierta estabilidad "temporal" a través del uso de las armas y en mucha medida el miedo, pues bien, pero es un caso particular, Libia y sobretodo Irak son zonas de mucha inestabilidad y choques, donde los señores de la guerra son los Amos, no me parece un buen ejemplo la verdad.
En el caso de Singapur, pues no negaré que la Dictadura Blanda de ese señor haya aportado un nivel de riqueza muy alto, tampoco negaré que es un señor muy hábil que supo instaurar la mentalidad para progresar. Tampoco se mucho sobre este pequeño país, pero no creo que sea representativo el caso de una Isla pequeña con unos 5-6 millones de habitantes.
En el caso de Corea del Sur, su progreso viene de su mentalidad a mi entender, son primos hermanos de los Japoneses por más que se odien. Y creo recordar que Corea del Sur es una democracia desde hace más de 35 años (mas o menos como la Española) y con unos índices de corrupción muy elevados, además de que ciertas corporaciones industriales ostentan un poder brutal. Pero nadie niega su gran capacidad técnica y industrial.
Ojalá el estado debatiese como se hace en este foro, eso sería democracia, donde todos nos respetamos y ponemos (quizás gracias al anonimato que otorga internet) nuestras ideas sobre la mesa.
Las probabiidades de que el dictador sea un "hombre de Estado" cabal y justo son de una entre cien.Falso.
ATHENS – On September 6, 1946 US Secretary of State James F. Byrnes traveled to Stuttgart to deliver his historic “Speech of Hope.” Byrnes’ address marked America’s post-war change of heart vis-à-vis Germany and gave a fallen nation a chance to imagine recovery, growth, and a return to normalcy. Seven decades later, it is my country, Greece, that needs such a chance.
Until Byrnes’ “Speech of Hope,” the Allies were committed to converting “…Germany into a country primarily agricultural and pastoral in character.” That was the express intention of the Morgenthau Plan, devised by US Treasury Secretary Henry Morgenthau Jr. and co-signed by the United States and Britain two years earlier, in September 1944.
Indeed, when the US, the Soviet Union, and the United Kingdom signed the Potsdam Agreement in August 1945, they agreed on the “reduction or destruction of all civilian heavy-industry with war potential” and on “restructuring the German economy toward agriculture and light industry.” By 1946, the Allies had reduced Germany’s steel output to 75% of its pre-war level. Car production plummeted to around 10% of pre-war output. By the end of the decade, 706 industrial plants were destroyed.
Byrnes’ speech signaled to the German people a reversal of that punitive de-industrialization drive. Of course, Germany owes its post-war recovery and wealth to its people and their hard work, innovation, and devotion to a united, democratic Europe. But Germans could not have staged their magnificent post-war renaissance without the support signified by the “Speech of Hope.”
Prior to Byrnes’ speech, and for a while afterwards, America’s allies were not keen to restore hope to the defeated Germans. But once President Harry Truman’s administration decided to rehabilitate Germany, there was no turning back. Its rebirth was underway, facilitated by the Marshall Plan, the US-sponsored 1953 debt write-down, and by the infusion of migrant labor from Italy, Yugoslavia, and Greece.
Europe could not have united in peace and democracy without that sea change. Someone had to put aside moralistic objections and look dispassionately at a country locked in a set of circumstances that would only reproduce discord and fragmentation across the continent. The US, having emerged from the war as the only creditor country, did precisely that.
Today, it is my country that is locked in such circumstances and in need of hope. Moralistic objections to helping Greece abound, denying its people a shot at achieving their own renaissance. Greater austerity is being demanded from an economy that is on its knees, owing to the heftiest dose of austerity any country has ever had to endure in peacetime. No offer of debt relief. No plan for boosting investment. And certainly, as of yet, no “Speech of Hope” for this fallen people.
It is the mark of ancient societies, like those of Germany and of Greece, that contemporary tribulations revive old fears and foment new discord. So we must be careful. Teenagers should never be told that, due to some “prodigal sin,” they deserve to be educated in cash-strapped schools and weighed down by mass unemployment, whether the scene is Germany in the late 1940s or Greece today.
As I write these lines, the Greek government is presenting the European Union with a set of proposals for deep reforms, debt management, and an investment plan to kick-start the economy. Greece is indeed ready and willing to enter into a compact with Europe that will eliminate the deformities that caused it to be the first domino to fall in 2010.
But, if Greece is to implement these reforms successfully, its citizens need a missing ingredient: Hope. A “Speech of Hope” for Greece would make all the difference now – not only for us, but also for our creditors, as our renaissance would terminate the default risk.
What should such a declaration include? Just as Byrnes’ address was short on detail but long on symbolism, a “Speech of Hope” for Greece does not have to be technical. It should simply mark a sea change, a break with the past five years of adding new loans on top of already unsustainable debt, conditional on further doses of punitive austerity.
Who should deliver it? In my mind, the speaker should be German Chancellor Angela Merkel, addressing an audience in Athens or Thessaloniki or any Greek city of her choice. She could use the opportunity to hint at a new approach to European integration, one that starts in the country that has suffered the most, a victim both of the eurozone’s faulty monetary design and of its society’s own failings.
Hope was a force for good in post-war Europe, and it can be a force for positive transformation now. A speech by Germany’s leader in a Greek city could go a long way toward delivering it.
50 MP conservadores (de un total de 331) apoyan el Brexit junto a UKIP
[url]http://www.theguardian.com/politics/2015/jun/06/conservative-mps-campaign-eu-exit-cameron-reforms[/url] ([url]http://www.theguardian.com/politics/2015/jun/06/conservative-mps-campaign-eu-exit-cameron-reforms[/url])
Diganme algún dictador que haya llevado a su pueblo un nivel de prosperidad parecido al de Occidente
[url]http://es.wikipedia.org/wiki/Lee_Kuan_Yew[/url] ([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Lee_Kuan_Yew[/url])
[url]http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.html[/url] ([url]http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.html[/url])
Bélgica saca una moneda de 2,5 € conmemorando la batalla de Waterloo. No ha gustado en Francia.
The most frustrating part is that these negotiations are taking up all our energy and time. And moreover: the institutions are telling us,
if we legislate before we reached a comprehensive agreement this will be seen as a unilateral action and it will blow up the negotiations.
One of the very first things I said to my Eurogroup colleagues was, why don’t we push some of the legislation we agree on – the taxation system, the anti-corruption rules – through parliament and meanwhile continue the negotiations?
And I was actually told a number of times if I dare to suggest this again this would constitute reason to settle the negotiations.
Le FMI avait annoncé jeudi que ses négociateurs présents à Bruxelles, excédés qu’Athènes ne valide pas la proposition d’accord de ses bailleurs de fonds sur la table depuis déjà dix jours, avaient repris l’avion pour Washington. Et qu’ils n’étaient pas prêts à céder sur les réformes des retraites et de la TVA, auxquelles Athènes se refuse.
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/12/la-zone-euro-se-prepare-au-scenario-d-un-defaut-grec_4653205_3234.html#TotYLTxchulWXQzk.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/12/la-zone-euro-se-prepare-au-scenario-d-un-defaut-grec_4653205_3234.html#TotYLTxchulWXQzk.99[/url])
[url]http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.html[/url] ([url]http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/11661312/Belgium-defies-France-with-euro-coin-marking-Napoleon-defeat.html[/url])
Bélgica saca una moneda de 2,5 € conmemorando la batalla de Waterloo. No ha gustado en Francia.
Blas de Lezo no existe para los británicos y las derrotas de Napoleón o el colaboracionismo masivo con los nazis son tabú en Francia. Moverse por Europa es complicado porque hay mucho ego frágil dispuesto a liarla en cuanto no oiga lo que le gusta
Mais selon l’édition dominicale de la Frankfurter Allgemeine Zeitung, des tensions seraient apparues ces jours derniers entre le FMI et la Commission. Le FMI aurait «torpillé» un compromis d’accord soumis par M. Juncker et prévoyant un report des coupes dans les retraites en échange d’efforts équivalents sur le budget militaire.
«Je ne serais pas surpris que le FMI insiste aujourd’hui sur des positions inacceptables qu’il sait bien que la Grèce ne peut pas accepter, ce qui serait une justification pour que l’institution quitte les négociations», a déclaré le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, dans un entretien à l’hebdomadaire Realnews.
Il a assuré que cet éventuel départ «n’empêcherait pas un accord entre seulement Athènes et les Européens». Mais une source européenne interrogée par l’AFP a insisté sur le fait que l’accord des trois institutions était nécessaire, et une autre a assuré qu’elles partageaient les «mêmes objectifs», renvoyant la balle dans le camp grec.
The offer made to the Greek government last week reflected these considerations and these tradeoffs. It proposed to lower the medium term primary budget surplus target from 4.5% of GDP to 3.5%, and give Greece two more years to achieve that target—so the target for this year was reduced to 1%—and it asked for a more limited set of reforms.
For a deal along these lines to be effective and credible however, two conditions must be satisfied.
On the one hand, the Greek government has to offer truly credible measures to reach the lower target budget surplus, and it has to show its commitment to the more limited set of reforms. We believe that even the lower new target cannot be credibly achieved without a comprehensive reform of the VAT – involving a widening of its base – and a further adjustment of pensions. Why insist on pensions? Pensions and wages account for about 75% of primary spending; the other 25% have already been cut to the bone. Pension expenditures account for over 16% of GDP, and transfers from the budget to the pension system are close to 10% of GDP. We believe a reduction of pension expenditures of 1% of GDP (out of 16%) is needed, and that it can be done while protecting the poorest pensioners. We are open to alternative ways for designing both the VAT and the pension reforms, but these alternatives have to add up and deliver the required fiscal adjustment.
On the other hand, the European creditors would have to agree to significant additional financing, and to debt relief sufficient to maintain debt sustainability.We believe that, under the existing proposal, debt relief can be achieved through a long rescheduling of debt payments at low interest rates. Any further decrease in the primary surplus target, now or later, would probably require, however, haircuts.
"Sin una negociación sobre la reestructuración de la deuda y limitándonos al debate sobre la parte financiera eso no podía avanzar. Por fin llegamos al momento de la claridad, y la otra parte, concretamente la canciller alemana, debe tomar decisiones".
A juicio de Varoufakis, en Bruselas se logró "un acercamiento importante" a nivel técnico, pero Grecia dejó claro que para poder alcanzar una solución se debía elevar la negociación al nivel político, con el objetivo de incluir el tema de la deuda y el programa de inversiones en la negociación. Atenas ha venido insistiendo en que la crisis no puede resolverse únicamente mediante un programa de reformas sino que debe incluirse una reestructuración de la deuda y un paquete de inversiones que posibiliten volver al crecimiento económico.
Una de las fórmulas es la que el MEDE asuma la deuda con el BCE por valor de 27.000 millones de euros
Una de las fórmulas que se habían planteado, según se desprende de la propuesta filtrada a los medios y reconocido recientemente por Varoufakis, era la de que el Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE) asumiera la deuda de Grecia con el Banco Central Europeo (BCE) por valor de 27.000 millones de euros. Así pues Grecia, que renegociaría con el MEDE los términos de devolución, obtendría un respiro de liquidez, pues tan solo en los próximos dos meses debe devolver al BCE 6.700 millones de euros, lo que sumado a los 1.600 millones que debe desembolsar el próximo 30 de junio al Fondo Monetario Internacional (FMI) ya supera con creces los 7.200 millones pendientes del rescate.
No creo que haya tenido nunca muchas papeletas, aunque después de lo de Rato en el FMI no nos atrevemos a apostar :biggrin:
Me da la impresión de que todo lo que han contado en los medios españoles es una operación mediática de consumo interno. Pero es una impresión, sin conocimiento de primera ni segunda mano.
Hay que dimitir a Christine Lagarde,
Il faut licencier Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Ses exigences de nouvelles et sévères coupes budgétaires sont politiquement inacceptables pour la Grèce, ce qui rend de plus en plus probable un échec des négociations en cours et un défaut de paiement à la fin du mois ou dans les semaines qui suivent (il y a toujours des moyens techniques de retarder l’échéance). Ce n’est pas pour rien qu’en 2010, Jean-Claude Trichet, alors président de la Banque centrale européenne (BCE), avait bataillé contre la présence du Fonds monétaire international dans le sauvetage des pays attaqués par les marchés : pour lui, la zone euro avait les moyens de s’occuper seule de ses canards boiteux, ce qui pouvait lui éviter de se voir imposer un agenda décidé ailleurs.
Trichet tenía razón: la lógica de la organización de Washington est incompatible con la de la zona Euro. Le FMI opera con criterios presupuestarios: condiciona sus préstamos al equilibrio presupuestario
Al FMI no le preocupa mantener a Grecia en la UE.
Les faits lui donnent raison : il est désormais clair que la logique de l’organisation de Washington est incompatible avec celle de la zone euro. Le FMI obéit à des considérations uniquement budgétaires : lorsqu’il intervient, il conditionne ses prêts à un équilibre du budget (coupe dans les dépenses, augmentation des impôts) et impose un abandon de dette afin de la rendre soutenable. Or, si la dette grecque a été en partie restructurée, pour un montant de 115 milliards d’euros, cela a été fait très tardivement, en 2012, et les 220 milliards de prêts accordés par la zone euro n’ont pas été concernés. Surtout, le FMI ne se préoccupe guère du maintien de la Grèce dans l’euro, pas plus que de la pérennité du projet européen : ce sont des questions politiques qui lui sont étrangères.
Para la UE, es lo contrario. El Grexit amenaza al euro. Pero sigue creyendo que podrá devolver la deuda europea en 2023. Combinada con la FMI, son dos lógicas inconciliables que conducen a la catástrofe.
Pour la zone euro, c’est l’inverse : sa priorité est politique, éviter un «Grexit» qui menacerait la pérennité de la monnaie unique. Mais elle continue à faire mine de croire que la Grèce pourra rembourser ses dettes à partir de 2023 (rien n’est exigible avant), alors qu’elle sait bien que ce ne sera jamais le cas. Le fait que le Fonds monétaire international et la zone euro négocient ensemble pousse chacun à l’intransigeance et aboutit à exiger d’Athènes l’impossible : des coupes budgétaires visant non seulement à l’équilibre, mais à un excédent primaire irréaliste censé permettre le remboursement d’une dette «sanctuarisée». Deux logiques inconciliables qui menacent l’Europe d’une catastrophe sans précédent.
Es raro el modelo elegido. El FMI es un acreedor pequeño pero tocapelotas en el esquema griego. Como el riesgo lo tiene casi todo la UE, quizá deberían subrogarse.
Eln plan que a mi se me ocurre es ofrecerse a hacerse cargo la UE de las.amortizaciones de calendario todos los años que no se alcance determinado presupuesto y que a cambio Grecia cumpla con los intereses y vaya reformando su sistema de pensiones, que es insostenible y tiene mucho margen por lo temprano de la edad de retiro.
A Grecia no le iría mal porque en neto apenas paga 1500M, que es la diferencia entre los 5500M de intereses y los 4.000M que la UE le transfiere cada año en ayudas netas para obra pública. Y liberaría el dinero de las amortizaciones para programas de emergencia social y/o impulso del crecimiento.
Es una peculiaridad de los países sureños meter en las pensiones casi todo el gasto en prestaciones sociales en dinero. Francia, que tiene una potente máquina recaudatoria, mantiene sistemas de subsidios y ayudas en forma de rentas mínimas o por hijos y eso ayuda mucho a la cohesión social . Pero los cerditos hemos decidido que solamente los ancianos merecen ayudas , en España al menos tenemos el enorme gasto en desempleo que compensa esas carencias, pero el griego es inferior. Una reforma inteligente podría buscar quitar excesos en la viudedad no asistencial y otras pensiones para crear más rentas para personas en riesgo de exclusión .
yo incluso me plantearía usar el funcionariado para paliar los defectos del mercado laboral otorgando una enorme puntuación de acceso a desempleados de elevada edad
No es una tontería porque se lograría sacar del paro y la marginalidad a personas casi desahuciadas en lo laboral y al tiempo se acortaría el ciclo de vida del funcionario o empleado público, que trabajaría de los 40-45a los 65, reduciendo los costes por antigüedad y otros derivados de in cierto inmovilismo. Esto en todos los países con elevado desempleo seria una medida interesante si además puntuase con baremos lógicos la experiencia en el sector privado .
Es una peculiaridad de los países sureños meter en las pensiones casi todo el gasto en prestaciones sociales en dinero. Francia, que tiene una potente máquina recaudatoria, mantiene sistemas de subsidios y ayudas en forma de rentas mínimas o por hijos y eso ayuda mucho a la cohesión social . Pero los cerditos hemos decidido que solamente los ancianos merecen ayudas , en España al menos tenemos el enorme gasto en desempleo que compensa esas carencias, pero el griego es inferior. Una reforma inteligente podría buscar quitar excesos en la viudedad no asistencial y otras pensiones para crear más rentas para personas en riesgo de exclusión .
yo incluso me plantearía usar el funcionariado para paliar los defectos del mercado laboral otorgando una enorme puntuación de acceso a desempleados de elevada edad
No es una tontería porque se lograría sacar del paro y la marginalidad a personas casi desahuciadas en lo laboral y al tiempo se acortaría el ciclo de vida del funcionario o empleado público, que trabajaría de los 40-45a los 65, reduciendo los costes por antigüedad y otros derivados de in cierto inmovilismo. Esto en todos los países con elevado desempleo seria una medida interesante si además puntuase con baremos lógicos la experiencia en el sector privado .
Exacto!!!!
Y es que el enorme gasto social no se traduce en una sociedad del bienestar, quizás lo sea para ciertos colectivos como los Pensionistas o ciertos Funcionarios, pero poco más. Te da vergüenza comparar el estado social de Dinamarca y el de España.
Algo que me impacta de España, ver pensionistas con carrazos y cobrando pensión. Distorsiona, porque si la pensión es un gasto SOCIAL, como coño se puede comprar un coche de 50-60 k euros?
Y es que en España no se entiende la pensión como gasto social, se entiende como "Mi Paguita".
Este tipo de cosas escandalizarían a cualquier Noruego o Sueco. La distopía Viejo-Joven, o Trabajador-Rentista(inmobiliario).
Es una peculiaridad de los países sureños meter en las pensiones casi todo el gasto en prestaciones sociales en dinero. Francia, que tiene una potente máquina recaudatoria, mantiene sistemas de subsidios y ayudas en forma de rentas mínimas o por hijos y eso ayuda mucho a la cohesión social . Pero los cerditos hemos decidido que solamente los ancianos merecen ayudas , en España al menos tenemos el enorme gasto en desempleo que compensa esas carencias, pero el griego es inferior. Una reforma inteligente podría buscar quitar excesos en la viudedad no asistencial y otras pensiones para crear más rentas para personas en riesgo de exclusión .
yo incluso me plantearía usar el funcionariado para paliar los defectos del mercado laboral otorgando una enorme puntuación de acceso a desempleados de elevada edad
No es una tontería porque se lograría sacar del paro y la marginalidad a personas casi desahuciadas en lo laboral y al tiempo se acortaría el ciclo de vida del funcionario o empleado público, que trabajaría de los 40-45a los 65, reduciendo los costes por antigüedad y otros derivados de in cierto inmovilismo. Esto en todos los países con elevado desempleo seria una medida interesante si además puntuase con baremos lógicos la experiencia en el sector privado .
Exacto!!!!
Y es que el enorme gasto social no se traduce en una sociedad del bienestar, quizás lo sea para ciertos colectivos como los Pensionistas o ciertos Funcionarios, pero poco más. Te da vergüenza comparar el estado social de Dinamarca y el de España.
Algo que me impacta de España, ver pensionistas con carrazos y cobrando pensión. Distorsiona, porque si la pensión es un gasto SOCIAL, como coño se puede comprar un coche de 50-60 k euros?
Y es que en España no se entiende la pensión como gasto social, se entiende como "Mi Paguita".
Este tipo de cosas escandalizarían a cualquier Noruego o Sueco. La distopía Viejo-Joven, o Trabajador-Rentista(inmobiliario).
Creo que ya lo ha mencionado Republik unas cuantas veces: en España en pocos casos debería darse dinero contante y sonante para el destinatario último del gasto social. La gente se lo funde en pijadas y acaba destinado a las personas equivocadas. Mejor ofrecer servicios o cosas en especie.
Igual tengo demasiada bilis acumulada hacia los pensionistas, pero no se sostiene que nos acerquemos cada día más a la equiparación de pensión y salario medio/mediano. Y de los prejubilados dorados de antiguos monopolios o semi-monopolios estatales, ni hablemos. Pero este es un debate que no merece la atención de la MN porque el mero hecho de plantearlo suponer ser un insolidario y un mata-viejos.
Siempre te sacan a la abuelilla llorando a moco tendido a punto de ser desahuciada de una corrala. Nunca al sesentón exprimebichos responsable de que una familia joven malviva con sus tristes sueldos. Y me atrevo a decir que de los segundos hay casi tantos como de los primeros. Y con su pensión of course, que para eso han "cotizao", hoyga!
Últimamente he hablado con bastantes empresarios conocidos de muchas ramas diferentes, desde cristalería, metalurgia, manipulación de carne, pinturas..... Y sin duda, todos coinciden en que cada vez necesitarán menos trabajadores para abastecer la demanda, independientemente de si sube o baja.
El último con el que hablé, un hombre que se dedica a manipular Carne de todo tipo y con una fábrica de decenas de trabajadores, me dijo que los repartidores y comerciales les queda poco tiempo, que los números no salen,ahora abarcan un radio de reparto de 150 km desde la fábrica, y que en un futuro los pedidos serán online y se enviará en cualquier caso a través de mensajero (especializado, pero mensajero) o que directamente bajen a comprar el producto a fábrica.
Otro que se ha gastado una auténtica fortuna en automatización, y que con solo 20 personas se apaña, la mayoría son técnicos que revisan el trabajo de las máquinas. Cuando me enseñó la fábrica flipé la verdad, ver como producen pintura un sistema de robots sincronizados donde te llegan a empaquetar el producto final tiene lo suyo.
Es lo que tiene el modelo, que tiende a la eficiencia, así que tachar de gandules a los parados..... aparte de inmoral es falso.
...
Es que los ancianos, se entiende que no pueden trabajar por su edad y el resto si...y ahí está el error de la MN. Amparados en la meritocracia, sin decirlo claramente y no creyéndoselo del todo, piensan que el que no trabaja es porque no quiere o porque no se lo merece.
El sábado en la Sexta Niño Becerra dijo repetidamente que cada vez habrá menos demanda de trabajo. Y se le dejó hablar. Ayer también, Villacís también dijo lo bueno que era hacer accesible la vivienda al reducirse los precios de los alquileres simplemente con medidas que favorecieran que aumentara la demanda de pisos en alquiler. Eso les rechina al resto de contertulios y ya pasaron a hablar de los destrozapisos y que al propietario les había costado un dinero. Si Villacís hubiera contestado, que eso se debía a una mala inversión del propietario y que existen seguros ante el impago del inquilino, hubiera sido impagable (valga la redundancia). Querer alquileres baratos es de gran humanidad, pero a algunos les cuesta mucho dar ese paso. Aunque todos seamos en lo más profundo rentistas, !por favor!, no creo que lleguen en España los rentistas a ser 2-3 millones y es sorprendente la voz que que tienen en los medios de comunicación.
Resumiendo, creo que cada vez chirría más llamar vagos a los parados y considerar injusto el alquiler social.
Tsipras denunció de pronto la "responsabilidad criminal" del FMI
""El momento ha leggado para que sus propuestas sean juzgada no sólo por nosotros, sobre todo por Europa" lanzó, intentando aparentement crear una fractura entre sus acreedores.
M. Tsipras a soudain dénoncé la "responsabilité criminelle" du FMI dans la situation actuelle de la Grèce. "Le moment est venu pour que ses propositions soient jugées non seulement par nous mais surtout par l'Europe", a-t-il lancé, dans ce qui semble une tentative d'établir un clivage entre les créanciers.
Unos minutos antes, la tomo con las "instituciones" en general, incluida la UE y la BCE, acusándolas de "tender trampas" a Grecia y considerando "probable" que actúen "al servicio de motivaciones políticas"
Quelques minutes avant, il s'en était pris aux "institutions" en général, ce qui inclut l'UE et la BCE, les accusant de "tendre des pièges" à la Grèce et jugeant "probable" qu'elles soient "au service d'une motivation politique".
Dans la soirée, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a rejeté les accusations de M. Tspiras et a affirmé être sensible au sort des "Grecs les plus pauvres, qui souffrent plus que les autres en Europe des ajustements qu'ils ont dû subir", assurant qu'il n'était "pas favorable à une hausse de la TVA sur les médicaments ou l'électricité".
La Grèce estime "positif que M. Juncker fasse valoir sa différence", a réagi le porte-parole du gouvernement grec, Gabriel Sakellaridis.
Últimamente he hablado con bastantes empresarios conocidos de muchas ramas diferentes, desde cristalería, metalurgia, manipulación de carne, pinturas..... Y sin duda, todos coinciden en que cada vez necesitarán menos trabajadores para abastecer la demanda, independientemente de si sube o baja.
El último con el que hablé, un hombre que se dedica a manipular Carne de todo tipo y con una fábrica de decenas de trabajadores, me dijo que los repartidores y comerciales les queda poco tiempo, que los números no salen,ahora abarcan un radio de reparto de 150 km desde la fábrica, y que en un futuro los pedidos serán online y se enviará en cualquier caso a través de mensajero (especializado, pero mensajero) o que directamente bajen a comprar el producto a fábrica.
Otro que se ha gastado una auténtica fortuna en automatización, y que con solo 20 personas se apaña, la mayoría son técnicos que revisan el trabajo de las máquinas. Cuando me enseñó la fábrica flipé la verdad, ver como producen pintura un sistema de robots sincronizados donde te llegan a empaquetar el producto final tiene lo suyo.
Es lo que tiene el modelo, que tiende a la eficiencia, así que tachar de gandules a los parados..... aparte de inmoral es falso.
Pero no van por ahí, son conscientes de que la eficiencia reduce trabajos. Pero en ese caso, "cúrratelo, fabrica y véndele ese robot a la fábrica de pinturas". Manda huevos que algunos tengan el valor de decir eso sin entender la gran necesidad de capital para mejorar cualquier proceso industrial...Mientras tanto, yo con mi paguita, que me la merezco.
Otros piden que la gente trabaje por un cuenco de arroz, aunque tengan que atravesar Madrid todas las mañanas y obviamente, el salario bajo y las expectativas nulas de mejora te indiquen que no se debe aceptar ese trabajo y más cuando ves todo lo que apunta mpt. No admiten una sociedad en la que haya gente que no trabaje y cobre, aunque sea en especie, sin darse cuenta de que hay situaciones en las que eso es mejor que generar deuda contratando gente para que esté sentado en una silla y gastando calefacción. Con el tiempo, se explicará bien esto, estoy convencido.
Últimamente he hablado con bastantes empresarios conocidos de muchas ramas diferentes, desde cristalería, metalurgia, manipulación de carne, pinturas..... Y sin duda, todos coinciden en que cada vez necesitarán menos trabajadores para abastecer la demanda, independientemente de si sube o baja.
El último con el que hablé, un hombre que se dedica a manipular Carne de todo tipo y con una fábrica de decenas de trabajadores, me dijo que los repartidores y comerciales les queda poco tiempo, que los números no salen,ahora abarcan un radio de reparto de 150 km desde la fábrica, y que en un futuro los pedidos serán online y se enviará en cualquier caso a través de mensajero (especializado, pero mensajero) o que directamente bajen a comprar el producto a fábrica.
Otro que se ha gastado una auténtica fortuna en automatización, y que con solo 20 personas se apaña, la mayoría son técnicos que revisan el trabajo de las máquinas. Cuando me enseñó la fábrica flipé la verdad, ver como producen pintura un sistema de robots sincronizados donde te llegan a empaquetar el producto final tiene lo suyo.
Es lo que tiene el modelo, que tiende a la eficiencia, así que tachar de gandules a los parados..... aparte de inmoral es falso.
Pero no van por ahí, son conscientes de que la eficiencia reduce trabajos. Pero en ese caso, "cúrratelo, fabrica y véndele ese robot a la fábrica de pinturas". Manda huevos que algunos tengan el valor de decir eso sin entender la gran necesidad de capital para mejorar cualquier proceso industrial...Mientras tanto, yo con mi paguita, que me la merezco.
Otros piden que la gente trabaje por un cuenco de arroz, aunque tengan que atravesar Madrid todas las mañanas y obviamente, el salario bajo y las expectativas nulas de mejora te indiquen que no se debe aceptar ese trabajo y más cuando ves todo lo que apunta mpt. No admiten una sociedad en la que haya gente que no trabaje y cobre, aunque sea en especie, sin darse cuenta de que hay situaciones en las que eso es mejor que generar deuda contratando gente para que esté sentado en una silla y gastando calefacción. Con el tiempo, se explicará bien esto, estoy convencido.
Cuando la MN (o mejor, los que pintan algo en ella y no son meros rentistas) se convenza de que el trabajo cuencoarrocista no sólo es inmoral, sino que además es altamente ineficiente (por dos motivos: por destruir capital, y por generar un alto coste de oportunidad por no colocar el capital dónde se debe -.que no es otra cosa que la automatización.-), será cuando tal tipo de mensaje pasará, sin solución de continuidad, de ser denostado a ser admitido como obvio.
[...]
Cuando la MN (o mejor, los que pintan algo en ella y no son meros rentistas) se convenza de que el trabajo cuencoarrocista no sólo es inmoral, sino que además es altamente ineficiente (por dos motivos: por destruir capital, y por generar un alto coste de oportunidad por no colocar el capital dónde se debe -.que no es otra cosa que la automatización.-), será cuando tal tipo de mensaje pasará, sin solución de continuidad, de ser denostado a ser admitido como obvio.
[...]
Cuando la MN (o mejor, los que pintan algo en ella y no son meros rentistas) se convenza de que el trabajo cuencoarrocista no sólo es inmoral, sino que además es altamente ineficiente (por dos motivos: por destruir capital, y por generar un alto coste de oportunidad por no colocar el capital dónde se debe -.que no es otra cosa que la automatización.-), será cuando tal tipo de mensaje pasará, sin solución de continuidad, de ser denostado a ser admitido como obvio.
La MN nunca se dará cuenta de tal cosa: el razonamiento es demasiado fino, con independencia de que esté más o menos en lo cierto.
Al contrario, deben ser las élites - entendidas como tenedoras de dinero y poder; en las nuestras, la excelencia es inexistente - las que caigan en la cuenta de ello, si es que ello ocurre. Sería entonces cuando harían uso de los mass mierda para cambiar esa creencia de de la MN.
Aquí algo divertido sobre "Uropa", para que veamos que ni de lejos somos algo anómalo. Un italiano explica que en España las pensiones se limitan a 35.000 euros y tiene que insistir en que son "anuales" porque allí se puede cobrar eso al mes y más. No tienen topes de cotización y tampoco de prestación, que no es mala solución.
Al final el sistema italiano concentra el grueso de las prestaciones en la banda baja (68% por debajo de 1443 euros), pero dejan que se pague mucho más si se ha cotizado. Calculando bien la fórmula (obligando a promediar 40 años, por ejemplo), sale hasta rentable al sistema. He calculado alguna vez que levantar las bases aportaría 12.000M más al sistema, y como el efecto tardaría décadas en notarse, sería un alivio. Eso sí, hay que acostumbarse a no llorar porque "hay unos pocos viejos que cobran mucho", porque si lo han aportado, que se lo lleven, qué más da.
Lo deficiente del sistema español es que promedia 15 años (bueno, ahora cada año un poco más) y los sindicatos diseñan los convenios para que al menos en los 10 últimos todo el que tenga un convenio colectivo al que acogerse cobre un salario que si no es base máxima (43.000), se acerque lo suficiente para que queden pensión de al menos 2.000 brutos. Si se promediara toda la vida laboral, desaparecerían muchas pensiones altas pero no todas, e incluso algunas de gente que se cayó antes de tiempo del mercado laboral, subirían. Y nadie propone cosas como esta.
[url]http://www.reset.it/blog/italia-e-spagna-confronto-impietoso-sulle-pensioni[/url] ([url]http://www.reset.it/blog/italia-e-spagna-confronto-impietoso-sulle-pensioni[/url])
There Is One Problem With Europe's So-Called Austerity
([url]http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user5/imageroot/2015/06/20150616_Austerity_0.jpg[/url])
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-06-16/there-one-problem-europes-so-called-austerity[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-06-16/there-one-problem-europes-so-called-austerity[/url])
Pero hay un problema y es financiar la transición. En teoría algunos aportan mucho, y si te ves con 43 años habiendo cotizado durante 20 a razón de 15.000 por año, lo suyo es que por ejemplo te devuelvan la mitad de lo aportado y te bajen las cotizaciones a la mitad, de 15000 al año a 7000 (que dan de sobra para una pensión de 750 euros).
España se pulió en pisitos el margen de endeudamiento que tendría que haber usado en esta transición, que con 400-500.00M de deuda en forma de macroemisión a largo se podría haber financiado. Los mercados encantados, porque sabrían que ello cursaría con un enorme recorte del gasto a medio-largo, lo que haría viable y apetecible esa emisión. En lugar de eso hemos hecho lo que hemos hecho, entonces tendremos bajada de todo a la vez y para todos.
Holanda o UK empezaron décadas atrás sus transiciones y por eso tienen ya recorrido el camino (el ahorro en fondos de pensiones suma en Holanda el 130% del PIB, eso a una tasa del 6% renta casi un 8%, de modo que el Estado tiene que poner mucho menos para que los pensionistas cobren lo mismo o más que en Italia).
Luego está la tarea pedagógica de convencer al empresario de que lo que se quita en cotizaciones no es para su bolsillo sino para planes privados del empleado. La mezcla de poca tradición de ahorro-previsión y desconfianza mutua empresarios-asalariados es lo que ha mantenido vivos a estos sistemas de pensiones pesadillescos del Sur.
Y es verdad, al menos por lo observable, que en los países donde la gente ahorra para el retiro es en general mucho menos derrochona para todo (aprovechan muebles viejos incluso en barrios "pijos", son menos de gastar en ropa, no tiran dinero en coches salvo que les sobre o pague la empresa, etc).
No sé dónde meter esto, así que me disculpo si en este hilo esto entra con pinzas:
El íntimo día a día de los padres suecos durante su permiso de paternidad
[url]http://verne.elpais.com/verne/2015/06/15/album/1434378751_810532.html[/url] ([url]http://verne.elpais.com/verne/2015/06/15/album/1434378751_810532.html[/url])
"Suecia aparece en el imaginario colectivo como un ejemplo de políticas de paridad y de ayuda a los padres. Y lo es: el permiso por paternidad es de 480 días (16 meses) que se tienen que distribuir obligatoriamente entre los padres. Uno de los dos tiene que disfrutar de, al menos, 60 días o esos dos meses se pierden. Durante los 390 primeros días, los padres de baja reciben al menos el 80% de su sueldo y 20 euros al día a partir de esa fecha. Además, existe un bonus que incentiva repartir la baja y que llega hasta los 1.500 euros al año por pareja."
Y yo pienso ingenuamente: ya que somos un país que tiene a sus mayores entre laureles, ¿porqué no podríamos hacer lo mismo con los más jóvenes?. Ah, que NHD. Pues si hay que escoger, evidentemente nos quedamos con los abuelos. Visión de futuro.
En España son 4 meses para la madre y 15 días (!) para el padre. :rofl: :rofl: :rofl:
Eso sí, señores gobernantes españoles, hay que tener hijos como si no hubiera un mañana. Total, como los jóvenes en edad de procrear están en paro, que se entretengan con esto.
Sin neolumpen el tinglado no se sostiene.
No saldría demasiado caro alargar las bajas hasta el año (o al menos nueve meses) con dos meses o tres a elegir quién se los toma, por ejemplo. Menos que la deducción por vivienda, por ejemplo. Pero "atenta contra los derechos" de las guarderías, todo esto hay que verlo en perspectiva, siempre hay lobbies que se ven perjudicados y al final muchas cosas necesarias no se abordan nunca.
No saldría demasiado caro alargar las bajas hasta el año (o al menos nueve meses) con dos meses o tres a elegir quién se los toma, por ejemplo. Menos que la deducción por vivienda, por ejemplo. Pero "atenta contra los derechos" de las guarderías, todo esto hay que verlo en perspectiva, siempre hay lobbies que se ven perjudicados y al final muchas cosas necesarias no se abordan nunca.
Eso es lo peor. Saber que es posible pero que se gaste en RBUs bastardas.
Y les pongo una película te terror sobre la mesa: no sé si lo saben pero no todos los niños pueden ir a una guardería. Los casos abarcan desde inmunodeprimidos por la razón que sea hasta prematuros seis y sietemesinos. De esos hay a carretadas. ¿Solución para ese colectivo de padres? pues ninguna agradable. Que uno de la pareja destroce su carrera profesional cuidando al niño 24/7, que cojan jornadas partidas (jajaja en España), que endosen el crío a unos abuelos que debieran estar preocupándose por sus achaques y no los del crío o tener un buen sueldo que les permita tener cuidadora(s).
En España la ayuda social tiene poco recorrido. En su lugar se sigue delegando en sobreesfuerzos que deben soportar las familias. Tercermundismo.
Lo peor es que la escasa educación de los españoles puede hacer que algún indocumentado crea que los casos se parecen. Todo impago de España es la ruina de los ahorradores nacionales y el fin del crédito que será el del posible crecimiento.
(y seríamos 40-42M, que esto es importantísimo y hacemos como que no pasa nada).
En España las dos mafias que trincaban de los fondos de formación para el empleo (7000M al año, ojo, que conocemos pequeños casos de momento), se han coaligado también para incrementar a lo loco la población:
-A la mafia CEOEra le viene bien las cabezas porque todo humano en un país rico termina por conseguir rentas y gastar, y presiona al alza sobre precios de vivienda y suministros básicos que ellos controlan y piden poco por su trabajo (en parte porque tienen ingresos extra a cargo del presupuesto).
-A la mafia sindicalera-funcionarial le conviene porque "a más ovejas, más pastores" (=placitas para todo, con interinidades y consolidaciones que ellos mangonean).
Y así nos han metido en una dinámica perversa porque las externalidades de todo esto las soporta el contribuyente (ya he contado que la diferencia fiscal entre España e Italia es que los pequeños empresarios españoles apenas pagan el 0,2% del PIB en cuotas fiscales y allí el 1,2% solamente en IRPF, que además pagan cosas equivalentes al IAE y otros que en España no existen, y en la SS las diferencias son también importantes, es decir, el asalariado. Este es un país de listillos que quieren ser rentistas aunque todo se hunda a su alrededor.
Como en todo, la gestión (...) en España es penosa, y en los "regeneradores" lo mismo. El enchufismo, el "chupipandismo" y el putiferio son los únicos criterios y por eso tenemos lo que tenemos en la pública y en la privada.
Sinceramente. No creo que estemos tan mal. Otra cosa es creerse que somos el Cid Campeador.
Poco a poco me voy dando cuenta de que el mayor problema de España es que no queremos ver la realidad. Nos gusta pensar que los viejos parámetros del viejo sistema funcionan de verdad aunque todos los indicios muestren lo contrario. Y en ese sentido, la gente que cada vez más y más ve la realidad, todavía tiene pudor de expresarla claramente y actuar en consecuencia. Y es más, creo que la verdadera transición se producirá cuando esa gente que anda en los "mandos intermedios", pierda el pudor y empiece a obrar en consecuencia.
Les pongo un ejemplo. La semana pasada estuve en uno de esos foros promovidos por gente que quiere llenar el aforo con gente más o menos importante para que otra gente más o menos importante quiera también ir y todos salgamos con una agradable impresión de lo más o menos importantes que somos.
En ese foro, en uno de los actos, uno de los presentes, se desgañitó, literalmente, en la rueda de preguntas y aportaciones del público, porque no se había hecho suficiente hincapié en el panorama de inestabilidad e inseguridad política que afrontábamos (las elecciones habían sido hacía unos días y estaba claro que los podemitas iban a cortar el bacalao en el ayuntamiento y en la CCAA).
Estoy seguro que una importante parte del aforo pensó lo mismo que yo. Nadie dijo nada, claro. Y lo que pensé es lo siguiente.
-No me extraña que TÚ estés muy preocupado con ese tema, dada la cantidad de contratas, contratitas, servicios prestados a la administración, concesioncillas que tienes (y las que tienen tus "amigos").
Y digo que estoy seguro porque algunos nos descojonamos del asunto unos días después al recordarlo. Y esos pocos algunos no seríamos la excepción.
No voy a dar nombres, por supuesto de gente, ni de empresas. Pero imagínense que quienes se dedican todos los días a producir lavadoras, trenes, papel, maquinaria industrial, vehículos... e intentar venderlos en mercados mundiales, se encuentran en un mundo muy diferente y tienen unas preocupaciones muy diferentes a las que tiene el mamporrero de nivel que se les bebe las cervezas (gracias nunca suficientes serán dadas a mpt).
Y todo esto para decirles que en España, con limitaciones y meteduras de pata, hay bastante gente que hace bastantes cosas bien.
Otra cosa es que haya mucha gente que se les beba las cervezas.
Y creo que gran parte de la Transición Estructural, depende de que a los primeros se les infle finalmente la vena, que realmente vean que hay que perder el pudor, y que logren convencer (desde su posición de líderes, porque lo son) de que el viejo sistema es una puta mierda y que el mundo no funciona así (así sólo malfunciona).
...Me estoy cabreando un poco mientras escribo.
Verán. En una ciudad como esta es muy fácil trazar la línea entre quienes viven del sistema clientelar y extractor y quienes no. Y es espantoso ver lo realmente insignificantes son los primeros.
Si pudiese explicárselo sin delatarme...les haría un PowerPoint.
Igual algún día yo también pierdo el pudor.
Ya solamente creo en la psicometría , porque a alguien inteligente, por muchas taras de carácter que tenga, se le puede enseñar.
Ya solamente creo en la psicometría , porque a alguien inteligente, por muchas taras de carácter que tenga, se le puede enseñar.
A esos no se le coge.
Y si tienen criterio ademas de inteligencia, directamente se les aparta.
No se les puede "enseñar".
;)
ATENAS – El economista en jefe del Fondo Monetario Internacional, Olivier Blanchard, recientemente hizo una pregunta simple e importante: «¿Qué ajuste debe hacer Grecia y qué ajuste deben hacer sus acreedores oficiales?». Pero eso da lugar a dos preguntas adicionales: ¿cuál es el ajuste que Grecia ya hizo?, y, los acreedores, ¿hicieron algo?
En mayo de 2010, el gobierno griego acordó un ajuste fiscal del 16 % del PBI entre 2010 y 2013. Por ello, Grecia pasó de un déficit primario en su presupuesto (que excluye los pagos de intereses sobre la deuda) de más del 10 % del PBI a un equilibrio primario el año pasado, por lejos la mayor reversión de ese tipo en la Europa poscrisis.
El FMI proyectó inicialmente que el PBI real (ajustado por inflación) griego se reduciría aproximadamente el 5 % durante el período 2010-2011, se estabilizaría en 2012 y crecería a partir de ese momento. En realidad, el PBI real sufrió una baja del 25 % y no se recuperó. Debido a que el PBI nominal cayó en 2014 y continúa haciéndolo, el coeficiente de deuda/PBI, que debía estabilizarse hace tres años, continúa aumentando.
Blanchard nota que en 2012, Grecia acordó «generar un superávit primario suficiente como para limitar su endeudamiento» e implementar «diversas reformas que debieran incrementar el crecimiento». Las así llamadas reformas incluyen un gasto público marcadamente inferior, reducciones del salario mínimo, privatizaciones a precios de liquidación, el fin de los acuerdos colectivos y profundos recortes a las pensiones. Grecia cumplió, pero la depresión siguió su curso.
El FMI y otros acreedores de Grecia han asumido que la masiva contracción fiscal solo tiene un efecto temporal sobre la actividad económica, el empleo y los impuestos, y que recortar los salarios, las pensiones y el empleo público surte un mágico efecto sobre el crecimiento. Quedó demostrado que se trata de una falsedad. De hecho, el ajuste griego pos-2010 condujo al desastre económico y al mayor fracaso predictivo en la historia del FMI.
Blanchard debiera ser lo suficientemente sensato como para no insistir con este fiasco. Una vez que el vínculo entre la «reforma» y el crecimiento se rompe –como en el caso griego– su argumento colapsa. Sin vías de crecimiento, la exigencia de los acreedores de un eventual superávit primario del 3,5 % del PBI es en realidad un llamado a una mayor contracción, que comenzará con otra profunda crisis económica este año.
Pero, en vez de reconocer esta realidad y hacer los ajustes correspondientes, Blanchard redobló la apuesta sobre las pensiones. Escribe:
«¿Por qué insistir con las pensiones? Las pensiones y los salarios representan aproximadamente el 75 % gasto primario, y el 25 % restante ya se ha recortado al máximo. Los gastos en pensiones equivalen a más del 16 % del PBI y las transferencias del presupuesto al sistema de pensiones se acercan al 10 % del PBI. Creemos que es necesaria una reducción del gasto en pensiones del 1 % del PBI (del 16 % actual), que se puede llevar a cabo protegiendo a los pensionados más pobres».
Noten primero la admisión condenatoria: a excepción de las pensiones y los salarios, el gasto ya se ha «recortado al máximo». Y recuerden: el efecto de este enfoque sobre el crecimiento fue negativo. Entonces, desafiando a una abrumadora evidencia, el FMI desea centrarse en el sector restante, las pensiones, donde ya se han efectuado recortes masivos (de más del 40 % en muchos casos). Los nuevos recortes exigidos golpearían muy duramente a los pobres.
Los pagos de pensiones representan ahora el 16 % del PBI griego precisamente porque la economía del país se redujo un 25 % desde 2009. Sin esos cinco años de desastrosa austeridad, el PBI griego pudo haber sido un 33 % mayor que el actual y la participación de las pensiones en él, del 12 %, en vez del 16 %. La matemática es simple.
Blanchard exige al gobierno griego que ofrezca «medidas verdaderamente creíbles». ¿No debiera hacer lo mismo el FMI? Para reducir las pensiones un punto porcentual del PBI, sería suficiente un crecimiento económico nominal de tan solo el 4 % anual durante dos años, sin recortes adicionales. ¿Por qué no hacer que las «medidas creíbles» logren esa meta?
Eso nos lleva a la deuda griega. Como todos en el FMI saben, un exceso de deuda es un gran pasivo fiscal sin financiamiento, que indica a los inversores: ingresen a su propio riesgo. En cualquier momento, sus inversiones, beneficios y duro trabajo pueden serles quitados con impuestos para alimentar la difunta mano de los prestamistas del pasado. El exceso de deuda es una barricada al crecimiento. Por eso todas las crisis de la deuda, tarde o temprano, terminan en una reestructuración o con la cesación de pagos.
Blanchard es un pionero en la economía de la deuda pública. Sabe que la deuda griega no ha sido sostenible en ningún momento durante los últimos cinco años y que tampoco lo es ahora. Sobre este punto, Grecia y el FMI están de acuerdo.
De hecho, Grecia cuenta con una propuesta de deuda creíble. En primer lugar, dejar que el Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE) preste 27 mil millones de EUR (30 mil millones de USD) con largos vencimientos, para retirar los bonos griegos que el banco central europeo tontamente compró en 2010. En segundo lugar, usar los rendimientos de sus bonos para pagar al FMI. En tercer lugar, incluir a Grecia en el programa de expansión cuantitativa del BCE, para que pueda regresar a los mercados.
Grecia aceptaría condiciones justas para el crédito del MEDE. No pide ni un centavo de fondos oficiales adicionales para el estado griego. Promete vivir de acuerdo a sus posibilidades para siempre y basar su crecimiento en el ahorro interno y la inversión externa, mucho menos de lo que cualquier país grande en control de su propia moneda haría al enfrentar un desastre de este tipo.
Blanchard insiste en que este es el momento de «decisiones difíciles y compromisos difíciles para ambas partes». Efectivamente, lo es. Pero los griegos ya tomaron decisiones difíciles. Ahora le toca al FMI, comenzando con admitir que las políticas que impuso durante cinco largos años crearon un desastre. Para los demás acreedores, la decisión más difícil es aceptar –como el FMI ya sabe– que las deudas griegas deben ser reestructuradas. Los nuevos créditos para políticas fracasadas –la actual propuesta conjunta de los acreedores– no constituyen, para ellos, ningún ajuste en absoluto.
y, los acreedores, ¿hicieron algo?:o
No diré si estoy o no de acuerdo con Platón.
Sí diré que la democracia no es la mejor de las que él consideraba posibles.
La mejor era la monarquía.
La siguiente la aristocracia.
Y la última y peor de las virtuosas, la democracia.
Sds.
El Estado heleno es verdad que está en los huesos . Este año espera gastar 72.000M ......¿y cuanto recauda?, pero mejor preguntado ¿se quejan las castuzas de que syriza les aprete el dogal?
62000 propios y 4000 de ayudas de la UE. esta cerca del equilibrio primario. En realidad se esperaba que Grecia viviera un "buen" 2015 (como España), pero pese al boom turístico se deteriora su economía y de ahí los problemas.El Estado heleno es verdad que está en los huesos . Este año espera gastar 72.000M ......¿y cuanto recauda?, pero mejor preguntado ¿se quejan las castuzas de que syriza les aprete el dogal?
El Estado heleno es verdad que está en los huesos . Este año espera gastar 72.000M de los que:
-32,000 en pensiones.
-16.000 en nóminas
-5.500 en intereses
-4.000 en obra pública
15000M para la suma de subsidios de desempleo y otras ayudas y todas las compras de las administraciones es poco si pensamos que todo eso junto en España mueve más de 150.000M.
Por eso solamente cabe reformar pensiones sobre todo retrasando la edad efectiva de retiro, que no llega a 60 años.
El Estado heleno es verdad que está en los huesos . Este año espera gastar 72.000M ......¿y cuanto recauda?, pero mejor preguntado ¿se quejan las castuzas de que syriza les aprete el dogal?
PERO VAMOS A VER
La FED no puede subir tipos simple y llanamente porque las previsiones de crecimiento se han esfumado. Y esto ha sido por la revalorización del dolar respecto al euro, causado por el QE de Dragui.
El monstruo económico llamado eurozona desde hace un par de años ha convergido por primera vez en cuanto a inflación, y una terrible crisis de los paises perifericos e historicamente inflacionistas ha sido el coste.
Esto significa que el planeta a pasado de tener un marco de 80 millones de habitantes a otro marco (el euro) con 400 millones si contamos sus areas directas de influencia.
O la economía americana aprende a luchar contra este gigante de inflacion casi 0 y en continuo ajuste, al estilo suizo-germano de toda la vida, o para crecer no le queda otra que volver a devaluar dolar contra el euro.
El Estado heleno es verdad que está en los huesos . Este año espera gastar 72.000M ......¿y cuanto recauda?, pero mejor preguntado ¿se quejan las castuzas de que syriza les aprete el dogal?
Ahí está el problema. Grecia no puede ir adelante sin reformas estructurales, y las hay que no son tan jodidas para la ciudadanía. Pero oye, después de lo que llevan encima, a las castuzas no se les ha oído ni un gemido. Ni con Syriza.
Cada vez que veo a Varoufakis, con sus enfados teatreros o sus lágrimas de cocodrilo, hablar de "los griegos" y "mis compatriotas" cambio esas palabras por "mis castuzos", y salen cosas de lo más interesante.
A las élites oligárquicas y dictatoriales del sur de Europa les entregaron dinero a saco y a sabiendas para que se disfrazaran de democracias y comprasen productos del norte.Tienes que currártelo mas.
....... exportan la mitad que Portugal, que jamás alcanzó los 180.000 que ahora tiene Grecia (y Portugal con igual población tiene más industria y más comercio) .......
HAMBURG, Germany — Imagine a building in Berlin tall enough to provide a look across the entire continent — and beyond. What do you see?
To the east, you spot a former superpower that strives to regain its old glory as it degenerates into dictatorship. To the west, across the Atlantic, you observe an actual superpower in retreat, tired of providing security for Europe’s periphery, especially to a Middle East that is losing its state structures.
And what do you see below your feet? A continent that could be a superpower, but that is so busy holding body and soul together that you can actually feel the ground shake, far below you.
Europeans are dizzy, no doubt. That’s not a bad thing, in principle. Dizziness can be the best way to find a new, firmer stand. The problem for Europe is that it takes an enormously strong will and political talent to balance a body with 28 brains.
The German government has mobilized the loans to stabilize Europe economically after the debt crisis. But now it faces an even bigger challenge: to give the Continent a badly needed dose of confidence, a restoration of Europe’s belief in itself. Two big questions need new, clear answers: What does Europe stand for? And what does it stand up for?
The old narrative, whereby European integration brings peace and wealth, is history. A narrative of the opposite kind grows stronger. Considerable parts of the third generation of European Union politicians and citizens are openly hostile to the kind of supranationalism established in Brussels.
There’s Marine Le Pen, head of France’s right-wing National Front party, who has a chance of becoming the country’s next president in 2017. At the same time, the anti-European Union United Kingdom Independence Party, UKIP, has forced Prime Minister David Cameron and the euroskeptics in his Conservative party to take the offensive and call a referendum on Britain’s membership in the union by the end of 2017.
Whereas a “Grexit,” a Greek exit from the eurozone, might be painful, a Brexit, a loss of Britain from the union itself, would be a disaster. The European Union would not simply lose one — already insular — of its 28 members. It would lose one of the largest and most powerful.
And, once disintegration starts, centrifugal dynamics could easily get out of hand. The Poles have just elected as their new president the 43-year-old Andrzej Duda, a homegrown neoconservative who not only opposes joining the eurozone but who, in his euroskeptic tone, sounds like a Continental David Cameron. He owes his sudden success to the young voters — 62 percent of those between 19 and 29 years old voted for him, an ominous sign for the European Union’s standing in Eastern Europe.
The opposition of the young against the Europe of old — and the older generations — is a grossly underestimated danger to the legitimacy of the entire European Union. In Greece, Spain, Portugal and Italy, where youth unemployment has risen to nearly 45 percent, “the E.U. has come to represent little more than managed decline,” as The Economist rightly noted.
What has been the dream of European supranationalism for some has turned into the nightmare of foreign economic diktat for others. What was promised as unparalleled prosperity from free trade and globalization has, for millions of young Europeans, transformed into the reality of austerity and the realization that they will probably never enjoy the living standards of their parents.
This, in particular, is a dangerous disappointment; it nourishes a nostalgia for yesterday’s world — for less globalization and for alternatives to what is regarded as a “neoliberal” economy. One can easily imagine how much pleasure Vladimir V. Putin, the Russian president, takes in looking down on a Europe that is increasingly bewildered over the question of what is actually worth defending.
Government officials in Berlin know that it is up to them, not Brussels, to provide an answer. Not only did Germany emerge from the euro crisis as the leading European economy by far; it also enjoys increasing soft power, both in Europe and in the world. And Germany knows it has to act. The head of policy planning in the Foreign Ministry, Thomas Bagger, recently established the guiding formula for Berlin’s approach to its newfound position: to immediately clarify that this German moment needed to be transformed into a European moment. But how?
The truth is that at the height of its power, Germany is politically overstretched. The euro crisis, the Ukraine crisis, the crisis of confidence — it’s just too many crises for a single nation. Frank-Walter Steinmeier, the foreign minister, reportedly sacrifices his weekends for tasks like bilateral negotiations that, in a calmer time, were routine work for his predecessors.
Talking to high-ranking diplomats in Berlin, you hear few new, compelling ideas about how to handle the stress. Instead: a series of sighs and hand-wringing. To make things worse, both Mr. Steinmeier and Chancellor Angela Merkel are not the kind of characters to speak to people’s hearts. In mentality and method, they are head politicians: critical analysts and incrementalists who always look and rarely leap.
In other words, Europe can’t look to Germany for long-term leadership, at least not now. Germany can only provide interim stability; it cannot resolve the dizzying chaos itself.
And this is nothing new for the Continent. Europe has always needed several engines. France must return to its former position as a co-leader of the European Union, and Britain and Poland must stay within it.
The real danger of the German moment for the rest of Europe is this: Both European Union governments, and their voters, are getting used to feeling helpless and looking to Berlin for answers, and for help. But, believe it or not, Berlin needs help, too.
France must return to its former position as a co-leader of the European Union, and Britain and Poland must stay within it.
Cita de: New York TimesFrance must return to its former position as a co-leader of the European Union, and Britain and Poland must stay within it.
Eso, los trollacos que se queden dentro como caballo de Troya.
Y lo mete así en el artículo como si nada :biggrin:
Bienpagaos los funcionarios de Bruselas, Uropia sigue descabezada en este corral mundial de bloques geo-políticos, el liderazgo no corresponde a otro que a los poderes financieros.
Aquí se les lleva dando ventanilla a bankios muertos desde hace trimestres a cambio de que sigan pagando sus deudas con los bancos franco-alemanes. De paso, dado que les prestan a interés casi nulo, lo aprovechan financiando al Estado local con interés mayor y así meter algo con chicha en el Activo del balance.
Y los políticos? Forrándose todo lo que pueden antes del diluvio: Tsirpas tiene el poder de hacer subir o bajar la bolsa.
Hasta aquí ha cedido Tsipras hoy.
([url]http://i.imgur.com/V7zMa8Z.png[/url])
Y "siguen negociando" mañana.
En mi opinión, los británicos dentro, y aportando de buena gana, serán buenos socios.
Italia es un ejemplo de que se puede vivir con una deuda "insostenible" durante un cuarto de siglo, tener pensiones elevadas (las hay de 90.000 al mes porque no tienen tope ni las prestaciones, ni las cotizaciones), y estar más o menos entero (sigue siendo la segunda potencia industrial europea).
Italia es un ejemplo de que se puede vivir con una deuda "insostenible" durante un cuarto de siglo, tener pensiones elevadas (las hay de 90.000 al mes porque no tienen tope ni las prestaciones, ni las cotizaciones), y estar más o menos entero (sigue siendo la segunda potencia industrial europea).
[url]http://www.corriere.it/economia/15_giugno_25/blocco-pensioni-via-libera-rimborsi-ad-agosto-800-euro-gli-assegni-1500-bc13fa92-1b32-11e5-8694-6806f55cfc9e.shtml[/url] ([url]http://www.corriere.it/economia/15_giugno_25/blocco-pensioni-via-libera-rimborsi-ad-agosto-800-euro-gli-assegni-1500-bc13fa92-1b32-11e5-8694-6806f55cfc9e.shtml[/url])
Jeje pues por los comentarios parece que comienzan a tenerlo más presente...
[url]http://www.corriere.it/economia/15_giugno_15/pensionato-d-oro-da-record-assegno-mensile-91-mila-euro-pensione-ex-tim-16485192-131e-11e5-8f7b-8677cfd62f52.shtml[/url] ([url]http://www.corriere.it/economia/15_giugno_15/pensionato-d-oro-da-record-assegno-mensile-91-mila-euro-pensione-ex-tim-16485192-131e-11e5-8f7b-8677cfd62f52.shtml[/url])
Peter SpiegelVerified account
@SpiegelPeter
I've also confirmed that #eurogroup will reconvene on #Greece on Saturday. #NeverEndingStory
*GREEK OFFICIAL SAYS TUSK TOLD TSIPRAS AT EU SUMMIT "GAME OVER"
*GREEK GOVT OFFICIAL COMMENTS IN TEXT MESSAGE
*TSIPRAS TOLD TUSK AT EU SUMMIT "THIS ISN'T A GAME": OFFICIAL
*TSIPRAS SAID AT SUMMIT CREDITORS' PROPOSALS EXTREME: OFFICIAL
*GREECE-AID DEAL IS MATTER OF POLITICAL WILL: GREEK OFFICIAL
*GREEK GOVERNMENT EXPECTS MIX OF GREEK, CREDITOR PLANS: OFFICIAL
*TSIPRAS TOLD EU SUMMIT GREECE HAS NEW PRIORITIES: OFFICIAL
Cameron ha recibido a Juncker en la Residencia Oficial del Primer Ministro, Chequers, y le ha recordado los tres grandes discursos que Winston Churchill compuso allí. "Lucharemos en las playas", "Sangre, sudor y lágrimas" y el el arrogante desafío del que solo se cita el final. "Aquel fue su momento mas hermoso" (The finest hour). Vayamos a las palabras anteriores: "que si el Imperio Británico y su Commonwealth duran mil años, la humanidad todavía podrá decir: fue su momento mas hermoso".
¿Qué sería Reino Unido sin Escocia y con la City en Frankfurt? Una especie de Isla de Barbados con mal tiempo.
Una lástima que Cameron haya omitido la iniciativa de Confederación franco-inglesa que por aquellos tiempos propuso el viejo león a la vista de la debacle de Dunquerque. Es lo que tiene el relato nacional. Sus recuerdos y olvidos son selectivos.
Por cierto, el Imperio duró bastante menos de mil años. En Otoño de 1941, el Presidente de EEUU, Franklin Delano Roosevelt, le pidió a Churchill, como condición para entrar en guerra, el fin de las preferencias imperiales, a su juicio causa de todos conflictos. Churchill aceptó como futuro paradigma de la victoria del libre comercio. El acuerdo se llama "La Carta del Atlántico", aunque la posteridad prefiera llamarla "Ley de Préstamo y Arriendo" para subrayar el apoyo USA a Inglaterra que, recordemos, solo se produjo de verdad cuando Alemania declaró la guerra a los EEUU.
Londres cumplió su palabra. Hizo independiente a la India, pasó todos los archivos del MI5 a la recién nacida CIA, dejó de sostener al Gobierno griego en su guerra civil anticomunista y, en general, entregó el testigo a EEUU con la misma elegancia con la que se hundió la primera clase del Titanic. Pero hubo algo que el Reino Unido no rindió nunca y sigue sin rendir: el relato nacional.
En lugar de entender que tanto la I Guerra Mundial como la segunda eran graves derrotas, la Primera de la Balanza de Poder y la Segunda del error del apaciguamiento y el diagnóstico de Stalin como enemigo estratégico y no Hitler, el relato que se impuso fue el de la victoria total poco menos que en solitario.
Reciente está todavía la afirmación de Cameron de que los Estados Unidos fueron "socios menores" en la II Guerra Mundial de donde se infiere que Inglaterra no necesita al Continente para nada y, con un poco de suerte, ni siquiera a los EEUU. Admito que la Invencible, Napoleon y Hitler sean episodios de envergadura.
Pero un país con 73 Premios Nobel en su haber debía de haber comprendido que su Siglo de Oro había empezado en Waterloo y terminado en el Somme y que tras 1945 era uno mas de nuestros Estados nación, vencido, arruinado, falto de confianza en si mismo y necesitado de poner sus recursos en común ante una globalización que habría de irnos haciendo cada vez mas insignificantes.
No hubo forma. Cuando ya después del fiasco de Suez (1956), momento en el que los EEUU y la URSS colocan en su sitio a Francia e Inglaterra, esto es, en el asiento de atrás, los emisarios de Europa propusieron a Inglaterra ser socio fundador de la CEE, la respuesta no solo fue un no rotundo, sino que incluso el Foreign Office se permitió organizar un área de libre cambio alternativa, la EFTA, fracaso total enterrado con el ingreso en la CE en 1973.
Pero como dicen los franceses "no tenían puesto allí el corazón" ('le coeur n´y était pas'). Y desde entonces todo ha sido un continuo repelón, un si pero no, una lucha entre el cerebro y los sentimientos. En ello siguen.
Lean esta pieza inolvidable del periodista Matt Ridley, The Times, 4 Mayo.
"Solo hay una institución que se parezca a ese monstruo de Bruselas en su arrogante, reaccionaria y decadente inercia: al papado antes de la Reforma...temo que Cameron no sea capaz de deshacer el nudo corredizo con que nos ahorca Bruselas y librarnos de el sea tan difícil como lo fue deshacernos de Roma en el S. XVI".
Naturalmente la UE también tiene sus partidarios. The Times, este pasado 20 de Mayo, pedía al mundo de los negocios que hablase en favor de la UE. The Guardian, el 28 de Mayo, iba mas lejos. Decía que Cameron luchaba contra molinos de viento.
Con todo, el artículo que mas me ha conmovido ha sido el de Philip Stephens en el FT de 25 de Febrero. "The end of the British Establishment", quizás porque atribuye la causa de todo, como yo, al famoso relato nacional. "Bretaña necesita una nueva historia, una narrativa que nos una y que, rindiendo pleitesía al pasado, no se deje aprisionar por el".
Sin embargo, los euroescépticos siguen en la lucha. Cincuenta parlamentarios conservadores han solicitado libertad para hacer campaña contra la pertenencia del RU en la UE.
No voy a hacer un recuento de lo que perdería la UE si el Reino Unido se va y de lo que ganaría el Reino Unido quedándose. No es comparable. A la UE el que se vaya el Reino Unido le supone solo el 16% de su PNB. El asiento en el Consejo de Seguridad es irrelevante, ya tenemos el francés, y sus Fuerzas Armadas lo mismo porque el plan es reducir el Ejército de Tierra a 50.000 efectivos. Sin embargo es Bruselas la que tiene la llave de dos activos estratégicos insulares: Escocia y la City.
El tema escocés arranca de antiguo e incluye algún episodio chusco reciente como el robo de la piedra de la coronación ('the stone of Scone') de la Catedral de Westminster en 1950, objeto simbólico llevado allí en 1296 por Guillermo II y que solo volvió a Escocia legalmente en 1996. Pero quien empezó el desguace en serio fue Margaret Thatcher.
A los escoceses no les gustó nada su política de recortes, privatización y desigualdad social subsiguiente y se pasaron al Labour con armas y bagajes. Pero el Labour Party de Tony Blair tampoco tuvo mucho predicamento. Los pictos lo vieron como un "thatcherismo de rostro humano". Terminó de clavar el ataud el famoso informe de la inteligencia británica confirmando que Sadam Hussein tenía armas de destrucción masiva y Blair agravó la cosa creando Parlamentos regionales. No solo institucionalizó un pensamiento antiunitario sino que, dado el sistema electoral británico, First Past the Post (el primero se lo lleva todo) el electorado ha escogido al 100% SNP con solo un 50% de la población a su favor.
Escocia es aguerrida y rechaza tanto la política exterior de Westminster como el legado de la Thatcher. Salmond condenó el bombardeo de Kosovo, se lleva bien con Putin, rechazó ver al Dalai Lama y no está dispuesto a consentir bases militares con activos nucleares en su territorio, hecho de enorme gravedad pues en Escocia están las bases de los submarinos nucleares OTAN. De hecho el SNP es radicalmente antinuclear. En cuanto a Europa su europeísmo es bien conocido y la Sra. Sturgeon ya ya dicho que si los ingleses ganan un referéndum contra la UE ellos irán a otro referéndum cuyo resultado se antoja evidente. Scotexit.
No parece que importe mucho a los euroescépticos que ya hablan de que siempre se han sentido mas ingleses que británicos. Los hay que incluso invocan a los muertos y aseguran que los caídos en las dos guerras no dieron su vida por la Comisión Europea. Cierto.
Pero seguro que cayeron para que el Reino Unido siguiese unido. Además: ¿No cayeron irlandeses, galeses y escoceses junto con ingleses? ¿Acaso está en los planes de los euroescépticos ingleses, cuando se salgan de la EU y pierdan Escocia, trocear el cenotafio de Whitehall en partes proporcionales a sus caídos?
¿Y los cementerios militares británicos que los honran en tantas partes del mundo? ¿Se va a desenterrar de ellos a los escoceses? Al fin y al cabo Rupert Brooke en su popularísimo epitafio no habla de británicos. Dice: "Si llegase a morir / pensad de mi / que un rincón del mundo / es ya para siempre tierra inglesa".
Ahora bien: no todo es tan inglés y los españoles tenemos algo que decir al respecto. Cuando en el lejano 1741 el Reino Unido intentó el asalto a Cartagena de Indias acuñó unas medallas conmemorativas de la victoria (algo prematuras, por cierto) en las que decía: "el patriotismo británico humilla el orgullo español" ('British patriotism puts down Spanish pride').
El otro activo en juego es la City. De él ha hablado Daniel Lacalle con su habitual autoridad en este mismo medio y a él me remito. Solo añadir que según el profesor Ronen Palan (Política Exterior, Mayo/Junio 2015) la City y sus sedes ex imperiales pueden suponer casi el 40% de todas las transacciones financieras del planeta. Ese "Segundo Imperio", si hubiese Brexit, terminaría en Frankfurt, el otro gran centro financiero de Europa.
¿Y qué sería Inglaterra sin Escocia y con la City en Frankfurt? Una especie de Isla de Barbados con mal tiempo. Y por decirlo todo, se habría revertido el resultado de Abril de 1945. En fin, que Alemania todavía está a tiempo de ganar la guerra. Esa sería your finest hour, Brexit.
[url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2015-06-22/que-seria-de-inglaterra-sin-escocia-ni-la-city-la-isla-de-barbados-con-mal-tiempo_892090/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2015-06-22/que-seria-de-inglaterra-sin-escocia-ni-la-city-la-isla-de-barbados-con-mal-tiempo_892090/[/url])
....... si Inglaterra de va de Europa, Escocia se va de Inglaterra.
.... las fábricas están preparadas para construir un 20 % más de coches que los que demanda el mercado, el equivalente a la producción de las 17 plantas españolas .....
[url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2015-06-22/que-seria-de-inglaterra-sin-escocia-ni-la-city-la-isla-de-barbados-con-mal-tiempo_892090/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2015-06-22/que-seria-de-inglaterra-sin-escocia-ni-la-city-la-isla-de-barbados-con-mal-tiempo_892090/[/url])
Sobre ésto te puedo decir que mi hermano, que vive junto con su mujer en Londres, me dijo que en las últimas elecciones se quedaron a cuadros cuando vieron que todos los distritos buenos de Londres (y en particular los de la City), votaron en bloque a los laboristas, comparándomelo como si aquí se votara mayoritariamente Podemos en el barrio de Salamanca... :roto2:
Pero me dijo que había una buena razón para ello: las clases medias/altas y el mundo financiero no quieren ni oír hablar de un Cameron aliado con Farage para salirse de la UE, así que optaron por el único partido claramente europeísta. También que si Inglaterra de va de Europa, Escocia se va de Inglaterra.
Tsipras convoca un referéndum sobre la propuesta de la UE
El primer ministro quiere que el pueblo griego decida sobre la oferta el próximo 5 de julio
El Eurogrupo debate un nuevo plan si Grecia rechaza pactar
AGENCIAS Atenas 27 JUN 2015 - 00:15 CEST
El primer ministro griego, Alexis Tsipras, ha anunciado este viernes que convocará un referéndum para el próximo 5 de julio para que sea el pueblo griego quien decida sobre el acuerdo con la antigua troika para continuar con la ayuda financiera al país.
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"La consulta se realizará el domingo 5 de julio y la pregunta será 'si' o 'no' a las últimas propuestas de los acreedores", ha dicho Tsipras pasada la medianoche en un mensaje televisado tras una reunión urgente del Consejo de Ministros.
When asked about a possible extension of the Greek program beyond June 30, Van Overtveldt says: “I don’t think so.”
And so we reach the massive problem facing the Greek people and the way the referendum is proposed: because it takes place 5 days after the June 30 expiration of the extended bailout program, there won't be an actual program to "refer" on, especially once Europe makes it clear today that unless a deal is reached today, which now appears impossible, then there won't even be the offer of a program on July 5.
As a reminder, this is what the Greeks would be voting for: according to the cabinet proposal, posted on the parliament’s website, voters will be asked to respond to the following question:
Greek people are hereby asked to decide whether they accept a draft agreement document submitted by the European Commission, the European Central Bank and the International Monetary Fund, at the Eurogroup meeting held on June 25 and which consists of two documents:
The first document is called ‘‘Reforms for the Completion of the Current Program and Beyond’’ and the second document is called ‘‘Preliminary Debt Sustainability Analysis.’’
- Those citizens who reject the institutions’ proposal vote Not Approved / NO
- Those citizens who accept the institutions’ proposal vote Approved / YES.
Regrettably, despite efforts at all levels and full support of the Eurogroup, this proposal has been rejected by the Greek authorities who broke off the programme negotiations late on the 26 June unilaterally. The Eurogroup recalls the significant financial transfers and support provided to Greece over the last years. The Eurogroup has been open until the very last moment to further support the Greek people through a continued growth-oriented programme.
The Eurogroup takes note of the decision of the Greek government to put forward a proposal to call for a referendum, which is expected to take place on Sunday July 5, which is after the expiration of the programme period. The current financial assistance arrangement with Greece will expire on 30 June 2015, as well as all agreements related to the current Greek programme including the transfer by euro area Member States of SMP and ANFA equivalent profits.
The euro area authorities stand ready to do whatever is necessary to ensure financial stability of the euro area.
[1] Supported by all members of the Eurogroup except the Greek member.
@EdConwaySky
Very surreal atmosphere in press room here in Brussels. One journalist in tears. Most reporters shocked euro rupture is happening. #Greece
One-third of #Greece ATMs has run out of banknotes since Fri night, outflows at €1 bln so far (via @MegaGegonota) #ecb #ela #Greferendum
La montaña (cordillera) de derivados no parecen peligrar porque son las propias entidades que los han asumido quienes deciden si se ha producido un default que los dispare. Por eso nunca se dice oficialmente que Grecia, Ucrania ni nadie han quebrado, se busca cualquier fórmula tipo"tensiones de liquidez" o "períodos transitorios".
Bien. Mi duda es ¿Qué pasaría si sal Tsipras y lo dice él con todas las palabras, de manera oficial y con todo el aparato protocolario financiero que corresponda? "Grecia se declara oficialmente en Default. El estado no va a pagar ninguna de sus obligaciones con entidades etranjeras ni ahora ni nunca, ni aceptará restructuraciones, cambios de denominación, plazo o tenedor, y así se ha notificado oficialmente a todas las partes acreedoras". Sí, acompañado, claro, de las medidas que correspondan para afrontar la situación de los primeros días, sea control de capital, nacionalizaciones, petición de ayuda a otras potencias, o lo que decidan, pero esa no es la duda. Me refiero a que no quede el menor margen de ambigüedad semántica o técnica para evitar que se activen los derivados asociados a la deuda griega.
Podrían las aseguradoras y financieras, ante una declaración así, seguir negando el default para que no se activen los derivados?
¿No sería como una bomba atómica en el sistema financiero mundial?
Lo que quiero saber es si, como voy entendiendo, en esta negociación Grecia-UE, ambas partes disponen de un botón rojo de destrucción mutua asegurada. Porque, si es así, entonces la mayor parte de lo que vemos y oímos es simple postureo, y la negociación real está en otros despachos y no sale en los periódicos. Sobre todo por parte de la UE.
Bail-in como Chipre pero de dimensiones mayores. Impacto en derivados similar al de Lehman en el peor de los casos.Pero, según creo, si hubiera un impacto tamaño Lehman, los Estados ya no tienen más capacidad de encaje para amortiguarlo y provocaría una discontinuidad en las cuentas. (Es el término más indeterminado que se me ocurre para expresar algo que se desconoce si vendrá como absorciones, quitas, suspensiones de pagos o lo que sea, pero ruptura de una forma u otra)
Destrucción mutua no hay...¿Seguro? Esa es mi duda. Ojo: Con DMA no me refiero al MadMax inmediato, "simplemente" a esa "discontinuidad en las cuentas" propagada por todo el orbe. Tú lo has dicho: otro Lehman, pero sin red, y una mutación rápida de todo el sistema financiero mundial, tras un showdown en el que el 90% de los jugadores deben más de lo que valen.
sin duda Grecia tiene mucho menos poder y mucho más que perder que el eurogrupo.A eso me refiero. ¿Seguro que tiene mucho más que perder? Yo no lo tengo tan claro.
a Dimitris no le quedaba claro dónde colocarse. Entre muestras de enfado, alguna voz más alta que otra y gestos de resignación y estupor, una quincena de personas aguardaba a horas tan intempestivas para asegurarse una cierta cantidad de liquidez, con todo el fin de semana por delante. “No tengo miedo a un corralito, con una pensión de 500 euros y otra compensatoria de 400 no tengo mucho que perder, pero hoy [por el viernes] informaron por la televisión de que ya habían transferido las pensiones de junio a los bancos y por eso vengo a sacarlo”, explicaba Dimitris, que aseguraba no saber aún qué votará en el referéndum del próximo 5 de julio. “Con euro o con dracma nos va a ir igual de mal, estamos jodidos. No he decidido mi voto, pero no me gusta el chantaje de Europa. Esto sucede porque Europa no quiere un Gobierno de izquierdas”.:roto2: este hombre no sabe lo que es pasarlo mal... jubilado a los 60 a saber desde cuándo y con 900 euros limpios en Grecia. Ya lo creo que se puede estar bastante peor que eso...
Evi, una joven de Salónica que pasa el fin de semana en Atenas, aguardaba ante otro cajero del mismo barrio. “La verdad es que me hacía falta el dinero para seguir de copas, pero ya puestos también prefiero tener efectivo por lo que pueda pasar estos días”.:biggrin:
"Le FMI a fait des erreurs et je suis prêt à prendre ma part de responsabilité", concède DSK. "Le diagnostic du FMI [...] a négligé le fait que la nature inachevée de l'union monétaire européenne était à l'origine de tout le problème et aurait dû être un élément essentiel de sa solution. Le FMI a aussi sous-estimé la profondeur des faiblesses institutionnelles de la Grèce."
"Je crois que nous avons besoin de penser différemment, de changer de logique et de prendre une direction radicalement différente dans les négociations avec la Grèce", exhorte l'ancien ministre de l'Economie. "Ma proposition est que la Grèce ne reçoive plus aucun financement nouveau de la part de l'UE comme du FMI mais qu'elle bénéficie d'une très large extension de la maturité et même d'une réduction nominale massive de sa dette. [...] Fournir plus d'aide pour seulement rembourser les créanciers publics existants est tout simplement inepte."
No creo que sea un tema de ideología, ni siquiera de monto de deudas, o cosas así.
Simplemente, los pisitosfílos, para mantener precios patrios y otras soberanias, inventaron cosas como Comisiones nombradas por Gobiernos, euro Grupos a 18 ministros, y Consejos de Ministros.
De tal forma que ahora mismo, si pones 28 bueyes a tirar de un arado, tienes a 28 arrieros pinchando su buey, que sólo responden ante sus Gobiernos y no ante el labrador, comparando su buey con sus vecinos y si uno cojea, se paran los demás y no le quitan de la cuerda. Pero el surco va torcido, y las semillas que viertes, se las comen los pájaros.
Lo que corresponde, es poner un arriero común, que diga qué bueyes tiran, cuándo tiran y compruebe el surco y las semillas. En lugar de 28 expertos nacionales que son ineptos europeos, necesitamos un Parlamento que nombre y controle a los arrieros y al labrador.
A Europa le falta la fase de Revolución burguesa típica, la que reclama para el Parlamento los poderes que ahora mantienen los Estados, y que éstos asuman su escalón regional definitivo.
La solución la entiende cualquier vecino, pero nuestros arrieros son doctores, e hipotecados.
Entonces Alemania y Francia deciden crear un montón de crédito para forzar el Euro a la baja ya que eso si que lo controlan sus respectivas bancas nacionales.
Cuando Alemania si estuvo mal entonces si se bajaron los tipos de interés y se olvidaron del 3% de Maastricht.
Tienen que sacudirse esas oligarquías heredadas de las dictaduras de Franco en España, Salazar en Portugal, Los Coroneles en Grecia que todavía siguen controlando a esos países y de ahí buena parte del problema.
de aquí el problema de la deuda que no tiene solución.
[...]
Ese montón de crédito creará inflación en el centro de Europa y les joderá las exportaciones, por lo que los políticos y los banqueros deciden verterlo en los países del sur.
[...]
A todo ello se añade el déficit social, el déficit medioambiental, el déficit tecnológico, el déficit comercial, etc., problemas
que el país debería haber absorbido gracias al regalo del diferencial de inflación entre Maastritch y la entrada en vigor del euro así como a todos estos años de ayuda europea.
[url]http://www.ricardoverges.com/pdf/Articulo2007Verges.pdf[/url] ([url]http://www.ricardoverges.com/pdf/Articulo2007Verges.pdf[/url])
[...]
Como dijo más tarde Jürgen Donges, “España se está quedando con toda la liquidez generada por los bancos europeos, con el fin de financiar sus viviendas: es una burrada (sic)”.
[...]
[url]http://www.ricardoverges.com/pdf/Stocks.pdf[/url] ([url]http://www.ricardoverges.com/pdf/Stocks.pdf[/url])
[...]
Los Ferrocarriles Nacionales tienen unos ingresos anuales de cien millones de euros frente a unos gastos anuales de personal de cuatrocientos millones, más otros trescientos millones de euros en otros gastos. El empleado medio de los ferrocarriles estatales gana sesenta y cinco mil euros anualmente. Hace veinte años, un próspero empresario llamado Stefanos Manos, nombrado después ministro de Finanzas, señaló que sería más barato meter a todos los pasajeros de los ferrocarriles griegos en taxis: sigue siendo verdad.
[...]
Grecia es el único país europeo que no tiene ningún Registro Nacional de la Propiedad, algo muy conveniente para el mercado negro. "Tienes que saber dónde ha comprado un individuo un terreno, la dirección, para vincularlo con su persona (...). Y aun así está todo escrito a mano y resulta difícil de descifrar".
[...]
[url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url])
Actualizado lunes 03/05/2010 12:04
APORTACIÓN DEL RESCATE EUROPEO
¿Qué gana España prestando 9.800 millones a Grecia?
A España le cuesta el bono a tres años un 2%; Grecia pagaría un 5%
El préstamo a tres años podría suponer 882 millones de beneficios
Europa posee dos tercios de la deuda helena; España, 9.800 millones de euros
Javier González
Madrid.- España aportará 9.792 de los 80.000 millones de euros que la eurozona prestará a Grecia en los próximos tres años para impedir su quiebra, casi tres veces más de lo previsto inicialmente. ¿Qué beneficios y riesgos tiene la operación?
En total, el paquete de rescate suma 110.000 millones de euros gracias a la aportación del Fondo Monetario Internacional, y España adelantará este mismo año 3.672 millones de euros.
Las dudas sobre la solvencia griega han hecho que Atenas no pueda hacer frente a los intereses "prohibitivos" que demandan los mercados por nuevas emisiones de bonos. Por ello, los créditos del rescate tendrán un interés del 5%, mucho menos de lo que exigen los inversores.
España no tiene guardados los 9.792 millones de euros que prestará a Grecia, por lo que tendrá que endeudarse a su vez. Ello aumentará aún más la emisión neta de 76.800 millones prevista para este año.
El presidente del Gobierno, José Luis Rodríguez Zapatero, calculó que España ganaría 110 millones de euros anuales, 330 en total, si prestase a Grecia los 3.300 millones previstos originalmente. En este caso, casi triplicar el crédito supondría aumentar en esa misma proporción los intereses cobrados a Atenas.
Si se calcula según la prima de la última emisión de bonos a tres años española, el beneficio es algo inferior. En esta, que tuvo lugar el 8 de abril, España pagó un 2,007% de intereses. Así, pedir el crédito de 9.792 millones supondría pagar 196 millones al año en esas condiciones.
No obstante, Grecia pagaría a España un 5% de intereses, unos 490 millones de euros anuales. Por ello, descontados los intereses pagados antes, el beneficio total sería de 882 millones de euros.
Riesgo de impagos
Prestar dinero a Grecia implica sus riesgos. La agencia de calificación Standard & Poor's ha bajado la nota de la deuda soberana helena hasta el escalón BB+, el de 'bono basura', lo que significa que, en caso de impagos, "los tenedores de bonos griegos recuperarían de media entre el 30% y el 50%" de su inversión.
No obstante, el Eurogrupo ha tensado la cuerda para conceder una ayuda que "no tiene precedentes a nivel mundial": la eurozona ha exigido a Atenas un duro plan de austeridad para garantizar su solvencia, lo que reducirá su déficit público del 13,6% del Producto Interior Bruto (PIB) registrado en 2009 a menos del 3%, el límite del Pacto de Estabilidad, en 2014.
Además de ayudar a Grecia, la eurozona quiere proteger la estabilidad del euro y de todo su sistema financiero. Los bancos y Gobiernos de Europa poseen dos tercios de la deuda helena, informa María Ramírez.
España es dueña de unos 980 millones de euros, mucho menos que Francia (56.000 millones de euros), Alemania (34.000), Reino Unido (más de 11.000) o Portugal (7.300 millones), país este último al que Standard & Poor's ha situado en el punto de mira de ser el próximo con dificultades para pagar sus deudas.
El problema radica en el posible contagio de las dificultades griegas. Si no lograse pagar a Portugal, el país vecino tendría problemas para saldar sus deudas con España, propietaria de casi un tercio de sus obligaciones.
"Se trata de asegurar la estabilidad financiera. Grecia se metió sola en esta difícil situación", es la justificación del impopular plan de rescate dada por el alemán Axel Weber, consejero del Banco Central Europeo y presidente del Bundesbank alemán.
Vamos a ver el resultado del referéndum democrático griego.No solamente suyo:
¿Acaso no era éste el objetivo del teórico de juegos?
German Finance Minister Wolfgang Schaeuble favors a Greek referendum on the country’s euro membership as a way to break the months-long stalemate with Prime Minister Alexis Tsipras’s government.
“Greece can’t be thrown out of the euro,” Thomas Steffen, one of Schaeuble’s deputies, said during a panel discussion in Berlin. “The only thing remaining in the end would be if Greece said itself that it wants to leave the euro voluntarily.”
The German Finance Ministry is supporting the idea of a vote by Greek citizens to either accept the economic reforms being sought by creditors to receive a payout from the country’s bailout program or ultimately opt to leave the euro.
A referendum could bring the conflict to a head after months of inconclusive talks between Greece and its creditors that have exasperated Germany and other euro-area countries. Public support for economic reforms might lead Greece toward a deal, while rejection could set the country on a path to leaving the euro.
“If the Greek government thinks it should hold a referendum, it should hold a referendum,” Schaeuble told reporters in Brussels on Monday. “Maybe it would even be the right measure to let the Greek people decide whether they’re ready to accept what needs to be done.”
Vamos a ver el resultado del referéndum democrático griego.No solamente suyo:
¿Acaso no era éste el objetivo del teórico de juegos?CitarGerman Finance Minister Wolfgang Schaeuble favors a Greek referendum on the country’s euro membership as a way to break the months-long stalemate with Prime Minister Alexis Tsipras’s government.
“Greece can’t be thrown out of the euro,” Thomas Steffen, one of Schaeuble’s deputies, said during a panel discussion in Berlin. “The only thing remaining in the end would be if Greece said itself that it wants to leave the euro voluntarily.”
The German Finance Ministry is supporting the idea of a vote by Greek citizens to either accept the economic reforms being sought by creditors to receive a payout from the country’s bailout program or ultimately opt to leave the euro.
A referendum could bring the conflict to a head after months of inconclusive talks between Greece and its creditors that have exasperated Germany and other euro-area countries. Public support for economic reforms might lead Greece toward a deal, while rejection could set the country on a path to leaving the euro.
“If the Greek government thinks it should hold a referendum, it should hold a referendum,” Schaeuble told reporters in Brussels on Monday. “Maybe it would even be the right measure to let the Greek people decide whether they’re ready to accept what needs to be done.”
bloomberg.com/news/articles/2015-05-13/schaeuble-backs-greek-referendum-to-break-bailout-impasse
:troll:
Yo a veces me desespero un poco con la falta de memoria histórica de los medios, que se pierden en la alharaca del momento y solo logran transmitir ruido, tal como si estuviésemos en un gallinero
Business News | Sun Jun 28, 2015 2:57pm BST Related: BUSINESS, WORLD, IMF
Greece considering capital controls, closing banks on Monday
ATHENS/FRANKFURT | BY GEORGE GEORGIOPOULOS AND JOHN O'DONNELL
Greece said it may impose capital controls and keep its banks shut on Monday after creditors refused to extend the country's bailout and savers queued to withdraw cash, taking Athens' standoff with the European Union and the International Monetary Fund to a dangerous new level.
Greece's banks, kept afloat by emergency central bank funding, are on the front line as Athens moves towards defaulting on a 1.6 billion euros payment due to the IMF on Tuesday.
The European Central Bank said it would not raise the level of emergency funding, adding to the pressure on Greece's banks which have been surviving for the past few weeks on frequent incremental increases to the funding lifeline
Amid political drama in Greece, where a clear majority wants to remain inside the euro, the next few days present a major challenge to the integrity of a 16-year-old currency bloc.
"This is a matter that we'll have to work overnight on with the appropriate authorities both here in Greece and in Frankfurt," Greek Finance Minister Yanis Varoufakis said of bank closures and capital controls. He was speaking to BBC radio.
The finance ministry later issued a statement saying capital controls were not the government's preference and were not consistent with monetary union.
Greece's left-wing Syriza government had been negotiating a deal to release funding in time for its IMF payment. Then suddenly, in the early hours of Saturday, Prime Minster Alexis Tspiras asked for extra time to enable Greeks to vote in a referendum on the terms of the deal.
Creditors flatly turned down this request, leaving little option for Greece but to default, piling further pressure on the banking system.
Long lines formed outside many ATMs on Sunday, including some of 40 to 50 people outside some in central Athens. The German foreign ministry issued a travel warning advising tourists heading to Greece to take plenty of cash to avoid possible problems with local banks.
The Bank of Greece said it was making "huge efforts" to ensure the machines remained stocked.
The ECB said in a statement on Sunday it was keeping its emergency liquidity at current levels but was monitoring the situation and stood ready "to reconsider its decision."
There is growing opposition in some European countries to extending the ECB's funding line.
In economic powerhouse Germany, other southern states that have suffered austerity in return for EU cash and poor eastern countries with living standards much lower than Greece's, many voters and politicians have run out of patience.
If Greece were to leave the euro zone, the ECB's funding line, which is a form of overdraft with euro zone's central bank system, would fall to the bloc's other members to pay.
The head of Germany's Bundesbank has attacked the use of the ECB's funding line and speaking on German television on Saturday, Finance Minister Wolfgang Schaeuble put a question mark over the solvency of Greek banks - a key condition to qualify to receive such finance.
"The ECB has always said that as long as Greek banks are solvent, then emergency loans, the ELA, can be granted," he said.
"And now there is naturally a new situation that because of the developments the liquidity and solvency of Greek banks, or some Greek banks, could be in doubt."
German Chancellor Angela Merkel has invited leaders of all the major German parties to a meeting in Berlin on Monday to discuss the crisis.
DEAL STILL POSSIBLE
The 18 other countries sharing the euro countries have blamed Greece for breaking off negotiations and pledged to do whatever it takes to stabilise the common currency area.
But some officials said there was still time to return to the negotiating table.
French Prime Minister Manuel Valls on Sunday urged the Greeks to continue talks, warning that the country's membership of the euro was at stake.
"A deal is still possible, I invite the Greek government to come back to the negotiation table," Valls told Europe 1, Le Monde and iTELE in a joint interview. "I cannot resign myself to Greece leaving the euro zone ... We must find a solution."
International Monetary Fund boss Christine Lagarde told the BBC that there was still time for the Greek government to change course.
She also said that if the July 5 vote produced "a resounding yes" to remain in the euro and fix the Greek economy then the creditors would be willing to make an effort.
Pro-European Greek opposition parties have united in condemning the decision to call the referendum. There was rising speculation that Tsipras' left-wing government may have to resign if voters back the bailout in the referendum.
The offer from creditors requires Greece to cut pensions and raise taxes in ways that Tsipras has long argued would deepen one of the worst economic crises of modern times in a country where a quarter of the workforce is already unemployed.
European Council President Donald Tusk said on Sunday he was in contact with all the governments of the euro zone to ensure Greece remained in the single currency.
(Editing by Alastair Macdonald and Janet McBride)
Recapitulemos:
Grecia tras reconocer que había ocultado déficit público, se le cierran los canales de financiación crediticio ordinarios.
Los Estados de los bancos acreedores (UME) deciden "rescatar" al Estado Griego. La alternativa es salirse del euro y quiebra del país (con una fuerte devaluación monetaria).
En el primer rescate, se impone un plan de ajuste. La tal temida austeridad que es solamente que el Estado Griego debe ajustar su nivel de vida a la realidad. Los acreedores van poner un tope de crédito y por lo tanto del gasto público. No van financiar políticas de gasto público expansivas. Es lo que tiene de depender de terceros.
El Gobierno griego no aplica el plan de ajuste. Se resiste.
Es cuando nace el segundo plan de rescate. Donde la UME se hace con la deuda privada de los acreedores (cuya contrapartida es una sustancial quita). Más que para salvar a los ahorradores franceses y alemanes, está para "ayudar" a Grecia. En el segundo plan de rescate gracias al rescate público de la UME se alargan los plazos de vencimiento de la deuda y se realizan moratorias. Con lo que, el coste financiero del rescate por parte del Estado Griego es asumible.
A cambio se impone un durísimo plan de ajuste. Reina la desconfianza entre el deudor y el acreedor. El plan de ajuste nace con un fallo grave inicial. No reconoce lo abultado del PIB griego. El Gobierno del ND-PASOK (los responsables de la situación tan crítica del país heleno) realizan el duro plan de ajuste. Se logra en 2014 el superávit primario. Sin descontar la carga financiera de la deuda hay superávit fiscal en las cuentas públicas. Además se vislumbra un leve crecimiento económico.
Sin embargo, la clase dirigente griega sigue resistiéndose a las imposiciones de los acreedores. La UME, al ser confederal y no federal, debe jugar con la amenaza de cortar la financiación (la famosa condicionalidad) si no se cumplen los objetivos fiscales firmados. La financiación especial de crédito que se le otorga a Grecia es a plazos. El Gobierno Griego tiene autonomía en ejecutar las medidas que se les imponen los acreedores. Pero como mencioné antes, la clase política griega se resiste. A diferencia de la portuguesa, la irlandesa, eslovaca y los bálticos que aceptaron aplicar planes de ajuste sin anestesia (sin devaluación monetaria) a pesar de la resistencia social. La cuestión es para otro debate. ¿Si la resistencia de la clase dirigente griega es lógica (los planes de ajuste son demasiados duros) o es la defensa del status quo de una clase política que teme perder sus privilegios (las reformas que los acreedores de la UME incluyen reformas en la justicia y en la administración que socavarían el poder de la clase política griega que está muy acostumbrada a una política caciquil y clientelar del Estado)?
ND propone un candidato inviable a la Jefatura del Estado griego. Se convocan elecciones anticipadas. Gana Syriza, que gobierna con ANEL. Un partido de izquierda y otro de derecha que les une lo siguiente: 1. Solicitar una quita sustancial de la deuda pública; 2. Fin del plan de ajuste; y 3. Fin de la condicionalidad. La aceptación de estas líneas rojas es salirse del euro ya que los acreedores no lo admitirían (falta de confianza). Pero hay un problema: gran parte de la población (sus votantes) desean quedarse en el euro.
Se inicia una guerra de desgaste entre los acreedores y el deudor. Este último renuncia a sus líneas rojas. Pero finalmente el gobierno Griego se resiste a aceptar una derrota política. Su única salida democrática es convocar un referendo. Aquí estamos. La población griega en 2015 (la cual debía en 2010 cuando se inició la crisis griega ser preguntada) va decidir: entre quedarse en el euro (con lo que va admitir el plan de ajuste de los acreedores) o salirse del euro (default, repudio de la deuda y devaluación monetaria).
28 June 2015 - ELA to Greek banks maintained at its current level
ECB takes note of decision on Greek referendum and the non-prolongation of the EU adjustment programme
ECB will work closely with Bank of Greece to maintain financial stability
Emergency liquidity assistance maintained at Friday’s (26 June 2015) level
Governing Council stands ready to review decision
Governing Council closely monitoring situation and potential implications for monetary policy stance
European Commission - Press release
Information from the European Commission on the latest draft proposals in the context of negotiations with Greece
Brussels, 28 June 2015
In the interest of transparency and for the information of the Greek people, the European Commission is publishing the latest proposals agreed among the three institutions (European Commission, European Central Bank and International Monetary Fund), which take into account the proposals of the Greek authorities of 8, 14, 22 and 25 June 2015 as well as the talks at political and technical level throughout the week.
Discussions on this text were ongoing with the Greek authorities on Friday night in view of the Eurogroup of 27 June 2015. The understanding of all parties involved was that this Eurogroup meeting should achieve a comprehensive deal for Greece, one that would have included not just the measures to be jointly agreed, but would also have addressed future financing needs and the sustainability of the Greek debt. It also included support for a Commission-led package for a new start for jobs and growth in Greece, boosting recovery of and investment in the real economy, which was discussed and endorsed by the College of Commissioners on Wednesday 24 June 2015.
However, neither this latest version of the document, nor an outline of a comprehensive deal could be formally finalised and presented to the Eurogroup due to the unilateral decision of the Greek authorities to abandon the process on the evening of 26 June 2015.
Del referendum griego:
Me pongo en el caso de que algo similar sucediese en España, que mi futuro y el de mis hijos dependiera de los intereses pervertidos de una masa jubilada e indolente, y me dan ganas de mandarlo todo al carajo.
Tsipras: el abanderado de lo que vengo llamando la democracia de las amas de casa.
Abuelas griegas nacidas en 1930 decidiendo si pertenecer a la eurozona es geoestratégicamente positivo.
Democracia del pueblo en estado puro.
Aquí una abuela dirimiendo asuntos de Estado:
https://www.youtube.com/watch?v=CV1DYLQ2YdM (https://www.youtube.com/watch?v=CV1DYLQ2YdM)
:D
Yo conozco la opcion de la pregunta del referendum que daria el mayor caudal politico de la historia de la democracia mundial:
Opcion C:
Quedarse en el euro y seguir negociando.
Yo conozco la opcion de la pregunta del referendum que daria el mayor caudal politico de la historia de la democracia mundial:
Opcion C:
Quedarse en el euro y seguir negociando.
Es que eso es lo que venden de entrada :troll: que pueden decir que no al memorandum (que, ojito, ni siquiera estará ya sobre la mesa para la fecha del referendum) y esto no significaría salirse del euro. Mira los twits de Varoufakis, para él no existe esa posibilidad, igual que el concepto de controles de capital no existe en la eurozona (sin embargo mira lo de Chipre y lo de Grecia mañana mismo :D).
Son la leche.
Es que en realidad no pueden salirse del euro, los tratados les obligan a permanecer en el euro, de la misma forma que los demas paises (salvo RU, Dinamarca y algun otro) estan obligados a entrar en algun momento en la zona euro. Para salirse del euro deberian salirse tambien de la UE.
El eurogrupo tampoco les puede echar.
Y no, yo no he redactado ni aprobado los tratados.
Es que en realidad no pueden salirse del euro, los tratados les obligan a permanecer en el euro, de la misma forma que los demas paises (salvo RU, Dinamarca y algun otro) estan obligados a entrar en algun momento en la zona euro. Para salirse del euro deberian salirse tambien de la UE.
El eurogrupo tampoco les puede echar.
Y no, yo no he redactado ni aprobado los tratados.
Eso es igual que "no hay controles de capitales" y sin embargo mira Chipre y mira a Grecia mañana mismo.
Grecia puede seguir en el euro y de facto no tener euros y no poder pagar hospitales, pensiones, etc y tener por HUEVOS que imprimir dracmas.
En Grecia NHD y además No Hay Crédito. Llámalo como quieras, pero lo que están haciendo Tsipras y Varoufakis se llama mentir.
Es que en realidad no pueden salirse del euro, los tratados les obligan a permanecer en el euro, de la misma forma que los demas paises (salvo RU, Dinamarca y algun otro) estan obligados a entrar en algun momento en la zona euro. Para salirse del euro deberian salirse tambien de la UE.
El eurogrupo tampoco les puede echar.
Y no, yo no he redactado ni aprobado los tratados.
Eso es igual que "no hay controles de capitales" y sin embargo mira Chipre y mira a Grecia mañana mismo.
Grecia puede seguir en el euro y de facto no tener euros y no poder pagar hospitales, pensiones, etc y tener por HUEVOS que imprimir dracmas.
En Grecia NHD y además No Hay Crédito. Llámalo como quieras, pero lo que están haciendo Tsipras y Varoufakis se llama mentir.
No hay ningun problema legal de ningun indole para imponer controles de capital.
A mi todo esto me parece enormemente "interesante".
Ya veremos como acaba.
Follow
Yanis Varoufakis
@yanisvaroufakis
Capital controls within a monetary union are a contradiction in terms. The Greek government opposes the very concept.
jejeje, mucho orgullo nacional pero los ahorrillos mejor en euros ;)
¿Abrimos porra a ver que sale en la consulta?
Yo digo que sale quedarse en la UE.
jejeje, mucho orgullo nacional pero los ahorrillos mejor en euros ;)
¿Abrimos porra a ver que sale en la consulta?
Yo digo que sale quedarse en la UE.
Es que en realidad no pueden salirse del euro, los tratados les obligan a permanecer en el euro, de la misma forma que los demas paises (salvo RU, Dinamarca y algun otro) estan obligados a entrar en algun momento en la zona euro. Para salirse del euro deberian salirse tambien de la UE.
El eurogrupo tampoco les puede echar.
Y no, yo no he redactado ni aprobado los tratados.
Eso es igual que "no hay controles de capitales" y sin embargo mira Chipre y mira a Grecia mañana mismo.
Grecia puede seguir en el euro y de facto no tener euros y no poder pagar hospitales, pensiones, etc y tener por HUEVOS que imprimir dracmas.
En Grecia NHD y además No Hay Crédito. Llámalo como quieras, pero lo que están haciendo Tsipras y Varoufakis se llama mentir.
No hay ningun problema legal de ningun indole para imponer controles de capital.
A mi todo esto me parece enormemente "interesante".
Ya veremos como acaba.
Explícaselo a Varoufakis y Tsipras.
https://twitter.com/yanisvaroufakis/status/615127339102531584CitarFollow
Yanis Varoufakis
@yanisvaroufakis
Capital controls within a monetary union are a contradiction in terms. The Greek government opposes the very concept.
Syriza MIENTE. De facto tanto quedarse sin euros como controlar los capitales se puede hacer y de hecho se está haciendo ya. El resto juegos de palabras semánticos para engañar al respetable.
Se podria implementa una opcion out en los tratados para los paises que quieran salirse o sean expulsados.
Aunque restaria algo de credibilidad al euro como moneda duradera en el tiempo.
Se podria implementa una opcion out en los tratados para los paises que quieran salirse o sean expulsados.
Aunque restaria algo de credibilidad al euro como moneda duradera en el tiempo.
No hace falta. Cuando no tengan liquidez ya sacarán ellos su moneda por su propio bien. En Macedonia por ejemplo usan su propia moneda y euros que simplemente compran. Grecia podría seguir de facto en la eurozona pero con sus emisiones embargadas, e incapaz de hacer frente a los gastos del Estado sin su propia moneda.
Ese escenario es difícil de predecir. Pero los controles de capital sin duda ya están aquí, y seguramente sean más duros que los de Chipre.
Juegan a la semántica. Les preguntan cosas concretas y responden historias tangenciales sobre lo que puede o no puede ser en teoría según alguna cosa.
Pregunta: "Vas a poner controles de capital?"
Respuesta: "En una unión monetaria "control de capital" es una contradicción de términos" :roto2:
Y con la eurozona parecido, como si no estuvieran sacando nuevos tratados en dos tardes.
El colmo ya es lo del referendum, que ya están haciendo campaña por NO aceptar condiciones Y SEGUIR EN EL EURO como si nada :roto2:
Eso se llama FARSA. Y les va a costar muy caro a los griegos.
........ La mayor parte de las clases acomodadas griegas tienen una parte de su activo corriente en banca extranjera, y lo podran seguir usando como si nada.
Bonita forma de marcar para los próximos 40 años a toda una generación, por las ansias paletas de un politicastro de región periférica con ganas de dar el cante.
Me imagino a los jóvenes emigrantes griegos omitiendo en sus curriculums su nacionalidad. Es de vergüenza. ¿Se puede cuantificar el perjuicio intangible que han hecho al país con este espectáculo lamentable?
Bonita forma de marcar para los próximos 40 años a toda una generación, por las ansias paletas de un politicastro de región periférica con ganas de dar el cante.
Me imagino a los jóvenes emigrantes griegos omitiendo en sus curriculums su nacionalidad. Es de vergüenza. ¿Se puede cuantificar el perjuicio intangible que han hecho al país con este espectáculo lamentable?
Es probable, pero habrá que esperar a que termine la cosa.
Hoy es el primer día: el corralito es motivo de chanzas, de "orgullo nacional", etc...
Mañana habría que pagar al FMI...
Y ya el jueves, viernes... sábado... Uf! El ánimo va a ir cambiando.
[ Lo bueno es que todo va a ir muy rápido., como en una peli. ]
Lo cierto es que además de ser un proceso fascinante, también es de lo más desasosegante.
Es que los griegos no son marcianos ni un país tercermundista que tiene billetes inflacionados con un montón de ceros; son unos tipos que viven aquí al lado y que son de lo más familiar. Ya saben, eso de escarmentar en cabeza ajena...
Ando mal de tiempo para seguir este tema y las reacciones fuera de Grecia, pero parece que las bolsas y mercados no se están dando el hostión épico que ayer parecía que se iban a dar. Habrá que esperar a que abra WS. Lo que me parece curioso también es cómo lo vive la prensa/políticos españoles: sin matices ni nada, griegos buenos o malos y fin.
Lo del "orgullo nacional", "dignidad del pueblo griego" y demás es ridículo a mi parecer. Si la cosa se desmadra a lo loco, cuando dentro de un mes te metan un navajazo por media docena de latas y dos kilos de harina, te vas a acordar del la dignidad de la madre patria. Seguro.
Esta semana va a ser larga.
Peter Dominiczak writes:
Quote David Cameron has said that the Greek crisis bolsters his case for EU reform and suggested that the UK could vote to leave the bloc if Brussels does not show more “flexibility” in the wake of the emergency.
The Prime Minister said that the EU has to show it can “work as an organisation” by reaching an agreement with Greece that "delivers the stability and security that we want".
"This organisation, if it is going to work, has got to be flexible enough to work for those members who are eurozone members, but flexible enough also to work and succeed for countries, like Britain, that in my view are never going to join the euro," he told the BBC.
"If it can't show that flexibility, it won't work as an organisation and the British people will see that. I believe it should have that flexibility and can have that flexibility."
Mr Cameron added: “The Greek argument obviously has some influence, because of this argument about a system that needs to be flexible enough for both sorts of countries, and I hope that good sense will prevail."
Las bolsas y los mercados se lo han tomado bien.Es que no puede ser de otra forma.
CitarLas bolsas y los mercados se lo han tomado bien.Es que no puede ser de otra forma.
Me explico:
Precisamente los defensores de la solución "política" ¿? argumentan que el problema de Grecia es en términos economicos enano, apenas un 1% de la eurozona.
Ahi está la respuesta.
En términos economicos el problema de Grecia es tan insignificante que a los mercados les da igual. También les importa zero el hambre que pasan en Yemen.
Welcome to reality
A quien les debería importar es a los paganinis, el ciudadano griego medio al que [han metido/se ha metido] en este lío tremendo que tenía una solución bastante fácil: Aceptar el proceso globalizador de construcción paneuropea.
Claro, otra cosa es pretender que la mayor área económica del planeta modifique sus planes estratégicos para los próximos 100 años sólo porque un tal Tsipras es presidente (con el 25% de los votos) de un país en vías de desarrollo. :roto2:
Es como los aztecas, luchando con flechas de madera contra las armaduras de los españoles.
Hoy la guerra se realiza en términos economicos.
Pues si no tienes armas ni herramientas economicas... ¿a donde vas? :roto2:
Que no lo sepa mi vecina, pase.
Pero que tipos que se las dan de líder carismático (Tsipras-Varo) anden tan escason de miras, da muestra de lo escasos que andan en Grecia de talento en la esfera política.
Confío en que Europa será benevolente.
Aunque sea por respeto histórico a la herencia grecorromana.
Pero la fusión supranacional lleva en marcha desde 1994 y no tiene pinta de frenarse.
Al contrario.
..... En realidad lo que existe es todos intentando sacar tajada para sus propias oligarquías nacionales. ......
..... El problema es que las oligarquías de estos países nunca aceptarán el proceso globalizador ya que la instauración de algo medianamente parecido a una economía moderna en el sur de Europa les barrería del mapa. ....
.... Un país que ha renunciado durante décadas a tener un sistema tributario mínimamente justo alguna responsabilidad tendrá en las desgracias que le sucedan. Pero los bancos alemanes y franceses que ganaron cientos de miles de millones especulando en ese país y en esa economía que hoy tanto les escandaliza también se lo buscaron ....
.... Pero los acreedores mantienen su rechazo a las propuestas de Grecia aduciendo que se basan demasiado en impuestos y demasiado poco en recortes de gastos. ..... La pretendida razón para rechazar una propuesta basada en los impuestos es que dañaría el crecimiento. .....
Grecia no sólo es un país quebrado, sino una de las economías más pobres y menos desarrolladas de Europa desde hace décadas. Y ello, pese a seguir, curiosamente, los dictados de la izquierda radical, puesto que el Estado heleno se ha caracterizado por ser uno de los más intervencionistas de Europa (ocupaba el puesto 100 del ranking mundial sobre facilidad para hacer negocios cuando estalló la crisis del euro) y con uno de los mayores niveles de gasto público.
Y es que, el origen de la tragedia griega, muy al contrario de lo que defienden Syriza o Podemos, no radica en la pretendida austeridad, sino en su desbocado e insostenible sector público. Grecia fue el país de la UE que más aumentó su gasto público real (un 80% entre 1996 y 2008) y su deuda pública (un 400% superior a sus ingresos públicos en 2011) durante los felices años de la burbuja crediticia. Pero estas grandes cifras, siendo relevantes, se tradujeron en hechos muy concretos, cuya realidad ocultan hábilmente partidos como Syriza en Grecia o Podemos en España.
A continuación, se resumen las diez grandes vergüenzas de Grecia que la izquierda europea se niega a reconocer. La ruina helena es una historia llena de mentiras, despilfarros y una enorme hipocresía.
1. Mintieron sobre el déficit público
Lo primero que cabe señalar es que los políticos griegos ocultaron su déficit público real durante años. Cuando el nuevo gobierno de Atenas llegó al poder en 2009, se encontró un agujero fiscal equivalente al 14% del PIB, frente al dato oficial del 3,7% comunicado a Bruselas.
De un día para otro, el déficit pasó de 7.000 a cerca de 30.000 millones de euros, casi cuatro veces más. Este manifiesto engaño evidencia la enorme irresponsabilidad política de los distintos gobiernos griegos.
2. Atenas recurrió a la banca de inversión
La izquierda carga constantemente contra los mercados, en general, y la malvada banca de inversión, en particular, pero olvidan que su admirada Grecia recurrió a los financieros de Wall Street para ocultar sus desastrosas cuentas públicas.
El anterior Gobierno presidido por Yorgos Papandreu reconoció que Grecia mintió en las cifras de déficit y deuda para entrar en el euro y, por tanto, ofreció datos falsos hasta 2009, valiéndose, entre otros, de los servicios de Goldman Sachs. A este respecto, cabe señalar que el hoy presidente del Banco Central Europeo (BCE), Mario Draghi, dirigía las operaciones de Goldman en Europa en 2002, cuando Grecia inició sus fraudulentas operaciones de ingeniería financiera.
3. El Estado causó la quiebra de la banca
Otra verdad incómoda es que, en el caso de Grecia, la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos. Por ello, la banca griega entró en quiebra cuando se aplicó una quita del 50% sobre los bonos helenos en manos de los acreedores privados en 2011, tras acordar el segundo plan de rescate con la troika.
Posteriormente, Europa tuvo que inyectar dinero extra para salvar los depósitos de Grecia. Es decir, los depositantes griegos fueron rescatados con el dinero de los contribuyentes europeos a través de la troika, después de que la insolvencia de Atenas arrastrara a la banca nacional a la quiebra.
4. Vida a todo tren, pero con el dinero de otros
Durante la burbuja, Grecia vivió muy por encima de sus posibilidades reales, recurriendo a una ingente deuda pública para poder financiar ese insostenible nivel de gasto. Más de la mitad de la economía griega dependía, de una u otra forma, del maná estatal, creando así una gran estructura clientelar a base de enchufes, corrupción y subvenciones. Algunos ejemplos:
•Durante años, y pese a tener un PIB per cápita muy inferior al de España, el salario mínimo en Grecia era un 50% superior.
•Durante décadas, cuando un partido llegaba al poder enchufaba a gente en el sector público a cambio de su voto, acrecentando de forma insostenible la plantilla estatal.
•El Hospital Evagelismos, uno de los principales de Atenas, por ejemplo, llegó a tener en nómina a 45 jardineros para cuidar de las cuatro macetas de su entrada; algunos organismos públicos contaban con 50 conductores por cada coche; un antiguo ministro de Agricultura creó una unidad no contabilizada que daba empleo a 270 personas para digitalizar las fotografías de las tierras públicas griegas, sin que ninguno de los contratados tuviera experiencia en fotografía digital, ya que eran carteros, peluqueros, agricultores y, en general, afiliados del partido...
•El gasto en educación, sanidad y política social fue, de lejos, el que más aumentó hasta el estallido de la crisis de deuda, superando el 31% del PIB en 2012.
•Además, Grecia, el gran referente de la izquierda radical, era el país de la UE que más dinero destinaba a gasto militar antes de la crisis, con una media superior al 4% del PIB.
5. Exceso de funcionarios e ineficiencia
El empleo público es, sin duda, uno de los grandes paradigmas del despilfarro griego.
- Durante la burbuja, Atenas ni siquiera sabía cuántos empleados tenía en nómina: los sindicatos estimaban unos 700.000, mientras el Gobierno hablaba de 800.000; pero, sumando los contratos temporales, la cifra superó el millón de personas en 2007, equivalente al 10% de la población y a casi el 20% de la fuerza laboral del país.
- Ganaban una media de 1.350 euros mensuales, superando el sueldo medio existente en el sector privado. Pero lo relevante es que la ganancia real de los empleados púbicos era muy superior: además de cobrar dos pagas extra, recibían pluses y remuneraciones adicionales aduciendo todo tipo de excusas, como llegar al trabajo en el horario previsto, presentarse correctamente vestido, usar ordenador o hablar idiomas. Los guardas forestales, por ejemplo, recibían un plus por trabajar al aire libre.
- Sumando todas las extras, los funcionarios de Grecia llegaron a ganar de media más de 70.000 euros al año frente a los 55.000 euros de Alemania.
- Asimismo, los funcionarios también disfrutaban de una pensión vitalicia de 1.000 euros mensuales para las hijas solteras de empleados fallecidos, entre otros muchos privilegios y prebendas.
- Grecia tenía cuatro veces más profesores que Finlandia, el país que mejor nota saca en el Informe PISA de calidad educativa, pero esa superpoblación de docentes sólo le ha servido para estar entre los países europeos con peor nivel en casi todas las pruebas de Enseñanza. Muchos griegos que envían a sus hijos a las escuelas públicas tienen que contratar luego profesores particulares de refuerzo.
- Otro dato curioso es que su Sanidad pública era de las que más invertía en suministros, superando la media de la UE, sin que los griegos sufrieran más enfermedades que el resto de europeos. ¿Razón? Uno de los muchos escándalos destapados durante estos años es que era tradición entre médicos y enfermeras salir de los hospitales cargados con todo tipo de material higiénico y sanitario...
6. Empresas públicas, el culmen del despilfarro
Sin embargo, más allá del desproporcionado número de funcionarios, sus suculentos sueldos o la grave ineficiencia de los servicios públicos, el culmen del despilfarro era su sobredimensionada estructural estatal a base de cientos de empresas, organismos y entidades inútiles. Basta señalar algunos ejemplos para percatarse de dicho despropósito:
•El sueldo medio en la Renfe griega llegó a superar los 70.000 euros al año, incluyendo las profesiones de baja cualificación. Sus ingresos operativos apenas rondaban los 100 millones al año, mientras que sus gastos alcanzaban los 700 millones.
•"Hace veinte años, un próspero empresario llamado Stefanos Manos, nombrado después ministro de Finanzas, señaló que sería más barato meter a todos los pasajeros de los ferrocarriles griegos en taxis: sigue siendo verdad", tal y como detalla Michael Lewis en su libro Boomerang: Viajes al nuevo tercer mundo europeo, publicado por Deusto, en donde explica buena parte de los desmanes helenos cometidos durante la burbuja.
•El presupuesto del metro de Atenas rondaba los 500 millones de euros al año, mientras que los ingresos en taquilla apenas alcanzaban los 90 millones.
•Grecia también creó un comité para gestionar el Lago Kopais, a pesar de que se secó en 1930.
•Tras el rescate de la troika, Atenas anunció la eliminación o fusión de 75 organismos públicos en los que trabajan más de 7.000 personas y que, anualmente, recibían 2.700 millones de euros en subvenciones (unos 386.000 euros por cada empleado).
7. Jubilación de oro
Hasta el estallido de la crisis, los griegos se podían jubilar con poco más de 61 años, cobrando casi el 96% de su sueldo, siendo uno de los sistemas de pensiones públicas más generosos (e insostenibles) de la UE.
Pero es que, además, en Grecia existían cerca de 600 categorías laborales que, alegando motivos de salud, podían optar a la jubilación anticipada, establecida en 50 años para las mujeres y 55 para los hombres. Y entre estos últimos beneficiados había todo tipo de profesiones, desde peluqueros hasta trompetistas, flautistas, cocineros, masajistas e incluso presentadores de televisión, entre otros.
Precisamente por ello, los griegos disfrutaban de la mayor esperanza de vida tras la jubilación, y no porque vivieran más, sino porque se jubilaban mucho antes. En concreto, mientras la media de la OCDE es de 18,5 años tras el retiro (en España es de 17,9), los helenos gozaban de más de 24 años de plácida existencia tras la jubilación, a base, eso sí, de pedir prestado un creciente volumen de dinero a los mercados en forma de deuda pública.
Además, el control sobre la gestión de las pensiones era inexistente. Durante la crisis, se han detectado miles de familias que cobraban jubilación años después de que fallecieran sus titulares o prestaciones de desempleo sin tener derecho a ello.
8. Sobornos y evasión fiscal
Grecia también destaca por liderar todos los indicadores de evasión fiscal a nivel europeo. Antes de la crisis, uno de cada cuatro trabajadores no pagaba nada en impuestos, de modo que las arcas públicas dejaban de ingresar entre 15.000 y 20.000 millones de euros al año.
Prueba de ello es que, antes de la crisis, menos de 5.000 contribuyentes griegos, en una población total de casi 12 millones, reconocían cobrar más de 100.000 euros al año. Lewis, por ejemplo, explica en su obra que dos tercios de los médicos privados no pagaban ni un euro de impuestos, ya que declaraban unos ingresos de menos de 12.000 euros al año, el umbral mínimo para empezar a tributar.
Además, los sobornos estaban a la orden del día. Algunos estudios señalan que los griegos se gastaban unos 800 millones de euros al año en mordidas para evitar el pago de multas o para que los funcionarios hicieran la vista gorda, incluyendo los inspectores fiscales. Por poner tan sólo un ejemplo, el Ministerio de Hacienda despidió hace escasos años a 70 funcionarios con un patrimonio inmobiliario medio de 1,2 millones, cuando su sueldo no superaba los 50.000 euros.
Otro dato llamativo es que la proporción de autónomos en Grecia era también de las más altas de la UE, y no porque fueran especialmente emprendedores, sino por la facilidad de ocultar ingresos al Fisco. Por si fuera poco, en años electorales, como 2009, la recaudación bajaba de forma muy sustancial (hasta el 30%), con independencia de cómo evolucionara el PIB, ya que los políticos, sobre todo a nivel local, solían perdonar el pago de impuestos como forma de comprar votos.
9. Deuda pública desbocada
Como consecuencia, toda esta borrachera de gasto y despilfarro estatal se financió emitiendo deuda. Grecia fue el país que más recurrió a la deuda pública durante la época de burbuja y, por ello, su factura anual en el pago de intereses superó, hasta el segundo rescate a Grecia, el 12% de los ingresos públicos (en 2011, antes del rescate alcanzó, el 17%), mientras que en Alemania dicha factura se ha mantenido estable en el 6% de todos los ingresos públicos.
10. Pueden pagar, pero no quieren
Syriza y Podemos reclaman ahora una nueva quita soberana, pese a que el Estado heleno se endeudó voluntariamente para cometer todos los excesos descritos anteriormente, en lugar de que Grecia asuma su responsabilidad y pague lo que debe.
Aunque muchos dicen que es imposible, lo cierto es que, según el Banco Central Europeo (BCE), Atenas posee una enorme cartera de activos públicos, cuyo valor estimado asciende a 300.000 millones de euros, incluyendo empresas, infraestructuras, acciones, participaciones, suelo y todo tipo de bienes inmuebles. Además, Grecia también podría vender islas, playas, oro y hasta monumentos si es necesario con tal de cumplir sus compromisos y evitar el doloroso estigma de la quiebra y posible salida del euro.
Pero ni siquiera haría falta llegar tan lejos: si Atenas redujera el peso del Estado a la mitad (unos 60.000 millones), con la consiguiente privatización de pensiones, sanidad y educación, y vendiera el 50% de sus activos públicos (otros 100.000 millones por lo bajo) su deuda quedaría reducida al 70% del PIB; ello, unido a un compromiso serio de equilibrio presupuestario (déficit cero) y a un ambicioso plan de reformas para liberalizar la economía y bajar impuestos, permitiría reducir aún más su endeudamiento a medio plazo por la vía del crecimiento económico. Grecia puede pagar, lo que pasa es que no quiere y, por lo tanto, todo apunta a que no lo hará.
[url]http://www.libremercado.com/2015-01-19/las-diez-verguenzas-de-grecia-que-nunca-le-contaran-syriza-ni-podemos-1276538475/[/url] ([url]http://www.libremercado.com/2015-01-19/las-diez-verguenzas-de-grecia-que-nunca-le-contaran-syriza-ni-podemos-1276538475/[/url])
3. El Estado causó la quiebra de la banca
Otra verdad incómoda es que, en el caso de Grecia, la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos. Por ello, la banca griega entró en quiebra cuando se aplicó una quita del 50% sobre los bonos helenos en manos de los acreedores privados en 2011, tras acordar el segundo plan de rescate con la troika.
Posteriormente, Europa tuvo que inyectar dinero extra para salvar los depósitos de Grecia. Es decir, los depositantes griegos fueron rescatados con el dinero de los contribuyentes europeos a través de la troika, después de que la insolvencia de Atenas arrastrara a la banca nacional a la quiebra.
[url]http://www.libremercado.com/2015-01-19/las-diez-[/url] ([url]http://www.libremercado.com/2015-01-19/las-diez-verguenzas-de-grecia-que-nunca-le-contaran-syriza-ni-podemos-1276538475/[/url])
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1. Mintieron sobre el déficit público
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2. Atenas recurrió a la banca de inversión
La izquierda carga constantemente contra los mercados, en general, y la malvada banca de inversión, en particular, pero olvidan que su admirada Grecia recurrió a los financieros de Wall Street para ocultar sus desastrosas cuentas públicas.
El anterior Gobierno presidido por Yorgos Papandreu reconoció que Grecia mintió en las cifras de déficit y deuda para entrar en el euro y, por tanto, ofreció datos falsos hasta 2009, valiéndose, entre otros, de los servicios de Goldman Sachs. A este respecto, cabe señalar que el hoy presidente del Banco Central Europeo (BCE), Mario Draghi, dirigía las operaciones de Goldman en Europa en 2002, cuando Grecia inició sus fraudulentas operaciones de ingeniería financiera.
3. El Estado causó la quiebra de la banca
Otra verdad incómoda es que, en el caso de Grecia, la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos. Por ello, la banca griega entró en quiebra cuando se aplicó una quita del 50% sobre los bonos helenos en manos de los acreedores privados en 2011, tras acordar el segundo plan de rescate con la troika.
Posteriormente, Europa tuvo que inyectar dinero extra para salvar los depósitos de Grecia. Es decir, los depositantes griegos fueron rescatados con el dinero de los contribuyentes europeos a través de la troika, después de que la insolvencia de Atenas arrastrara a la banca nacional a la quiebra.
4. Vida a todo tren, pero con el dinero de otros
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5. Exceso de funcionarios e ineficiencia
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6. Empresas públicas, el culmen del despilfarro
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7. Jubilación de oro
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8. Sobornos y evasión fiscal
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9. Deuda pública desbocada
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10. Pueden pagar, pero no quieren
Syriza y Podemos reclaman ahora una nueva quita soberana, pese a que el Estado heleno se endeudó voluntariamente para cometer todos los excesos descritos anteriormente, en lugar de que Grecia asuma su responsabilidad y pague lo que debe.
Aunque muchos dicen que es imposible, lo cierto es que, según el Banco Central Europeo (BCE), Atenas posee una enorme cartera de activos públicos, cuyo valor estimado asciende a 300.000 millones de euros, incluyendo empresas, infraestructuras, acciones, participaciones, suelo y todo tipo de bienes inmuebles. Además, Grecia también podría vender islas, playas, oro y hasta monumentos si es necesario con tal de cumplir sus compromisos y evitar el doloroso estigma de la quiebra y posible salida del euro.
Pero ni siquiera haría falta llegar tan lejos: si Atenas redujera el peso del Estado a la mitad (unos 60.000 millones), con la consiguiente privatización de pensiones, sanidad y educación, y vendiera el 50% de sus activos públicos (otros 100.000 millones por lo bajo) su deuda quedaría reducida al 70% del PIB; ello, unido a un compromiso serio de equilibrio presupuestario (déficit cero) y a un ambicioso plan de reformas para liberalizar la economía y bajar impuestos, permitiría reducir aún más su endeudamiento a medio plazo por la vía del crecimiento económico. Grecia puede pagar, lo que pasa es que no quiere y, por lo tanto, todo apunta a que no lo hará.
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Sinceramente creo que Grecia saldría muy beneficiada de un default y salida del Euro. El problema es que esto pase con Syriza en el poder y sus promesas de manirrotismo Estatal.
Con un mínimo de rigor contable Grecia estaría mucho mejor fuera del euro que dentro. Si encima tienen la posibilidad de declarar la bancarrota mucho mejor. Pero con su gobierno y su cultura de socialismo mediterráneo aquello sería como la Argentina de Kirchner pero a lo bestia.
Sinceramente creo que Grecia saldría muy beneficiada de un default y salida del Euro. El problema es que esto pase con Syriza en el poder y sus promesas de manirrotismo Estatal.
Con un mínimo de rigor contable Grecia estaría mucho mejor fuera del euro que dentro. Si encima tienen la posibilidad de declarar la bancarrota mucho mejor. Pero con su gobierno y su cultura de socialismo mediterráneo aquello sería como la Argentina de Kirchner pero a lo bestia.
Yo creo que no.
Grecia no es nada. Por eso está como está. Hasta el turismo es un desastre. Ocupan el puesto 16 del mundo cuando podrían ser, sin demasiados problemas, el tercero o cuarto mundial. Sus vecinos turcos son los sextos.
Y vuelvo a lo mismo de siempre. El problema no es tanto la deuda pasada acumulada como vivir sin ella. Mañana Grecia impaga y acaban como Marruecos (o peor) en menos de dos décadas. Me da igual de quién sea "la culpa" si del deudor o del acreedor, si llevan 40 años dependiendo del endeudamiento para ir tirando, que me expliquen cómo van a vivir a partir del día "cero" con deudas "cero" y sin volver a endeudarse (cosa que les resultaría imposible aunque quisiesen, salvo que se arrimen a otro bloque que les pague las cervezas).
Y los actuales gobernantes griegos, es de suponer que saben esto. Si no lo saben son unos tontos peligrosos.
It has been obvious for some time that the creation of the euro was a terrible mistake. Europe never had the preconditions for a successful single currency — above all, the kind of fiscal and banking union that, for example, ensures that when a housing bubble in Florida bursts, Washington automatically protects seniors against any threat to their medical care or their bank deposits.
Leaving a currency union is, however, a much harder and more frightening decision than never entering in the first place, and until now even the Continent’s most troubled economies have repeatedly stepped back from the brink. Again and again, governments have submitted to creditors’ demands for harsh austerity, while the European Central Bank has managed to contain market panic.
But the situation in Greece has now reached what looks like a point of no return. Banks are temporarily closed and the government has imposed capital controls — limits on the movement of funds out of the country. It seems highly likely that the government will soon have to start paying pensions and wages in scrip, in effect creating a parallel currency. And next week the country will hold a referendum on whether to accept the demands of the “troika” — the institutions representing creditor interests — for yet more austerity.
Greece should vote “no,” and the Greek government should be ready, if necessary, to leave the euro.
To understand why I say this, you need to realize that most — not all, but most — of what you’ve heard about Greek profligacy and irresponsibility is false. Yes, the Greek government was spending beyond its means in the late 2000s. But since then it has repeatedly slashed spending and raised taxes. Government employment has fallen more than 25 percent, and pensions (which were indeed much too generous) have been cut sharply. If you add up all the austerity measures, they have been more than enough to eliminate the original deficit and turn it into a large surplus.
So why didn’t this happen? Because the Greek economy collapsed, largely as a result of those very austerity measures, dragging revenues down with it.
And this collapse, in turn, had a lot to do with the euro, which trapped Greece in an economic straitjacket. Cases of successful austerity, in which countries rein in deficits without bringing on a depression, typically involve large currency devaluations that make their exports more competitive. This is what happened, for example, in Canada in the 1990s, and to an important extent it’s what happened in Iceland more recently. But Greece, without its own currency, didn’t have that option.
So have I just made the case for “Grexit” — Greek exit from the euro? Not necessarily. The problem with Grexit has always been the risk of financial chaos, of a banking system disrupted by panicked withdrawals and of business hobbled both by banking troubles and by uncertainty over the legal status of debts. That’s why successive Greek governments have acceded to austerity demands, and why even Syriza, the ruling leftist coalition, was willing to accept the austerity that has already been imposed. All it asked for was, in effect, a standstill on further austerity.
But the troika was having none of it. It’s easy to get lost in the details, but the essential point now is that Greece has been presented with a take-it-or-leave-it offer that is effectively indistinguishable from the policies of the past five years.
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AMG Just now
Dr. Krugman, your views are usually very clear. Not this time though. What does Grexit really mean other than the Greeks leaving the Euro? I...
SDW Just now
The fiscal landscape of Greece is strewn with mistakes made by everyone, starting with an error made years ago in creating the euro without...
Len Charlap 1 minute ago
I just don't know. One hears a lot of stuff thrown around that when you look up turns out to be nonsense. Examples:Greeks retire at 53. -...
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This is, and presumably was intended to be, an offer Alexis Tsipras, the Greek prime minister, can’t accept, because it would destroy his political reason for being. The purpose must therefore be to drive him from office, which will probably happen if Greek voters fear confrontation with the troika enough to vote yes next week.
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But they shouldn’t, for three reasons. First, we now know that ever-harsher austerity is a dead end: after five years Greece is in worse shape than ever. Second, much and perhaps most of the feared chaos from Grexit has already happened. With banks closed and capital controls imposed, there’s not that much more damage to be done.
Finally, acceding to the troika’s ultimatum would represent the final abandonment of any pretense of Greek independence. Don’t be taken in by claims that troika officials are just technocrats explaining to the ignorant Greeks what must be done. These supposed technocrats are in fact fantasists who have disregarded everything we know about macroeconomics, and have been wrong every step of the way. This isn’t about analysis, it’s about power — the power of the creditors to pull the plug on the Greek economy, which persists as long as euro exit is considered unthinkable.
So it’s time to put an end to this unthinkability. Otherwise Greece will face endless austerity, and a depression with no hint of an end.
Tenía entendido que están en superávit primario desde 2014.Creo que sí.
[...]
De ahí lo del rigor contable.
Grecia tiene el potencial. Hasta hace tres tardes tenían una industria considerable para su tamaño. Tienen mucha gente preparada (muchos fuera de Grecia). Tienen una agricultura y una ganadería funcionales.
Aparte de la OTAN, no necesitan más.
Sin crédito no podrían seguir por ese camino. Sinceramente yo les veo capaces de reaccionar. Tal vez les sobre-estime.
La responsabilité des deux principaux leaders européens, Angela Merkel et François Hollande, dans ce drame absurde, est immense. S'ils ne réagissent pas dans les heures qui viennent, ils risquent de rester dans l'histoire comme les plus piteux leaders de la construction européenne : ceux qui lui auront mis fin.
La responsabilidad de los 2 líderes europeos, Merkel yHollande en este drama absurdo es inmensa. Si no reacccionan en las proximas horas,, quedarán para l historia como los lideres más pringosos de la construccion europea: los que le pusieron punto y final
Que yo sepa Grecia no produce petróleo... fuera del €, ¿cuánto les costará en dracmas?? tendrán un problemón de narices, tampoco exportan nada, su principal asset es el turismo que también se verá perjudicado.
El impacto en la economía europea será mínimo (Grecia representa 1,3% del PIB europeo),la recuperación europea seguirá su curso, y ese perjuicio en el turismo será positivo para la economía española, ya que podrá absorber parte del mismo.
Que yo sepa Grecia no produce petróleo... fuera del €, ¿cuánto les costará en dracmas?? tendrán un problemón de narices, tampoco exportan nada, su principal asset es el turismo que también se verá perjudicado.
La productividad es más un atributo de un sistema económico en su conjunto que de una persona, tenga nacionalidad griega, alemana o española.
El mismo trabajador de un supermercado pequeño generará para su empleador más ingresos si lo hace en uno de una cadena grande, como Mercadona o Lidl. Lo mismo se puede decir de un ingeniero químico de nacionalidad griega: en una pequeña empresa de su país generará muchos menos ingresos que trabajando en BASF.
La reacción, de haberla, debe producirse a nivel colectivo. En este caso implicaría grados de civismo mucho mayores que los existentes y el abandono de fantasías acerca de un estado todopoderoso en lo económico que está, sin contrapartidas, en condiciones de dar un mínimo de bienestar a todos.
Yo soy pesimista. No por que sean griegos, sino por que cuando en una sociedad de instala la infección de populismo es muy difícil eliminarla. Ahí están los ejemplos de Venezuela y Argentina, que a partir de la segunda mitad del siglo XX se deslizaron de la riqueza a la miseria en medio de sucesivas proclamas populistas; unas de izquierdas, otras de derechas, otras inclasificables, todas populistas.
Que yo sepa Grecia no produce petróleo... fuera del €, ¿cuánto les costará en dracmas?? tendrán un problemón de narices, tampoco exportan nada, su principal asset es el turismo que también se verá perjudicado.
El impacto en la economía europea será mínimo (Grecia representa 1,3% del PIB europeo),la recuperación europea seguirá su curso, y ese perjuicio en el turismo será positivo para la economía española, ya que podrá absorber parte del mismo.
¿Porqué iban a perder turismo? Sería más barato para los viajeros y más importante para ellos. Que sean un poco más pobres no suele ser problema para los turistas. En India, Cuba, Brasil o Egipto no hay que salirse mucho de resort para ver auténtica pobreza, y son destinos importantes. Yo creo que sólo perdería turismo de forma relevante si tuvieran violencia, como le ha pasado a Egipto.
Tenía entendido que están en superávit primario desde 2014.
Si estos países que mencionas tuvieran mas seguridad y menos pobreza tendrían mucho mas turismo del que tienen , muchísima gente deja de ir a esos destinos por los problemas ya comentados.
gracias por sus posts.
Se cachondean de los mass-mierda europeos.
([url]https://scontent-mad1-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xfa1/v/t1.0-9/11403332_10153545085792384_1083112052953545328_n.jpg?oh=12edd6940a0e35dc97dc249e6ba13020&oe=56275320[/url])
[...]
Los Ferrocarriles Nacionales tienen unos ingresos anuales de cien millones de euros frente a unos gastos anuales de personal de cuatrocientos millones, más otros trescientos millones de euros en otros gastos. El empleado medio de los ferrocarriles estatales gana sesenta y cinco mil euros anualmente. Hace veinte años, un próspero empresario llamado Stefanos Manos, nombrado después ministro de Finanzas, señaló que sería más barato meter a todos los pasajeros de los ferrocarriles griegos en taxis: sigue siendo verdad.
[...]
[url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url])
[...]
While the law protects civil servants from dismissal, it allows them to retire with a pension in their 40s.
[...]
Labour unions foiled government attempts to sell debt-ridden Olympic Airways for decades, costing Greek taxpayers millions while employees enjoyed generous benefits -- their family members could fly around the world for free.
[...]
[url]http://www.reuters.com/article/2010/04/28/greece-waste-idUSLDE63R0QZ20100428[/url] ([url]http://www.reuters.com/article/2010/04/28/greece-waste-idUSLDE63R0QZ20100428[/url])
Si estos países que mencionas tuvieran mas seguridad y menos pobreza tendrían mucho mas turismo del que tienen , muchísima gente deja de ir a esos destinos por los problemas ya comentados.
gracias por sus posts.
Grecia es un país muy seguro, más que España de hecho. Ya lo era con dracmas y con niveles de vida de postguerra.
El turismo griego no corre ningún peligro, y una divisa más barata lo estimularía. De eso no me cabe la menor duda. El mayor peligro que corre es que la troika les imponga unos impuestos de escándalo a las zonas turísticas y al consumo en general.
Ahora mismo a los jubiletas british que viven allí (que son legión, como en España) se les hace el culo pepsicola con la idea de que vuelva la dracma y sus pensiones se revaloricen por el cambio.
Si estos países que mencionas tuvieran mas seguridad y menos pobreza tendrían mucho mas turismo del que tienen , muchísima gente deja de ir a esos destinos por los problemas ya comentados.
gracias por sus posts.
Grecia es un país muy seguro, más que España de hecho. Ya lo era con dracmas y con niveles de vida de postguerra.
El turismo griego no corre ningún peligro, y una divisa más barata lo estimularía. De eso no me cabe la menor duda. El mayor peligro que corre es que la troika les imponga unos impuestos de escándalo a las zonas turísticas y al consumo en general.
Ahora mismo a los jubiletas british que viven allí (que son legión, como en España) se les hace el culo pepsicola con la idea de que vuelva la dracma y sus pensiones se revaloricen por el cambio.
El turismo en Grecia se enfrenta a un par de factores limitantes de importancia :
-Poner nueva planta en marcha son costes elevados en todo tipo de importaciones (el país casi no produce nada de la cadena de valor de la construcción salvo áridos y algunos otros materiales) y en infraestructuras pero además en despliegue del Estado en forma de cuerpos de seguridad, desaladoras, centrales de fuelóleo insulares, sanidad, etc. El país tiene muchas islas sin explotar y en buena medida es por esto.
-El turismo en si mismo es un generador de demanda de importaciones , lo que con una mierda de moneda se agrava al necesitar los importadores mucha solidez financiera (adiós a pagarés a meses vista rodables en forma de papel pelota, una costumbre también muy española).
Para la seguridad queda ver el impacto de la enorme inmigración de la última década si se da un largo periodo de insuficiencia de recursos. El estado griego , que se ha quedado en mínimos eb casi todos los capítulos, sigue manteniendo cierto nivel de subsidios y ayudas que junto con las pensiones mantienen la paz social .
A los jubilados les viene bien porque se abarata principalmente lo intensivo en trabajo del sector servicios ; limpieza, peluquería, cuidados a ancianos, chóferes, etc.
Qué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
....
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
Funciona pero dentro de los límites físicos de la planta instalada. No se crece a tasas acumulativas del 10% sin incurrir en enormes costes . Teniendo sobrevapacidad situaciones como la actual ayudan . Pero los límites están ahí. En Canarias no se puede convertir EL hierro en gran polo turístico sin enormes inversiones y destrozos . Si a Gracia el turismo le aporta el 16% del PIB necesita crecimientos del 10% para, todo lo demás igual, elevar el PIB en 1,6 puntos y eso mientras sea escalable la planta dentro de los costes medios actuales . Un cierto estirón se puede dar pero vivir de eso con tanta población no.
Qué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
Pues sí, un caso parecido a España un poco más exacerbado.
- La crisis griega empezó ya siendo de deuda pública, al contrario que la española. De ahí ese punto incómodo que señala una noticia anterior de este hilo: " la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos."
En España de esto también hubo mucho, a nivel autonómico. Hay una diferencia de balances porque Grecia a nivel municipal no engordó tanto como España.
- En Grecia no se pagan impuestos. Es una generalización, pero es la generalización más ajustada a la realidad. Y sin pagar impuestos, porque ha habido siempre un fraude descomunal, han tenido unos gastos brutales. Mientras prestamistas extranjeros les han dejado dinero (o mientras han engañado a sus socios europeos haceindo que invertían fondos en lugar de dilapidarlos), bien. Cuando se han acabado los préstamos, se ha acabado el cuento. En los años del boom, salir por Atenas costaba prácticamente lo mismo que salir por Helsinki. Y ya ven a qué años se jubilan y con qué pensiones.
Se pagan muchos impuestos, pero se defraudan aún más. De nuevo, nada que no nos suene. Allí hasta el IVA es un poco de cachondeo porque en las islas casi no hay control y se lleva doble contabilidad. Todo cash. Se les ha ido de las manos este tema, sin duda.
Si acaso esto es otro motivo más para separarlos de la unión monetaria y que se espabilen un poco.
- Están en la mierda porque se lo han buscado. Tsipras y Varoufakis son unos demagogos que le han prometido lo imposible a la MN griega. Tsipras y Varoufakis se han jugado todas las cartas en la negociación a que "aunque soy pequeño, soy crítico, soy "too small to fail", y puedo ser el detonante de la ruptura de la UE y el proyecto euro, así que callaos la puta boca 27 euro-compis y seguid financiándome, porque mis gastos y mis pensionazas son in-to-ca-bles, ¿capisci?" Y ahí estamos.
Las responsabilidades colectivas ya se sabe.
- Grecia va de faroulakis. Grecia sin euro y/o fuera de la UE es Ruanda. Los griegos pueden estar muuuucho peor.
Grecia era un país segundo-mundista antes de la UE y seguramente así siga. El euro para los griegos es una espada de doble filo. Lo es para todo el Sur de Europa.
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
Ni de coña. Esto habrá quien se lo crea, pero no va a pasar. Tendrán acuerdos puntuales, como tienen con Turquía por ejemplo.
- Grecia le debe dinero a España. ¿Queremos más a los ancianos griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. ¿Queremos más a los estudiantes griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. Si no, reflexionemos un poco.
Grecia nunca va a devolver una parte sustancial de ese dinero. Si acaso por medio de más rescates se diluirá esa deuda.
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
El único motivo por el que la quiebra de Grecia tiene que suponer la ruptura de la UE es que la UE se empeñe en que así sea. Lo que diga Krugman o Stiglitz sinceramente me da exactamente igual. Lo cierto es que obligar a Grecia a seguir en la eurozona es un error.
El turismo en Grecia se enfrenta a un par de factores limitantes de importancia :
-Poner nueva planta en marcha son costes elevados en todo tipo de importaciones (el país casi no produce nada de la cadena de valor de la construcción salvo áridos y algunos otros materiales) y en infraestructuras pero además en despliegue del Estado en forma de cuerpos de seguridad, desaladoras, centrales de fuelóleo insulares, sanidad, etc. El país tiene muchas islas sin explotar y en buena medida es por esto.
-El turismo en si mismo es un generador de demanda de importaciones , lo que con una mierda de moneda se agrava al necesitar los importadores mucha solidez financiera (adiós a pagarés a meses vista rodables en forma de papel pelota, una costumbre también muy española).
Para la seguridad queda ver el impacto de la enorme inmigración de la última década si se da un largo periodo de insuficiencia de recursos. El estado griego , que se ha quedado en mínimos eb casi todos los capítulos, sigue manteniendo cierto nivel de subsidios y ayudas que junto con las pensiones mantienen la paz social .
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
No. Pero en una situación rocambolesca les podría llegar a pagar como la Otan pagaba (¿y paga?) a Islandia. Luego ya se lo gastarán ellos en lo que consideren.
Al fin y al cabo les ha pagado durante años el cachondeo a los ucranianos solo por su posición en el mapa.
Lo que pasa es que Rusia no está para tirar cohetes...(bueno, para eso, precisamente, si que está).
eQué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
Pues sí, un caso parecido a España un poco más exacerbado.
- La crisis griega empezó ya siendo de deuda pública, al contrario que la española. De ahí ese punto incómodo que señala una noticia anterior de este hilo: " la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos."
En España de esto también hubo mucho, a nivel autonómico. Hay una diferencia de balances porque Grecia a nivel municipal no engordó tanto como España.
- En Grecia no se pagan impuestos. Es una generalización, pero es la generalización más ajustada a la realidad. Y sin pagar impuestos, porque ha habido siempre un fraude descomunal, han tenido unos gastos brutales. Mientras prestamistas extranjeros les han dejado dinero (o mientras han engañado a sus socios europeos haceindo que invertían fondos en lugar de dilapidarlos), bien. Cuando se han acabado los préstamos, se ha acabado el cuento. En los años del boom, salir por Atenas costaba prácticamente lo mismo que salir por Helsinki. Y ya ven a qué años se jubilan y con qué pensiones.
Se pagan muchos impuestos, pero se defraudan aún más. De nuevo, nada que no nos suene. Allí hasta el IVA es un poco de cachondeo porque en las islas casi no hay control y se lleva doble contabilidad. Todo cash. Se les ha ido de las manos este tema, sin duda.
Si acaso esto es otro motivo más para separarlos de la unión monetaria y que se espabilen un poco.
- Están en la mierda porque se lo han buscado. Tsipras y Varoufakis son unos demagogos que le han prometido lo imposible a la MN griega. Tsipras y Varoufakis se han jugado todas las cartas en la negociación a que "aunque soy pequeño, soy crítico, soy "too small to fail", y puedo ser el detonante de la ruptura de la UE y el proyecto euro, así que callaos la puta boca 27 euro-compis y seguid financiándome, porque mis gastos y mis pensionazas son in-to-ca-bles, ¿capisci?" Y ahí estamos.
Las responsabilidades colectivas ya se sabe.
- Grecia va de faroulakis. Grecia sin euro y/o fuera de la UE es Ruanda. Los griegos pueden estar muuuucho peor.
Grecia era un país segundo-mundista antes de la UE y seguramente así siga. El euro para los griegos es una espada de doble filo. Lo es para todo el Sur de Europa.
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
Ni de coña. Esto habrá quien se lo crea, pero no va a pasar. Tendrán acuerdos puntuales, como tienen con Turquía por ejemplo.
- Grecia le debe dinero a España. ¿Queremos más a los ancianos griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. ¿Queremos más a los estudiantes griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. Si no, reflexionemos un poco.
Grecia nunca va a devolver una parte sustancial de ese dinero. Si acaso por medio de más rescates se diluirá esa deuda.
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
El único motivo por el que la quiebra de Grecia tiene que suponer la ruptura de la UE es que la UE se empeñe en que así sea. Lo que diga Krugman o Stiglitz sinceramente me da exactamente igual. Lo cierto es que obligar a Grecia a seguir en la eurozona es un error.
Partimos de la base de que no hay una solución buena para esto. Grecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre. A partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo. A Grecia esto no le va a salir gratis en ningún caso, esto está claro. Pero meter más pasta en Grecia como se pretende no es lógico.
Grecia no es ni nunca ha sido Ruanda. Es un país socialmente no muy distinto de España.El turismo en Grecia se enfrenta a un par de factores limitantes de importancia :
-Poner nueva planta en marcha son costes elevados en todo tipo de importaciones (el país casi no produce nada de la cadena de valor de la construcción salvo áridos y algunos otros materiales) y en infraestructuras pero además en despliegue del Estado en forma de cuerpos de seguridad, desaladoras, centrales de fuelóleo insulares, sanidad, etc. El país tiene muchas islas sin explotar y en buena medida es por esto.
-El turismo en si mismo es un generador de demanda de importaciones , lo que con una mierda de moneda se agrava al necesitar los importadores mucha solidez financiera (adiós a pagarés a meses vista rodables en forma de papel pelota, una costumbre también muy española).
Para la seguridad queda ver el impacto de la enorme inmigración de la última década si se da un largo periodo de insuficiencia de recursos. El estado griego , que se ha quedado en mínimos eb casi todos los capítulos, sigue manteniendo cierto nivel de subsidios y ayudas que junto con las pensiones mantienen la paz social .
Sí, pero no es deficitario. Decir que el turismo sufriría por tener una divisa más débil - como era sin ir más lejos su dracma - no tiene sentido.
Grecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre.¿Entonces que tenga superávit primario qué significa?
A partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo.Nunca olvidemos esto tampoco a la hora de asignar culpabilidades. O qué entidades (y nombres) ayudaron a engañar en las cuentas en su día. O que Syriza ha llegado ayer, es absurdo descalificarles a ellos como gobierno de la situación que están manejando.
El superávit primario no se ha sostenido lo suficiente para demostrar nada. No ha llegado al año y medio. Si retiras fondos de cohesión Grecia tendría que devaluar por lo menos un 15% (lo cual implica todos los salarios públicos y pensiones) para estar en una situación sostenible. Y claro, luego está la deuda.Grecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre.¿Entonces que tenga superávit primario qué significa?
Enlaza con lo que cuenta visi. Mi pregunta es ¿Cuántas de esas barbaridades siguen activas y cuántas han sido recortadas desde 2010? ¿Siguen los ferroviarios griegos cobrando 70K de media? Si siguieran así no entiendo cómo pueden estar en superávit.
CitarA partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo.Nunca olvidemos esto tampoco a la hora de asignar culpabilidades.
No me malentiendan; más que opinar, busco hacerme opinión. EL caso es que me resulta imposible tener una postura claramente "de un bando", por estas cuestiones.
En general no lo es pero hay que ver todos los efectos y su neto.
Por ejemplo del comercio exterior griego más del 35% son hidrocarburos . Es un mini hub regional del refinado y produce muchos más combustibles de los que consume . Pero toda esa actividad depende críticamente de la financiabilidad porque el valor añadido local es pequeño y con moneda débil esa ibdusteia podría pasarlo muy mal ya que su ventaja en costes nunca se debe a los salarios y el factor de escala a nivel regional es lo que le da competitividad (Tener El Pireo y el clusters naviero ayuda mucho ). Entonces a veces debilitar la.moneda destruye o perturba críticamente a muchos sectores que operan comprando insumos y añadiendo cierto valor
el turismo se abarata pero solamente en la proporción que en el representan los costes locales (avión y combustible no, y muchos costes de un resort moderno tampoco). Visto desde una perspectiva input-output determinado tipo de turismo aporta poco y otro mucho más. A SNB le encanta este tema.
El problema es que el Organismo de tutela, quien no lo quiere (o quien no lo quiso) son los UE-27.Tú sí sabes divertirte :)
Si nos limitamos a ver las cosas desde el punto de vista de los Estados, resulta que en grado mayor o menor, el modus operando de los gobiernos griego y UE-27 son el mismo. Pero si son Estados, son distintos, y ahí se acaba la comparación: no sabemos en qué ni a qué solución nos conduce esa constatación
...... el ajuste ya ha llegado casi al límite de lo posible.
Los cinco pasos de Grecia hasta consumarse el impago
Grecia impaga al FMI, los bancos no pueden soportar la retirada de liquidez (incluso con el corralito) y el país cae por el abismo antes del referéndum del domingo y necesita imprimir su propia divisa para sobrevivir. Este es un escenario que hasta el viernes tenía pocas posibilidades, ahora parece uno de los más probables. ¿Cuáles son los pasos técnicos de Grecia hacia el default?
1. No paga al FMI. Mañana vencen los casi 1.600 millones de euros que tiene que pagar este mes Grecia al organismo internacional y, todo parece indicar, que no podrá afrontar este vencimiento. Sin embargo, todavía no saltarán las alarmas: no será un impago inmediato, ya que, como la mayor parte de los bonos, tiene un periodo de gracia de 30 días para devolver el dinero. Si tampoco cumple en este plazo, entonces los dirigentes del FMI se podrán reunir para decidir si comunican oficialmente que el país no ha cumplido con sus obligaciones.
Un impago a la institución es grave, pero no tanto en el cortísimo plazo, ya que no se consideraría default técnico. El FMI tiene estatus de "acreedor oficial" (no privado) para las agencias de rating, por lo que ya han anunciado que no degradarán la calificación de Grecia al impago si no cumple con el organismo. "Un impago a un acreedor oficial constituye un motivo para rebajar la calificación a impago selectivo (?SD?), pero sí podría constituir un factor negativo en nuestro análisis", explica Standard & Poor's en su metodología. Las otras dos grandes, Moody's y Fitch, también dan el estatus de acreedor oficial al FMI, por lo que tampoco pondrían en defalut a Grecia.
No pagar al FMI no supone un problema inmediato, pero sí es una dificultad seria en unas semanas, ya que el organismo tiene estatus de acreedor prioritario. Esto significa que tiene derecho a cobrar su deuda por delante de otros acreedores, en otras palabras: Grecia no podría pagar un bono al sector privado sin antes cumplir con el FMI. La situación empieza a complicarse a partir de este punto.
2. No paga al BCE. El gran vencimiento de Grecia en julio son los más de 3.300 millones de euros que tiene que devolver al Banco Central Europeo el próximo día 20. Aquí los problemas se multiplican. La entidad europea tiene estatus de acreedor oficial para Fitch y S&P, por lo que un impago tampoco supondría que el país cae en defalut técnico. Moody's no tiene esta consideración, ya que considera que estos bonos potencialmente podrían volver al mercado si el BCE quisiera venderlos, por lo que sí pondría al país en impago técnico.
3. Acreedores privados. Un impago a los acreedores privados sí sería default unánime para las agencias de calificación. Hasta que el FMI declare al país en impago (y no sería antes de la primera semana de agosto) puede seguir pagando los vencimientos que tiene hasta entonces.
Entre los días 10 y 17 de julio tiene que devolver 3.000 millones de euros en letras a corto plazo que podrían resolverse como hasta ahora: Grecia sigue emitiendo deuda en los mercados, pero lo hace en tramos muy cortos y con subastas que están apalabradas con los bancos. Por ejemplo, las últimas seis emisiones que ha realizado el país en letras a 3 y 6 meses se firmaron a un tipo de interés del 2,97%. Es de esperar que siga siendo así en los siguientes vencimientos de letras y seguirá salvando esos escollos hasta donde sea posible.
4. ¿Cuándo se activan los CDS? Sin un acuerdo con las instituciones antes conocidas como troika, el camino de Grecia antes del colapso será muy corto. El país podría precipitarse al impago en julio o agosto, cuando venza el periodo de gracia del FMI y ya no pueda pagar sus otras obligaciones, ya que este organismo es acreedor preferente.
Sería cuestión de horas que se activasen los conocidos como seguros de impago, en su denominación técnica, permuta de incumplimiento financiero o credit default swap (CDS). Pero ¿quién determina cuándo se consuma el default y, por tanto, activa estos derivados? La institución encargada es la ISDA, siglas en inglés de Asociación Internacional de Swaps y Derivados, que es quien se encarga de regular y estandarizar este tipo de contratos que se producen OTC (fuera de los mercados regulados).
Para determinar un impago se reúne el comité responsable, en este caso, el Comité de Europa, y los miembros votarían cuándo activar los CDS. Con la reestructuración de la deuda de Grecia del año 2012, los socios europeos introdujeron una cláusula importante: la ISDA no puede activar los CDS si se produce un impago al FMI. Esto descarta que los seguros empiecen a funcionar esta misma semana.
Desde el estallido de la crisis, las entidades financieras han liquidado la gran mayoría de estos CDS por el gran volumen de riesgo que habían asumido, pero todavía quedan algunos en el mercado. En el momento que se apruebe el impago, las casas que comercializaron este producto financiero tendrán que asumir las pérdidas de los acreedores privados que los contratasen.
En el año 2012, tras la quita aplicada a la deuda helena con el segundo rescate, la ISDA activó los CDS que había contratados y las entidades tuvieron que asumir un pago de 3.000 millones de euros. Actualmente los bancos han limpiado su balance de este derivado, según confirman a elEconomista fuentes de mercado, sin embargo, un default total sería peor que una quita, ya que afecta a más títulos (la reestructuración de 2012 fue selectiva), por lo que el riesgo de que tengan que desembolsar una cantidad importante está sobre la mesa.
5. Cross default. Es una de las cláusulas más importantes cuando se produce un default. Consiste en que, en el caso de que se confirme un impago, los bonistas pueden reclamar de forma inmediata el pago de su bono (tanto el principal como los intereses) sea cual sea su fecha de vencimiento. Esta cláusula permite al inversor que su bono entre en el listado de acreedores pendientes de pago, los cuales cobrarán en función de su orden de preferencia y hasta donde llegue la liquidez del deudor, en este caso, Grecia. En otras palabras: los bonistas cobrarán en función de su orden de prelación como acreedores y no en función de la fecha de vencimiento de su bono.
Esta es una de las causas principales de que la curva de rentabilidades de la deuda griega esté invertida, esto es, el retorno de la deuda de corto plazo sea mucho mayor que la del largo (la deuda a dos años casi paga el triple de rentabilidad que la de 10 años: un 14,7% y un 38,4%respectivamente).
El cross default no provoca impago, sino que es consecuencia de éste, pero sí que dificulta mucho más el escenario de quiebra. Según el equipo de análisis de Barclays, "el impago al BCE en julio es muy posible que active el cross default; mientras que el impago al FMI es poco probable que ponga en marcha esta cláusula".
Grecia necesita una quita muy importante, pero no se la dan salvo si revienta su competitividad con más impuestos. En ese escenario es mejor quebrar por las bravas.
Habrá quiebra por las buenas o por las malas, por ahí no cambia mucho la cosa.
Yo pienso que mejor sería que bajaran pensiones sobre todo las de arriba, pero como no van a hacerlo esto es lo que hay.
Ojo que yo no defiendo a Syriza, son gentuza. Pero la UE sigue sin solucionar el problema. Al contrario, les ofrecen una agonía irremisible. No puedes negar que las medidas propuestas por la troika son muchas de ellas muy MUY lesivas para la economía griega.
Por mal que me parezca Syriza no puedo honestamente decir que coger la oferta de la troika sea razonable SIN QUITA NI RE-ESTRUCTURACIÓN. Grecia volvería a quebrar otra vez y volverían a sangrarles hasta los higadillos.
Aparte que es evidente que quieren forzar la caída del gobierno griego. O esto lo duda alguien? Syriza miente pero Juncker y Merkel mienten con aún más descaro. Te dicen que "no quieren condicionar el referendo democrático griego" y literalmente 2 minutos más tarde dicen "ojo que votar no es votar salir del euro". Yo puedo entender que quieran derrocar a Syriza pero el meado de cara es llamativo.
La dracma les funcionaba. No es cuestión de que se vayan al dólar de Zimbabue, Grecia tiene suficiente entidad para tener una moneda funcional.
La postura de Grecia es sencilla y clara. [...]??? ¿De donde sacas esta conclusión?
Quiere un acuerdo político donde Europa tome el control. Quiere una contabilidad común.
Es decir, está pidiendo la absorpción contable de la entidad estatal "Grecia" dentro del modelo contable de una entidad supra estatal denominada "Europa". Está pidiendo una construcción mediante creación/refundación de organismos supra-estatales.¿?
Y que esa solución sea común a todos los Estados : que no sólo Grecia (aunque sea la primera) sino todos los Estados miembro empiecen a reformarse en su escalon, y vayan dejando el control del continente a organismos genuinamente Europeos.
Grecia no es ni nunca ha sido Ruanda.Ucrania tampoco. Hay muchos grises antes del negro.
Grecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre. A partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo.¿Cual es la responsabilidad del amigo que te presta el dinero? Ninguna.
El modelo de pensiones galo es similar al griego.... y plantea los mismos problemas :biggrin:
[url]http://www.lepoint.fr/economie/retraites-la-france-et-la-grece-meme-epee-de-damocles-27-06-2015-1940408_28.php[/url] ([url]http://www.lepoint.fr/economie/retraites-la-france-et-la-grece-meme-epee-de-damocles-27-06-2015-1940408_28.php[/url])
(especial dedicado a Republik, si no lo conocía)
Grecia necesita una quita muy importante, pero no se la dan salvo si revienta su competitividad con más impuestos. En ese escenario es mejor quebrar por las bravas.
Habrá quiebra por las buenas o por las malas, por ahí no cambia mucho la cosa.
Yo pienso que mejor sería que bajaran pensiones sobre todo las de arriba, pero como no van a hacerlo esto es lo que hay.
Ojo que yo no defiendo a Syriza, son gentuza. Pero la UE sigue sin solucionar el problema. Al contrario, les ofrecen una agonía irremisible. No puedes negar que las medidas propuestas por la troika son muchas de ellas muy MUY lesivas para la economía griega.
Por mal que me parezca Syriza no puedo honestamente decir que coger la oferta de la troika sea razonable SIN QUITA NI RE-ESTRUCTURACIÓN. Grecia volvería a quebrar otra vez y volverían a sangrarles hasta los higadillos.
Aparte que es evidente que quieren forzar la caída del gobierno griego. O esto lo duda alguien? Syriza miente pero Juncker y Merkel mienten con aún más descaro. Te dicen que "no quieren condicionar el referendo democrático griego" y literalmente 2 minutos más tarde dicen "ojo que votar no es votar salir del euro". Yo puedo entender que quieran derrocar a Syriza pero el meado de cara es llamativo.
Es lo que toca, recuerden:
"Cuando las cosas se ponen serias, hace falta mentir" Jean Claude Juncker
La dracma les funcionaba. No es cuestión de que se vayan al dólar de Zimbabue, Grecia tiene suficiente entidad para tener una moneda funcional.
Segun los tratados de la union Grecia ni puede salirse del euro, ni se la puede expulsar ni puede crear una nueva moneda.
Qué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
- La crisis griega empezó ya siendo de deuda pública, al contrario que la española. De ahí ese punto incómodo que señala una noticia anterior de este hilo: " la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos."
- En Grecia no se pagan impuestos. Es una generalización, pero es la generalización más ajustada a la realidad. Y sin pagar impuestos, porque ha habido siempre un fraude descomunal, han tenido unos gastos brutales. Mientras prestamistas extranjeros les han dejado dinero (o mientras han engañado a sus socios europeos haceindo que invertían fondos en lugar de dilapidarlos), bien. Cuando se han acabado los préstamos, se ha acabado el cuento. En los años del boom, salir por Atenas costaba prácticamente lo mismo que salir por Helsinki. Y ya ven a qué años se jubilan y con qué pensiones.
- Están en la mierda porque se lo han buscado. Tsipras y Varoufakis son unos demagogos que le han prometido lo imposible a la MN griega. Tsipras y Varoufakis se han jugado todas las cartas en la negociación a que "aunque soy pequeño, soy crítico, soy "too small to fail", y puedo ser el detonante de la ruptura de la UE y el proyecto euro, así que callaos la puta boca 27 euro-compis y seguid financiándome, porque mis gastos y mis pensionazas son in-to-ca-bles, ¿capisci?" Y ahí estamos.
- Grecia va de faroulakis. Grecia sin euro y/o fuera de la UE es Ruanda. Los griegos pueden estar muuuucho peor.
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
- Grecia le debe dinero a España. ¿Queremos más a los ancianos griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. ¿Queremos más a los estudiantes griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. Si no, reflexionemos un poco.
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
Qué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
- La crisis griega empezó ya siendo de deuda pública, al contrario que la española. De ahí ese punto incómodo que señala una noticia anterior de este hilo: " la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos."
- En Grecia no se pagan impuestos. Es una generalización, pero es la generalización más ajustada a la realidad. Y sin pagar impuestos, porque ha habido siempre un fraude descomunal, han tenido unos gastos brutales. Mientras prestamistas extranjeros les han dejado dinero (o mientras han engañado a sus socios europeos haceindo que invertían fondos en lugar de dilapidarlos), bien. Cuando se han acabado los préstamos, se ha acabado el cuento. En los años del boom, salir por Atenas costaba prácticamente lo mismo que salir por Helsinki. Y ya ven a qué años se jubilan y con qué pensiones.
- Están en la mierda porque se lo han buscado. Tsipras y Varoufakis son unos demagogos que le han prometido lo imposible a la MN griega. Tsipras y Varoufakis se han jugado todas las cartas en la negociación a que "aunque soy pequeño, soy crítico, soy "too small to fail", y puedo ser el detonante de la ruptura de la UE y el proyecto euro, así que callaos la puta boca 27 euro-compis y seguid financiándome, porque mis gastos y mis pensionazas son in-to-ca-bles, ¿capisci?" Y ahí estamos.
- Grecia va de faroulakis. Grecia sin euro y/o fuera de la UE es Ruanda. Los griegos pueden estar muuuucho peor.
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
- Grecia le debe dinero a España. ¿Queremos más a los ancianos griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. ¿Queremos más a los estudiantes griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. Si no, reflexionemos un poco.
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
A sus pies. No podría haber sintetizado mejor lo que pienso de este tema.
Por motivos laborales/estudiantiles, coincidí durante casi dos años con dos médicos y un abogado griegos en UK y centroeuropa. Eran un encanto de gente y ellos mismos se cachondeaban de su país y de que todo el mundo pareciera montado en un tiovivo de fantasía económica.
El abogado me contaba que hizo sus prácticas en un despacho de Atenas de los grandes y se las habían ingeniado para no pagar un solo euro en impuestos. Los dos médicos, casi lo mismo; habían trabajado en consultas privadas de dos médicos de renombre atenienses. Allí declaraban el mínimo para que no fuese más descarado todavía. Estamos hablando de consultas de 150-200€ por paciente/visita y con suerte declaraban 50-100€ al día. Ni que decir tiene que tenían más de un paciente diario en las consultas.
Ellos se habían alargado por una mezcla de previsión (esto no puede durar eternamente) y porque esta situación engendra un sistema pervertido en el que no es posible ascender profesionalmente.
Bueno pues como en burbuja no me hacen caso, me traigo mi juguete aquí.
([url]http://www.infodata.ilsole24ore.com/wp-content/uploads/sites/82/2015/02/Esposizione-banche.png[/url])
[url]http://www.infodata.ilsole24ore.com/2015/02/18/lesposizione-di-banche-e-stati-europei-verso-la-grecia/[/url] ([url]http://www.infodata.ilsole24ore.com/2015/02/18/lesposizione-di-banche-e-stati-europei-verso-la-grecia/[/url])
Recapitulemos:
...
Es cuando nace el segundo plan de rescate. Donde la UME se hace con la deuda privada de los acreedores (cuya contrapartida es una sustancial quita). Más que para salvar a los ahorradores franceses y alemanes, está para "ayudar" a Grecia.
...
CitarGrecia no es ni nunca ha sido Ruanda.Ucrania tampoco. Hay muchos grises antes del negro.
CitarGrecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre. A partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo.¿Cual es la responsabilidad del amigo que te presta el dinero? Ninguna.
Tratar de plantearlo en términos de igual a igual es totalmente irrelevante, porque no hay una relación de igualdad ni la va a haber. Deudor-Acreedor son términos antagónicos.
Hay un contrato que "habría" que cumplir.
Y si no se cumple tu credibilidad (esta vez como país) se va a garete.
Es simplemente eso. Perder otros 50 años en términos sociales y económicos.
Pobres griegos.
[...]
Yo no creo que Syriza sean gentuza, simplemente no quieren pagar. Pero en qué situación quedaría el resto de la Eurozona.
Tsipras se ha equivocado gravemente (suponiendo no sea todo un teatrillo, que no lo descarto.) La prueba:
Los demás también pueden convocar referendums.
Yo lo que no entiendo, es como se ha permitido tal desbarajuste a Grecia. Y no me sirve la excusa de que mentían, ni mucho menos, para eso existen miles de técnicos capaces de analizar el funcionamiento de una economía.
La cuestión es que han vivido durante décadas por encima de su nivel y nadie dijo nada.
[...]
Yo no creo que Syriza sean gentuza, simplemente no quieren pagar. Pero en qué situación quedaría el resto de la Eurozona.
Tsipras se ha equivocado gravemente (suponiendo no sea todo un teatrillo, que no lo descarto.) La prueba:
Los demás también pueden convocar referendums.
Tsipras cuenta con que los demás no tenemos los cojones necesarios para eso. Y yo creo que en eso concretamente está en lo cierto. :troll:
En cualquier caso, Tsipras estará mucho mejor fuera del gobierno que gobernando saltándose todas sus promesas. En Grecia te crucifican por eso. De hecho a Varoufakis ya casi le parten la cara más de una vez.
CitarGrecia no es ni nunca ha sido Ruanda.Ucrania tampoco. Hay muchos grises antes del negro.
Esto es en respuesta a visi que dijeron literalmente que si se salen del euro son Ruanda :biggrin: y España sería entonces Burundi. :troll:CitarGrecia es insolvente. Lo lógico es que quiebre. A partir de ahí que cada uno apechugue con su parte de responsabilidad, también por prestar dinero a un Estado clarísimamente insolvente en el momento en que se hizo.¿Cual es la responsabilidad del amigo que te presta el dinero? Ninguna.
Tratar de plantearlo en términos de igual a igual es totalmente irrelevante, porque no hay una relación de igualdad ni la va a haber. Deudor-Acreedor son términos antagónicos.
Hay un contrato que "habría" que cumplir.
Y si no se cumple tu credibilidad (esta vez como país) se va a garete.
Es simplemente eso. Perder otros 50 años en términos sociales y económicos.
Pobres griegos.
Jajaja sí, un "amigo" que te presta pasta. Lo mismo.
Respecto a lo de la responsabilidad de los acreedores, también te lo pueden explicar los alemanes que tienen su historia de repudiar deuda. :troll:
Aquí no hay buenos ni malos. Pero honestamente, quien diga que el eurogrupo no está intentando por todos los medios que Syriza caiga, es que no tiene ni idea. Hay que ser objetivo con estas cosas. Por un lado Syriza se columpia cuando dice que votar que "no" y seguir en el euro está garantizao. Todos sabemos que si el eurogrupo entero se lo propone como es el caso, no hay límites para el griego que les pueden hacer a Grecia, ponga lo que ponga en los tratados. Por otro lado no les han ofrecido una solución viable. Les ofrecen un "si eres bueno ya veremos si te hago una quita" para seguir apretándoles las tuercas ad kalendas Graecas.
La promesa de Syriza de no bajar ni un céntimo las pensiones es suficiente para que sean inviables en la mesa de negociaciones con el eurogrupo, eso también es cierto. Tienes muchos países con pensiones estatales mucho más bajas que Grecia que estarían pagando rescate. Entre ellos Alemania y el Reino Unido si consideramos la edad de jubilación prorrateada y la renta per cápita. Eso es absurdo. Hasta ahí de acuerdo. Pero un plan que no incluya rebajar la deuda y dar un margen de recuperación significa que a todo lo que se les apriete ahora se les añadirá nuevas medidas en poco tiempo y esta incertidumbre es inasumible.
El referendum puede tumbar a Syriza o sacar a Grecia del euro. Ambas cosas me parecen mejor que mantener el impás indefinidamente. Tanto para España, como para la UE, como para Grecia.
Qué de vueltas se le dan a las cosas en la histeria mediática del momento, cuando se han comentado hace años:
- Grecia no es un pobrecito país arrinconado por los lobos centroeuropeos. Grecia ha logrado quebrar robándose a sí misma. Quien no haya vivido ni trabajado allí, no sabe lo que se hacía y se hace en Grecia. Grecia es España al cubo. "Picaresca" es un término irrisorio.
- La crisis griega empezó ya siendo de deuda pública, al contrario que la española. De ahí ese punto incómodo que señala una noticia anterior de este hilo: " la quiebra de la banca fue responsabilidad directa del Estado heleno, no al revés. Las entidades financieras se cargaron de deuda pública helena durante los años de la burbuja para financiar el enorme y suntuoso gasto de los distintos gobiernos."
- En Grecia no se pagan impuestos. Es una generalización, pero es la generalización más ajustada a la realidad. Y sin pagar impuestos, porque ha habido siempre un fraude descomunal, han tenido unos gastos brutales. Mientras prestamistas extranjeros les han dejado dinero (o mientras han engañado a sus socios europeos haceindo que invertían fondos en lugar de dilapidarlos), bien. Cuando se han acabado los préstamos, se ha acabado el cuento. En los años del boom, salir por Atenas costaba prácticamente lo mismo que salir por Helsinki. Y ya ven a qué años se jubilan y con qué pensiones.
- Están en la mierda porque se lo han buscado. Tsipras y Varoufakis son unos demagogos que le han prometido lo imposible a la MN griega. Tsipras y Varoufakis se han jugado todas las cartas en la negociación a que "aunque soy pequeño, soy crítico, soy "too small to fail", y puedo ser el detonante de la ruptura de la UE y el proyecto euro, así que callaos la puta boca 27 euro-compis y seguid financiándome, porque mis gastos y mis pensionazas son in-to-ca-bles, ¿capisci?" Y ahí estamos.
- Grecia va de faroulakis. Grecia sin euro y/o fuera de la UE es Ruanda. Los griegos pueden estar muuuucho peor.
- ¿Creéis (y creen) que Putin es tonto y va a financiarles el cachondeo? ¿Creéis de verdad que Putin es más tonto que los UE-27?
- Grecia le debe dinero a España. ¿Queremos más a los ancianos griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. ¿Queremos más a los estudiantes griegos que a los españoles? Sigamos yendo de guays. Si no, reflexionemos un poco.
- Krugman canta (erecto) la ruptura de la UE porque entonces sí que nos harían el TTIP uno a uno, y ríete de Puerto Rico.
Pues yo creo que sí. Precisamente porque son los estados (respaldados por los contribuyentes) los tenedores de la deuda.
No pueden pagar, al igual que nosotros y no quiero que sean mis esclavos, ni ser esclavo de nadie, quiebra, fuera de la UE, y nos apañaremos como podamos.
Tanta culpa tiene el supuestamente pícaro, como el supuestamente ingenuo, porque ninguno de los dos lo es en su totalidad.
El problema es que el rescate griego se planeó para poner un coste medio de la deuda tan bajo como fuera posible, y salvando el caso de Alemania (espectacular, con más del 70% del PIB como deuda está pagando el 1% del PIB en inereses), nadie en Europa tiene la deuda más barata que los helenos.
Entonces, o la quita es absolutamente masiva (120 puntos de PIB), o ni se nota en la carga financiera, que por otra parte tampoco quedaría bien mantener reprimida si se hace una quita. Y volvemos al punto de partida porque el 3,5% del PIB en intereses es fácil que toque pagarlo incluso con una deuda pequeña siempre que la prima de riesgo se mantenga elevada porque se abandonen los mecanismos de represión. Lo difícil de vender a los rescatadores es mantener la represión y reducir enormemente el saldo deudor. Es un regalo.
M plan consistiría en que el propio mecanismo europeo de rescate se haga cargo de las amortizaciones y refinancie baratos los vencimientos de la deuda a corto siempre que se cumpla con el calendario de intereses y se persiga un presupuesto equilibrado (y el fraude fiscal) y una estructura impositiva lógica. Esto se haría bien siempre que el crecimiento económico no alcance nominalmente el 3,5%, bien durante un plazo (10-12-15 años) durante el cual irían surtiendo efecto los cambios en la fiscalidad y ya sería sostenible el calendario de amortizaciones con el superávit primario que se lograría.
Recortes ya digo que solamente caben en pensiones y pensando a plazo, acabando con retiros anticipados y acercando lo percibido a lo aiportado, esfuerzo que Alemania ha hecho con sus relativamente recientes reformas que han dejado muy mermadas sus pensiones.
En el ingreso sí se puede hacer algo más con la fiscalidad inmobiliaria, el IVA reclasificado y más presión en el IRPF y la inspección de trabajo, pero seguramente, si mejorase, habría que plantearse rebajas en las cotizaciones sociales, que son altísimas en Grecia.
No puedo estar mas de acuerdo con Visi.
Y por ende, más en desacuerdo con Saturno.La postura de Grecia es sencilla y clara. [...]??? ¿De donde sacas esta conclusión?
Quiere un acuerdo político donde Europa tome el control. Quiere una contabilidad común.
El problema es que el rescate griego se planeó para poner un coste medio de la deuda tan bajo como fuera posible, y salvando el caso de Alemania (espectacular, con más del 70% del PIB como deuda está pagando el 1% del PIB en inereses), nadie en Europa tiene la deuda más barata que los helenos.
Entonces, o la quita es absolutamente masiva (120 puntos de PIB), o ni se nota en la carga financiera, que por otra parte tampoco quedaría bien mantener reprimida si se hace una quita. Y volvemos al punto de partida porque el 3,5% del PIB en intereses es fácil que toque pagarlo incluso con una deuda pequeña siempre que la prima de riesgo se mantenga elevada porque se abandonen los mecanismos de represión. Lo difícil de vender a los rescatadores es mantener la represión y reducir enormemente el saldo deudor. Es un regalo.
M plan consistiría en que el propio mecanismo europeo de rescate se haga cargo de las amortizaciones y refinancie baratos los vencimientos de la deuda a corto siempre que se cumpla con el calendario de intereses y se persiga un presupuesto equilibrado (y el fraude fiscal) y una estructura impositiva lógica. Esto se haría bien siempre que el crecimiento económico no alcance nominalmente el 3,5%, bien durante un plazo (10-12-15 años) durante el cual irían surtiendo efecto los cambios en la fiscalidad y ya sería sostenible el calendario de amortizaciones con el superávit primario que se lograría.
Recortes ya digo que solamente caben en pensiones y pensando a plazo, acabando con retiros anticipados y acercando lo percibido a lo aiportado, esfuerzo que Alemania ha hecho con sus relativamente recientes reformas que han dejado muy mermadas sus pensiones.
En el ingreso sí se puede hacer algo más con la fiscalidad inmobiliaria, el IVA reclasificado y más presión en el IRPF y la inspección de trabajo, pero seguramente, si mejorase, habría que plantearse rebajas en las cotizaciones sociales, que son altísimas en Grecia.
Estás mirando al coste medio de la deuda pero esto ahora no es el problema. Son los vencimientos de los próximos meses y los próximos años los que no pueden asumir. Los vencimientos dentro de 10 ó 15 años o más, esos son los que bajan el coste medio.
Por eso los griegos quieren una restructuración más que una quita (que también).
Esto lo saben ambas partes y hablar ahora de los intereses de las emisiones a 20 años hechas recientemente pues es jugar a las estadísticas. Grecia no puede pagar de entrada este mes ni el que viene, de ahí el "Mexican stand-off" que se marcan estos ahora porque es la oportunidad para tumbar a Syriza.
Hasta ahora nadie me ha respondido si cree o no cree que el eurogrupo quiere tumbar el gobierno de Syriza. En mi opinión es evidente que sí.
Hasta ahora nadie me ha respondido si cree o no cree que el eurogrupo quiere tumbar el gobierno de Syriza. En mi opinión es evidente que sí.
Hasta ahora nadie me ha respondido si cree o no cree que el eurogrupo quiere tumbar el gobierno de Syriza. En mi opinión es evidente que sí.
En mi opinión es evidente que no.
Nadie parece reparar en que no hay voces discordantes frente a Grecia. No es sólo el FMI o el BCE, es que hay 27 (ni tres ni seis, ¡veintisiete!) Estados Soberanos que flipan con Grecia y están cabreadísimos con el Gobierno griego: los alemanes, los españoles, los holandeses, los estonios... ¿De verdad quieren ustedes creer que se equivocan 27 gobiernos, cada uno de su padre y de su madre, y tiene la razón el griego?
Lo que ocurre es que la posición de Syriza es insostenible por definición. El margen de negociación verdadero que tienen, no lo pueden utilizar, porque ganaron las elecciones y están en el gobierno con la cantinela "democrática" (que es en realidad demagógica). Lo que podrían ceder para ganar otra cosa a cambio, no lo pueden ceder porque quedan de "vendidos" ante su electorado (al que han inflamado de patrioterismo). Ellos mismos se han puesto en jaque mate desde el día 1, y sólo les queda jugar a la tragedia griega del todo o nada: o logran todo lo que quieren (que es bastante inviable) o son machacados (pero pueden volver a casa magullados y derrotados por los cerdos extranjeros - como todo buen demagogo ultranacionalista - pero con el orgullo patrio intacto, ante el aplauso de los suyos).
La cuna de la democracia es hoy la cuna de la demagogia. ¡Valiente servicio están haciendo al pueblo griego!
No pueden pagar, al igual que nosotros y no quiero que sean mis esclavos, ni ser esclavo de nadie, quiebra, fuera de la UE, y nos apañaremos como podamos.
Tanta culpa tiene el supuestamente pícaro, como el supuestamente ingenuo, porque ninguno de los dos lo es en su totalidad.
O quiebra y dentro de la UE, que nada dice que tengan que salir de la UE por quebrar.
Y nadie en su sano juicio quiere que los griegos las pasen putas de verdad (y menos nosotras que tenemos buenos amigos allí).
Pero si quiebras y te rescatamos (¿eurobonos?) entonces tu política fiscal la marcamos nosotros, tus impuestos los recaudamos nosotros, tu banca nacional la gestionamos nosotros, etc.
Lo verdaderamente ingenuo es dejar que el pícaro que impaga por pegarse la vida padre siga gestionando. Eso es cachondeo y barra libre del dinero de los demás (el nuestro).
Ya, esos vencimientos son una trampa que se dejó puesta precisamente para vigilar el cumplimiento del programa año a año y usarlos como elemento de presión. Hay que liberarlos pero con alguna condición y la reforma de las pensiones debería ser suficiente para que se aliviara esa carga, que es la misma para todos (es la parte a corto de al deuda que rueda de año en año pero siempre está ahi, Espàña también la tiene).
Lo difícil es ponerse de acuerdo en el límite de la insostenibilidad técnica de al deuda teniendo el ejemplo, tampoco maravilloso, de Italia, que se ha permitido pasar un cuarto de siglo con la deuda entre el 100 y el 135% del PIB y la carga de intereses siempre por encima del 4% y superando el 9% a veces. Si estos han ido -de momento- saliendo del agujero, aunque haya diferencias, se les puede tomar como referencia.
Una cosa no quita la otra. La posición de Syriza es insostenible. La del eurogrupo, también.
Greece has threatened to seek a court injunction against the EU institutions, both to block the country's expulsion from the euro and to halt asphyxiation of the banking system.
“The Greek government will make use of all our legal rights,” said the finance minister, Yanis Varoufakis.
“We are taking advice and will certainly consider an injunction at the European Court of Justice. The EU treaties make no provision for euro exit and we refuse to accept it. Our membership is not negotiable,“ he told the Telegraph.
Ya, esos vencimientos son una trampa que se dejó puesta precisamente para vigilar el cumplimiento del programa año a año y usarlos como elemento de presión. Hay que liberarlos pero con alguna condición y la reforma de las pensiones debería ser suficiente para que se aliviara esa carga, que es la misma para todos (es la parte a corto de al deuda que rueda de año en año pero siempre está ahi, Espàña también la tiene).
Lo difícil es ponerse de acuerdo en el límite de la insostenibilidad técnica de al deuda teniendo el ejemplo, tampoco maravilloso, de Italia, que se ha permitido pasar un cuarto de siglo con la deuda entre el 100 y el 135% del PIB y la carga de intereses siempre por encima del 4% y superando el 9% a veces. Si estos han ido -de momento- saliendo del agujero, aunque haya diferencias, se les puede tomar como referencia.
Son una herramienta de coacción que por la cuenta que nos trae no deberíamos apoyar.
Ya sé que siendo España como es, muchos preferimos que nos gobierne Juncker y Merkel. Pero ojito con eso, que sus intereses y los nuestros no siempre van a ir de la mano.
Prefiero una UE sin tanta mafia y sin ese afán de gobernar todos los países sin representación a través de la deuda. Creo que hay que poner unos límites a la integración en ese particular. La eurozona tal como funciona ahora mismo va en contra de los intereses de muchos países incluído el nuestro. Somos como el pavo que vota por que haya Navidad.
¿quién presta una morterada impresionante de dinero sin control, sabiendo que es un perfecto caldo de cultivo para el engorde de la corrupción ya presente en nuestros paises?¿Neo-esclavismo al deudor?¿Lo dices o lo preguntas?
Los cojones, ahí arriba tienes el gráfico, estaba ya quebrada y en vez de asumir unos y otros la quiebra, pasamos a socialización de pérdidas, que paguen los tontos de siempre.
Llegó la hora de decir basta.
Me temo que ahí se quedará porque tener una curva de tipos y un calendario escalonado de vencimientos con sus tensiones a corto conviene a todos los paticipantes en los mercados de deuda, incluso a los estados aunque no siempre a sus gobernantes. Es un elemento disciplinador que hay que manejar con cuidado, pero si lo eliminamos tenemos creados los incentivos para hacer locuras con el presupuesto y ya que paguen otros dentro de varias décadas.
What will happen next?
01:00 Greek time Wednesday (22:00 GMT): Greece's €1.6bn repayment to the IMF is due.
5 July - the referendum on creditors' proposals, and many say Greece's membership of the eurozone, takes place
20 July - Greece must redeem €3.46bn of bonds held by the European Central Bank. If it fails to do so, the ECB can cut off Greece's access to emergency loans.
O quiebra y dentro de la UE, que nada dice que tengan que salir de la UE por quebrar.
Y nadie en su sano juicio quiere que los griegos las pasen putas de verdad (y menos nosotras que tenemos buenos amigos allí).
Pero si quiebras y te rescatamos (¿eurobonos?) entonces tu política fiscal la marcamos nosotros, tus impuestos los recaudamos nosotros, tu banca nacional la gestionamos nosotros, etc.
Para tomar el control del presupuesto/administración fiscal del país, se necesitan instrumentos de construccion política que no existen.
¿Que los engañaron?
Pues haber espabilao joder, que para eso hay que tener 18 años para ir a las urnas.
Les/Nos han dado una soga y se la han puesto solitos. AVES, aeropuertos, F1...
Se habla de que "los bancos prestaban". Lógico, para regalar está Cáritas Diocesana.
Lo que pasa que mientras unos se lo gastaban ladrillos, putas y droga otras regiones montaban polos tecnológicos.
"La oficina del primer ministro ha dicho a Bruselas que está evaluando la nueva propuesta de ayer del presidente de la Comisión Europea, que incluye una reestructuración de la deuda en octubre", cita el periódico, según recoge Reuters.
Según cincodías:Citar"La oficina del primer ministro ha dicho a Bruselas que está evaluando la nueva propuesta de ayer del presidente de la Comisión Europea, que incluye una reestructuración de la deuda en octubre", cita el periódico, según recoge Reuters.
[url]http://cincodias.com/cincodias/2015/06/30/mercados/1435658684_652114.html[/url] ([url]http://cincodias.com/cincodias/2015/06/30/mercados/1435658684_652114.html[/url])
Pero el artículo en conjunto es un despropósito y parece que busca confundir.
Para tomar el control del presupuesto/administración fiscal del país, se necesitan instrumentos de construccion política que no existen.
Coincido en eso, pero no creo que Syriza los esté reclamando.
Vale que la UE se creó asi, sin cesiones directas de soberanía.
Digamos que eramos jóvenes y eran otros tiempos. Ahora es lo que hay.
Grecia hace bien en acudir a los tribunales.
Y le darán la razón, no digo que no.
El "problema" es que eso no hará que los acreedores le presten más dinero.
Y eso, en un país importador con dirigentes demasiado orgullosos para reconocer su posición en la partida, es un problema importante.
Si separamos el problema legal (que lo hay) del económico (que lo hay), lo hacemos para lo bueno y para lo malo con todas las consecuencias.
¿Quien va a prestarle dinero al gobierno griego?
Por suerte los acreedores son mayormente europeos.
Repito: Fuera de "occidente" hay 3.000.000 millones de personas que viven bajo el umbral de la pobreza y A NADIE LE IMPORTA. 20 millones de griegos más son apenas una gota en un océano.
En Syriza tiene que haber alguien con dos dedos de frente que sea capaz de ver esto en su loca carrera por probar la teoría de la gallina.
¿Tendrán los líderes europeos el coraje de asumir un incumplimiento del pago de Grecia? Probablemente no, porque las consecuencias son bastante impredecibles[8]. Pero existe otra solución normal, tal como menciona Varoufakis: que el MEE (que fue creado para esto) adelante el dinero que Grecia debe al FMI[9]. No incumplimiento de pago, solidaridad europea y un derrocamiento del FMI (ya que estos últimos serían reembolsados totalmente): hay muchas ventajas en esta solución. Esto incluso satisface al FMI, porque entiende claramente que todo el mundo está en el mismo barco y que es mejor ser reembolsados por Europa que continuar vertiendo gasolina sobre las llamas y arriesgar todo el sistema financiero hasta que explote. Y luego, imaginemos por un segundo el mensaje que una denegación de reembolso griega al FMI enviaría a todos los deudores de esta institución. ¿El FMI prevé realmente llevar hasta los límites su lógica? ¿O no es esto, como hemos pensado durante varios meses, sólo un espectáculo entre los jugadores que tienen interés en el cambio y para eso necesitan una situación de extrema tensión que justifique sus movimientos?
La solución de Varoufakis es indudablemente el compromiso adecuado. Pero si realmente no se puede aplicar, hay otro, más violento e impredecible, pero con el mismo potencial para terminar la crisis.
Exacto, no nos engañaron, los alemanes hicieron negocio.El negocio también lo hizo el español, con DNI español, propietario de una vivienda española amortizada ya 2 veces, el cual se la vendió a una parejita de jóvenes por 200.000€
Nos prestaron el dinero que ellos necesitaban esterilizar para mantener el Euro bajo y proteger sus exportaciones y al mismo tiempo con ese dinero les comprabamos BMWs y Cayenes.Puers no haberlo hecho!!! ;D
Exacto, no nos engañaron, los alemanes hicieron negocio.El negocio también lo hizo el español, con DNI español, propietario de una vivienda española amortizada ya 2 veces, el cual se la vendió a una parejita de jóvenes por 200.000€
El negocio lo hace cada mes mi casero ESPAÑOL que cada 30 días le meto POR ADELANTADO el equivalente al sueldo de un trabajador, que por supuesto seguirá en el paro.
Decir que los alemanes hicieron negocio es decir nada, amigo juancoco.
El dinero del BCE está para quien lo quiera coger.
Lo cogieron ellos y lo cogimos nosotros.CitarNos prestaron el dinero que ellos necesitaban esterilizar para mantener el Euro bajo y proteger sus exportaciones y al mismo tiempo con ese dinero les comprabamos BMWs y Cayenes.Puers no haberlo hecho!!! ;D
La gente tiene que hacerse responsable de sus actos.
Ya, esos vencimientos son una trampa que se dejó puesta precisamente para vigilar el cumplimiento del programa año a año y usarlos como elemento de presión. Hay que liberarlos pero con alguna condición y la reforma de las pensiones debería ser suficiente para que se aliviara esa carga, que es la misma para todos (es la parte a corto de al deuda que rueda de año en año pero siempre está ahi, Espàña también la tiene).
Lo difícil es ponerse de acuerdo en el límite de la insostenibilidad técnica de al deuda teniendo el ejemplo, tampoco maravilloso, de Italia, que se ha permitido pasar un cuarto de siglo con la deuda entre el 100 y el 135% del PIB y la carga de intereses siempre por encima del 4% y superando el 9% a veces. Si estos han ido -de momento- saliendo del agujero, aunque haya diferencias, se les puede tomar como referencia.
Son una herramienta de coacción que por la cuenta que nos trae no deberíamos apoyar.
Ya sé que siendo España como es, muchos preferimos que nos gobierne Juncker y Merkel. Pero ojito con eso, que sus intereses y los nuestros no siempre van a ir de la mano.
Prefiero una UE sin tanta mafia y sin ese afán de gobernar todos los países sin representación a través de la deuda. Creo que hay que poner unos límites a la integración en ese particular. La eurozona tal como funciona ahora mismo va en contra de los intereses de muchos países incluído el nuestro. Somos como el pavo que vota por que haya Navidad.
Me temo que ahí se quedará porque tener una curva de tipos y un calendario escalonado de vencimientos con sus tensiones a corto conviene a todos los paticipantes en los mercados de deuda, incluso a los estados aunque no siempre a sus gobernantes. Es un elemento disciplinador que hay que manejar con cuidado, pero si lo eliminamos tenemos creados los incentivos para hacer locuras con el presupuesto y ya que paguen otros dentro de varias décadas.
Es que es alucinante como intentan proteger modelos económicos que no funcionan. Al parecer el desacuerdo es debido al IVA turístico que es del 13% y el Euro-core lo quiere en el 23%.
De acuerdo a la lógica económica el tipo de IVA turístico debería ser muchísimo mayor que el tipo general. Me explico.
España recibió 60 millones de turistas en 2014 con un pico de 9 millones en Agosto, esto hace que el país para mantener esta actividad tenga que dimensionar todos los servicios públicos: redes de agua, electricidad, sanidad, policía, drenajes, carreteras, aeropuertos, etc,etc en lugar de para 45 millones para 10 millones más. Teóricamente el país tiene que sobredimensionar sus redes de servicios en un 20% para acomodar esto y debería de ser el sector turismo quien soportara el gasto...vía IVA.
El tipo de IVA aplicado en España al turismo es del 10%, menos de la mitad del tipo general.
¿ Subvención escondida a sector improductivo ?......nooo que va.
¿ Que tanto turismo habría en España si soportase el IVA (¿ 30-40% ? habría que calcularlo) que de verdad tendría que soportar la actividad ?.
Y todo esto para generar empleos temporales de camarero, azafata, guías y chóferes.
Es que el sector ni siquiera tiene control de sus precios, se los imponen desde fuera los tour operadores mayoristas.
¿ PERO QUE COÑO DE SECTOR ECONÓMICO ES ESTO ?.
Por poner un ejemplo, toda la alharaca del turismo en España representa el 10% del PIB y emplea unos 5 millones de personas. Las 17 plantas de automóviles existentes en España también generan el 10% del PIB y emplean de forma directa a 300.000 personas, de forma indirecta emplea unos 2 millones.
Ahí es nada.
Mi sobrino de 19 años ha sido seleccionado por SEAT para trabajar en la línea de producción, ganará 1350 Euros netos por mes en 14 pagas. Si su novia consiguiese un empleo similar ya se podrían independizar y vivir su vida....como en los países del norte. Aquí ya vemos lo que hay.
Asunto: ULTIMOS DESARROLLOS EN GRECIA:
Salia en la prensa griega que ha habido suficientes concesiones por parte de las Instituciones en algunos puntos criticos relacionados con el ‘debt relief’ y que estos pueden sentar ya bases para un deal :
- Ahora si que es claro que las diferencias principales no son en las medidas de politica monetaria donde el gap entre las dos partes es verdad se ha ido reduciendo dia tras dia durante la ultima semana, pero las cuestiones relativas al financing y al debt relief del pais son las claves.
No se ha mencionado la Fuente, y esto no ha sido confirmado por ningun miembro de Syriza, por lo tanto estas filtraciones que hace la prensa creo haya que tomarlas con papel de fumar… sobre todo viendo el desarrollo que hemos tenido de escenarios anteriores.
En cualquier caso, dado que los parlamentarios de Syriza el propio Tsipras han recoconocido abiertamente que el referendum forma parte de sus tacticas de negociacion, podriamos decir que hay dos posibilidades :
i) O bien pensaron que las Instituciones recularian y vendrian con una mejor propuesta o
ii) Verdaderamente piensan que si sale el "No" como resultado de referendum tendran mayor poder de negociacion entonces.
Por supuesto que la opcion (i) era la preferida, toda vez que podria haber pasado sin imponer control de capitales y cierre de los bancos. Pero ahora con este control de capitales y mucha agonia entre la poblacion griega, y algunos parlamentarios de Syriza tambien (pro-europa), si nada pasa hoy, es de esperar que estos MPs de Syriza vayan a empezar a ponerse MUY MUY nerviosos.
Las instituciones hoy tampoco han "pestañeado" lo que hace pensar que no ‘pestañearan’ tampoco si el resultado del referendum es un "No". Y este es el motivo por el que por primera vez la prensa Helena se hacia eco de un desacuerdo interno dentro de Syriza en este sentido, especialmente contra Varoufakis.
- Si no hay deal hoy, entonces Tsipras estara de verdad entre la espeda y la pared, porque un "No" le pone otra vez en la casilla de salida, despues de todo lo avanzado y negociado (concesiones conseguidas). Y encima tiene que defender todavia el mandato de un no al Grexit, que es dificil compaginar solo con el de no austeridad.
- La situacion es mucho peor a la del 25 de Enero (dia de las elecciones). Los bancos no tienen dinero, y "bail-in" scenarios suenan mas y mas frecuentemente en los medios de comunicacion. El ECB podria estar dispuesto a quitar de oxigeno al enfermo… sobre todo el 20 de Julio si no paga sus bonos. Claramente podria Tsipras encontrarse en una situacion en la que sus tecnicas de negociacion hayan fracasado.
- Algunos comentaristas defienden que a lo mejor el resultado que mas salvaria la cara de Tsipras es un "yes" en el referendum, esto le permitiria mantener a su partido unido, y convertirse de manera oficial en el partido anti-Euro en las proximas elecciones.
En definitiva, unas matematicas bien dificiles de resolver, ya que Tsipras a elegido mantenerse lider de Syriza y tambien Primer Ministro de Grecia. Tsipras tiene la oportunidad de decantarse por esto ultimo todavia si acuerda un deal de ultimo minuto el fin de semana pasado, salvando la cara con la mayor parte de su partido
Ahora queriendo ser optimistas, en este orden y viendo el risk-on desarrollandose en las ultimas 2 horas , el final puede venir en forma de :
1) Se consigue llegar a un acuerdo hoy, y entonces el referendum o bien se cancela o Syriza cambia y empieza a hacer campana por el ’YES’. Entonces el mercado se relaja y espera comodo al Yes el Domingo.
2) Nada cambia. Los lideres de la Union cambian su retorica y la hacen mas dura poniendo mas hincapie en el dilema planteado a la poblacion griega: Euro vs Drachma. Esto tiene un impacto en los votantes, y en el Referendum el resultado es ‘Yes’. Una vez pasa esto, Tsipras cumple su palabra de hacer de este referendum una Ley y se llega a un acuerdo el Lunes.
3) Mucho menos optimista, pero que supone un final feliz todavia con un acuerdo el lunes que viene aunque el resultado del voto sea "No". Y es que el que vota NO no sabe si vota no austeridad o no Grexit ... aunque acaba de salir un parlamentario diciendo :
o From the very first moment we made it clear that the decision for a referendum is not the end but the continuation of the negotiation process for a deal with better terms for Greek people.
o The Greek government proposed today a 2-year agreement with ESM for the full financing of the financing needs of the country and a debt restructuring.
o The Greek government will until the end seek a viable agreement within Eurozone. This will be the message of a "No" (vote) to a bad proposal (the Institutions' one) on Sunday's referendum.
Todo esta abierto a debate en estos momentos pero con control de capitales en Grecia que no se sabe por cuanto tiempo estaran, y despues de un golpe duro al crecimiento del PIB en el pais (de pronosticos del 3% en 2015 a recesion), cualquier deal al que se llegue sera completamente diferente a las aspiraciones de Tsipras anteriores a las elecciones. Desde mi punto de vista la unica victoria aqui es que Grecia consiga quedarse en el euro.
Como recordatorio de donde venimos. Hasta Julio del 2014 Grecia tuvo acceso a Mercado, y voluntariamente se pronuncio para salir del programa del FMI antes
MERKEL SAID TO SEE NO NEW GREECE TALKS, MUST AWAIT REFERENDUM
[...]
Montar coches alemanes no tiene mucho más alcance en el futuro que poner copas en Ibiza. Estás a verlas venir y a competir con Eslovaquia.
[...]
Montar coches alemanes no tiene mucho más alcance en el futuro que poner copas en Ibiza. Estás a verlas venir y a competir con Eslovaquia.
Con perdón o sin: ni puta idea de lo que se habla.
El problema fiscal de Grecia es que su IVA, dentro del alto nivel de fraude, recauda bastante bien (6% del PIB, como el nuestro), pero flojea mucho en renta y sociedades (4,5 y 1,5% del PIB cuando en España son 7 y 2 y en Italia 11 y 2). Sus otras patas fuertes en recaudación son las cotizaciones sociales (11%, son altísimas y por eso recaudan bien pese al elevado fraude) y los especiales (3,6% conta 2 y pico España).
Por eso le suelen pedir como ajuste que suba el IVA mediante reclasificaciones o eliminando exenciones. Es que es de lo poco que funciona bien en su sistema tributario.
Jeroen DijsselbloemVerified
@J_Dijsselbloem
Extraordinary Eurogroup teleconference tonight 19:00 Brussels time to discuss official request of Greek government received this afternoon
[...]
Montar coches alemanes no tiene mucho más alcance en el futuro que poner copas en Ibiza. Estás a verlas venir y a competir con Eslovaquia.
Con perdón o sin: ni puta idea de lo que se habla.
Con perdón o sin: las playas por lo menos no se las pueden llevar. :roto2:
A largo plazo, estaría mucho mejor montar coches teniendo algo más de peso que simplemente montarlos. Desde el punto de vista del flujo de capital es así. Sobre todo teniendo en cuenta cómo ha funcinado esto en el pasado, las prejubilaciones, etc etc.
Ser la Florida de Europa igual no es mucho peor que ser la maquiladora de Europa.
Compárese la España de la segunda mitad de la dictadura de Franco con la España de la democracia. En la primera, con sus muchas limitaciones y defectos, un currela de una maquiladora podía mantener a su familia con un salario. En la segunda, la Florida de Europa, el paro es mucho mayor y con un salario lo tienes difícil para independizarte.
Mi abuelo, qepd, sin estudios reglados de ningún tipo y con su salario de electricista en una fábrica de tamaño mediano pudo mantener a su familia el solo, y hasta dar estudios a sus dos hijos.
Uno de sus nietos, con titulito de hinjeniero, máster y alguna patente y publicación chupi-guay, mileurista con contrato por obra y servicio; y gracias. Lo de independizarme, será dentro de unos años si hay suerte y consigo ahorrar lo suficiente.
Sí, lo ser de la Florida de Europa no es tan malo. Y más si vives a unos cien kilómetros del oceáno Atlantico.
Nada, amigo: tiene usted razón. Mando al traste mi carrera profesional y me planto en Benidorm: por aquellos pagos me espera una vida de puta madre sirviendo sangría infame a guiris ingleses de clase media-baja.
Compárese la España de la segunda mitad de la dictadura de Franco con la España de la democracia. En la primera, con sus muchas limitaciones y defectos, un currela de una maquiladora podía mantener a su familia con un salario. En la segunda, la Florida de Europa, el paro es mucho mayor y con un salario lo tienes difícil para independizarte.
Mi abuelo, qepd, sin estudios reglados de ningún tipo y con su salario de electricista en una fábrica de tamaño mediano pudo mantener a su familia el solo, y hasta dar estudios a sus dos hijos.
Uno de sus nietos, con titulito de hinjeniero, máster y alguna patente y publicación chupi-guay, mileurista con contrato por obra y servicio; y gracias. Lo de independizarme, será dentro de unos años si hay suerte y consigo ahorrar lo suficiente.
Sí, lo ser de la Florida de Europa no es tan malo. Y más si vives a unos cien kilómetros del oceáno Atlantico.
Nada, amigo: tiene usted razón. Mando al traste mi carrera profesional y me planto en Benidorm: por aquellos pagos me espera una vida de puta madre sirviendo sangría infame a guiris ingleses de clase media-baja.
Ser electricista o ingeniero industrial no es lo mismo que apretar tuercas en la SEAT. Aunque puntualmente esos trabajos también salgan beneficiados.
Idealmente, habría producción de alguna clase de origen propio o con un compromiso a muy largo plazo. No una tienda que la puedan montar mañana en Kaunas o en Bratislava.
Merkel says Germany refuses to consider a third bailout package proposed by Athens before Sunday's referendum in Greece.
Hombre, fabricar automóviles es mucho más que apretar tuercas y montar motores en los chasis. Solo hace falta ver toda la industria subsidiaria que genera, y más hoy en día, donde gran parte del coche no lo fabrica la empresa madre, desde turbos,frenos,electrónica,neumáticos,cristales,inyectores......... y un largo etc. En España solo hace falta ver el Grupo Antolín, (y muchísimos otros).
Weekend referendum expected to be a 'yes'
Greece is living in its final hours before passing into the unknown territory that lies beyond the bailouts of the past five years. It is a journey that even Jason and his Argonauts might balk at venturing on. Appropriately enough, at this late hour, Alexis Tsipras’ plane sits on the runway in Athens, waiting to take the Greek leader to another last-minute summit.
Equity markets clearly believe that we will sail past the deadline tonight without any developments, as the mad game of brinksmanship that has dominated the news for so long enters its final hours. Greece has asked for a two year extension to the ESM, but this would need approval from Germany, and jolting German MPs out of their afternoon naps is unlikely to win Athens many friends. The weekend referendum is still expected to yield a ‘yes’ result despite the government’s plan to campaign for a ‘no’ vote.
IG’s new Greek referendum binary suggests a 67% chance of the pro-austerity side emerging victorious at the weekend.
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Montar coches alemanes no tiene mucho más alcance en el futuro que poner copas en Ibiza. Estás a verlas venir y a competir con Eslovaquia.
Con perdón o sin: ni puta idea de lo que se habla.
Con perdón o sin: las playas por lo menos no se las pueden llevar. :roto2:
A largo plazo, estaría mucho mejor montar coches teniendo algo más de peso que simplemente montarlos. Desde el punto de vista del flujo de capital es así. Sobre todo teniendo en cuenta cómo ha funcinado esto en el pasado, las prejubilaciones, etc etc.
Ser la Florida de Europa igual no es mucho peor que ser la maquiladora de Europa.
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Montar coches alemanes no tiene mucho más alcance en el futuro que poner copas en Ibiza. Estás a verlas venir y a competir con Eslovaquia.
Con perdón o sin: ni puta idea de lo que se habla.
Con perdón o sin: las playas por lo menos no se las pueden llevar. :roto2:
A largo plazo, estaría mucho mejor montar coches teniendo algo más de peso que simplemente montarlos. Desde el punto de vista del flujo de capital es así. Sobre todo teniendo en cuenta cómo ha funcinado esto en el pasado, las prejubilaciones, etc etc.
Ser la Florida de Europa igual no es mucho peor que ser la maquiladora de Europa.
En estos últimos veintitantos años he desarrollado un gran respeto por todo el que consigue "poner junto" todo lo que necesita un negocio y hacerlo marchar y permanecer en el mercado a lo largo de los años. En serio. Da igual que sea la Tornillería Paca o Ultramarinos Aurora.
Así que vayan mis respetos auténticos por quien tiene un bar o una disco que funcionan en Ibiza o en Oropesa y también por el sector de la automoción.
Evidentemente tanto el del disco-bar (seguro que ya no se dice así, ¡qué mayor soy!) como el de la automoción puede ser víctima de los avatares del destino. Cambian las modas, emergen otros mercados, se explota demasiado la gallina de los huevos de oro, surgen nuevos competidores, productos alternativos...
El problema de la hostelería es que de la hostelería se va a pocos sitios. Creo que esto ya lo he posteado alguna otra vez. La automoción es otra cosa.
El director de planta de GM España se llama Antonio Cobo y el de Ford Almusafes Antonio Adés.
De ahí para abajo, el 90% largo de la gente que trabaja en la dirección y gestión de semejantes monstruos, a la cabeza de la eficiencia industrial, son españoles.
Esos cuadros directivos y esos mandos intermedios, están preparados para dirigir cualquier proyecto empresarial (siempre que lo haya, claro).
Lo mismo pasa en toda la inmensa cadena de proveedores nacionales, ya sean de capital español o foráneo. Ya os puse el ejemplo del Grupo Antolín, cuyo origen fue un cutre taller mecánico en Burgos en los años 40 y que hoy tiene 12.500 empleados en todo el mundo.
La automoción ha hecho, curiosamente, 10.000 veces más por que los españoles nos preocupemos un poco por los idiomas que 50 millones de extranjeros viniendo todos los años a pasar las vacaciones.
Hoy en día, si en España sabemos algo de JIT, Lean, Seis Sigma...es en un 80% por la automoción. Si sabemos de automatización, control...es por la automoción.
¿Qué nos deparará el futuro? ¿Quién sabe?. No hay negocio que 100 años dure (bueno, casi).
Pero si la automoción desaparece para irse a Eslovaquia o a Togo, dejará mil millones de cosas más en cuanto a formación de directivos y técnicos, tejido organizativo, conocimiento industrial y logístico, infraestructuras de transporte, terminales portuarias que lo que dejaría la desaparición del turismo.
Dicho todo esto. Tampoco quiero que acaben con una idea equivocada.
Si bien la automoción es importantísima y aporta un montón a nuestra balanza de bienes y servicios (liderando las exportaciones), les recuerdo que:
-El sector químico exporta casi lo mismo (sin contar el refino de petróleo), si lo contamos supera a la automoción de largo.
-Las metálicas básicas casi la mitad.
-La maquinaria y el equipo mecánico la tercera parte.
De verdad, como les he dicho alguna otra vez, España no es un erial. Hay cosas muy interesantes. No es cuestión de ir haciendo anuncios de Campofrío (precisamente porque esos anuncios no resaltan precisamente lo mejor sino lo que la MN reconoce como lo mejor, ninguneando a los verdaderamente mejores), pero tampoco acabar pensando que no hay solución porque nada bueno se puede esperar en este país.
Piketty recuerda que la UE-28 prometió a Grecia plantear la restructuracion de la deuda en cuanto Grecia entrara en excedente primario
Syriza ganó las elecciones apostando por un programa basado en la restructuración
Grecia consiguió entrar en excedente primario. Syriza ganó las elecciones.
Desde hace 5 meses, Syriza pide que se hable de restructuracion
Holande y Merkel jugaron al poker, jugando con que si tal o cual nivel de excedente primario.
Podcast (7min, en v/F)
[url]http://httpod.scdn.arkena.com/10767/audio/emissions/L-interview-verite/Thomas-Piketty-Il-faudra-parler-de-la-restructuration-de-la-dette-grecque-1402666.mp3[/url] ([url]http://httpod.scdn.arkena.com/10767/audio/emissions/L-interview-verite/Thomas-Piketty-Il-faudra-parler-de-la-restructuration-de-la-dette-grecque-1402666.mp3[/url])
También recuerda la anterior fase de integración UE en el 53 (?) y en el 92, donde los Alemanes tenian cuentas aún mas delirantes que ahora los Griegos.
En el 53 todo el mundo tenía claro que no se podía cargar a las generaciones jóvenes con la deudas de Alemania.
Que había que mirar al porvenir : la solucion fue fusionar deudores y acreedores.
Ahora, se está planteando que los mismos jóvenes griegos dediquen el 4% de su PIB a pagar la deuda, hasta 2044
Piketty es quien es, pero parece que la historia nos la escriben los que nos gobiernan.
IMF: austerity measures would still leave Greece with unsustainable debt
Secret documents show creditors’ baseline estimate puts debt at 118% of GDP in 2030, even if it signs up to all tax and spending reforms demanded by troika
Greece would face an unsustainable level of debt by 2030 even if it signs up to the full package of tax and spending reforms demanded of it, according to unpublished documents compiled by its three main creditors.
The documents, drawn up by the so-called troika of lenders, support Greece’s argument that it needs substantial debt relief for a lasting economic recovery. They show that, even after 15 years of sustained strong growth, the country would face a level of debt that the International Monetary Fund deems unsustainable.
The documents show that the IMF’s baseline estimate – the most likely outcome – is that Greece’s debt would still be 118% of GDP in 2030, even if it signs up to the package of tax and spending reforms demanded. That is well above the 110% the IMF regards as sustainable given Greece’s debt profile, a level set in 2012. The country’s debt level is currently 175% and likely to go higher because of its recent slide back into recession.
The documents admit that under the baseline scenario “significant concessions” are necessary to improve Greece’s chances of ridding itself permanently of its debt financing woes.
Even under the best case scenario, which includes growth of 4% a year for the next five years, Greece’s debt levels will drop to only 124%, by 2022. The best case also anticipates €15bn (£10bn) in proceeds from privatisations, five times the estimate in the most likely scenario.
But under all the scenarios, which all assume a third bailout programme, looked at by the troika – the European commission, the European Central Bank and the IMF – Greece has no chance of meeting the target of reducing its debt to “well below 110% of GDP by 2022” set by the Eurogroup of finance ministers in November 2012.
In the creditors own words: “It is clear that the policy slippages and uncertainties of the last months have made the achievement of the 2012 targets impossible under any scenario”.
These projections are from the report Preliminary Debt Sustainability Analysis for Greece, one of six documents that are part of the full set of materials that comprise the “final” proposal sent to Greece by its creditors last Friday.
These, which the Guardian has seen, were obtained by Süddeutsche Zeitung after they were sent to all German MPs with the expectation that the deal would need to be approved by the country’s parliament.
A vote in the Bundestag never took place as the Greek prime minister, Alexis Tsipras, rejected the plans and called a referendum on whether to accept the creditors’ demands.
While the analysis underlines the fact that Greece has already benefited from a number of debt-reducing measures – maturities have been extended, interest payments are similar to those of less indebted nations and the PSI in 2012 cut debt by about €100bn – the document also admits that under the baseline scenario “significant concessions” would improve sustainability.
But despite the lenders’ admission that Greece cannot thrive without debt relief the documents provide no clarity about what such a package might look like, nor does it provide any detail of a third bailout programme despite assuming one would exist. They promise only a more detailed debt sustainability analysis in due course.
The documents also throw light on the €35bn investment package that several governments, including Germany’s, have this week pointed out was offered to Greece last week.
The second document in the pack of six, titled Reforms for the Completion of the Current Programme and Beyond, show there was less to this offer than suggested by commission president Jean-Claude Juncker and Germany’s vice-chancellor Sigmar Gabriel. The cash on offer is not an ad hoc investment but is actually an EU grant that is regularly available to all member states. And, as Süddeutsche Zeitung points out, accessing the cash requires a 15% co-financing in Greece’s case, which it cannot afford. Because of this, Greece has unspent sums from its €38bn 2007-2013 pot of available grants.
A third document outlines the “financing needs and draft disbursement schedule linked to the completion of the fifth review”, spelling out how Greece would have received €15bn to meet its obligations until the end of November. The cash would have been handed over in five tranches starting in June (as soon as the Greek parliament approved the proposals) to cover Greece’s financing needs. However, 93% of the funds would have gone straight to cover the cost of maturing debt for the duration of the extension.
The remaining documents cover the nuts and bolts of the actions that were expected to be taken by Greece in consultation with the EC/ECB/IMF. One of these papers was also published by the European commission over the weekend.
The plan is premised on a primary surplus target of 1%, 2%, 3%, and 3.5% of GDP in 2015, 2016, 2017 and 2018 respectively (both sides agree on these targets). It is anchored on VAT changes producing additional revenue of 1% of GDP and a reform of the pension system that leads to savings of 1% of GDP in 2016.
On VAT reforms, the proposal suggests broadening the tax base at a standard rate of 23%, and would include restaurants, and catering. There will be a reduced rate of 13% to cover a limited set of goods, that includes energy, basic foods, hotels and water (excluding sewage).
There was also to be a super-reduced rate of 6% on pharmaceuticals, books and theatres, an increase on tax on insurance and the elimination of tax exemptions on certain islands. The creditors had originally wanted only a two-tier VAT system.
In terms of pensions, which have been the stickiest point in the negotiations, the plan demands reforms to:
Create strong disincentives to early retirement, including changes to early retirement penalties
Adopt legislation so that withdrawals from the social insurance fund will incur an annual penalty, for those affected by the extension of the retirement age period, equivalent to 10% on top of the current penalty of 6%
Ensure that all supplementary pension funds are only financed by own contributions
Gradually phase out the solidarity grant (EKAS) for all pensioners by end-December 2019. This shall start immediately for the top 20% of beneficiaries with the details of the phase-out to be agreed with the institutions
Freeze monthly guaranteed contributory pension limits in nominal terms until 2021
Provide to people retiring after 30 June 2015 the basic, guaranteed contributory, and means-tested pensions only at statutory normal retirement age, currently 67 years
Increase the relatively low health contributions for pensioners from 4% to 6% on average and extend it to supplementary pensions
On Monday Juncker insisted – incorrectly – that these measures did not amount to a cut in pensions. However, the creditors were correct in saying that they had compromised and the plans had some flexibility. They also suggested that Greece could provide alternative proposals as long as they are “sufficiently concrete and quantifiable”.
The creditors’ proposals also suggested that corporation tax rise only from 26% to 28%. Greece wanted the rate set at 29%.
Following on from the action of S&P yesterday rating's agency Fitch have downgraded Greek sovereign debt from 'CCC' to 'CC'. They cite the probability of an imminent default on the IMF and possibly ECB, as well as a breakdown in talks as their main drivers. Here's their statement:CitarThe breakdown of the negotiations between the Greek government and its creditors has significantly increased the risk that Greece will not be able to honour its debt obligations in the coming months, including bonds held by the private sector. We now view a default on government debt held by private creditors as probable. Recent events have taken us beyond our previous base case that a deal would be struck before the expiry of the programme.
The government has called a referendum for 5 July on whether to accept the 25 June proposals of the creditor institutions regarding policy conditionality and is endorsing a 'No' vote to reject the deal. Although early polls suggest a 'Yes' vote is the more likely outcome, the risk of a 'No' vote is significant. In our view, a 'No' vote would dramatically increase the risk of a Greek exit from the eurozone. Such an exit would probably be disorderly as the current government is unlikely to co-operate with the European authorities in such an event.
Although a 'Yes' vote may help to avoid some of the more extreme risks face by Greece, the credit situation would remain precarious. A 'Yes' could lead to the formation of a new government with a mandate to reach an agreement with creditors on policy conditionality. However, the composition of the Greek parliament (two-thirds of MPs belong to anti-austerity parties) and the short timeframe before Greece's EUR3.5bn Eurosystem redemption would make this a challenging prospect.
[url]http://www.sudinfo.be/1322852/article/2015-06-30/comment-le-fmi-pourrait-in-extremis-eviter-un-defaut-de-paiement-a-la-grece[/url] ([url]http://www.sudinfo.be/1322852/article/2015-06-30/comment-le-fmi-pourrait-in-extremis-eviter-un-defaut-de-paiement-a-la-grece[/url])
El FMI tiene legalmente capacidad para demorar un pago dentro del plazo previsto de 2 a 5 años si lo pide un Estado miembro: lo hizo en 1982 para Nicaragua y Guayana (Británica)
Elplazo puede alargarse con el voto del 70 de su Consejo.
Breaking: Greece defaults to the IMF missing €1.55bn payment at 11pm deadline
The deadline has come and gone. It passes with a whimper rather than a bang, but Greece has fallen into an arrears process with the IMF at 11.01pm tonight
"I confirm that the [Special Drawing Rights] SDR 1.2bn repayment (about €1.5bn) due by Greece to the IMF today has not been received.
"We have informed our Executive Board that Greece is now in arrears and can only receive IMF financing once the arrears are cleared.
"I can also confirm that the IMF received a request today from the Greek authorities for an extension of Greece's repayment obligation that fell due today, which will go to the IMF's Executive Board in due course."
Es oficial.CitarBreaking: Greece defaults to the IMF missing €1.55bn payment at 11pm deadline
The deadline has come and gone. It passes with a whimper rather than a bang, but Greece has fallen into an arrears process with the IMF at 11.01pm tonight
En realidad todavia no, ahora el FMI tiene que comprobar que no se ha hecho el pago y luego notificarlo a sus socios, que tendran que notificar el acuse de recivo. Ademas me imagino que tendran que notificarlo a grecia que tendra que certificar que no, que no ha pagado. Mas o menos un mes mas, y como agosto viene a no ser habil, pues habra que esperar hasta septiembre.
Y es mas, no pagar al FMI no es hacer default y no se ejecutan los seguros contra impagos.
Ya ha caido Grecia, ahora habra que ir pensando en el siguiente pais. Portugal lo tiene muy jodido, por evolucion de gasto publico, demografia, envejecimiento de la poblacion y endeudamiento creciente. Luego estamos nosotros e Italia, sobre todo con el creciente gasto en pensiones, baja productividad y proceso de desindustrializacion.
Hay una cifra que se ha ocultado estos dias pero ......
Recaudacion por cotizaciones sociales:
Enero-Mayo 2014 22.719 millones de euros
Enero-Mayo 2015 22.714 millones de euros
Ya ha caido Grecia, ahora habra que ir pensando en el siguiente pais. Portugal lo tiene muy jodido, por evolucion de gasto publico, demografia, envejecimiento de la poblacion y endeudamiento creciente. Luego estamos nosotros e Italia, sobre todo con el creciente gasto en pensiones, baja productividad y proceso de desindustrializacion.
Hay una cifra que se ha ocultado estos dias pero ......
Recaudacion por cotizaciones sociales:
Enero-Mayo 2014 22.719 millones de euros
Enero-Mayo 2015 22.714 millones de euros
Citar"I confirm that the [Special Drawing Rights] SDR 1.2bn repayment (about €1.5bn) due by Greece to the IMF today has not been received.
"We have informed our Executive Board that Greece is now in arrears and can only receive IMF financing once the arrears are cleared.
"I can also confirm that the IMF received a request today from the Greek authorities for an extension of Greece's repayment obligation that fell due today, which will go to the IMF's Executive Board in due course."
Entonces....el FMI ya sale de la mesa, queda fuera del juego hasta que Grecia pague los atrasos.
Esto es incuestionable, es....
¡Un FMIxit!
(Se queda de comodín para cada parte.)
Re: The last refuge of the scroundel (none / 0) [creo que es scoundrel= fripón]
Efficient tax collection?
In the Greek proposal, vetoed by the IMF.
A 21st century grade well functioning public administration?
In the Greek proposal.
Corruption at Swedish, not Swaziland levels?
In the Greek proposal.
A well managed public service with a minimum of political patronage?
In the Greek proposal.
A public service size commensurate with the financial ability of Greek society?
Pure sophistry, since the "financial ability" of a society is decided by political convention: The marginal cost of printing more money is zero, so sovereign financing can never be a scarce resource. Only a political weapon wielded by those with a pathological dislike of the public sector.
A judical system that provides timely and workable resolution of business and administrative disputes comparably to other EMU members?
Already in the Greek proposal. Unless you meant to append "in favor of the businesses." In which case you can shove it where the sun won't shine.
When every substantive proposal on your list is either uncontroversial or in fact the Greek position that the Troika is rejecting, it may be a sign that you need to maybe go read the Greek proposals, instead of Stasi 2.0's lies about them in FAZ.
- Jake
Il suffit de comparer le programme sur lequel Syriza a été élu avec les versions successives des propositions faites aux «institutions» pour voir que le gouvernement grec n’a cessé de reculer jusqu’à ses fameuses «lignes rouges» (notamment la TVA et les retraites), mordant même quelque peu sur ces dernières lors des dernières propositions.
Basta comparar el programa de Syriza con la versiones presentadas a las institucions para ver que Grecia ha retrocedido hasta la linea roja (IVA y pensiones) mordiendo incluso en éstas
Il ne s’agit pas tant pour la troïka que la Grèce revienne à des finances publiques «saines» que de faire baisser les dépenses publiques. La hausse des recettes fiscales n’est pas l’objectif principal des créanciers. Les seules hausses d’impôt que la troïka est disposée à accepter sont celles de la TVA ; elle a, en revanche, rejeté la proposition du gouvernement grec d’imposer une taxe supplémentaire aux firmes dont les bénéfices sont supérieurs à un demi-million d’euros, une hausse des cotisations sociales employeurs ou des taxes sur les paris en ligne.
No se trata tanto para la Troika que G. vuelva a un presupuesto sano, que hacer que reduzca el gasto público. El incremento de fiscalidad no es el objetivo. Las únicas alzas en impuestos aceptables por la Troika eran las del IVA; pero rechazó el impuesto extraordinario a Sociedades de más de 0,5 meuros, un alza de cotizaciones o las imposición de apuestas en línea
Mais, c’est quand Juncker il a déclaré que les Grecs devaient voter oui au référendum, quelle que soit la question posée, que le maître de l’évasion fiscale en Europe a été le plus sincère : énonçant que l’issue que la troïka recherchait à la crise actuelle était bien une capitulation sans condition de la Grèce.
Es cuando Juncker declaró que los Griegos debían votar Si, cualquiera que fuera la pregunta, que el maestro de la evasión fiscal europea ha sido el más sincero 8) : dejó claro que la salida deseada por la Troika a la crisis era efectivamente la capitulación sin condiciones de Grecia
WORLD NEWS Tsipras prepared to accept all bailout conditions
Alexis Tsipras will accept all his bailout creditors' conditions that were on the table this weekend with only a handful of minor changes, according to a letter the Greek prime minister sent late Tuesday night and obtained by the Financial Times.
The two-page letter, sent to the heads of the European Commission, International Monetary Fund and European Central Bank, elaborates on Tuesday's surprise request for an extension of Greece's now-expired bailout and for a new, third €29.1bn rescue, writes Peter Spiegel.
Although the bailout's expiry at midnight Tuesday night means the extension is no longer on the table, Mr Tsipras' new letter could serve as the basis of a new bailout in the coming days.
Mr Tsipras' letter says Athens will accept all the reforms of his country's value-added tax system with one change: a special 30 per cent discount for Greek islands, many of which are in remote and difficult-to-supply regions, be maintained.
On the contentious issue of pension reform, Mr Tsipras requests that changes to move the retirement age to 67 by 2022 begin in October, rather than immediately. He also requests that a special "solidarity grant" awarded to poorer pensioners, which he agrees to phase out by December 2019, be phased out more slowly than creditors request.
"The Hellenic Republic is prepared to accept this staff-level agreement subject to the following amendments, additions or clarifications, as part of an extension of the expiring [bailout] program and the new [third] loan agreement for which a request was submitted today, Tuesday June 30th 2015," Mr Tsipras wrote. He added:CitarAs you will note, our amendments are concrete and they fully respect the robustness and credibility of the design of the overall program.
Eurozone finance ministers are due to discuss Mr Tsipras' new proposal in a conference call at 5:30pm, Brussels time.
Suenan voces en Francia pidiendo un referendum en Francia por o contra la austeridad en Europa
[url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url] ([url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url])
Guénolé: “Il faut un référendum pour ou contre l’austérité européenne, comme en Grèce"
30/06/2015 à 12h21
Suenan voces en Francia pidiendo un referendum en Francia por o contra la austeridad en Europa
[url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url] ([url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url])
Guénolé: “Il faut un référendum pour ou contre l’austérité européenne, comme en Grèce"
30/06/2015 à 12h21
[url=http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html]www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url] ([url]http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url])
Ya será contra la austeridad de los extranjeros .
01-Jul-2015 11:20:27 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS MUST REMEMBER THAT WE HAVE ALREADY GIVEN GREECE A DEBT HAIRCUT
01-Jul-2015 11:21:38 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS GREEK INTEREST RATE BURDEN IS BELOW THAT OF GERMANY IN RELATIVE TERMS
01-Jul-2015 11:23:53 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS BEFORE SUNDAY’S GREEK REFERENDUM, THERE IS NO POINT TO HAVE TALKS
01-Jul-2015 11:25:06 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS I ALWAYS KEPT TO WHAT WE AGREED, TO OUR RULES, IF EVERYONE HAD DONE THE SAME, GREECE WOULD NOT BE IN SUCH A DESPERATE SITUATION
01-Jul-2015 11:26:23 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS WE HAVE ALWAYS BEEN VERY FLEXIBLE BUT SITUATION HAS DETERIORATED
01-Jul-2015 11:26:56 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS I FEEL SORRY FOR GREEK PEOPLE
01-Jul-2015 11:29:18 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS I AM NOT GIVING ANY PREDICTIONS ABOUT WHAT WILL HAPPEN WITH GREECE, WE ARE OPEN TO ANYTHING
01-Jul-2015 11:30:08 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS WE DON’T KNOW IF WE WILL MANAGE TO GET AN ESM PROGRAMME READY BY JULY 20 PAYMENT DEADLINE
01-Jul-2015 11:31:05 - GERMANY’S SCHAEUBLE SAYS ECONOMIC SITUATION IN GREECE IS GETTING WORSE
Germany's Schäuble: Problem with Greek ‘yes’ vote: How can we trust a gov’t to carry out a program it encouraged its people to reject?
EFSF statement:
The European Financial Stability Facility (EFSF) takes note of a public statement of the International Monetary Fund (IMF) that a Greek non-payment has occurred. It is the EFSF’s understanding that the IMF Managing Director has informed the IMF Executive Board. This will be confirmed by a meeting of the Executive Board, expected later today. For the EFSF, this would constitute an event of default for certain EFSF loans.
The EFSF also takes note of the fact that the IMF received a request yesterday from the Greek authorities for an extension of Greece’s repayment obligation that fell due yesterday. The IMF’s Executive Board intends to examine this request in due course.
In line with EFSF guidelines, EFSF CEO Klaus Regling must inform the chairman of the Eurogroup Working Group and the EFSF Board of Directors today of the non-payment and propose one of the following three options:
- acceleration of the loan: this means that the EFSF cancels the loan contract and requests immediate repayment of the principal and interest amounts;
- waiver of rights: this means that the EFSF irrevocably waives its right and remedies under the loan for this specific non-payment;
- reservation of rights: this means that the EFSF neither accelerates the loan nor waives its right to do so, but instead reserves the right to act at a later stage.
The EFSF will coordinate its next steps very closely with the Eurogroup Working Group, where its shareholders are represented, and with the European Commission and the IMF.
The Greek non-payment has no influence on the EFSF’s capacity to repay its bondholders. Investors know that EFSF bonds benefit from a very strong guarantee structure.
Suenan voces en Francia pidiendo un referendum en Francia por o contra la austeridad en Europa
[url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url] ([url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url])
Guénolé: “Il faut un référendum pour ou contre l’austérité européenne, comme en Grèce"
30/06/2015 à 12h21
[url=http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html]www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url] ([url]http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url])
Ya será contra la austeridad de los extranjeros .
Cierto, pero es La France. ;) Intereses de deuda negativos.
De todos modos, aprovecho para preguntarte.
Están programando el paso para 2017 a la retención a cuenta del IRPF. En 2 ejercicios !
(en las elecciones de Sarkozy, aún decían que era de una complejidad insalvable.... al cajón :biggrin:)
Pero significa que a partir de 2017, el Estado FR beneficiará de un crédito de tesorería permanente como los demás Estados UE. Eso entiendo que significa eliminar las deudas del Estado FR que ahora deben suscribir para cerrar el ejercicio, y permitirá seguramente una reduccion considerable del aparato fiscal... e indirectamente también de las "paguitas" (ahí está la pinza con la restructuración del aparato territorial)
¿A ti te parece que la retención a cuenta supondrá una reducción de las cifras del endeudamiento FR?
Yo creo que sí. De varios puntos,
En cuanto la comparación de Francia con la UE se haga con unas cuentas publicas comparables, cuando todos los aparatos de Estado de la UE tengan un funcionamiento similar, se verá mucho más claro qué parte del endeudamiento francés es "glissant" entre ejercicios, y cuál es estructural.
Ese endeudamiento "glissando" de cada año es el que la retención a cuenta borrará de golpe.
Ahora mismo, los datos de FR/ES parecen ser equivalentes, pero los mercados entiendo que toman en cuenta la diferencia. De ahí la diferencia de tipos y valoración AAA
No he leido por ninguna parte este tipo de análisis. No sé si tiene sentido, aunque me parece evidente. Con retención a cuenta, toda la economia le ofrece al Estado crédito a cero interés durante un ejercicio, la alternativa es salir a los mercados y Francia ahora mismo no tiene otra alternativa que financiar con crédito privado su fiscalidad.
Si implantas el IRPF a cuenta, normalmente, eliminas una parte sustancial de tus necesidades de financiación corriente.
¿Razono mal?
Edit: mi parecer es que Atlántico (y Mariane) son portavoces de los libeggales immofilos, (obrerismo facha) y claramente a favor del euroxit de Francia. Sus informaciones hay que leerlas en la perspectiva de los CapitalPopulistas.
Patience is wearing very thin it seems
Schaeuble has been banging on all morning about how Greece have put themselves into a position where basically they don't have much power to negotiate, as the program they were negotiating on has expired. They're on the hook for failing to pay the IMF and have told their own people to vote against a proposal that they are now running around like headless chickens to agree
To say he hasn't even read the new Greek proposal is a big middle finger to Tsipras and Schaeuble adds that none of us understand why the Greek government is leading its own people down this path
In this political poker game the Troika haven't just 'called' Greece, they've raised and Schaeuble is making sure they know it
Tsipras has got a hell of a job to do when he speaks to his nation and what he says, given the latest news, could be a big market mover. In my view he's got two bullets left in his gun. Accept the deal or call for Greece to exit
No sé si es buena idea que Schaeuble y otros bocas de la troika se pongan a humillar y porculizar en público a Syriza.
Es como si quisieran provocar la reacción más tremendista e irracional, invitarles al zambombazo. No entiendo. Sólo me lo explico si supieran algún motivo por el que es materialmente imposible que pase nada. ¿Realmente es posible que lo tengan absolutamente "todo controlado"?
No sé si es buena idea que Schaeuble y otros bocas de la troika se pongan a humillar y porculizar en público a Syriza.
Es como si quisieran provocar la reacción más tremendista e irracional, invitarles al zambombazo. No entiendo. Sólo me lo explico si supieran algún motivo por el que es materialmente imposible que pase nada. ¿Realmente es posible que lo tengan absolutamente "todo controlado"?
Suenan voces en Francia pidiendo un referendum en Francia por o contra la austeridad en Europa
[url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url] ([url]http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/guenole-il-faut-un-referendum-pour-ou-contre-l-austerite-europeenne-comme-en-grece-d-accord-643558.html[/url])
Guénolé: “Il faut un référendum pour ou contre l’austérité européenne, comme en Grèce"
30/06/2015 à 12h21
[url=http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html]www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url] ([url]http://www.atlantico.fr/decryptage/57-pib-depenses-publiques-anatomie-record-francais-construit-bulle-depenses-sociales-depuis-40-ans-nicolas-goetzmann-1015137.html[/url])
Ya será contra la austeridad de los extranjeros .
Cierto, pero es La France. ;) Intereses de deuda negativos.
De todos modos, aprovecho para preguntarte.
Están programando el paso para 2017 a la retención a cuenta del IRPF. En 2 ejercicios !
(en las elecciones de Sarkozy, aún decían que era de una complejidad insalvable.... al cajón :biggrin:)
Pero significa que a partir de 2017, el Estado FR beneficiará de un crédito de tesorería permanente como los demás Estados UE. Eso entiendo que significa eliminar las deudas del Estado FR que ahora deben suscribir para cerrar el ejercicio, y permitirá seguramente una reduccion considerable del aparato fiscal... e indirectamente también de las "paguitas" (ahí está la pinza con la restructuración del aparato territorial)
¿A ti te parece que la retención a cuenta supondrá una reducción de las cifras del endeudamiento FR?
Yo creo que sí. De varios puntos,
En cuanto la comparación de Francia con la UE se haga con unas cuentas publicas comparables, cuando todos los aparatos de Estado de la UE tengan un funcionamiento similar, se verá mucho más claro qué parte del endeudamiento francés es "glissant" entre ejercicios, y cuál es estructural.
Ese endeudamiento "glissando" de cada año es el que la retención a cuenta borrará de golpe.
Ahora mismo, los datos de FR/ES parecen ser equivalentes, pero los mercados entiendo que toman en cuenta la diferencia. De ahí la diferencia de tipos y valoración AAA
No he leido por ninguna parte este tipo de análisis. No sé si tiene sentido, aunque me parece evidente. Con retención a cuenta, toda la economia le ofrece al Estado crédito a cero interés durante un ejercicio, la alternativa es salir a los mercados y Francia ahora mismo no tiene otra alternativa que financiar con crédito privado su fiscalidad.
Si implantas el IRPF a cuenta, normalmente, eliminas una parte sustancial de tus necesidades de financiación corriente.
¿Razono mal?
Edit: mi parecer es que Atlántico (y Mariane) son portavoces de los libeggales immofilos, (obrerismo facha) y claramente a favor del euroxit de Francia. Sus informaciones hay que leerlas en la perspectiva de los CapitalPopulistas.
EL Impôt sur le Revenu, ausentes reformas, recauda como el 3% del PIB. Es poco porque los franceses ya tributan mucho (aparte de las cotizaciones a cargo del empleador) por medio de la CSG y esos otros "prélèvements" que hay por ahi. Pero no deja de ser importante por cuanto estructuraliza un pasivo circulante. Algo menguarán entonces las necesidades de tesorería a menos de 18 meses, pero no creo que mucho comparando con las totales. Aunque sí se notará en la presión sobre la deuda a corto del Estado, sobre todo en su primer año.
Francia debería plantearse (Piketty lleva años detás de eso) un IR a la europea que elimine tantos mordiscos improvisados sobre las nóminas y de lugar a un impuesto único que abarque todas las rentas personales. Pero hay poca voluntad de reformar, lo mismo las pensiones, que tampoco se tocan nunca, o apenas.
No sé si es buena idea que Schaeuble y otros bocas de la troika se pongan a humillar y porculizar en público a Syriza.
Es como si quisieran provocar la reacción más tremendista e irracional, invitarles al zambombazo. No entiendo. Sólo me lo explico si supieran algún motivo por el que es materialmente imposible que pase nada. ¿Realmente es posible que lo tengan absolutamente "todo controlado"?
El que está acojonao con el referendum es Tsipras... Sueña con Oxis. (Y no le puede echar la culpa a otro.)
No sé si es buena idea que Schaeuble y otros bocas de la troika se pongan a humillar y porculizar en público a Syriza.
Es como si quisieran provocar la reacción más tremendista e irracional, invitarles al zambombazo. No entiendo. Sólo me lo explico si supieran algún motivo por el que es materialmente imposible que pase nada. ¿Realmente es posible que lo tengan absolutamente "todo controlado"?
Gregor Gysi of Die Linke delivers attack on Germany's Eurozone policy.
Gysi to Schäuble: I get it - you don't want to do a deal w/ lefties in #Greece bc then you'd also have to do a deal w/Spain & Portugal.
Vale, pero cada humillación radicaliza muchas posiciones antieuropeas, en Grecia y toda la UE. Podría ser que con cada carcajada o demostración de dominio de la Troika, por cada cabreado que se achanta haya un achantado que se cabrea.
Son huevofritos basados en mi propio sentir, que soy de sangre caliente y con cierta tendencia al "eso jamás" y por eso pienso que muchos reaccionarían igual, pero en cualquier caso ¿qué se gana tocando esas teclas?
[...] "¿Quién sabe como se resolverá?", ha dicho el gestor de fondos de BlackRock en un encuentro organizado por la organización del sector financiero Cisi. Cohen criticó la decisión del Gobierno de Syriza de consultar a los griegos el domingo 5 de julio sobre su respaldo a las últimas propuestas de la Troika. "Ahora viene este referéndum que es ridículo, en el que la gente ni siquiera sabe lo que va a votar". [...]
[url]http://www.eurotrib.com/story/2015/6/29/34918/5002[/url] ([url]http://www.eurotrib.com/story/2015/6/29/34918/5002[/url])CitarRe: The last refuge of the scroundel (none / 0) [creo que es scoundrel= fripón]
Efficient tax collection?
In the Greek proposal, vetoed by the IMF.
A 21st century grade well functioning public administration?
In the Greek proposal.
Corruption at Swedish, not Swaziland levels?
In the Greek proposal.
A well managed public service with a minimum of political patronage?
In the Greek proposal.
A public service size commensurate with the financial ability of Greek society?
Pure sophistry, since the "financial ability" of a society is decided by political convention: The marginal cost of printing more money is zero, so sovereign financing can never be a scarce resource. Only a political weapon wielded by those with a pathological dislike of the public sector.
A judical system that provides timely and workable resolution of business and administrative disputes comparably to other EMU members?
Already in the Greek proposal. Unless you meant to append "in favor of the businesses." In which case you can shove it where the sun won't shine.
When every substantive proposal on your list is either uncontroversial or in fact the Greek position that the Troika is rejecting, it may be a sign that you need to maybe go read the Greek proposals, instead of Stasi 2.0's lies about them in FAZ.
- Jake
As reported earlier this morning, a slim majority of Greeks now support a "no" vote on the referendum set for this weekend. As a reminder, it's as yet ucnclear precisely what it is that Greeks will be voting on given that, technically anyway, the last creditor proposal is now null and void after the country exited its second program after defaulting on Tuesday.
Nevertheless, the show will go on, or at least that's been the rhetoric out of Athens up until this morning and indeed, mutliple EU officials have signaled that no discussions will be possible until the referendum in complete.
So, as we await Tsipras' response to reports which indicate he is set to concede to creditors' proposals (which may, some suspect, lead to the PM cancelling the referendum altogether) in exchange for a deal that rescues his country from the brink of economic oblivion, Barclays and Bloomberg are out with referendum roadmaps.
From Barclays:
Other euro area governments seem to favour a referendum now, as it will finally bring greater clarity about the Greek government’s mandate. The referendum is, thus, now about euro membership and PM Tsipras future. A ‘YES’ vote would free the path for snap elections or a ‘national unity government’ (probably followed by snap elections later in the year). There are limited references for the likely referendum outcome, but recent developments may favour a ‘YES’ vote.
The default on the IMF has non-negligible consequences. The IMF will no longer be able to make any further disbursements to Greece until the arrears are cleared. This is particularly important in case of a ‘NO’ vote on Sunday: without additional official loans from Europe, which could help clear the arrears to the IMF, and being in default with the IMF, the Greek government will not be able to rely on external assistance and would be very unlikely to regain market access.
And from Bloomberg:
'No' Wins
If Greek citizens reject the creditors' proposal, an exit from the euro area would become the most likely scenario. An exit from the currency union has never happened before and there is no established process in the Europeantreaties. It could get messy. It's hard tosee how a deal could be found in thecontext of a No vote, with Greekauthorities coming back at the negotiation table with an even less conciliatorystance. Exasperation and fatigue are already running high on the other side of the table after five months of fruitless negotiations. Creditors are losing patience — and not only in Germany. If new negotiations were to fail, the Greek authorities could choose to leave the currency union directly or hold a new referendum on leaving. These two paths are surrounded by high uncertainty given the current state of the Greek economy, held in stasis by capital controls and bank holidays. Civil unrest would be likely.
'Yes' Wins
In this case, it is hard to see how Tsipras could stay in power since he is campaigning for No. In an interview yesterday, he said: "If the people vote yes, then the referendum outcome will be completely respected but I will not serve it". Fresh elections would probably follow, though he or Syriza representatives could try to strike a deal in the interim, to respect the people's decision. Talks could take a while, but having a majority of the Greek people on their side would give the creditors a stronger impetus to negotiate a new bailout. In this context, an ejection of Greece from the euro area — whoever triggered it — would be the worst possible scenario. With Greeks having effectively voted to find a way to stay in the euro, an exit would call into question the democratic foundations of the euro project itself.
https://www.indiegogo.com/projects/greek-bailout-fund#/story (https://www.indiegogo.com/projects/greek-bailout-fund#/story)
Llevan casi 1Meuros.
Desde una postal de Tsipras a una semana para dos.
Car si nous n'y prenons pas garde, il faudra peut-être bientôt ramasser deux cadavres : celui de la Grèce mais aussi celui de l’idée européenne. Lisez-le, signez-le et partagez-le.
Si no andamos con cuidado, pronto tendremos que recoger dos cadáveres : el de Grecia, pero también el de la Idea europea
Ya ha caido Grecia, ahora habra que ir pensando en el siguiente pais. Portugal lo tiene muy jodido, por evolucion de gasto publico, demografia, envejecimiento de la poblacion y endeudamiento creciente. Luego estamos nosotros e Italia, sobre todo con el creciente gasto en pensiones, baja productividad y proceso de desindustrializacion.
Hay una cifra que se ha ocultado estos dias pero ......
Recaudacion por cotizaciones sociales:
Enero-Mayo 2014 22.719 millones de euros
Enero-Mayo 2015 22.714 millones de euros
A esos números les falta algo. Porque la SS recauda en 12 mensualidades y la media son 10.000 cada mes y no 4.000. La SS va floja en todo caso .
No sé si es buena idea que Schaeuble y otros bocas de la troika se pongan a humillar y porculizar en público a Syriza.
Es como si quisieran provocar la reacción más tremendista e irracional, invitarles al zambombazo. No entiendo. Sólo me lo explico si supieran algún motivo por el que es materialmente imposible que pase nada. ¿Realmente es posible que lo tengan absolutamente "todo controlado"?
Argentina desmiente tajantemente al MiFin galo acerca de que son los paises más pequeños del FMI los que exigen mano dura con Grecia. Argentina Kirtchner y su MIFin reafirman su solidaridad con Grecia.
[url]http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2015-07-01-L-Argentine-dement[/url] ([url]http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2015-07-01-L-Argentine-dement[/url])
No sé en España, pero en Francia se observa que por turnos, los politicos de ambos bandos dicen la misma frase: que el FMI actúa así con Grecia por la presión de los pequeños países....
La lucha libre mexicana, pero cuando vienen dadas, se parapetan detrás de la misa mesa.
(Les han dictado las declaraciones.)
Schäuble pensará que el pueblo griego no es soberano, como tampoco lo es el alemán ([url]https://www.youtube.com/watch?v=GlU2HLeGNwQ[/url]).
Pero la pregunta es que si ningún Estado en Europa es ya soberano, entonces ¿quién lo es? Si la UE es ya la nueva entidad política soberana, entonces no puede llover a gusto de todos claro. Pero, ¿lo es? Y si no, ¿quién lo es?([url]http://4.bp.blogspot.com/-dyxvkG9ow38/VROqKHGGZgI/AAAAAAAAf0o/dPr4RTydb9I/s1600/puppeteer-420.jpg[/url])
Schäuble pensará que el pueblo griego no es soberano, como tampoco lo es el alemán ([url]https://www.youtube.com/watch?v=GlU2HLeGNwQ[/url]).
Pero la pregunta es que si ningún Estado en Europa es ya soberano, entonces ¿quién lo es? Si la UE es ya la nueva entidad política soberana, entonces no puede llover a gusto de todos claro. Pero, ¿lo es? Y si no, ¿quién lo es?([url]http://4.bp.blogspot.com/-dyxvkG9ow38/VROqKHGGZgI/AAAAAAAAf0o/dPr4RTydb9I/s1600/puppeteer-420.jpg[/url])
Los USA.
Zoom out a bit from the gushing river of breaking news about Greece’s fiscal future, and here’s the big picture of what looks to have happened in Athens on Wednesday.
Alexis Tsipras, the Greek prime minister, has spent the last six months, since his left-wing Syriza party came to power, trying to shift the entire political framework of his country’s bailout negotiations. That effort has failed. By indicating that his government could accept much of what Greece’s creditors demanded as conditions for a bailout extension late last week, Mr. Tsipras seems to have finally acknowledged this inability to reset the terms of debate over austerity and democracy in Europe.
For five years, the simple trade-off offered by the richer European countries and the European Central Bank has been this: If Greece accepts massive austerity — like pension cuts and layoffs of government employees — it can remain in the eurozone with the help of bailouts, with central bank credit extended to Greek banks, and so on. Austerity was the price to be paid for keeping the monetary stability created by the euro currency.
Mr. Tsipras believes — and plenty of American and British economists are sympathetic to this view — that this trade-off was driven by bad economics and had disastrous human consequences. Austerity without debt write-downs created a depression, making the debt burden even harder to handle.
So instead of accepting the basic trade-off that creditors have been offering Greece for five years, with those disastrous results, Mr. Tsipras has tried to create an environment in which European leaders would have to rethink their understanding of the proper trade-offs for Greece.
That’s why you have things like this opinion article Mr. Tsipras wrote for The Irish Times in January. Or this article by Mr. Tsipras in the French newspaper Le Monde last month, arguing that “the issue of Greece does not only concern Greece; rather, it is the very epicenter of conflict between two diametrically opposing strategies concerning the future of European unification.”
Why would a Greek politician with countless problems on the domestic front bother writing op-eds for newspapers in Ireland or France? Both articles, and many more public and private efforts by Mr. Tsipras and his allies, have been part of a concerted effort to persuade other countries to join a coalition to reject the German-led focus on austerity above all else.
But the effort has failed. The deal on offer from creditors late last week, before the Greek government walked away from negotiations and called a referendum, fit the same basic framework of trading austerity for bailouts of earlier deals, even if it made some adjustments around the edges to lessen some of the pain.
The Greek government was surely hoping that by walking away and calling a referendum, the creditors would rethink their intransigence, fearful of the economic and geopolitical consequences of letting Greece leave the eurozone. If anything, it pushed Germany and France, as well as Spain and Italy, closer together, full of exasperation with the Greeks’ negotiating style and aggressive demands.
For the clearest example of how deeply this strategy has failed, consider comments published Tuesday by the Italian prime minister Matteo Renzi, who would seem to be a prime target to reshift the framework of Europe’s negotiations along Greek-favored lines.
“The point is that Greece may get different conditions, but it has to abide by the rules,” Mr. Renzi told Il Sole 24 Ore, according to a BBC translation. “It’s not the case that we have taken early retirement pensions away from the people of Italy just to allow the Greeks to have them! We have brought in labor reform, but it is not the case that, with our money, a number of Greek shipowners can continue not to pay taxes. I could go on.”
Mr. Renzi fretted over the precedents if there were a radical rethinking of Greece’s deal: “If there is a mass get-out clause over the rules, what will happen in Spain in October? And in France in a year and a half? It is one thing to ask for flexibility amid abidance by the rules. It is another thing to think that one is the craftiest of them all, in other words to be the one that does not abide by the rules. We want to save Greece. But the people of Greece also have to want that.”
Mr. Tsipras was hoping that the threat of a Greek exit would get Europe to blink. The opposite seemed to happen.
Against that backdrop, his choices were limited. He could either reopen the negotiations within the basic framework the creditors demanded, or face being the prime minister who drove Greece away from Europe, losing his own job, or both.
He chose the former. But with the country already having missed a debt payment to the International Monetary Fund and events unfolding quickly and unpredictably, the question now is whether he was too late.
[...] Mr. Tsipras believes — and plenty of American and British economists are sympathetic to this view — that this trade-off was driven by bad economics and had disastrous human consequences. Austerity without debt write-downs created a depression, making the debt burden even harder to handle. [...]
Los USA.
Nah, el discurso anti austeridad lo han asumido casi todos en la izquierda, ya sea norteamericana o europea.
Nah, el discurso anti austeridad lo han asumido casi todos en la izquierda, ya sea norteamericana o europea.
En norteamérica no hay izquierda, y en Europa prácticamente tampoco (quedan masas de descontentos o añorantes del boom lifestyle, a los que se pone en movimiento con demagogia fucsia - que no roja).
El discurso anti-austeridad es mera propaganda. En España no ha habido austeridad ninguna (hemos seguido gastando más que ingresando) ni se ha seguido recomendación ni mandato europeo ninguno, y hay mucho discurso anti-austeridad.
El discurso anti-austeridad es muy emocional y ofrece un culpable muy cómodo que sustituye a los verdaderos problemas de cada país (p.ej., las castas extractivas nacionales, las redes clientelares, la corrupción, la falta de ingresos tributarios post-burbuja, etc.).
El discurso anti-austeridad sirve:
-a quien quiere aparentar ser izquierda, para plantear una situación político-emocional de David/Robin Hood contra Goliath/Sheriff de Nottigham, con la que ganarse a las masas - con el plus añadido de quedar uno estupendamente bien si pierde contra el supuesto supervillano.
- a quien quiere abortar el proyecto europeo (el eje anglo, que lleva unos días agitadísimo y agitador) para crear fricciones y vacíos entre países de la UE (con poco éxito) y entre las opiniones públicas de los países de la UE (con mayor éxito). En este sentido, Steve Keen está desatado (cosa que no esperaba).
El discurso anti-austeridad sirve:
-a quien quiere aparentar ser izquierda, para plantear una situación político-emocional de David/Robin Hood contra Goliath/Sheriff de Nottigham, con la que ganarse a las masas - con el plus añadido de quedar uno estupendamente bien si pierde contra el supuesto supervillano.
- a quien quiere abortar el proyecto europeo (el eje anglo, que lleva unos días agitadísimo y agitador) para crear fricciones y vacíos entre países de la UE (con poco éxito) y entre las opiniones públicas de los países de la UE (con mayor éxito). En este sentido, Steve Keen está desatado (cosa que no esperaba).
5/20/2015 @ 2:42AM 30,166 views
Their first proposal addressed the real cause of the crisis: the parlous state of many Greek (and Spanish and Cypriot) private banks after the crisis. The current arrangement requires the Greek government to borrow on their behalf from the European Stability Mechanism (ESM); they propose instead that the ESM should take over:
CitarOur proposal is that a national government should have the option of waiving its right to supervise and resolve a failing bank. Shares equivalent to the needed capital injection will then pass to the ESM… Reform may entail a merger, downsizing, even a full resolution of the bank, with the understanding that steps will be taken to avoid, above all, a haircut of deposits. Once the bank has been restructured and recapitalised, the ESM will sell its shares and recoup its costs.
Their second recognised the Maastricht Treaty’s limit on government debt of 60% of GDP, and proposed that this could also be an obligation of the ECB (European Central Bank). Since a 60% of GDP level was allowed, this should be funded by bonds backed by the ECB which would still be serviced by the Greek government. With the ECB issuing the bonds, the interest rate on them would reflect the credit rating of the ECB—which is absolute—rather than the tenuous credit rating of Greece. Rates on these bonds would fall from over 10% now to just above zero—and what holders would lose in returns they would gain in the certainty that the bonds would be honoured.
The third proposal was to use the European Investment Bank (EIB) and the almost dormant European Investment Fund (EIF) to fund infrastructure investments throughout Europe. Bonds used to finance this investment would be debt of the European Union in general, which is quite low, rather than of any member states. The fourth was to start a Emergency Social Solidarity Programme to undo some of the enormous harm that austerity progams have done to living standards in Europe. This program would:Citarguarantee access to nutrition and to basic energy needs for all Europeans, by means of a European Food Stamp Programme modelled on its US equivalent and a European Minimum Energy Programme.
These proposals are both modest and separable, and only the third and fourth proposals breach Schäuble’s uncompromising assertion that “Stimulus—both in fiscal and monetary policy—is not part of the plan”. Varoufakis expected that, when he became Finance Minister for Greece, he would be able to raise these proposals with his counterparts. Surely they could agree to the first two proposals—and certainly to the second, which would involve no cost to other EU partners? But instead he has found that his fellow Finance Ministers are unwilling to discuss anything except compliance with the existing, failing, program of austerity. For his exasperation at this, he is accused of “hectoring” his fellow Finance Ministers.
Or alternatively, could we please have some more of your taxpayers’ money to spend on our voters? Great politics domestically in Greece, not so hot in other eurozone countries.
Quel est donc l’enjeu ? Le référendum à venir porte en réalité sur notre destin européen commun. Voulons-nous d’une zone euro à deux vitesses, où les pays du nord pourraient dicter leur loi, en dehors de toute logique économique et sociale, aux autres, ou voulons-nous un espace de solidarité et de démocratie qui continue de s’unifier ?
Cual es el desafia. El referendum trata de nuestro porvenir europeo común.... Espacio de desolidaridad democracia que prosiga con la unificación
Eva JOLY Députée européenne Europe Ecologie
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El discurso anti-austeridad es mera propaganda. En España no ha habido austeridad ninguna (hemos seguido gastando más que ingresando) ni se ha seguido recomendación ni mandato europeo ninguno, y hay mucho discurso anti-austeridad.
El discurso anti-austeridad es muy emocional y ofrece un culpable muy cómodo que sustituye a los verdaderos problemas de cada país (p.ej., las castas extractivas nacionales, las redes clientelares, la corrupción, la falta de ingresos tributarios post-burbuja, etc.).
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El discurso anti-austeridad es mera propaganda. En España no ha habido austeridad ninguna (hemos seguido gastando más que ingresando) ni se ha seguido recomendación ni mandato europeo ninguno, y hay mucho discurso anti-austeridad.
El discurso anti-austeridad es muy emocional y ofrece un culpable muy cómodo que sustituye a los verdaderos problemas de cada país (p.ej., las castas extractivas nacionales, las redes clientelares, la corrupción, la falta de ingresos tributarios post-burbuja, etc.).
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Un buen amigo dejó de serlo tanto cuando discutimos sobre este tema. Rara vez discuto por política pero hay gente que se lo toma como algo personal
Todo sucedió cuando la señora Merkel y los que se ha venido a llamar la Troika nos hicieron una visita rápida en Madrid cuando nuestro default bancario y el atisbo de apretarnos las tuercas con el futuro MoU. Me comentó que se iba a una manifestación para ponerla a caldo: "¿quiénes se han creido que son para venir a imponernos nada?"
Le hice notar que esa línea de pensamiento era la que habían alimentado los mass-media durante el último mes, que era ridículamente germanófoba, que era un pensamiento que bebía del orgullo nacionalista y que si quería protestar contra la austeridad igual debería protestar delante de la sede del PSOE/PP, del Congreso o del Banco de España. Ni los alemanes ni la Troika nos habían metido en esto; nos habíamos metido solitos y con actitudes como las que se vivían aquellos días en la sociedad española sólo se defendía a los responsables directos del descalabro.
Pues se cabreó muchísimo. Me empezó a hablar de una conspiración del capital y no sé qué más historias para hacernos súbditos de Frankfurt y del EEUU. Allí lo vi claro: los culpables ya no es que fueran anónimos, es que eran organizaciones abstractas de las que él conocía poco o nada. Pero joder, ¡qué útiles eran para descargar la ira!
Por cierto, el sujeto no era un perroflauta nacido al calor del PAH. Estamos hablando de militantes de Izquierda Anticapitalista desde su fundación. Los hacía más leídos y menos influenciables por los que creo que son sus auténticos enemigos.
"Why we recommend a NO in the referendum – in 6 short bullet points"
[url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url] ([url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url])
"Why we recommend a NO in the referendum – in 6 short bullet points"
[url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url] ([url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url])
Debemos exigir que Yianis comparta esa mandanga que fuma, más que nada por ver si podemos llegar a entenderle:
1- Negotiations have stalled because Greece’s creditors (a) refused to reduce our un-payable public debt and (b) insisted that it should be repaid ‘parametrically’ by the weakest members of our society, their children and their grandchildren
Ha quedado bastante claro que no se le pide a Grecia que el peso de los ajustes recaiga en los más desfavorecidos sino todo lo contrario. ¿Se pone Yianis demagógico para proteger a la casta helénica - que debe ser la paganini a ojos de la UE?
2- The IMF, the United States’ government, many other governments around the globe, and most independent economists believe — along with us — that the debt must be restructured.
Hace una semana Yianis & Alexis llamaban "criminal" al FMI y lo señalaban como principal "enemigo de Grecia" en las negociaciones. Yianis & Alexis no han dejado de decir que Grecia debe seguir siendo de la UE pague o no pague. Sin embargo, ahora el FMI es su amigo, EEUU (esa gran nación sin deudas) es su amigo, "many other governments" son sus amigos (pero ninguno de sus 27 socios comunitarios) y los "economistas independientes" son sus amigos ("economistas independientes" significa aquéllos que dicen lo que a Grecia le conviene hoy - que suelen ser "anglo-dependientes").
3- The Eurogroup had previously (November 2012) conceded that the debt ought to be restructured but is refusing to commit to a debt restructure
El Eurogrupo ha dicho por activa y por pasiva que desean una reestructuración de deuda, pero no se comprometen a ella porque Grecia no presenta planes buenos ni creíbles.
4- Since the announcement of the referendum, official Europe has sent signals that they are ready to discuss debt restructuring. These signals show that official Europe too would vote NO on its own ‘final’ offer.
Desde el anuncio del referéndum, "official Europe" (¡qué desliz freudiano Yianis, no cuentas a Grecia como "official Europe" cuando representas a uno de los 28 Estados Miembros!) ha dicho que si te pasas por el forro la negociación y anuncias un referéndum, ahora haces el referéndum y ellos esperan a ver qué te pasa (i.e., no se dejan llevar por tu intento de adulterar la negociación con demagogia en las urnas)
5- Greece will stay in the euro. Deposits in Greece’s banks are safe. Creditors have chosen the strategy of blackmail based on bank closures. The current impasse is due to this choice by the creditors and not by the Greek government discontinuing the negotiations or any Greek thoughts of Grexit and devaluation. Greece’s place in the Eurozone and in the European Union is non-negotiable.
Cuando sale un político a asegurar al pueblo que los depósitos bancarios son seguros, hay que echarse a temblar, y Yianis es político. No renovar líneas de financiación a un Estado en quiebra técnica que se niega a negociar cabalmente no es una "estrategia de extorsión". Si se considera que eso es "estrategia de extorsión", se debe encontrar una palabra que describa la estrategia de un país que bloquea unilateralmente la negociación con 27 socios para convocar un plebiscito artero con el que usar a su población como arma y escudo ante sus socios.
6- The future demands a proud Greece within the Eurozone and at the heart of Europe. This future demands that Greeks say a big NO on Sunday, that we stay in the Euro Area, and that, with the power vested upon us by that NO, we renegotiate Greece’s public debt as well as the distribution of burdens between the haves and the have nots.
- Quien pide dinero prestado, se lo gasta en putas y farlopa, y deja a su país quebrado tiene tradicionalmente poco fundamento para hablar de "orgullo", excepto si ha consumido estupefacientes o es un político nazionalista que protege a su casta extractiva con artimañas demagógico-patrioteras.
- Yianis & Alexis, Caudillos de Hellas por la Gracia de Zeus, pueden convocar un referéndum, elaborar la pregunta confusa que les convenga, pedir el NO a voz en grito y amenazar con irse y dejar el país en el caos si sale el SÍ (en lugar de responsablemente implementar el SÍ que emerja de la voluntad popular). Eso es "democracia". Sus detractores no pueden pedir el SÍ a gritos porque eso es manipulación de la voluntad popular griega, injerencia en los asuntos internos del país, extorsión político-económica, totalitarismo, etc.
"Why we recommend a NO in the referendum – in 6 short bullet points"
[url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url] ([url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url])
Debemos exigir que Yianis comparta esa mandanga que fuma, más que nada por ver si podemos llegar a entenderle:
seq(1:6)
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"Why we recommend a NO in the referendum – in 6 short bullet points"
[url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url] ([url]http://yanisvaroufakis.eu/2015/07/01/why-we-recommend-a-no-in-the-referendum-in-6-short-bullet-points/[/url])
Debemos exigir que Yianis comparta esa mandanga que fuma, más que nada por ver si podemos llegar a entenderle:
seq(1:6)
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Hace un par de días se postearon aquí unas gráficas en las que se veía que la exposición la deuda helena por parte de los bancos y países de la UE había caído a niveles muy bajos o desde mi punto de vista "asumibles" si jamás se iba a recuperar lo prestado. En ese momento entendí que el poder negociador de Atenas era cero patatero.
Por otra parte, los guiños a Rusia y a China por parte de Grecia me parecen poco aconsejables. Eso no lo veo como una herramienta de presión sobre la UE y EEUU, sino pegarte un tiro en el pie ya que pierdes toda posible confianza de los únicos que te pueden sacar del lío, aunque hayan contribuido a creártelo. ¿Voy a meter pasta en un país que el día menos pensado pasa a las manos económicas del "enemigo"?. No, dejo que se pudra a lo largo de un proceso largo y tedioso.
El gobierno griego ha jugado fatal unas cartas malas. Pero igual así, en la cuna de la democracia, veremos lo que realmente supone ésta: que un gobierno que ha llegado al poder prometiendo y tratando de cumplir lo imposible te puede meter en un follón enorme cuando debería estar ofreciendo soluciones.
Y las chorradas sobre un referéndum con pregunta que nadie entiende, la permanencia en el euro, en la UE, la OTAN o en la comunidad de vecinos... creo que es pienso de consumo interno para que si la cosa acaba en tragedia, tengan un fermento nacionalista sobre el cual erigirse cual héroes de la miseria. Todo lo que le pase a ese gobierno me parece poco.
Varoufakis Says He’ll Quit as Finance Minister After a ‘Yes’
July 2, 2015 — 9:55 AM BST Updated on July 2, 2015 — 10:11 AM BST
Greek Finance Minister Yanis Varoufakis said he’ll quit if Greece votes to accept creditors’ bailout proposals in Sunday’s referendum.
In the event of a “yes” vote, “I will not” be finance minister on Monday evening, Varoufakis said in an interview with Bloomberg Television in Athens Thursday. “But I will help whoever is” to navigate the country’s debt crisis, he said.
Varoufakis said that he expects Greeks to follow the government’s recommendation to reject the bailout proposals, which would require further tax increases and spending cuts in exchange for continued aid. He said he would “rather cut my arm off” than sign a new accord that doesn’t restructure Greece’s outstanding debt.
“What we’re saying to the Greek people is, ‘no more extend and pretend,’” Varoufakis said. “We want to reform this country...but we want to do it in the context of debt restructure.”
Sí estaba previsto por lo visto, lo de la reestructuración de deuda. En Octubre. Pero esto lo ha puesto _ya_ encima de la mesa.
Lo de beneficiar a Alemania... es lo mismo que si se dice que en España la política va de beneficiar a Madrid, o a Msdrid y Barcelona... etc. Hagas lo que hagas beneficias a unos y "perjudicas" a otros. Solo por porcentaje de Pib aleman sobre el pib eurozonero, ya ha que tener en consideración los intereses de Alemania. No significa gran cosa, creo.
También hacia el final se habla de si se puede "crecer" bajo una política monetaria que está plenamente dirigida a beneficiar a Alemania.¿? ¿Es que todavía hay dudas?
Cambiamos los sujetos de los argumentos y estamos en la misma discusion de siempre.
Piensa y vota y haz uso de tus pancartas, soberanias, orgullos o dignidades lo que te parezca.
Es todo muy muy sencillo:
NH (más) D!
Yme debes tanto.ya he amortizado los préstamos.
Tu mismo.
Sds.
También funciona así:Cambiamos los sujetos de los argumentos y estamos en la misma discusion de siempre.
Piensa y vota y haz uso de tus pancartas, soberanias, orgullos o dignidades lo que te parezca.
Es todo muy muy sencillo:
NH (más) D!
Yme debes tanto.ya he amortizado los préstamos.
Tu mismo.
Sds.
:tragatochos:
La deuda es pagable.
En este gráfico, que no puedo enlazar porque no es una foto, se ve que la deuda sube y baja y que no hay ningun inmpedimento metafisico para llevarla a cero. es cuestión de ponerse.
[url]http://cincodias.com/cincodias/2014/12/12/graficos/1418410740_043679.html[/url] ([url]http://cincodias.com/cincodias/2014/12/12/graficos/1418410740_043679.html[/url])
Sobre la supuesta impagabilidad de la deuda, ya se ha debatido mucho.
Sabes que mi post es humorístico y satírico, ¿verdad?
[...]
Le hice notar que esa línea de pensamiento era la que habían alimentado los mass-media durante el último mes, que era ridículamente germanófoba, que era un pensamiento que bebía del orgullo nacionalista y que si quería protestar contra la austeridad igual debería protestar delante de la sede del PSOE/PP, del Congreso o del Banco de España. Ni los alemanes ni la Troika nos habían metido en esto; nos habíamos metido solitos y con actitudes como las que se vivían aquellos días en la sociedad española sólo se defendía a los responsables directos del descalabro.
Pues se cabreó muchísimo. Me empezó a hablar de una conspiración del capital y no sé qué más historias para hacernos súbditos de Frankfurt y del EEUU. Allí lo vi claro: los culpables ya no es que fueran anónimos, es que eran organizaciones abstractas de las que él conocía poco o nada. Pero joder, ¡qué útiles eran para descargar la ira!
[...]
Sabes que mi post es humorístico y satírico, ¿verdad?
The forgotten origins of Greece’s crisis will make you think twice about who’s to blame
Stop me if you’ve heard this one.
[foto de Merkel con una jarra de cerveza]
The Greeks, Italians, Spaniards and Irish walk into a bar, where the French and Germans are the bartenders. It’s happy hour, and the Germans and the French are serving half-price drinks. Although everyone quickly drinks too much, the bartenders keep on serving. Eventually, the inebriated customers head home and get into all kinds of trouble -- fights, car accidents, some broken windows.
So who’s to blame? Clearly, the Greeks shouldn’t have drunk so much. However, the French and Germans also shouldn’t have served the Greeks when they were clearly drunk -- especially if the French and Germans mind having broken glass in their neighborhood.
Unfortunately, this isn’t much of a joke. After an extended binge, Greece is now mired in financial crisis and is dragging the European economy down with it. In the last few days, Greece has defaulted on a important payment to the IMF and shuttered its banks to prevent massive flows of money from leaving the country. On Sunday, the country is slated to hold a referendum on whether to approve tough austerity measures demanded by Europe -- a decision that could determine whether Greece will stay in the euro zone.
Some of the reasons for the crisis are obvious to anyone who looks. Greece has a lot of well-recognized economic problems: Its public sector is bloated and marred by corruption, and many analysts say that the country cooked its books to hide the real amount of debt from the rest of Europe.
[vídeo]
There are also many well-documented problems stemming from the design of the euro zone itself – that the countries share a common currency even though they have different tax-and-spending policies. So that means that even though Greek workers aren’t as economically competitive as Germans, Greece can’t lower the value of its currency to make its products cheaper abroad and stimulate exports.
The same holds true for inflation, where Greece might benefit from a higher inflation rate that would make debt in today's prices become cheaper, while Germany has a historic unease with any policy that might stimulate inflation.
The deeper origins
There are some other ideas about the deeper origins of the Greek crisis that you may be less familiar with.
Once the Greeks joined the euro in 2002, they could borrow at very cheap rates given they were now borrowing under the continent's implicit guarantee, and they dramatically over-borrowed.
"But given that there was high growth, no one was really worried about it,” says Matthias Matthijs, a professor at Johns Hopkins University SAIS and co-editor of the new book, “The Future of the Euro," who relayed the bar metaphor.
Between 1998 and 2007, Greece's annual economic growth per person was 3.8 percent -- the second fastest rate in Europe.
But there were weaknesses within. The booming economy in Greece and other countries such as Ireland and Spain caused prices to rise, and the countries gave generous pay rises to their workers, which made their exports more expensive. That made the countries less competitive, but since they were growing so fast, it didn't matter too much.
Then the financial crisis hit. As economic growth slowed, these countries’ competitive weaknesses and unsustainable debt loads suddenly became glaringly obvious.
“It’s when the tide goes out that you see who’s swimming naked,” Matthijs says.
[fotos]
The lesser known story
Matthijs says there is a lesser known narrative he finds more compelling. Basically, he says, it helps to explain why the bartenders kept on serving.
In the mid-1990s, even before it came into existence, markets made a huge bet that the euro would be a reality. Specifically, investors, many in northern Europe, bet that interest rates in northern and southern Europe would converge. At the time, interest rates in southern Europe were much higher than in northern Europe, simply because people thought investing in countries like Greece was much riskier than investing in countries like Germany.
In anticipation of the euro zone, investors put lots of money in the cheap, high-yielding bonds of southern Europe. That helped to drive down yields and fueled borrowing and an economic boom in southern countries.
Ultimately, investors were right – Greek interest rates on 10-year bonds fell from around 20 percent in the early 1990s to only 3 percent in 2002. “They made a lot of money in the north betting against higher interest rates there. That fueled the boom, before the euro came, that overheated these economies."
As economies overheated, it’s not a surprise that their competitiveness suffered, says Matthijs.
([url]http://i.imgur.com/ycjo9jS.png[/url])
In short, many in the north pushed for a financial regime that didn't fit the Greek economy, because they personally stood to benefit. Many rightly blame the Greeks for its current crisis, but some of the blame belongs farther north as well, he argues.
Matthijs compares the situation to the U.S. subprime crisis. Who was really at fault for the housing crisis in the U.S.: The subprime borrowers who bought houses they couldn’t afford, or the predatory lenders who encouraged them to take them out?
“The Germans don’t like that comparison. But they were greedy. They wanted the higher yielding bonds there, they wanted to invest there,” he says of southern Europe.
IMF says Greece needs extra €50bn in funds and debt relief
The International Monetary Fund has electrified the referendum debate in Greece after it conceded that the crisis-ridden country needs €50bn (£35bn or $55bn) of extra funds over the next three years and large-scale debt relief to create “a breathing space” and stabilise the economy.
With three days to go before a knife-edge referendum, the IMF revealed a deep split with Europe as it warned that Greece’s debts were “unsustainable”.
Fund officials said they would not be prepared to put a proposal for a third Greek bailout package to the Washington-based organisation’s board unless it included both a commitment to economic reform and debt relief.
Live Greek crisis: IMF says country needs €50bn more and debt relief - live
Greece’s finance minister tells Bloomberg TV he’d rather cut his arm off than agree to a deal without debt restructuring
Read more
According to the IMF, Greece should have a 20-year grace period before making any debt repayments and that final payments should not take place until 2055.
The IMF’s analysis will be seized upon by Alexis Tsipras, the Greek prime minister, who has been insisting that he will only agree to tough new austerity measures if Greece is granted debt relief.
In a strong message to European leaders, the IMF said they would need to find extra money for Greece following the marked deterioration in the state of the economy since Tsipras’s Syriza coalition took over at the start of the year.
“Very signficant changes in policies and in the outlook since early this year have resulted in a substantial increase in financing needs. Altogether, under the package proposed by the institutions to the Greek authorities, these needs are projected to reach about €50bn from October 2015 to the end of 2018, requiring new European money of at least €36bn over the three-year period.
- La deuda contraída es impagable por definición y traerá consigo una crisis de impagados si o si.Se que entramos en el terreno de la dialéctica pero los memes, de usarse, han de ser ciertos.
¿ Por que en Grecia no se hizo un referendum a la hora de endeudarse ?Es que aunque se hubiera hecho... habría salido que si.
ante las formidables montañas de deuda impagable creada en el mundo y que nada tienen que ver con producir.Perdoname amigo juancoco, pero estamos en el mismo caso de antes.
The American/European divide on Greece
Is it just my imagination, or is there considerably more support for Greece in the US than in Europe? As far as I can tell there is almost universal outrage in Europe over the recent actions of the Syriza government, except perhaps on the extreme left. In contrast, I see significant support for Greece among US pundits. Why? (Keep in mind that in most respects, opinion in Europe is well to the left of mainstream opinion in the US.) Here are some possibilities:
1. Framing effects. In this recent article, Anne Roiphe indicated that at an emotional level she found herself sympathizing with the escaped convicts in New York, even though the logical side of her mind knew they were not deserving of sympathy.Citar"""Don’t say it. I know that is a daydream without a shred of reality. This is not the way a grown up woman should think. And yet this Jewish woman, if honest, admits that the hunted and the chased evoke her worry, and the power of the state is not always benign, and that the day I loose my faint wish that these convicts or the next ones escape captivity is the day I loose my Jewish memory. So then I have to tolerate both the twinge of fear I feel for the escapees and the hatred I have for them as killers and thugs."""
Perhaps something like that is going on here. Over at Econlog I have a post on the mezzogiorno, a failed region of 20 million people in southern Italy. I’d guess that in Europe there’s not a lot of sympathy for this region, perhaps because outsiders feel that Sicilians and Neapolitans have only themselves to blame. In America, progressives employ a sort of “victims and villains” framing, where poor minorities are seen as being poor precisely because they are oppressed by the dominant class. Americans may see the Greeks as a “victimized” group, whereas the Europeans may see them simply as a country governed by irresponsible white males.
2. Perhaps the difference is explained by the fact that it’s their money, not ours, which would be used to bailout Greece. (After all, there’s nothing stopping the US government from bailing out Greece.) We have everything to gain from European stability, and avoiding another Lehman moment, and nothing to lose from a deal. We just want the two sides to agree on something.
3. Maybe it’s because Americans have a better understanding of macro, and thus a better understanding of the fact that the Greek depression is partly caused by low AD, not just irresponsible Greek policies. This is the point where my views are closest to Syriza.
4. Perhaps Americans are less aware of just how extreme the Syriza party really is. There aren’t many Maoists in the governing coalition, but it’s kind of shocking that there are any. In most European countries, extremists are not allowed into the ruling coalition, even if this exclusion results in a minority government, or another election. The fact that they are sympathetic to Putin is also not widely understood here. Europeans expect a certain degree of “seriousness” in their governments (recall they pressured the Berlusconi government to give up power), and Syriza just doesn’t have it. We are a long way away, and maybe the fact that Syriza is a government more fitting for Argentina than a EU member is less worrisome to us.
5. We’ve always had a sort of “debtors mentality” in America. We have relatively lenient bankruptcy laws, compared to Europe. In America, people like Trump go bankrupt and just start over, as if nothing happened. You can even run for president. In many parts of Europe, a person’s responsibility to pay their debts is taken much more seriously.
6. The Europeans (who often vacation in Greece) might think the Greeks are exaggerating the amount austerity, noting that Greeks are still about as rich as they were in 2000, while Italians are actually poorer. In saying this, I don’t doubt that many individual Greeks are suffering, but is that because the Greek government has not spread the pain evenly? Even today, Greek pensions are far higher than pensions in Eastern Europe, and Greece is asking Eastern European taxpayers to subsidize them with debt relief. That doesn’t go over well. In contrast, all that Americans know is what we see on news reports showing individual Greeks who have been hurt badly by the austerity.
7. Are there sentimental feelings in the US because western civilization began in Greece? Would we be equally sympathetic to equal suffering in nearby Moldova? I doubt it. (A Greek depression would be like paradise for Moldovans, the world’s unhappiest people.)
What else?
[url]http://cincodias.com/cincodias/2014/12/12/graficos/1418410740_043679.html[/url] ([url]http://cincodias.com/cincodias/2014/12/12/graficos/1418410740_043679.html[/url])
En el gráfico de la deuda publica española que sube y baja, estaría bien comparar con la deuda privada.
- se vería la "socialización" de deuda privada ? (bancaria)
- pero, ¿es posible la comparación?
Sobre el articulo del [url]http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/07/01/the-forgotten-origins-of-greeces-terrible-crisis-will-make-you-think-twice-about-whos-to-blame/[/url] ([url]http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/07/01/the-forgotten-origins-of-greeces-terrible-crisis-will-make-you-think-twice-about-whos-to-blame/[/url])
hay una cosa que se podría añadir, y que no consideramos
-- Los acreedores han prestado un dinero que previamente "extrajeron" de sus respectivas burbujas (Alemania es un caso especial, pero su supéravit europeo es lo mismo: una burbuja)
Es decir, los UE-27 están pidiendo a Grecia que respalde un dinero que, de no ser porque los Grecios lo sellaron, no exisitiría más que en un futuro hipotético. La ventaja de mantener contabilidades separadas, es que tienes un PIGS que hizo de primo, al ponerle fecha de devolución a una renta que -- de haber quedado dentro de cada contabilidad nacional -- no sería honrada porque supera la producción ordinaria.
Con Grecia, tenemos 27 esquemas rentistas nacionales, irreales, que una vez trasladados un esquemaa transnacional Grecia x (27UE) se pretende que sea real.
La relación entre UE-27 frente a GR reproduce exactamente el dilema de nuestras castuzas nacionales respecto de los laminados locales.
Por ejemplo, FR y ES extraen rentas inmobiliarias de sus propios mutilados. No es sostenible. Pero el valor del título de esa promesa a 10 o 20 años, se lo prestan a GR, y los Griegos lo convierten en un valor monetizable a 6 meses.
Igual con DE: Alemania se pone a producir con un supéravit que no es absorbible con cuentas nacionales. Pero al venderlo a préstamo a los PIGS, con contabilidades separadas, los Alemanes monetizan esa deuda como si fuese una exportación asumida por los PIGS.
El problema con Grecia es el mismo que para todos los rentismos extraordinarios: para ser "monetizable" se necesita de un tercero como Grecia o los PIGS que le ponga fecha de realización. Sin ese tercero, los rentistas no podrían sostener el valor de las rentas extraidas sobre sus propios nacionales.
El rentismo funciona como si hubiera encontrado la piedra filosofal. Da igual lo que produzcas realmente, el papel de la promesa se convierte en oro, basta con encontrar un tercero que le ponga fecha de ejecución.
===
Bueno, mi tesis es la fusión contable. Pero hace falta una reforma constituyente de Europa, de forma que estas deudas "exteriores" extrañas (contabilidad separada, pero moneda común) se puedan tornar transferencias intracontinentales, es decir, un mecanismo de distribución de riqueza. Porque en el fondo, de eso se trataba, hasta que en los años 80 etc.
En esa perspectiva, la propuesta de Varoufakis es técnicamente correcta, y la propuesta de la U-27 (la de los gobiernos rentistas) no lo es.
Lo demás, es lucha mexicana, estoy de acuerdo. Pero se debe a que una parte pide union fiscal para beneficarse de la distribución, y la otra se niega a la union, porque supone declarar que las rentas extraidas a sus propios nacionales fueron abusivas. Prefieren seguir dando patadas adelante con Grecia interpuesta antes que asumir el hundimiento de su modelo extractivo.
¡Que son todos gobiernos del CP, gobiernos extractivos con los que hay que acabar y se resisten a morir!
Ambas partes tienen argumentos con parte de razón, pero técnicamente, la Modesta proposición me parece la única viable. NO seguirla, es reconocer que el rentismo, el CP fue un sistema economico legítimo, y viable.
Y no, el rentismo, sea bueno o malo, no fue legítimo, porque no estaba correlado al crecimiento real, que es la única verdad del porquero.
The ascension of Mario Monti to the Italian prime ministership is remarkable for more reasons than it is possible to count. By replacing the scandal-surfing Silvio Berlusconi, Italy has dislodged the undislodgeable. By imposing rule by unelected technocrats, it has suspended the normal rules of democracy, and maybe democracy itself. And by putting a senior adviser at Goldman Sachs in charge of a Western nation, it has taken to new heights the political power of an investment bank that you might have thought was prohibitively politically toxic.
This is the most remarkable thing of all: a giant leap forward for, or perhaps even the successful culmination of, the Goldman Sachs Project.
It is not just Mr Monti. The European Central Bank, another crucial player in the sovereign debt drama, is under ex-Goldman management, and the investment bank's alumni hold sway in the corridors of power in almost every European nation, as they have done in the US throughout the financial crisis. Until Wednesday, the International Monetary Fund's European division was also run by a Goldman man, Antonio Borges, who just resigned for personal reasons.
Even before the upheaval in Italy, there was no sign of Goldman Sachs living down its nickname as "the Vampire Squid", and now that its tentacles reach to the top of the eurozone, sceptical voices are raising questions over its influence. The political decisions taken in the coming weeks will determine if the eurozone can and will pay its debts – and Goldman's interests are intricately tied up with the answer to that question.
Simon Johnson, the former International Monetary Fund economist, in his book 13 Bankers, argued that Goldman Sachs and the other large banks had become so close to government in the run-up to the financial crisis that the US was effectively an oligarchy. At least European politicians aren't "bought and paid for" by corporations, as in the US, he says. "Instead what you have in Europe is a shared world-view among the policy elite and the bankers, a shared set of goals and mutual reinforcement of illusions."
This is The Goldman Sachs Project. Put simply, it is to hug governments close. Every business wants to advance its interests with the regulators that can stymie them and the politicians who can give them a tax break, but this is no mere lobbying effort. Goldman is there to provide advice for governments and to provide financing, to send its people into public service and to dangle lucrative jobs in front of people coming out of government. The Project is to create such a deep exchange of people and ideas and money that it is impossible to tell the difference between the public interest and the Goldman Sachs interest.
Mr Monti is one of Italy's most eminent economists, and he spent most of his career in academia and thinktankery, but it was when Mr Berlusconi appointed him to the European Commission in 1995 that Goldman Sachs started to get interested in him. First as commissioner for the internal market, and then especially as commissioner for competition, he has made decisions that could make or break the takeover and merger deals that Goldman's bankers were working on or providing the funding for. Mr Monti also later chaired the Italian Treasury's committee on the banking and financial system, which set the country's financial policies.
With these connections, it was natural for Goldman to invite him to join its board of international advisers. The bank's two dozen-strong international advisers act as informal lobbyists for its interests with the politicians that regulate its work. Other advisers include Otmar Issing who, as a board member of the German Bundesbank and then the European Central Bank, was one of the architects of the euro.
Perhaps the most prominent ex-politician inside the bank is Peter Sutherland, Attorney General of Ireland in the 1980s and another former EU Competition Commissioner. He is now non-executive chairman of Goldman's UK-based broker-dealer arm, Goldman Sachs International, and until its collapse and nationalisation he was also a non-executive director of Royal Bank of Scotland. He has been a prominent voice within Ireland on its bailout by the EU, arguing that the terms of emergency loans should be eased, so as not to exacerbate the country's financial woes. The EU agreed to cut Ireland's interest rate this summer.
Picking up well-connected policymakers on their way out of government is only one half of the Project, sending Goldman alumni into government is the other half. Like Mr Monti, Mario Draghi, who took over as President of the ECB on 1 November, has been in and out of government and in and out of Goldman. He was a member of the World Bank and managing director of the Italian Treasury before spending three years as managing director of Goldman Sachs International between 2002 and 2005 – only to return to government as president of the Italian central bank.
Mr Draghi has been dogged by controversy over the accounting tricks conducted by Italy and other nations on the eurozone periphery as they tried to squeeze into the single currency a decade ago. By using complex derivatives, Italy and Greece were able to slim down the apparent size of their government debt, which euro rules mandated shouldn't be above 60 per cent of the size of the economy. And the brains behind several of those derivatives were the men and women of Goldman Sachs.
The bank's traders created a number of financial deals that allowed Greece to raise money to cut its budget deficit immediately, in return for repayments over time. In one deal, Goldman channelled $1bn of funding to the Greek government in 2002 in a transaction called a cross-currency swap. On the other side of the deal, working in the National Bank of Greece, was Petros Christodoulou, who had begun his career at Goldman, and who has been promoted now to head the office managing government Greek debt. Lucas Papademos, now installed as Prime Minister in Greece's unity government, was a technocrat running the Central Bank of Greece at the time.
Goldman says that the debt reduction achieved by the swaps was negligible in relation to euro rules, but it expressed some regrets over the deals. Gerald Corrigan, a Goldman partner who came to the bank after running the New York branch of the US Federal Reserve, told a UK parliamentary hearing last year: "It is clear with hindsight that the standards of transparency could have been and probably should have been higher."
When the issue was raised at confirmation hearings in the European Parliament for his job at the ECB, Mr Draghi says he wasn't involved in the swaps deals either at the Treasury or at Goldman.
It has proved impossible to hold the line on Greece, which under the latest EU proposals is effectively going to default on its debt by asking creditors to take a "voluntary" haircut of 50 per cent on its bonds, but the current consensus in the eurozone is that the creditors of bigger nations like Italy and Spain must be paid in full. These creditors, of course, are the continent's big banks, and it is their health that is the primary concern of policymakers. The combination of austerity measures imposed by the new technocratic governments in Athens and Rome and the leaders of other eurozone countries, such as Ireland, and rescue funds from the IMF and the largely German-backed European Financial Stability Facility, can all be traced to this consensus.
"My former colleagues at the IMF are running around trying to justify bailouts of €1.5trn-€4trn, but what does that mean?" says Simon Johnson. "It means bailing out the creditors 100 per cent. It is another bank bailout, like in 2008: The mechanism is different, in that this is happening at the sovereign level not the bank level, but the rationale is the same."
So certain is the financial elite that the banks will be bailed out, that some are placing bet-the-company wagers on just such an outcome. Jon Corzine, a former chief executive of Goldman Sachs, returned to Wall Street last year after almost a decade in politics and took control of a historic firm called MF Global. He placed a $6bn bet with the firm's money that Italian government bonds will not default.
When the bet was revealed last month, clients and trading partners decided it was too risky to do business with MF Global and the firm collapsed within days. It was one of the ten biggest bankruptcies in US history.
The grave danger is that, if Italy stops paying its debts, creditor banks could be made insolvent. Goldman Sachs, which has written over $2trn of insurance, including an undisclosed amount on eurozone countries' debt, would not escape unharmed, especially if some of the $2trn of insurance it has purchased on that insurance turns out to be with a bank that has gone under. No bank – and especially not the Vampire Squid – can easily untangle its tentacles from the tentacles of its peers. This is the rationale for the bailouts and the austerity, the reason we are getting more Goldman, not less. The alternative is a second financial crisis, a second economic collapse.
Shared illusions, perhaps? Who would dare test it?
Une chose est claire, aujourd’hui plus que jamais : soit l’Europe change, soit elle meurt.
La Grèce, seule, ne peut s’en sortir. Elle peut supporter un autre round, mais si d’autres peuples et d’autres gouvernements ne se rangent pas à ses côtés, l’espoir qu’elle a engendré mourra étouffé.
C’est pourquoi les élections de cet automne, en Espagne et au Portugal, sont si importantes.
C’est pourquoi le processus de reconstruction d’une gauche italienne, à la hauteur de ces défis, est si important ; il devra dépasser les fragmentations et les particularismes, les incertitudes et les distinguos pour construire, vite, une vraie maison commune, grande et crédible.
Ce texte est un éditorial du «Manifesto» du 27 juin 2015.
Traduit de l’italien par Marguerite Pozzoli.
Marco REVELLI sociologue et historien italien
Suite au gâchis grec, nous voulons une direction politique de l'Europe
Publication: 02/07/2015 15h04 CEST Mis à jour: il y a 3 heures
Nous demandons également qu'il y ait désormais un contrôle parlementaire européen de la zone euro.
Que cela soit l'action de la Commission au sein de la Troïka en Grèce ou les décisions prises à la sortie des Eurogroupes, jamais cela n'a été défendu et expliqué devant les représentants directs des citoyens européens. Un contrôle parlementaire n'est pas une fin en soi mais un moyen d'apporter de la lumière aux négociations menées derrière des portes closes.
crise grecque jeudi 02 juillet 2015
Quand l’ONU s’invite dans le débat européen en soutenant Tsipras
Frédéric Koller
Alfred de Zayas, rapporteur spécial du Haut-Commissariat aux droits de l’homme pour la promotion d’un ordre international démocratique et équitable, se félicite du référendum grec
- La deuda contraída es impagable por definición y traerá consigo una crisis de impagados si o si.Se que entramos en el terreno de la dialéctica pero los memes, de usarse, han de ser ciertos.
La deuda es cobrable por definición.
De hecho, un instante infinitesimal antes de que se convirtiese en incobrable, el prestamista cierra el grifo. Fíjate hasta que punto esto es cierto, que en Grecia están llegando a ese punto... AHORA!!! :biggrin:
Es decir, todo lo anterior o es cobrable, o está descontado en los intereses del préstamo.
Por lo tanto, la deuda es pagable hasta el punto en que el prestamista estima que es pagable, el prestamista descuenta las probabilidades del impago a la hora de darte dinero (de ahí la prima de riesgo).
Desconozco de donde ha salido el meme de la deuda impagable pero es a todas luces incierto.Citar¿ Por que en Grecia no se hizo un referendum a la hora de endeudarse ?Es que aunque se hubiera hecho... habría salido que si.
Diré mas: mi abuela no tiene porqué estar votando en referéndums cada 3 semanas, y mucho menos sobre cuestiones en las que es reconocidamente y a todas luces ignorante.
Salvo que quramos que las amas de casa empiecen a votar sobre como hay que realizar los bypass coronarios o si hay que vacunar a los niños. Cada día me escaman más las invocaciones al pueblo.Citarante las formidables montañas de deuda impagable creada en el mundo y que nada tienen que ver con producir.Perdoname amigo juancoco, pero estamos en el mismo caso de antes.
La deuda está asegurada.
Y detrás del seguro hay otro. Y luego otro. Y así hasta que el último seguro estima que no puede asegurar más. Y al final del toda esta cadena, encontramos una Sociedad Anónima donde los socios sólo responden del capital aportado.
Y a partir de ahí ya no hay más. Cero. Null.
Habría que acabar con el constructo llamado "sociedad de responsabilidad limitada" para acabar con el supuesto problema de deuda. Es decir: la solución propuesta al problema del capitalismo, es el anticapitalismo.
Pues para eso no hace falta tantas alforjas.
Digamos que preferimos un sistema comunista donde la deuda como tal no existe al ser asumida íntegramente por el Estado, y acabamos antes.
Que manda cojones, nadie niega que esa deuda se haya adquirido pero con toda la tranquilidad del mundo se dice que es impagable... ;D ;D
Las deudas impagables son como los billetes de 500.
Se habla ed ellas pero pocos las tienen. Y cuando las tienen, las esconden. Por algo será.
(Fusión deudor-acreedor) ;)
By now it should be clear to all that the only reason why Germany has been so steadfast in its negotiating stance with Greece is because it knows very well that if it concedes to a public debt reduction (as opposed to haircut on debt held mostly by private entities such as hedge funds which already happened in 2012), then the rest of the PIIGS will come pouring in: first Italy, then Spain, then Portugal, then Ireland.
(...)
In this way, while the outcome of the Greek situation is currently unknown, it has also become moot, because at this very moment, politicians from Spain's Podemos to Italy's Five Star movement are drafting memos demanding that the IMF evaluate their own debt sustainability. Or rather unsustainability.
Schulz said: “New elections would be necessary if the Greek people vote for the reform programme and thus for remaining in the eurozone and Tsipras, as a logical consequence, resigns.”
In an outburst that was extraordinary coming from the most senior official in the EU parliament, he argued that the radical left Syriza government should be replaced by a technocratic administration.
“If this transitional government reaches a reasonable agreement with the creditors, then Syriza’s time would be over,” he said. “Then Greece has another chance.”
Prime Minister Alexis Tsipras insisted on Thursday that a ‘no’ vote in Sunday’s referendum would give him a chance to negotiate a better outcome with the country’s lenders.
He made the promise in an interview with Greek TV, as voters decided whether to accept the latest debt deal.
But Tsipras was forced to concede that a ‘yes’ vote would likely bring a quick end to capital controls.
“If the ‘yes’ vote wins, the banks will open but with an unviable deal. But if that is the decision of the Greek people – either from fear, pressure or choice – we will respect it,” he told Greek TV.
“But if the ‘no’ vote wins, and the ‘no’ is stronger, I assure you, the very next day I will be in Brussels and a deal will be signed,” Tsipras added.
His comments came as European Parliament President Martin Schultz called for Tsipras and his team to be replaced by a technocrat government if Greeks voted ‘yes’.
The International Monetary Fund warned on Thursday that Greece would not survive without massive debt relief and 50 billion euros in new financing.
But IMF chief Christine Lagarde reiterated that Athens wouldn’t get any special payment terms from them.
One analyst told the Associated Press news agency that most lenders were uneasy at the prospect of debt relief.
“When the IMF calls for a debt relief it doesn’t include its own lending. The European Central Bank has done the same exact thing. The ECB is in favour of debt relief for Greece too, just not the debt that the ECB is holding.” said Megan Greene, Chief Economist of Manulife Asset Management.
She added that Germany isn’t in favour of any debt relief.
As ATM queues grew longer on Thursday, Bloomberg reported that Greek banks’ liquidity reserves would “probably only last until Monday”.
As much as the the public feared cash shortages for household expenses, business leaders said they needed emergency liquidity to prevent the wider economy grinding to a halt.
European Parliament president Martin Schulz said his faith in the Greek government had reached "rock bottom," and that he hopes it resigns after Sunday's referendum.
Prime Minister Alexis Tsipras has urged citizens to vote against European Union and International Monetary Fund bailout conditions in the plebiscite Sunday. Tsipras announced the balloting after talks with creditors broke down, leading Greece to default on a debt payment and stoking fears it could crash out of the euro.
Schulz on Thursday told German Handelsblatt business daily that "new elections would be necessary if the Greek people vote for the reform programme and thus for remaining in the eurozone and Tsipras, as a logical consequence, resigns."
The time between the departure of Tsipras' hard-left Syriza party and new elections would have to "be bridged with a technocratic government, so that we can continue to negotiate," Schulz was quoted as saying.
"If this transitional government reaches a reasonable agreement with the creditors, then Syriza's time would be over," he said. "Then Greece has another chance."
Schulz charged that Tsipras was "unpredictable and manipulates the people of Greece, in a way which has almost demagogical traits."
"My faith in the willingness of the Greek government to negotiate has now reached rock bottom," he said
Greek Finance Minister Yanis Varoufakis said Thursday the government "may very well" quit if the public went against it in Sunday's plebiscite by voting for more austerity in return for international bailout funds.
The Greek Dilemma / Ma cedere ai ricatti è sempre un errore
03/07/2015 / L. ZINGALES
Article written for the Italian Magazine L’Espresso.
Qui l’articolo originale sul sito de L’Espresso.
Sunday the Greeks will choose, but from what choices? Listening to Prime Minister Tsipras, they could say no to the humiliating conditions imposed by Troika or yes to eternal austerity. Listening to the opposition they could say yes to Europe and no to the Euro. Both affirmations are true, but they conveniently omit part of the truth, or rather what will truly happen after the victory of either front. Tsipras omits saying that if the No wins, less than a radical change in Europe’s behavior towards Greece, little can allow Greece to stay in the Euro, a result preferred by the majority of Greeks. The opposition omits saying that this plan of austerity pushes away the risk of bankruptcy, but doesn’t eliminate it. If they don’t change things, after this plan there will probably be another, and another still, because the Greek debt is not sustainable, less than a radical change in Europe’s behavior towards Greece.
It is clear that a Greek that wants to leave the Euro will vote No and one who is okay with the politics imposed by Europe will vote Yes. But these represent the minority. The majority of Greeks wants concessions from Europe, but also wants to stay in the Euro: how should they vote? What makes this referendum unusual is exactly this. In the choice between monarchy and republic, between abortion or not, the consequences of their choice is clear, because they are predetermined. In this referendum they are not. It is asked of citizens that they vote on a negotiation strategy and the main difference between the Yes front and the No one is in the hypotheses that are assumed about how Europe will react. Syriza’s belief is that Europe is more afraid of losing Greece than Greece is of losing Europe. If it were the case, a No victory would force Europe to yield in negotiations so as to avoid Greece’s exit. On the contrary, the beliefs of the opposition are that more is obtained from Europe with good manners than with bad. In this case, a Yes victory, with the probable fall of Tsipras, would bring along the formation of a new government, more in synchrony with Europe. Knowing that the survival of the new government depends on concessions that it manages to obtain from Troika, the latter would be essentially forced to make generous compromises.
But if we analyze the incentives of the involved parties, the two hypotheses are equally probable. If European leaders look at their short-term election incentives, there is no doubt that for them, in particular Merkel and Schäuble, it is more costly to give in to Greece’s blackmail than to be considered co-responsible for Greece’s exit from the Eurozone. In the first case, they would risk losing a considerable slice of their own electorate in favor of the AfD anti-euro, in the second case they wouldn’t (they could maybe even gain votes).
If instead European leaders look at a more long-term prospect, the result doesn’t change. With a long-term prospect, the negotiation between Europe and Greece must be analyzed even for the consequence it will have on the future negotiations with other countries. To give in to black mail would only increase the incentives to blackmail. For this – shortsighted or not – at this point European leaders cannot give into the blackmail from a Greece that votes No but also wants concessions.
This means that the Yes victory is granted? Absolutely not. My analyses assume that all the voters are perfectly informed and act in a rational manner. With only five days left of campaign, in a tense climate, with closed banks, both the hypotheses are not realistic. At the end the winner will be he who manages to dump responsibility for the current situation on the adversary: for Syriza banks are closed by fault of Europe, for the Yes front by fault of Syriza. I am only a fervent supporter of a more democratic Europe, where the people decide and not the bureaucrats in Brussels or Frankfurt, but is this true democracy?
A mi no me pareceria mal que hubiera un sistema de monedas simultaneas bien diseñado, pero el problema irresoluble es que habria que escalarlas segun proximidad o complejidad de los bienes y mercados que harian uso de ella.
Mi padre me contaba que en la galicia de hace no tanto, el dinero solo se cobraba y usaba para bajar a la ciudad a comprar zapatos o radios o cosas inaccesibles en los entornos rurales, y para todo lo demas, trueque.
Pero acabariamos por teneer una sociedad compartimentada en la que los pobres solo manejarian patacones y los ricos euros; con lo que los pobres o no podrian comprar mas que sandias y los ricos mas que ipones, o deberiamos intentar una equivalencia entre ambas monedas para poder comprar cosas de otro ambito.
Y eso ya esta inventado. Es el mercado de divisas.
Uno siempre es libre de comprar o aceptar corticoles o servilletas de bar firmadas si lo desea. Al fin y al cabo, la moneda fiduciaria solo depende de la confianza, no?
Queremos pichiqueiros!!!!!!
;)
Sds.
Greece has stockpiled enough reserves of fuel and pharmaceutical supplies to withstand a long siege, and has set aside emergency funding to cover all the country's vitally-needed food imports.
Yanis Varoufakis, the Greek finance minister, said the left-Wing Syriza government is still working on the assumption that Europe's creditor powers will return to the negotiating table if the Greek people don't agree to their austerity demands in a referendum on Sunday.
"Luckily we have six months stocks of oil and four months stocks of pharmaceuticals," he told The Telegraph.
Mr Varoufakis said a special five-man committee from the Greek treasury, the Bank of Greece, the trade unions and the private banks is working feverishly in a "war room" near his office allocating precious reserves for top priorities.
Food has been exempted from an import freeze since capital controls were introduced last weekend. Grains, meats, dairy products, and other foodstuffs should be able to enter the country freely, averting a potential disaster as the full tourist season kicks off.
Greece's Yanis Varoufakis prepares for economic siege as companies issue private currencies
Greek finance minister says the country has a six-month stock of oil and four months of pharmaceuticals
Despite assurances, the crisis is likely to escalate fast if there is no resolution early next week. Businesses in Thessaloniki and other parts of the country are already creating parallel private currencies to keep trade alive and alleviate an acute shortage of liquidity.
Vasilis Papadopoulos, owner of the Maxi paper mill in Katerini, said the situation was becoming desperate for his industry. "I have enough raw materials to last until July 14. If I don't get any more pulp, I will have to close the factory. It is a simple as that. I have 183 employees and I will have to start laying them off," he said.
Mr Papadopoulis, who manufactures paper towels, napkins, and toilet paper - partially for export - said a consignment of 3,000 tonnes of pulp from Finland was stranded in the port of Salonica. "I can't pay the suppliers because the bank is blocked, so they won't release it," he said.
His firm has reached an accord with regional supermarkets to accept coupons or private scrip money in lieu of payment as soon as next week. His workers will then be able to use this paper as a parallel currency at the supermarket to buy goods.
In the meantime, people are trying to offload their bank holdings as fast as possible. (Electronic bank transfers within the country are still allowed). "Everybody is afraid of a haircut. Our clients are trying to pay us as much as possible, and transfer their problems to us. We, in turn, are paying everything in advance: taxes, gas, anything we can."
"It is like musical chairs because nobody wants to be the last one left standing with money in their account when the music stops. Before all this happened we were about to invest €5m to build new warehouses and buy a new cutting machine from Italy. It is totally suspended," he said.
[...]
Greek economy close to collapse as food and medicine run short
Alexis Tsipras urges people to vote no in Sunday’s referendum as capital controls bite and vital tourism industry sees thousands cancel holidays in Greece
[...]
Exclusive: Europeans tried to block IMF debt report on Greece: sources
Euro zone countries tried in vain to stop the IMF publishing a gloomy analysis of Greece's debt burden which the leftist government says vindicates its call to voters to reject bailout terms, sources familiar with the situation said on Friday.
The document released in Washington on Thursday said Greece's public finances will not be sustainable without substantial debt relief, possibly including write-offs by European partners of loans guaranteed by taxpayers.
It also said Greece will need at least 50 billion euros in additional aid over the next three years to keep itself afloat.
Publication of the draft Debt Sustainability Analysis laid bare a dispute between Brussels and the Washington-based global lender that has been simmering behind closed doors for months.
Greek Prime Minister Alexis Tsipras cited the report in a televised appeal to voters on Friday to say 'No' to the proposed austerity terms, which have anyway expired since talks broke down and Athens defaulted on an IMF loan this week.
It was not clear whether an arcane IMF document would influence a cliffhanger poll in which Greece's future in the euro zone is at stake with banks closed, cash withdrawals rationed and commerce seizing up.
"Yesterday an event of major political importance happened," Tsipras said. "The IMF published a report on Greece's economy which is a great vindication for the Greek government as it confirms the obvious - that Greek debt is not sustainable."
At a meeting on the International Monetary Fund's board on Wednesday, European members questioned the timing of the report which IMF management proposed at short notice releasing three days before Sunday's crucial referendum that may determine the country's future in the euro zone, the sources said.
There was no vote but the Europeans were heavily outnumbered and the United States, the strongest voice in the IMF, was in favor of publication, the sources said.
The Europeans were also concerned that the report could distract attention from a view they share with the IMF that the Tsipras government, in the five months since it was elected, has wrecked a fragile economy that was just starting to recover.
"It wasn't an easy decision," an IMF source involved in the debate over publication said. "We are not living in an ivory tower here. But the EU has to understand that not everything can be decided based on their own imperatives."
The board had considered all arguments, including the risk that the document would be politicized, but the prevailing view was that all the evidence and figures should be laid out transparently before the referendum.
"Facts are stubborn. You can't hide the facts because they may be exploited," the IMF source said.
IMF spokeswoman Angela Gaviria declined comment on this report.
POLITICALLY ANATHEMA
Greek Finance Minister Yanis Varoufakis said in a blog post the IMF had upheld the Syriza party government's contention for the last five months that debt relief should be at the center of the negotiations.
"Puzzlingly, all this fine research by the good people at the IMF suddenly evaporates when IMF functionaries coalesce with their ECB and the European Commission colleagues in order to impose upon our government their chosen policies," he wrote.
The IMF argues that Greece's debt burden of nearly 185 percent of gross domestic product can only be made sustainable if the euro zone provides considerable extra financing through a mixture of new loans and a debt restructuring.
This is politically anathema in Germany, the biggest creditor country, and most other euro zone states, where no leader wants to explain to taxpayers that the money they lent to Athens will never be coming back.
Euro zone governments insisted in five months of talks this year that a lengthening of loan maturities and a reduction in interest rates would only be considered after Greece had implemented its commitments under a 2012 bailout deal, including painful structural reforms and public spending cuts.
In Brussels, the way the IMF communicated the findings was seen as confusing, misleading and politically unhelpful.
The European Commission had produced its own debt sustainability analysis, based partially on IMF data, which is less pessimistic in its scenarios and is one of the documents mentioned on the Greek referendum ballot paper.
Diplomats said the IMF's publication of the study was a way of making clear it would only be part of any future loan pact with Greece if the Europeans included debt relief in the mix.
Germany and its north European allies have said the IMF's presence is indispensable both to win parliamentary backing for aid for any euro zone partner, and to keep the European institutions honest. Berlin suspects the European Commission of being too soft on Greek efforts to wriggle out of reforms of pensions, taxation, public sector wages and labor law.
The European Central Bank, the third partner in what used to be called the "troika" of bailout enforcers, is also keen to keep the IMF involved.
QUITO – The Greek crisis is a tragedy for the country and a danger for the world economy. Germany is demanding that Greece continue to service its debts in full, even though Greece is clearly broke and the International Monetary Fund has noted the need for debt relief. The collision of reality (Greece’s insolvency) with politics (Germany’s demands) was bound to create a disaster. And, indeed, it has: the shocking collapse this week of the Greek banking system.
Yet there still is a way out of this mess. Greece’s debt should be cut sharply, and the country should remain within the eurozone.
In negotiations with its creditors this spring, Greece recognized this, insisting that its debt be reduced. Germany refused. Though the United States and the IMF privately sided with Greece, Germany prevailed, as creditors usually do.
Yet creditors sometimes prevail to their own detriment; by pushing the debtor to the breaking point, they end up bringing about a complete default. Germany’s mistake this past week was to push the Greek economy – already in conditions rivaling those of the Great Depression – into a complete financial collapse.
German Finance Minister Wolfgang Schäuble has a clear negotiating strategy, aimed at getting Greece to agree to leave the eurozone. Unfortunately for him, Greece does not want to exit, and it cannot be forced to do so under the treaties governing the European Union. What Greece wants is to remain in the eurozone, with a lower debt burden – a position that is both economically astute and protected by treaty.
Indeed, a euro exit would be remarkably costly for Greece, and would almost certainly create political and social chaos – and perhaps even hyperinflation – in the heart of Europe. The value of Greek residents’ savings would be slashed, as euros were suddenly converted into New Drachmas. The middle class would be eviscerated. And the currency conversion would not save the country one cent with regard to its external debt, which would, of course, remain denominated in euros.
Still, Greece’s debt burden is unsustainable. This week, Greece defaulted on its payments to the IMF, rightly choosing pensions over debt service. The country’s creditors should now negotiate a consensual debt reduction through some combination of lower (and fixed) interest rates, reduced face value of debt, and very long maturities.
There are plenty of precedents for such a course. Sovereign debts have been restructured hundreds, perhaps thousands, of times – including for Germany. In fact, hardline demands by the country’s US government creditors after World War I contributed to deep financial instability in Germany and other parts of Europe, and indirectly to the rise of Adolf Hitler in 1933. After World War II, however, Germany was the recipient of vastly wiser concessions by the US government, culminating in consensual debt relief in 1953, an action that greatly benefitted Germany and the world. Yet Germany has failed to learn the lessons of its own history.
I propose a four-step path out of the Greek crisis. First, I recommend that the Greek people give a resounding “No” to the creditors in the referendum on their demands this weekend.
Second, Greece should continue to withhold service on its external debts to official creditors in advance of a consensual debt restructuring later this year. Given its great depression, Greece should use its savings to pay pensioners, provide food relief, make crucial infrastructure repairs, and direct liquidity toward the banking system.
Third, Prime Minister Alexis Tsipras must use his persuasive powers to convince the public, in the style of US President Franklin D. Roosevelt, that the only thing they have to fear is fear itself. Specifically, the government should make clear to all Greeks that their euro deposits are safe; that the country will remain within the eurozone (despite the false claims by some members of the Eurogroup that a no vote means a Greek exit); and that its banks will reopen immediately after the referendum.
Finally, Greece and Germany need to come to a rapprochement soon after the referendum and agree to a package of economic reforms and debt relief. No country – including Greece – should expect to be offered debt relief on a silver platter; relief must be earned and justified by real reforms that restore growth, to the benefit of both debtor and creditor. And yet, a corpse cannot carry out reforms. That is why debt relief and reforms must be offered together, not reforms “first” with some vague promises that debt relief will come in some unspecified amount at some unspecified time in the future (as some in Europe have said to Greece).
To be sure, in the Greek debacle, both sides have made countless mistakes, misjudgments, and misdeeds over the last decade, and even before. A country does not reach Greece’s parlous state without a generation of egregious mismanagement. But nor does a country go bankrupt without serious mistakes by its creditors – first in lending too much money, and then in demanding excessive repayments to the point of the debtor’s collapse. With both sides at fault, it is important for them not to lose the future by squabbling endlessly over the past.
Easing Greece’s debt burden while keeping the country within the eurozone is the correct and achievable path out of the crisis, and it can be accomplished easily through a mutual accord between Germany and Greece, to which the rest of Europe will subscribe. The result would be a win not only for those countries, but also for the world economy.
The stunned and furious reaction of the European leaders was, possibly, not entirely inauthentic. Perhaps they did not realize they were dealing with something not seen in Europe for some years: a political leader. Alexis Tsipras has only been on the international stage for a few months. He is brash, but charming. It would be easy for those as sheltered as Europe's present leaders to fail to figure him out—to fail to realize that like Varoufakis, Tsipras meant what he said.
La Grèce, notre patrie, est, était et restera le berceau de la civilisation européenne. C’est ici, selon la mythologie, que Zeus a enlevé Europe, c’est ici que les technocrates de l’austérité veulent enlever à nouveau la démocratie ! Eh non ! Nous leur dirons NON dimanche ! Nous ne laisserons pas l’Europe aux mains de ceux qui veulent l’enlever à sa tradition démocratique, de ses acquis démocratiques, de ses valeurs fondatrices, de la démocratie, de la solidarité et du respect mutuel.
Grecia nuestra patria ha sido, es y permanecera como la cuna de la civilización europa
Es aquí, dice la mitología, que Zeus raptó a Europa, aquí que los tecnócratas de la austeridad quieren raptar de nuevo la democracia.
¡Pues no! Y este domingo también diremos NO
No dejaremos Europa a quienes quieren raptarla a su tradición, logros democráticos y sus valores fundadores: democracia, solidaridad y respeto mútuo
Q.Aunque no haya encuestas, en las calles de Atenas lo que se siente es que la gente cada día que pasa tiene más miedo.
Sí, así es. Lo que están haciendo con Grecia tiene un nombre: terrorismo.
Q-¿De verdad piensa que lo que están haciendo con Grecia es terrorismo?
Por supuesto que lo pienso: es terrorismo. ¿Por qué nos han forzado a cerrar los bancos? Para insuflar el miedo en la gente. Y cuando se trata de extender el terror, a ese fenómeno se le llama terrorismo. Pero confío en que el miedo no gane.
Q-¿Qué piensa de Podemos, el equivalente español de Syriza?
Creo que en toda Europa se necesitan partidos como Syriza y Podemos, partidos críticos con el sistema pero al mismo tiempo europeístas y democráticos. Los que nos detestan quieren hacernos pasar por antieuropeístas, pero no, no es verdad, no lo somos.
Somos necesarios.
La política precipitada de Rajoy pone de manifiesto que Montoro se equivocó al dejar la rebaja para el ejercicio siguiente, como advertimos en elEconomista. Pero además, abonarla en dos tramos aminora la percepción del ciudadano. En un país como España, donde la clase alta (léase con ingresos superiores a 60.00 euros anuales) escasea, el peso de la tributación descansa en las clases medias, que verán reducida sólo un punto su tributación. El efecto se diluirá como un azucarillo. No creo que sólo con iniciativas así pueda recuperar el electorado perdido. Tanto Tsipras como Rajoy son rehenes de los errores de sus decisiones. Como gritó Julio César antes de cruzar el río Rubicón para atacar a la Galia: Alea jacta est , la suerte está echada. Ya es imposible dar marcha atrás.
Europe's creditor powers must finally face reality: Greece needs mass debt relief now
Without a major effort to write off €330bn in loans, Greece's battered economy will remain a financial black-hole for its creditors
The International Monetary Fund lit the touch paper this week on a subject that has inflamed tensions between Greece and its international lenders: debt relief.
Three days before Greeks were due to go to the polls to say Yes or No to a now defunct bail-out deal, the IMF released its "debt sustainability analysis" for the country.
The 24-page document was made public after after leaked versions had made appearances in German newspaper Sueddeutsche Zeitung and The Guardian.
Its findings reveal the frightening depth of country's financial woes.
Greece is awash with debt.
Without a major effort to write off €330bn in loans, the battered economy will remain a financial black-hole for its creditors, locked out of financial markets and ever-reliant on its paymasters to stop it from going bust.
Despite making no formal policy prescriptions, the analysis lays bare the colossal debt servicing task facing Greece.
Should the economy manage to grow at close to its historical long-term average of 1pc a year, Greece’s debt ratio would still top 100pc of GDP in three decades.
In the more realistic case that growth is 1pc lower than forecast, but is coupled with an ambitious budget surplus of around 2.5pc of GDP, Greece would still require a total write-off of its entire first bail-out package worth €53.1bn.
To alleviate the burden, the Fund suggests taking bold measures to impose a 20-year moratorium on repayments and extend maturities by another 40 years. They are extreme actions in economy which will still be paying back its official creditors in 2057.
[graph] Greece will be paying back its creditors for the next 42 years
With its warnings of depleted bank reserves, weak governance, and political uncertainty, the IMF's account reads more like the analysis of a war-ravaged economic basket-case than the prospects for a developed economy in one of the richest economic zones in the world.
The message is crystal clear: Greece will never prosper until it is unburdened from a huge portion of its crippling debt weight.
It is an issue that is at the heart of the division between Greece and its creditors, and has caused internecine in-fighting among its paymasters.
Institutional in-fighting
The IMF's intervention was a remarkable public admission that more debt and more austerity will lead Greece to the path of economic ruin.
Its findings "blew apart any notion that [the IMF] and the eurozone shared the same standpoint on debt," says Gabriel Sterne of Oxford Economics.
Restructuring is still the taboo that dare not speak its name in the eurozone.
Pointedly, the IMF presaged its findings with a note saying they had "not been agreed with the other parties in the policy discussions" hinting at the dissent they would find in Brussels, Berlin and Frankfurt.
“It’s very hard for European leaders to say to their taxpayers: “That money of yours that we told you we would get back, well I’m afraid it's gone,”" says Jonathan Loynes, chief European economist at Capital Economics.
"If creditors blink now, other member states will rightly ask why they have to continue paying their loans back,” adds Mr Loynes.
Such was the sensitivity of the findings, European officials tried to block the analysis from ever reaching the public domain.
Having failed, Jeroen Dijsselbloem, the austere president of the eurozone's finance ministers, was quick to discredit the IMF, accusing the Fund of using outdated models of Greece's public finances.
"Facts are stubborn. You can't hide the facts because they may be exploited," one IMF official told Reuters.
They are facts which have emboldened prime minister Alexis Tsipras ahead of this weekend's momentous referendum.
Mr Tsipras took to national television on Friday to demand the IMF's recommendations finally be part of any deal to keep his country in the eurozone, demanding €80bn be wiped off the its liabilities.
Citar@tsipras_eu
Per the IMF, the only way #Greece's debt can be sustainable is with a 30% haircut & a 20 year grace period. #Greferendum #dimopsifisma #OXI
After months in which European leaders have sought to kick the issue into the long grass, restructuring is now firmly part of the Greek conversation again.
It is a welcome rallying cry for the embattled Leftist government, despite coming "five years too late for Greece", says Mr Sterne.
"In coming out firmly in favour of debt relief, the IMF have finally asserted an independent and balanced voice," he says.
Others are less forgiving on the institution's bungling of the Greek crisis.
Former IMF bail-out chief Ashoka Mody said the analysis further exposed that lenders had not been "negotiating in good faith" with Greece by refusing to countenance debt relief over the last five months. Mr Mody supports a bolder programme of debt forgiveness which would wipe out 50pc of Greece’s liabilities.
An institution in crisis
The week's developments have also revealed the IMF as an institution wracked by internal conflict over how best to handle its largest ever debtor.
"Never before has a veritable institution advocated policies that clashed so mercilessly with its own research," wrote Greek finance minister Yanis Varoufakis following the IMF's debt analysis.
On paper, the recommendations for debt relief and reduced austerity "suddenly evaporate when IMF functionaries coalesce with their ECB and the European Commission colleagues in order to impose upon our government their chosen policies," said Mr Varoufakis.
The Fund is having trouble following its own advice. Its research department is a cheerleader for mass debt relief, but its board refuses to accept that it may not be paid back in full.
Christine Lagarde, who on the same day the report was published, took to the airwaves to repeat that she wanted every penny of the €21.1bn in outstanding obligations still owed to her by Greece.
"The IMF is the only institution involved in Greece that has not provided any debt relief to date" says Guntram Wolff, director of the Bruegel think-tank.
"The mismatch between action and rhetoric is the biggest on the Fund's side. The IMF's negotiating stance shows they are not willing to concede anything to the Greeks,” says Mr Wolff.
A climbdown from Ms Lagarde's office is even less likely after the Leftist Syriza government crossed the rubicon and became the first developed country in the IMF's 71-year-history to default on the world's "lender of last resort" this week.
Yet even in the unlikely scenario that restructuring is finally accepted by its fellow lenders, the IMF’s forecasts are still an overly optimistic account of Greece’s economic woes.
[graph] debt ratio
Mr Wolff calls the ambition to hit a medium-term surplus target of 3.5pc as "outlandish" in an economy which has suffered on a scale which surpasses the 1930s Great Depression.
Yet these seemingly impossible goals have long been built into the IMF's calculations for Greece. The IMF still presumes the economy will move back from 0pc growth this year, to 2pc by 2016.
Should creditors finally be forced to swallow the bitter pill of a Greek debt write-off, it will be bigger and more painful than even the IMF can imagine.
The cost of Grexit? €227bn, according to analysts at RBS. Alberto Gallo and the macro credit research team write:CitarQuote We estimate the minimum direct financial cost for creditors at around €227bn (2.3pc of Eurozone GDP). This is higher than the cost of a one-off haircut to make Greek debt sustainable (€140bn) and excludes full contagion costs, geopolitical costs from potentially losing Greece as EU and NATO members, and the impact of creating a Euro-exit precedent. For Greece, the economic costs would be dramatic: GDP growth could fall by over 6pc, based on past exit scenarios in other countries. Unemployment and inflation would rise substantially.
The worst scenario could become a humanitarian crisis, where IOUs would discourage imports of key goods and social unrest could follow.
([url]http://i.imgur.com/GZA7MF3.jpg[/url])
OXI ganador en las estimaciones tras cierre de urna
Para recuento oficial:
[url]http://referendum2015.dolnet.gr/default.aspx[/url] ([url]http://referendum2015.dolnet.gr/default.aspx[/url])
(Parcial 19:40):
[NOT ACCEPTED/NO] 60.32 497,396
[ACCEPTED/YES] 39.68 325,359
Escenarios:
A "No" Victory Appears Probable: What Happens Next According To Deutsche Bank
N1 – Soft deal: The most unlikely scenario is that the euro-area partners offer a much softer programme to Greece.
N2 – Default-and-stay: Moderately less unlikely is a scenario where Greece defaults but stays in the euro thanks to a direct recapitalisation of Greek banks by the euro-area partners, with the Greek government using only domestic resources for the country’s fiscal needs.
N3 – New deal: The third scenario is one in which the rising economic and political cost of a closed banking system results in the Syriza government being replaced by a new government of national unity and a new deal with creditors being reached.
N4 – Grexit: In our view, Grexit and Scenario N3 are the most likely – with about equal probabilities.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-05/no-victory-appears-probable-what-happens-next-according-deutsche-bank[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-05/no-victory-appears-probable-what-happens-next-according-deutsche-bank[/url])
Max Keiser @maxkeiserhttps://twitter.com/maxkeiser/status/617771141126586368 (https://twitter.com/maxkeiser/status/617771141126586368)
Inclusion of Greece was keeping Euro cheap relative to Germany's huge export machine. #Grexit would boost Euro and hurt Germany.
Grecia anuncia que pedirá más liquidez de emergencia al BCE
[url]http://www.expansion.com/economia/2015/07/05/55996f4e268e3e4a5f8b4573.html[/url] ([url]http://www.expansion.com/economia/2015/07/05/55996f4e268e3e4a5f8b4573.html[/url])
Un portavoz del Banco de Grecia ha anunciado que el país va a pedir al Banco Central Europeo (BCE) una ampliación de la línea de liquidez de emergencia (ELA). "El Banco de Grecia va ha hacer hoy mismo la petición y creemos que hay base para que haya un incremento de la liquidez de la ELA (...). No hay razón para no incrementar la liquidez", ha afirmado el portavoz del Gobierno, Gabriel Sakellaridis, según informa Reuters.
Aqui aparece la guerra de divisas:CitarMax Keiser @maxkeiserhttps://twitter.com/maxkeiser/status/617771141126586368 (https://twitter.com/maxkeiser/status/617771141126586368)
Inclusion of Greece was keeping Euro cheap relative to Germany's huge export machine. #Grexit would boost Euro and hurt Germany.
[...] La previsión para mañana es, pues, de inestabilidad, caídas de la Bolsa y aumento de los diferenciales en la renta fija, con bajadas en el tipo de la deuda alemana y subidas en la deuda española o italiana. “No se puede asumir que la estabilidad de la semana pasada implica que no habrá reacción a un no”, explica a Bloomberg un analista de la firma Standard Bank.
Mohamed El-Erian, ex gestor de Pimco, considera que si se confirma la victoria del 'no' habrá fuertes ventas en Bolsa y presión sobre la deuda europea perifércia. [...]
Mi ticket
-- 30 de junio -- FMIexit. [Checked de forma rara. Pero el FMI ya no interviene]
Desplazado a post referendum:
-- Lunes 6- Reunion Merkel Hollande en Paris. Consultas a los 28
Draghi facilita perfusion de bancos
-- Martes 7 - Nuevo Gabinete Merkl IV == exit Schauble y Djisselbloem
-- Final de semana:
Discurso histórico de Merkel sobre Europa.
Pasará a la Historia como "Madre Europa"
Convocatoria a referendum de proclamación del Parlamento UE Asamblea Constituyente de la Union
-- UK y Austria transforman sus referendums en ítems de adhesion
-- 2 semanas después.
Los Estados del Sí reconocen el P.E. constituyente
El P.E. elige un Gobierno Provisional de la Unión
(Exit Juncker)
(Nota: tienen que conseguirlo antes de las elecciones españolas,
y antes de la llegada del invierno en Ucrania)
La victoria es clara. A quién le cae la OXtIa, aun no está claro. Hay que esperar.
Pero en ese caso, me temo que para hacer justicia, la "madre Europa" sería Hellas, no la gordita teutónica (y eso más allá de las chacotas muy políticamente incorrectas que se me están ocurriendo con la imagen de Merkel als mutter von Europa... ::)
Top Syriza officials say they are considering drastic steps to boost liquidity and shore up the banking system, should the ECB refuse to give the country enough breathing room for a fresh talks.
"If necessary, we will issue parallel liquidity and California-style IOU's, in an electronic form. We should have done it a week ago," said Yanis Varoufakis, the finance minister.
Syriza sources say the Greek ministry of finance is examining options to take direct control of the banking system if need be rather than accept a draconian seizure of depositor savings - reportedly a 'bail-in' above a threshhold of €8,000 - and to prevent any banks being shut down on the orders of the ECB.
Government officials recognize that this would lead to an unprecedented rift with the EU authorities. But Syriza's attitude at this stage is that their only defence against a hegemonic power is to fight guerrilla warfare.
"Even if they forgave all the debt and gave us €300bn we would still be in deep trouble, if we didn't push through deep reform. No-one in Syriza thinks that everything was hunky-dory in 2008 and we all can go back to that," he said.
Greece Contemplates Nuclear Options: May Print Euros, Launch Parallel Currency, Nationalize Banks
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-05/greece-contemplates-nuclear-options-may-print-euros-implement-parallel-currency-nati[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-05/greece-contemplates-nuclear-options-may-print-euros-implement-parallel-currency-nati[/url])
When the Greek crisis hit in 2010, Merkel insisted on bringing in the International Monetary Fund (IMF) as part of the troika that included the Eurozone states and the European Central Bank (ECB). There was no clear lead authority. Merkel did this against the advice of her finance minister Wolfgang Schäuble, who has long argued that the EU should solve its own problems. This was the first mistake.
With the financial crisis in Greece reaching a fevered pitch, many have wondered what might happen to the European Union if their most debt riddled member jumps ship. Will it cause a domino effect of defaulting nations, equally interested in leaving this unnatural union? It’s hard to say how it all might pan out, but it’s important to note that anti-EU rhetoric isn’t limited to Greece. Calls to leave the Union are being heard in unexpected places.
Over 260,000 Austrians have signed a petition calling for the EU exit for the country, and now the Austrian parliament must discuss a referendum on the issue.
Overall, the 261,159 people who signed the petition represent 4.12 percent of the electorate.
The petition was most popular in the regions of Lower Austria (where 5.18 percent of potential voters signed it) and in Carinthia (4.85 percent).
The threshold for calling a debate on a potential referendum is 100,000 people.
The petition was launched by 66-year-old retired translator Inge Rauscher, who composed a similar petition in 2000. On that occasion, it was signed by 3.35 percent of the electorate.
Rauscher told The Local that there was probably more support for a referendum now because of the economic crisis and the Greek crisis.
In a press release, she said it was “a great result.”
Unlike Greece, Austria is an extremely wealthy nation, with one of the highest standards of living in the world. Which kind of makes you wonder right? Everyone has been talking about the consequences of what would happen if a financial basket case like Greece leaves the EU, but what happens if one of the more stable and functional nations leave? What if the people who are carrying the weight of the insolvent, decide that they've had enough?
All this talk about Greece causing the unraveling of the EU, hasn’t taken wealthy nations into account, even though the whims of their populations should really scare EU leaders. The woman who launched the petition claims that if their country leaves, each household would save 9,800 Euros per year. If that’s truly the case, then it doesn't sound like the EU can spare Austria.
As for the chances of this happening, it’s hard to say. Current polls place support for measure at around 33%, but Austrian politicians like Robert Marschall think the number is closer to half of the population. He suggests that many of the polls are biased, because they don’t give any anonymity to voters.
We’ll probably find out soon, one way or another. Now that this petition has achieved a sufficient number of votes, their parliament will have to debate the possibility of creating a referendum on the issue. Even if they don’t have enough votes now, that may change if Greece leaves the Euro, and wealthy countries like Austria are stuck with their bill.
AFIRMA QUE SÓLO PIENSA EN SOLUCIONAR LOS PROBLEMAS DE LOS CIUDADANOS
Varoufakis: "No me importan nada mis votantes, pienso en los individuos"
Yanis Varoufakis insiste en que es ante todo "un profesor, que por accidente se ha convertido en ministro". Critica a los "políticos profesionales" y añade que "uno debería ser un político a regañadientes". Por otra parte, afirma que "tenemos que asumir que en Europa ha habido un abuso de poder en los últimos cinco años convirtiendo la crisis en un drama".
[url]http://www.lasexta.com/programas/salvados/mejores-momentos/varoufakis-importan-nada-mis-votantes_2015041900192.html[/url] ([url]http://www.lasexta.com/programas/salvados/mejores-momentos/varoufakis-importan-nada-mis-votantes_2015041900192.html[/url])
Un « aristo de gauche » au Parlement
Depuis 1990, il enseigne l’économie à Athènes, où il a acheté une villa dans un quartier chic, grâce aux revenus d’investissement qu’il a tirés de fonds comme Blackrock et JP Morgan, souligne Challenges. Malgré le surnom d’« aristo de gauche » que lui affuble une partie de la presse grecque, Euclide Tsakalotos défend depuis longtemps des idées révolutionnaires, et porte les couleurs du parti Syriza au parlement grec depuis 2012, où il il s’est fait réélire en 2015. Il est également membre du comité central du parti d’extrême gauche.
Euclide Tsakalotos
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url])CitarUn « aristo de gauche » au Parlement
Depuis 1990, il enseigne l’économie à Athènes, où il a acheté une villa dans un quartier chic, grâce aux revenus d’investissement qu’il a tirés de fonds comme Blackrock et JP Morgan, souligne Challenges. Malgré le surnom d’« aristo de gauche » que lui affuble une partie de la presse grecque, Euclide Tsakalotos défend depuis longtemps des idées révolutionnaires, et porte les couleurs du parti Syriza au parlement grec depuis 2012, où il il s’est fait réélire en 2015. Il est également membre du comité central du parti d’extrême gauche.
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
Bah. LeMonde es cada vez más tendencioso. En los 90, un europeo de su nivel podía comprar lo que quería en Grecia. Pero es llamativo que recojan el dato (de la revista de bolsa/economia Challenges)
Euclide Tsakalotos
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url])CitarUn « aristo de gauche » au Parlement
Depuis 1990, il enseigne l’économie à Athènes, où il a acheté une villa dans un quartier chic, grâce aux revenus d’investissement qu’il a tirés de fonds comme Blackrock et JP Morgan, souligne Challenges. Malgré le surnom d’« aristo de gauche » que lui affuble une partie de la presse grecque, Euclide Tsakalotos défend depuis longtemps des idées révolutionnaires, et porte les couleurs du parti Syriza au parlement grec depuis 2012, où il il s’est fait réélire en 2015. Il est également membre du comité central du parti d’extrême gauche.
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
Bah. LeMonde es cada vez más tendencioso. En los 90, un europeo de su nivel podía comprar lo que quería en Grecia. Pero es llamativo que recojan el dato (de la revista de bolsa/economia Challenges)
Beatriz Talegón anuncia su baja del PSOE tras criticar la postura de la dirección sobre Grecia
Llevaba varios meses mostrándose crítica con la gestión del secretario general del PSOE, Pedro Sánchez, Talegón. Ahora dice sentirse "aliviada" tras comunicar su decisión en su cuenta de la red social Twitter.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/64971-beatriz-talegon-anuncia-su-baja-del-psoe-tras-criticar-la-postura-de-la-direccion-sobre-grecia[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/64971-beatriz-talegon-anuncia-su-baja-del-psoe-tras-criticar-la-postura-de-la-direccion-sobre-grecia[/url])
Euclide Tsakalotos
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
The Global Minotaur of neoliberal capitalism centred on Wall Street held the world to ransom from 1971 to 2008. Now Europe’s surplus countries are trying to prop up its corpse
Bankruptocracy is as much a European predicament as it is an American “invention”. The difference between the experience of the two continents is that at least Americans did not have to labour under the enormous design faults of the eurozone. Imagine their chagrin if the citizens of hard-hit states (eg Nevada or Ohio) had to worry about a death embrace between the debt of their state and the losses of the banks who happened to operate within the state.
Additionally, Americans were spared the need to contend with a central bank utterly shackled by inner divisions and the German central bank’s penchant for treating the worst-hit parts of the union (the eurozone, that is) as alien lands that had to be fiscally waterboarded until they ceased to obey the laws of macroeconomics.
In the past two years, the debate in Europe has focused exclusively on issues that sound technical and minor: will there be “conditionality” attached to the purchases of Italian and Spanish bonds by the European Central Bank? Will the ECB supervise all of Europe’s banks, or just the “systemic” ones?
These are questions that ought to be of no genuine interest to anyone other than those with a morbid interest in the interface between public finance and monetary policy. And yet these questions (and the manner in which they will be answered) will probably prove as important for the future of Europe as the treaties of Westphalia, Versailles or even Rome. For these are the issues that will determine whether Europe holds together or succumbs to the vicious centrifugal forces that were unleashed by the crash of 2008.
Even so, they are not issues that are worth expounding upon here. All they do is to reflect a tragic, underlying reality that can be described in simple lay terms without the use of any jargon whatsoever: Europe is disintegrating because its architecture was simply not sound enough to sustain the shockwaves caused by the death throes of what I call the Global Minotaur: the system of neoliberal capitalism centred on Wall Street, extracting tribute from the world after 1971.
It is quite obvious that the insolvency of Madrid and Rome had nothing to do with fiscal profligacy (recall that Spain had a lower debt than Germany in 2008 and Italy has consistently smaller budget deficits) and everything to do with the way in which the eurozone’s macroeconomy relied significantly for the demand of its net exports on the Global Minotaur. Once the latter keeled over in 2008, and Wall Street’s private cash disappeared, two effects brought Europe to its knees.
One was the sequential death-embrace of bankrupt banks and insolvent states (beginning with Greece, moving to Ireland, to Portugal and continuing until Italy and Spain were torn asunder). The other was the Minotaur’s simulacrum and its determination to hang on to its option of exiting the eurozone at will, therefore denying each and every rational plan for mending the currency union in a sustainable manner.
The telling question thus becomes: why such resistance, particularly from Germany, to every idea that would end the euro crisis? The standard answer is that Germany does not wish to pay for the debts of the periphery and will resist all federal-like moves (eg a banking or a fiscal union) until it is convinced that its partners will behave responsibly with their German-backed finances. While this captures well the mindset of many northern Europeans, it is beside the point. Consider the following mental experiment, which, I believe, helps us unveil a deeper motive.
Picture the scene when a sheepish finance minister enters the chancellor’s Berlin office bearing a control panel featuring one yellow and one red button, and telling her that she must choose to press one or the other. This is how he explains what each button will do:
The red button
If you press it, chancellor, the euro crisis ends immediately, with a general rise in growth throughout Europe, a sudden collapse of debt for each member state to below its Maastricht limit, no pain for Greek citizens (or for the Italians, Portuguese, etc), no guarantees for the periphery’s debts (states or banks) to be provided by German and Dutch taxpayers, interest rate spreads below 3% throughout the eurozone, a diminution in the eurozone’s internal imbalances, and a wholesale rise in aggregate investment.
The yellow button
If you press it, chancellor, the situation in the eurozone remains more or less as it is for a decade. The euro crisis continues to bubble along, albeit in a controlled fashion. While the probability of a break-up, which will be a calamity for Germany, remains non-trivial, the chances are that, if you push the yellow button, the eurozone will not break up (with a little help from the European Central Bank), German interest rates will remain extremely low, the euro will be nicely depressed (‘nicely’ from the perspective of German exporters), the periphery’s spreads will be sky-high (but not explosive), Italy and Spain will enter deeper into a debt-deflationary spiral that sees to a reduction of their national income by 15% over the next three years, France shall slip steadily into quasi-insolvency, GDP per capita will rise slowly in the surplus countries and fall precipitously in the periphery. As for the first “fallen” nations (Greece, Ireland and Portugal), they shall become little Latvias, or indeed Kosovos: devastated lands (after the loss of between 25% and 40% of national income, a massive exodus of their skilled labour) on which our people will holiday and buy cheap real estate. In aggregate, if you choose the yellow button, chancellor, eurozone unemployment will remain well above UK and US levels, investment will be anaemic, growth negative and poverty on the up and up.
Which button do you think, dear reader, the chancellor would want to push?
Whereas the yellow button would hold no attraction for the American president or the British prime minister, for the German chancellor the yellow button is a far more powerful option. Even if the chancellor wanted to opt for the red button, she would be terrorised by the reaction of the German electorate were she to do so. Letting the Greeks and the Italians, the Spaniards and the Portuguese, off the hook of their Great Depression so “easily” would be unlikely to win many votes east of the Rhine and north of the Alps.
For two years now, the German public has become convinced that Germany has escaped the worst of the crisis because of its people’s virtuous embracing of thriftiness and hard work; in contrast to the spendthrift southerners, who, like the fickle grasshopper, made no provision for when the winds of finance would turn cold and nasty.
The Minotaur’s surplus recycling was essential to the maintenance of the eurozone’s faulty edifice
This mindset goes hand in hand with a moral righteousness which implants into good people’s hearts and minds a penchant for exacting punishment on the grasshoppers – even if punishing them also punishes themselves (to some extent). It also goes hand in hand with a radical misunderstanding of what kept the eurozone healthy and Germany in surplus prior to 2008: that is, the Global Minotaur whose demand-generation antics were for decades allowing countries like Germany and the Netherlands to remain net exporters of capital and consumer goods within and without the eurozone (while importing US-sourced demand for their goods from the eurozone’s periphery).
Interestingly, one of the great secrets of the post-2008 period is that the Minotaur’s death adversely affected aggregate demand in the eurozone’s surplus countries (Germany, the Netherlands, Austria and Finland) more than it did the deficit member states (like Italy, Spain, Ireland, Portugal and Greece). While the sudden withdrawal of capital from the deficit countries brought about their insolvency, countries like Germany saw their “fundamentals” more grievously affected by the crash of 2008. This fact, in conjunction with the terrible squeeze on German wages, explains the deeper causes of the animosity in places like Germany that so very easily translates into anger against the Greeks and assorted Mediterraneans – feelings that are then reciprocated, thus giving the wheel of intra-European animosities another spin, favouring the rise of xenophobia, even Nazism (in countries like Greece, quite incredibly), and thus leading to a wholesale readiness to push all the yellow, as opposed to the red, buttons in sight.
To recap, the Minotaur’s surplus recycling was essential to the maintenance of the eurozone’s faulty edifice. Once it vanished from the scene, the European common currency area would either be redesigned or it would enter a long, painful period of disintegration. An unwillingness by the surplus countries to accept that, in the post-Minotaur world, some other form of surplus recycling is necessary (and that some of their own surpluses must also be subject to such recycling) is the reason why Europe is looking like a case of alchemy-in-reverse: for whereas the alchemist strove to turn lead into gold, Europe’s reverse alchemists began with gold (an integration project that was the pride of its elites) but will soon end up with the institutional equivalent of lead.
[...]
Claro, es que eso de invertir, tener beneficios y gastar en casoplones es como de muy comunistas :roto2:
Los auténticos capitalistas heredamos los Chateau 8)
Al margen de bromas fáciles, Angi tiene un papelón por delante que le puede costar muy caro: la prensa alemana lleva meses (y años) fomentando el odio hacia Grecia, lo que le obliga a ser dura con los griegos pero por otra parte sabe que si se pasa el remedio puede ser peor que la enfermedad.
Ayer mismo volvía en metro a casa cuando en el andén había un viejito borracho gritando, diciendo barbaridades, pues al parecer estaba muy indignado de encontrarse con el sistema de transporte público de la ciudad lleno de extranjeros. Scheiße auf Malle und Griechenland! - Me cago en Mallorca y en Grecia! etc etc. Mientras la gente se escurría de su proximidad, yo le iba dando vueltas a ver si se dignaba a decirme algo, fantaseando y deseando responderle directamente con una buena izquierda... pero lamentablemente paso desapercibido entre los locales pasando por alemán. Servidor aún conserva malos hábitos de juventud macarra. Por suerte una mujer se puso a gritarle ordenándole que se callara y dejase de hacer el ridículo pues a su edad no era justificable, etc.
Aquí se evidencia el peligro el presente proyecto europeo: se alimenta el nazionalismo/patriotismo alemán por un lado, y por el otro el griego. Separar en vez de unir a los pueblos vecinos y socios de proyecto. Seguro que esto beneficia a alguien ;) Lo que está claro es que o bien lleva a una mayor unión o el proyecto actual se irá descomponiendo cada vez más rápidamente.
PD: echo de menos opiniones de otros muchos más foreros que sólo lurkean :troll:
Euclide Tsakalotos
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
Claro, es que eso de invertir, tener beneficios y gastar en casoplones es como de muy comunistas :roto2:
Los auténticos capitalistas heredamos los Chateau 8)
Al margen de bromas fáciles, Angi tiene un papelón por delante que le puede costar muy caro: la prensa alemana lleva meses (y años) fomentando el odio hacia Grecia, lo que le obliga a ser dura con los griegos pero por otra parte sabe que si se pasa el remedio puede ser peor que la enfermedad.
Ayer mismo volvía en metro a casa cuando en el andén había un viejito borracho gritando, diciendo barbaridades, pues al parecer estaba muy indignado de encontrarse con el sistema de transporte público de la ciudad lleno de extranjeros. Scheiße auf Malle und Griechenland! - Me cago en Mallorca y en Grecia! etc etc. Mientras la gente se escurría de su proximidad, yo le iba dando vueltas a ver si se dignaba a decirme algo, fantaseando y deseando responderle directamente con una buena izquierda... pero lamentablemente paso desapercibido entre los locales pasando por alemán. Servidor aún conserva malos hábitos de juventud macarra. Por suerte una mujer se puso a gritarle ordenándole que se callara y dejase de hacer el ridículo pues a su edad no era justificable, etc.
Aquí se evidencia el peligro el presente proyecto europeo: se alimenta el nazionalismo/patriotismo alemán por un lado, y por el otro el griego. Separar en vez de unir a los pueblos vecinos y socios de proyecto. Seguro que esto beneficia a alguien ;) Lo que está claro es que o bien lleva a una mayor unión o el proyecto actual se irá descomponiendo cada vez más rápidamente.
PD: echo de menos opiniones de otros muchos más foreros que sólo lurkean :troll:
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Claro, es que eso de invertir, tener beneficios y gastar en casoplones es como de muy comunistas :roto2:
Los auténticos capitalistas heredamos los Chateau 8)
Al margen de bromas fáciles, Angi tiene un papelón por delante que le puede costar muy caro: la prensa alemana lleva meses (y años) fomentando el odio hacia Grecia, lo que le obliga a ser dura con los griegos pero por otra parte sabe que si se pasa el remedio puede ser peor que la enfermedad.
Ayer mismo volvía en metro a casa cuando en el andén había un viejito borracho gritando, diciendo barbaridades, pues al parecer estaba muy indignado de encontrarse con el sistema de transporte público de la ciudad lleno de extranjeros. Scheiße auf Malle und Griechenland! - Me cago en Mallorca y en Grecia! etc etc. Mientras la gente se escurría de su proximidad, yo le iba dando vueltas a ver si se dignaba a decirme algo, fantaseando y deseando responderle directamente con una buena izquierda... pero lamentablemente paso desapercibido entre los locales pasando por alemán. Servidor aún conserva malos hábitos de juventud macarra. Por suerte una mujer se puso a gritarle ordenándole que se callara y dejase de hacer el ridículo pues a su edad no era justificable, etc.
Aquí se evidencia el peligro el presente proyecto europeo: se alimenta el nazionalismo/patriotismo alemán por un lado, y por el otro el griego. Separar en vez de unir a los pueblos vecinos y socios de proyecto. Seguro que esto beneficia a alguien ;) Lo que está claro es que o bien lleva a una mayor unión o el proyecto actual se irá descomponiendo cada vez más rápidamente.
PD: echo de menos opiniones de otros muchos más foreros que sólo lurkean :troll:
Veo cierta equidistancia que no es de mi gusto.
Los números son los que son, y éstos dicen - al menos a mí - que los griegos han estado tomando el pelo al personal durante muchos años. La parte centro-europea no tiene su particular 'debe' a cero, cierto; pero lo de Grecia no hay por donde cogerlo.
Si un país de segunda como el nuestro puede perder hasta 27.000 millones de euros, no quiero pensar a cuanto asciende esta bromita en el caso de Alemania. La solidaridad tiene un límite, y veo el cabreo de alemán medio más que justificado; y más cuando han estado aplicándose recortes desde tiempos del canciller Gerhard Schröder.
Luego habrá hijos de puta que quieran llevar el agua a su molino. Pero el cabreo alemán me parece justificado y genuino, y no creado artificialmente.
Pero el cabreo alemán me parece justificado y genuino, y no creado artificialmente.Ni seres de luz ni nazisdemierda, intento forjar mi propia opinión y por supuesto puedo estar muy equivocado. Personalmente les tengo un agradecimiento general infinito pues es una sociedad que me ha adoptado como a uno más, de ahí que la equidistancia no es tal. Pero si quieres hablar de números yo no te los discutiré, déjame hablarte de no-números:
La llamada gobernanza del euro es confederal. El Eurogrupo es el conjunto de gobiernos nacionales.
Euclide Tsakalotos
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
Claro, es que eso de invertir, tener beneficios y gastar en casoplones es como de muy comunistas :roto2:
Los auténticos capitalistas heredamos los Chateau 8)
Al margen de bromas fáciles, Angi tiene un papelón por delante que le puede costar muy caro: la prensa alemana lleva meses (y años) fomentando el odio hacia Grecia, lo que le obliga a ser dura con los griegos pero por otra parte sabe que si se pasa el remedio puede ser peor que la enfermedad.
Ayer mismo volvía en metro a casa cuando en el andén había un viejito borracho gritando, diciendo barbaridades, pues al parecer estaba muy indignado de encontrarse con el sistema de transporte público de la ciudad lleno de extranjeros. Scheiße auf Malle und Griechenland! - Me cago en Mallorca y en Grecia! etc etc. Mientras la gente se escurría de su proximidad, yo le iba dando vueltas a ver si se dignaba a decirme algo, fantaseando y deseando responderle directamente con una buena izquierda... pero lamentablemente paso desapercibido entre los locales pasando por alemán. Servidor aún conserva malos hábitos de juventud macarra. Por suerte una mujer se puso a gritarle ordenándole que se callara y dejase de hacer el ridículo pues a su edad no era justificable, etc.
Aquí se evidencia el peligro el presente proyecto europeo: se alimenta el nazionalismo/patriotismo alemán por un lado, y por el otro el griego. Separar en vez de unir a los pueblos vecinos y socios de proyecto. Seguro que esto beneficia a alguien ;) Lo que está claro es que o bien lleva a una mayor unión o el proyecto actual se irá descomponiendo cada vez más rápidamente.
PD: echo de menos opiniones de otros muchos más foreros que sólo lurkean :troll:
According to Greek newspaper Kathimerini, Grexit is beginning to sound like a good option for most of the eurozone. They write:
"According to sources in Brussels, 16 of the other 18 countries in the eurozone are in favor of letting Greece leave the eurozone and they will have to weigh up the cost of any agreement to keep Athens in the single currency."
Kathimerini: 16 of 18 eurozone countries want GrexitCitarAccording to Greek newspaper Kathimerini, Grexit is beginning to sound like a good option for most of the eurozone. They write:
"According to sources in Brussels, 16 of the other 18 countries in the eurozone are in favor of letting Greece leave the eurozone and they will have to weigh up the cost of any agreement to keep Athens in the single currency."
Tsipras secures domestic backing for last-gasp effort at deal | News | ekathimerini.com ([url]http://www.ekathimerini.com/199086/article/ekathimerini/news/tsipras-secures-domestic-backing-for-last-gasp-effort-at-deal[/url])
Apuesto a que esos dos que no quieren Grexit son DE y FR.
Y es que Saturno ha sintetizado excelentemente la razón.
Russia Is Taking Full Advantage Of Greek Crisis
With Greece’s debt situation spiraling downwards, the European project is showing some cracks. The July 5 referendum could amount to a vote on whether or not Greece stays in the euro.
In the meantime, the turmoil offers an opportunity for Russia to advance its interests. Of course, the EU is an absolutely critical trading partner for Russia, so if the bloc starts to fray at the seams, that presents financial risks to an already struggling Russian economy. Russia’s central bank governor Elvira Nabiulllina warned in June of the brewing threat that a Greek default would have on Russia. “We do consider that scenario as one of possible risks which would increase turbulence in the financial markets in the European market, bearing in mind the fact the European Union is one of major trading partners, and we are definitely worried by it,” she said in an interview with CNBC.
With the economic fallout in mind, Russia does see strategic opportunities in growing discord within Europe. First, Russia is pushing its Turkish Stream Pipeline, a natural gas pipeline that it has proposed that would run from Russia through Turkey and link up in Greece. From there, Russian gas would travel on to the rest of Europe. Russia is vying against a separate pipeline project that would send natural gas from the Caspian Sea through Turkey and on to Europe.
In mid-June, Alexis Tsipras met with Russian President Vladimir Putin at the St. Petersburg International Economic Forum. Russia and Greece signed a memorandum following the meeting to push the project forward. Russia’s energy minister Alexander Novak emphasized that Gazprom would not own the section of the pipeline on Greek territory, a crucial fact that avoids heavy antitrust scrutiny from EU regulators.
With an eye on the looming default, Russia agreed to finance the project, and Greek officials portrayed the project as economic assistance amidst its ongoing debt crisis.
The pipeline remains in limbo. Despite Russian insistence that construction could begin in 2016 and be completed by 2019, the 2 billion euro project does not have firm commitments from Turkey, and it also still faces opposition within Europe, which is trying to wean itself off of Russian gas.
But with Greece’s debt crisis hitting new lows, there remains the possibility that Russia could come to Greece’s aid if the latter starts to pull away from Europe. And Greece has tried to use a potential turn towards Russia as leverage in talks with Europe.
To be sure, a Russian bailout for Greece is probably not in the cards, given Russia’s own financial troubles. And both Russian and Greek officials stressed that they did not discuss direct financial assistance when they met in June. Still, there are mutual benefits for both Russia and Greece in highlighting their relationship.
Another way that Russia may be benefitting from the unravelling of Greece is the fact that the attention of European officials and the media have been diverted away from Gazprom’s latest maneuver in Ukraine. The Russian company cut off gas supplies to Ukraine, citing a pricing dispute. Gazprom slashed the discount that it provided to Ukraine for importing its gas, and without prepayment upfront from Ukraine, the Russian company has stated it will not supply gas.
That is not the first instance in which Russia has turned off the taps, having done so in 2006 and 2008 as well. Russia cited pricing disputes in those cases as well. But those prior events also took place during a brutally cold winter, leaving parts of Eastern Europe to freeze. The message was clear: fall in line, or we will cut off your energy supplies.
Of course, that sparked outrage in European capitals, leading to calls for greater European energy security. But after years of little progress, the conflict in Ukraine in 2014 kicked of a new era of icy relations between Russia and Europe, and renewed calls for energy independence from Russia.
One would think that Russia once again cutting of gas flows to Ukraine would certainly raise howls across Europe, but the Greek crisis is sucking all of the air out of the room and crowding out media attention. The fact that the latest incident took place during summer and not winter helped damp down a European reaction, and Russia was careful to insist that Europe would not be affected. But the incident has passed with much less of a reaction than one might have thought.
There are huge financial risks to Russia from chaos in the Eurozone, and the longer the crisis drags out the more likely there could be economic fallout for Russia. But Putin no doubt sees a silver lining in collapsing European unity.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-06/russia-taking-full-advantage-greek-crisis[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-06/russia-taking-full-advantage-greek-crisis[/url])
Pues yo creo que se han cubierto muy bien los griegos con el referendum.
Se han cubierto de una revolución de colorines propiciada por occidente si deciden acercarse a los Brics, porque a ver como se justifica una revuelta tras un 60% de apoyo popular, por lo que he leído algunos ex-altos mandos del ejército griego estaban a favor de SI, pero ahora a ver quien monta un tingladillo para cambiar las tornas.
Alomejor todavía se puede liar parda dentro de Grecia si hay corralito serio y empeora aún más la situación económica, pero de momento parece que con el referendum han conseguido unirse y no separarse mas.
Así que o cede Europa o se van con los Brics (si no de qué se han estado reuniendo con Putin).
Vivir como antes no lo van a hacer, pero dentro de la mala situación creo que han jugado sus cartas lo mejor posible.
P:D. que se ha hablado del gasto militar en estas negociaciones, y al menos yo no había tenido en cuenta hasta ahora lo de tener contento al ejército para que no te la lie dentro de casa...
«Nous ne pouvons demander à ce que les nouvelles générations doivent payer pendant des décennies pour les erreurs de leurs parents. Les Grecs ont fait, sans le moindre doute, de grosses erreurs.» Mais selon l’économiste, faire porter aujourd’hui le poids de la dette sur la jeune génération serait revenu hier à punir les jeunes générations allemandes des années d’après-guerre.
"no se puede pedir que las nuevas generaciones paguen durante decenios por los errores de sus mayores. Los Griegos han, sin duda, cometido enormes errores." Pero, dice, cargar el peso de la deuda sobre los jóvenes equivaldría a haber castigado las nuevas generaciones alemanas de posguerra.
..... Se han cubierto de una revolución de colorines propiciada por occidente si deciden acercarse a los Brics, ......
Citar"No esperamos solamente contramedidas por parte de Washington, sino una diplomacia sofisticada, matizada y constante", dice Kishore Mahbubani, ex Secretario de Asuntos Exteriores de Singapur. "Fueron capaces de lograrlo durante la Guerra Fría, cuando competían con la Unión Soviética. Tuvieron que escuchar a los residentes, cortejar países y, por encima de todo, estar profunda y continuamente comprometidos. Ya no puedo observar esto".
Pekín soborna; pero Washington corteja :roto2:
Euclide Tsakalotos
[url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/06/euclide-tsakalotos-est-le-nouveau-ministre-des-finances-grec_4672879_3214.html[/url])CitarUn « aristo de gauche » au Parlement
Depuis 1990, il enseigne l’économie à Athènes, où il a acheté une villa dans un quartier chic, grâce aux revenus d’investissement qu’il a tirés de fonds comme Blackrock et JP Morgan, souligne Challenges. Malgré le surnom d’« aristo de gauche » que lui affuble une partie de la presse grecque, Euclide Tsakalotos défend depuis longtemps des idées révolutionnaires, et porte les couleurs du parti Syriza au parlement grec depuis 2012, où il il s’est fait réélire en 2015. Il est également membre du comité central du parti d’extrême gauche.
Profe de economia en Atenas, donde compró una villa en un barrio pijo, gracias a inversiones en Blackrock et JP Morgan
Bah. LeMonde es cada vez más tendencioso. En los 90, un europeo de su nivel podía comprar lo que quería en Grecia. Pero es llamativo que recojan el dato (de la revista de bolsa/economia Challenges)
Creo que es perfectamente compatible ser de izquierda, y hasta radical, y hasta haber hecho pinitos como bróker de bolsa.
No necesitas amar el sistema para aprovechar sus resortes...
...... especular para comprarse un zulo y declararse de izquierdas es... una mierda.nos tienen bien jodidos con unos cuantos memes de lo mas aseados; por ejemplo con el de la felicidad, o con el de la inmediatez y congruencia; luego tenemos ademas el del respeto, o el del silencio de los conscientes de su propia ignorancia; el entramado esta muy bien montado, no es un contubernio, ni esta dirigido u organizado por nadie concreto, pero funciona muy bien;
Salgo de la oficina para comprar 4 kartoffeln y me encuentro esto en los kioskos:
(https://pbs.twimg.com/media/CJTxvrXUYAAqH0R.jpg)
Ni un millardo más para Grecia
Hoy necesitamos a la canciller de hierro
:roto2:
...... especular para comprarse un zulo y declararse de izquierdas es... una mierda.nos tienen bien jodidos con unos cuantos memes de lo mas aseados; por ejemplo con el de la felicidad, o con el de la inmediatez y congruencia; luego tenemos ademas el del respeto, o el del silencio de los conscientes de su propia ignorancia; el entramado esta muy bien montado, no es un contubernio, ni esta dirigido u organizado por nadie concreto, pero funciona muy bien;
el de la inmediatez y congruencia afecta al pisito de sacalo_to, resulta que como es rojelio no puede buscarse las habichuelas sin delinquir; y va a resultar que es mucho mas congruente un rojelio adorador de la nouvel cousine, el camino de santiago y el jurgol (que eso ademas cumple con el meme de la felicidad), coño que manolito (vazquez montalvan) vivo en otra epoca;
[...]
Por lo demás, asistimos a un teatro de lo absurdo: por un lado griegos exigiendo mantener unas pensiones, salarios públicos y prestaciones que Grecia solo puede pagar a fuerza de endeudarse brutalmente hasta el fin.
Por el otro, una Troika-FMI exigiendo que les paguen lo suyo, no entrando a saco en el país y modernizándolo; no dándole un meneo a sus élites corruptas para que sean un poco menos extractivas, no mojándose el culo: simplemente, exigiendo subidas del IVA al 25% y demás recetas desastrosas.
Así que nada: muy bien todo. Si alguien nos pudiera ver desde fuera... :facepalm:
Por cierto, ésta tipa sigue queriendo ejercer de pijilla trepa:CitarBeatriz Talegón anuncia su baja del PSOE tras criticar la postura de la dirección sobre Grecia
Llevaba varios meses mostrándose crítica con la gestión del secretario general del PSOE, Pedro Sánchez, Talegón. Ahora dice sentirse "aliviada" tras comunicar su decisión en su cuenta de la red social Twitter.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/64971-beatriz-talegon-anuncia-su-baja-del-psoe-tras-criticar-la-postura-de-la-direccion-sobre-grecia[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/64971-beatriz-talegon-anuncia-su-baja-del-psoe-tras-criticar-la-postura-de-la-direccion-sobre-grecia[/url])
Si quería de verdad desmarcarse, que se hubiera tirado a la piscina defendiendo el 'no' a priori. Como lo ha hecho a posteriori, de nuevo vuelve a quedar como trepa y aprovechada.
Acerca de su futuro político, Beatriz Talegón ha reconocido que Pablo Iglesias le propuso sumarse a Podemos. “Es muy bonito que se te quiera fuera de tu casa* política”, ha afirmado. “La intención que tenia Pablo es que estuviéramos juntos Alberto Garzón, yo misma...” ha confesado sin dar más nombres y confesando que “no desembarco en Podemos” pero me van a tener ahí, “a su lado”.
Sin embargo, la diana de sus críticas ha sido, sin ninguna duda, Pedro Sánchez, sobre el que ha dicho “no ser de izquierdas” y de estar “engañando a la gente dándose cuenta”. “Se ha cargado la corriente de opinión de interna a la que yo pertenezco. Es una persona antidemocrática** en sus formas y en el fondo”, ha reconocido. “Es puro marketing”.
[...]
Por lo demás, asistimos a un teatro de lo absurdo: por un lado griegos exigiendo mantener unas pensiones, salarios públicos y prestaciones que Grecia solo puede pagar a fuerza de endeudarse brutalmente hasta el fin.
Por el otro, una Troika-FMI exigiendo que les paguen lo suyo, no entrando a saco en el país y modernizándolo; no dándole un meneo a sus élites corruptas para que sean un poco menos extractivas, no mojándose el culo: simplemente, exigiendo subidas del IVA al 25% y demás recetas desastrosas.
Así que nada: muy bien todo. Si alguien nos pudiera ver desde fuera... :facepalm:
La UE, FMI y similares no dan un meneo a las élites corruptas griegas - y españolas, italianas, portuguesas... - y sus amplias redes clientelares porque no pueden (en caso de que quisiesen, particular acerca del cual sólo se puede especular). Así de sencillo.
Me parece imposible, por ejemplo, que desde Bruselas se pueda desmantelar la educación pública griega, que sale mal parada en los informes PISA - al igual que la nuestra - pese a que emplea cuatro veces más profesores por alumno que la de Finlandia [1]. Y no hablemos ya del siguiente paso, que sería implantar una educación pública de calidad.
Y lo mismo se puede decir de España. Ponte en la piel de un alto burócrata de Bruselas o del FMI y dime cómo conseguirías que España adoptase un sistema de función pública razonable, similar al de los países de la UE serios. Un sistema en el que un fiscal o un interventor son funcionarios, pero no lo son ni un administrativo ni un bedel.
No, no pueden. Y por ese motivo se van a lo fácil: sube esos impuestos, baja esas pensiones...
[1] [url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url])
La salida requiere un cambio de visión y reforzar de modo inmediato la Unión Económica y Política.
Hay que proponer un plan con tres dimensiones en línea con el informe de los cinco presidentes que no se examinó precisamente en el Consejo Europeo de fin de junio:
Reactivar la economía con un plan de inversiones (fondos de cohesión, estructurales, más iniciativa Juncker, implicando al BEI y Banco Mundial. No se puede hablar solo de deudas, hay que crear una economía sostenible en Grecia.
Plantear la reestructuración de la deuda con una perspectiva de conjunto, convirtiendo el MEDE en el Fondo Monetario Europeo y creando el Tesoro Europeo. Esta decisión permitiría la mutualización de la deuda de los países del Eurogrupo por encima del 60%. Operación que fortalecería al euro, con el mayor mercado mundial de bonos, abarataría los intereses y beneficiaría a todos los Estados miembros del Eurogrupo.
En este proceso, la reestructuración de la deuda griega debería plantearse con condicionalidad en función de un calendario de reformas. En la misma, debería asumir su parte la banca privada.
No se puede seguir con una cogestión UE-FMI que levanta ronchas en todo el mundo con países menos desarrollados que tienen que aportar su solidaridad a los europeos.
Hay que tener también muy en cuenta el papel geopolítico de Grecia en un frente oriental y mediterráneo de máxima inestabilidad.
[...]
Por lo demás, asistimos a un teatro de lo absurdo: por un lado griegos exigiendo mantener unas pensiones, salarios públicos y prestaciones que Grecia solo puede pagar a fuerza de endeudarse brutalmente hasta el fin.
Por el otro, una Troika-FMI exigiendo que les paguen lo suyo, no entrando a saco en el país y modernizándolo; no dándole un meneo a sus élites corruptas para que sean un poco menos extractivas, no mojándose el culo: simplemente, exigiendo subidas del IVA al 25% y demás recetas desastrosas.
Así que nada: muy bien todo. Si alguien nos pudiera ver desde fuera... :facepalm:
La UE, FMI y similares no dan un meneo a las élites corruptas griegas - y españolas, italianas, portuguesas... - y sus amplias redes clientelares porque no pueden (en caso de que quisiesen, particular acerca del cual sólo se puede especular). Así de sencillo.
Me parece imposible, por ejemplo, que desde Bruselas se pueda desmantelar la educación pública griega, que sale mal parada en los informes PISA - al igual que la nuestra - pese a que emplea cuatro veces más profesores por alumno que la de Finlandia [1]. Y no hablemos ya del siguiente paso, que sería implantar una educación pública de calidad.
Y lo mismo se puede decir de España. Ponte en la piel de un alto burócrata de Bruselas o del FMI y dime cómo conseguirías que España adoptase un sistema de función pública razonable, similar al de los países de la UE serios. Un sistema en el que un fiscal o un interventor son funcionarios, pero no lo son ni un administrativo ni un bedel.
No, no pueden. Y por ese motivo se van a lo fácil: sube esos impuestos, baja esas pensiones...
[1] [url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url])
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Por lo demás, asistimos a un teatro de lo absurdo: por un lado griegos exigiendo mantener unas pensiones, salarios públicos y prestaciones que Grecia solo puede pagar a fuerza de endeudarse brutalmente hasta el fin.
Por el otro, una Troika-FMI exigiendo que les paguen lo suyo, no entrando a saco en el país y modernizándolo; no dándole un meneo a sus élites corruptas para que sean un poco menos extractivas, no mojándose el culo: simplemente, exigiendo subidas del IVA al 25% y demás recetas desastrosas.
Así que nada: muy bien todo. Si alguien nos pudiera ver desde fuera... :facepalm:
La UE, FMI y similares no dan un meneo a las élites corruptas griegas - y españolas, italianas, portuguesas... - y sus amplias redes clientelares porque no pueden (en caso de que quisiesen, particular acerca del cual sólo se puede especular). Así de sencillo.
Me parece imposible, por ejemplo, que desde Bruselas se pueda desmantelar la educación pública griega, que sale mal parada en los informes PISA - al igual que la nuestra - pese a que emplea cuatro veces más profesores por alumno que la de Finlandia [1]. Y no hablemos ya del siguiente paso, que sería implantar una educación pública de calidad.
Y lo mismo se puede decir de España. Ponte en la piel de un alto burócrata de Bruselas o del FMI y dime cómo conseguirías que España adoptase un sistema de función pública razonable, similar al de los países de la UE serios. Un sistema en el que un fiscal o un interventor son funcionarios, pero no lo son ni un administrativo ni un bedel.
No, no pueden. Y por ese motivo se van a lo fácil: sube esos impuestos, baja esas pensiones...
[1] [url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/blogs/elmundo/elmundopordentro/2012/05/10/de-como-roba-el-pueblo-extensiones.html[/url])
Es que la mejor de las ingenierías sociales españolas es la que hace que el 99% de la población esté totalmente convencida de que un juez es una especie de superhombre, tan superior que vale la pena otorgarle poderes que serían ciencia-ficción en la mayor parte del mundo. Y eso porque, nos cuentan, ha superado una dura prueba selectiva, lo que a veces es cierto, pero se dejan en el tintero lo mejor:
-Hay un 20% que ni siquiera ha hecho oposición, son "juristas de reconocido prestigio" o jueces sustitutos que entran de aquella manera.
-Los altos puestos son todos para enchufados.
-El escalafón es mucho más jugoso de lo que se suele decir (en media OCDE uno puede saber lo que gana un funcionario concreto, incluso un contribuyente cualquiera, en España NO) pero lo mollar es solamente para enchufados, y como la permeabilidad con lo privado es casi cero (salvo que prevariques para un despacho y te vayas excedente a cobrar la mordida), el que ha subido por esa escala es sin duda un vendido. Véase cómo ahora los hay trabajándose sin pudor a Podemos, por si llegan a tocar pelo en las cuotas, que les den su alpiste.
-Las pruebas no son infalibles porque se pueden filtrar preguntas y en las orales puede pasar de todo. Hemos visto que la parentela de nuestro amado PM tiene especial facilidad para sacar notazas en pruebas de francés (hablo del idioma) sin conocerlo, etc.
Si se utilizara una mezcla de méritos curriculares, psicometría ciega para el promer filtro y exámenes prácticos sensatos y adecuados al puesto, la selección sería mucho más eficiente. Sin duda en 1873 era importante que el notario de Mondoñedo se supiera la ley al dedillo, pero hoy hay Aranzadi online y la fe se puede dar electrónicamente para el 99% de transacciones con formularios estandarizados.
Y por eso acaban pagando pensionistas y funcionarios de modo indiscriminado por recortes que con sensatez solamente atacarían la autétnica grasa.
- Salvo una improbable ayuda de emergencia internacional, el gobierno griego se quedará sin liquidez en breve y se verá obligado a pagar a los empleados públicos y a los pensionistas con "pagarés" (IOU: I owe you) ante la falta de efectivo en las arcas del estado. De facto significaría la introducción de otra moneda cuya depreciación sería inmediata respecto al euro, ocasionando una súbita pérdida de poder adquisitivo de funcionarios y pensionistas.
[J. Sánchez-Quiñones, R-4]
Harry Theoharis, who was the head of the country's tax-collection agency until last year. He tried to focus on reforming the country's revenue system, so that Greece could better deal with its crippling fiscal crisis.
But in June 2014, after just 17 months, Theoharis resigned.
In an interview with the Telegraph at the start of the year, Theoharis said people were so angry about his attempts that they threatened to "break his legs" during his tenure.
La Grèce a levé 1,625 milliard d'euros de bons du Trésor
Crise de la detteL'Agence de la dette grecque (PDMA) espère lever un total de 2 milliards d'euros à six mois, l'équivalent des bons du Trésor qui doivent être renouvelés ce mois-ci
Prime Minister Alexis Tsipras never expected to win Sunday's referendum. He is now trapped and hurtling towards Grexit
Like a tragedy from Euripides, the long struggle between Greece and Europe's creditor powers is reaching a cataclysmic end that nobody planned, nobody seems able to escape, and that threatens to shatter the greater European order in the process.
Greek premier Alexis Tsipras never expected to win Sunday's referendum on EMU bail-out terms, let alone to preside over a blazing national revolt against foreign control.
He called the snap vote with the expectation - and intention - of losing it. The plan was to put up a good fight, accept honourable defeat, and hand over the keys of the Maximos Mansion, leaving it to others to implement the June 25 "ultimatum" and suffer the opprobrium.
This ultimatum came as a shock to the Greek cabinet. They thought they were on the cusp of a deal, bad though it was. Mr Tsipras had already made the decision to acquiesce to austerity demands, recognizing that Syriza had failed to bring about a debtors' cartel of southern EMU states and had seriously misjudged the mood across the eurozone.
Instead they were confronted with a text from the creditors that upped the ante, demanding a rise in VAT on tourist hotels from 7pc (de facto) to 23pc at a single stroke.
Creditors insisted on further pension cuts of 1pc of GDP by next year and a phase out of welfare assistance (EKAS) for poorer pensioners, even though pensions have already been cut by 44pc.
They insisted on fiscal tightening equal to 2pc of GDP in an economy reeling from six years of depression and devastating hysteresis. They offered no debt relief. The Europeans intervened behind the scenes to suppress a report by the International Monetary Fund validating Greece's claim that its debt is "unsustainable". The IMF concluded that the country not only needs a 30pc haircut to restore viability, but also €52bn of fresh money to claw its way out of crisis.
[Greek Sov. Debt vs GDP graph]
They rejected Greek plans to work with the OECD on market reforms, and with the International Labour Organisation on collective bargaining laws. They stuck rigidly to their script, refusing to recognise in any way that their own Dickensian prescriptions have been discredited by economists from across the world.
"They just didn't want us to sign. They had already decided to push us out," said the now-departed finance minister Yanis Varoufakis.
So Syriza called the referendum. To their consternation, they won, igniting the great Greek revolt of 2015, the moment when the people finally issued a primal scream, daubed their war paint, and formed the hoplite phalanx.
Mr Tsipras is now trapped by his success. "The referendum has its own dynamic. People will revolt if he comes back from Brussels with a shoddy compromise," said Costas Lapavitsas, a Syriza MP.
"Tsipras doesn't want to take the path of Grexit, but I think he realizes that this is now what lies straight ahead of him," he said.
What should have been a celebration on Sunday night turned into a wake. Mr Tsipras was depressed, dissecting all the errors that Syriza has made since taking power in January, talking into the early hours.
The prime minister was reportedly told that the time had come to choose, either he should seize on the momentum of the 61pc landslide vote, and take the fight to the Eurogroup, or yield to the creditor demands - and give up the volatile Mr Varoufakis in the process as a token of good faith.
Everybody knew what a fight would mean. The inner cabinet had discussed the details a week earlier at a tense meeting after the European Central Bank refused to increase liquidity (ELA) to the Greek banking system, forcing Syriza to impose capital controls.
It was a triple plan. They would "requisition" the Bank of Greece and sack the governor under emergency national laws. The estimated €17bn of reserves still stashed away in various branches of the central bank would be seized.
They would issue parallel liquidity and California-style IOUs denominated in euros to keep the banking system afloat, backed by an appeal to the European Court of Justice to throw the other side off balance, all the while asserting Greece's full legal rights as a member of the eurozone. If the creditors forced Grexit, they - not Greece - would be acting illegally, with implications for tort contracts in London, New York and even Frankfurt.
They would impose a haircut on €27bn of Greek bonds held by the ECB, and deemed "odious debt" by some since the original purchases were undertaken by the ECB to save French and German banks, forestalling a market debt restructuring that would otherwise have happened.
"They were trying to strangle us into submission, and this is how we would retaliate," said one cabinet minister. Mr Tsipras rejected the plan. It was too dangerous. But a week later, that is exactly what he may have to do, unless he prefers to accept a forced return to the drachma.
Syriza has been in utter disarray for 36 hours. On Tuesday, the Greek side turned up for a make-or-break summit in Brussels with no plans at all, even though Germany and its allies warned them at the outset that this is their last chance to avert ejection.
The new finance minister, Euclid Tsakalotos, vaguely offered to come up with something by Wednesday, almost certainly a rejigged version of plans that the creditors have already rejected.
Events are now spinning out of control. The banks remain shut. The ECB has maintained its liquidity freeze, and through its inaction is asphyxiating the banking system.
Factories are shutting down across the country as stocks of raw materials run out and containers full of vitally-needed imports clog up Greek ports. Companies cannot pay their suppliers because external transfers are blocked. Private scrip currencies are starting to appear as firms retreat to semi-barter outside the banking system.
Yet if Greece is in turmoil, so is Europe. The entire leadership of the eurozone warned before the referendum that a "No" vote would lead to ejection from the euro, never supposing that they might have to face exactly this.
Jean-Claude Juncker, the European Commission's chief, had the wit to make light of his retreat. “We have to put our little egos, in my case a very large ego, away, and deal with situation we face,” he said.
France's prime minister, Manuel Valls said Grexit and the rupture of monetary union must be prevented as the highest strategic imperative. "We cannot let Greece leave the eurozone. Nobody can say today what the political consequences would be, what would be the reaction of the Greek people," he said.
French leaders are working in concert with the White House. Washington is bringing its immense diplomatic power to bear, calling openly on the EU to put "Greece on a path toward debt sustainability" and sort out the festering problem once and for all.
The Franco-American push is backed by Italy's Matteo Renzi, who said the eurozone has to go back to the drawing board and rethink its whole austerity doctrine after the democratic revolt in Greece. He too now backs debt relief.
Yet 15 of the 18 governments now sitting in judgment on Greece either back Germany's uncompromising stand, or are leaning towards Grexit in one form or another. The Germans are already thinking beyond Grexit, discussing plans for humanitarian aide and balance of payments support for the drachma.
Mark Rutte, the Dutch premier, spoke for many in insisting that the eurozone must uphold discipline, whatever the financial consequences. "I am at the table here today to ensure that the integrity, the cohesion, the underlying principles of the single currency are protected. It is up to the Greek government to come up with far-reaching proposals. If they don't do that, then I think it will be over quickly," he said.
The two sides are talking past each other, clinging to long-entrenched narratives, no longer willing to question their own assumptions. The result could be costly. RBS puts the direct financial losses for the eurozone from a Greek default at €227bn, compared with €140bn if they bite the bullet on an IMF-style debt restructuring.
But that is a detail compared with the damage to the European political project and the Nato alliance if Greece is thrown to wolves against the strenuous objections of France, Italy and the US.
It is hard to imagine what would remain of Franco-German condominium. Washington might start to turn its back on Nato in disgust, leaving Germany and the Baltic states to fend for themselves against Vladimir Putin's Russia, a condign punishment for such loss of strategic vision in Greece.
Mr Lapavitsas said Europe's own survival as civilisational force in the world is what is really at stake. "Europe has not show much wisdom over the last century. It launched two world wars and had to be saved by the Americans," he said
"Now with the creation of monetary union it has acted with such foolishness, and created such a disaster, that it is putting the very union in doubt, and this time there will be no saviour. It is the last throw of the dice for Europe," he said.
The story goes that the UK would be better of staying in the EU due to trade and unity etc etc bla de bla
Well. who the f*** would want anything to do with this bunch of Tw**s after the way they've mismanaged this crisis? Methinks the zee Geman high command may come to regret its
high handed attitude as the whole sorry edifice slowly collapses. UK out now!
Cómo les encanta a los anglos meter cizaña :biggrin:
[...]
Con salvedades, podríamos emparentarle con Vázquez Montalbán, y algo me dice que MVM no vería con buenos ojos a Podemos con su "niñatismo" adanista. Parece que la generación del yogur y la universidad para todos, que es la mía, ha salido en todo el Sur de Europa caprichosa y malcriada seguramente porque a papá y mamá les faltó un poco de firmeza; también por la "delusion" del crecimiento económico "quemaetapista" de los años dorados en los que llegamos a mirarnos al espejo y vernos germano-escandinavos cuando nos falta un buen palmo y algunas otras cosas.
[...]
Pour la zone euro, ramenée à 18 membres, une fois le risque de contagion circonscrit grâce à un pilotage habile de la Banque centrale européenne, ce devrait être l'occasion de pousser plus avant les feux de l'intégration politique. Le désastre grec conduirait ainsi à une Europe plus resserrée et, in fine, revigorée.
[url]http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/grece-comment-sauver-l-europe-apres-le-referendum_1697128.html#gZEK3Tzj0Sq56mwB.99[/url] ([url]http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/grece-comment-sauver-l-europe-apres-le-referendum_1697128.html#gZEK3Tzj0Sq56mwB.99[/url])
From laissez-faire economics in 18th-century India to neoliberalism in today’s Europe the subordination of human welfare to power is a brutal tradition
Greece may be financially bankrupt, but the troika is politically bankrupt. Those who persecute this nation wield illegitimate, undemocratic powers, powers of the kind now afflicting us all. Consider the International Monetary Fund. The distribution of power here was perfectly stitched up: IMF decisions require an 85% majority, and the US holds 17% of the votes.
The IMF is controlled by the rich, and governs the poor on their behalf. It’s now doing to Greece what it has done to one poor nation after another, from Argentina to Zambia. Its structural adjustment programmes have forced scores of elected governments to dismantle public spending, destroying health, education and all the means by which the wretched of the earth might improve their lives.
The same programme is imposed regardless of circumstance: every country the IMF colonises must place the control of inflation ahead of other economic objectives; immediately remove barriers to trade and the flow of capital; liberalise its banking system; reduce government spending on everything bar debt repayments; and privatise assets that can be sold to foreign investors.
Using the threat of its self-fulfilling prophecy (it warns the financial markets that countries that don’t submit to its demands are doomed), it has forced governments to abandon progressive policies. Almost single-handedly, it engineered the 1997 Asian financial crisis: by forcing governments to remove capital controls, it opened currencies to attack by financial speculators. Only countries such as Malaysia and China, which refused to cave in, escaped.
Consider the European Central Bank. Like most other central banks, it enjoys “political independence”. This does not mean that it is free from politics, only that it is free from democracy. It is ruled instead by the financial sector, whose interests it is constitutionally obliged to champion through its inflation target of around 2%. Ever mindful of where power lies, it has exceeded this mandate, inflicting deflation and epic unemployment on poorer members of the eurozone.
The Maastricht treaty, establishing the European Union and the euro, was built on a lethal delusion: a belief that the ECB could provide the only common economic governance that monetary union required. It arose from an extreme version of market fundamentalism: if inflation were kept low, its authors imagined, the magic of the markets would resolve all other social and economic problems, making politics redundant. Those sober, suited, serious people, who now pronounce themselves the only adults in the room, turn out to be demented utopian fantasists, votaries of a fanatical economic cult.
All this is but a recent chapter in the long tradition of subordinating human welfare to financial power. The brutal austerity imposed on Greece is mild compared with earlier versions. Take the 19th century Irish and Indian famines, both exacerbated (in the second case caused) by the doctrine of laissez-faire, which we now know as market fundamentalism or neoliberalism.
In Ireland’s case, one eighth of the population was killed – one could almost say murdered– in the late 1840s, partly by the British refusal to distribute food, to prohibit the export of grain or provide effective poor relief. Such policies offended the holy doctrine of laissez-faire economics that nothing should stay the market’s invisible hand.
When drought struck India in 1877 and 1878, the British imperial government insisted on exporting record amounts of grain, precipitating a famine that killed millions. The Anti-Charitable Contributions Act of 1877 prohibited “at the pain of imprisonment private relief donations that potentially interfered with the market fixing of grain prices”. The only relief permitted was forced work in labour camps, in which less food was provided than to the inmates of Buchenwald. Monthly mortality in these camps in 1877 was equivalent to an annual rate of 94%.
As Karl Polanyi argued in The Great Transformation, the gold standard – the self-regulating system at the heart of laissez-faire economics – prevented governments in the 19th and early 20th centuries from raising public spending or stimulating employment. It obliged them to keep the majority poor while the rich enjoyed a gilded age. Few means of containing public discontent were available, other than sucking wealth from the colonies and promoting aggressive nationalism. This was one of the factors that contributed to the first world war. The resumption of the gold standard by many nations after the war exacerbated the Great Depression, preventing central banks from increasing the money supply and funding deficits. You might have hoped that European governments would remember the results.
Today equivalents to the gold standard – inflexible commitments to austerity – abound. In December 2011 the European Council agreed a new fiscal compact, imposing on all members of the eurozone a rule that “government budgets shall be balanced or in surplus”. This rule, which had to be transcribed into national law, would “contain an automatic correction mechanism that shall be triggered in the event of deviation.” This helps to explain the seigneurial horror with which the troika’s unelected technocrats have greeted the resurgence of democracy in Greece. Hadn’t they ensured that choice was illegal? Such diktats mean the only possible democratic outcome in Europe is now the collapse of the euro: like it or not, all else is slow-burning tyranny.
It is hard for those of us on the left to admit, but Margaret Thatcher saved the UK from this despotism. European monetary union, she predicted, would ensure that the poorer countries must not be bailed out, “which would devastate their inefficient economies.”
But only, it seems, for her party to supplant it with a homegrown tyranny. George Osborne’s proposed legal commitment to a budgetary surplus exceeds that of the eurozone rule. Labour’s promised budget responsibility lock, though milder, had a similar intent. In all cases governments deny themselves the possibility of change. In other words, they pledge to thwart democracy. So it has been for the past two centuries, with the exception of the 30-year Keynesian respite.
The crushing of political choice is not a side-effect of this utopian belief system but a necessary component. Neoliberalism is inherently incompatible with democracy, as people will always rebel against the austerity and fiscal tyranny it prescribes. Something has to give, and it must be the people. This is the true road to serfdom: disinventing democracy on behalf of the elite.
Pobre Varoufakis, como se recochinean ahora todos de él :roto2:
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.
In the final minutes of his budget the chancellor had to repeat his key lines on the new national living wage – for the benefit of the evening television bulletins – to ensure his headline measure was understood. In his second go, he said: “Let me repeat myself because I don’t think the other side heard it. Britain deserves a pay rise and Britain is getting a pay rise. I am today introducing today a new national living wage.”
The chancellor said the new living wage would achieve the government’s objective of ensuring that the low paid earned at least 60% of median earnings by 2020. This was the minimum level of pay recommended by Sir George Bain, chair of the Low Pay Commission, in a report to the Resolution Foundation.
In a wide-ranging statement, Osborne announced a blizzard of policies, including fresh tax cuts for companies; a four-year freeze on public-sector pay and a surprise tax raid on buy-to-let landlords.
He reflexionado muchas veces sobre ello.
La mentalidad adolescente y el pensamiento naif que hombres y mujeres como carros se empeñan en mantener pese a los años y las evidencias, acerca de todas las cosas. Y te das cuenta como no quieren salir de ahí, porque cuando intentas ayudarles a que lo consigan, salen huyendo.
El siglo XXI tiene que ser el siglo en el que entendamos con profundidad el miedo, y como consecuencia, a las personas e instituciones creadas por ellas, a su imagen y semejanza.
Sociedad adolescente.
[...]
El creciente infantilismo fomenta la difusión de miedos, esos temores inventados o exagerados que generan los reflejos distorsionados de la calle en la oscuridad de la habitación. Surge una "sociedad del miedo", tremendamente conservadora, que en el cambio ve peligros, no oportunidades. Una colectividad asustadiza, víctima fácil del terrorismo internacional. Nunca fue el mundo tan seguro como en el presente; pero nunca el ciudadano medio vivió tan aterrado. Ni el intelectual tan temeroso de escribir lo que realmente ocurre. Una sociedad bastante cobarde, insegura, que se asusta de su sombra, de lo que come o respira, que siente pánico ante noticias que, por definición, no son más que excepciones.
[...]
La mentalidad infantil encaja muy bien en la sociedad compuesta por grupos de intereses, que tan magistralmente describió Mancur Olson. Unas facciones que actúan como pandillas de adolescentes en entornos donde escasea la responsabilidad, donde el grito, la pataleta, el alboroto, son vías mucho más eficaces para conseguir ventajas que el mérito y el esfuerzo. Un marco, como el español, donde predomina quien más vocifera, "reivindica", apabulla. O tiene más amigos, mejores contactos. Raramente quién aporta razones más profundas.
El populismo constituye la fase final, el perfeccionamiento del proceso de infantilización, la cosecha definitiva de esas semillas sembradas concienzudamente por los dirigentes del Régimen del 78. No es tan significativa la estética quiceañera como el discurso arbitrista, empachado de "lo público", proclive al reparto de prebendas, tendente a eliminar los restos de responsabilidad individual. Líderes adolescentes y caprichosos para una sociedad infantil, anestesiada, entretenida con los juguetes que los de arriba dejan caer a voluntad. Lo de siempre... corregido y aumentado.
[...]
[url]http://vozpopuli.com/blogs/6087-juan-m-blanco-sociedad-adolescente[/url] ([url]http://vozpopuli.com/blogs/6087-juan-m-blanco-sociedad-adolescente[/url])
En España han sido los de Cs quienes han probado el modelo de cooptar a la intelectualidad expatriada, pero ha sido una de cal y otra de arena porque la oferta ciudadánica resulta confusa , los economistas elegidos son liberales a la anglo pero el discurso comercial para el público español resulta ser de corte socialdemócrata. Y los escalones no-intelectuales son pisitófilas monas como Villacís o, me temo, descartes de PP y UPyD o arribistas varios, especie muy abundante en España.Pobre Varoufakis, como se recochinean ahora todos de él :roto2:
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.
Vamos a ver... no hay color entre Syriza y Podemos. No es una cuestión de ideología. Varoufakis y Tsakalotos tienen unas credenciales que dejan a la altura del betún a muchas clases políticas europeas y a la de España por descontado. Aunque su discurso esté en las antípodas de mi sesgo personal.
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.El primero economista, el segundo flautista.
El ultimo ensayo de Vargas Llosa va más o menos de esto.
A mi me duele ver que el gran literato español de mi generación es ese neo carlista sátiro y babosón de JM de Prada. Y peor es el panorama entre los columnistas y otro personal "de referencia". A ver si conseguimos que la nueva generación salga un poco menos aniñada.
Pobre Varoufakis, como se recochinean ahora todos de él :roto2:
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.
Pobre Varoufakis, como se recochinean ahora todos de él :roto2:
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.
Completamente de acuerdo. Además, los que se recochinean de él, en realidad caen en el ad hominem permanente: que refuten su argumentación, que aún estoy esperando. El artículo que ha traído visillófilas, me parece paradigmático a ése respecto, y además carece de gracia y estilo, sino que es facilón y superficial.
En cuanto a sus maneras, siempre admiraré a alguien que es capaz de llevar hasta sus últimas consecuencias mi lema de you are beyond contempt.
Pobre Varoufakis, como se recochinean ahora todos de él :roto2:
Pues yo seguiré diciendo que es de lo mejor y más inteligente de entre los defensores de su posición, y que prefiero a un Varoufakis 100 veces antes que a un Monedero.
Completamente de acuerdo. Además, los que se recochinean de él, en realidad caen en el ad hominem permanente: que refuten su argumentación, que aún estoy esperando. El artículo que ha traído visillófilas, me parece paradigmático a ése respecto, y además carece de gracia y estilo, sino que es facilón y superficial.
En cuanto a sus maneras, siempre admiraré a alguien que es capaz de llevar hasta sus últimas consecuencias mi lema de you are beyond contempt.
L’erreur de l’Europe c’est de croire qu’on change des peuples par des directives européennes. Nous, Français, nous devrions comprendre ce que c’est de faire face à ses démons.
C’est aux Grecs de prendre en main leur destin. Et c’est aux Européens de les aider :
Parce qu’on ne change pas de voisins. Un continent, ça ne déménage pas.
Parce qu’une Grèce forte est importante pour le rôle de l’Europe en Méditerranée. Une Grèce nationaliste et humiliée c’est la garantie de tensions avec une Turquie qui, elle-même, est en proie au doute. C’est le conflit chypriote qui se pérennise. C’est une immigration plus difficile encore à maîtriser.
Parce que punir les Grecs, c’est donner le signe de la mise au pas de toute l’Europe. Et qui décidera à quoi doit ressembler un bon Européen ?
Avons-nous « sauvé » une Grèce ingrate en la renflouant depuis 2010 ? Trois fois non.
D’abord nous avons substitué des créances publiques à des créances privées pour sauver nos banques, les banques françaises et allemandes essentiellement, exposées à la dette grecque. Et nous avons eu raison de le faire, pour éviter une nouvelle crise économique.
Ensuite nous avons imposé des réformes à contre-temps qui ont cassé l’économie grecque, au point de la rendre incapable de rembourser les 317 milliards de dettes accumulées.
Un exemple : on demande à grands cris la fin des préretraites – c’est légitime sans doute, mais cela n’a aucun sens dans un pays avec 26% de chômage où le seul effet de la réforme serait de mettre au chômage des préretraités et donc de réduire leurs pensions.
Enfin nous avons volontairement refusé de la sauver complètement, pour maintenir la pression, parce que nous n’avions aucune confiance dans leurs gouvernants. Résultat : une crise qui pouvait se régler presque sans coûts en 2010 promet aujourd’hui une perte sèche – rien que pour la France – d’un tiers à la totalité des 42 milliards d’euros que la Grèce doit, directement ou indirectement, à la France.
Alors que faire ? En finir avec la morale et faire enfin de la politique – en Grèce comme en Europe.
Il est temps d’avoir une gouvernance économique de la zone euro avec un budget propre et une représentation parlementaire spécifique, visant à l’harmonisation fiscale et sociale graduelle.
Il est urgent également que le FMI sorte de la gestion de la crise grecque pour européaniser la gestion de la crise.
La clé en Grèce c’est l’investissement. Il y a des propositions sur la table. Pourquoi ne pas coupler le remboursement des créances à des investissements en Grèce, à travers les banques de développement européennes et grecque ? Chaque euro remboursé dans les cinq prochaines années serait réinvesti en Grèce. On créerait ainsi un cercle vertueux de relance économique sans un sou payé par les contribuables européens, puisque les sommes seraient à terme remboursées.
Greece is teetering on the brink of an exit from the eurozone, a prospect that terrified investors a few years ago because they worried it could trigger a domino effect across the eurozone. So why are investors playing down those fears this time?
Financial ties have been severed
Greece has been largely disentangled from financial markets. Before Greece’s government debt was restructured in 2012, much of it was held by banks and investors outside the country. Now, little more than 10% of Greece’s debt remains in private hands. And European banks’ holdings of Greek assets are down 80% from their peak, according to Credit Suisse. That has greatly reduced the risk that a Greek default triggers a wave of losses across the eurozone and beyond, spreading panic through markets. The rest of Greece’s debt is held by official institutions–namely the International Monetary Fund, European Central Bank, and eurozone governments, which are better-placed to absorb the losses.
ECB stands ready
Perhaps even more important is the role of the central bank in limiting bond-market “contagion” from Greece. At the height of the debt crisis in 2011 and 2012, worries about Greece exiting the currency bloc spread like wildfire to the bonds of Portugal, Spain, and Italy as investors worried about which highly indebted nation could be next to leave. Since then, ECB chief Mario Draghi has backed up his summer 2012 pledge to do “whatever it takes” to save the euro with a plan to buy the debt of vulnerable countries, known as Outright Monetary Transactions. OMT has never been used but a recent ruling by Europe’s top court affirmed its legality. More recently, the ECB’s €60 billion ($66 billion) a month bond-buying stimulus program, launched in March this year, has ensured steady demand for eurozone debt. Investors may be nervous, but they’re reluctant to make big bets against Italian or Spanish debt with such an active central bank waiting in the wings.
Brighter economic picture
The economic misery in Greece looks increasingly at odds with the rest of the eurozone. Crucially, growth has returned, albeit tentatively, to other countries previously hit by the debt crisis. Debt levels remain high but are starting to fall and the ECB’s stimulus program has assuaged fears that the region is headed into a deflationary spiral. Against that background, investors are more confident than they were previously about the wider eurozone’s ability to shrug off the protracted Greek downturn. Greece accounts for around 2% of eurozone output.
So there's nothing to worry about then?
Not so fast. Investors’ fears have shifted from financial-market contagion to political contagion. If Greece extracts hefty concessions from its creditors and stays in the eurozone, they worry anti-austerity politicians in Italy and Spain could be emboldened to seek confrontation with the eurozone establishment. And if Greece eventually leaves the currency bloc, the euro will no longer be the “irreversible” union promised by eurozone leaders. That would likely mean future crises are felt much more acutely by markets as investors again wonder whether other nations could eventually follow Greece out the door. But investors say these possibilities are tough to act on today. Only if Greece does finally leave the eurozone will their faith that contagion can be contained truly be tested.
Es ist ein Statement, das aufhorchen lässt. Hans-Peter Friedrich ist zwar kein Minister mehr. Aber der CSU-Politiker ist immerhin stellvertretender Vorsitzender der Unionsfraktion - und dort für genau das Thema zuständig, um das es jetzt geht: die Europapolitik. Er kenne keinen einzigen Kollegen in seiner Fraktion, der eine Basis für neue Griechenland-Hilfen sehe, sagt Friedrich. Die Abgeordneten hätten in ihren Wahlkreisen gerade intensiven Kontakt mit der Parteibasis. Und dort sei die Meinung eindeutig: "Die Griechen haben das Recht, Nein zu sagen. Und jetzt haben wir das Recht, ebenfalls Nein zu sagen." Droht der Kanzlerin also ein Fiasko in den eigenen Reihen?
Offen will am Mittwoch kaum einer darüber reden. Die meisten Abgeordneten halten sich noch an die Vorgabe ihrer Fraktionsführung, sich öffentlich nicht vorschnell festzulegen. Man wisse ja noch gar nicht, was genau am Ende auf dem Tisch liegen werde, sagen Fraktionschef Volker Kauder und sein parlamentarischer Geschäftsführer Michael Grosse-Brömer. Spekulationen brächten einen da nicht weiter.
Auch Horst Seehofer drängt seine Leute zur Ruhe. "Wir stehen zur Verhandlungsführung der Bundeskanzlerin, die das sehr besonnen und konsequent macht", sagt der CSU-Chef. "Die große Mehrheit" beteilige sich jetzt nicht an öffentlichen Diskussionen. Das ist auch ein Wink Seehofers in Richtung Friedrich. Dessen kritische Äußerungen in der Rheinischen Post haben in der Spitze der Unionsfraktion nicht gerade Freude ausgelöst. Denn bisher hatten sich vor allem die üblichen Kritiker aus der zweiten Reihe geäußert. Dass jetzt mit Friedrich auch ein Mitglied der engsten Fraktionsspitze mit deutlichen Vorbehalten an die Öffentlichkeit geht, ist dagegen neu. Auch weil Friedrich bei der Abstimmung im Februar noch mit Ja votiert hat.
Confiscar el ahorro interno, ¿cómo?
Lo que más miedo da es que España podría ser el campo elegido para el experímetro que detenga las ansias del resto de sureños de mantener sus chiringuitos clientelares, porque eso son, tanto Francia como Italia pueden perfectamente bajar el gasto en 3-5 pubtos de PIB sin afectar ni al servicio público ni a las personas en peor situación , basta con que reformen pensiones y aprieten un poco en otras cosas.
España está en similar situacíón de contumaz negativa a reformas y es el más pequeño de todos los grandes. Si wl ejemplo griego no bastara, podría ser que nos sacrificasen condenandonos a la confiscación del ahorro interno para salvar al Estado y así experimentar en vivo: lo que ocurriría es obvio, nulo o negativo crecimiento de PIB y de recaudación durante muchísimos años, pero manejandolo bien, las pérdidas para Europa serian similares : la deuda española en manos extranjeras es en cifras absolutas mas o menosa misma que la griega, hay que ver como anda la posición en TARGET2 para saber el importe del quebranto pero seguramente sea asumible si a cambio se desactiva todo el antisistemismo en los grandes de la UE.
[...] Como ahora nos abruma el caso de Grecia, recordemos que Puerto Rico corre un camino paralelo. La víspera de que Atenas impagase su deuda al FMI, el gobernador de Puerto Rico anunció que su deuda era “impagable”. Pero el problema es más endemoniado que en Grecia, porque al ser un Estado asociado a EE UU, no puede ampararse en la ley de quiebras; y además EE UU no practica con sus socios rescates a la europea (aunque les ayude usando el presupuesto federal para programas sociales o de infraestructuras). El caso de Puerto Rico es peor ¡y el gran Paul Krugman no predica su salida del dólar! Seguro que no emplea dos varas de medir, una para la miserable Europa y otra para el glorioso Imperio. [...]
Confiscar el ahorro interno, ¿cómo?
Impagando la deuda lo que ocurriá será la pérdida de valor de carteras de seguros y fondos de inversión y pensiones pero, sobre todo, una obligada quita a lso depósitos para recapitalizar las entidades financieras, que en conjunto tienen +400.000M de riesgo con el sector público. Eso es confiscar, y yendo más allá se puede hacer lo de Argentina con lo que quede de los fondos privados de pensiones.
En los PIGS hay dos categorías: países que tienen la mayor parte de su deuda colocada fuera (POrtugal y Grecia), y los que tienen el 70% o más en manos nativas (España e Italia). En Italia no hay proponentes del impago por obvias razones, ya que de los 2B de deuda pública del país alrededor de 1,4B están en manos nacionales y eso es como el 80% del PIB. En España los hay que no se han percatado de este detallito.
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La cuestión ahora es: ¿Quiere el gobierno alemán llegar a un acuerdo con Grecia? Yo tengo mis dudas.
Confiscar el ahorro interno, ¿cómo?
Impagando la deuda lo que ocurriá será la pérdida de valor de carteras de seguros y fondos de inversión y pensiones pero, sobre todo, una obligada quita a lso depósitos para recapitalizar las entidades financieras, que en conjunto tienen +400.000M de riesgo con el sector público. Eso es confiscar, y yendo más allá se puede hacer lo de Argentina con lo que quede de los fondos privados de pensiones.
En los PIGS hay dos categorías: países que tienen la mayor parte de su deuda colocada fuera (POrtugal y Grecia), y los que tienen el 70% o más en manos nativas (España e Italia). En Italia no hay proponentes del impago por obvias razones, ya que de los 2B de deuda pública del país alrededor de 1,4B están en manos nacionales y eso es como el 80% del PIB. En España los hay que no se han percatado de este detallito.
Lo gordo del gasto público, como en España, es pensiones y desempleo. Ya han bajado DRÁSTICAMENTE. La prensa por el motivo que sea ha decidido seguir hablando de edades y cifras que no son vigentes. Las pensiones ahora en Grecia no son, en general, altas. La edad general de jubilación en grecia es 67 años desde 2007. Lo único que puede hacer Grecia ahora es eliminar exenciones y eliminar rentas de inserción (como la española). Es decir, dejar que un montón más de viejunos vivan de escarbar en contenedores, para sacar un 1% más como mucho.
Yo también tengo mi teoría conspiranoica ahora mismo: la troika quiere hacer un experimento de reset de deuda. Dejar que Grecia caiga, habiendo nacionalizado casi toda la deuda y protegido la banca centroeuropea, respondería básicamente el BCE que puede hacer QEs. La incógnita es cómo reaccionarían los mercados de CDS y deuda privada. Pero igual a la troika les interesaría destruir estos mercados y controlar la financiación y la securitización a nivel mundial, sin pequeña banca de inversión.
La cuestión ahora es: ¿Quiere el gobierno alemán llegar a un acuerdo con Grecia? Yo tengo mis dudas.
Grecia ya sabemos que tiene sus presupuestos casi en los huesos, nada que ver con Italia, que con cuatro reformas en las pensiones se ahorraría 40-60.000M con facilidad y sin traumas (poner a las señoras a trabajar hasta los 65, hacer asistencial la viudedad y que el retiro efectivo sea a los 65).
Pero tiene aún flecos en el sistema de pensiones: demasiados aspectos transitorios y agujeros que siguen haciendo que la edad efectiva de retiro sea muy baja, solamente con lograr cambiar eso ahorrarían algo, quizá 1 punto de PIB (1800M sobre 32.000M de gasto anual), mucho más no se les puede pedir. Y luego está la trampa de la doble pènsión, básica y complementaria, que ellos hábilmente no mencionan de modo que su pensión media y mediana son bajas, pero es que hay 4,5M de pensiones y 2,7M de pensionistas para un gasto mensual de 2.700M, es decir, 1000 de media por cabeza. Los niveles básicos no se pueden tocar pero algo en algunos regímenes complementarios (funcionarios y alguno otros colectivos no tan mal tratados como se suele creer), sí. Se trata de que ese 17% del PIB que se comen las pensiones baje un poco y suba luego con moderación para evitar otra crisis fiscal. Más no se le puede pedir a Grecia y en la UE se sabe, de hecho las peticiones son en este sentido.
En cuanto a los CDS griegos,su saldo vivo es minúsculo porque es pequeña la proporción de la deuda en mercado, casi toda la que hay es a corto. Creo recordar que era del orden de 2 o 3000M el neto nocional vivo.
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La cuestión ahora es: ¿Quiere el gobierno alemán llegar a un acuerdo con Grecia? Yo tengo mis dudas.
Yo también tengo mi teoría. Y es que el gobierno griego no tiene ningún interés en seguir en el euro o incluso en la unión. No estoy nada de acuerdo con la "heroica" retirada de Varu. Te vas cuando has encaminado algo, no cuando todo esta tambaleándose.
Pero vamos, los alemanes (y sus satélites) tampoco están para muchas fiestas. Sus MN piden que se acabe con toda esta tontería y que no se suelte un duro. Es difícil vender otro rescate griego al alemán medio, que lleva recortes y minijobs desde hace 10 años. O a cualquiera de los bálticos, que han hecho las reformas (muy) dolorosas que se les pidió nada más empezar la crisis.
Y los anglos y su esfera, metiendo cizaña en forma de editoriales o declaraciones pechopalomísticas a la más mínima.
Cada día que pasa me da la sensación de que queda menos gente (bueno, políticos europeos) que deseen a Grecia entre nosotros.
Como gesto deberían anularse las amortizaciones de los próximos años haciéndose cargo de ellas la UE, no es tanto dinero, es en lugar de perder de golpe 100.000M por una quita,ir haciendo write-offs parciales de 2000 este año, 3000 el siguiente, y asi. Pero Grecia necesita crecer y prpobablemente reformas en sus administraciones o legislación mercantil, fiscal, etc, son necesarias. Más impuestos seguro que no.
Greece news live: EU bows to Washington pressure for Greek debt relief after Draghi says Grexit 'hard to prevent'
Alexis Tsipras given a midnight deadline to deliver full proposal, as French technocrats fly into broke a compromise
Russia: we are not enjoying the spectacle of the Greek debt crisis
Russian Foreign Minister Sergey Lavrov has said it would be wrong to say his country is enjoying the spectacle of Europe struggling to deal with Greece's debt crisis.
The AP reports that he said Russia has no interest in "throwing kindling onto this fire," and wants to see a quick resolution acceptable to all sides.
Russia, he said, is interested in a "strong, functioning, economically growing European Union".
Any idea that Moscow is rubbing its hands over the crisis European partners is wrong, he added.
"It is a distortion of our position and our interests," he said.
OK then.
Una cosa curiosa es que no se cumplen las proporciones por PIB, porque si España es 1, más o menos salen, las cinco primeras (D-F-I-E-NL) potencias de la eurozona, 2,7:2,0:1,5:1:0,55. Y vemos que los dos grandes se "escaquean" un poco en la asunción de riesgo griego.
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...pensiones y desempleo[/B]. Ya han bajado DRÁSTICAMENTE. La prensa por el motivo que sea ha decidido seguir hablando de edades y cifras que no son vigentes. Las pensiones ahora en Grecia no son, en general, altas. La edad general de jubilación en grecia es 67 años desde 2007. Lo único que puede hacer Grecia ahora es eliminar exenciones y eliminar rentas de inserción (como la española). Es decir, dejar que un montón más de viejunos vivan de escarbar en contenedores, para sacar un 1% más como mucho.
"...las pensiones. Dentro de ellas, encanalla a los acreedores “el escándalo” de la edad de jubilación, como comenta en privado un alto dirigente keynesiano del FMI. Es la más baja en Europa, salvo Francia. Los griegos se jubilan de hecho, según algunos cálculos, a los 61,9 años, 2,3 años más jóvenes que la media de la OCDE. Las griegas, a los 60,3 años, 2,8 menos que la media. Otras estimaciones indican que la media global griega es de 59 años.
Además, los trabajadores de profesiones “penosas” como los mineros gozan de legítimos privilegios adicionales. El problema es que entran en esa categoría oficios como el de panadero o peluquero. Y que las jubilaciones anticipadas operan desde los 52 años. Y que Atenas prevé aumentar la edad de jubilación, a 62 años, pero a lo largo de una larga década."
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/06/17/actualidad/1434571473_075059.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/06/17/actualidad/1434571473_075059.html[/url])
En 2015, la edad de jubilación ordinaria es de 65 años y se va a elevar [¿para cuando?] hasta los 67 años. Con anterioridad se exigían 65 años a los hombres y 60 a las mujeres. "Se puede anticipar la edad de jubilación hasta los 62 años en el supuesto de largas carreras de cotización. Para esta modalidad se han elevado las cotizaciones exigidas a estos efectos en los últimos tiempos de 10.500 a 12.000 días cotizados", explican los expertos, que recuerdan que, además, "es posible acceder a la jubilación anticipada desde los 62 años para el resto de los trabajadores, pero con reducción de la pensión (anteriormente era de 58 años para los hombres y de 55 años mujeres)".
[url]http://www.gestionatudinero.com/articulo/gestiona-tu-dinero/finanzas-personales/224544/pension/jubilacion:/diferencias/espana/grecia.html[/url] ([url]http://www.gestionatudinero.com/articulo/gestiona-tu-dinero/finanzas-personales/224544/pension/jubilacion:/diferencias/espana/grecia.html[/url])
SCHAEUBLE: OFFERED LEW TO TAKE PUERTO RICO IF US TAKES GREECE
Citar
"...las pensiones. Dentro de ellas, encanalla a los acreedores “el escándalo” de la edad de jubilación, como comenta en privado un alto dirigente keynesiano del FMI. Es la más baja en Europa, salvo Francia. Los griegos se jubilan de hecho, según algunos cálculos, a los 61,9 años, 2,3 años más jóvenes que la media de la OCDE. Las griegas, a los 60,3 años, 2,8 menos que la media. Otras estimaciones indican que la media global griega es de 59 años.
Además, los trabajadores de profesiones “penosas” como los mineros gozan de legítimos privilegios adicionales. El problema es que entran en esa categoría oficios como el de panadero o peluquero. Y que las jubilaciones anticipadas operan desde los 52 años. Y que Atenas prevé aumentar la edad de jubilación, a 62 años, pero a lo largo de una larga década."
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/06/17/actualidad/1434571473_075059.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/06/17/actualidad/1434571473_075059.html[/url])
¿Mienten las 'estimaciones' sobre pensiones griegas en El País para castigar a Podemos a través de Syriza?. Pues, entonces han mentido eficazmente, porque las peluqueras griegas (profesión de riesgo) prejubiladas con 50, ya 'circula' como un agravio comparativo bien establecido.
Quizá sea mas ajustada esta comparativa entre pensiones España-Grecia, con el aparente propósito de vender pensiones (BBVA) privadas en España.CitarEn 2015, la edad de jubilación ordinaria es de 65 años y se va a elevar hasta los 67 años. Con anterioridad se exigían 65 años a los hombres y 60 a las mujeres. "Se puede anticipar la edad de jubilación hasta los 62 años en el supuesto de largas carreras de cotización. Para esta modalidad se han elevado las cotizaciones exigidas a estos efectos en los últimos tiempos de 10.500 a 12.000 días cotizados", explican los expertos, que recuerdan que, además, "es posible acceder a la jubilación anticipada desde los 62 años para el resto de los trabajadores, pero con reducción de la pensión (anteriormente era de 58 años para los hombres y de 55 años mujeres)".
[url]http://www.gestionatudinero.com/articulo/gestiona-tu-dinero/finanzas-personales/224544/pension/jubilacion:/diferencias/espana/grecia.html[/url] ([url]http://www.gestionatudinero.com/articulo/gestiona-tu-dinero/finanzas-personales/224544/pension/jubilacion:/diferencias/espana/grecia.html[/url])
Quizás haya que estudiar derecho y seguridad social en Grecia para tener una información fiable sobre este asunto.
Saludos.
Una cosa cierta es que sobre Grecia se cuentan muchas historias pre-2009 y el país ha hecho un enorme ajuste sobre todo los dos últimos ejercicios
Yo sigo la situación griega al mes en sus boletines presupuestarios , si miras a Francia o Italia lo mismo te dan fuentes de 2012, pero no es así en el caso heleno
"La soutenabilité de la dette ne peut être atteinte sans décote, le FMI a raison de le dire" a-t-dit, avant d'ajouter : "Il ne peut y avoir de décote car cela serait contraire aux règles de l'Union européenne."
"La sostenibilidad de la deuda no puede conseguirse sin recorte, el FMI tiene razón en decirlo"
declara, antes de añadir:
"No puede haber recorte porque sería contrario a las reglas de la Unión europea."
La paradoja Schauble en 2 frasesCitar"La soutenabilité de la dette ne peut être atteinte sans décote, le FMI a raison de le dire" a-t-dit, avant d'ajouter : "Il ne peut y avoir de décote car cela serait contraire aux règles de l'Union européenne."
"La sostenibilidad de la deuda no puede conseguirse sin recorte, el FMI tiene razón en decirlo"
declara, antes de añadir:
"No puede haber recorte porque sería contrario a las reglas de la Unión europea."
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-wolfgang-schauble-explique-pourquoi-la-dette-ne-peut-pas-etre-effacee-491100.html#xtor=AL-13[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-wolfgang-schauble-explique-pourquoi-la-dette-ne-peut-pas-etre-effacee-491100.html#xtor=AL-13[/url])
La paradoja Schauble en 2 frasesCitar"La soutenabilité de la dette ne peut être atteinte sans décote, le FMI a raison de le dire" a-t-dit, avant d'ajouter : "Il ne peut y avoir de décote car cela serait contraire aux règles de l'Union européenne."
"La sostenibilidad de la deuda no puede conseguirse sin recorte, el FMI tiene razón en decirlo"
declara, antes de añadir:
"No puede haber recorte porque sería contrario a las reglas de la Unión europea."
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-wolfgang-schauble-explique-pourquoi-la-dette-ne-peut-pas-etre-effacee-491100.html#xtor=AL-13[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-wolfgang-schauble-explique-pourquoi-la-dette-ne-peut-pas-etre-effacee-491100.html#xtor=AL-13[/url])
La conclusión lógica es que se mantiene a Grecia bajo una deuda insostenible. Cosa que sinceramente no me extrañaría nada a corto plazo.
En Europa faltan ESTADISTAS.
Creo que la fractura Norte-Sur de la eurozona está más o menos clara.
([url]http://i.imgur.com/HOyzhOo.jpg[/url])
Closer ties between Athens and Moscow is likely to worry the US, which has stepped up its involvement in Greece's debt crisis
Greece has admitted for the first time it is planning a €2bn gas pipeline with Russia.
The move is likely to worry the US, which has stepped up its involvement in Greece's debt talks with international creditors over fears the cash-strapped country could drop out of the single currency and come under the influence of its Cold War rival.
Panayotis Lafazanis, Greece's energy minister, said the move would be a key part of the country's "multi-faceted" foreign policy and would create 20,000 jobs, the Financial Times reported.
Figures released by Greece’s National Statistics Service on Thursday showed unemployment at 25.6pc in April.
Reports in April suggested Moscow was ready to provide advanced payment to Greece for the "Turkish Stream" pipeline project, which will transport 47bn cubic metres of Gazprom's gas annualy from 2018.
Those reports were quickly denied by the Kremlin, depite Greek Prime Minister Alexis Tsipras visiting Russia to hold talks with Russian president Vladimir Putin.
During that visit to the Kremlin, Mr Tsipras insisted Greece was a “sovereign nation with the indelible right to carry out its own foreign policy”.
Germany's finance minister, Wolfgang Schauble, has previously said he had no objection to any deal with Moscow, but that ultimately it would not "fix Greece's reform problems".
Beijing has also sought to invest in Greece's port infrastructure.
Mr Lafazanis, who heads up the Left Platform of Syriza, has hailed a new dawn in Greco-Russia relations and has invited the likes of state-sponsored Gazprom to drill for oil off the Greek coast.
It comes amid reports Greece's European creditors are willing to give the country debt relief, following its default on loans to the IMF last month.
Until the referendum and its potential implications for growth, we believed that, under these assumptions about the primary surplus, debt sustainability could be achieved through the rescheduling of existing debt, and long maturities for new debt. This was reflected in the preliminary debt sustainability analysis (DSA) we put out before the referendum.
Our assessment was seen as too pessimistic by our European partners to whom we had communicated our views about the need for debt relief long before publishing the debt sustainability analysis.
We believe that current developments may well imply the need for even more financing, not least in support of the banks, and for even more debt relief than in our DSA.
Greece's loan request to ESM + prior actions on Parl's site w doc seeking commitment to restructuring debt after 2022
[url]http://www.hellenicparliament.gr/UserFiles/c8827c35-4399-4fbb-8ea6-aebdc768f4f7/9292390.pdf[/url] ([url]http://www.hellenicparliament.gr/UserFiles/c8827c35-4399-4fbb-8ea6-aebdc768f4f7/9292390.pdf[/url])
El RBS ha sacado un esquema similar al del diario italiano de ayer.
([url]http://i.imgur.com/DoGyFte.png[/url])
Fractura "Norte-Sur" en toda regla. Y es que algunos países van a bailar al son de Alemania prácticamente siempre por intereses intra-UE. Aparte de otras afinidades, filias y fobias.
Es curioso, los únicos que defienden su permanencia a cualquier precio son un estado trilero fallido y "rescatado", dos estados que empiezan a tener algunos síntomas de la enfermedad que aflige a los griegos (con unas MN que no se van a deflactar con gusto) y 2/3 del stablishment europeo.
Es curioso, los únicos que defienden su permanencia a cualquier precio son un estado trilero fallido y "rescatado", dos estados que empiezan a tener algunos síntomas de la enfermedad que aflige a los griegos (con unas MN que no se van a deflactar con gusto) y 2/3 del stablishment europeo.
Francia e Italia no están peor en prácticamente ningún sentido que España, Portugal e Irlanda.
How much financial help might Greece need under Grexit?
Despite optimism around the new proposals it is still looking challenging to avoid a Grexit. In such a scenario Greece will need additional financial aid in order to help stabilise its economy and manage the difficult transition to a new currency. Open Europe's Raoul Ruparel investigates how much this might need to be.
10 July 2015
Summary: Open Europe estimates that, in terms of bare essentials, Greece could need between €18bn and €33bn in transitional funding to help support its economy after Grexit. This would cover things such as certain debt payments, some deficit funding and money to bolster reserves to aid in managing the new currency. It does not include the cost of bank recapitalisation which might be managed via nationalisation. If money was needed for this the cost could jump by tens of billions. Of course, there would be much wider costs to Grexit to both the Eurozone and Greece in terms of economic decline, contagion and Greek default on direct Eurozone exposures (Open Europe will publish figures on this in due course).
This money is unlikely to be provided entirely by the Eurozone. Open Europe expects it could be split equally between the Eurozone, the EU and the IMF. The Eurozone could provide funds bilaterally while the EU would utilise either the Balance of Payments assistance facility or the European Financial Stabilisation Mechanism. From the UK perspective this could mean underwriting shares of between €1bn and €1.84bn. While the cost of transitional funding should be predominantly shouldered by the Eurozone, there is a geopolitical and humanitarian case on the part of other EU members for helping stabilise Greece and keep it inside the EU. Furthermore, with a default and devaluation there might be more hope of these loans being repaid by Greece.
Emmanuel Todd dépeint les pays du sud comme «vraiment influencés par l’universalisme romain» et donc «instinctivement du côté d’une Europe raisonnable, c’est à dire d’une Europe dont la sensibilité́ n’est pas autoritaire et masochiste, qui a compris que les plans d’austérité́ sont autodestructeurs, suicidaires». A l’inverse, de l’Europe du nord qui est «plutôt centrée sur le monde luthérien – commun aux deux tiers de l’Allemagne, à deux pays baltes sur trois, aux pays scandinaves – en y rajoutant le satellite polonais – la Pologne est catholique mais n’a jamais appartenu à l’empire romain.»
Los paises del sur, influidos por el universalismo romano, instintivamente del lado de una Europa razonable, cuya sensibilidad no es autoritaria o masoquista, comprenden que la austeridad es autodesctructora,suicidaria
Los paises del norte, centrados sobre el universo luterano -- los 2/3 de Alemania, 2 de los 3 paises bálticos los paises escadinavos más Polonia, católica sin haber nunca pertenecido a Roma.
Ahora sí que parece que va en serio. La Comisión Europea ha dado al Gobierno español dos meses de plazo, hasta el 1 de diciembre, para que liberalice los servicios de estiba en todos los puertos del país y acabe con los privilegios del trabajadores de este sector. Este ultimátum se ha convertido en otro contratiempo para el Gobierno de Rajoy pues, de asumir la exigencia de la Unión Europea, se enfrentará a semanas de conflictividad en los puertos.
La Comisión Europea publicó el pasado 1 de octubre un dictamen en el que reclamaba al Gobierno español lo que las empresas portuarias llevan demandando durante años, esto es, que se ponga fin a la obligación de contratar trabajadores a través de las sociedades de estiba, que pasaron a denominarse Sociedades Anónimas de Gestión de Estibadores Portuarios (SAGEP) en la Ley de Puertos de 2010, que había sido pactada por PP y PSOE en la anterior legislatura.
Hasta la fecha, las empresas portuarias están obligadas a recurrir a las SAGEP para proveerse de trabajadores para la estiba y además han de participar en el capital de estas sociedades según su volumen de carga. Las SAGEP ejercen el monopolio de la contratación: las compañías no tienen la posibilidad de buscar trabajadores fuera de ellas. Y Bruselas quiere acabar con ello porque considera que el actual modelo, que funciona desde hace décadas, impide "el libre establecimiento empresarial".
Aptitud física
Otra de las carencias indicadas por la Comisión Europea en su dictamen es la ausencia de requisitos de formación o cualificación especial para ser estibador. En la práctica sólo tienen que pasar unas pruebas de aptitud física y psicológica. Estos trabajadores se encargan de la manipulación de las mercancías en los barcos.
La Comisión Europea ha dado dos meses para reformar de nuevo la Ley de Puertos con la amenaza de que si el Gobierno español no lo hace llevará el caso al Tribunal de Justicia comunitario. Y recuerda que ya advirtió a los dos grandes partidos de la necesidad de liberalizar el sector cuando pactaron la ley de 2010.
Respuesta conjunta
El aviso de Bruselas ha contrariado a todos: al Ejecutivo de Rajoy, las autoridades portuarias y los sindicatos. Como el tiempo corre en contra se han multiplicado las conversaciones entre todas las partes afectadas para intentar acordar una respuesta conjunta ante la Unión Europea.
El presidente de Puertos del Estado, José Llorca, ha recibido esta semana a los sindicatos para analizar el dictamen de Bruselas. El coordinador general de la Coordinadora de Trabajadores del Mar, Antolín Goya, asegura que su sindicato "ni se plantea" la posibilidad de que las exigencias de Bruselas sean tenidas en cuenta, lo que implicaría un cambio del estatuto privilegiado de los 7.000 trabajadores de estiba. Llorca defiende que los puertos españoles son "un punto de referencia" en Europa por su "flexibilidad", y defiende que la actual Ley de Puertos fue "consensuada entre todos".
89.000 euros de sueldo
Los trabajadores de estiba cobran de media 89.000 euros anuales, sus jornadas son de seis horas y se jubilan a los 56 años. Debido al descenso de actividad, algunos puertos como los de Barcelona y Algeciras han recurrido a expedientes de regulación de empleo (ERE). El de Valencia, sin embargo, no lo ha hecho ya que sus números son mejores: de enero a agosto había movido tres millones de contenedores.
No es la primera vez que la Unión Europea trata de introducir la ley de la oferta de la oferta y la demanda en un sector cerrado a la competencia. La Directiva de Liberalización de Servicios Portuarios lo intentó, pero se encontró con el rechazo frontal de los sindicatos, que lograron tumbarla después de paralizar los puertos y de persuadir al Parlamento Europeo para que votara en contra en 2006.
Lo previsible es que si la Comisión Europea saca adelante su dictamen vuelva la conflictividad a los puertos, lo que amenazaría el comercio exterior, lo único que, junto con el turismo, funciona en la economía española.
Debt restructuring was our aim: little did we know, when we embarked on negotiations, that Grexit might be a goal for eurozone leaders
Greece’s financial drama has dominated the headlines for five years for one reason: the stubborn refusal of our creditors to offer essential debt relief. Why, against common sense, against the IMF’s verdict and against the everyday practices of bankers facing stressed debtors, do they resist a debt restructure? The answer cannot be found in economics because it resides deep in Europe’s labyrinthine politics.
In 2010, the Greek state became insolvent. Two options consistent with continuing membership of the eurozone presented themselves: the sensible one, that any decent banker would recommend – restructuring the debt and reforming the economy; and the toxic option – extending new loans to a bankrupt entity while pretending that it remains solvent.
Official Europe chose the second option, putting the bailing out of French and German banks exposed to Greek public debt above Greece’s socioeconomic viability. A debt restructure would have implied losses for the bankers on their Greek debt holdings.Keen to avoid confessing to parliaments that taxpayers would have to pay again for the banks by means of unsustainable new loans, EU officials presented the Greek state’s insolvency as a problem of illiquidity, and justified the “bailout” as a case of “solidarity” with the Greeks.
To frame the cynical transfer of irretrievable private losses on to the shoulders of taxpayers as an exercise in “tough love”, record austerity was imposed on Greece, whose national income, in turn – from which new and old debts had to be repaid – diminished by more than a quarter. It takes the mathematical expertise of a smart eight-year-old to know that this process could not end well.
Once the sordid operation was complete, Europe had automatically acquired another reason for refusing to discuss debt restructuring: it would now hit the pockets of European citizens! And so increasing doses of austerity were administered while the debt grew larger, forcing creditors to extend more loans in exchange for even more austerity.
Our government was elected on a mandate to end this doom loop; to demand debt restructuring and an end to crippling austerity. Negotiations have reached their much publicised impasse for a simple reason: our creditors continue to rule out any tangible debt restructuring while insisting that our unpayable debt be repaid “parametrically” by the weakest of Greeks, their children and their grandchildren.
In my first week as minister for finance I was visited by Jeroen Dijsselbloem, president of the Eurogroup (the eurozone finance ministers), who put a stark choice to me: accept the bailout’s “logic” and drop any demands for debt restructuring or your loan agreement will “crash” – the unsaid repercussion being that Greece’s banks would be boarded up.
Five months of negotiations ensued under conditions of monetary asphyxiation and an induced bank-run supervised and administered by the European Central Bank. The writing was on the wall: unless we capitulated, we would soon be facing capital controls, quasi-functioning cash machines, a prolonged bank holiday and, ultimately, Grexit.
The threat of Grexit has had a brief rollercoaster of a history. In 2010 it put the fear of God in financiers’ hearts and minds as their banks were replete with Greek debt. Even in 2012, when Germany’s finance minister, Wolfgang Schäuble, decided that Grexit’s costs were a worthwhile “investment” as a way of disciplining France et al, the prospect continued to scare the living daylights out of almost everyone else.
By the time Syriza won power last January, and as if to confirm our claim that the “bailouts” had nothing to do with rescuing Greece (and everything to do with ringfencing northern Europe), a large majority within the Eurogroup – under the tutelage of Schäuble – had adopted Grexit either as their preferred outcome or weapon of choice against our government.
Greeks, rightly, shiver at the thought of amputation from monetary union. Exiting a common currency is nothing like severing a peg, as Britain did in 1992, when Norman Lamont famously sang in the shower the morning sterling quit the European exchange rate mechanism (ERM). Alas, Greece does not have a currency whose peg with the euro can be cut. It has the euro – a foreign currency fully administered by a creditor inimical to restructuring our nation’s unsustainable debt.
To exit, we would have to create a new currency from scratch. In occupied Iraq, the introduction of new paper money took almost a year, 20 or so Boeing 747s, the mobilisation of the US military’s might, three printing firms and hundreds of trucks. In the absence of such support, Grexit would be the equivalent of announcing a large devaluation more than 18 months in advance: a recipe for liquidating all Greek capital stock and transferring it abroad by any means available.
With Grexit reinforcing the ECB-induced bank run, our attempts to put debt restructuring back on the negotiating table fell on deaf ears. Time and again we were told that this was a matter for an unspecified future that would follow the “programme’s successful completion” – a stupendous Catch-22 since the “programme” could never succeed without a debt restructure.
This weekend brings the climax of the talks as Euclid Tsakalotos, my successor, strives, again, to put the horse before the cart – to convince a hostile Eurogroup that debt restructuring is a prerequisite of success for reforming Greece, not an ex-post reward for it. Why is this so hard to get across? I see three reasons.
One is that institutional inertia is hard to beat. A second, that unsustainable debt gives creditors immense power over debtors – and power, as we know, corrupts even the finest. But it is the third which seems to me more pertinent and, indeed, more interesting.
The euro is a hybrid of a fixed exchange-rate regime, like the 1980s ERM, or the 1930s gold standard, and a state currency. The former relies on the fear of expulsion to hold together, while state money involves mechanisms for recycling surpluses between member states (for instance, a federal budget, common bonds). The eurozone falls between these stools – it is more than an exchange-rate regime and less than a state.
And there’s the rub. After the crisis of 2008/9, Europe didn’t know how to respond. Should it prepare the ground for at least one expulsion (that is, Grexit) to strengthen discipline? Or move to a federation? So far it has done neither, its existentialist angst forever rising. Schäuble is convinced that as things stand, he needs a Grexit to clear the air, one way or another. Suddenly, a permanently unsustainable Greek public debt, without which the risk of Grexit would fade, has acquired a new usefulness for Schauble.
What do I mean by that? Based on months of negotiation, my conviction is that the German finance minister wants Greece to be pushed out of the single currency to put the fear of God into the French and have them accept his model of a disciplinarian eurozone.
"(...) [Y]o propongo una Europa de doble proyecto más que de dos velocidades. Y añado que el statu quo de la zona euro no es posible. No moverse es aceptar que la zona euro deje de existir en diez años. El debate hay que hacerlo democráticamente. Si no actuamos rápido, la zona euro se disolverá. O vamos más lejos o todo se va a desmontar. El statu quo y la ambigüedad nos conducen a la demolición de la zona euro."
Pentagon Concludes America Not Safe Unless It Conquers The World
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-10/pentagon-concludes-america-not-safe-unless-it-conquers-world[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-10/pentagon-concludes-america-not-safe-unless-it-conquers-world[/url])
If European Monetary Authorities could prevent a Lehman moment in case Greece has to leave the Euro we expect the euro to surge the coming months. Greece exiting the European Monetary Union will establish Berlin as the new geopolitical player to reckon with.
([url]http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user3303/imageroot/2015/07/20150711_german1_0.jpg[/url])
- We noticed that the euro did not move since news from Greece went from bad to worse. The Greek referendum has even had a negative effect on the Dollar compared to the Japanese Yen.
- Without Greece, the EMU forms a much tighter political and economical block.
- It seems that markets are not able to push the Euro much lower.
- If the ECB is able to manage a Greek exit, an EMU without Greece will strengthen the EURO.
Greece exiting the EMU will be a victory for German elite and establish German dominance in the European Monetary Union.We do not express our opinion on the validity of Germans policy nor the moral implication of the EMU policy.
- A Greek exit will expose the relative weakness of the BRICS Bank versus European financial institutions like the EMU. The BRICS Bank fund will not be sufficient to rescue Greece. A BRICS bank not being able to help Greece will expose its relative weakness in comparison to the European financial institutions. It will be clear that only the ECB and the EMU have the financial capacity to solve problems of the magnitude of Greece.
- If Germany does not save Greece, it will be a blow to the IMF that will render irrelevant as a paper tiger (???) unable to solve modern financial problems without the help of the European financial institutions. The IMF is not able to solve Greece’s financial problems and turned out to be ineffective in Ukraine, having an embarrassing tradition of failures in this country. A Greek exit will be a huge blow to the standing of the IMF.
- Without Greece, Germany could concentrate on Ukraine, which has more value for Germany’s power elite. Germany, Poland and Ukraine encompass an area of 160 Million inhabitants.
- Germany will push the EMU in a continuous trade surplus creating a much higher demand for euros world wide. We do not believe the dollar can maintain its dominance by creating a continuous deficit.
- A Greek exit will be evidence that the US and IMF influence on Berlin is waning.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/grexit-will-establish-berlin-new-geopolitical-player-reckon[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/grexit-will-establish-berlin-new-geopolitical-player-reckon[/url])
El problema de Grecia no es la deuda. [...]OJO, ni lo es... ni quiere serlo.
El problema de la República de Grecia es una economía no competitiva y que no es del mismo tipo que la eurocore.
No hace falta que lo digan los "anglos", cualquiera que sepa hacer un par de cuentas sabe que ni Grecia ni España caben en el €uro. El problema del euro no es que sea una moneda fuerte, sino que está controlado en favor de economías que están completamente fuera de ciclo con los países del Sur, incluso cuando estos hacen los deberes (que aparte, no suele ser el caso).
Hay que separar ambos factores:
1 - el euro es una moneda más fuerte que casi todas las monedas previas europeas (esto podría ser una ventaja para "imponer" un poco de disciplina)
2 - el hecho ortante de que las políticas monetarias y bancarias se ponen de acuerdo a los intereses de un país completamente diferente y su entorno (QE, tipos de interés, reglas de capitalización, etc).
Es muy fácil políticamente vender el propio-culpismo en base al factor 1: la culpa es solamente nuestra por indisciplinados. Como si al mismo tiempo no estuvieramos pagando la tasa del factor 2.
Ya habla Schäuble de aparcar 50 millardos de activos estatales griegos en Luxemburgo para asegurarse de que los privatizan si no pagan - obviando la restructuración quita y que no pueden pagar. Estos activos no irían a empresarios griegos y menos con una nueva moneda recién impuesta, se los quedarían ellos por tres perras. Estamos hablando del saqueo planificado de un país por una especie de Cofidis europedo.
El problema que tiene ahora Grecia es que salirse del €uro por las bravas, desordenadamente y sin colaboración de la UE es un escenario catastrófico. Pero como acertadamente dijeron tanto Varoufakis como Tsakalotos Grecia nunca debería haber entrado en el €uro, y ellos se opusieron.
La verdad es que las cosas pintan feas de narices y nosotros ya podemos ir poniendo las barbas a remojar.
Quizá sea menos malo que se los queden los alemanes por tres perras. No puede haber mayoría de empresarios griegos honestos, ni dentro ni fuera de la UE, sin un cambio de sistema político-social. Aunque hubiera privatización, los activos griegos se los quedarían amigos de los políticos por tres perras, como aquí, con lo que no serviría para nada y seguirían empobreciendo igualmente al país, ya sea dentro o fuera del euro.
Y lo mismo aplica para España.
Ley de Godwin
https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin (https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin)
Ley de Godwin
https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin (https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin)
La ley de Godwin la aplicó el conforero diciendo que es mejor que se queden los alemanes con todo, y que ellos lo gestionarán mejor. Jajaj :troll: Sieg Heil!
Yo lo que digo es que si el plan de Europa es vender los activos europeos a Alemania o a empresas alemanas por calderilla para que ellos lo "gestionen mejor" pues que se diga abiertamente.
Por cierto la salida del Reino Unido de la UME de 1992 también era temporal.
Ley de Godwin
https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin (https://es.wikipedia.org/wiki/Ley_de_Godwin)
La ley de Godwin la aplicó el conforero diciendo que es mejor que se queden los alemanes con todo, y que ellos lo gestionarán mejor. Jajaj :troll: Sieg Heil!
Yo lo que digo es que si el plan de Europa es vender los activos europeos a Alemania o a empresas alemanas por calderilla para que ellos lo "gestionen mejor" pues que se diga abiertamente.
Por cierto la salida del Reino Unido de la UME de 1992 también era temporal.
La ley de Godwin la aplicó el conforero diciendo que es mejor que se queden los alemanes con todo, y que ellos lo gestionarán mejor. Jajaj :troll: Sieg Heil!
Yo lo que digo es que si el plan de Europa es vender los activos europeos a Alemania o a empresas alemanas por calderilla para que ellos lo "gestionen mejor" pues que se diga abiertamente.
Por cierto la salida del Reino Unido de la UME de 1992 también era temporal.
La Ley de Godwin se aplica se aplica a quien cita a Hitler o a los nazis, no a los alemanses.
Sirve para indicar que el argumento no es muy allá...
La ley de Godwin la aplicó el conforero diciendo que es mejor que se queden los alemanes con todo, y que ellos lo gestionarán mejor. Jajaj :troll: Sieg Heil!
Yo lo que digo es que si el plan de Europa es vender los activos europeos a Alemania o a empresas alemanas por calderilla para que ellos lo "gestionen mejor" pues que se diga abiertamente.
Por cierto la salida del Reino Unido de la UME de 1992 también era temporal.
La Ley de Godwin se aplica se aplica a quien cita a Hitler o a los nazis, no a los alemanses.
Sirve para indicar que el argumento no es muy allá...
Conozco la ley de Godwin desde los 90. Esta ley está muy bien para no poder recordarles a los alemanes su historia reciente, y es muy socorrida por aquí en el Norte de Europa ya que a la gente de aquí les encanta no decir las cosas a la cara aunque sepan ambos interlocutores lo que están pensando. :D
No invocando explícitamente nada si así lo prefieres, veo impráctico el confiar en la benevolencia de una potencia externa para gobernar el país propio. Colonialismo sin tapujos, intra-europeo. Ya sabemos como funciona esto en la práctica.
Esta desesperación y rendición es muy predominante en el Este de Europa, donde me consta que la mayoría de sus ciudadanos se declararía alemán y prohibiría su idioma y culturas mañana mismo por un pedazo de pan. Me parece una postura extrema, sinceramente. Y tal vez por eso Alemania mire siempre hacia el Este.
Que exista irresponsabilidad en determinados países no justifica su saqueo por medio del acreedor aprovechando su posición de poder.
Antes de llegar a esto yo creo que habría que buscarles a Grecia una salida airosa. Quién sabe si un día no nos interesará tener esta opción. Da la sensación que tanto Italia como Francia lo tienen más presente que nosotros o los irlandeses y portugueses.
Me temo que a este paso cuando nos toque pasar por alguna clase de apaño - y parece que hacia eso vamos - tal vez el tecnócrata griego firme junto con el resto nuestro "rescate".
A ver que yo no entro al fondo del asunto. (Si se quedan o no con esto y lo otro,y si es razonable.)
Pero si entro en decir que el argumento de mentar a los nazis es malo. Y
AÑADO
... el hecho de que hace sesenta años el régimen nazi cometiera una serie de crímenes extremos, no le da --ni le quita-- a NADIE la razón en NINGÚN tema.
Quizá sea menos malo que se los queden los alemanes por tres perras. No puede haber mayoría de empresarios griegos honestos, ni dentro ni fuera de la UE, sin un cambio de sistema político-social. Aunque hubiera privatización, los activos griegos se los quedarían amigos de los políticos por tres perras, como aquí, con lo que no serviría para nada y seguirían empobreciendo igualmente al país, ya sea dentro o fuera del euro.
Y lo mismo aplica para España.
Si nos ponemos así, quizá hubiera sido mejor que Hitler hubiera ganado la guerra. :roto2:
A ver que yo no entro al fondo del asunto. (Si se quedan o no con esto y lo otro,y si es razonable.)
Pero si entro en decir que el argumento de mentar a los nazis es malo. Y
AÑADO
... el hecho de que hace sesenta años el régimen nazi cometiera una serie de crímenes extremos, no le da --ni le quita-- a NADIE la razón en NINGÚN tema.
Claro que no, solamente has dicho eso tú (que la quita).
Yo he dicho que estar a favor del colonialismo inter-europeo por parte de Alemania es casi como... ya tú sabeh.
Y qué te hace pensar que lo contrario no es terruñismo del estilo "como en Grecia/Cataluña/España/Fucking no se vive en ningún sitio"?
....... hasta la misma Angela Merkel dice que con estos precios de la electricidad España no va a ningún sitio, porque su salida industrial es la industria de la alimentación y esta es intensiva en refrigeración. ....
Ya habla Schäuble de aparcar 50 millardos de activos estatales griegos en Luxemburgo para asegurarse de que los privatizan si no pagan - obviando la restructuración quita y que no pueden pagar. Estos activos no irían a empresarios griegos y menos con una nueva moneda recién impuesta, se los quedarían ellos por tres perras. Estamos hablando del saqueo planificado de un país por una especie de Cofidis europedo.
Lo que tu llamas saqueo yo lo llamo construcción paneuropea.
Este apartado incluye que personajes como Gil&Gil o Cachuli ESTÉN ALEJADOS de los centros de poder y toma de decisiones. Especialmente de las empresas, y MUY ESPECIALMENTE de los conglomerados semi-públicos de los cuales en España sabemos un montón, desde las aguas hasta los hospitales concertados porque-yo-lo-valgo.
Dans sa thèse récemment soutenue le chercheur allemand Dennis Nguyenconstate l’émergence et la consolidation d’une sphère publique européenneà l’occasion de la crise économique
25/
. À travers une analyse minutieuse dela production de plusieurs sites d’information, blogs et sites institutionnels entre2011 et 2013 il met en évidence une convergence discursive et thématiqueassez remarquable à travers l’Europe. En d’autres termes, il montre que lacrise a servi à faire émerger un espace public proprement politique à l’échelledu continent impliquant de millions de citoyens européens, ce qui constitueindéniablement un progrès. Cependant, Nguyen constate également que cettesphère publique a privilégié de manière écrasante les discours compatiblesavec l’idéologie dominante portés par les institutions européennes, les chefsde gouvernement, la presse allemande et la presse financière. Ainsi, les médiasalternatifs ou simplement sceptiques face à l’ordre néolibéral, les experts hété-rodoxes et les représentants des mouvements sociaux ont été complètementmarginalisés dans les discussions. Selon Nguyen à chaque fois qu’une forcesociale ou politique d’opposition à l’austérité a fait irruption sur la scènepublique de l’Europe elle a été décrite par les médias dominants au mieuxcomme le résultat d’une pulsion obscure, incontrôlable et sans visage, au pirecomme une catastrophe naturelle à laquelle il fallait faire face. L’exemple dela Grèce sans être unique est à ce titre emblématique
Angela Merkel was already leaving for the weekend when she received the call that would change everything. The chancellor had just had a grueling day, spending all of it in meetings with Greek Prime Minister Alexis Tsipras -- sometimes as part of a larger group, and others with only him and French President François Hollande.
They discussed debt restructuring and billions of euros in additional investments. When it comes to issues important to him, Tsipras can be exhaustingly stubborn. In the end, though, Merkel was left with the feeling the EU summit was the milestone that could quite possibly mark a turn for the better.
Martin Schulz, president of the European Parliament, had pulled Merkel aside in Brussels and whispered to her that Tsipras was seeking allies in the opposition, with whom he could push a reform program through Greek parliament even without the consent of the radical wing of Syriza, if necessary. "Can you help me?" Tsipras had asked Schulz. Schulz has good connections in the Social Democratic PASOK Party.
But when Merkel returned to Berlin, she received a call from Tsipras. He told her that he was not interested in a deal, but that he intended to hold a referendum in Greece first. A short time later, he tweeted: "With a clear 'NO,' we send a message that Greece is not going to surrender."
Merkel is known for not being easily fazed. She has made it this far in part because she has firm control of her emotions. And she remained silent throughout the weekend. But at a Monday meeting of leading members of her Christian Democratic Union (CDU), she hinted at the depth of her disappointment in Tsipras. His policies are "hard and ideological," she said, adding that he is steering his country into a brick wall "with his eyes wide open."
Merkel had always described Tsipras as a man who, while leading a crazy organization, was quite open and accommodating in person. She had hoped that Tsipras would ultimately help reason prevail. Now, though, it appears that he has handed Merkel the greatest debacle of her tenure as chancellor.
'Nothing Left to Fear'
In the end, of course, it will primarily be the fault of the radical Greek government if the country is ejected from the euro zone. How should one deal with a prime minister who conducts negotiations using the language of military mobilization? "We have justice on our side. If we can overcome fear, then there is nothing left to fear," Tsipras tweeted on Monday.
But the divide that is now opening up in Europe also has something to do with Merkel's leadership style -- and with her idiosyncrasy of allowing things to drift for extended periods. This method works when it comes to negotiating a compromise, and when everyone involved is interested in a favorable outcome. But it reaches its limits when someone like Tsipras is determined to carry things to the extreme.
It has long been clear that Greece is a special case in the context of the euro crisis. It is a country in which neither the taxation system nor the land registry system works, a country that is so deeply in debt that no reasonable economist still believes that it can ever repay what it owes. In addition, parties that habitually plundered the state ran the country for years. Then came Syriza, a movement that, at least in its radical quarters, dreamed of toppling the system.
Merkel knew all of this. Nevertheless, she tried to fix the problem with recipes she had used in German domestic politics: delaying, hiding and allowing things to remain vague. There was no lack of cautionary voices. Finance Minister Wolfgang Schäuble has long argued that Greece should be taken on an orderly path out of the euro.
Merkel hopes that the Greeks will vote against Tsipras and in favor of their creditors' austerity proposals on Sunday. If that happens, the Greek prime minister will hardly be able to remain in office. But even so, Greece will remain a bankrupt country and would be faced with forming a new government in the midst of chaos.
The Greek crisis required leadership and a plan, but Merkel was unwilling to provide either. Although she likes power, when push comes to shove, she doesn't know what to do with it. And now she faces the wreckage of her European policy. How could things have come to this?
McKinsey Policies
To understand Merkel's policies, it is worth turning back the clock to 2003. She had only been head of her party for three years and was in the midst of writing a new agenda for the CDU. There were four-and-a-half million unemployed in Germany, social security coffers were empty and employers were groaning about an excessively high tax burden. Germany wasn't nearly as badly off as Greece is today, but it was in urgent need of restructuring, and Merkel began to prescribe a strict reform program for the country. The McKinsey management-consulting firm provided the numbers to support her bitter message of austerity.
McKinsey specializes in delivering unpleasant truths and is normally hired by companies that need to cut costs and lay off employees. It is easier for managers if they are able to hide behind the consultants' analyses. That's the McKinsey principle.
Merkel applied the principle to politics. When the euro crisis erupted in 2010, she made sure that the International Monetary Fund (IMF) was involved in Greece's restructuring. She did so against the will of Finance Minister Schäuble, who believed that Europe should solve its own problems.
In a sense, the International Monetary Fund is the McKinsey of global politics. It helps out wherever countries face financial difficulties, granting loans if countries agree to enact reforms in return.
Reintroducing Mathematics
The idea made sense at first. One reason Europe had slid into the crisis was that the Continent, amid the euphoria of integration, had paid little attention to numbers. Former Chancellor Helmut Kohl introduced the euro, but in doing so, he paid too much attention to his emotions and not enough to economic realities. The purpose of bringing in the IMF was to reintroduce mathematics to the equation.
But the McKinsey principle conflicts with Merkel's claim to power. Her advisers like to portray the chancellor as the queen of Europe, as someone who shapes its guidelines. But in recent months, she has come across as a woman who is hiding behind the advice and recommendations of IMF experts -- behind the "technocrats," as Tsipras puts it.
In this sense, the struggle between Merkel and the Greek premier is also a battle over the definition of the political. Tsipras has turned the IMF into a symbol of oppression, into a group of technocrats who lack democratic legitimacy and yet are subjugating an entire country. He knew how to stylize resistance to the IMF into a battle over a nation's self-determination. His aim was to elevate the conversations to the political level.
For Tsipras, politics is a magic wand that can make everything disappear: mountains of debt, reform requirements and the rule that prohibits the European Central Bank (ECB) from keeping countries liquid by printing money. It is hard to say what Syriza actually wants. The party is as much a home to former Maoists as it is to disillusioned social democrats. Some dream of a revolution, while others would be satisfied with debt forgiveness. But one thing is clear: Tsipras' radicalism lies in his faith in the power of the decision. If he doesn't accept rules, he demands that they be dissolved. This is the logic of Syriza.
Merkel's real failure is that she did not decisively stand up to his way of thinking. First, she hid behind the troika, because she didn't want to be the one to deliver the bitter truths to the Greek government. She followed the McKinsey principle.
Then, when Tsipras' demands became more and more urgent, she bowed to his logic. She adopted the motto: "Where there's a will, there's a way." In Germany, these words were interpreted as a sign of goodwill -- of the desire to keep Greece in the euro zone. But Tsipras interpreted them completely differently: as a challenge to bring matters to a head.
Merkel's Europe
Last Monday, Merkel stood in front of a blue screen in the lobby of the Chancellery and uttered a sentence that typifies her European policy. She was discussing the question of whether a "no" vote by the Greeks to the creditors' reform program was tantamount to a "no" to the euro. Instead of saying "yes" or "no," she said: "I will say quite openly: I am divided on this issue."
One cannot accuse Merkel of not having principles when it comes to foreign policy. Her fidelity to the US is unbreakable, a fact that the NSA's surveillance of her mobile phone and of several German ministries has done nothing to change. She stands firmly behind Israel, even if the current government has done nothing to establish peace with the Palestinians. And in the end, she has managed to get along with every French president who has crossed her path, even with François Hollande, who campaigned against the German chancellor and her austerity policies.
Her position on Europe, however, is less clear. On the one hand, there is the Merkel of numbers. When she travels the world, to China or Indonesia, for example, she always has all the tables and diagrams at hand to show the great effort such countries are making and how good Europe has it with its prosperity. A typical Merkel triplet goes as follows: Europe contains just 7 percent of the global population and is responsible for just 25 percent of global economic output, but pays half of all global social welfare. From her perspective, a high school diploma isn't necessary to realize that such a situation cannot continue forever.
On the other hand, she has learned over the years that it doesn't come across well when she only casts a cold economic eye on Europe. It seems unfriendly. That helps explain why Tsipras was able to cast her as the villain -- as the German dominatrix of austerity -- because she was constantly talking about amortization and interest rates. In addition, she is the head of a party that pushed harder than any other for European integration and didn't focus exclusively on money. She knows that she cannot simply ignore that tradition -- which is why she sometimes has to slip into the role of the convinced European.
Just how divided Merkel is can also be seen by looking at her advisors. Chancellery head Peter Altmaier is a portly, unruffled man from the state of Saarbrücken near the French border. Prior to becoming involved in German politics, he worked for the European Commission and speaks fluent English, Dutch and French. In the past several months, Altmaier has done his part to ensure that Merkel remain committed to Greece, arguing that the European idea would be damaged were the community to allow a country to fall out. His answer to the crisis is: more Europe.
No Illusions
On the other side is Nikolaus Meyer-Landrut, who has led the Chancellery's Europe department for several years. He is a wiry bureaucrat with a sharp tongue, but not without humor. Meyer-Landrut's view of Europe and its problems is free of emotion. He is the one who provides Merkel with all the numbers that show why progress isn't being made in Greece. His answer to the crisis is: nation states need to take control.
Numbers-Merkel has no illusions about Greece. She doesn't believe the political classes in Athens will be able to get the country on the right track. Once, during a flight she was suddenly gripped by a laughing fit. She said that the Greek government was refusing to pay the bill for German submarines it had purchased. Their justification was that the subs were crooked. "Crooked!" Merkel said as tears of hilarity rolled down her cheeks.
In October 2012, she visited then-Greek Prime Minister Antonis Samaras in Athens. She didn't have much respect for Samaras, who had won as head of the conservative party Nea Dimokratia by running against the reform program demanded by Greece's creditors. Once he got into office though, he buckled -- but as has so often been the case, his pledges to Brussels were never fulfilled.
On the return flight to Berlin, a bemused Merkel told of a boast Samaras had made in an interview -- that his ministers could reach him on weekends as well. The moral of the story was clear for her: How can a country move forward when its leader sees something so banal as an act of heroism?
Back in 2012, Merkel was close to pushing Greece out of the euro, but she balked in the end. She was afraid that it could have a similar effect as the Lehman bankruptcy did in 2008. That was the spark that ignited the global financial crisis.
A Policy of Pedagogical Imperialism
Since then, the chancellor has gone back and forth. Sometimes she is Numbers-Merkel and sometimes she is Europe-Merkel. Numbers-Merkel sees the Grexit as the most reasonable solution. But Europe-Merkel is concerned about being seen as the EU's grave-digger should she let Greece fall. There are decent arguments on both sides, but Merkel never made up her mind. She left things open.
The euro crisis opened up a new dimension of power for Merkel. Since 2010, there has been an endless series of crisis summits in Brussels and the German chancellor was always the center of attention. She was the one sitting on the biggest war chest, a fact which granted her far-reaching influence. And Merkel enjoyed her role as the queen of Europe. She didn't lord it over the others: She wasn't as loud as Gerhard Schröder and wasn't as forceful as Helmut Kohl.
Instead, she did what no German chancellor had ever done before. She followed a policy of pedagogical imperialism, with the lesson plan calling for budgetary discipline, labor market reform and privatization. It worked in Spain, Portugal and Ireland, but in Greece, the conditions imposed by creditors were not seen as necessary medicine but as a poison that was destroying society.
Merkel saw what was happening, but she didn't have the courage to face the consequences. And there were alternatives. She could have offered Greece a safe and supported path out of the euro zone. That is the course of action that Finance Minister Wolfgang Schäuble has supported internally for years. She could also have offered Greece a debt haircut. Had she done so at the right moment, she could at least have prevented the radicalization of Greek politics.
None of these options would have been free of risk. They would have required courage and money, and they would have opened up Merkel to attack. And that is something she didn't want.
So she hid behind the troika, behind the hated technocrats, thereby accelerating the rise of Syriza. Indeed, Tsipras is, to a certain extent, a product of Merkel's vacillating leadership style. In the Chancellery, people are expressing relief that Tsipras was unable to drive Europe apart and that nobody is blaming Germany for the current impasse. That may be true, but it is also a rather simplistic view. Success for Merkel is when nobody is pointing their finger at her.
In the Shadow of the Giant
In just under five months from now, on Nov. 22, Merkel will have been in office for a full decade. Thus far, she hasn't paid much attention to her legacy. Which makes sense. The mere fact of who she is makes her unique among German chancellors. Konrad Adenauer firmly anchored Germany in the West. Willy Brandt reconciled Germans with democracy. Helmut Kohl is the chancellor of reunification.
Merkel is Germany's first female chancellor. That's not a small thing. It is important symbolically. But people who know her well say that Merkel is determined to run again in the next general elections. Because of Europe. She wants to use her power to reshape the Continent. Should the euro zone disintegrate, it would forever overshadow her time in office. She would be seen as a failed head of government.
Last Monday, Merkel held a speech on the occasion of the CDU's 70th birthday, a good opportunity to say make a few things clear. Strangely, though, she remained trapped in the rhetoric that Helmut Kohl once used. The party was held in a power station, and Merkel noted in her speech that the facility had been part of the Wehrmacht's last line of defense against the advancing Red Army. "Just like this factory, the entire country lay in ruins."
Europe, she continued, is the answer to the horrors of that war. It is a nice thought and a vitally important one. But it is far from new. The consequence drawn by Kohl is that Europe must continually draw closer together. But Merkel has drawn no such conclusion. And therein lies her contradiction. She borrows from Kohl's rhetoric, but not from his political convictions. Which explains why there is a growing gap between her words and her deeds.
What Does She Want?
Three days before the CDU celebration, Merkel was at an EU summit in Brussels. The Greek crisis was on the agenda, but there was another issue to discuss as well. European Commission President Jean-Claude Juncker tentatively presented a paper in an effort to give Europe a new goal, a new idea that reaches beyond the day-to-day.
He proposed that the Commission be granted greater powers -- on budgetary oversight, for example. Juncker wasn't trying to launch a revolution, nor was he trying to lay the cornerstone of a European government or to eliminate European nation-states. It was nothing more than an attempt to draw a couple of practical consequences from the euro crisis.
But Merkel doesn't even want that. At the press conference following the summit, she spoke about everything: about Greece, about refugees trying to cross the Mediterranean, about Jacques Delors, who had been named an honorary citizen of Europe. Regarding Juncker's proposal, she had but one thing to say: she "took note of it." In politician-speak, that essentially means: Forget it.
Merkel wants a Europe of nation-states and not a deeply integrated Europe. She was concerned about Juncker running as the lead conservative candidate in 2014 European elections, worried -- correctly -- that it could result in a reduction of power for European heads of state and government. Furthermore, she doesn't trust the European Parliament because majorities aren't as dependable as they are in the Bundestag back home in Berlin.
The chancellor says none of this openly because it would contradict the CDU's founding principle. She can speak like Kohl, but she breaks with what he stood for. Left behind is a confused EU that doesn't know what the most powerful woman on the Continent actually wants.
Timothy Geithner reveals Schauble’s plan to kick Greece out of the euro and ‘terrify’ the rest of Europe
In his new book ‘Stress Test’ just released in the US, Timothy Geithner has revealed that in 2012 German Finance Minister Wolfgang Schaeuble had presented him with a plan to kick Greece out of the eurozone. This, he said, would appease German voters and terrify Europe.
“Germany will stand by you and the Greek people in the struggle to contend with our shared challenges in Europe and the eurozone." So said German Chancellor Angela Merkel to interim Prime Minister Lucas Papademos in November 2011. However around the time the chancellor was pledging solidarity, her Finance Minister was drawing up plans to kick Greece out of the eurozone.
That has been revealed by former US Treasury Secretary Timothy Geithner in his recently released book ‘Stress Test’. According to Geithner who, together with the rest of the Obama administration, had watched with alarm as the Europeans appeared unable to contain the sovereign debt crisis triggered by one of its smallest members, he met with Schaeuble on the island of Sylt in the North Sea in July 2012.
Geithner states that during the meeting Schaeble presented him with a plan to kick Greece out of the eurozone. This, according to the German Finance Minister, would allow Germany to provide the financial support necessary to the Eurozone as the German people would no longer perceive the assistance as a bailout of the corrupt and profligate Greeks. Furthermore, according to Schauble’s logic, a Greek exit would scare the rest of Europe enough for them to commit to providing sufficient financial assistance in order prevent the system from collapsing.
Schaeuble told his US counterpart that there were many in Europe who considered this reasonable and even a desirable strategy. For his part Geithner called the idea ‘frightening’ writing that he felt that it would create a crisis of confidence that would be difficult to contain regardless of how much money the Europeans subsequently pledged to shore up bankrupt states. He adds that he could not see why the Germans would feel better about bailing out Spain or Portugal than they would Greece.
In the book Geithner also once again highlights the disagreement between the Americans and Europeans in how the debt crisis should be handled at its outset in 2010. While European lenders remained doggedly committed to austerity and ‘rhetoric of the Old Testament’ Geithner writes he felt that imposing aggressive austerity too soon in Greece would be counterproductive as it would depress the economy and tax revenue, ultimately increasing the deficit. However the Europeans were not willing to listen to the advice provided by the Americans whom they blamed for causing the crisis in the first place.
Incidentally, our readers flag up that the organisation which could take control of €50bn of “valuable Greek assets” is linked to none other than Wolfgang Schäuble himself.
"The Press Project has done some digging on the Luxembourg "Institution for Growth" to which the 4-page eurogroup paper demands that €50bn of Greek state property must be transferred. Guess what. This Luxembourg "institution" is wholly owned subsidiary of German KfW and the chairman of its board is a certain Wolfgang Schäuble."
The Institution for Growth was announced just two years ago, by Schäuble and Greek PM Antonis Samaras.
Lo que tu llamas saqueo yo lo llamo construcción paneuropea.
Este apartado incluye que personajes como Gil&Gil o Cachuli ESTÉN ALEJADOS de los centros de poder y toma de decisiones. Especialmente de las empresas, y MUY ESPECIALMENTE de los conglomerados semi-públicos de los cuales en España sabemos un montón, desde las aguas hasta los hospitales concertados porque-yo-lo-valgo.
Vale CHOSEN, pero dime tú cómo coño garantizas que en las próximas elecciones no se resucite a Gil&Gil, se presente y pase por encima de Pablemos. No lo puedes garantizar, te pongas como te pongas :roto2:
Entoces Gil&Gil se pone a negociar y conseguir crédito como a principio de los 2000 con China y las 15mil naves. Grúas a cascoporro, Cayennes, etc. Al cabo de unos años los plazos de los créditos se incumplen y Gil impaga, se hace el loco etc.
¿Cuál sería la diferencia? Claro, que no son acreedores de tu proyecto europeo.
Con todo esto quiero decir que sin el valor de Tsirpas y Varoufakis (infantiloide, rojo o como quieras) no se hubiese puesto en entredicho el proyecto, sin esta crisis o teatrillo el proceso de unión po-lí-ti-ca europea no estaría en una encrucijada como la que ellos han provocado, y a qué precio! el precio de ser víctima de una campaña de desprestigio brutal en todo el continente. Que se lleven las joyas de la abuela y el turrón de xixona, pero no me parece moralmente correcto que se falte el honor a sus ciudadanos.
Juegos de poder. Le pones a Alemania las exigencias hechas a los Griegos y mañana mismo estaría yo sacando Marcos del cajero.
(ir al final del PDF, referido a la salida temporal de Grecia, pero sin recorte)
Principia Marsupia @pmarsupia 24 minHace 24 minutos
Schauble y Draghi a gritos en el Eurogrupo de hoy (vía @Reuters)
(https://pbs.twimg.com/media/CJv2hpTVEAAMXlb.png)
De ahora mismo:
([url]http://i.imgur.com/b2QnGvq.png[/url])
ÚLTIMA HORA:
El primer ministro belga anuncia que hay acuerdo con Grecia (08:45)
Edit:
Los líderes del euro logran un acuerdo sobre el futuro de Grecia
[url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url])
ÚLTIMA HORA:
El primer ministro belga anuncia que hay acuerdo con Grecia (08:45)
Edit:
Los líderes del euro logran un acuerdo sobre el futuro de Grecia
[url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url])
Ya está. Qué fácil era, ¿no? :roto2:
Ya nos podemos ir todos de vacaciones.
No me cabía en la cabeza que este bache poco profundo hiciera volcar toda la UE pero lo de que todo esto era un teatrillo, me parecía que era demasiado paranoico. Tendré que revisar mi intuición y mi pobre capacidad de análisis.
ÚLTIMA HORA:
El primer ministro belga anuncia que hay acuerdo con Grecia (08:45)
Edit:
Los líderes del euro logran un acuerdo sobre el futuro de Grecia
[url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/economia/macroeconomia-00338/noticia-lideres-euro-logran-acuerdo-futuro-grecia-20150713084444.html[/url])
Ya está. Qué fácil era, ¿no? :roto2:
Ya nos podemos ir todos de vacaciones.
No me cabía en la cabeza que este bache poco profundo hiciera volcar toda la UE pero lo de que todo esto era un teatrillo, me parecía que era demasiado paranoico. Tendré que revisar mi intuición y mi pobre capacidad de análisis.
Ahora viene el referendum británico... :roto2:
[ ... y nuestro EFTF. ]
Porque ese cambio de rumbo en Grecia????
Han visto los colmillos al lobo???
Porque ese cambio de rumbo en Grecia????
Han visto los colmillos al lobo???
Algunos foreros llevamos tiempo hablando (en este y otros hilos) del teatro de las negociaciones, de la postura insostenible del gobierno griego, de las histerias mediáticas del frente anglo, de que esto no es Alemania vs Grecia sino Grecia vs sus 27 socios UE + CE + BCE + FMI, etc., etc.
Si ponen guiñol, tú eliges verlo o no. Pero si lo ves, no te lo creas.
Porque ese cambio de rumbo en Grecia????
Han visto los colmillos al lobo???
Algunos foreros llevamos tiempo hablando (en este y otros hilos) del teatro de las negociaciones, de la postura insostenible del gobierno griego, de las histerias mediáticas del frente anglo, de que esto no es Alemania vs Grecia sino Grecia vs sus 27 socios UE + CE + BCE + FMI, etc., etc.
Si ponen guiñol, tú eliges verlo o no. Pero si lo ves, no te lo creas.
Esa bajada de humos ejemplifica lo mal que deben estar.
¿Y Puerto Rico?
-- Que emigren.
Geographical Notes on Puerto Rico
[url]http://krugman.blogs.nytimes.com/2015/07/01/geographical-notes-on-puerto-rico/?_r=0[/url] ([url]http://krugman.blogs.nytimes.com/2015/07/01/geographical-notes-on-puerto-rico/?_r=0[/url])
La jugada de Grecia ha sido la peor posible. No puedes subir la apuesta en cada ronda y luego no estar dispuesto a llegar hasta el final, retirándote en el último minuto.
Pasará a los anales de la historia. :roto2:
Una Unión Federal eficaz [...] Gobierno Nacional (en este caso los Estados Federados a través del poder ejecutivo). [...] intereses nacionales de cada Estado soberano [...] Poder Federal (que engloba a todas las soberanías nacionales), donde no cuestiona la existencia de la Unión [...]
Vale CHOSEN, pero dime tú cómo coño garantizas que en las próximas elecciones no se resucite a Gil&Gil, se presente y pase por encima de Pablemos. No lo puedes garantizar
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Yo votaría SI a las condiciones de la malvada troika, porque confío más en los funcionarios europeos (los cuales muchos son españoles) que en los políticos españoles.
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Yo votaría SI a las condiciones de la malvada troika, porque confío más en los funcionarios europeos (los cuales muchos son españoles) que en los políticos españoles.
Ya bueno, los llamas funcionarios para darles un aura de tecnocracia neutra...pero no es así ni mucho menos.
Todo este tinglado que estamos viendo va bastante mas allá de los frios numeritos y es política pura y dura, y Merkel pertenece a un partido político que tiene una ideología.
Y el FMI también tiene una ideología, que alomejor a tí te encanta pero a mi no.
Y me parece muy bien que no confies en tus conciudadanos ni en lo políticos de tu pais, pero renunciar a cambiar eso y coger el camino fácil que es ponerte en manos de un país que ha demostrado en el último siglo unas cuantas cositas un poco feas pues me parece que es tan deleznable como votar a Jesus Gil, mas o menos.
Mi vecino es tonto, que me maneje el vecino Aleman...cojonudo oyes...
Y me parece muy bien que no confies en tus conciudadanos ni en lo políticos de tu pais, pero renunciar a cambiar eso [...]No, si yo no renuncio a nada.
- Bajada de tipos para los PIGS
- Subida para el Fly to Quality durante el periodo de incertidumbre
A quien se le ocurre montar una zona de common currency sin presupuestos estatales unificados y libre movilidad (pero de verdad) de la población económicamente activa.
De multiples nacionalidades nada de nada.
Si usted no lo quiere ver, no lo vea, pero en la sala de reuniones de las últimas negociaciones estaban quienes estaban, que además después haya otros monigotes pululando por allí, entre ellos un teleñeco ejpañol pues...forman parte del decorado.
Lo único que hay en Europa son un montoncito de paises mas o menos sumisos a alemania en función de lo endeudados que estén, y no hay mas.
Los listos y aventajados se quedaron con sus moneditas, los tontos no abrazamos al proyecto europeo, así como usted y como yo, que nosotros mismos no podemos organizarnos como dios manda que nos lo hagan desde fuera.
Yo que quiere que le diga, empecé como usted, pero cada día me da asco y tengo menos confianza en esta europa.
Ójala tenga usted razón pero desgraciadamente no lo creo, me comeré gustoso el owned.
De multiples nacionalidades nada de nada.
Si usted no lo quiere ver, no lo vea, pero en la sala de reuniones de las últimas negociaciones estaban quienes estaban, que además después haya otros monigotes pululando por allí, entre ellos un teleñeco ejpañol pues...forman parte del decorado.
Lo único que hay en Europa son un montoncito de paises mas o menos sumisos a alemania en función de lo endeudados que estén, y no hay mas.
Los listos y aventajados se quedaron con sus moneditas, los tontos no abrazamos al proyecto europeo, así como usted y como yo, que nosotros mismos no podemos organizarnos como dios manda que nos lo hagan desde fuera.
Yo que quiere que le diga, empecé como usted, pero cada día me da asco y tengo menos confianza en esta europa.
Ójala tenga usted razón pero desgraciadamente no lo creo, me comeré gustoso el owned.
En la sala de reunión había 28 gobiernos (elegidos democráticamente por los ciudadanos de sus 28 países), la Comisión Europea, el BCE y - creo - el FMI. Si tú piensas que los alemanes son seres de luz e imponen su opinión a los 26 socios (no contando a Grecia), allá tú, pero es tu fantasía, no la realidad. Pista: si fuera realidad, no habría habido negociaciones.
La realidad es que la mayor dureza contra Grecia no ha venido de Alemania - como te venden los mass media locales, eurófobos y germanófobos - sino de los bálticos, que habiendo estado como Grecia hicieron los deberes y ahora les hervía la sangre viendo a Grecia no queriendo hacer los suyos.
De multiples nacionalidades nada de nada.
Si usted no lo quiere ver, no lo vea, pero en la sala de reuniones de las últimas negociaciones estaban quienes estaban, que además después haya otros monigotes pululando por allí, entre ellos un teleñeco ejpañol pues...forman parte del decorado.
Lo único que hay en Europa son un montoncito de paises mas o menos sumisos a alemania en función de lo endeudados que estén, y no hay mas.
Los listos y aventajados se quedaron con sus moneditas, los tontos no abrazamos al proyecto europeo, así como usted y como yo, que nosotros mismos no podemos organizarnos como dios manda que nos lo hagan desde fuera.
Yo que quiere que le diga, empecé como usted, pero cada día me da asco y tengo menos confianza en esta europa.
Ójala tenga usted razón pero desgraciadamente no lo creo, me comeré gustoso el owned.
En la sala de reunión había 28 gobiernos (elegidos democráticamente por los ciudadanos de sus 28 países), la Comisión Europea, el BCE y - creo - el FMI. Si tú piensas que los alemanes son seres de luz e imponen su opinión a los 26 socios (no contando a Grecia), allá tú, pero es tu fantasía, no la realidad. Pista: si fuera realidad, no habría habido negociaciones.
La realidad es que la mayor dureza contra Grecia no ha venido de Alemania - como te venden los mass media locales, eurófobos y germanófobos - sino de los bálticos, que habiendo estado como Grecia hicieron los deberes y ahora les hervía la sangre viendo a Grecia no queriendo hacer los suyos.
De multiples nacionalidades nada de nada.
Si usted no lo quiere ver, no lo vea, pero en la sala de reuniones de las últimas negociaciones estaban quienes estaban, que además después haya otros monigotes pululando por allí, entre ellos un teleñeco ejpañol pues...forman parte del decorado.
Lo único que hay en Europa son un montoncito de paises mas o menos sumisos a alemania en función de lo endeudados que estén, y no hay mas.
Los listos y aventajados se quedaron con sus moneditas, los tontos no abrazamos al proyecto europeo, así como usted y como yo, que nosotros mismos no podemos organizarnos como dios manda que nos lo hagan desde fuera.
Yo que quiere que le diga, empecé como usted, pero cada día me da asco y tengo menos confianza en esta europa.
Ójala tenga usted razón pero desgraciadamente no lo creo, me comeré gustoso el owned.
En la sala de reunión había 28 gobiernos (elegidos democráticamente por los ciudadanos de sus 28 países), la Comisión Europea, el BCE y - creo - el FMI. Si tú piensas que los alemanes son seres de luz e imponen su opinión a los 26 socios (no contando a Grecia), allá tú, pero es tu fantasía, no la realidad. Pista: si fuera realidad, no habría habido negociaciones.
La realidad es que la mayor dureza contra Grecia no ha venido de Alemania - como te venden los mass media locales, eurófobos y germanófobos - sino de los bálticos, que habiendo estado como Grecia hicieron los deberes y ahora les hervía la sangre viendo a Grecia no queriendo hacer los suyos.
Y parece que otro de los duros era... Portugal. Y por las mismas razones que los países bálticos.
Pero los hechos importan una higa cuando el signo de estas semanas es: "¿Caspa? ¿Caries? ¿Hemorroides? ¿Dolor menstrual? La culpa es de la Merkel y los alemanes."
A quien se le ocurre montar una zona de common currency sin presupuestos estatales unificados y libre movilidad (pero de verdad) de la población económicamente activa.
A los 28 Estados Miembros y a los ciudadanos que eligen a sus respectivos gobiernos, que no han querido ceder un ápice de su soberanía (presupuestaria, fiscal, etc.).
De multiples nacionalidades nada de nada.
Si usted no lo quiere ver, no lo vea, pero en la sala de reuniones de las últimas negociaciones estaban quienes estaban, que además después haya otros monigotes pululando por allí, entre ellos un teleñeco ejpañol pues...forman parte del decorado.
Lo único que hay en Europa son un montoncito de paises mas o menos sumisos a alemania en función de lo endeudados que estén, y no hay mas.
Los listos y aventajados se quedaron con sus moneditas, los tontos no abrazamos al proyecto europeo, así como usted y como yo, que nosotros mismos no podemos organizarnos como dios manda que nos lo hagan desde fuera.
Yo que quiere que le diga, empecé como usted, pero cada día me da asco y tengo menos confianza en esta europa.
Ójala tenga usted razón pero desgraciadamente no lo creo, me comeré gustoso el owned.
En la sala de reunión había 28 gobiernos (elegidos democráticamente por los ciudadanos de sus 28 países), la Comisión Europea, el BCE y - creo - el FMI. Si tú piensas que los alemanes son seres de luz e imponen su opinión a los 26 socios (no contando a Grecia), allá tú, pero es tu fantasía, no la realidad. Pista: si fuera realidad, no habría habido negociaciones.
La realidad es que la mayor dureza contra Grecia no ha venido de Alemania - como te venden los mass media locales, eurófobos y germanófobos - sino de los bálticos, que habiendo estado como Grecia hicieron los deberes y ahora les hervía la sangre viendo a Grecia no queriendo hacer los suyos.
A mi no me han vendido nada, yo no leo los medios.
Los bálticos dirán lo que quieran, sigan ustedes con la cantinela de los gobiernos democráticos de la superdemocrática UE, miren para otro lado hasta que se les parta el cuello.
No me creo que con ésto vayan a sanar nada; si acaso, a colonizar económicamente, y ni siquiera a hacer limpieza de las castuzas griegas.
Pero bueno, a ver si a la vuelta de unos años son como ahora los "virtuosos" ;D países bálticos.
No me creo nada, pero también me comeré gustoso mi owned.
De ayer por la tarde. Que no prueba definitivamente nada, y podrá ver usted ver lo que quiera, estaban sincronizando agendas para quedar una tarde a tomar café..., pero vamos que da igual que lo que usted quiera.
Si no hace falta ni foto ni nada, si sólo hay que sentir la alteración en la fuerza :rofl:
([url]http://www.protothema.gr/files/1/2015/07/12/diakopi.jpg[/url])
El artículo de Juan Torres censurado:
[...]
Merkel, como Hitler, ha declarado la guerra al resto de Europa, ahora para garantizarse su espacio vital económico. Nos castiga para proteger a sus grandes empresas y bancos y también para ocultar ante su electorado la vergüenza de un modelo que ha hecho que el nivel de pobreza en su país sea el más alto de los últimos 20 años, que el 25% de sus empleados gane menos de 9,15 euros/hora, o que a la mitad de su población le corresponda, como he dicho, un miserable 1% de toda la riqueza nacional.
La tragedia es la enorme connivencia entre los intereses financieros paneuropeos que dominan a nuestros gobiernos, y que estos, en lugar de defendernos con patriotismo y dignidad, nos traicionen para actuar como meras comparsas de Merkel."
Francia y Alemania dinamitan el Pacto de Estabilidad
Desde su papel de 'potencias europeas', como ellos mismos especificaron en su encuentro de ayer en Dresde, el canciller alemán, Gerhard Schröder, y el presidente francés, Jacques Chirac, lanzaron una clara advertencia al resto de los países de la UE y a la propia Comisión Europea.
'Algunos erróneamente ven que el espíritu del pacto es asegurar sólo la estabilidad, pero es también un pacto para el crecimiento. No debemos abandonar el objetivo de la consolidación presupuestaria, pero el objetivo del crecimiento es tan importante como el otro y a veces se le debe dar mayor prioridad. Esa es la situación en la que nos encontramos ahora', declaró Schröder.
...
Francia y Alemania rompen el Pacto de Estabilidad
...
En el otro lado, los ministros alemán, Hans Eichel, y francés, Francis Mer, estaban exultantes y mantenían lo contrario: que el arreglo era "coherente" con el espíritu y la letra del Pacto y que la Comisión "no tiene el monopolio para interpretarlo". Eichel repitió que Alemania no estaba dispuesta a asumir "una solución que pusiera en peligro los intereses vitales alemanes", mientras Mer agregó que simplemente se había adaptado el Pacto "a una situación bastante excepcional" por el frenazo económico que sufre Europa.
Herido de muerte el Pacto, el siguiente paso es modificarlo. "Habrá que enriquecerlo", reclamó el francés Mer. "Hacia 2006 o 2007", añadió el primer ministro luxemburgués, Jean-Claude Juncker, el más fiel aliado del eje franco-alemán en esta y otras guerras
....
Merkel insiste en que «todos los países deben cumplir el Pacto de estabilidad»
...
«Todos, y lo subrayo, todos los estados miembros deben respetar completamente las reglas del Pacto de Estabilidad», manifestó Merkel en una comparecencia ante el pleno del Parlamento alemán, ante la reunión la próxima semana del Consejo Europeo.
Grecia ofrecerá canjear su deuda por bonos vinculados al crecimiento
El Gobierno griego de Alexis Tsipras propondrá a sus acreedores canjear su actual deuda externa por nuevos bonos vinculados con el crecimiento, descartando así una 'quita' de la deuda a la que se oponen sus socios europeos, según informa 'Financial Times'.
...
"Lo que voy a decir a nuestros socios es que estamos creando una combinación de superávit primario y una agenda de reformas. Diré, ayudadnos a reformar nuestro país y dadnos algo de espacio fiscal para hacerlo, si no vamos a seguir asfixiados y nos convertiremos en una Grecia deformada en vez de reformada", subrayó (Varoufakis).
...
El artículo de Juan Torres censurado:
Merkel, como Hitler, ha declarado la guerra al resto de Europa, ahora para garantizarse su espacio vital económico.
El desfase de la deuda dedicado a financiar tochos o a financiar estados clientelares hinchados se han dado en todo el globo en japon china eeuu irlanda suecia holanda e incluso ahora en alemania pais original de seres de luz de lo cual se puede deducir que no hay pueblos caraduras sino un timo de la estampita que funciona debido a que la naturaleza humana es la que es. Ahora eso si no es lo mismo que el pais afectado sea uno u otro ya que deprndiendo de su sistema economico su sistema politico y su posicion en el mundo el desastre sera de unas proporciones u otras. Es un engaño vender a merkel como la mala de la pelicula y es un engaño vender a los griegos como los caraduras de la pelicula.
[...] Holande, el Ulises francés, deja el caballo Syrizsa a las puertas de Troya/UME.
Después de nueve años de asedio a Troya el ingenioso Ulises induce a los líderes griegos (dánaos) a ofrecer a los troyanos el llamado «Caballo de Troya». Todos parecen aceptar el regalo menos el sacerdote troyano Laocoonte que desconfía de dicho presente, y advierte a los troyanos que no acepten el obsequio, exclamando la famosa frase que se inscribe en la cita al principio de esta entrada. [...]
El artículo de Juan Torres censurado:
Merkel, como Hitler, ha declarado la guerra al resto de Europa, ahora para garantizarse su espacio vital económico.
Este escrito de Juan Torres es la típica producción de Hollywood, donde todo se reduce a la lucha del bien y el mal, buenos y malos, el mismo guión simplista de la guerra de las galaxias, que tanto ha influido en "nuestra generación" y del que tanto partido están sacando los demagogos actuales.
Hay una cosa que Juan Torres se calla, y que por supuesto ni nombra siquiera por asomo para no leventar la perdiz entre sus fieles; y es una pregunta sencilla: ¿Que han hecho los griegos con el dinero? ¿Que han hecho los griegos con todas las "cosas" (llamados bienes y servicios) que han comprado, y disfrutado, con dinero prestado y que ahora no están en ninguna parte? solo habla de dueda, pero no dice nada de la buena vida que se han dado los griegos con el dinero prestado y que ahora no pueden devolver porque, como deciamos en mi barrio, se lo han fumado.
Otra cosa que simplifica Juan Torres para ponerselo fácil a su electorado es centrar todo en una imagen que simboliza el mal: Merkel, que en su producción hollywoodiana corresponde a Darth Vader https://es.wikipedia.org/wiki/Darth_Vader. Y Juan Torres en el papel de caballero Jedi https://es.wikipedia.org/wiki/Jedi#Caballero_Jedi,
Tenemos por un lado el imperio del mal: Alemania, que en su delirante panfleto, Juan Torres llega a decir que el pueblo aleman ha dilapidado 900.000 millones de euros en activos tóxicos, solo para "dominar" el mundo. Y por otro lado el pueblo oprimido, explotado por los malos, que han sido esclavizados por el imperio.
Un panfleto simplista, infantil, para consumo de perroflautas que solo entienden doctrinas dualistas, en las que por supuesto, ellos son los buenos. https://es.wikipedia.org/wiki/Dualismo
Lo importante es la Teoría y los Modelos.
No porque sean ciertos y válidos (no lo son); sino precisamente porque no lo son, se sabe que no lo son y aún así los usan unos y otros como armas contra el adversario.
Quien discute con distintos modelos no negocia en una "lengua común". Pero ¿cómo saber elegir un modelo digno si todos están mal?
He ahí el quid de la cuestión... que lo que más importa o la base de todo es... unas cosas incorrectas! (
Europa es un gran coche que es conducido por todos, si Grecia se estrella por culpa de un fallo del chasis o el motor, es por culpa del coche,no del conductor, y si además se estrella porque conduce a lo loco, también se tiene parte de la culpa por haberle prestado el Coche.
Si uno tiene un hijo loco, se le deja el coche? Y si es comprador compulsivo le dejas la VISA sin límite de crédito?Y si tu amigo el cabra te pide que le avales un Mercedes, lo haces?
En una relación, las partes implicadas son dos, y la culpa es de los dos, porque si uno no quiere corta la relación, bien que invertían en Grecia para sacar beneficios, tampoco pusieron ninguna objeción a la inmersión del Euro, pero bueno, ahora toca castigar al hijo loco porque le hemos dejado un coche con taras y además conducía temerariamente.
Si un yonki te pide droga, no le das droga, y menos al principio, porque si se vuelve drogodependiente ya tenemos el problema montado.
Y ojo, no digo que no tenga culpa, que la tiene igual que un yonki cada vez que se mete un chute (crédito).
Ale, a castigar al hijo irresponsable.
Alguien sabe las medidas exactas que ha firmado Grecia???
Grecia saldrá del euro :troll:libremercado.com/2015-07-12/jose-garcia-dominguez-grecia-saldra-del-euro-76177/
Lo seguro a estas horas es que Grecia saldrá del euro. Y la única duda al respecto consiste en discernir si ello ocurrirá dentro de tres días o dentro de tres años. Por lo demás, solo es un problema de tiempo. Exclusivamente de tiempo. Porque lo grave del asunto griego no remite a esa deuda impagable que jamás de los jamases se reembolsará, lo en verdad crítico es que, con deuda o sin deuda, Grecia no resultará viable en tanto que Estado-nación mientras permanezca sometida a la camisa de fuerza del euro. Todavía está por ver que lo sean Portugal y España, pero Grecia, desde luego, no. Dispongámonos, pues, a escuchar de nuevo a los voceros del vulgo racista y su manido repertorio de admoniciones a cuenta de los vagos derrochadores del Sur frente a los sufridos, ahorradores y laboriosos estajanovistas del Norte. Pero toda esa basura retórica no servirá para soslayar la mayor irresponsabilidad histórica de las elites europeas, a saber, la de haber implantado el euro haciendo caso omiso de uno de los grandes fallos del mercado: su definitiva impotencia para corregir las disparidades espaciales de productividad en territorios que comparten idéntica moneda.
El mercado, simplemente, resulta inane para llevar a cabo ese tipo de tareas. Bien al contrario, su sesgo espontáneo opera en una dirección opuesta, la de acentuar cada vez más las asimetrías regionales. Nada extraño si bien se mira. ¿O acaso las fuerzas espontáneas del mercado empujaron durante los últimos ciento cincuenta años a Extremadura o a Calabria para que convergieran con la región de Milán o con Cataluña en términos de renta? La respuesta se antoja evidente: no. Y si no lo hicieron nunca dentro de los propios países, ¿por qué iban a hacerlo ahora entre las naciones del Norte y del Sur? Es algo tan obvio que casi provoca un cierto rubor plantear la hipótesis. Y sin embargo, el euro se alumbró bajo el influjo quimérico de semejante fantasía, la de la pronta convergencia entre territorios que durante siglos habían sido distintos entre sí.
Ahora, cuando ya el fiasco no se puede ocultar por más tiempo a la opinión pública, todo se confía a las famosas reformas estructurales, otra quimera. Las reformas estructurales no encierran mucho más que un eufemismo de urgencia a fin de hacer digeribles las bajadas generalizadas de sueldos en el Sur. Si cobramos menos, prescribe la doctrina, las empresas venderán más y saldremos del hoyo algún día. Otra falacia. Los obreros de Extremadura y de Calabria llevan siglo y medio cobrando bastante menos que sus iguales de Milán y de Barcelona. ¿Y ha servido de algo a efectos de que sus respectivos territorios abandonasen su ostracismo crónico? Si a Badajoz nunca le ha valido de nada disponer de una mano de obra mucho más barata que la de Madrid, ¿por qué le iba a ocurrir algo distinto a Grecia en relación a Holanda o Alemania?
Y es que el problema no reside en los sueldos sino en la productividad, un rasgo sistémico de las economías nacionales. Y eso no hay moneda ni devaluación que lo resuelva. Podemos promover una salida del euro temporal acompañada de la consiguiente devaluación del dracma. Pero el problema de fondo, el de la precaria productividad de Grecia (y del resto de los países del Sur en relación a los del Norte), persistiría inalterable. A medio plazo, en consecuencia, todo volvería a ser exactamente igual que antes. De ahí que el euro esté condenado a desaparecer a menos que Alemania y los demás Estados del Norte concediesen ir a una genuina unión fiscal. Algo impensable a día de hoy. Por desgracia, las Casandras pesimistas estamos ganando esta partida.
Europa es un gran coche que es conducido por todos, si Grecia se estrella por culpa de un fallo del chasis o el motor, es por culpa del coche,no del conductor, y si además se estrella porque conduce a lo loco, también se tiene parte de la culpa por haberle prestado el Coche.
Si uno tiene un hijo loco, se le deja el coche? Y si es comprador compulsivo le dejas la VISA sin límite de crédito?Y si tu amigo el cabra te pide que le avales un Mercedes, lo haces?
En una relación, las partes implicadas son dos, y la culpa es de los dos, porque si uno no quiere corta la relación, bien que invertían en Grecia para sacar beneficios, tampoco pusieron ninguna objeción a la inmersión del Euro, pero bueno, ahora toca castigar al hijo loco porque le hemos dejado un coche con taras y además conducía temerariamente.
Si un yonki te pide droga, no le das droga, y menos al principio, porque si se vuelve drogodependiente ya tenemos el problema montado.
Y ojo, no digo que no tenga culpa, que la tiene igual que un yonki cada vez que se mete un chute (crédito).
Ale, a castigar al hijo irresponsable.
Si, claro. Hijo loco? Coche averidado? Hijo irresponsable?... pero de qué estàs hablando? En el mundo de las finanzas, desde el tiempo de los egipcios, todo està inventado. Los alemanes, ni nadie, tienen un conocimiento oculto que los demas no sabemos y que utilizan para aprovecharse. Los griegos se lanzaron a pedir dinero en los mercados financieros con todo conocimiento de causa y sabiendo a lo que se jugaba. Que no supieron para en su momento? Es problema suyo y de nadie mas. Ir de victimas es patetico y estan haciendo el ridiculo, y no les sirve de nada porque nadie les va a pagar sus deudas.
Alguien me explica lo de Singapur?????
Como puede ser que una islita de 5,5 millones de almas tenga tal superávit????
al perder la IIGM, los teutones quedaron fuera del mapa global del petróleo (sospecho que no le harían ascos a que una empresa suya adquiriese Repsol)
A mi lo que me gustaría saber es la posición verdadera de los USA en todo esto, saber si han llamado a Merkel, Hollande, Tsipras, etc y qué les han dicho. Lo de Krugman me parece que ha sido sólo enseñar la patita ligeramente... Todos sabemos que tienen a los Gobiernos europeos infestados de trolls y que no dudan en comprar un ministro si hace falta, y no me cabe duda de que lo que quieran los usanos tiene muchísimo peso. Además quiero pensar que el tema del excesivo gasto militar griego tiene algún motivo oculto más que el mero pillar sobres, porque sus tensiones siempre dicen que son con los turcos, pero ambos están en la Otan y no me parece a mi que estando el mundo como está vayan a pelearse por una isleta en el Egeo por muy bonitas que sean...
Hollande propone un Gobierno y un Parlamento para la zona euro
La principal lección para Francia de la grave crisis surgida con Grecia es que la zona euro debe reforzarse e ir “más lejos”. El presidente francés, François Hollande, ha propuesto este martes que los países de la moneda única cuenten con un Gobierno, un Parlamento y un presupuesto propios. Para conseguirlo, París trabajará estrechamente con Berlín porque, solo “solo cuando Francia y Alemania están unidas, puede avanzar Europa”, como ocurrió la larga noche del domingo al lunes para cerrar un primer acuerdo con Atenas.
Durante su tradicional entrevista anual televisada con motivo de la fiesta nacional francesa, Hollande destacó que la eurozona necesita ese “Gobierno económico” para ser “más fuerte”, pero también mayores dosis democráticas en su funcionamiento y, por eso, añadió que debe haber también una asamblea de parlamentarios de los países que comparten la moneda europea.
Si falla europa no será por el nacionalismo alemán sino por el francés.
Esperaba muchísimo más de ellos.
Espero que se den cuenta de lo que deben hacer.
Los ojos no deben fijarse en Alemania sino en Francia.
Otro mensajito
De una cosa estoy seguro y no es de a quien votar... pero de a quien no votar SI...
A traidores, a quienes venden a la nación en pos de sus intereses...
De una cosas puedes estar bien seguro, si un partido político nacional dice que sacará guillotinas para con la ley en la mano actuar contra quienes hicieron alta traición llevándolos a juicio con la pena capital como pena máxima, dada la clara situación de manifiesta traición a la patria, con robos, saqueos sin control, etc...
Me importaría bien poco si es rojo o no... pero creo que ya es hora de saber que países como España han sido vendidos a potencias y agentes extranjeros con la aquiescencia de una castuza casposa y sin sentido nacional alguno...
NO al PPSOEUPyDPNVCIU y algunos más habría que en principio ilegalizarlos y posteriormente hacer una investigación a fondo de hasta qué punto han llegado sus tentáculos y cuan grandes son sus... si las hubiese... y en este punto todos aquellos que han sido o son asociados y han estado o están en la órbita de esos partidos quedarían sin capacidad durante la investigación para intervenir en lo público, hasta que fuese limpiado claramente su nombre.
El FMI insiste: Grecia necesita una quita o una moratoria de 30 años
El Fondo rompe con las tesis de la UE y envía un informe confidencial con su postura a los gobiernos europeos.
Grecia necesitaría un alivio para su deuda mucho mayor de la que los socios de la zona del euro han considerado por la devastación de su economía y de los bancos en las últimas dos semanas, según un informe del Fondo Monetario Internacional (FMI) al que ha tenido acceso la agencia Reuters, y que choca frontalmente con la postura de Europa.
El Fondo envió este informe sobre la sostenibilidad de la deuda helena a los gobiernos europeos ayer por la noche, horas después de que Atenas y sus acreedores acordaran un principio de acuerdo para negociar un tercer rescate de hasta 86.000 millones, a cambio de reformas estructurales y más medidas de austeridad.
Poniendo en duda su participación en el futuro rescate a Grecia, el FMI va incluso más allá y señala que los países del euro deberán dar a Grecia una moratoria de 30 años para pagar su deuda, incluidos los nuevos préstamos, y una extensión muy drástica de los vencimientos, o bien realizar transferencias fiscales todos los años al presupuesto griego. El fondo también recomienda que se acepte una “profunda quita”.
En el informe también advierte de que la deuda nacional de Grecia podría pronto llegar al 200% del PIB, niveles aún más insostenibles.
A menos que el FMI sea capaz de convencerse a sí mismo de que las deudas de Grecia son sostenibles, tendría prohibido por sus propias reglas poner dinero en un nuevo rescate. Se supone que el Fondo proporcionaría 16.400 millones de euros -cerca de un 25% del total-, mientras que el resto procedería del MEDE, pero este último informe filtrado a Reuters parece dejar claro que el FMI no tiene mucho interés en participar de nuevo.
Es lo del aliviadero... en realidad con el cuento de la deuda lo que cada uno de los grandes actores está intentando hacer es salvar su propio culo... a EE.UU. que nadie se lleve a engaño le molaría convertir a Alemania en su propia Grecia, sólo de pensarlo los grandes fondos americanos deben de ponerse cachondos... "
¿Y qué opinas tú, 2 años? ¿También quieres salir del €uro?
Veo que habrá que hacerlo cómo los periodistas...
¿Y qué opinas tú, 2 años? ¿También quieres salir del €uro?
Estás viendo lo de Grecia. No han salido del euro y ya no pueden los ciudadanos acceder a su dinero. Ni siquiera en cuentas a la vista.
Nuestra banca fue rescatada... y no hemos devuelto la pasta. Salir del euro es repetir los pasos de Grecia. Un suicidio económico. Si no lo tienes claro, por qué insistes en la idea. Ningún partido, ni siquiera Podemos, promueve eso.
[...]
Si me indica donde he puesto yo explícitamente que quiera salir del euro...
[...]
Si me indica donde he puesto yo explícitamente que quiera salir del euro...
¡Hay que tener cara!
Venga, por tercera vez: ¿Y qué opinas tú, 2 años? ¿También quieres salir del €uro?
Saludos a Vil, también, de mi parte.
El FMIxit de saturno cada vez más cerca:
Je suis convaincue que les Parlements de l’Union européenne et le Parlement européen devraient être correctement informés à propos des faits. Il devraient ainsi être impliqués dans les procédures de l’Union
européenne pour garantir que la démocratie en Europe ne cède pas la place à des pratiques qui n’ont pas été légitimées.
Estoy convencida de que los Parlamentos de la UE y el P.Europeo deben ser informados de estos hechos. Deben también implicarse en los procedimientos de la UE para garantizar que la democracia en Europa no deja espacio para prácticas que no han sido legitimadas
Y perdone que le diga pero Grecia no expuso claramente en ningún momento que quería salir del euro
La extorsión alemana para mí ha quedado clara y cristalina, pero vamos allá ustedes.
Es politica-ficción pero se puede tantear. ¿En la UE, O en la eurozona? porque implica moneda única.
No será tan fácil.
(https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/6d/Le_Serment_du_Jeu_de_paume.jpg/1024px-Le_Serment_du_Jeu_de_paume.jpg)
El NO del referéndum implicaba salir del euro, porque "la pregunta" era premisa de un silogismo.
Otra cosa es que los griegos hagan como que no saben lo que es un silogismo, lo cual no deja de ser irónico :biggrin:
Y otra mas:
[url]http://www.europapress.es/nacional/noticia-podemos-rectifica-ya-no-pide-reestructuracion-deuda-espana-20150714144332.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/nacional/noticia-podemos-rectifica-ya-no-pide-reestructuracion-deuda-espana-20150714144332.html[/url])
Veo que habrá que hacerlo cómo los periodistas...
¿Y qué opinas tú, 2 años? ¿También quieres salir del €uro?
Dados unos gobiernos representativos (?), interlocutores de Grecia,
Dichos gobiernos ponen en la mesa ciertas medidas
There is a convention that communiqués must be unanimous, and the President can’t just convene a meeting of the Eurozone and exclude a member state. And he said, “Oh I’m sure I can do that.” So I asked for a legal opinion. It created a bit of a kerfuffle. For about 5-10 minutes the meeting stopped, clerks, officials were talking to one another, on their phone, and eventually some official, some legal expert addressed me, and said the following words, that “Well, the Eurogroup does not exist in law, there is no treaty which has convened this group.”
So what we have is a non-existent group that has the greatest power to determine the lives of Europeans. It’s not answerable to anyone, given it doesn’t exist in law; no minutes are kept; and it’s confidential. So no citizen ever knows what is said within … These are decisions of almost life and death, and no member has to answer to anybody.
our Eurozone is a very inhospitable place for decent people
Nuestra eurozona es muy inhospitalaria para la gente honesta
Estás viendo lo de Grecia. No han salido del euro y ya no pueden los ciudadanos acceder a su dinero. Ni siquiera en cuentas a la vista.
Nuestra banca fue rescatada... y no hemos devuelto la pasta. Salir del euro es repetir los pasos de Grecia. Un suicidio económico. Si no lo tienes claro, por qué insistes en la idea. Ningún partido, ni siquiera Podemos, promueve eso.
Estás viendo lo de Grecia. No han salido del euro y ya no pueden los ciudadanos acceder a su dinero. Ni siquiera en cuentas a la vista.
Nuestra banca fue rescatada... y no hemos devuelto la pasta. Salir del euro es repetir los pasos de Grecia. Un suicidio económico. Si no lo tienes claro, por qué insistes en la idea. Ningún partido, ni siquiera Podemos, promueve eso.
salgo momentaneamente del modo lurker para comentar esto, que me parece capital. Si estoy en lo cierto, el BCE es el banco central de toda la eurozona, y entre sus funciones está la de dotar de liquidez al sistema. Aqui los tiempos también son importantes. Si no me equivoco, el BCE asumió a finales de 2014 la supervisión bancaria de la zona euro, vamos que supervisa "casi" toda la banca euro, incluida la griega. Es de suponer que si la banca griega tiene licencia para operar es porque este se la da, luego en qué basa esa decisión de implantar un corralito en una parcela del sistema. Seguramente yerro en algún paso, pero no tolero el regusto justiciero que intuyo..... por supuesto desde la ortodoxia de un banco central independiente del poder político, of course.
salud, y un abrazo a todos, y que pasen un verano con poco calor y muchos amigos.
Varufakis
Luis García Montero
El dinero manda, nos convierte a los seres humanos en mercancía y a nuestros derechos civiles en negocio. Se privatizan la sanidad, la educación, el agua, la información, los servicios de limpieza, las cárceles… Y, sobre todo, se privatiza la política. Sí, se privatiza un partido político igual que un hospital o un colegio.
Los partidos políticos que diseñaron la arquitectura de Europa trabajaban como organizaciones privatizadas al servicio de la banca y las multinacionales. El horizonte fue la cultura neoliberal y su trampa íntima: no se trataba de desmantelar el Estado, sino de concebir un Estado al servicio del dinero. Más que desregulación, hay una ingeniería política y social capaz de convertir en deuda pública las pérdidas privadas de los bancos y de la economía especulativa.
Los acreedores han sustituido así a los políticos en la toma de decisiones, un proceso puesto en evidencia hasta la saciedad en la crisis griega. En vez de preocuparse por la gente (sus salarios, sus pensiones, su hambre, su dignidad, su desempleo), los acreedores se empeñan no ya en cobrarlo todo –porque hay deudas que no se pueden cobrar enteras–, sino en que no se rompan las reglas de juego que han provocado sus ganancias, la deuda, el desempleo, el hambre y el maltrato de la gente.
El comportamiento de los políticos-banqueros y de la prensa-banquera durante el referéndum griego ha sido un espectáculo indecente. En nombre de la solución económica de un problema grave han intentado, a base de calumnias y amenazas, devolverle el poder a los mismos partidos tradicionales que contribuyeron a crear la situación crítica (por seguir los mandatos del BCE y del FMI) y derribar al Gobierno elegido por los ciudadanos para resolver sus problemas.
La lección importante del dinero, claro está, es que los ciudadanos no tienen derecho a resolver a través de la política sus problemas. Las urnas son un peligro. El comportamiento de las instituciones europeas se mueve así en el oleaje de la cultura neoliberal dominante que desacredita la política. Le compramos con facilidad su cultura al enemigo cuando decretamos el fin de la política, las listas electorales sin políticos, la corrupción de todos los políticos, el todos son iguales, porque esa dinámica sólo sirve para dejarle las manos libres al dinero. Como advirtió Antonio Machado hace muchos años, conviene cuidarse de quien aconseja que no nos metamos en política, porque eso significa que quiere hacer la política sin nosotros.
Nos conviene matizar y no dar la política por perdida. Frente a la puerta giratoria del político-banquero o del político-acreedor, resulta necesario consolidar la imagen del político-ciudadano, es decir, del representante de los ciudadanos. En medio de todas las tristezas de la crisis griega, hemos tenido la alegría de comprobar la dignidad humana de Yanis Varufakis, catedrático de Economía de la Universidad de Atenas y exministro de finanzas. Su comportamiento de político-ciudadano ha causado irritación en el foro de los políticos-banqueros.
No nos engañemos: Varufakis no es un ejemplo de las dificultades que hay entre las promesas electorales y su posterior realización, sino de la correlación de fuerzas que existen entre las mentiras del poder del dinero y la ciudadanía. Una ideología es dominante cuando consigue hacer creer a la gente su mentira: el poder real no reside en la mayoría oprimida, sino en la élite opresora. Como recuerda Varufakis en su libro El Minotauro global (Debolsillo, 2015), este proceso se conoce en la historia del pensamiento como el secreto de Condorcet.
El deseo de denunciar el secreto de Condorcet convirtió a Varufakis en un político-ciudadano. Este economista no es un demagogo y miente mucho menos que los representantes de las instituciones económicas y políticas europeas. Su libro analiza con inteligencia la situación de Europa dentro de la economía especulativa mundial. La imagen del Minotauro, una fuerza cruel, pero capaz de mantener equilibrios, alude a los mecanismos por los que Estados Unidos decidió a partir de los años 70 disparar su déficit como fórmula para alimentar la capacidad de exportación industrial de Alemania, Holanda y China. Las ganancias de estos países volvían después a Wall Street convertidas en dinero especulativo.
El hundimiento de este mecanismo, reconocido por el propio Alan Greenspan, presidente de la Reserva Federal de EE.UU. durante 20 años, ha descompuesto el proyecto europeo. El diagnóstico de Varufakis es claro: “Europa se está desintegrando sencillamente porque su arquitectura no era lo bastante sólida para soportar la onda expansiva provocada por los estertores mortales del Minotauro”. Yanis Varufakis no iba a la mesa de negociaciones con propuestas radicales y demagógicas, sino con un análisis económico que obligaba a construir Europa, a repensarla, a poner las instituciones –empezando por el BCE- al servicio de los ciudadanos. Y por eso era recibido como un marciano por unos políticos-banqueros que hablan mucho de Europa, pero que no sienten como suya una identidad que obliga a vivir en primera persona las dificultades de los griegos, los españoles, los portugueses o los italianos.
Varufakis no piensa que los banqueros sean unos malvados insaciables, ni que haya una trama capitalista pensada por alguien para hacer el mal. Piensa que el capitalismo es un monstruo que se desarrolla sin control y que puede convertir en pobreza y autodestrucción propia sus movimientos de extensión. Por eso es imprescindible tomarse en serio unas instituciones con capacidad de control.
La precariedad democrática de Europa es una evidencia. El conflicto griego es el conflicto de Europa. O transformamos el invento ideado por los políticos-banqueros o estamos condenados a una larga agonía de injusticias y desintegración.
[...] Varufakis no piensa que los banqueros sean unos malvados insaciables, ni que haya una trama capitalista pensada por alguien para hacer el mal. Piensa que el capitalismo es un monstruo que se desarrolla sin control y que puede convertir en pobreza y autodestrucción propia sus movimientos de extensión. Por eso es imprescindible tomarse en serio unas instituciones con capacidad de control. [...]
GBexit ya, coño!
GBexit ya, coño!
GBexit ya, coño!
Le entran sudores fríos. De moemnto, ya han aplazado el referendum para quedarse. :biggrin:
Ojo que responder YES es para quedarse. No hace mucho salió en la prensa lo que dijo Cameron a sus ministros: Back me or resign.
[url]http://www.telegraph.co.uk/news/newstopics/eureferendum/11658391/david-cameron-cabinet-ultimatum-eu-referendum.html[/url] ([url]http://www.telegraph.co.uk/news/newstopics/eureferendum/11658391/david-cameron-cabinet-ultimatum-eu-referendum.html[/url])
[ I see you "in". ]
Dados unos gobiernos representativos, interlocutores de Grecia,¿Estas seguro? :)
Dichos gobiernos ponen en la mesa ciertas medidas
Grecia contesta que no tiene mandato para firmar esas medidas
El referendum se hizo por tanto sobre la aceptación de esas medidas
Y si no tenemos el Pireo, se puede entregar la SAREB a Bruselas, como garantía de que España devolvera la deuda a los tarados extranjeros que compraron a precio de burbuja. No habían invertido en ladrillos ? Pues les damos ladrillos.
Los "extranjeros" no invirtieron en ladrillo.
Los "extranjeros" no invirtieron en ladrillo.
Permita que lo dude.
Directamente no, está claro, pero sabían perfectamente donde iba toda esa pasta.
Solo hacía falta pasearte por cualquier urbe para adivinar donde se invertía el dinero.
Pero igualmente, la inversión extranjera neta es muy poca, e igualmente puede ser una compañía Española radicada en Luxemburgo. Así que jodimos básicamente los ahorros, no a los Seres Gussi Luz.
Ahí radica la principal diferencia con Grecia.
O establecer puntos en los contratos, donde, como en un manguerazo anterior del BCE, se hace explícita la desautorización de usar la pasta en tochos.
Los "extranjeros" no invirtieron en ladrillo.
Permita que lo dude.
Directamente no, está claro, pero sabían perfectamente donde iba toda esa pasta.
Solo hacía falta pasearte por cualquier urbe para adivinar donde se invertía el dinero.
Desde ya, me pueden contar entre los euroescépticos, y si se me reprocha bailar las aguas a los anglos, que así sea.
Haber creído alguna vez que las élites del ordo-capitalismo renano son mejores que las del anglo, puro wishful thinking...
Eso sí, a los eurócratas esto les estallará a no tardar mucho tiempo, aunque los euroescépticos no muevan ficha; la situación griega, y de rebote la del resto de los PIGS, hará el trabajo.
Fusión acreedor-deudor... Me descojono, pero por no vomitar... :vomit: :rofl:
Desde ya, me pueden contar entre los euroescépticos, y si se me reprocha bailar las aguas a los anglos, que así sea.
Haber creído alguna vez que las élites del ordo-capitalismo renano son mejores que las del anglo, puro wishful thinking...
Eso sí, a los eurócratas esto les estallará a no tardar mucho tiempo, aunque los euroescépticos no muevan ficha; la situación griega, y de rebote la del resto de los PIGS, hará el trabajo.
Fusión acreedor-deudor... Me descojono, pero por no vomitar... :vomit: :rofl:
¿Qué tendría que haber hecho la eurozona, según tú?
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
Es que la soberanía no se cederá, para empezar porque ni los países del Eurcore la quieren ceder ni lo han querido nunca. Como Merkel no deja de recordar, los eurobonos por encima de su cadáver, etc. De aumentar el presupuesto comunitario, pues igual.
Yo no quiero nada ni de salidas de la UE ni del euro, pero las miro desde ahora con suprema desconfianza, y con la convicción de que a la vuelta de unos años, ambos se disgregarán; no derramaré una lágrima por ello cuando ocurra, aunque sí que espero que se haga de forma no traumática y que se mantengan relaciones multilaterales fluidas.
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
Este discurso me parece simplificar el tema, es decir te justificas en que los Griegos han robado dinero para alimentar un sistema corrupto, pero no tienes en cuenta el concepto de la U.E, y el porque de su creación.
Echar o no echar a Grecia, no es la cuestión, la cuestión es que coño queremos en la U.E, independencia? Sumisión a órganos superiores? Solo moneda única y ,libertad de aranceles y demás?
Me parece un punto importante el económico, pero no el único, y lo peor, es que se critica el terruñismo ,pero en el caso Griego no, ya que "Grecia ens Roba.
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
A mi no me vuelva a tratar como si fuese tonto con eso de influenciado con no se que medios o no se qué propaganda.
Es un argumento que se puede utilizar exactamente igual contra usted...a se me olvidaba que usted es poseedora de la verdad.
Yo leo y escucho de todo lo que cae en mis manos, de todo, se lo aseguro, y cojo de aquí y de allá lo que mi sentido común me dice que parece razonable sin comprar ningún dogma de fe.
The left must put Britain's EU withdrawal on the agenda
Owen Jones
Progressives should be appalled by European Union’s ruination of Greece. It’s time to reclaim the Eurosceptic cause
At first, only a few dipped their toes in the water; then others, hesitantly, followed their lead, all the time looking at each other for reassurance. As austerity-ravaged Greece was placed under what Yanis Varoufakis terms a “postmodern occupation”, its sovereignty overturned and compelled to implement more of the policies that have achieved nothing but economic ruin, Britain’s left is turning against the European Union, and fast.
“Everything good about the EU is in retreat; everything bad is on the rampage,” writes George Monbiot, explaining his about-turn. “All my life I’ve been pro-Europe,” says Caitlin Moran, “but seeing how Germany is treating Greece, I am finding it increasingly distasteful.” Nick Cohen believes the EU is being portrayed “with some truth, as a cruel, fanatical and stupid institution”. “How can the left support what is being done?” asks Suzanne Moore. “The European ‘Union’. Not in my name.” There are senior Labour figures in Westminster and Holyrood privately moving to an “out” position too.
The list goes on, and it is growing. The more leftwing opponents of the EU come out, the more momentum will gather pace and gain critical mass. For those of us on the left who have always been critical of the EU, it has felt like a lonely crusade. But left support for withdrawal – “Lexit”, if you like – is not new. If anything, this new wave of left Euroscepticism represents a reawakening. Much of the left campaigned against entering the European Economic Community when Margaret Thatcher and the like campaigned for membership.
It would threaten the ability of leftwing governments to implement policies, people like my parents thought, and would forbid the sort of industrial activism needed to protect domestic industries. But then Thatcherism happened, and an increasingly battered and demoralised left began to believe that the only hope of progressive legislation was via Brussels. The misery of the left was, in the 1980s, matched by the triumphalism of the free marketeers, who had transformed Britain beyond many of their wildest ambitions, and began to balk at the restraints put on their dreams by the European project.
The left’s pessimism about the possibility of implementing social reform at home without the help of the EU fused with a progressive vision of internationalism and unity, one that had emerged from the rubble of fascism and genocidal war. It is perhaps this feelgood halo that has been extinguished by a country the EU has driven into an economic collapse unseen since America’s great depression. It was German and French banks who recklessly lent to Greece that have benefited from bailouts, not the Greek economy. The destruction of Greece’s national sovereignty was achieved by economic strangulation, and treatment dealt out to Alexis Tsipras likened to “extensive mental waterboarding”. Slovakia’s deputy prime minister, Peter Kažimír, may have deleted his tweet calling this modern-day Versailles “the results of their ‘Greek Spring’”, but he is right: this was all about crushing a rebellion.
Ugly indeed. As the former European commission adviser Philippe Legrain puts it, “Germany is proving to be a calamitous hegemon,” overruling even France’s objections.
The euro suits Germany, of course, as a weak euro is good for its exports and prevents poorer EU countries getting a competitive edge. But look at how the EU has operated. It has driven elected governments – however unsavoury, like Silvio Berlusconi’s – from office. Ireland and Portugal were also blackmailed. The 2011 treaty effectively banned Keynesian economics in the eurozone.
But even outside the eurozone, our democracy is threatened. The Transatlantic Trade Investment Partnership (TTIP), typically negotiated by the EU in secret with corporate interests, threatens a race to the-bottom in environmental and other standards. Even more ominously, it would give large corporations the ability to sue elected governments to try to stop them introducing policies that supposedly hit their profit margins, whatever their democratic mandate. It would clear the way to not only expand the privatisation of our NHS, but make it irreversible too. Royal Mail may have been privatised by the Tories, but it was the EU that began the process by enforcing the liberalisation of the natural monopoly of postal services. Want to nationalise the railways? That means you have to not only overcome European commission rail directive 91/440/EEC, but potentially the proposed Fourth Railway Package too.
Other treaties and directives enforce free market policies based on privatisation and marketisation of our public services and utilities. David Cameron is now proposing a renegotiation that will strip away many of the remaining “good bits” of the EU, particularly opting out of employment protection rules. Yet he depends on the left to campaign for and support his new package, which will be to stay in an increasingly pro-corporate EU shorn of pro-worker trappings. Can we honestly endorse that?
Let’s just be honest about our fears. We fear that we will inadvertently line up with the xenophobes and the immigrant-bashing nationalists, and a “no” result will be seen as their vindication, unleashing a carnival of Ukippery. Hostility to the EU is seen as the preserve of the hard right, and not the sort of thing progressives should entertain. And that is why – if indeed much of the left decides on Lexit – it must run its own separate campaign and try and win ownership of the issue.
Such a campaign would focus on building a new Britain, one of workers’ rights, a genuine living wage, public ownership, industrial activism and tax justice. Such a populist campaign could help the left reconnect with working-class communities it lost touch with long ago. My fear otherwise is a repetition of the Scottish referendum: but this time, instead of the progressive SNP as the beneficiaries, with Ukip mopping up in working-class communities as big businesses issue chilling threats about the risks of voting the wrong way. Without a prominent Left Out campaign, Ukip could displace Labour right across northern England. That would be the real vindication of Ukippery.
Lexit may be seen as a betrayal of solidarity with the left in the EU: Syriza and Podemos in Spain are trying to change the institution, after all, not leave it. Syriza’s experience illustrates just how forlorn that cause is. But in any case, the threat of Brexit would help them. Germany has little incentive to change tack: it benefits enormously from the current arrangements. If its behaviour is seen to be causing the break-up of the EU, it will strengthen the hand of those opposing the status quo. The case for Lexit grows ever stronger, and – at the very least – more of us need to start dipping our toes in the water.
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
Este discurso me parece simplificar el tema, es decir te justificas en que los Griegos han robado dinero para alimentar un sistema corrupto, pero no tienes en cuenta el concepto de la U.E, y el porque de su creación.
Echar o no echar a Grecia, no es la cuestión, la cuestión es que coño queremos en la U.E, independencia? Sumisión a órganos superiores? Solo moneda única y ,libertad de aranceles y demás?
Me parece un punto importante el económico, pero no el único, y lo peor, es que se critica el terruñismo ,pero en el caso Griego no, ya que "Grecia ens Roba.
Si te parece poco lo que te comento de la cesión de soberanía de los Estados Miembros, la unión fiscal, etc., y otros temas que ya se han comentado como la unión aduanera, pues ya me dirás.
Lo de la "sumisión a órganos superiores" es de traca. ¡Esos órganos los han acordado y creado los Estados Miembros para gestionar la unión! ¿Cómo vas a estar en posición de sumisión frente a los órganos que tú has creado con los socios de tu club?
Criticar la postura de Grecia no implica terruñismo. Tienes un socio al que has prestado dinero y no sólo no lo devuelve, sino que sigue gastando más de lo que ingresa. Por mí, perfecto incluso perdonar la deuda griega al 100%, pero dentro de una unión fiscal en la que todos seamos corresponsables pero todos decidamos Si yo pongo pastuqui cuando te vayan mal tus cuentas, yo opino y participo sobre tus cuentas. La postura terruñista es la de Grecia y los grecófilos que no admiten que nadie decida sobre Grecia ni exija nada a Grecia - es decir, quieren corresponsabilidad (todos contribuyen a pagar los gastos de todos) pero sin co-decisión (en mi terruño hago lo que quiero y no te metes).
El FMI puede estar tirando la caña, vaya usted a saber, como para fiarse de esos, lo que sí que parece claro es que el acuerdo no es para que Grecia se recupere sino para arrebañar el plato, yo no me creo que una reforma de las pensiones mas altas vaya a sacar a Grecia de la ruina, esto parece un escarmiento y un aviso a navegantes en toda regla...
Es tu percepción de las cosas, bastante influenciada por toda la propaganda antieuropea y progriega.
Como uno de muchos ejemplos: muchos países, incluido España, se aprietan el cinturón para arreglar sus economías y además ponen dinero para rescatar a Grecia. Grecia pilla ese dinero y lo gasta, pero mantiene todo su sector público corruptísimo y gigantesco, y mantiene un esquema de jubilaciones mejor que el de los alemanes o los españoles. Es decir, nosotros y los alemanes tenemos peores jubilaciones que los griegos, ponemos dinero para ellos, y ellos siguen sin arreglar sus problemas y manteniendo unas jubilaciones mejores que las nuestras. ¿Te parece normal? ¿Te parece que pedirles que pongan las pensiones a un nivel normal es "aviso a navegantes" y "escarmiento" y "arrebañar el plato"?
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
A mi no me vuelva a tratar como si fuese tonto con eso de influenciado con no se que medios o no se qué propaganda.
Es un argumento que se puede utilizar exactamente igual contra usted...a se me olvidaba que usted es poseedora de la verdad.
Yo leo y escucho de todo lo que cae en mis manos, de todo, se lo aseguro, y cojo de aquí y de allá lo que mi sentido común me dice que parece razonable sin comprar ningún dogma de fe.
Acepto la crítica y me disculpo. Y ahora rebate los argumentos que te dado, por favor.
Es que la soberanía no se cederá, para empezar porque ni los países del Eurcore la quieren ceder ni lo han querido nunca. Como Merkel no deja de recordar, los eurobonos por encima de su cadáver, etc. De aumentar el presupuesto comunitario, pues igual.
Los problemas de la UE no harán sino agravarse, incluso aunque de alguna manera se esterilize el problema griego (que lo dudo), y los del euro, pues igual.
Yo no quiero nada ni de salidas de la UE ni del euro, pero las miro desde ahora con suprema desconfianza, y con la convicción de que a la vuelta de unos años, ambos se disgregarán; no derramaré una lágrima por ello cuando ocurra, aunque sí que espero que se haga de forma no traumática y que se mantengan relaciones multilaterales fluidas.
Visillófilas: agradezco la rectificación, porque he estado a punto de reportarte, pero mejor que discurran los argumentos independientemente de las filias y fobias de cada cual.
El verdadero terror de la casta (desde los curitas hasta las familias de los herederos del franquismo transmutados en demócratas de toda la vida), y por lo que se raja genéricamente de lo anglo (Como si la UE no hubiera estado auspiciada, guiada y nutrida desde EEUU, o Alemania no fuera el apéndice de EEUU en Europa, de mayor importancia incluso que UK. Al igual que Corea es la Alemania de EEUU en Asia y Singapur su UK), es que la casta industrial y financiera internacional los barra con los privilegios a los que estas sanguijuelas han estado acostumbradas desde hace siglos. Claro, contarán la película maquiavélica de la uberbau y la necesidad de que les dejen su porcentaje del negocio para controlar a la borregada ("no hay nadie como nosotros para controlarlos, los conocemos como si los hubieramos criado y cebado nosotros mismos"). En cualquier caso, la decisión de mantenerlos mientras les sean utiles (auditados al céntimo) o sacarlos a gorrazos solo depende de las mas altas instancias de los cuarteles generales del capitalismo.
Tengo entendido que en EE.UU quitando los gastos Estatales, a saber Ejercito, Política Exterior y un puñado de cosas más, cada uno gestiona lo suyo, y además eso no quita que uno pueda entrar en quiebra y dejar de pagar.
Tengo entendido que en EE.UU quitando los gastos Estatales, a saber Ejercito, Política Exterior y un puñado de cosas más, cada uno gestiona lo suyo, y además eso no quita que uno pueda entrar en quiebra y dejar de pagar.
Visillófilas: agradezco la rectificación, porque he estado a punto de reportarte, pero mejor que discurran los argumentos independientemente de las filias y fobias de cada cual.
Me parece excesivo reportar a un nick por haber dicho que le parece que otro nick está influenciado por la propaganda mediática. Que un nick se sienta insultado por eso, es cosa suya. Todos somos influenciables e influenciados por la propaganda, no hay que ser tonto para ello. Y precisamente el debate debería ayudar a desmontar todas esas posibles influencias y sesgos.
Directamente no,[/b] está claro, pero sabían perfectamente donde iba toda esa pasta.Pues ya está.
Porque si montas una unión, un bloque económico que se propone competir con otros (USA, LatAm, China, Russia, etc), deberías preocuparte por tener socios fuertes y solventes... o te esfuerzas por endeudarlos, empobrecer a su población y evitar que crezcan
Tengo entendido que en EE.UU quitando los gastos Estatales, a saber Ejercito, Política Exterior y un puñado de cosas más, cada uno gestiona lo suyo, y además eso no quita que uno pueda entrar en quiebra y dejar de pagar.
El 63% del presupuesto federal de los USA son transferencias, en Europa las llamamos deudas.
https://www.quora.com/What-percentage-of-federal-budget-expenditures-are-transfer-payments?share=1 (https://www.quora.com/What-percentage-of-federal-budget-expenditures-are-transfer-payments?share=1)
Europa es el mercado y la economía mas grande del mundo, pero no pinta nada a nivel mundial. Es como un gran país donde en cada pueblo lo único que le preocupa al cacique de turno es seguir conservando sus gallinas. En lugar de estar peleando con Grecia por minucias, lo que deberían estar es trabajandose a los rusos: 140 millones de gente que no tiene de nada y todos los recursos naturales del mundo.
...pero ahí los tienes: que si esta gallina es tuya y aquella otra es mía.
Los anglos se deben de descojonar.
Es que la soberanía no se cederá, para empezar porque ni los países del Eurcore la quieren ceder ni lo han querido nunca. Como Merkel no deja de recordar, los eurobonos por encima de su cadáver, etc. De aumentar el presupuesto comunitario, pues igual.
Los problemas de la UE no harán sino agravarse, incluso aunque de alguna manera se esterilize el problema griego (que lo dudo), y los del euro, pues igual.
Yo no quiero nada ni de salidas de la UE ni del euro, pero las miro desde ahora con suprema desconfianza, y con la convicción de que a la vuelta de unos años, ambos se disgregarán; no derramaré una lágrima por ello cuando ocurra, aunque sí que espero que se haga de forma no traumática y que se mantengan relaciones multilaterales fluidas.
Yo no desconfío, es que no me lo creo de plano. Es imposible, imposible que una zona con moneda común funcione si los presupuestos estatales no son comunes y si los factores de producción no tienen una absoluta y total movilidad en el territorio y no teóricamente, sino desde el punto de vista práctico del día a día de los ciudadanos.
- Sistemas de pensiones, vida laboral y seguridad social fraccionados.
- Sistemas impositivos fraccionados.
- Infranqueables barreras linüisticas (¿ por que el inglés no es el segundo idioma oficial en Europa ?)
- Como es posible a estas alturas que cada administración europea siga trabajando exclusivamente en
su propio idioma.
- Colegios profesionales all over y galimatías de homologaciones de títulos (el que sea).
Y paro para no aburrir ya que asi podríamos seguir un buen rato.
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
A todos los grecófilos euroescépticos me gustaría pediros 50.000 pavos por cabeza. Me daré la vida padre y no os los devolveré. Por supuesto, vosotros no me los reclamaréis, ¿verdad?
En el fondo sois como la célebre ministra socialista que dijo que el dinero público no es de nadie. Seguro que con vuestros euros no toleráis el mínimo cachondeo ni morosidad, pero los euros de todos los españoles no os duele regalárselos a los pobres griegos. País...
pásame tu número de cuenta y te lo ingreso ;D
Entonces qué te parece la solución actual de, a sabiendas de que son morosos y se lo gastan todo en pensiones/putas/coca, darles ooootro préstamo de 50megatones?
A mi me parece ooootro patadón para adelante hasta 2018.
Vale, se les exige que avalen esa pasta con activos públicos y se transfieran a un fondo en Luxemburgo, para que sean gestionados "bajo la supervisión de las instituciones europeas". Cuando los vencimientos se hagan impagables en el Reino de Hispanistán supongo que se hará lo mismo jujuju
@Chosen: para ti entonces en una operación de préstamo toda la responsabilidad recae sobre el deudor. Pero no creo que pienses eso realmente ;)
Sin quiebras no hay paraíso.
Cita de: Mad Men link=topic=1984.msg136464#msg136464 date=1436979711
[bDirectamente no,[/b] está claro, pero sabían perfectamente donde iba toda esa pasta.Pues ya está.
Justo lo que yo he dicho.
No ha lugar a seguir dándole vueltas.
Los bancos europeos no invirtieron en ladrillo, invirtieron en préstamos.
Quien invirtió en ladrillo fueron las cajas españolas. Punto final.
Sigo sin entender de donde ha salido el mantra (falso) de la supuesta "responsabilidad" del acreedor :o
Lo que el prestamista asume al prestar, más que responsabilidades, son riesgos. La responsabilidad la tienen ante sus accionistas, depositantes o quien sea que haya puesto el dinero. Es decir, antes sus propios acreedores.
Se prestó a quienes se sabía que no podrían devolver porque malinvertían el dinero prestado. Más que "riesgos" lo que se hizo fue violar las normas básicas de un sistema vital (el financiero) para conseguir objetivos de otro nivel, así que ahora no es suficiente tratar el problema como si fuera un crédito fallido cualquiera.
[...]
Todos sabemos que de ser un país poderoso como Francia el que estuviera en esa situación las cosas no hubieran sido ni parecidas. Por eso la UE más que una "unión" es una jerarquía difusa y al final más que los tratados manda la fuerza.
Sin solucionar esto PRONTO, se viene abajo el chiringuito.
[...]
Todos sabemos que de ser un país poderoso como Francia el que estuviera en esa situación las cosas no hubieran sido ni parecidas. Por eso la UE más que una "unión" es una jerarquía difusa y al final más que los tratados manda la fuerza.
Sin solucionar esto PRONTO, se viene abajo el chiringuito.
El acuerdo se firmó por unanimidad. ¿Dónde está la jeraquía? Otra cosa es, y en esto sí estoy de acuerdo, que Francia no quiere hacer recortes, como el resto de periféricos. Cuando le tocó a gercia, portgal, irlanda o españa, le parecía bien. Ahora que les toca a ellos también, ya no tanto.
Máxime si su presi prometio cosas que no puede cumplir, como muy bien indica el sr. Ortega.
[ Lo de cameron, otro tanto, pero con más risas porque o dimite o hace un referendum. ]
[...]
Todos sabemos que de ser un país poderoso como Francia el que estuviera en esa situación las cosas no hubieran sido ni parecidas. Por eso la UE más que una "unión" es una jerarquía difusa y al final más que los tratados manda la fuerza.
Sin solucionar esto PRONTO, se viene abajo el chiringuito.
El acuerdo se firmó por unanimidad. ¿Dónde está la jeraquía? Otra cosa es, y en esto sí estoy de acuerdo, que Francia no quiere hacer recortes, como el resto de periféricos. Cuando le tocó a gercia, portgal, irlanda o españa, le parecía bien. Ahora que les toca a ellos también, ya no tanto.
Máxime si su presi prometio cosas que no puede cumplir, como muy bien indica el sr. Ortega.
[ Lo de cameron, otro tanto, pero con más risas porque o dimite o hace un referendum. ]
La negociación con Grecia, ahora no la voy a explicar toda aquí, ocurrió de una forma que con un país poderoso no hubiera sucedido.
Lo demás es todo de tu cosecha, incluído lo de Cameron que no viene al caso.
[...] Ahora es cuando empezaran de verdad a negociarse las condiciones por las cuales los acreedores dejarán que Grecia siga siendo parte de la Eurozona y serán lo suficientemente duras como para, por "reducción al absurdo", se cumpla el enunciado principal: Grecia no es parte de la Eurozona.
Esta misma mañana, el ministro alemán de Finanzas, Wolfgang Schäuble, tras la votación de ayer ha vuelto a insistir que "tal vez el mejor camino para el país [Grecia]" sea una salida temporal del euro. "Nadie sabe cómo puede continuar [Grecia] sin una quita de la deuda y todos sabemos que esa quita es imposible [dentro de la Eurozona]; ésa es la situación".
No se puede ser más claro. Es la patada más elíptica que se le puede haber hecho en el culo de Francia (y la periferia europea): dársela en el de Grecia.
Anti-UE y anti-austeridad es lo mismo en estos momentos. Prácticamente cada país de la UE está gobernado por el centro-derecha o algo bastante afín.
Cualquier cosa que se salga de ese guión es anti-UE, porque la UE quiere imponer políticas de reducción de deuda Y PUNTO. Y ojo que no es que me parezca mal esta política, es que simplemente la democracias nacionales son mera fachada en lo económico y gobierna la UE.
Jürgen Habermas, one of the intellectual figureheads of European integration, has launched a withering attack on the German chancellor, Angela Merkel, accusing her of “gambling away” the efforts of previous generations to rebuild the country’s postwar reputation with her hardline stance on Greece.
Speaking about the bailout deal for the first time since it was presented on Monday, the philosopher and sociologist said the German chancellor had effectively carried out “an act of punishment” against the leftwing government of Alexis Tsipras.
“I fear that the German government, including its social democratic faction, have gambled away in one night all the political capital that a better Germany had accumulated in half a century,” he told the Guardian. Previous German governments, he said, had displayed “greater political sensitivity and a post-national mentality”.
Habermas, widely considered one of the most influential contemporary European intellectuals, said that by threatening Greece with an exit from the eurozone over the course of the negotiations, Germany had “unashamedly revealed itself as Europe’s chief disciplinarian and for the first time openly made a claim for German hegemony in Europe.”
The outcome of the negotiations between Greece and the other eurozone member states, he said, did “not make sense in economic terms because of the toxic mixture of necessary structural reforms of state and economy with further neoliberal impositions that will completely discourage an exhausted Greek population and kill any impetus to growth.”
Habermas added: “Forcing the Greek government to agree to an economically questionable, predominantly symbolic privatisation fund cannot be understood as anything other an act of punishment against a leftwing government.”
The Düsseldorf-born philosopher, a former assistant of the prominent Frankfurt School theorist Theodor Adorno, rose to prominence during the student protests in the late 1960s. His works on the establishment of a pan-European political and cultural identity, such as Structural Transformation of the Public Sphere, went on to influence and shape policy debate around the European Union. At the start of the millennium, Habermas was one of the leading drivers behind calls for a European constitution.
Recently, the 86-year-old has aggressively criticised Merkel’s leadership in Europe in books such as The Lure of Technocracy, while also coming under criticism himself. In 2013, Habermas clashed in a series of articles with another influential German leftwing intellectual, sociologist Wolfgang Streeck, who has identified the kind of European federalism espoused by Habermas as the root of the continent’s crisis.
Habermas told the Guardian that he agreed with many of his critics’ main points. “Streeck and I also share the view that this technocratic hollowing out of democracy is the result of a neoliberal pattern of market-deregulation policies,” he said. “The balance between politics and the market has got out of sync, at the cost of the welfare state.
“Where we differ is in terms of the consequences to be drawn from this predicament. I do not see how a return to nation states that have to be run like big corporations in a global market can counter the tendency towards de-democratisation and growing social inequality – something that we also see in Great Britain, by the way.
“Such tendencies can only be countered, if at all, by a change in political direction, brought about by democratic majorities in a more strongly integrated ‘core Europe’. The currency union must gain the capacity to act at the supra-national level. In view of the chaotic political process triggered by the crisis in Greece, we can no longer afford to ignore the limits of the present method of intergovernmental compromise.”
Habermas argued that Europe was “stuck in a political trap”.
“Without a common financial and economic policy, the national economies of pseudo-sovereign member states will continue to drift apart in terms of productivity. No political community can sustain such tension in the long run,” he said. “At the same time, by focusing on avoidance of open conflict, the EU’s institutions are preventing necessary political initiatives for expanding the currency union into a political union. Only the government leaders assembled in the European council are in the position to act, but precisely they are the ones who are unable to act in the interest of a joint European community because they think mainly of their national electorate.”
Más allá de compartir las premisas de la reducción de gasto - en mi caso estoy de acuerdo - lo que me preocupa es la legitimidad para imponerlas de este modo. Tenemos una especie de dictadura, que puede hacer las cosas más o menos bien, pero es una dictadura. Puede llamarlo cada uno como quiera pero nadie ha votado porque la UE gobierne sin ningún tipo de control.
[...]
CitarJürgen Habermas
“Such tendencies can only be countered, if at all, by a change in political direction, brought about by democratic majorities in a more strongly integrated ‘core Europe’. The currency union must gain the capacity to act at the supra-national level. In view of the chaotic political process triggered by the crisis in Greece, we can no longer afford to ignore the limits of the present method of intergovernmental compromise.”[/B]
Más allá de compartir las premisas de la reducción de gasto - en mi caso estoy de acuerdo - lo que me preocupa es la legitimidad para imponerlas de este modo. Tenemos una especie de dictadura, que puede hacer las cosas más o menos bien, pero es una dictadura. Puede llamarlo cada uno como quiera pero nadie ha votado porque la UE gobierne sin ningún tipo de control.
[...]
Acerca de la legitimidad... depende de la vara de medir. ¿La legitimidad la da el hecho de pasar por ser una democracia o el hecho de obtener buenos resultados? ¿La da más lo uno que lo otro?
Si la vara de medir es la democracia, la Argentina de la segunda mitad del siglo XX lo ha sido bastante. Quitando el periodo de la vil dictadura militar de Videla, formalmente Argentina fue durante todo ese tiempo una democracia; eso sí, desde Perón el país se ha ido deslizando - con una constancia digna de asombro - de la prosperidad a la pobreza.
Luego, por aquí tenemos la dictadura de Franco, que a partir de finales de los años 50 del pasado siglo deja de hacer el estúpido en materia de política económica, y logra que España se incorpore a la parte baja del grupo de los países desarrollados. En 1975 España era la décima potencia industrial del mundo.
Nadie puede elegir el país en el que nace. Si yo pudiese hacerlo y me diesen a elegir entre la Argentina que democráticamente se hacía pobre paso a paso o la España cutre y dictatorial que poco a poco salía de pobreza, hubiese elegido España.
Y Singapur mejor que España. Y Suiza o Canadá mejor que Singapur.
CitarJürgen Habermas
“Such tendencies can only be countered, if at all, by a change in political direction, brought about by democratic majorities in a more strongly integrated ‘core Europe’. The currency union must gain the capacity to act at the supra-national level. In view of the chaotic political process triggered by the crisis in Greece, we can no longer afford to ignore the limits of the present method of intergovernmental compromise.”[/B]
Otro anglo que se mofa de Europa y del áureo acuerdo democrático tomado para con Grecia.
:troll:
Se prestó a quienes se sabía que no podrían devolver porque malinvertían el dinero prestado. Más que "riesgos" lo que se hizo fue violar las normas básicas de un sistema vital (el financiero) para conseguir objetivos de otro nivel, así que ahora no es suficiente tratar el problema como si fuera un crédito fallido cualquiera.¿Tienes alguna prueba de esta acusación tan grave?
Cita de: Mad Men link=topic=1984.msg136464#msg136464 date=1436979711
[bDirectamente no,[/b] está claro, pero sabían perfectamente donde iba toda esa pasta.Pues ya está.
Justo lo que yo he dicho.
No ha lugar a seguir dándole vueltas.
Los bancos europeos no invirtieron en ladrillo, invirtieron en préstamos.
Quien invirtió en ladrillo fueron las cajas españolas. Punto final.
Sigo sin entender de donde ha salido el mantra (falso) de la supuesta "responsabilidad" del acreedor :o
Respondiendo también a burbunova, identificar democracia con ruina económica tampoco parece justo, hay democracias potentes económicamente. Yo creo que aquí se hizo mal, la "democracia" que tenemos (el modelo partitocrático+autonomías) instalada tras el franquismo ha sido un nido de corrupción y extracción de rentas, y no, no era obligatorio que fuera así, pero fué y no por la mn sino por la traición de unos pocos (en cualquier caso es lo que hay).
Respondiendo también a burbunova, identificar democracia con ruina económica tampoco parece justo, hay democracias potentes económicamente. Yo creo que aquí se hizo mal, la "democracia" que tenemos (el modelo partitocrático+autonomías) instalada tras el franquismo ha sido un nido de corrupción y extracción de rentas, y no, no era obligatorio que fuera así, pero fué y no por la mn sino por la traición de unos pocos (en cualquier caso es lo que hay).
Falso. Yo no he hecho esa identificación; al contrario, he puesto dos ejemplos extremos que muestran que democracia y prosperidad económica no están relacionadas.
Es más, he hecho referencia a Suiza y Canadá, países que cuentan con un sistema democrático y un buen nivel de vida; y a los que he puesto en lo más alto de mis preferencias.
Otra cosa es que tu compresión lectora sea tirando a limitada.
Mi respuesta acaba aquí: hace tiempo que me es imposible tomarte en serio.
[url]http://www.idealista.com/news/inmobiliario/vivienda/2012/05/09/446459-la-culpa-de-la-burbuja-inmobiliaria-en-espana-fue-de-alemania-dice-un-banco-japones[/url] ([url]http://www.idealista.com/news/inmobiliario/vivienda/2012/05/09/446459-la-culpa-de-la-burbuja-inmobiliaria-en-espana-fue-de-alemania-dice-un-banco-japones[/url])
"El economista jefe de nomura, richard koo, también conocido por ser un experto en la gran burbuja de Japón, culpa Alemania de haber provocado las burbujas inmobiliarias del sur de Europa. Asegura que los bajos tipos de interés que querían salvar la economía alemana propiciaron, entre otras, la burbuja inmobiliaria de España
Koo defiende que la causa de las burbujas inmobiliarias en Irlanda y el sur de Europa fue la decisión del bce de bajar los tipos de interés hasta el 2% para impulsar el crecimiento de la economía alemana. Además, de los bajos tipos de interés, también influyó el flujo de capital desde Alemania y Francia hacia estos países para buscar mayores rendimientos
En definitiva, koo cree que si Alemania hubiera atacado el problema que tenía de recesión a través de estímulos fiscales, el banco central europe (bce) no tendría que haber bajado los tipos de interés como hizo y las burbujas inmobiliarias no habrían sido tan exageradas"
No sé si Nomura es anglo o qué.
Si esto tambien lo discutimos ya. Fuímos y cogimos ese dinero y lo malempleamos y tal y tal.
Si nadie ha dicho que no hayamos sido requetetontos.
Ahora, que dadas unas condiciones como las dadas para cualquier pais en una situación que no era la alemana, se producen burbujas, aquí y en cualquier país parece claro.
Ahí dice que la política económica del bce benefició a unos y perjudicó a otros, porque hay reacciones "automáticas", pero dependientes del estado de cada economía, a la política monetaria que se haga.
Se recalientan economias, se enfrían, etc etc etc.
Que nos entregamos a ello gustosos y como tontos. Sí.
Pero esto es lo que hay, alemania la primera, si sólo estoy diciendo que eso hay que tenerlo en cuenta, alomejor si lo hubiésemos tenido en cuenta en el 2000 ahora no estábamos tan mal.
Y mire la que hay que liar para expresar algo tan obvio.
Y eso, tiene que partir de nuestras élites económicas políticas etc etc.
Su vecino, el de "hay zonas y zonas" no entiende de estas cosas.
Al vecino aleman del "hay zonas y zonas",que tampoco entiende de estas cosas, ya le han dicho sus élites que de subir mas el alquiler nanai.
[url]http://www.idealista.com/news/inmobiliario/vivienda/2012/05/09/446459-la-culpa-de-la-burbuja-inmobiliaria-en-espana-fue-de-alemania-dice-un-banco-japones[/url] ([url]http://www.idealista.com/news/inmobiliario/vivienda/2012/05/09/446459-la-culpa-de-la-burbuja-inmobiliaria-en-espana-fue-de-alemania-dice-un-banco-japones[/url])
"El economista jefe de nomura, richard koo, también conocido por ser un experto en la gran burbuja de Japón, culpa Alemania de haber provocado las burbujas inmobiliarias del sur de Europa. Asegura que los bajos tipos de interés que querían salvar la economía alemana propiciaron, entre otras, la burbuja inmobiliaria de España
Koo defiende que la causa de las burbujas inmobiliarias en Irlanda y el sur de Europa fue la decisión del bce de bajar los tipos de interés hasta el 2% para impulsar el crecimiento de la economía alemana. Además, de los bajos tipos de interés, también influyó el flujo de capital desde Alemania y Francia hacia estos países para buscar mayores rendimientos
En definitiva, koo cree que si Alemania hubiera atacado el problema que tenía de recesión a través de estímulos fiscales, el banco central europe (bce) no tendría que haber bajado los tipos de interés como hizo y las burbujas inmobiliarias no habrían sido tan exageradas"
No sé si Nomura es anglo o qué.
Si esto tambien lo discutimos ya. Fuímos y cogimos ese dinero y lo malempleamos y tal y tal.
Si nadie ha dicho que no hayamos sido requetetontos.
Ahora, que dadas unas condiciones como las dadas para cualquier pais en una situación que no era la alemana, se producen burbujas, aquí y en cualquier país parece claro.
Ahí dice que la política económica del bce benefició a unos y perjudicó a otros, porque hay reacciones "automáticas", pero dependientes del estado de cada economía, a la política monetaria que se haga.
Se recalientan economias, se enfrían, etc etc etc.
Que nos entregamos a ello gustosos y como tontos. Sí.
Pero esto es lo que hay, alemania la primera, si sólo estoy diciendo que eso hay que tenerlo en cuenta, alomejor si lo hubiésemos tenido en cuenta en el 2000 ahora no estábamos tan mal.
Y mire la que hay que liar para expresar algo tan obvio.
Y eso, tiene que partir de nuestras élites económicas políticas etc etc.
Su vecino, el de "hay zonas y zonas" no entiende de estas cosas.
Al vecino aleman del "hay zonas y zonas",que tampoco entiende de estas cosas, ya le han dicho sus élites que de subir mas el alquiler nanai.
Puies síu, lo dice. ¿Y qué? Consejos vendo y pa mi no tengo. ¿Por qué no arregla lo de Japón? Se supone que es un experto. Esto es tá muy hablado. PPCC suele decir que nadie se endeuda y luego decide que hace con lo prestado. Que es al reveś.
Lo dice pero eso no demuestra nada. Dice que el problema es cuando el bce bajo los tipos al 2%. Eso nos lleva a finales de 2003. Serían los últimos cuatro años de la burbuja, como mucho.
De todos modos ¿no es enternecedor el interés que tienen todos en salvar la eurozona? Vale que otras zonas, eeuu, japón llevan otras políticas... Pero están de puta pena también.
Es que ya lo hemos discutido antes. Una simple norma que impiedes hipotecas de mas de 25 años, y se hubiera parado la burbuja.
Culpar a Alemania es desinculpar a otros. Nuestras elites por ejemplo,,, pobrecillas elllas, tan generosas e inocentes, engañadas por los malvados centroeuropeos.
Y un cuerno.
The Versailles terms imposed on Germany in 1919 were vindictive and narrow-minded, but not beyond reach. Greece is being told to do the impossible
ne day we will learn the full story of what went on at the top levels of the German government before the villenage of Greece last weekend.
We already know that the EMU accord - if that is the right word – is an economic and diplomatic fiasco of the first order. It does serious damage to the moral credibility of the EU but resolves nothing.
There is not the slightest chance that Greece will be able stabilize its debt and return to viability under the Carthaginian settlement imposed on Alexis Tsipras - after 17 hours of psychological “water-boarding”, as one EU official put it.
The latest paper by the International Monetary Fund has torn away the fig-leaf. The country needs a 30-year moratorium on debt payments and probably outright subsidies to recover from the devastation of the past six years.
Instead it gets pro-cyclical fiscal contraction of 2pc of GDP by next year.
Some are already comparing the terms to the Versailles Treaty but this does not quite capture the depravity of it. The demands imposed on Germany in 1919 were certainly vindictive and narrow-minded – as Keynes rightly alleged – but they were not, on the face of it, beyond reach.
France was forced to pay reparations after the Franco-Prussian War in 1871 that were roughly equivalent to Versailles, albeit in very different circumstances. It dutifully did so, while plotting revenge.
What Greece is being asked to do is scientifically impossible. Almost everybody involved in the talks knows this. Yet the lie goes on because the dysfunctional nature of EMU politics and governance makes it impossible to come clean. The country is dishonestly kept in a permanent state of crisis.
Wolfgang Schauble is one of the very few figures who has behaved honourably in this latest chapter. As readers know, I have been highly critical of the hard-bitten finance minister for a long time, holding him directly responsible for the 1930s regime of debt-deflation and contraction imposed on much of Europe, and for refusing to accept that the eurozone's North-South divide must be closed by both sides. Any policy that puts all the burden of adjustment on the South is destructive and doomed to failure.
But he is entirely right to argue that a velvet divorce and an orderly exit from the euro for five years would be a “better way” for Greece, as he did on Germany radio this morning.
It would allow the country to regain competitiveness at a stroke without a disastrous over-shoot or the risk that events might spin out of control. It would clear the way for proper debt relief – or a standard IMF-style package.
If accompanied by some sort of Marshall Plan or investment blitz – as Mr Schauble appears to favour – it would set the foundations for genuine recovery.
Huge sums of Greek money sitting on the sidelines would probably flood back into the country once the Grexit boil had been lanced. It is a pattern seen time and again in emerging markets across the world over the past 60 years.
Instead, total confusion remains. “Nobody knows at the moment how this is supposed to work without a haircut and everybody knows that a haircut is incompatible with euro membership,” said Mr Schauble.
To those who say that Grexit would violate the sanctity of monetary union – with incalculable political consequences - one can only reply that it is already too late. The moment Germany tabled its Grexit document over the weekend, the game was up. The euro has already been reduced to a transactional, fixed exchange bloc, subject to the whims of populist politics, shorn of idealism and solidarity.
Mr Schauble has been pushing for Grexit since 2012, and probably earlier. He genuinely thinks it would better for all concerned. When he floated his plan, he meant it.
But German Chancellor Angela Merkel did not mean it. She had the opposite purpose. There lies an enormous confusion.
She has stated repeatedly that any splintering of the euro would be the beginning of the end for the European Project. She has said this so many times that her own credibility is on the line.
Even if she was irritated by the Schauble paper – and her skirmishes with the irascible finance minister are legendary – she appears to have latched on to it as a useful negotiating ploy. The trick worked. It terrified Mr Tsipras into submission.
So we now have the worst of all worlds. The deal is an atrocity. The crisis has not been resolved. The integrity of EMU has been breached. Greece has been publicly crushed and humiliated, yet for no purpose. The country cannot possibly meet the demands. There is no debt relief (other than a vague and worthless promise for the future).
German diplomacy is in ruins. The world has reached the conclusion that Berlin broke ranks with fellow EU powers, and coldly threatened the ejection of an EMU member state. Great numbers of people across Europe think that Germany has pursued a narrow nationalist, agenda, and behaved like a bully.
Mr Schauble’s original and honourable intentions have been entirely misunderstood. The world’s verdict is that Germany's benign and enlightened statecraft in Europe over the past 60 years has given way to Bild Zeitung reflexes, the hegemony of crude populism.
One can only feel sympathy for German diplomats who must clean up the mess and explain how this tangle of conflicting agendas spun escaped control.
It is often said that the euro is talismanic for the Greeks: that it represents their admission as full and secure members of the European family, a political coin rather than a means of exchange.
If so, it is hard to see how long that can remain the case after what has just happened, for it is by now obvious to many that EMU is in fact the instrument and symbol of Greek national degradation.
Polls suggest that up to 80pc still want to stay in the euro. It is hard to know what weight to give these binary surveys since the 61pc landslide for "Oxi" and defiance in the referendum 10 days ago conveyed a different meaning.
Be that as it may, the Schauble plan is now on the table and everything has therefore changed. The Greek people are being offered a way out. Their illusions shattered, they might do well to approach the matter as a strict calculus of economic interest.
It is not an easy moral choice. The rich have already moved their money abroad. They would make a windfall gain from devaluation, just as the Mexican elites did after the Tequila crisis.
The rest of the country has stashed €40bn in secret hiding places, but most of their savings are still trapped in the banks. They would suffer a painful haircut under a switch to the drachma.
But at the end of the day, you cannot set economic policy in the interests of savers. That way lies perdition. What matters in the long run is whether the country can return to trade equilibrium, sustained growth and full employment.
Given the vicious stupidity of the deal reached last weekend, there can no longer be the slightest doubt that Greece can achieve these objectives only by taking up Mr Schauble’s offer – now German policy by default, whether Chancellor Merkel likes it or not.
Those who argue that Greece was recovering last year and therefore can make it within a Teutonic euro are badly confused.
Yes, there can be short-term cyclical upswings even for peripheral EMU economies stuck in depression with an overvalued exchange rate. Spain is enjoying one right now.
But this is not recovery. The much-touted "internal devaluations" of these countries are deformed, and mostly a mirage. The underlying misalignment remains, certain to be exposed in the next global downturn.
Greece will continue to endure its long Calvary until somebody has the courage to tell the Greek people – and to keep telling them until the truth sinks in – that the drachma is their best hope of economic renewal.
All they are being told now is that any discussion of the drachma amounts to “treason”. If that is the level of intellectual debate, God help Greece.
Mr Tsipras missed his chance on Sunday. He - or his successor – will surely be given another before long.
For those interested in the mechanics of Grexit, we attach an update of the Wolfson Prize material by Capital Economics.
The team was writing on the earlier assumption that Grexit might be chaotic and hostile. Mr Schauble’s velvet divorce removes that risk. One might almost think that his offer is irresistible.
"Los que sois euroescépticos habéis comprado toda la propaganda victimista del gobierno griego"
"los grecófilos euroescépticos"
"Seguís empeñados en ver el tema como Grecia vs Alemania"
"vuestro euroescepticismo hace que no veáis con buenos ojos que los Estados Miembros cedan soberanía a instituciones europeas"
"Queréis y exigís que Europa haga algo que no queréis dejar que Europa haga"
[...] Yo egoísmo veo en todas las partes por igual. Si acaso, lo que hace que Alemania tenga la sartén por el mango es que han sido más listos, al menos en lo que respecta al corto plazo; está por ver si todo esto cuesta el derrumbe del proyecto europeo y si ellos quedan también sepultados por los escombros. Al hilo de esto, decir que lo que no me parece bien en absoluto es la imagen que ha dado Alemania (y el resto de gobiernos/instituciones acreedoras). No costaba nada haber tenido un discurso un poco más pedagógico y unas formas más suaves, en vez del porculizamiento público a que han sometido a los griegos. Como se ha dicho antes, esto son hachazos a los pilones que sostienen el proyecto europeo. No se crea un proyecto común con este mal rollo. [...]
¿Ustedes dónde preferirían ser homeless...([url]http://boingboing.net/images/xeni/banksy-detroit-self-opt_2103.jpg[/url])...en Atenas o en Detroit ([url]http://www.huffingtonpost.com/2014/11/14/detroit-highest-murder-rate-violent-crime_n_6144460.html[/url])?
Más allá de compartir las premisas de la reducción de gasto - en mi caso estoy de acuerdo - lo que me preocupa es la legitimidad para imponerlas de este modo. Tenemos una especie de dictadura, que puede hacer las cosas más o menos bien, pero es una dictadura. Puede llamarlo cada uno como quiera pero nadie ha votado porque la UE gobierne sin ningún tipo de control.
A mí tus posts me llevan sonando a propaganda bastante tiempo, pero no pasa nada.
Las votaciones y las decisiones en el seno de la UE dejan muchísimo que desear. Allá cada cual con lo que se quiera creer. Al fin y al cabo yo desde aquí no voy a cambiar nada.
Más allá de compartir las premisas de la reducción de gasto - en mi caso estoy de acuerdo - lo que me preocupa es la legitimidad para imponerlas de este modo. Tenemos una especie de dictadura, que puede hacer las cosas más o menos bien, pero es una dictadura. Puede llamarlo cada uno como quiera pero nadie ha votado porque la UE gobierne sin ningún tipo de control.
Es que esto suena a propaganda, muyuu (y que me baneen si quieren).
Vamos a ver:
"Imponer": ha habido un acuerdo entre los 28 Estados Miembros de la UE. ¿Dónde está el "imponer"? Si 28 foreros hemos de elegir A o B, y sólo Visi piensa A, ¿están "imponiendo" B a Visi los otros 27 foreros? ¿O resulta que "imponer" es en realidad lo que se llama "votación democrática ganada por mayoría absoluta casi unánime"?
"Dictadura": han votado los representantes legales de 28 gobiernos democráticamente elegidos por los ciudadanos de los 28 Estados Miembros. ¿Dónde está la dictadura? ¿En que no hemos votado todos los ciudadanos? ¿Debemos tener los ciudadanos 150 referéndums diarios sobre temas en los que somos expertísimos como gestión de la cirugía torácica, gestión de crisis de deuda soberanas o selección de emplazamientos óptimos de plataformas de lanzamiento de naves espaciales? ¿O resulta que "dictadura" es en realidad lo que se llama "ejercicio legítmo de la representación democrática"?
"Falta de legitimidad": de nuevo, han votado los representantes legales de 28 gobiernos democráticamente elegidos por los ciudadanos de los 28 Estados Miembros. ¿Dónde está la falta de legitimidad?
De nuevo, la contradicción del euroescéptico que señalé ayer: no quiero que Grecia sufra, para lo que se necesita mayor unión en la UE (p.ej. unión fiscal), pero no quiero que la UE "vaya a su bola decidiendo cosas por ahí", como por ejemplo la unión fiscal [como si no fuera tu gobierno y los de los demás quien las vota].
Nomura's chief economist Richard Koo is seeing parallels between Greece and East Germany, shortly after the fall of the Berlin Wall, right now.
In a note sent to clients on Tuesday, Koo attacks Greece's creditors for negotiating a deal based on "highly unrealistic" assumptions and reaching an agreement that "resolve none of the fundamental problems facing the effectively bankrupt nation of Greece."
One of Koo's big problems with the bailout deal is the massive privatisation fund that the EU and the IMF have demanded from Greece. The country must raise €50 billion (£35.3 billion, $55.1 billion) selling off state-owned assets.
Europe and the IMF are hoping Greece's big sell-off will be like the Thatcher-era privatisation boom in Britain. But Koo says the creditors have "overestimated to a grotesque degree" how much Greece can raise and predicts the privatisation boom will mirror the fire sale of East Germany in the 1990s.
After the reunification of Germany in 1990 the new government sold off many of the formerly Communist enterprises that were in East Germany. The plan was to raise money to invest in the infrastructure needed for reunification.
But in the rush to get the companies off the government's books and raise money, this turned into a fire sale of East German assets.
Koo had first-hand experience of all this. Here he is:CitarAt the time I was personally interested in a certain manufacturing concern in the city of Dresden, then part of East Germany. I went so far as to visit the West German liquidator at the company headquarters and ask how much it would take to buy the company. At that time he was very confident the operation would fetch a high price, and the price he gave me was far beyond the reach of someone working for a Japanese company.
But several months after returning to Tokyo, I heard the company had been sold for a tiny fraction of the quoted price.
Since the West German government insisted on selling all assets within six months of bringing them to market, prospective buyers adopted the tactic of engaging in negotiations until the deadline loomed and then stepping away from the table. With just days to complete the sale, administrators were forced to dispose of assets at fire-sale prices.
Koo expects similar tactics in Greece. He concludes that "European authorities appear to have forgotten a key lesson of German reunification, which is that rash privatizations carried out with the goal of raising as much money as possible tend to end in failure."
He isn't the only one drawing this conclusion. My colleague Lianna Brinded spelled out recently just how likely a fire sale is, while property company Knight Frank is expecting a fire sale of privately owned Greek islands due to likely increases in tax.
Más allá de compartir las premisas de la reducción de gasto - en mi caso estoy de acuerdo - lo que me preocupa es la legitimidad para imponerlas de este modo. Tenemos una especie de dictadura, que puede hacer las cosas más o menos bien, pero es una dictadura. Puede llamarlo cada uno como quiera pero nadie ha votado porque la UE gobierne sin ningún tipo de control.
Es que esto suena a propaganda, muyuu (y que me baneen si quieren).
Vamos a ver:
"Imponer": ha habido un acuerdo entre los 28 Estados Miembros de la UE. ¿Dónde está el "imponer"? Si 28 foreros hemos de elegir A o B, y sólo Visi piensa A, ¿están "imponiendo" B a Visi los otros 27 foreros? ¿O resulta que "imponer" es en realidad lo que se llama "votación democrática ganada por mayoría absoluta casi unánime"?
"Dictadura": han votado los representantes legales de 28 gobiernos democráticamente elegidos por los ciudadanos de los 28 Estados Miembros. ¿Dónde está la dictadura? ¿En que no hemos votado todos los ciudadanos? ¿Debemos tener los ciudadanos 150 referéndums diarios sobre temas en los que somos expertísimos como gestión de la cirugía torácica, gestión de crisis de deuda soberanas o selección de emplazamientos óptimos de plataformas de lanzamiento de naves espaciales? ¿O resulta que "dictadura" es en realidad lo que se llama "ejercicio legítmo de la representación democrática"?
"Falta de legitimidad": de nuevo, han votado los representantes legales de 28 gobiernos democráticamente elegidos por los ciudadanos de los 28 Estados Miembros. ¿Dónde está la falta de legitimidad?
De nuevo, la contradicción del euroescéptico que señalé ayer: no quiero que Grecia sufra, para lo que se necesita mayor unión en la UE (p.ej. unión fiscal), pero no quiero que la UE "vaya a su bola decidiendo cosas por ahí", como por ejemplo la unión fiscal [como si no fuera tu gobierno y los de los demás quien las vota].
Pero es que unión fiscal ahora es imposible. Para dar un paso tan importante, en muchos países se tendrán que celebrar referéndums. Ya se vió lo que pasó con la Constitución Europea, que los franceses y holandeses la tiraron abajo.
Pues ahora, imagínate a países como Holanda, Austria o Finlandia llamando a sus electorados para votar una unión fiscal. En Alemania seguro que ni dejarían celebrar un referéndum así.
Lo que falla en la UE es que no hay respaldo popular real. Los españoles tenemos esa falsa percepción porque la UE aquí sí que es popular por tres razones:
a) Una mezcla de complejos nacionales y de sentimiento de inferioridad hacia el resto del Continente, no sin razones desde luego.
b) La asociación popular de UE con posibles ayudas económicas pasadas (sin las ayudas europeas, nuestras carrerteras serían hoy tercermundistas y nuestro boom inmobiliario un imposible) y nuestra dependencia económica en el sector turístico, con mayoría aplastante de turistas procedentes de Europa.
c) El hecho de que en España se utilice por los defensores del Estado-nación llamado España la idea de Europa como "un movimiento contra la disgregación nacional". La respuesta a los nacionalistas catalanes no es una defensa de España sino infundir miedo porque "hoy en Europa tendemos a converger". Si la UE desapareciera, ya veríamos qué pasaba.
Hay países que no tienen todos esos condicionantes y cuyos ciudadanos se preguntán por qué hay que seguir construyendo la UE si objetivamente, ellos no van a ganar nada. El sentimiento de culpa, que es lo que mueve a los alemanes a seguir involucrados, poco a poco va desapareciendo, ya van saliendo euroescépticos y solo es cuestión de tiempo, si la situación no mejora, que la CDU se parezca más a los Tories que al PP español.
[...] La carreteras no serían como las que tenemos, tampoco serían las de 1960, lo que seguro no tendríamos es un montón de radiales deficitarias que solo se sostienen bajo el mantra pepitil del esto v´parriba eterno en el que se instalo en nuestra élite económica y política (los que se supone que son los enteraos), la misma élite que en privatizadísimas empresas energéticas ampliaba capacidad como si no hubiera mañana.
[...] La carreteras no serían como las que tenemos, tampoco serían las de 1960, lo que seguro no tendríamos es un montón de radiales deficitarias que solo se sostienen bajo el mantra pepitil del esto v´parriba eterno en el que se instalo en nuestra élite económica y política (los que se supone que son los enteraos), la misma élite que en privatizadísimas empresas energéticas ampliaba capacidad como si no hubiera mañana.
Con todo, están ahí. (Y otras muchas infrastrucyuras.) Resulta que nuestras queridas élites hasta dejaron algo a la vista. En Grecia y en otros sitios ni siquiera eso. Se lo han pulido o está en las suizas. Todavía tendremos que celebrarlo. ;)
Edit: Mira por dónde...
Un grupo chino compra el aeropuerto de Ciudad Real por 10.000 euros
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url])
El paquete subastado no incluye algunos elementos como la terminal o el aparcamiento.
Y ojo, que éste era privado, si no recuerdo mal. (10.000€, madre del amor hermoso!)
There is a stereotypical image of an abusive husband, who batters his wife and then beats her even more mercilessly if she dares to protest. Such violent behaviour usually reflects a failed relationship, unlikely to be resolved through superficial bandaging of wounds.
It is stomach-churningly hard to watch such bullies in action. But the world has been watching the negotiations in Europe over the fate of Greece in the Eurozone with the same sickening sense of horror and disbelief, as leaders of Germany and some other countries behave in similar fashion.
The extent of the aggression, the deeply punitive conditions being imposed for a very ungenerous bailout and the terrible humiliation and pain forced upon the Greek people are hard to explain in purely economic or even political terms. It seems to reflect some deep, visceral anger that has been awakened in the EU leadership by the sheer effrontery of a government of a small state that dared to consult its people rather than immediately bowing to their commands. The anger is also directed at the Greek people, who dared to vote in a referendum against the terms of a bailout package that offered them only more austerity, less hope and continued pain in the foreseeable future, just so that their country can continue to pay the foreign debts that everyone knows are ultimately unpayable.
The EU response to ignore completely the will of the Greek people as expressed in the referendum, and then to pushing even worse conditions on them for their resistance. These may be the most appalling and humiliating terms that have been seen in a non-war situation for any European nation, for the increasingly dubious advantage of staying within the eurozone.
Greece would become an economic protectorate, little more than a colony of Germany within the Eurozone. It will have no control over its fiscal policies, forced to sell valuable public assets just to keep trying to pay its creditors. It will have to reverse decisions to preserve some public employment (such as cleaning workers and security guards, whom it will now have to fire again). It will have to further cut pensions of elderly people who have already seen their incomes fall by 40 per cent. It will have to increase indirect taxes hitting the poor most. It will have to accept the constant presence of the external rulers, in the form of an IMF team that will monitor the budget and the activities of the Greek government. And the result of all this austerity will be more depression, in an economy that has been spiralling downwards for more than five years, encouraging the rise of rightwing xenophobic movements. This is a really prolonged Greek tragedy, with no clear end in sight.
EU leaders point to countries like Ireland and Spain and even Latvia, as supposed “success stories” of austerity because their governments took the bitter medicine and the economies are now recovering. This is nonsense. None of them has been made to suffer the extreme austerity imposed on Greece, and their much vaunted “recoveries” are on completely depressed levels of income that are still far lower than five years ago. Unemployment rates remain very high, even after the emigration of the young and of the best and brightest in these societies has made labour force numbers fall. They are being presented as successes only to promote a finance-driven approach to economic policy and camouflage the greater failure of the Eurozone to come out of stagnation.
The loudest European voices about how this is a betrayal of people’s will and how the current EU is incompatible with democracy today come from extreme rightwing parties like the National Front in France, the UK Independence Party, along with Beppe Grillo’s Five Star Movement in Italy. Centre-Left parties are too bound up in the flawed European project to protest, and more progressive movements like Podemos in Spain are in a state of shock. Indeed, the desire to prevent the rise of such progressive movements is probably a major force determining the bellicose stance of the EU towards Syriza.
But this drama is not over: the humiliation of Greece today will come back to torment European leaders tomorrow. The ideal of a united Europe is demolished, and the reality of the project is laid bare: in the interests of finance capital, enforced by the German state and fundamentally antagonistic to democracy and social justice.
This unhappy European marriage cannot last. The only questions now are: how long will it take before the breakdown becomes explicit? How much more pain and violence will be forced on people across Europe before that final break? And how long will German government bullying in the interests of finance capital be tolerated by the people of Europe and ultimately by the people of Germany themselves?
Das gescheiterte Projekt Europa
Es gibt das stereotype Bild von dem gewalttätigen Ehemann, der seine Frau verprügelt und sie nur noch gnadenloser schlägt, wenn sie zu protestieren wagt. Ein solches gewalttätiges Verhalten ist normalerweise ein Zeichen einer gescheiterten Beziehung, die nicht mehr durch das oberflächliche Verbinden der Wunden gerettet/geheilt werden kann.
Es dreht einem den Magen um/ tut einem in der Seele weh, wenn man einen solchen Tyrannen in Aktion sieht. Aber die Welt hat die Verhandlungen in Europa über das Schicksal Griechenlands in der Eurozone mit der selben ekelerregenden Mischung aus Entsetzen und Ungläubigkeit verfolgt, als die Führer Deutschlands und anderer Länder sich in ähnlicher Weise aufführten.
Das Ausmaß an Aggression, die streng strafenden Bedingungen, die für eine sehr unnachsichtige Rettung auferlegt wurden und die schreckliche Demütigung und der Schmerz, der dem griechischen Volk aufgezwungen wurde, können kaum mit rein wirtschaftlichen oder politischen Gründen erklärt werden. Es scheint, dass hier die tief sitzende Wut der EU-Führung über ein kleines Land zum Ausdruck kommt, das die Frechheit besaß, sein Volk zu befragen, anstatt sich unmittelbar den Befehlen zu beugen. Die Wut richtet sich auch gegen das griechische Volk, das es wagte, in einem Referendum gegen die Bedingungen eines Rettungspakets zu stimmen, das ihnen nur weitere Austerität, weniger Hoffnung und eine Fortsetzung des Leids in absehbarer Zukunft bringen sollte und ihnen nur so viel ließ, um weiterhin die Auslandsschulden zu bezahlen, von denen jeder weiß, dass sie letztlich unbezahlbar sind.
Die Reaktion der EU bestand darin, den Willen der Griechen, wie er im Referendum zum Ausdruck gekommen war, zu ignorieren und ihnen für ihren Widerstand noch schlimmere Konditionen aufzubürden. Diese sind vielleicht die schrecklichsten und zutiefst demütigenden Bedingungen, die es je für eine europäische Nation in einer Nicht- Kriegssituation gab, für den zunehmend zweifelhaften Vorteil eines Verbleibs in der Eurozone.
Griechenland würde zu einem wirtschaftlichen Protektorat, kaum mehr als eine Kolonie Deutschlands in der Eurozone. Es wird keine Kontrolle über seine Finanzpolitik haben, es wird gezwungen, wertvolle öffentliche Vermögenswerte zu verkaufen und damit weiter seine Gläubiger zu bezahlen. Es wird seine Entscheidungen, einige öffentlich Beschäftigte zu erhalten, zurücknehmen müssen (wie z.B. Reinigungskräfte und Sicherheitspersonal, die nun wieder gefeuert werden müssen). Es wird weiter die Renten der alten Menschen senken, die bereits einen Rückgang ihrer Einkommen um 40 Prozent hinnehmen mussten. Es wird die direkten Steuern erhöhen müssen und damit die Ärmsten treffen. Es wird die permanente Anwesenheit externer Herrscher in der Form des IWF hinnehmen müssen, die den Haushalt und die Handlungen der griechischen Regierung überwachen. Und das Ergebnis all dieser Austerität wird weitere Depression sein in einer Wirtschaft, die sich schon seit fünf Jahren in einer Abwärtsspirale befindet. Damit wird das Aufkommen rechtsgerichteter, fremdenfeindlicher Gruppierungen begünstigt. Dies ist wirklich eine verlängerte griechische Tragödie, und ein klares Ende ist nicht in Sicht/ohne Aussicht auf ein gutes Ende.
EU-Politiker verweisen auf Länder wie Irland und Spanien oder sogar Lettland, als angebliche „Erfolgsbeispiele“ für Austerität, weil diese Länder die bittere Medizin geschluckt hätten und ihre Volkswirtschaften sich erholten. Das ist Unsinn. Keines dieser Länder musste ein so extremes Austeritätsprogramm durchmachen wie das, das Griechenland aufgezwungen wurde. Die vielgepriesene „Erholung“ erfolgt auf sehr niedrigem Einkommensniveau, das immer noch weit niedriger ist als vor fünf Jahren. Die Arbeitslosenquote ist in diesen Ländern weiterhin hoch, die Zahl der Beschäftigten (labour force numbers) sank, nachdem viele der Jungen, Besten und Klügsten ausgewandert sind. Diese Länder werden nur deshalb als Erfolge präsentiert, um für einen finanzgetriebenen Ansatz der Wirtschaftspolitik zu werben und um zu verschleiern, dass in der Eurozone der Versuch, aus der Stagnation herauszukommen, gescheitert ist.
Die lautesten Stimmen in Europa gegen diesen Betrug am Volkswillen und die Klage, dass die EU inkompatibel mit der Demokratie sei, kommen heute von Parteien vom extrem rechten Flügel wie dem Front National in Frankreich, der UK Independent Party und der Fünf-Sterne-Bewegung von Beppe Grillo in Italien. Die Parteien links von der Mitte sind zu sehr in das gescheiterte Europäische Projekt verwickelt um zu protestieren und progressivere Bewegungen wie Podemos in Spanien befinden sich in einem Schockzustand. Tatsächlich ist das Ziel, das Aufkommen von solchen progressiven Bewegungen zu verhindern, ein entscheidender Grund für die feindselige Haltung der EU gegenüber SYRIZA.
Aber das Drama ist noch nicht vorüber: die Demütigung Griechenlands heute wird die europäischen Führer von morgen heimsuchen. Die Idee eines vereinten Europas ist zerstört und die Realität des Projekts wird offenkundig: die Interessen des Finanzkapitals, durchgesetzt von Deutschland, grundlegend antagonistisch zu Demokratie und sozialer Gerechtigkeit.
Diese unglückliche europäische Ehe kann nicht fortbestehen. Die einzigen Fragen sind nun: Wie lange wird es dauern, bis das Scheitern eingestanden (explicit) wird? Wie viel Schmerz und Gewalt wird den Menschen in Europa noch zugefügt werden, bis es zum Zusammenbruch kommt? Und wie lange wird das Tyrannisieren der deutschen Regierung im Interesse des Finanzkapitals noch toleriert werden, von den Menschen in Europa und schließlich auch von den Menschen in Deutschland selbst?
Übersetzung: Stephanie Flassbeck
Un grupo chino compra el aeropuerto de Ciudad Real por 10.000 euros
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url])
El paquete subastado no incluye algunos elementos como la terminal o el aparcamiento.
Y ojo, que éste era privado, si no recuerdo mal. (10.000€, madre del amor hermoso!)
The UK may be a Eurosceptic country, but it has made the biggest contribution to the flagship project of the Commission led by Jean-Claude Juncker – the €315 billion Investment Plan for Europe designed to stimulate the EU's post-crisis economy.
The UK announced yesterday (16 July) it will contribute £6 billion (about €8.5 billion) to projects benefiting from finance by the European Fund for Strategic Investments (EFSI),better known as the Juncker Plan. This is in fact the biggest contribution so far.
Commission Vice-President Jyrki Katainen, responsible for Jobs, Growth, Investment and Competitiveness, said he was delighted that the UK announced £6 billion – nearly €8.5 billion – of co-financing for the EFSI.
“This is the biggest announcement yet and will have a big impact on SMEs and infrastructure in the UK. The Investment Plan for Europe is moving into high gear," Katainen said.
Britain is the ninth country to contribute to the Plan after Germany, Spain, France, Italy, Luxembourg, Poland, Slovakia and Bulgaria, even before the EFSI becomes operational.
In February, Germany and Spain announced that they would contribute €8 billion each. In March, France and Italy also announced €8 billion in pledges. In April, Luxembourg announced that it will contribute €80 million, and Poland announced that it will contribute €8 billion. In June, Slovakia announced a contribution of €400 million and Bulgaria announced it would contribute €100 million.
Last February, a report by credit rating agency Standard & Poors said that the UK will benefit almost twice as much as the other large European countries from the Juncker investment plan.
The reason five months of negotiations between Greece and Europe led to impasse is that Dr Schäuble was determined that they would.
By the time I attended my first Brussels meetings in early February, a powerful majority within the Eurogroup had already formed. Revolving around the earnest figure of Germany’s Minister of Finance, its mission was to block any deal building on the common ground between our freshly elected government and the rest of the Eurozone.[1]
Thus five months of intense negotiations never had a chance. Condemned to lead to impasse, their purpose was to pave the ground for what Dr Schäuble had decided was ‘optimal’ well before our government was even elected: That Greece should be eased out of the Eurozone in order to discipline member-states resisting his very specific plan for re-structuring the Eurozone. This is no theory of mine. How do I know Grexit is an important part of Dr Schäuble’s plan for Europe? Because he told me so!
I am writing this not as a Greek politician critical of the German press’ denigration of our sensible proposals, of Berlin’s refusal seriously to consider our moderate debt re-profiling plan, of the European Central Bank’s highly political decision to asphyxiate our government, of the Eurogroup’s decision to give the ECB the green light to shut down our banks. I am writing this as a European observing the unfolding of a particular Plan for Europe – Dr Schäuble’s Plan. And I am asking a simple question of Die Zeit’s informed readers:
Is this a Plan that you approve of? Is this Plan good for Europe?
Dr Schäuble’s Plan for the Eurozone
The avalanche of toxic bailouts that followed the Eurozone’s first financial crisis offers ample proof that the non-credible ‘no bailout clause’ was a terrible substitute for political union. Wolfgang Schäuble knows this and has made clear his plan to forge a closer union. “Ideally, Europe would be a political union”, he wrote in a joint article with Karl Lamers, the CDU’s former foreign affairs chief (Financial Times, 1st September 2014).
Dr Schäuble is right to advocate institutional changes that might provide the Eurozone with its missing political mechanisms. Not only because it is impossible otherwise to address the Eurozone’s current crisis but also for the purpose of preparing our monetary union for the next crisis. The question is: Is his specific plan a good one? Is it one that Europeans should want? How do its authors propose that it be implemented?
The Schäuble-Lamers Plan rests on two ideas: “Why not have a European budget commissioner” asked Schäuble and Lamers “with powers to reject national budgets if they do not correspond to the rules we jointly agreed?” “We also favour”, they added “a ‘Eurozone parliament’ comprising the MEPs of Eurozone countries to strengthen the democratic legitimacy of decisions affecting the single currency bloc.”
The first point to raise about the Schäuble-Lamers Plan is that it is at odds with any notion of democratic federalism. A federal democracy, like Germany, the United States or Australia, is founded on the sovereignty of its citizens as reflected in the positive power of their representatives to legislate what must be done on the sovereign people’s behalf.
In sharp contrast, the Schäuble-Lamers Plan envisages only negative powers: A Eurozonal budget overlord (possibly a glorified version of the Eurogroup’s President) equipped solely with negative, or veto, powers over national Parliaments. The problem with this is twofold. First, it would not help sufficiently to safeguard the Eurozone’s macro-economy. Secondly, it would violate basic principles of Western liberal democracy.
Consider events both prior to the eruption of the euro crisis, in 2010, and afterwards. Before the crisis, had Dr Schäuble’s fiscal overlord existed, she or he might have been able to veto the Greek government’s profligacy but would be in no position to do anything regarding the tsunami of loans flowing from the private banks of Frankfurt and Paris to the Periphery’s private banks.[2] Those capital outflows underpinned unsustainable debt that, unavoidably, got transferred back onto the public’s shoulders the moment financial markets imploded. Post-crisis, Dr Schäuble’s budget Leviathan would also be powerless, in the face of potential insolvency of several states caused by their bailing out (directly or indirectly) the private banks.
In short, the new high office envisioned by the Schäuble-Lamers Plan would have been impotent to prevent the causes of the crisis and to deal with its repercussions. Moreover, every time it did act, by vetoing a national budget, the new high office would be annulling the sovereignty of a European people without having replaced it by a higher-order sovereignty at a federal or supra-national level.
Dr Schäuble has been impressively consistent in his espousal of a political union that runs contrary to the basic principles of a democratic federation. In an article in Die Welt published on 15th June 1995, he dismissed the “academic debate” over whether Europe should be “…a federation or an alliance of states”. Was he right that there is no difference between a federation and an ‘alliance of states’? I submit that a failure to distinguish between the two constitutes a major threat to European democracy.
Forgotten prerequisites for a liberal democratic, multinational political union
One often forgotten fact about liberal democracies is that the legitimacy of its laws and constitution is determined not by its legal content but by politics. To claim, as Dr Schäuble did in 1995, and implied again in 2014, that it makes no difference whether the Eurozone is an alliance of sovereign states or a federal state is purposely to ignore that the latter can create political authority whereas the former cannot.
An ‘alliance of states’ can, of course, come to mutually beneficial arrangements against a common aggressor (e.g. in the context of a defensive military alliance), or in agreeing to common industry standards, or even effect a free trade zone. But, such an alliance of sovereign states can never legitimately create an overlord with the right to strike down a states’ sovereignty, since there is no collective, alliance-wide sovereignty from which to draw the necessary political authority to do so.
This is why the difference between a federation and an ‘alliance of states’ matters hugely. For while a federation replaces the sovereignty forfeited at the national or state level with a new-fangled sovereignty at the unitary, federal level, centralising power within an ‘alliance of states’ is, by definition, illegitimate, and lacks any sovereign body politic that can anoint it. Nor can any Euro Chamber of the European Parliament, itself lacking the power to legislate at will, legitimise the Budget Commissioner’s veto power over national Parliaments.
To put it slightly differently, small sovereign nations, e.g. Iceland, have choices to make within the broader constraints created for them by nature and by the rest of humanity. However limited these choices, Iceland’s body politic retains absolute authority to hold their elected officials accountable for the decisions they have reached within the nation’s exogenous constraints and to strike down every piece of legislation that it has decided upon in the past. In juxtaposition, the Eurozone’s finance ministers often return from Eurogroup meetings decrying the decisions that they have just signed up to, using the standard excuse that “it was the best we could negotiate within the Eurogroup”.
The euro crisis has expanded this lacuna at the centre of Europe hideously. An informal body, the Eurogroup, that keeps no minutes, abides by no written rules, and is answerable to precisely no one, is running the world’s largest macro-economy, with a Central Bank struggling to stay within vague rules that it creates as it goes along, and no body politic to provide the necessary bedrock of political legitimacy on which fiscal and monetary decisions may rest.
Will Dr Schäuble’s Plan remedy this indefensible system of governance? If anything, it would dress up the Eurogroup’s present ineffective macro-governance and political authoritarianism in a cloak of pseudo-legitimacy. The malignancies of the present ‘Alliance of States’ would be cast in stone and the dream of a democratic European federation would be pushed further into an uncertain future.
Dr Schäuble’s perilous strategy for implementing the Schäuble-Lamers Plan
Back in May, in the sidelines of yet another Eurogroup meeting, I had had the privilege of a fascinating conversation with Dr Schäuble. We talked extensively both about Greece and regarding the future of the Eurozone. Later on that day, the Eurogroup meeting’s agenda included an item on future institutional changes to bolster the Eurozone. In that conversation, it was abundantly clear that Dr Schäuble’s Plan was the axis around which the majority of finance ministers were revolving.
Though Grexit was not referred to directly in that Eurogroup meeting of nineteen ministers, plus the institutions’ leaders, veiled references were most certainly made to it. I heard a colleague say that member-states that cannot meet their commitments should not count on the Eurozone’s indivisibility, since reinforced discipline was of the essence. Some mentioned the importance of bestowing upon a permanent Eurogroup President the power to veto national budgets. Others discussed the need to convene a Euro Chamber of Parliamentarians to legitimise her or his authority. Echoes of Dr Schäuble’s Plan reverberated throughout the room.
Judging from that Eurogroup conversation, and from my discussions with Germany’s Finance Minister, Grexit features in Dr Schäuble’s Plan as a crucial move that would kickstart the process of its implementation. A controlled escalation of the long suffering Greeks’ pains, intensified by shut banks while ameliorated by some humanitarian aid, was foreshadowed as the harbinger of the New Eurozone. On the one hand, the fate of the prodigal Greeks would act as a morality tale for governments toying with the idea of challenging the existing ‘rules’ (e.g. Italy), or of resisting the transfer of national sovereignty over budgets to the Eurogroup (e.g. France). On the other hand, the prospect of (limited) fiscal transfers (e.g. a closer banking union and a common unemployment benefit pool) would offer the requisite carrot (that smaller nations craved).
Setting aside any moral or philosophical objections to the idea of forging a better union through controlled boosts in the suffering of a constituent member-state, several broader questions pose themselves urgently:
- Are the means fit for the ends?
- Is the abrogation of the Eurozone’s constitutional indivisibility a safe means of securing its future as a realm of shared prosperity?
- Will the ritual sacrifice of a member-state help bring Europeans closer together?
- Does the argument that elections cannot change anything in indebted member-states inspire trust in Europe’s institutions?
- Or might it have the precise opposite effect, as fear and loathing become established parts of Europe’s intercourse?
Conclusion: Europe at a crossroads
The Eurozone’s faulty foundations revealed themselves first in Greece, before the crisis spread elsewhere. Five years later, Greece is again in the limelight as Germany’s sole surviving statesman from the era that forged the euro, Dr Wolfgang Schäuble, has a plan to refurbish Europe’s monetary union that involves jettisoning Greece on the excuse that the Greek government has no ‘credible’ reforms on offer.
The reality is that a Eurogroup sold to Dr Schäuble’s Plan, and strategy, never had any serious intention to strike a New Deal with Greece reflecting the common interests of creditors and of a nation whose income had been crushed, and whose society was fragmented, as a result of a terribly designed ‘Program’. Official Europe’s insistence that this failed ‘Program’ be adopted by our new government ‘or else’ was nothing but the trigger for the implementation of Dr Schäuble’s Plan.
It is quite telling that, the moment negotiations collapsed, our government’s argument that Greece’s debt had to be restructured as part of any viable agreement was, belatedly, acknowledged. The International Monetary Fund was the first institution to do so. Remarkably Dr Schäuble himself also acknowledged that debt relief was needed but hastened to add that it was politically “impossible”. What I am sure he really meant was that it was undesirable, to him, because his aim is to justify a Grexit that triggers the implementation of his Plan for Europe.
Perhaps it is true that, as a Greek and a protagonist in the past five months of negotiations, my assessment of the Schäuble-Lamers Plan, and of their chosen means, is too biased to matter in Germany.
Germany has been a loyal European ‘citizen’ and the German people, to their credit, have always yearned to embed their nation-state, to lose themselves in an important sense, within a united Europe. So, setting aside my views on the matter, the question is this:
What do you, dear reader, think of it? Is Dr Schäuble’s Plan consistent with your dream of a democratic Europe? Or will its implementation, beginning with the treatment of Greece as something between a pariah state and a sacrificial lamb, spark off a never-ending feedback between economic instability and the authoritarianism that feeds off it?
[1] “Elections can change nothing” and “It is the MoU or nothing”, were typical of the utterances that he greeted my first intervention at the Eurogroup with.
[2] Moreover, if the Greek state had been barred from borrowing by Dr Schäuble’s budget commissioner, Greek debt would still have piled up via the private banks – as it did in Ireland and Spain.
Con todo, están ahí. (Y otras muchas infrastrucyuras.) Resulta que nuestras queridas élites hasta dejaron algo a la vista. En Grecia y en otros sitios ni siquiera eso. Se lo han pulido o está en las suizas. Todavía tendremos que celebrarlo. ;)
Edit: Mira por dónde...
Un grupo chino compra el aeropuerto de Ciudad Real por 10.000 euros
[url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2015/07/17/actualidad/1437130421_864179.html[/url])
El paquete subastado no incluye algunos elementos como la terminal o el aparcamiento.
Y ojo, que éste era privado, si no recuerdo mal. (10.000€, madre del amor hermoso!)
Every drama needs a great baddie, and in the latest act of the Greek crisis Wolfgang Schäuble, the 72-year-old German finance minister, has emerged as the standout villain: critics see him as a ruthless technocrat who strong-armed an entire country and now plans to strip it of its assets. One part of the bailout deal in particular has scandalised many Europeans: the proposed creation of a fund designated to cherrypick €50bn (£35bn) worth of Greek public assets and privatise them to pay the country’s debts. But the key to understanding Germany’s strategy is that for Schäuble there is nothing new about any of this.
It was 25 years ago, during the summer of 1990, that Schäuble led the West German delegation negotiating the terms of the unification with formerly communist East Germany. A doctor of law, he was West Germany’s interior minister and one of Chancellor Helmut Kohl’s closest advisers, the go-to guy whenever things got tricky.
The situation in the former GDR was not too dissimilar from that in Greece when Syriza swept to power: East Germans had just held their first free elections in history, only months after the Berlin Wall fell, and some of the delegates from East Berlin dreamed of a new political system, a “third way” between the west’s market economy and the east’s socialist system – while also having no idea how to pay the bills anymore.
The West Germans, on the other side of the table, had the momentum, the money and a plan: everything the state of East Germany owned was to be absorbed by the West German system and then quickly sold to private investors to recoup some of the money East Germany would need in the coming years. In other words: Schäuble and his team wanted collateral.
At that time almost every former communist company, shop or petrol station was owned by the Treuhand, or trust agency – an institution originally thought up by a handful of East German dissidents to stop state-run firms from being sold to West German banks and companies by corrupt communist cadres. The Treuhand’s mission: to turn all the big conglomerates, companies and tiny shops into private firms, so they could be part of a market economy.
Schäuble and his team didn’t care that the dissidents had planned to hand out shares of companies to the East Germans, issued by the Treuhand – a concept that incidentally led to the rise of the oligarchs in Russia. But they liked the idea of a trust fund because it operated outside the government: while technically overseen by the finance ministry, it was publicly perceived as an independent agency. Even before Germany merged into a single state in October 1990, the Treuhand was firmly in West German hands.
Their aim was to privatise as many companies as possible, as soon as possible – and if you were to ask most Germans about the Treuhand today they would say it achieved that objective. It didn’t do so in a way that was popular with the people of East Germany, where the Treuhand quickly became known as the ugly face of capitalism. It did a horrible job in explaining the transformation to shellshocked East Germans who felt overpowered by this strange new agency. To make matters worse, the Treuhand became a hotbed of corruption.
The agency took all the blame for the bleak situation in East Germany. Kohl and Schäuble’s party, the conservative CDU, was re-elected for years to come, while others paid the price: one of the Treuhand’s presidents, Detlev Karsten Rohwedder, was shot and killed by leftwing terrorists. (Schäuble too became the victim of an attack that left him permanently in a wheelchair, only days after German reunification – but his paranoid attacker’s motives were unrelated to the political events)
But the reality of what the Treuhand did is different from the popular perception – and that should be a warning for both Schäuble and the rest of Europe. Selling East Germany’s assets for maximum profit turned out to be more difficult than imagined. Almost all assets of real value – the banks, the energy sector – had already been snapped up by West German companies. Within days of the introduction of the West German mark, the economy in the east completely broke down. Like Greece, it required a massive bailout programme organised by Schäuble’s government, but in secret: they set aside 100bn marks (£35bn) to keep the old East German economy afloat, a figure that became public only years later.
With prices for labour and supplies going through the roof, the already stressed East Germany economy went into freefall and the Treuhand had no chance to sell many of its businesses. After a couple of months it started to close down entire companies, firing thousands of workers. In the end the Treuhand didn’t make any money for the German government at all: it took in a mere €34bn for all the companies in the east combined, losing €105bn.
In reality, the Treuhand became not just a tool for privatisation but a quasi-socialist holding company. It lost billions of marks because it went on paying the wages of many workers in the east and kept some unviable factories alive – a positive aspect usually drowned out in the vilifications of the agency. Because Kohl and, during the summer of 1990, Schäuble weren’t Chicago economists keen on radical experiments but politicians who wanted to be re-elected, they pumped millions into a failing economy. This is where parallels with Greece end: there were political limits to the austerity a government could impose on its own people.
The lesson Schäuble learned – and which is likely to influence his decision-making now – is that if you act the pure-hearted neoliberal you can still get away with decisions that don’t make perfect economic sense. If Schäuble is acting tough with Greece right now, it is because his electorate wants him to act that way; it’s not just that he doesn’t care about the Greek people, he wants people to believe he doesn’t care, because he sees the political advantage in it.
But Schäuble should have learned from history that the Treuhand gamble had catastrophic psychological consequences. Even though the agency was run by Germans, who spoke German, still it was seen by many in the east as an occupying force.
Schäuble’s idea of foreign countries controlling Greek assets and moving them abroad is an even more humiliating concept for any country. Schäuble comes across as a tough and sober accountant. In fact he is just an ordinary politician repeating old mistakes.
A mí tus posts me llevan sonando a propaganda bastante tiempo, pero no pasa nada.
Las votaciones y las decisiones en el seno de la UE dejan muchísimo que desear. Allá cada cual con lo que se quiera creer. Al fin y al cabo yo desde aquí no voy a cambiar nada.
Muy bien, pero yo te contraargumento y tu a mí no. Simplemente, "dejan mucho que desear" y asunto zanjado por tu parte.
No hay registro de las conversaciones. Ni siquiera a desclasificar en 20 años ni en 50 años. Simplemente no lo hay. Y ya está.
PD: Ya es oficial. Tras un segundo email tengo nueva novia rusa ::) la semana que viene le envío 500€ pero no me importa, porque me han notificado por carta desde Nigeria que me van a ingresar unos dineros de una herencia perdida.
Si no comprendemos que los mecanismos en España ya son de por sí escasamente democráticos, incluso en Alemania, lo de la UE para qué hablar.
'En Europa tenemos demasiado Rousseau y Voltaire y no lo suficiente Monstequieu'. Es mi impresión también cuando escucho a intelectuales hoy".
Cuando los poderes legislativo y ejecutivo se hallan reunidos en una misma persona o corporación, entonces no hay libertad, porque es de temer que el monarca o el senado hagan leyes tiránicas para ejecutarlas del mismo modo.
PD: Ya es oficial. Tras un segundo email tengo nueva novia rusa ::) la semana que viene le envío 500€ pero no me importa, porque me han notificado por carta desde Nigeria que me van a ingresar unos dineros de una herencia perdida.
:rofl: :rofl: :rofl: :rofl: :rofl:
¡Andrés, somos ricos, Andrés (https://www.youtube.com/watch?v=yxRMPqYubFo)...!
Lagarde condiciona la participacion del FMI en el tercer rescate a Grecia la reestructuración de su deuda
Christine Lagarde pone como condición para que el Fondo Monetario Internacional (FMI) participe en el tercer rescate a Grecia que se reestructure su deuda, aunque todavía no se haya decidido la forma. En una entrevista a una radio francesa, la secretaria general del organismo considera que esta reestructuración es indispensable para la viabilidad del tercer plan acordado el lunes pasado entre Atenas y sus socios europeos. Para Lagarde, este principio está asumido pero no la cantidad ni las modalidades de la quita.
En este sentido y teniendo en cuenta que Alemania se opone a una rebaja del valor nominal de la deuda, la directora de la institución propone alargar considerablemente el periodo de gracia para empezar a devolver esta deuda y reducir al máximo los intereses.
En un informe enviado esta semana a los responsables de la eurozona, el FMI explicita exactamente como posibilidad alargar este periodo de gracia de diez a treinta años. Si no, la deuda del país puede llegar en dos años al doscientos por ciento.
Pero es que unión fiscal ahora es imposible. Para dar un paso tan importante, en muchos países se tendrán que celebrar referéndums. Ya se vió lo que pasó con la Constitución Europea, que los franceses y holandeses la tiraron abajo.
Pues ahora, imagínate a países como Holanda, Austria o Finlandia llamando a sus electorados para votar una unión fiscal. En Alemania seguro que ni dejarían celebrar un referéndum así.
Pero es que unión fiscal ahora es imposible. Para dar un paso tan importante, en muchos países se tendrán que celebrar referéndums. Ya se vió lo que pasó con la Constitución Europea, que los franceses y holandeses la tiraron abajo.
Pues ahora, imagínate a países como Holanda, Austria o Finlandia llamando a sus electorados para votar una unión fiscal. En Alemania seguro que ni dejarían celebrar un referéndum así.
Para mi una de las claves es esa, como no se puede tocar nada sin que se joda el "invento", seguimos con un "invento" que está destinado a fracasar porque sólo tiene sentido si es un paso intermedio que nos llevase a otro final.
Y como ni sabemos a donde queremos ir como "Europa", ni podemos movernos por miedo a que algunos se bajen del carro, lo que vamos es a rompernos por alguna costura, si no es Grecia, será UK y si no el sursuncorda...
Hace falta alguien con visión (y huevos) para decir está es la Europa que queremos, esto son los pasos que hace falta dar (plan a 5-10 años), el que quiera que me siga y el que no, pues no pasa nada hoyga tan hamijos... :roto2:
Que los ciudadanos de los países europeos voten, todos a la vez, pero que sepan lo que votan, para que lo votan y se atengan a las consecuencias de lo votado.
Pero no va a pasar, porque falta la visión (arriba) y escasea la ilusión (abajo), así que el plan es seguir poniendo paños calientes,
CitarSIGNIFICADO DEL NO GRIEGO.-
¿A qué exactamente los griegos han votado no, en su referendum sobre el rescate financiero?
En nuestra modesta opinión, los griegos han votado no a lo que llamamos el Heterograma; y, en consecuencia, han votado sí al ORTOGRAMA.
Han votado no a la concepción conservadora (PSOE & PP) de la austeridad fiscal, consistente en minimizar el tamaño de los subsistemas tributario y presupuestario. Y han votado sí a concepción liberal (P's & C's) de la austeridad fiscal, o AUSTERIDAD FISCAL AUTENTICA, consistente en recaudar más tributos y concentrar el gasto público en lo asistencial.
Han votado no a la política de rentas amorfa que resulta cuando, en el sistema de vasos comunicantes que es la distribución de la Renta, solo se actúa para asegurar el flujo de las rentas financieras fijas; y han votado sí a la POLÍTICA DE RENTAS INTEGRAL INTENCIONAL que discrimina la distribución de la Renta en favor del Trabajo & Empresa, con represión del rentismo improductivo.
Han votado no al Capitalismo Popular; y sí al Estado del Bienestar.
No se dejen engañar por los traseros sucios del conservadurismo, especialmente por ese usurero inmobiliario que todo popularcapitalistita lleva dentro. Los de la Troika (Comisión Europea, Banco Central Europeo y Fondo Monetario Internacional) estamos encantados de la vida con el resultado del referendum griego. Por fin tenemos, en ese Estado de a UE, un interlocutor válido con caudal político refrendado para sacar la economía del Pacto Fáustico en el que, desde mediados de los 1980s, la metió la avaricia del obrerismo facha de medio pelo.
Para nosotros, los ppcc, el no griego es una bendición.
Gracias por leernos.
Publicado por: pisitófilos creditófagos | 07/06/2015 en 07:46 a.m.
"A compter nos milliards plutôt qu'à les utiliser pour construire, à refuser d'accepter une perte - pourtant évidente - en repoussant toujours un engagement sur la réduction de la dette, à préférer humilier un peuple parce qu'il est incapable de se réformer, à faire passer des ressentiments - pour justifiés qu'ils soient - avant des projets d'avenir, nous tournons le dos à ce que doit être l'Europe", dit-il.
"Nous dépensons nos forces en querelles intestines et nous prenons le risque d'enclencher un mécanisme d'éclatement. Nous en sommes là. Un fonctionnement de la zone euro dans lequel vous, mes amis allemands, suivis par quelques pays baltiques et nordiques, imposeriez votre loi sera inacceptable pour tous les autres."
Schäuble: We are currently seeing that a currency union without political union cannot function without complications. So we have to move further toward establishing a political union, for example by strengthening the European Commission and the European Parliament. But that means that member states must give up even more sovereignty. They have already taken this step when it comes to monetary policy, but are they also prepared to transfer financial policy competencies, for example, to the European level? Many have a problem with that.
DSK - Carta a mis amigos germanos
[url]http://fr.slideshare.net/DominiqueStraussKahn/150718-tweeteurope[/url] ([url]http://fr.slideshare.net/DominiqueStraussKahn/150718-tweeteurope[/url])
En versiones EN, FR y DE
En prosa: v/F
[url]http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/07/18/20002-20150718ARTFIG00160-dsk-denonce-le-diktat-que-l-europe-a-impose-a-la-grece.php[/url] ([url]http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/07/18/20002-20150718ARTFIG00160-dsk-denonce-le-diktat-que-l-europe-a-impose-a-la-grece.php[/url])
Mejor éste:
[url]http://lci.tf1.fr/monde/europe/dette-grecque-dsk-deplore-les-conditions-de-l-accord-et-denonce-8636193.html[/url] ([url]http://lci.tf1.fr/monde/europe/dette-grecque-dsk-deplore-les-conditions-de-l-accord-et-denonce-8636193.html[/url])Citar"A compter nos milliards plutôt qu'à les utiliser pour construire, à refuser d'accepter une perte - pourtant évidente - en repoussant toujours un engagement sur la réduction de la dette, à préférer humilier un peuple parce qu'il est incapable de se réformer, à faire passer des ressentiments - pour justifiés qu'ils soient - avant des projets d'avenir, nous tournons le dos à ce que doit être l'Europe", dit-il.
"Nous dépensons nos forces en querelles intestines et nous prenons le risque d'enclencher un mécanisme d'éclatement. Nous en sommes là. Un fonctionnement de la zone euro dans lequel vous, mes amis allemands, suivis par quelques pays baltiques et nordiques, imposeriez votre loi sera inacceptable pour tous les autres."
(En negrita he marcado la proposición principal, ya que cierra la frase, tras las subordinadas...)
Strauss-Kahn carga contra las condiciones "espantosas" del acuerdo con Grecia y culpa a Alemania
El exdirector gerente del FMI, el francés Dominique Strauss-Kahn, carga contra las condiciones "espantosas" del acuerdo para el tercer rescate de Grecia, y avisa de que el contexto en que se estableció ese "dictado", tras el que ve fundamentalmente a Alemania, ha creado "un clima devastador".
En un artículo titulado "Carta a mis amigos alemanes" y publicado en inglés, alemán y francés, Strauss-Kahn, sin entrar en detalle sobre "las medidas impuestas a Grecia", critica que "es el contexto en el que se ha establecido este dictado lo que crea un clima devastador".
Asume que "el carácter aficionado del Gobierno griego y la relativa inacción de sus predecesores han superado los límites", así como que los acreedores liderados por los alemanes estén hartos por la situación que se ha creado.
Victoria ideológica
Pero a su juicio, los dirigentes europeos tendrían que haber estado por encima de la tentación de "una victoria ideológica sobre un Gobierno de extrema izquierda a costa de una fragmentación de la Unión. Porque se trata de eso".
El político socialista -que ambicionaba presentarse a las elecciones presidenciales de 2012 en Francia hasta que un escándalo sexual en Nueva York en mayo de 2011 hundió su carrera- se queja de que se haya impuesto una lógica contable.
Y en particular, que los muñidores del acuerdo se hayan negado a "aceptar una pérdida, que es evidente, al seguir retrasando un compromiso sobre la reducción de la deuda (griega), y hayan preferido humillar a un pueblo porque es incapaz de reformarse". Está con los griegos! Buhh, fuera anglo!!
Según su análisis, al haber querido privilegiar los "resentimientos, por justificados que estén, antes que los proyectos de futuro, damos la espalda a lo que debe ser Europa, a la solidaridad ciudadana".
La unión imperfecta del euro
Strauss-Kahn estima que, en el fondo, se trasluce que el euro es "una unión monetaria imperfecta forjada a partir de un acuerdo ambiguo entre Francia y Alemania".
Para Alemania, se trataba de fijar un régimen de tipo de cambio fijo en torno a la que era su moneda, el marco, e imponer a partir de ahí su visión económica, mientras que para Francia era una forma "un poco ingenua y romántica" de crear una divisa de reserva internacional que respondiera a las "ambiciones de grandeza" de su elite.
En su mensaje a los alemanes, el que fue el anterior "número uno" del Fondo Monetario Internacional (FMI) les insiste en que únicamente imponiendo sus reglas de "gestión sana" no salvarán Europa porque "hay que hacerlas respetar con democracia y diálogo, con la razón, no con la fuerza".
También pide que se desengañen los que piensan que la alternativa es una coalición de sólo los países del norte de Europa.
"Una alianza de algunos países europeos -advierte-, incluso dirigidos por el más poderoso, será poco capaz de afrontar sola la presión rusa y será un vasallo de nuestro aliado y amigo estadounidense en un plazo que no está muy lejos". ??pepeppeeeeero.... si era proanglo!!Esto no era o 0 o 1?como PP y PSOE? o estas con la visión alemana o con la griega? Ahhhh, que existen grises!, buff que dificil, mejor elijo un bando.
Su apuesta es por una Europa que "evidentemente debe tener sus reglas y su disciplina de vida común, pero también un proyecto político que la supere y justifique las constricciones".
Dans un article publié en mai 2014 sur le site Vox.eu, il expliquait ainsi que la naissance de l'euro avait créé une situation dans laquelle prêter à des pays de la périphérie de la zone euro, comme la Grèce, était "extrêmement attractif" pour les banques du noyau dur de la région.
"Ce schéma a planté le décor pour le diabolique cercle vicieux (d'endettement, ndlr) entre les banques et les États qui a été un puissant moteur de la récente crise de la zone euro."
[...] Los Gandalf del altermundismo tienen ahora la enorme tarea de buscar OTROS héroes a los que aclamar. Otros magufos que cojan la banderita de lo supuestamente "social" bajo la que una horda de antiglobalizadores racistas puedan defender sus supuestos derechos sobre pakistaníes y chinos. El problema es que los defensores de la utopía cada vez son menos y peores. [...]
[...] El rescate de Grecia, desde un principio, según Koo, es “muy poco realista”. La Unión Europea (UE) “se niega a reconocer los errores cometidos”, “se niega a aceptar la responsabilidad del colapso en la producción y economía griega”. Sólo ahora parece que el FMI “lentamente está comenzando a entender la economía griega”, tras la reciente publicación de documentos admitiendo que la carga de la deuda de Grecia es insostenible [...]
Quienes decían que si los PIGS salían de Europa "a ver a quien vendía alemania sus coches y lavadoras" por favor, pasen a recoger su owned.
:biggrin: :biggrin:
Varoufakis ha votado SI a las reformas.
Supongo que lo que toca decir ahora es que en Grecia tampoco hay democracia ni libertad :P
Quienes decían que si los PIGS salían de Europa "a ver a quien vendía alemania sus coches y lavadoras" por favor, pasen a recoger su owned.
:biggrin: :biggrin:
Como los PIGS salgan de Europa el Euro se irá hasta los 2,50 USD, entonces ya veremos como acaban las exportaciones del eurocore. Seguramente verán reducir sus respectivos PIBs en cantidades mucho mayores que cualquier deuda PIG o rescate. Entonces tendrían que imprimir euros y comerse su propia inflación porque ya no podrán exportarla a los tontolava de los PIGS.
Este tinglado del Euro tiene mala solución por donde se le mire, como todo lo que se diseña en Bruselas. Al parecer esto es lo mejor que se le ha ocurrido a los 33.000 empleados de la comisión europea.
¿Será que comer tanta patata daña las neuronas ?.
Como los PIGS salgan de Europa el Euro se irá hasta los 2,50 USD, entonces ya veremos como acaban las exportaciones del eurocore.Ala que 'sajerao!!! La moneda es representación de la riqueza de un área económica y obviamente centroeuropa no es 2,5x USA. Si los pigs se salen Alemania se queda con su monedita fuerte y el resto de países orgullosos de pertenecer al tercer mundo se hundirán en la basura populista junto con Turquía y Moroco. Para gustos colores.
CitarComo los PIGS salgan de Europa el Euro se irá hasta los 2,50 USD, entonces ya veremos como acaban las exportaciones del eurocore.Ala que 'sajerao!!! La moneda es representación de la riqueza de un área económica y obviamente centroeuropa no es 2,5x USA. Si los pigs se salen Alemania se queda con su monedita fuerte y el resto de países orgullosos de pertenecer al tercer mundo se hundirán en la basura populista junto con Turquía y Moroco. Para gustos colores.
Si esto sucediera (sueño húmedo de la casta ladrillero-inflacionaria) yo y varios millones más cogeremos nuestros ahorrillos y nos marcharemos. Mas o menos como han hecho los griegos, los cuales han dejado secos los bancos... griegos :rofl:
Pero oye, que si tan mal nos va dentro de Europa, pues no haber votado a favor.
Es que ya empieza a rechinar tantas quejas contra Bruselas, Maastritch y los acreedores. Quejas que en el año 2002 no habíam cuando todo el mundo era empresario, de derechas y Aznar ganaba con mayorías absolutas.
El drama quedaba para los hijos con hipotecas a 40 años. Conozco a muchos hipotecados, y ninguno le ha metido un euro en el bolsillo a un alemán.
Todos han hecho millonarios a costrutoreh palilleros ESPAÑOLES, con DNI español. 200.000 euros por cada pisito. Bloque de 15 viviendas.
Echa cuentas de quien se ha llevado el dinero y quien lo tiene ahora escondido.
Al que no le guste mirarse en un espejo lo tiene facil.
Que trabaje para llevar la negociación al límite como hizo Tsipras, pero al final en vez de esconder el rabo y elegir "pagar pensiones", dejad que los jubilados se mueran de hambre mientras agitan vuestra banderita :troll:
esta Europa no es más que la Europa de las oligarquías nacionales (las de aquí y las de allá) tratando de sacar tajada de todo esto.Revisa tu esquema. Yo voy a darte mi punto de vista a ver si te sirve de apoyo.
esta Europa no es más que la Europa de las oligarquías nacionales (las de aquí y las de allá) tratando de sacar tajada de todo esto.Revisa tu esquema. Yo voy a darte mi punto de vista a ver si te sirve de apoyo.
Partes de la hipotesis falsa de que Europa te la ha servido "alguien" en bandeja. Por supuesto no das nombres, ni perfiles, ni datos precisos. Todo se queda en una nebulosa oscura y en manos negras, los poderosos, los oligarcas, etc.
Sigo preguntando donde está el nivel mínimo para ser considerado "oligarca".
¿Los accionistas de telefónica son casta? Silencio por respuesta ::)
¿Los consejeros/ayudantes de Draghi (que los tiene) son oligarcas?
Nadie sabe sus nombres.
Y como eso todo.
La casta y los oligarcas son el hombre del saco, pero en vez de para meter miedo se usan para ganar votos. Si los alcaldes son casta... ¿que pasa con los alcaldes de Podemos? ¿Esos no son casta? ¿Asumimos que la casta va vinculada a un puesto o a la persona?
Entonces... que mierda de casta los alcaldes que se quedan en la oposición, ¿no?
Repito: como eso, todo.
La casta y los poderosos son el chivo expiatorio perfecto.
Nadie sale herido porque nadie sabe quien es o quienes son.
Aún así muchos están convencidos de que sus problemas son culpa de éste fantasma llamado la oligarquía. Curiosamente cuando las cosas van bien (España año 2002) era por mera superación personal individual, no gracias a a la oligarquía.
En fin.
El proyecto europeo existe gracias a millones de personas como yo que ni soy casta, ni oligarquía, ni enemigo del "pueblo"; que hemos pensado que ante la globalización irreversible mucho mejor juntos que separados. Hemos pensado que nuestra forma de vida "típica europea" es defendible frente al islamismo y la tribu nazionalista (hola catalanistas).
Y hemos decidido montar este chiringuito llamado Europa, €uro, etc.
¿Quienes somos?
Desde los Erasmus hasta los que viejan por placer, pasando por los descendientes de emigrantes, y los que tienen familia trabajando en Europa.
No es que la casta venga a imponernos Europa.
Es que Europa ya existía como concepto desde el emperador Tito :roto2: Sigo sin entender a que viene montar el espantajo de que Europa es algo impostado ??? cuando el imperio de Alejandro Magno era el doble de grande y nadie lo cuestiona históricamente.
No es que Europa sea un fenómeno arrollador, joder, es que el nivel de los nazionalistas antieuropeístas es muy, MUY bajo.
Defendiendo cosas tan básicas y tan simples para niños de 4 años como que hay que proteger al que presta (acreedor) frente al que debe (deudor), los europeístas han ganado una batalla de magnitudes históricas: La primera absorción "federal" con dilución de la soberanía nacional incluída.
Y todavía los hay que pensaban que Varoufakis y Tsipras iban a volver al dracma!!! :facepalm: :facepalm: Es que es todo tan surrealista, con una forma de ver el mundo tan infantail y fantasiosa que da vergüenza ajena.
Ojo!!! y los griegos según las encuestas, están encantados de haberse quedao en Europa.
Es decir: ¿A quien defendían los que preferían salirse de Europa?
Da que pensar...
Algunos se han instalado en la utopía y la pretenden hacer pasar por verdad suprema.
Pero es no aguanta el mínimo análisis racional.
Yo no digo que otra Europa no sea posible, eso depende de los europeos.
Digo que la que nos ofrecen los altermundistas es un cuento llena de promesas falsas y magia buenista.
ISIS y el Estado islámico están a las puertas.
No me parece el mejor momento ;)
Un abrazo, feliz verano.
Si quiere yo le digo quien es la Casta de mi pequeña ciudadA eso voy.
LONDON – The eurozone has a German problem. Germany’s beggar-thy-neighbor policies and the broader crisis response that the country has led have proved disastrous. Seven years after the start of the crisis, the eurozone economy is faring worse than Europe did during the Great Depression of the 1930s. The German government’s efforts to crush Greece and force it to abandon the single currency have destabilized the monetary union. As long as German Chancellor Angela Merkel’s administration continues to abuse its dominant position as creditor-in-chief to advance its narrow interests, the eurozone cannot thrive – and may not survive.
Germany’s immense current-account surplus – the excess savings generated by suppressing wages to subsidize exports – has been both a cause of the eurozone crisis and an obstacle to resolving it. Before the crisis, it fueled German banks’ bad lending to southern Europe and Ireland. Now that Germany’s annual surplus – which has grown to €233 billion ($255 billion), approaching 8% of GDP – is no longer being recycled in southern Europe, the country’s depressed domestic demand is exporting deflation, deepening the eurozone’s debt woes.
Germany’s external surplus clearly falls afoul of eurozone rules on dangerous imbalances. But, by leaning on the European Commission, Merkel’s government has obtained a free pass. This makes a mockery of its claim to champion the eurozone as a rules-based club. In fact, Germany breaks rules with impunity, changes them to suit its needs, or even invents them at will.
Indeed, even as it pushes others to reform, Germany has ignored the Commission’s recommendations. As a condition of the new eurozone loan program, Germany is forcing Greece to raise its pension age – while it lowers its own. It is insisting that Greek shops open on Sundays, even though German ones do not. Corporatism, it seems, is to be stamped out elsewhere, but protected at home.
Beyond refusing to adjust its economy, Germany has pushed the costs of the crisis onto others. In order to rescue the country’s banks from their bad lending decisions, Merkel breached the Maastricht Treaty’s “no-bailout” rule, which bans member governments from financing their peers, and forced European taxpayers to lend to an insolvent Greece. Likewise, loans by eurozone governments to Ireland, Portugal, and Spain primarily bailed out insolvent local banks – and thus their German creditors.
To make matters worse, in exchange for these loans, Merkel obtained much greater control over all eurozone governments’ budgets through a demand-sapping, democracy-constraining fiscal straitjacket: tougher eurozone rules and a fiscal compact.
Germany’s clout has resulted in a eurozone banking union that is full of holes and applied asymmetrically. The country’s Sparkassen – savings banks with a collective balance sheet of some €1 trillion ($1.1 trillion) – are outside the European Central Bank’s supervisory control, while thinly capitalized mega-banks, such as Deutsche Bank, and the country’s rotten state-owned regional lenders have obtained an implausibly clean bill of health.
The one rule of the eurozone that is meant to be sacrosanct is the irrevocability of membership. There is no treaty provision for an exit, because the monetary union is conceived as a step toward a political union – and it would otherwise degenerate into a dangerously rigid and unstable fixed-exchange-rate regime. Germany has not only trampled on this rule; its finance minister, Wolfgang Schäuble, recently invented a new one – that debt relief is forbidden in the eurozone – to justify his outrageous behavior toward Greece.
As a result, Greece’s membership in the eurozone – and by extension that of all other members – is now contingent on submission to the German government. It is as if the United States unilaterally decided that NATO’s principle of collective defense was now conditional on doing whatever the American government dictated.
The eurozone desperately needs mainstream alternatives to this lopsided “Berlin Consensus,” in which creditors’ interests come first and Germany dominates everyone else. Merkelism is causing economic stagnation, political polarization, and nasty nationalism. France, Italy, and Europeans of all political stripes need to stand up for other visions of what the eurozone should be.
One option would be greater federalism. Common political institutions, accountable to voters across the eurozone, would provide a democratic fiscal counterpart to the ECB and help cage German power. But increasing animosity among eurozone member states, and the erosion of support for European integration in both creditor and debtor countries, means greater federalism is politically unfeasible – and potentially even dangerous.
A better option would be to move toward a more flexible eurozone, in which elected national representatives have a greater say. With the no-bailout rule restored, governments would have more space to pursue countercyclical policies and respond to voters’ changing priorities.
To make such a system credible, a mechanism for restructuring the debt of insolvent governments would be created. This, together with reform of the rules covering the capitalization of banks – which incorrectly treat all sovereign debt as risk-free and do not cap banks’ holdings of it – would enable markets, not Germany, to rein in truly excessive borrowing. Ideally, the ECB would also be given a mandate to act as a lender of last resort for illiquid but solvent governments. Such changes could garner broad support – and would serve Germany’s own interests.
The eurozone’s members are trapped in a miserable marriage, dominated by Germany. But fear is not enough to hold a relationship together forever. Unless Merkel comes to her senses, she will eventually destroy it.
As I stood in the middle of the squalid Kara Tepe transit camp on Lesbos, I was struck by the utter perverseness of the refugee drama unfolding on this Greek island.
I was supporting a flash-mob of local volunteers and tourists – supported by local officials – to clean the camp, which is now a temporary home for 3,000 refugees. Litter was everywhere – and posing a health risk. The selflessness and dedication of the local volunteers, who have been responding to the crisis virtually unaided for several years, is awe-inspiring.
As I picked up the trash under a searing sun, four questions came to my mind, the answers to which should make us all uncomfortable.
First, why is the crisis repeatedly referred to by the media and by officials in European capitals as a “migrant” crisis? Here, in Greece, nothing could be further from the truth.
According to the most recent figures from the United Nations High Commissioner for Refugees, of the more than 77,000 arrivals in Greece since the beginning of the year, 85% are refugees.
More than 60% of these are fleeing the conflict in Syria, with others escaping continued violence in Afghanistan. Likewise, the majority of people arriving nearby in Italy are fleeing armed conflict in Somalia or conscription in Eritrea.
Even among those who are not refugees, many arriving on Europe’s shores are vulnerable for other reasons. Some are unaccompanied children, or victims of sexual trafficking, or have been tortured and traumatised as they made their way across the Sahara to Africa’s Mediterranean coast before eventually reaching Europe. Refugees and other vulnerable people deserve the protection and assistance to which they are entitled under international law.
Second, this crisis was not unexpected. For some time, the International Rescue Committee (IRC) and others have warned that countries neighbouring conflict areas are reaching their maximum capacity to absorb any more refugees.
Without legal alternative routes for refugees to enter other European countries, people fleeing conflicts in the Middle East, Africa and elsewhere have taken matters into their own hands, risking their lives – often on flimsy rubber dinghies across dangerous stretches of the Aegean and Mediterranean – to seek the sanctuary of Europe.
With more people displaced by conflict globally than ever before– 59.5 million – Europe has to recognise that this problem is not going away, and that it needs to respond meaningfully to provide help.
Third, why has much of the world looked away from the crisis in the Mediterranean? The IRC is built to respond to emergencies in some of the poorest and most conflict-ridden countries. That we have had to deploy an emergency response team to Europe to make sure refugees receive clean water and have access to toilets, rather than defecate in the open, is a sad commentary on the state of affairs in the region.
For far, far too long, local Greek officials and volunteers have had to shoulder this burden, and at a time when they have had to endure paralysing austerity measures and the most recent financial crisis. Despite these hardships, the compassion and generosity of local groups has put the international community to shame. And, the refugee crisis in Greece is only likely to get worse.
Local officials and aid experts estimate that 200,000 refugees will come to Greece this year. This will undoubtedly overwhelm the primarily local-led relief efforts.
Europe also needs to provide more support to Greece so that it can provide a humane and dignified reception for refugees. When they arrive on Lesbos, refugees are not provided with medical check-ups or other assistance, aside from that provided by community volunteers. Until very recently, refugees often walked 40 miles, often in 32C (90F) heat, from the northern coast where they landed to the Kara Tepe transit camp. This is simply cruel.
Fourth, why have European members states continued the ongoing asylum charade, forcing refugees to further risk their lives by requiring them to furtively travel to their desired asylum destinations?
Europe’s asylum policies mean that a refugee has to apply for asylum in the country where he or she first arrives, which for those coming from Libya and Turkey almost always means Italy or Greece. Desperate to rejoin family members in other European countries or to live where there are real job prospects, many people avoid registration and continue their journeys illegally.
Would it not be more humane to allow these vulnerable groups to seek asylum at European embassies in Athens, or better yet, in European embassies in their home regions? Or at the very least ensure safe passage to their desired onward destinations – often to be reunited with waiting family members?
As it stands, refugees who reach Greece are then forced to travel through Macedonia, Serbia and Hungary to other destinations in Europe, a route making them vulnerable to human traffickers, gangs and corrupt officials.
Ultimately, at what point do we all conclude that these people have already suffered enough and deserve to be aided in their flight to safety? At the International Rescue Committee, we have already made this decision.
Alemania se muestra gratamente sorprendida de esa disposición francesa. “Me encantó escuchar a Hollande que Francia está lista ahora [para una revisión de los Tratados]”, ha dicho el ministro alemán de Finanzas, Wolfgang Schäuble, a Der Spiegel. Todo un síntoma de que el proceso empieza con buenas vibraciones franco-alemanas. El otoño será clave para saber si ese embrión implantado en París concluye en el alumbramiento de una nueva zona euro.
No habia otra salida.
Francia comienza a asumir su papel.
About time.
No les sera facil, pero es indiscutible que el liderazgo politico debe ser frances, asi como el economico ya es aleman.
Alemania habia ejercido su papel hasta hoy, y necesitaba que francia asumiera el suyo. No sera facil, pero es un cambio puntal.
La iniciativa de cambios de tratados e integracion politica mo podia provenir de alemania.
Bravo.
Despacio pero vamos en buena direccion.
Yo tambien estoy mas contento, aunque la esperanza y vision de la meta nunca la perdi.
El mayor escollo ahora sera la MN francesa, el corte de pelo que les espera es bastante doloroso.
Y los britanicos, que agachen la cabeza o se vayan a Argentina.
Sds.
Buenas Republik.
Por lo que veo consideras a los inspectores de hacienda como un sector lleno de privilegios.
El tema de la optimización fiscal dentro de la Ley no me es ajeno y creo que su única solución --desde la perspectiva de quienes políticamente todo lo fían a los Impuestos-- es un Estado Totalitario Global.
El tema es amplio, sugerente y sugestivo y desde luego se sale de las pocas palabras de nuestros breves textos.
Como he pasado muchos años lidiando con estas cosas, me gustaría incidir en este comentario sobre una pequeña parte del asunto.
1. Hay un análisis empresarial que Nunca se hace: El de los resultados de Todas las Empresas, en conjunto y segmentadas.
Más del 95% pierde dinero. Esto todo el mundo lo ignora. Hasta los propios y entusiastas "emprendedores" que son la carne de cañón del sistema.
La estructura interior de mercado tiene una fuerte jerarquía de dependencias --un ecosistema donde el que tiene poder de mercado se "apoya" en sus cadenas de valor-- y solo los grandes Oligopolios ganan dinero y no siempre.
Esto es de primer día de clase en Harvard o en Fontainebleau pero lo ignoramos políticamente porque los políticos son expertos en dividir usando la falsedad y la envidia.
Que se lo pregunten a Lenin que encontró la forma de dividir a sus obreros "ricos" de los "pobres" y consiguió hacer lo mismo con los "kulaki", los campesinos.
Hoy nos lo siguen haciendo mientras la obra de esos mismos políticos da los resultados que todos vemos. Seguimos entrando al trapo.
2. Todos los Impuestos son, --además de una fuente de Ingreso Público para la compra del voto y otras cosas más necesarias-- un Coste de Producto para la Persona Física, para la Empresa y para el conjunto de la Sociedad.
Por tanto en economías como las actuales --en las que Prima el Modelo Competitivo Internacional-- si un Estado tiene una carga fiscal del 55% tiene también --Como Mínimo-- el 55% de la Responsabilidad de la Competitividad de dicha sociedad.
Esto debiera pensarse pero no se hace porque lleva a conclusiones poco "políticas".
¿Cómo voy a creerme que la Competitividad es mi responsabilidad cuando el Estado ha hecho todo lo Posible por destrozar la Industria nacional, lo sigue haciendo y, de remate, el Propio Estado es la causa de más del 60% de mis costes?
3. Dentro del Propio Estado, el Impuesto de Sociedades es un DOBLE Impuesto a la Persona Física. O lo es para los trabajadores de la empresa, para sus clientes o para sus accionistas.
Siempre termina repercutido y afecta a todas las decisiones de Inversión que se toman, no lo olvidemos, "After Taxes". Nunca antes de impuestos. Es lógico pero tendemos a olvidarlo.
Otra cosa es lo que sucede con Empresas Globales. Las que consolidan "Allende la Mar Salada".
Ahí hay un agujero estructural enorme e insoluble porque es muy difícil establecer un sistema equitativo entre las nacionales y las extranjeras.
Estas últimas tienen muchos mecanismos legales comenzando por los precios de transferencia (piensen en las farmacéuticas) para evitar el maltrato comparativo que desde la perspectiva explicada supone residir en un país con Impuesto de Sociedades fuerte y oportunista.
De hecho hace muchísimos años que, para operar en Suiza corporativamente, tienes que firmar un acuerdo negociado --específico de tu empresa-- que define cuál será tu coste fiscal anual por establecerte allí. Tu tarifa por residir allí.
Está todo inventado y todas la grandes allí establecidas (como subsidiaria y como HQ si fuera el caso) lo hacen.
En mi opinión este impuesto debería desaparecer para todas las actividades intra-state. Recaudas poco, es una mala idea económica y encima te perjudica más a ti.
De hecho Portugal e Irlanda, de pleno derecho en la UE y para siempre, tienen una gran ventaja con respecto a otros miembros y nadie les puede decir nada.
A mi modo de ver el Presidente Francés está tratando de arrimar el Ascua a la Sardina Francesa con un modelo Social Demócrata que ya sabe que es Insostenible en un mundo empujado a la Globalización.
La Transición Estructural significa pensar Fuera de las Reglas que nos han traído hasta aquí y este es un buen ejemplo de ello.
Buenos días
Buenas Republik.
Por lo que veo consideras a los inspectores de hacienda como un sector lleno de privilegios.
No, más bien un poco quejicas por lo que se les oye últimamente . Y en todo caso anticuado si damos el salto a la europeización de algunos tributos, porque en España el sistema funciona bien gracias a la elevada informatización, eso es lo que debería mantenerse y acentuarse. Y la verdad es que sería toda una revolución empezar a transferir tributos enteros a la UE.
A mi los que me parecen candidos son los de la democracia.
Es como si creyeran en el motor de rendimiento 100%.
Vamos a ver:
Cuantos paises o zonas tienen un nivel de bienestar, garantias, estabilidad y oportunidad;así como transparencia, potencia, eficiencia que la UE?
Les permito ejemplos de toda la galaxia.
Suiza? Con 10 millones y a costa de sus bancos y el permiso de la conunidad internacional.
Alguno más?
Noruega? Petroleo.
Van vds en un mercedes y quieren un delorean volador a basura que les lleve al futuro.
No hay en el universo a fecha de hoy, isla mejor que la UE.
A pesar de todos los pesares, que son muchos.
Y si, eso no implica que no se pueda y deba debatir y exigir mejoras.
Sds.
A mi los que me parecen candidos son los de la democracia.
Es como si creyeran en el motor de rendimiento 100%.
Vamos a ver:
Cuantos paises o zonas tienen un nivel de bienestar, garantias, estabilidad y oportunidad;así como transparencia, potencia, eficiencia que la UE?
Les permito ejemplos de toda la galaxia.
Suiza? Con 10 millones y a costa de sus bancos y el permiso de la conunidad internacional.
Alguno más?
Noruega? Petroleo.
Van vds en un mercedes y quieren un delorean volador a basura que les lleve al futuro.
No hay en el universo a fecha de hoy, isla mejor que la UE.
A pesar de todos los pesares, que son muchos.
Y si, eso no implica que no se pueda y deba debatir y exigir mejoras.
Sds.
Hombre
Australia, Nueva Zelanda, Canadá, EE.UU (aunque sea criticado en este foro la gente que conozco vive muy bien), Japón, Corea del Sur e incluso Chile y alguno más. Y eso son cientos de millones de personas.
Y el mundo tiende a la convergencia, cada vez será menos la diferencia.
Y justamente Noruega vive del petroleo (antes era un país pobre), y Suiza es un invento de interés para estados, gente rica y poderosos.
A mi los que me parecen candidos son los de la democracia.
Es como si creyeran en el motor de rendimiento 100%.
Vamos a ver:
Cuantos paises o zonas tienen un nivel de bienestar, garantias, estabilidad y oportunidad;así como transparencia, potencia, eficiencia que la UE?
Les permito ejemplos de toda la galaxia.
Suiza? Con 10 millones y a costa de sus bancos y el permiso de la conunidad internacional.
Alguno más?
Noruega? Petroleo.
Van vds en un mercedes y quieren un delorean volador a basura que les lleve al futuro.
No hay en el universo a fecha de hoy, isla mejor que la UE.
A pesar de todos los pesares, que son muchos.
Y si, eso no implica que no se pueda y deba debatir y exigir mejoras.
Sds.
Hombre
Australia, Nueva Zelanda, Canadá, EE.UU (aunque sea criticado en este foro la gente que conozco vive muy bien), Japón, Corea del Sur e incluso Chile y alguno más. Y eso son cientos de millones de personas.
Y el mundo tiende a la convergencia, cada vez será menos la diferencia.
Y justamente Noruega vive del petroleo (antes era un país pobre), y Suiza es un invento de interés para estados, gente rica y poderosos.
Meeeeeeeeeeeeeeeeeeck!!!!!!!!!!!!!
Apelo a los democratas para que voten si consideran que son mejores paises
Australia, Nueva Zelanda, Canadá, EE.UU (aunque sea criticado en este foro la gente que conozco vive muy bien), Japón, Corea del Sur e incluso Chile
Mejores, para quien?
Me esta resultando Vd muy anglo, caballero, con ese facil por no llamar falsoliberalismo.
No le discuto que en determinadas areas muy concretas sean mas eficientes o transparentes.
Pero en un computo general, en absoluto.
Japon y corea son imposibles de vivir. Con horarios de trabajo demenciales y niños desquiciados sin niñez.
Nueva zelanda es una chicharrita.
Canada otra.
Y chile ya ni le cuento.
Quiero ver como se desenvuelven esas maravillas del paradigma prtestante anglo dentro de 15 años.
Todos esos paises, en cuanto US baje de escalon, veran su posicion general mermada en igual o mayor medida.
Quizas a VD le parezca una maravilla singapur malasia o hong kong tambien.
Lo siento, Europa rules.
"Para mantener la cohesión de la unión monetaria hay que reconocer que los votantes en los países acreedores no están dispuestos a financiar a largo plazo a los países deudores", ha señalado el presidente del Consejo, Christoph M. Schmidt.
No le comprendo muyuu.
El acreedor jamás de los jamases está dispuesto a RE financiar a largo plazo a su deudor una vez ya lo es.
En todi caso lo hará su lo considera oportuno, una vez vuelva a convertirse en credit worthy.
En serio que no entiendo la postura.
La unidad fiscal pasa porque, a largo plazo, no exista el concepto de país acreedor y país deudor dentro de la UE - especialmente en lo referente a electorados.Por supuesto.
No le comprendo muyuu.
El acreedor jamás de los jamases está dispuesto a RE financiar a largo plazo a su deudor una vez ya lo es.
En todi caso lo hará su lo considera oportuno, una vez vuelva a convertirse en credit worthy.
En serio que no entiendo la postura.
La unidad fiscal pasa porque, a largo plazo, no exista el concepto de país acreedor y país deudor dentro de la UE - especialmente en lo referente a electorados.
Salu2
ATHENS – The point of restructuring debt is to reduce the volume of new loans needed to salvage an insolvent entity. Creditors offer debt relief to get more value back and to extend as little new finance to the insolvent entity as possible.
Remarkably, Greece’s creditors seem unable to appreciate this sound financial principle. Where Greek debt is concerned, a clear pattern has emerged over the past five years. It remains unbroken to this day.
In 2010, Europe and the International Monetary Fund extended loans to the insolvent Greek state equal to 44% of the country’s GDP. The very mention of debt restructuring was considered inadmissible and a cause for ridiculing those of us who dared suggest its inevitability.
In 2012, as the debt-to-GDP ratio skyrocketed, Greece’s private creditors were given a significant 34% haircut. At the same time, however, new loans worth 63% of GDP were added to Greece’s national debt. A few months later, in November, the Eurogroup (comprising eurozone members’ finance ministers) indicated that debt relief would be finalized by December 2014, once the 2012 program was “successfully” completed and the Greek government’s budget had attained a primary surplus (which excludes interest payments).
In 2015, however, with the primary surplus achieved, Greece’s creditors refused even to discuss debt relief. For five months, negotiations remained at an impasse, culminating in the July 5 referendum in Greece, in which voters overwhelmingly rejected further austerity, and the Greek government’s subsequent surrender, formalized in the July 12 Euro Summit agreement. That agreement, which is now the blueprint for Greece’s relationship with the eurozone, perpetuates the five-year-long pattern of placing debt restructuring at the end of a sorry sequence of fiscal tightening, economic contraction, and program failure.
Indeed, the sequence of the new “bailout” envisaged in the July 12 agreement predictably begins with the adoption – before the end of the month – of harsh tax measures and medium-term fiscal targets equivalent to another bout of stringent austerity. Then comes a mid-summer negotiation of another large loan, equivalent to 48% of GDP (the debt-to-GDP ratio is already above 180%). Finally, in November, at the earliest, and after the first review of the new program is completed, “the Eurogroup stands ready to consider, if necessary, possible additional measures… aiming at ensuring that gross financing needs remain at a sustainable level.”
During the negotiations to which I was a party, from January 25 to July 5, I repeatedly suggested to our creditors a series of smart debt swaps. The aim was to minimize the amount of new funding required from the European Stability Mechanism and the IMF to refinance Greek debt, and to ensure that Greece would become eligible within 2015 for the European Central Bank’s asset-purchase program (quantitative easing), effectively restoring Greece’s access to capital markets. We estimated that no more than €30 billion ($33 billion, or 17% of GDP) of new, ESM-sourced financing would be required, none of which would be needed for the Greek state’s primary budget.
Our proposals were not rejected. Although we had it on good authority that they were technically rigorous and legally sound, they simply were never discussed. The political will of the Eurogroup was to ignore our proposals, let the negotiations fail, impose an indefinite bank holiday, and force the Greek government to acquiesce on everything – including a massive new loan that is almost triple the size we had proposed. Once again, Greece’s creditors put the cart before the horse, by insisting that the new loan be agreed before any discussion of debt relief. As a result, the new loan deemed necessary grew inexorably, as in 2010 and 2012.
Unsustainable debt is, sooner or later, written down. But the precise timing and nature of that write-down makes an enormous difference for a country’s economic prospects. And Greece is in the throes of a humanitarian crisis today because the inevitable restructuring of its debt has been used as an excuse for postponing that restructuring ad infinitum. As a high-ranking European Commission official once asked me: “Your debt will be cut come hell or high water, so why are you expending precious political capital to insist that we deliver the restructuring now?”
The answer ought to have been obvious. An ex ante debt restructuring that reduces the size of any new loans and renders the debt sustainable before any reforms are implemented stands a good chance of crowding in investment, stabilizing incomes, and setting the stage for recovery. In sharp contrast, a debt write-down like Greece’s in 2012, which resulted from a program’s failure, only contributes to maintaining the downward spiral.
Why do Greece’s creditors refuse to move on debt restructuring before any new loans are negotiated? And why do they prefer a much larger new loan package than necessary?
The answers to these questions cannot be found by discussing sound finance, public or private, for they reside firmly in the realm of power politics. Debt is creditor power; and, as Greece has learned the hard way, unsustainable debt turns the creditor into Leviathan. Life under it is becoming nasty, brutish and, for many of my compatriots, short.
LONDON – From blaming him for the renewed collapse of the Greek economy to accusing him of illegally plotting Greece’s exit from the eurozone, it has become fashionable to disparage Yanis Varoufakis, the country’s former finance minister. While I have never met or spoken to him, I believe that he is getting a bad rap (and increasingly so). In the process, attention is being diverted away from the issues that are central to Greece’s ability to recover and prosper – whether it stays in the eurozone or decides to leave.
That is why it is important to take note of the ideas that Varoufakis continues to espouse. Greeks and others may fault him for pursuing his agenda with too little politesse while in office. But the essence of that agenda was – and remains – largely correct.
Following an impressive election victory by his Syriza party in January, Greece’s prime minister, Alexis Tsipras, appointed Varoufakis to lead the delicate negotiations with the country’s creditors. His mandate was to recast the relationship in two important ways: render its terms more amenable to economic growth and job creation; and restore balance and dignity to the treatment of Greece by its European partners and the International Monetary Fund.
These objectives reflected Greece’s frustrating and disappointing experience under two previous bailout packages administered by “the institutions” (the European Commission, the European Central Bank, and the IMF). In pursuing them, Varoufakis felt empowered by the scale of Syriza’s electoral win and compelled by economic logic to press three issues that many economists believe must be addressed if sustained growth is to be restored: less and more intelligent austerity; structural reforms that better meet social objectives; and debt reduction.
These issues remain as relevant today, with Varoufakis out of government, as they were when he was tirelessly advocating for them during visits to European capitals and in tense late-night negotiations in Brussels. Indeed, many observers view the agreement on a third bailout program that Greece reached with its creditors – barely a week after Varoufakis resigned – as simply more of the same. At best, the deal will bring a respite – one that is likely to prove both short and shallow.
In part, the criticism of Varoufakis reflects less the substance of his proposals than the manner in which he approached his interlocutors. Eschewing the traditional duality of frank private discussions and restrained public commentary, he aggressively advocated his case openly and bluntly, and did so in an increasingly personal manner.
Whether deemed naive or belligerent, this approach undeniably upset and angered European politicians. Rather than modifying a policy framework that had failed for five years to deliver on its stated objectives, they dug in their heels, eventually resorting to the economic equivalent of gunboat diplomacy. And they evidently also made it clear to Varoufakis’s boss, Tsipras, that the future of negotiations depended on him casting aside his unconventional minister – which he did, first by assigning someone else to lead the negotiations and then by appointing a new finance minister altogether.
Now that he is out of office, Varoufakis is being blamed for much more than failing to adapt his approach to political reality. Some hold him responsible for the renewed collapse of the Greek economy, the unprecedented shuttering of the banking system, and the imposition of stifling capital controls. Others are calling for criminal investigations, characterizing the work he led on a Plan B (whereby Greece would introduce a new payments system either in parallel or instead of the euro) as tantamount to treason.
But, love him or hate him (and, it seems, very few people who have encountered him feel indifferent), Varoufakis was never the arbiter of Greece’s fate. Yes, he should have adopted a more conciliatory style and shown greater appreciation for the norms of European negotiations; and, yes, he overestimated Greece’s bargaining power, wrongly assuming that pressing the threat of Grexit would compel his European partners to reconsider their long-entrenched positions. But, relative to the macro situation, these are minor issues.
Varoufakis had no control over the economic mess that Syriza inherited when it came to power, including an unemployment rate hovering around 25% and youth joblessness that had been running at more than 50% for a considerable period. He could not influence in any meaningful manner the national narratives that had sunk deep roots in other European countries and thus undermined those countries’ ability to adapt. He could not counter the view among some of the region’s politicians that success for Syriza would embolden and strengthen other non-traditional parties around Europe.
It also would have been irresponsible for Varoufakis not to work behind closed doors on a Plan B. After all, Greece’s eurozone destiny largely was – and remains – in the hands of others (particularly Germany, the ECB, and the IMF). And it is yet to be established whether Varoufakis broke any laws in the way he and his colleagues worked on their contingency plan.
When push came to shove, Varoufakis faced the difficult choice of going along with more of the same, despite knowing that it would fail, or trying to pivot to a new approach. He bravely opted for the latter. While his brash style undermined outcomes, it would be a real tragedy to lose sight of his arguments (which have been made by many others as well).
If Greece is to have any realistic chance of long-term economic recovery and meeting its citizens’ legitimate aspirations, policymakers must recast the country’s austerity program, couple pro-growth reforms with greater social justice, and secure additional debt relief. And if Greece is to remain in the eurozone (still a big if, even after the latest agreement), it must not only earn its peers’ respect; it must be treated with greater respect by them as well.
European 'alliance of national liberation fronts' emerges to avenge Greek defeat
For the pony-tailed leader of Spain's Podemos movement, the Leninist lesson of Greece is that revolutionary forces must show an iron fist
Cómo está el patio que cada cual echa el lazo para cazar fiscalmente a sus nacionales. Recuerdo que en tiempos de Aznar a Rato se le ocurrió (sería a un técnico, que a ese solamente se le ocurre lo que ya sabemos), que un español no dejaba de ser residente fiscal por pasar 183 días al año en otro lugar si ese lugar era calificable de "paraíso fiscal". Ojo que de aquí al chip implantado va poco. Claro que el que paga, manda.
MÚNICH – Tras meses de juegos y actitudes políticas temerarias y sólo una semana después de que los votantes griegos rechazaran las condiciones para un plan de rescate de 7.500 millones de euros (8.200 millones de dólares), el final llegó rápidamente. Los dirigentes políticos de la zona del euro acordaron iniciar negociaciones con un plan mucho mayor, que asciende a 86.000 millones de euros, casi la mitad del PIB de Grecia. Lamentablemente, el acuerdo revela la evidente determinación de Europa de volver a representar la misma tragedia en el futuro.
A lo largo de los cinco últimos años, nada menos que 344.000 millones de euros han pasado de los acreedores oficiales, como el Banco Central Europeo y el Fondo Monetario Internacional a las arcas del Estado griego y a los bancos comerciales de este país, pero, seis meses después de negociaciones casi fútiles, se había llegado al agotamiento y las vacaciones estaban al caer, por lo que se prestó poca atención a las condiciones reales para un nuevo rescate de Grecia. Aunque el Fondo Europeo de Estabilidad Financiera había declarado oficialmente en quiebra a Grecia el 3 de julio, los dirigentes de la zona del euro volvieron a aplazar el asunto de la insolvencia.
El último acuerdo sí que detuvo –o al menos interrumpió– la mayor crisis de la zona del euro hasta la fecha, lo que puso fin a un período sin precedentes de antipatía, oprobio, humillación, incordios y chantaje dentro de Europa. De hecho, Grecia se libró por los pelos de salir de la zona del euro.
El ex ministro de Hacienda de Grecia Yanis Varoufakis reveló que, después de tomar posesión de su cargo, montó un grupo, con el consentimiento del Primer Ministro, Alexis Tsipras, que se reunió en secreto para preparar la introducción de una moneda paralela y la toma del control del Banco Central de Grecia: la salida, en realidad, de la zona del euro. El Gobierno de Alemania estaba dispuesto también a aceptar lo que parecía inevitable. Si el Presidente de Francia, François Hollande, no hubiera asesorado a Grecia, a espaldas de la Canciller de Alemania, Angela Merkel, sobre cómo negociar, los acontecimientos habrían seguido un rumbo totalmente distinto.
La enconada disputa dentro del Eurogrupo (compuesto por los ministros de Hacienda de la zona del euro) no sólo creó tensiones en las relaciones entre los miembros de la unión monetaria, sino que, además, avivó las existentes dentro de los gobiernos nacionales. Muchos dirigentes europeos siguen sintiendo el escozor y lamiéndose las heridas, pero éste debería ser también el momento de que reflexionaran sobre lo sucedido y sus causas.
El rifirrafe fue la consecuencia de un intento de colocar la política por encima de las leyes de la economía. El dogma de la infalibilidad de las autoridades europeas y la irrevocabilidad de todos los avances hacia la integración chocaron con la realidad.
Si Europa sigue aplicando el mismo planteamiento a sus problemas de deuda que ha utilizado en el caso de Grecia, afrontará muchos conflictos en el futuro. El error fundamental se produjo en abril y mayo de 2010, cuando los prestadores oficiales –en forma de los demás Estados miembros de la zona del euro– substituyeron a los acreedores privados de Grecia.
Propuso ese plan el entonces Presidente del BCE Jean-Claude Trichet, con una clara violación de la regla del Tratado de Maastricht que prohibía los rescates de países y que había sido la condición fundamental de Alemania para abandonar el marco alemán, pero el Presidente francés Nicolas Sarkozy amenazó con abandonar el euro (como más adelante reveló el ex Primer Ministro de España, José Luis Rodríguez Zapatero, al periódico El País), a no ser que Alemania firmara el acuerdo sobre el rescate. Christine Lagarde, la ministra de Hacienda de Francia en aquel momento, dijo: “Violamos todas las reglas porque queríamos cerrar filas y rescatar de verdad a la zona del euro”.
Se violaron las reglas, en efecto, pero está por ver si la decisión sobre el rescate rescató el euro. Desde luego, rescató a muchos bancos comerciales, que en el primer trimestre de 2010 corrían grandes riesgos en relación con el Estado griego. Los bancos griegos habían sido los que habían prestado más al Estado griego (29.000 millones de euros), seguidos por los bancos franceses (20.000 millones de euros), los bancos alemanes (17.000 millones de euros) y los bancos de los EE.UU. (4.000 millones de euros).
Con el rescate se rescató también al BCE, en la medida en que el crédito fiscal substituyó parte de su crédito Target, acumulado desde el comienzo de 2008. En aquel momento, la economía griega afrontó una interrupción repentina de las entradas de capitales privados y el Banco Central de Grecia financió todo el déficit por cuenta corriente del país con un crédito suplementario de refinanciación procedente de su imprenta electrónica local.
Pero rescatar a bancos no es lo mismo que rescatar el euro. Además, rescatar el euro no es lo mismo que rescatar el proyecto europeo.
La decisión sobre el rescate de 2010 transformó una controversia comercial normal entre acreedores y deudores –que siempre surge cuando los deudores dejan de saldar su deuda– en una disputa entre Estados soberanos. Con ello se creó animosidad entre los pueblos de Europa y se proporcionaron armas a partidos radicales de toda clase, lo que dañó gravemente el proceso de integración europea.
Sin la socialización de la deuda brindada por los planes de rescate, Varoufakis o quienquiera que hubiese dirigido el Ministerio de Hacienda de Grecia habría tenido que declararse insolvente y después afrontar a los acreedores privados de una diversidad de países. Después los gobiernos de éstos se habrían visto obligados a rescatar a bancos tambaleantes con el dinero de sus contribuyentes.
Desde luego, el rescate de bancos locales no habría sido un paseo por el parque, pero habría ahorrado a Europa el espectáculo de los gobiernos de sus Estados miembros enseñándose los dientes unos a otros. En 2008, Alemania rescató a Hypo Real Estate y en 2011 Bélgica, Francia y Luxemburgo rescataron a Dexia Bank. Como indican estos casos, se podría haber hecho la limpieza de la casa propia sin gran alborto o al menos sin provocar tensiones internacionales.
Los bancos y quienes los apoyan en los medios de comunicación siempre predicen desastres cuando se ciernen deudas incobrables. Entonces los políticos suelen acceder, temblorosos, a sus peticiones y meten en un apuro a sus contribuyentes, pero las más de 180 suspensiones de pagos soberanas que ha habido desde 1945 no hicieron caer a los incumplidores por un precipicio. Al contrario: por lo general, tuvieron una nueva oportunidad. En realidad, los peligros que ahora afronta Europa a consecuencia de la socialización de las deudas son mucho mayores que los planteados por una posible y simple crisis financiera.
La enseñanza que se desprende del desastre griego es la de que la zona del euro debe formular procedimientos para abordar las insolvencias soberanas lo antes posible para impedir que otros soberanos pasen a ser acreedores mediante la mutualización de la deuda. Si los gobiernos nacionales de la Unión Europea quieren ayudarse unos a otros en una crisis, deben prestar ayuda humanitaria unilateralmente, sin condiciones y sin rescate. Si prestas a un amigo, dejará de ser tu amigo. Si no se tiene en cuenta ese principio de sensatez, será imposible mantener unida a Europa.
Italy is the most likely country to leave the euro
What do you call a country that has grown 4.6 percent—in total—since it joined the euro 16 years ago? Well, probably the one most likely to leave the common currency. Or Italy, for short.
It's hard to say what went wrong with Italy, because nothing ever went right. It grew 4 percent its first year or so in the euro, but almost not at all in the 15 years since. Now, that's not to say that it's been flat the whole time. It hasn't. It got as much as 14 percent bigger as it was when it joined the euro, before the 2008 recession and 2011 double-dip erased most of that progress. But unlike, say, Greece, there was never much of a boom. There has only been a bust. The result, though, has been the same. As you can see below, Greece and Italy have both grown a meager 4.6 percent the past 16 years, although they took drastically different paths to get there.
Part of it is that Italy, as the IMF points out, has real structural problems. It's hard to start a business, hard to expand one, and hard to fire people, which makes employers wary about hiring them in the first place. That's led to a small business dystopia, where nobody can achieve the kind of economies of scale that would make them more productive. But, at the same time, Italy had these problems even before it had the euro, and it still managed to grow back then. So part of the problem is the euro itself. It's too expensive for Italian exporters, and too restrictive for the government that's had to cut its budget even more than it otherwise would have.
This doesn't make Italy unique—the euro has hurt even the best-run countries—but what does is that Italy's populists have noticed. Why is that? Well, more than anything else, the common currency has given Europe a severe case of cognitive dissonance. People hate austerity, but they love the euro even more—they have an emotional attachment to everything it stands for. The problem, though, is that the euro is the reason they have to slash their budgets so much in the first place (at least as long as the European Central Bank will force their banks shut if they don't). So anti-austerity parties have felt like they have to promise the impossible if they want any hope of gaining power: that they can end the budget cuts without ending the country's euro membership. But as Greece's Syriza party found out, that strategy, if you want to call it one, only gives your people unrealistic expectations and Europe no reason to help you out. The other countries, after all, don't want to reward what, in their view, is bad budgetary behavior, if not blackmail. And so Greece was all but given an ultimatum: either leave the euro or do even more austerity than it was originally told to do. It chose austerity.
The lesson was clear. Don't elect anti-austerity parties, or things will get even worse for you. But, in Italy at least, the anti-austerity parties have learned the opposite lesson. Don't rule out leaving the euro, or things will never get better for you. Beppe Grillo, the comedian-turned-politician at the head of Italy's second-most popular party, the Five Star Movement, has gone from being a vague euroskeptic to an outspoken one. He wrote that Greek Prime Minister Alexis Tsispras' "refusal to exit the euro was his death sentence" and that Italy should use its debt "as an advantage that allows us to be on the offensive in any future negotiations." It's the old saying: if you owe the bank 100 euros, that's your problem, but if you owe the bank 2 trillion euros, that's their problem.
As far as problems go, that's a pretty big one. It wouldn't be quite so large, though, if Italy would actually start growing again. More income would mean less of a debt burden, and, in turn, less need for austerity. But it's just hard to see how that would happen. Italy's government still has to cut its budget, and its companies still have to cut their costs to become more competitive, both of which will hurt growth in the short-term. And, in the meantime, Italy's anti-austerity party is the only one in Europe willing to point out that the emperor has no growth.
People might notice that it's true.
Fiscalidad UE.
Francia acaba de dar un puñetazo en la mesa:
[url]http://www.boursorama.com/actualites/un-retraite-qui-vit-a-l-etranger-de-sa-pension-percue-en-france-a-son-domicile-fiscal-en-france-ec34315c987731ef1f1678b1db88c494[/url] ([url]http://www.boursorama.com/actualites/un-retraite-qui-vit-a-l-etranger-de-sa-pension-percue-en-france-a-son-domicile-fiscal-en-france-ec34315c987731ef1f1678b1db88c494[/url])
Conseil d’Etat (arrêt du 17 juin 2015, n° 371412)
Los jubilados en el extranjero cuyos principales ingresos (=sus intereses economicos principales) provienen de la pension francesa (del pais de origen) tienen su domicilio fiscal en Francia, aunque residan civilmente en el extranjero.
Es correcto con los convenios fiscales y tratados UE (los relativos a SSocial, por ejemplo)
La novedad es que el p'rincipio se aplica a todos los sujetos pasivos del IRPF, no sólo a los que tienen una actividad economica declarada
En referencia a la importación de pensionistas jubiletas, se acaba de cargar elnegocionicho ofrecido por paises como Portugal (o norte de Africa) y otros que eximen de IRPF por "himbertir" la pension en pisitos,y domiciliarse en Portugal o España.
Apuesto que en breve se apuntarán Alemania, UK y todos los paises norteños a tan excelente principio. O que lo codificarán de una vez en una Directiiva fiscal europea. La primera. ;)
Je, je.
En realidad, les da igual a los paises de acogida, aunque no podrán aplicar IRPF a los jubiletas en el futuro. Lo que hacian era aprovechar un nicho fiscal, otorgando exencion de IRPF a los "importados", cuando esa exencion se la tenian que comer Francia (o UK, o Alemania, etc)..
Lo que ha hecho Francia es rellenar "el hueco" y decir que se acabo lo de la exencion fiscal.
Además, la fiscalidad ligada a bienes inmuebles depende del lugar del inmueble. Así que a los paises de acogida como Portugal les sale redondo: siguen cobrando IBI, mutacion y sucesion, y todas las tasas ligadas al inmueble, como antes.
Me sé de jubiletas importados (o exportados, según se mire) que se van a comer sus ladrillos al sol.
Vamos, Union fiscal por la vía ejecutiva 8)
Artículo 4 Residente
1. A los efectos de este Convenio, la expresión «residente de un Estado contratante» significa toda persona que en virtud de la legislación de este Estado esté sujeta a imposición en él por razón de su domicilio, residencia, sede de dirección o cualquier otro criterio de naturaleza análoga. Sin embargo, esta expresión no incluye a las personas que estén sujetas a imposición en este Estado exclusivamente por la renta que obtengan procedente de fuentes situadas en el citado Estado, o por el patrimonio que posean en el mismo.
2. Cuando en virtud de las disposiciones del apartado 1 una persona física sea residente de ambos Estados contratantes, su situación se resolverá de la siguiente manera:
a) Esta persona será considerada residente del Estado donde tenga una vivienda permanente a su disposición; si tuviera una vivienda permanente a su disposición en ambos Estados, se considerará residente del Estado en el que mantenga relaciones personales y económicas más estrechas (centro de intereses vitales).
b) Si no pudiera determinarse el Estado en el que dicha persona tiene el centro de sus intereses vitales, o si no tuviera una vivienda permanente a su disposición en ninguno de los Estados, se considerará residente del Estado contratante donde viva habitualmente.
c) Si viviera habitualmente en ambos Estados o no lo hiciera en ninguno de ellos, se considerará residente del Estado del que sea nacional.
d) Si fuera nacional de ambos Estados o no lo fuera de ninguno de ellos, las autoridades competentes de los dos Estados contratantes resolverán el caso de común acuerdo.
3. Cuando en virtud de las disposiciones del apartado 1 una persona que no sea una persona física sea residente de ambos Estados contratantes, se considerará residente del Estado en que se encuentre su sede de dirección efectiva.
Artículo 33 Denuncia
1. El presente Convenio permanecerá en vigor sin limitación de tiempo. Sin embargo, cualquiera de los Estados contratantes podrá denunciar el Convenio comunicándolo por vía diplomática con seis meses de antelación, como mínimo, antes del final de cada año natural, a partir del quinto año natural siguiente al de su entrada en vigor.
2. En este caso, las disposiciones del Convenio se aplicarán por última vez:
a) Respecto de los impuestos que se exijan por retención en la fuente, a las rentas cuyo pago pueda exigirse hasta el 31 de diciembre del año natural a cuya expiración se refiera la notificación de la denuncia;
b) Respecto de los restantes impuestos sobre la renta, a las rentas correspondientes al año natural a cuya expiración se refiera la notificación de la denuncia o al ejercicio fiscal cerrado en el transcurso de ese mismo año.
c) Respecto de los restantes impuestos, a los gravámenes cuyo hecho imponible se produzca durante el año natural a cuya expiración se refiera la notificación de la denuncia.
En fe de lo cual, los signatarios, debidamente autorizados para ello, han firmado el presente Convenio.
CitarArtículo 4 Residente
1. A los efectos de este Convenio, la expresión «residente de un Estado contratante» significa toda persona que en virtud de la legislación de este Estado esté sujeta a imposición en él por razón de su domicilio, residencia, sede de dirección o cualquier otro criterio de naturaleza análoga. Sin embargo, esta expresión no incluye a las personas que estén sujetas a imposición en este Estado exclusivamente por la renta que obtengan procedente de fuentes situadas en el citado Estado, o por el patrimonio que posean en el mismo.
2. Cuando en virtud de las disposiciones del apartado 1 una persona física sea residente de ambos Estados contratantes, su situación se resolverá de la siguiente manera:
a) Esta persona será considerada residente del Estado donde tenga una vivienda permanente a su disposición; si tuviera una vivienda permanente a su disposición en ambos Estados, se considerará residente del Estado en el que mantenga relaciones personales y económicas más estrechas (centro de intereses vitales).
b) Si no pudiera determinarse el Estado en el que dicha persona tiene el centro de sus intereses vitales, o si no tuviera una vivienda permanente a su disposición en ninguno de los Estados, se considerará residente del Estado contratante donde viva habitualmente.
c) Si viviera habitualmente en ambos Estados o no lo hiciera en ninguno de ellos, se considerará residente del Estado del que sea nacional.
d) Si fuera nacional de ambos Estados o no lo fuera de ninguno de ellos, las autoridades competentes de los dos Estados contratantes resolverán el caso de común acuerdo.
3. Cuando en virtud de las disposiciones del apartado 1 una persona que no sea una persona física sea residente de ambos Estados contratantes, se considerará residente del Estado en que se encuentre su sede de dirección efectiva.
Queda claro, pues, que la residencia la delimita la posesión de una vivienda o bien donde resida habitualmente (>183 días/año). Nada tiene que ver el origen de su principal fuente de ingresos en este asunto.
[url]http://noticias.juridicas.com/base_datos/Fiscal/cfranciaedi.html[/url] ([url]http://noticias.juridicas.com/base_datos/Fiscal/cfranciaedi.html[/url])
si tuviera una vivienda permanente a su disposición en ambos Estados, se considerará residente del Estado en el que mantengarelaciones personalesintereses económicos más estrechos (centro de intereses vitales).)
Fiscalidad UE.
Francia acaba de dar un puñetazo en la mesa:
[url]http://www.boursorama.com/actualites/un-retraite-qui-vit-a-l-etranger-de-sa-pension-percue-en-france-a-son-domicile-fiscal-en-france-ec34315c987731ef1f1678b1db88c494[/url] ([url]http://www.boursorama.com/actualites/un-retraite-qui-vit-a-l-etranger-de-sa-pension-percue-en-france-a-son-domicile-fiscal-en-france-ec34315c987731ef1f1678b1db88c494[/url])
Conseil d’Etat (arrêt du 17 juin 2015, n° 371412)
Los jubilados en el extranjero cuyos principales ingresos (=sus intereses economicos principales) provienen de la pension francesa (del pais de origen) tienen su domicilio fiscal en Francia, aunque residan civilmente en el extranjero.
Es correcto con los convenios fiscales y tratados UE (los relativos a SSocial, por ejemplo)
La novedad es que el p'rincipio se aplica a todos los sujetos pasivos del IRPF, no sólo a los que tienen una actividad economica declarada
En referencia a la importación de pensionistas jubiletas, se acaba de cargar elnegocionicho ofrecido por paises como Portugal (o norte de Africa) y otros que eximen de IRPF por "himbertir" la pension en pisitos,y domiciliarse en Portugal o España.
Apuesto que en breve se apuntarán Alemania, UK y todos los paises norteños a tan excelente principio. O que lo codificarán de una vez en una Directiiva fiscal europea. La primera. ;)
Je, je.
En realidad, les da igual a los paises de acogida, aunque no podrán aplicar IRPF a los jubiletas en el futuro. Lo que hacian era aprovechar un nicho fiscal, otorgando exencion de IRPF a los "importados", cuando esa exencion se la tenian que comer Francia (o UK, o Alemania, etc)..
Lo que ha hecho Francia es rellenar "el hueco" y decir que se acabo lo de la exencion fiscal.
Además, la fiscalidad ligada a bienes inmuebles depende del lugar del inmueble. Así que a los paises de acogida como Portugal les sale redondo: siguen cobrando IBI, mutacion y sucesion, y todas las tasas ligadas al inmueble, como antes.
Me sé de jubiletas importados (o exportados, según se mire) que se van a comer sus ladrillos al sol.
Vamos, Union fiscal por la vía ejecutiva 8)
¡Qué obsesión tienen los anglos contra el euro!
Europa pretende hacer los mismo pero tratando de ahorrarse ese inmenso ejército.
Ahora ocurre que si un extranjero es residente[fiscal], el tratamiento lo paga el estado de residencia[fiscal también]. Entonces, Francia pagará por sus jubiletas residentes [franceses] fiscales en[Francia]el extranjero como hace con los turistas [franceses en el extranjero].
No me queda claro que esto les vaya a salir rentable, sobre todo teniendo en cuenta lo que van a recaudar de las pensiones y que el consumo lo harían todo fuera.
La noción de residencia será sinónimo de "residencia fiscal"(1), y para todo lo demás, cada uno en el domicilio que le venga mejor, y Dios-Bruselas en el de todos.
(1) De hecho, no existe confusión cuando en un formulario dices que eres "no-residente" por cierto. Se refiere siempre a la no-residencia fiscal. Lo contrario no tendría sentido. En el apartado de al lado, debes precisar un "domicilio" por si no quedaba claro.
Básicamente las pensiones funcionan así:
- Pensión percibida por un trabajo anterior público (funcionario, etc..) tributa en el país que la paga, no en el de residencia fiscal. ES LA EXCEPCIÓN. Obviamente esas pensiones ya vienen con retención en la fuente, a cuenta del impuesto a pagar final.
- Pensión percibida por un trabajo anterior privado (empleado privado) tributa en el país de residencia fiscal del que la cobra. Esas pensiones vienen ya sin retención, en caso de que el perceptor no sea residente fiscal en el país pagador. No hay necesidad de aplicar mecanismos de doble imposición: no existe.
Lo cual por cierto parece lógico. No tendría sentido pagar impuestos en Francia y “disfrutar” de los servicios públicos españoles.
El patrón mental de la Directiva es : en funcion de lo que haga un ciudadano de cualquier Estado de la UE, la administración del Estado competente se adapta para cubrir sus derechos (el CEDH y cosas así)
Abstrats : 19-04-01-02-02 CONTRIBUTIONS ET TAXES. IMPÔTS SUR LES REVENUS ET BÉNÉFICES. RÈGLES GÉNÉRALES. IMPÔT SUR LE REVENU. LIEU D'IMPOSITION. - DOMICILE FISCAL (ART. 4 A DU CGI) - CRITÈRES - CENTRE DES INTÉRÊTS ÉCONOMIQUES (ART. 4 B) - CONTRIBUABLE VIVANT À L'ÉTRANGER MAIS PERCEVANT, SUR SON COMPTE BANCAIRE EN FRANCE, DES REVENUS DE SOURCE FRANÇAISE.(click to show/hide)
Para juzgar que el demandante no disponia en FR de sus intereses economicos en el sentido del [reglamento fiscal], una Corte adminitrativa observó que el pago de su pensión en una cuenta de FR sólo era una modalidad (de gestión del dinero) dispuesta por él, que el demandante transfería una parte a Cambodia para él y su familia, que administraba todas sus cuentas desde Cambodia y que esa pensión no tenía caracter de remuneración derivada de una actividad económica en FR.
Al fundarse en tales elementos que no bastaban para probar que el demandante habia dejado de tener en FR el centro de sus intereses económicos, cuando es probado que las rentas percibidas eran íntegramente de fuente francesa,
La corte ha calificado incorrectamente los hechos,
DECIDE
Article 1er : La sentencia de la Corte administrativa queda anulada ..
Article 2 : El caso se devuelve a la Corte administrativa
...
Article 4 : Esta decision se comunica al interesado y al Ministro de Hacienda y de Presupuesto
Par son arrêt du 27 juillet 2015, le Conseil d’Etat a décidé de suivre la décision rendue le 26 février dernier par la CJUE et vient ainsi confirmer qu’un contribuable non-résident soumis à la législation de sécurité sociale d’un autre Etat membre ne peut être soumis aux prélèvements sociaux en France sur ses revenus du patrimoine.
Cette décision vient conforter l’ensemble des réclamations contentieuses déposées jusqu’à ce jour visant à la restitution des prélèvements sociaux prélevés sur les revenus du patrimoine des non-résidents.
Pour ceux qui n’ont pas encore procédé au dépôt d’une telle réclamation, nous vous précisons que les non-résidents ayant acquitté des prélèvements sociaux en 2013 au titre de leurs revenus du patrimoine de l’année 2012 (revenus fonciers et plus-values immobilières) ont jusqu’au 31 décembre 2015 pour réclamer la restitution de ceux-ci.
la Contribution Sociale Généralisée (CSG) : 7,5% sobre rentas de actividad o alocaciones y 8,2% sobre rentas de patrimonio e inversiones (=15,7 %)
la Contribution a reembolso de la deuda social (CRDS) = 0,5%,
retencion social de 4,5%, más retención adicional de 0,3%, sobre rentas de capital (=4,8%)
retención de solidaridad 2% sobre rentas de patrimonio e inversiones ya sometidas a la CSG.
Mi duda es si de verdad un francés jubilado tiene tanta tendencia a irse del país, ...
Mi duda es si de verdad un francés jubilado tiene tanta tendencia a irse del país, ...
En mi post anterior acerca del acatamiento al CJUE en materia de tasas de "solidaridad social" tienes alguna explicación al porqué los jubiletas prefieren expatriarse.
Y recuerda que la zona Sur de FR es carísima (Niza, Biarritz, Córcega), de forma que muchos de los jubilados medios de la la zona norte de FR se expatría sin problemas a ES o PT o Grecia, porque aún con costes, sigue siendo rentable, y sigue siendo Europa para todo lo demás.
Si encima lo hacen manteniendo la residencia fiscal en FR, será FR la que asegure los costes de la cobertura sanitaria pública. Y en ES, hasta ahora, es de los pocos paises con una sanidad pública modélica.
Ya hablamos alguna vez de ello.
Hay muchísimas Web y empresas que drenan el mercado de jubiletas y expatriados.
No puedes comparar, porque en ES no se entiende bien lo que representa el suplicio administrativo de paises como FR después de "toda una vida trabajando". Incluso para los activos, España es un paraiso de racionalidad fiscal y normativo (exceptuando, es cierto, a los tarados que van a por sus soberanías "nacionales", pero tampoco afecta demasiado a los no-residentes fiscales, sólo a los "nativos" que les votan y ¡les confían sus impuestos! ;) )
lo que acabo de leer me ha dado espasmos
lo de paraiso normativo y racional solo se lo tienes que decir a los inversores de las renovables, del autoconsumo, del pequeño empresario alimentario, de sector de las nuevas tecnologias y los ciberempresarios, del autonomo esporádico, del trabajador temporal...
España, el país con más pleitos internacionales
[url]http://www.elmundo.es/economia/2015/05/13/5550fd67268e3ee11e8b456e.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/economia/2015/05/13/5550fd67268e3ee11e8b456e.html[/url])
vamos una maravilla de pais, que llama tarado al otro sin pensar lo que ha escrito
CAMBRIDGE – El reconocimiento por el Fondo Monetario Internacional de que la deuda de Grecia es insostenible podría resultar ser un punto de inflexión para el sistema financiero mundial. Es evidente que se deben tomar más en serio las políticas heterodoxas para abordar las grandes cargas de deuda existentes, incluso en algunos países avanzados.
Desde el comienzo de la crisis griega, ha habido básicamente tres escuelas de pensamiento. La primera es la concepción de la llamada troika (la Comisión Europea, el Banco Central Europeo y el FMI), según la cual la periferia de la zona del euro con problemas de deuda (Grecia, Irlanda, Portugal y España) requiere una fuerte disciplina normativa para prevenir que una crisis de liquidez a corto plazo se transforme en un problema de
insolvencia a largo plazo.
La prescripción normativa ortodoxa era la de conceder préstamos de empalme tradicionales a esos países, con lo que dispondrían del tiempo para solucionar sus problemas presupuestarios y emprender reformas estructurales encaminadas a aumentar sus posibilidades de crecimiento a largo plazo. Ese planteamiento ha “funcionado” en España, Irlanda y Portugal, pero a costa de recesiones tremendas. Además, hay un gran riesgo de recaída en caso de que se produzca un importante bajón en la economía mundial. Sin embargo, la política de la troika no ha estabilizado –y menos aún reavivado– la economía de Grecia.
Una segunda escuela de pensamiento considera también la crisis un problema de liquidez exclusivamente, pero ve la insolvencia a largo plazo como un riesgo poco probable, en el peor de los casos. El problema no es el de que la deuda de los países de la periferia de la zona del euro sea demasiado grande, sino que no se le ha permitido aumentar lo suficiente.
Ese bando antiausteridad cree que, incluso cuando los mercados privados perdieron totalmente la confianza en la periferia de Europa, la Europa septentrional podría haber solucionado fácilmente el problema cosignando la deuda de la periferia, tal vez al amparo de unos eurobonos respaldados en última instancia por todos los contribuyentes (y en particular los alemanes) de la zona del euro. Entonces se habría permitido a los países de la periferia no sólo reestructurar su deuda, sino también aplicar hasta el final una política fiscal contracíclica durante el tiempo que sus gobiernos nacionales hubieran considerado necesario.
Dicho de otro modo, para los “antiausteridad” la zona del euro padeció una crisis de competencia, no una crisis de confianza. Nada importa que la zona del euro no tenga una autoridad fiscal centralizada y sólo una unión bancaria incompleta. Nada importan los problemas de riesgo moral o insolvencia y tampoco las reformas estructurales que propicien el crecimiento. Todos los deudores podrán pagar en el futuro, aun cuando no siempre hayan sido fiables en el pasado. En cualquier caso, un crecimiento más rápido del PIB sufragará todo, gracias a unos elevados multiplicadores fiscales. Europa dejó pasar una oportunidad muy favorable.
Se trata de un punto de vista totalmente coherente, pero ingenuo por su confianza incondicional (por ejemplo, en los polémicos textos del premio Nobel de economía Paul Krugman). A consecuencia de ello, la concepción antiausteridad oculta suposiciones muy poco fundamentadas y grandes riesgos. En realidad, acumular préstamos sobre cargas de deuda ya elevadas en la periferia de la zona del euro entrañaba un riesgo importante, en particular cuando estalló la crisis.
La corrupción política, ejemplificada por la connivencia entre el Gobierno y el sector financiero de España, era endémica. Unos mercados laborales duales y monopolios del mercado de productos siguen frenando el crecimiento y los oligarcas tienen un poder desproporcionado para proteger sus intereses. En realidad, Alemania no habría podido subscribir toda la deuda de la periferia europea sin poner en riesgo su propia solvencia, en particular a falta de un sistema de controles y salvaguardias que funcione bien. Unas garantías más amplias y abiertas podrían haber dado resultado, pero, si no, la degradación económica de la periferia podría haberse extendido al centro.
Un tercer punto de vista es el de que, en vista de la gran magnitud de la crisis financiera, se debería haber diagnosticado como de insolvencia el problema de la deuda de Europa desde el principio y haberlo abordado con reestructuración y condonación de la deuda, ayudadas por una inflación moderadamente elevada y una reforma estructural. Ése ha sido mi punto de vista desde que comenzó la crisis.
En Irlanda y España, los tenedores de bonos privados, y no los contribuyentes irlandeses y españoles, deberían haber sido quienes sufrieran las consecuencias de las quiebras bancarias. En Grecia, debería haber habido amortizaciones de préstamos fallidos mas rápidas y mayores.
Naturalmente, los gobiernos nacionales habrían tenido que recurrir a fondos de los contribuyentes para recapitalizar los bancos europeos septentrionales que prestaron demasiado a la periferia –en particular los de Francia y Alemania– y habrían sido necesarias transferencias para recapitalizar los bancos de la periferia, pero al menos el público habría entendido entonces la realidad de la situación, mientras que los bancos reestructurados y recapitalizados habrían estado en condiciones de comenzar a prestar de nuevo.
Lamentablemente, demasiadas autoridades de economías avanzadas se dieron el lujo de creer que semejantes políticas heterodoxas son sólo para los mercados en ascenso. En realidad, los países avanzados han recurrido a políticas heterodoxas para reducir las deudas pendientes en muchas ocasiones. La reestructuración de la deuda habría brindado a Europa la reanudación que necesitaba. Es cierto que podría haber habido riesgos, como ha señalado el economista jefe del FMI, Olivier Blanchard, pero habría la pena correr esos riesgos.
Entonces, ¿cuál es la vía para avanzar? Una integración europea más profunda, normas más estrictas en materia de capital básico necesario en el caso de los bancos y unas reformas estructurales más profundas, pero de cosecha propia, son elementos fundamentales, desde luego, para cualquier solución. Aún se necesita urgentemente una mayor ayuda a la periferia europea.
Pero, aparte de eso, la experiencia de Europa debería mover a un replanteamiento total del sistema mundial para administrar las quiebras soberanas, lo que podría significar una vuelta a propuestas más antiguas del FMI sobre un mecanismo para las quiebras soberanas o la búsqueda de formas de institucionalizar la reciente posición del Fondo sobre la deuda griega. Nada es gratis en Europa y nunca lo ha sido, pero hay formas mucho mejores de abordar la deuda insostenible.
Germany benefited substantially from the Greek crisis
The balanced budget in Germany is largely the result of lower interest pay-
ments due to the European debt crisis. Research from the Halle Institute for
Economic Research (IWH) – Member of the Leibniz Association shows that the
debt crisis resulted in a reduction in German bund rates of about 300 basis
points (BP), yielding interest savings of more than EUR 100 billion (or more
than 3% of gross domestic product, GDP) during the period 2010 to 2015. A
significant part of this reduction is directly attributable to the Greek crisis.
When discussing the costs to the German tax payer of saving Greece, these
benefits should not be overlooked, as they tend to be larger than the expens-
es, even in a scenario where Greece does not repay any of its debts.
Yo no tengo ni idea de si lo conocía o no. Me da igual.
Los griegos votaron "cambio" con la esperanza de que todo siguiera igual.
La realidad es que las cosas no pueden seguir igual.
Hay que entender que el mundo ha cambiado. ¿Como piensan/pensaban competir los astilleros griegos con los chinos?
En el caso de España, el patrón político es el mismo: movimientos ciudadanos que aspiran a cambiarlo todo... para que no cambie nada. Paguita y pisito.
Pero ya no vivimos en 1990. No se puede. Es imposible.
Y es una jodienda a los que nos ha pillado en medio :(
Gracias a dios que por lo menos estamos en el mundo civilizado.
En el año 2014, ese ciudadano que representa a todos los trabajadores por cuenta ajena, el medio, ganó 22.605,79 euros brutos. Esta cifra supone un 0,2% menos que en 2013. Los costes laborales también disminuyeron. El desembolso que una empresa media hizo por un trabajador medio fue de 30.653 euros brutos en 2014. Se redujo en un 0,6% respecto al año anterior. El salario supuso un 73,75% del coste laboral total y las cotizaciones obligatorias que debe hacer cada empresa a la Seguridad Social (horas extras, contingencias comunes, contratos de formación y prácticas…) supusieron un 22,85%.http://blog.infoempleo.com/blog/2015/08/10/el-coste-laboral-medio-por-trabajador-fue-de-30-653-euros-en-2014/ (http://blog.infoempleo.com/blog/2015/08/10/el-coste-laboral-medio-por-trabajador-fue-de-30-653-euros-en-2014/)
[/size][/color]
[/size]Estos datos son los que ha presentado la Encuesta Anual de Coste Laboral ([url]http://www.ine.es/dyngs/INEbase/es/operacion.htm?c=Estadistica_C&cid=1254736060920&menu=ultiDatos&idp=1254735976596[/url]) que elabora el INE y que suma los obtenidos cada trimestre.[/color]Costes brutos y costes netos[/size]De los costes en bruto se descuenta la parte correspondiente a subvenciones o deducciones que se han realizado por parte de las administraciones públicas. Esto ha supuesto una disminución de 163,19 €/año de cada empleado. Las comunidades cuyas empresas han recibido mayores apoyos en forma de subvenciones fueron Cantabria y el País Vasco. Esta última fue la comunidad que mejores salarios pagó junto con la de Madrid.Actividades con mayores y menores costes laboralesEl sector que hizo un mayor desembolso en costes laborales fue el de la Industria. Dentro de este ámbito, la actividad que mayor aportación hizo por trabajador fue la de Suministro de energía eléctrica, gas, vapor y aire acondicionado (79.676,24 euros). Esta actividad es tradicionalmente la mejor pagada. Por el contrario, los menores costes laborales se dieron en hostelería (18.500,36 euros).Las empresas con más de 200 trabajadores son las que mejores salarios pagan y también las que realizan una mayor aportación a la Seguridad Social. Sin embargo, son las que menores subvenciones reciben según lo publicado.¿Cómo se estructura el coste laboral?El coste laboral lo componen, además de salarios y cotizaciones, las contribuciones que se realizan fruto de los convenios colectivos (seguros de maternidad, de accidente, entre otros), las prestaciones sociales directas como la aportación para el desempleo y la jubilación, y otros componentes de costes como las indemnizaciones por despido o las dietas.El estudio de los salarios se realiza también sobre otras fuentes. Además de la consulta directa a los centros de trabajo mediante un cuestionario, también se recogen los datos que arroja la estadística del registro de convenios y la información que aporta la Agencia Tributaria sobre los salarios que cobran los trabajadores de las grandes empresas.[/color]
What does it take to make a nation great? What makes a country a great place to live, a healthy society, and a bastion of stability? Various theories and ideas have been put forward, and I think they are all pretty much bunk. I think we can apply a little reductionism here, and conclude that national prosperity is a function of just two factors.
...
Here’s some of the factors that don’t matter:
Size (see Japan [large], Finland [small], and any number of small dysfunctional countries)
Diversity *per se* (e.g. Switzerland [diverse], Albania [homogenous], China [homogenous])
Resources (e.g. Arab oil states [resource rich], S. Korea [resource poor])
All that matters are two things: high average IQ, and high-trust people. You can even have several high-trust populations (e.g. Switzerland). And that’s all.
...
In the end, this shouldn’t be really surprising. After all, an advanced, modern society needs not only smart people to be the innovators and the facilitators, but it also needs a climate of trust that makes doing business possible and more frictionless. The NW European societies (and a few others, such as the Japanese) have these qualities and prosper in today’s world. The rest, not so much. These nations will continue to improve, but they will never match Western levels in either development or national stability. Only time will tell if the very qualities that make NW European societies so successful, such as high-trust and a penchant for altruism ultimately end up doing them in, since they continue to import people from these less successful corners of the world.
La palabra clave es Decreasing Management.
Un ilustre forero ya llevaba este nombre hace mas de un lustro.
Todo el /político/ que os diga que a nivel social puede hacer que vuestro nivel de vida mejore o se mantenga, os está mintiendo. Mejoraremos o empeoraremos, pero será una cuestión personal. A nivel social occidente sólo va a empeorar (vasos comunicantes) y hace falta poder gestionar ese decrecimiento.
El "decreasing" va referido al nivel de vida, no a la natalidad :biggrin:
Lo que comentas no hace sino demostrarlo.
Vasos comunicantes = traslado en pateras.
Tenía que romper por algún lado. No puede ser que los países de origen sean tan miserables. Ahora bien, yo en esto soy muy radical y ya me he expresado mas veces en este sentido.
Desde mi punto de vista antinacionalista -rayando lo apátrida- las costumbres, creencias e idiomitas identitarios son basura comparado con la calefacción y el agua potable.
Es absurdo que haya 182 regiones administrativas (países) cuando hace 200 años había menos de la mitad ???
Los países que libraron guerras anticolonialistas con sangre y lágrimas han acabado todos siendo sucursales baratas dedicadas al servicio de atención al cliente para las multinacionales, gracias a su dominio del idioma invasor.
Si Ghandi o Bolívar levantaran la cabeza... :roto2:
PD: En EEUU no hubo población suficiente por m2 como para oponer resistencia a la invasión,
De hecho fueron los propios invasores los que se rebelaron contra ellos mismos. Curioso.
A los arios se los comían las ratas hasta hace pocos siglos mientras en la cuenca mediterránea había arte, filosofía, matemáticas, etc. De asia ni hablemos.
El origen y cimientos de la civilización es tan aplastantemente no-ario, que casi se podría ver la "superioridad" aria como un complejo no correctamente elaborado.
ATHENS – Greece’s public debt has been put back on Europe’s agenda. Indeed, this was perhaps the Greek government’s main achievement during its agonizing five-month standoff with its creditors. After years of “extend and pretend,” today almost everyone agrees that debt restructuring is essential. Most important, this is true not just for Greece.
In February, I presented to the Eurogroup (which convenes the finance ministers of eurozone member states) a menu of options, including GDP-indexed bonds, which Charles Goodhart recently endorsed in the Financial Times, perpetual bonds to settle the legacy debt on the European Central Bank’s books, and so forth. One hopes that the ground is now better prepared for such proposals to take root, before Greece sinks further into the quicksand of insolvency.
But the more interesting question is what all of this means for the eurozone as a whole. The prescient calls from Joseph Stiglitz, Jeffrey Sachs, and many others for a different approach to sovereign debt in general need to be modified to fit the particular characteristics of the eurozone’s crisis.
The eurozone is unique among currency areas: Its central bank lacks a state to support its decisions, while its member states lack a central bank to support them in difficult times. Europe’s leaders have tried to fill this institutional lacuna with complex, non-credible rules that often fail to bind, and that, despite this failure, end up suffocating member states in need.
One such rule is the Maastricht Treaty’s cap on member states’ public debt at 60% of GDP. Another is the treaty’s “no bailout” clause. Most member states, including Germany, have violated the first rule, surreptitiously or not, while for several the second rule has been overwhelmed by expensive financing packages.
The problem with debt restructuring in the eurozone is that it is essential and, at the same time, inconsistent with the implicit constitution underpinning the monetary union. When economics clashes with an institution’s rules, policymakers must either find creative ways to amend the rules or watch their creation collapse.
Here, then, is an idea (part of A Modest Proposal for Resolving the Euro Crisis, co-authored by Stuart Holland, and James K. Galbraith) aimed at re-calibrating the rules, enhancing their spirit, and addressing the underlying economic problem.
In brief, the ECB could announce tomorrow morning that, henceforth, it will undertake a debt-conversion program for any member state that wishes to participate. The ECB will service (as opposed to purchase) a portion of every maturing government bond corresponding to the percentage of the member state’s public debt that is allowed by the Maastricht rules. Thus, in the case of member states with debt-to-GDP ratios of, say, 120% and 90%, the ECB would service, respectively, 50% and 66.7% of every maturing government bond.
To fund these redemptions on behalf of some member states, the ECB would issue bonds in its own name, guaranteed solely by the ECB, but repaid, in full, by the member state. Upon the issue of such an ECB bond, the ECB would simultaneously open a debit account for the member state on whose behalf it issued the bond.
The member state would then be legally obliged to make deposits into that account to cover the ECB bonds’ coupons and principal. Moreover, the member state’s liability to the ECB would enjoy super-seniority status and be insured by the European Stability Mechanism against the risk of a hard default.
Such a debt-conversion program would offer five benefits. For starters, unlike the ECB’s current quantitative easing, it would involve no debt monetization. Thus, it would run no risk of inflating asset price bubbles.
Second, the program would cause a large drop in the eurozone’s aggregate interest payments. The Maastricht-compliant part of its members’ sovereign debt would be restructured with longer maturities (equal to the maturity of the ECB bonds) and at the ultra-low interest rates that only the ECB can fetch in international capital markets.
Third, Germany’s long-term interest rates would be unaffected, because Germany would neither be guaranteeing the debt-conversion scheme nor backing the ECB’s bond issues.
Fourth, the spirit of the Maastricht rule on public debt would be reinforced, and moral hazard would be reduced. After all, the program would boost significantly the interest-rate spread between Maastricht-compliant debt and the debt that remains in the member states’ hands (which they previously were not permitted to accumulate).
Finally, GDP-indexed bonds and other tools for dealing sensibly with unsustainable debt could be applied exclusively to member states’ debt not covered by the program and in line with international best practices for sovereign-debt management.
The obvious solution to the euro crisis would be a federal solution. But federation has been made less, not more, likely by a crisis that tragically set one proud nation against another.
Indeed, any political union that the Eurogroup would endorse today would be disciplinarian and ineffective. Meanwhile, the debt restructuring for which the eurozone – not just Greece – is crying out is unlikely to be politically acceptable in the current climate.
But there are ways in which debt could be sensibly restructured without any cost to taxpayers and in a manner that brings Europeans closer together. One such step is the debt-conversion program proposed here. Taking it would help to heal Europe’s wounds and clear the ground for the debate that the European Union needs about the kind of political union that Europeans deserve.
AUG 17, 2015
Una propuesta para la deuda soberana en la eurozona
ATENAS – La deuda pública de Grecia quedó postergada en la agenda de Europa. Es quizás el principal logro del gobierno griego en estos cinco meses de dura negociación con los acreedores. Tras años de extender plazos y fingir que podrían cumplirse, hoy casi todos coinciden en que la reestructuración de la deuda es esencial. Y no sólo para Grecia.
En febrero, presenté al Eurogrupo (que reúne a los ministros de finanzas de los países de la eurozona) un menú de opciones, entre ellas bonos indexados por el PIB (propuesta que hace poco recibió el apoyo de Charles Goodhart en el Financial Times), bonos a perpetuidad para saldar la deuda acumulada en los libros contables del Banco Central Europeo, etcétera. Esperemos que propuestas de este tipo ahora encuentren un terreno más fértil, antes de que Grecia se hunda más en el pozo de la insolvencia.
Pero la cuestión más interesante es el significado de todo esto para la eurozona en su conjunto. Los proféticos llamados de Joseph Stiglitz, Jeffrey Sachs y muchos otros a dar un tratamiento diferente a la cuestión de las deudas soberanas en general deben adaptarse a las características particulares de la crisis de la eurozona.
Como área monetaria, la eurozona es única: su banco central no tiene un Estado detrás que respalde sus decisiones, y sus miembros no tienen un banco central que los apoye en tiempos difíciles. La dirigencia europea intentó llenar este vacío institucional con reglas complejas y poco creíbles, que a menudo no se cumplen y que, a pesar de esto, terminan asfixiando a los países necesitados.
Una de ellas es el tope que fija el Tratado de Maastricht a la deuda pública de los estados miembros: 60% del PIB. Otro es la cláusula de prohibición de rescates, del mismo tratado. La mayoría de los países de la eurozona, incluida Alemania, incumplieron (subrepticiamente o no) la primera regla, y para otros, la segunda regla sucumbió ante el peso de costosos paquetes de financiación.
El problema con la reestructuración de deuda en la eurozona es que es esencial y, al mismo tiempo, incompatible con la constitución implícita de la unión monetaria. Cuando hay conflicto entre la economía y las reglas de una institución, las autoridades deben hallar formas creativas de enmendar las reglas, si no quieren ver derrumbarse sus creaciones.
He aquí pues una idea (incluida en Una modesta proposición para resolver la crisis de la eurozona, que escribí junto con Stuart Holland y James K. Galbraith), cuyo propósito es recalibrar las reglas, fortalecer su espíritu y resolver el problema económico subyacente.
En síntesis, el BCE debería anunciar el inicio inmediato de un programa de reconversión de deuda para cualquier estado miembro que desee participar. Cada vez que venza un bono, en vez de redimirlo en su totalidad, el BCE pagará una parte correspondiente al porcentaje de la deuda pública del país en cuestión autorizado por las normas de Maastricht. Es decir, en el caso de dos países cuyos cocientes deuda/PIB sean, por decir algo, 120% y 90%, el BCE cubrirá el 50% y el 66,7%, respectivamente, de cada vencimiento.
Para financiar este rescate de bonos en beneficio de algunos países, el BCE emitirá bonos en su propio nombre y con su exclusivo respaldo, pero que serán pagados en su totalidad por el país beneficiario. Junto con la emisión, el BCE abrirá una cuenta de débito para dicho país.
Este estará legalmente obligado a hacer depósitos en esa cuenta para cubrir los intereses y el capital de los bonos del BCE. Además, el BCE tendrá prioridad máxima para el cobro de esa deuda, que estará garantizada por el Mecanismo Europeo de Estabilidad contra el riesgo de un impago declarado (hard default).
Este programa de reconversión de deudas ofrece cinco beneficios. En primer lugar, a diferencia de la actual flexibilización cuantitativa del BCE, no implica monetización de las deudas y, por ende, no supone riesgo de impulsar burbujas de precios de activos.
Segundo, el programa traerá una gran reducción de los pagos de intereses de la eurozona en su conjunto. La parte de la deuda soberana autorizada por Maastricht se reestructurará con vencimientos a más largo plazo (los de los bonos del BCE) y con los tipos de interés bajísimos que sólo el BCE puede conseguir en los mercados de capital internacionales.
Tercero, el tipo de interés a largo plazo para Alemania quedará igual, porque este país no será garante del esquema de reconversión ni respaldará la emisión de bonos del BCE.
Cuarto, se reforzará el espíritu de la regla de Maastricht sobre la deuda pública y se reducirá el riesgo moral. Al fin y al cabo, el programa aumentará considerablemente el tipo de interés diferencial entre la deuda sujeta al Tratado de Maastricht y la que les quede a los estados miembros (deuda que antes no tenían permitido acumular).
Por último, para la parte de la deuda no cubierta por el programa, y sólo para esa parte, podrán usarse bonos indexados por el PIB y otras herramientas, para resolver razonablemente el problema de la deuda insostenible, de acuerdo con las mejores prácticas internacionales para el manejo de deudas soberanas.
La solución obvia a la crisis del euro sería de tipo federal. Pero esta crisis que, trágicamente, enfrentó a dos naciones orgullosas, alejó las posibilidades de una federalización.
De hecho, cualquier unión política que el Eurogrupo avale hoy sería extremadamente rigurosa e ineficaz. En tanto, es improbable que la reestructuración de deuda que pide a gritos la eurozona (no sólo Grecia) resulte políticamente aceptable en el clima actual.
Pero hay maneras de reestructurar la deuda en forma razonable, sin costo para los contribuyentes y uniendo más a los europeos. Una de ellas es el programa de reconversión aquí propuesto. Adoptarlo ayudaría a curar las heridas de Europa y sentaría las bases para el debate que necesita la Unión Europea sobre la clase de unión política que merecen los europeos.
Traducción: Esteban Flamini
[url]https://www.project-syndicate.org/commentary/eurozone-sovereign-debt-solution-by-yanis-varoufakis-2015-08/spanish[/url] ([url]https://www.project-syndicate.org/commentary/eurozone-sovereign-debt-solution-by-yanis-varoufakis-2015-08/spanish[/url])
Read more at [url]http://www.project-syndicate.org/commentary/eurozone-sovereign-debt-solution-by-yanis-varoufakis-2015-08/spanish#hPW3AXhEJ2R060TG.99[/url] ([url]http://www.project-syndicate.org/commentary/eurozone-sovereign-debt-solution-by-yanis-varoufakis-2015-08/spanish#hPW3AXhEJ2R060TG.99[/url])
Y en 2015 Varoufakis inventó los eurobonos... :roto2:
Y en 2015 Varoufakis inventó los eurobonos... :roto2:
Y en 2015 Varoufakis inventó los eurobonos... :roto2:
Eurobonos habra. Lo sabemos todos. La cuestion era cuando.
Y cuando, sera cuando dejeis de gastar y tengais estabilizadas vuestras economias, CPIstillos!
U os creiais que vais a seguir a la droga ad aeternum?
Primero dejas laas drogas y luego mutualizamos.
Ese fue, es y sera el plan.
Y muy bien me parece.
Sds.
Optimista te veo: los crédito-adictos habrán de dejar su adicción, eso seguro, pero de ahí que aún cuando éso se cumpla haya una mutualización siquiera parcial de las deudas futuras, hay un abismo.
Europa va hacia su desintegración política, lo cual no lo veo mal si a cambio hay una mayoría de naciones con cuentas medio saneadas.
Optimista te veo: los crédito-adictos habrán de dejar su adicción, eso seguro, pero de ahí que aún cuando éso se cumpla haya una mutualización siquiera parcial de las deudas futuras, hay un abismo.
Europa va hacia su desintegración política, lo cual no lo veo mal si a cambio hay una mayoría de naciones con cuentas medio saneadas.
El problema de Europa es que nadie sabe a dónde va. Lo que inicialmente era un plan americano, ha pasado a ser controlado por europeos que no saben muy bien hacia dónde dirigirse.
Por un lado, intuyen que bajar las persianas de la UE no va a traer nada bueno, especialmente en el Este y el Sur, con países empobrecidos, con confictos internos latentes que se han solucionado con la zanahoria de más Europa ("más Europa" = "más dinero" ).
Y para el Core, la UE significa peso demográfico y estratégico que no pueden perder si no quieren convertirse en parias internacionales, ya que peso equivale a influencia y frente a China, India o USA, Alemania o Francia no dejan de ser una especie de mini-Estados.
De hecho, resulta "adorable" ver a UK y Francia sentados en el Consejo de Seguridad, en una situación totalmente desfasada. De hecho, hasta ellos mismos deben saberlo, pues USA, China y Rusia vetan a menudo resoluciones, pero Francia y UK llevan años sin vetar nada porque saben que inmediatamente les dirían: "¿pero quiénes os creeis para tener el 40% de influencia en el Consejo si ya no pintais casi nada?".
Pero por el otro extremo, todos saben que construir Europa requiere potencia económica, liderazgo político, una visión clara de lo que se quiere y ambición. Los alemanes son los únicos con todo salvo una reticencia enfermiza por no mostrarse ambiciosos, o al menos que no los vean con ambición.
Il précise que la Bulgarie, la République tchèque, la France, l'Italie, la Lituanie, le Luxembourg, les Pays-Bas, Malte, la Pologne, la Roumanie et la Suède n'ont pas respecté les délais.
ATHENS – Like Macbeth, policymakers tend to commit new sins to cover up their old misdemeanors. And political systems prove their worth by how quickly they put an end to their officials’ serial, mutually reinforcing, policy mistakes. Judged by this standard, the eurozone, comprising 19 established democracies, lags behind the largest non-democratic economy in the world.
Following the onset of the recession that followed the 2008 global financial crisis, China’s policymakers spent seven years replacing waning demand for their country’s net exports with a homegrown investment bubble, inflated by local governments’ aggressive land sales. And when the moment of reckoning came this summer, China’s leaders spent $200 billion of hard-earned foreign reserves to play King Canute trying to hold back the tide of a stock-market rout.
Compared to the European Union, however, the Chinese government’s effort to correct its errors – by eventually allowing interest rates and stock values to slide – seems like a paragon of speed and efficiency. Indeed, the failed Greek “fiscal consolidation and reform program,” and the way the EU’s leaders have clung to it despite five years of evidence that the program cannot possibly succeed, is symptomatic of a broader European governance failure, one with deep historical roots.
In the early 1990s, the traumatic breakdown of the European Exchange Rate Mechanism only strengthened the resolve of EU leaders to prop it up. The more the scheme was exposed as unsustainable, the more doggedly officials clung to it – and the more optimistic their narratives. The Greek “program” is just another incarnation of Europe’s rose-tinted policy inertia.
The last five years of economic policymaking in the eurozone have been a remarkable comedy of errors. The list of policy mistakes is almost endless: interest-rate hikes by the European Central Bank in July 2008 and again in April 2011; imposing the harshest austerity on the economies facing the worst slump; authoritative treatises advocating beggar-thy-neighbor competitive internal devaluations; and a banking union that lacks an appropriate deposit-insurance scheme.
How can European policymakers get away with it? After all, their political impunity stands in sharp contrast not only to the United States, where officials are at least accountable to Congress, but also to China, where one might be excused for thinking that officials are less accountable than their European counterparts. The answer lies in the fragmented and deliberately informal nature of Europe’s monetary union.
Chinese officials may not be answerable to a democratically elected parliament or congress; but government officials do have a unitary body – the seven-member standing committee of the Politburo – to which they must account for their failures. The eurozone, on the other hand, is governed by the officially unofficial Eurogroup, which comprises the member states’ finance ministers plus representatives of the ECB and, when discussing “economic programs in which it is involved,” the International Monetary Fund.
Only very recently, as a result of the Greek government’s intense negotiations with its creditors, did Europe’s citizens realize that the world’s largest economy, the eurozone, is run by a body that lacks written rules of procedure, debates crucial matters “confidentially” (and without minutes being taken), and is not obliged to answer to any elected body, not even the European Parliament.
It would be a mistake to think of the standoff between the Greek government and the Eurogroup as a clash between Greece’s left and Europe’s conservative mainstream. Our “Athens Spring” was about something more profound: the right of a small European country to challenge a failed policy that was wrecking the prospects of a generation (or two), not only in Greece, but elsewhere in Europe as well.
The Athens Spring was crushed for reasons that had nothing to do with the Greek government’s left-wing politics. Time after time, the EU rejected and denigrated common-sense policies.
Exhibit A is the two sides’ positions on tax policy. As Greece’s finance minister, I proposed a rate reduction for sales tax, income tax, and corporation tax, in order to broaden the tax base, increase revenues, and give Greece’s broken economy a boost. No follower of Ronald Reagan would quarrel with my plan. The EU, on the other hand, demanded – and imposed – increases in all three tax rates.
So, if Greece’s tussle with its European creditors was not a left-right standoff, what was it? The American economist Clarence Ayres once wrote, as if describing EU officials: “They pay reality the compliment of imputing it to ceremonial status, but they do so for the purpose of validating status, not that of achieving technological efficiency.” And they get away with it because the eurozone’s decision-makers are not obliged to answer to any sovereign body.
It is incumbent upon those of us who wish to improve Europe’s efficiency, and lessen its gross injustices, to work toward re-politicizing the eurozone as a first step toward democratizing it. After all, doesn’t Europe deserve a government that is at least more accountable than that of communist China?
A ver si me entero...
Varoufakis ha sido ministro en el gobierno Tsipras de Syriza. Su gobierno negociaba con los otros 27 gobiernos de la UE, todos democráticamente elegidos.
Para poner a 27 gobiernos contra las cuerdas, convoca un referéndum por sorpresa, contrario a lo recién acordado con los otros 27. Democracia pura.
El referéndum no es para saber qué piensa y quiere el pueblo griego, sino para salvar la cara de Tsipras, Varoufakis y otros. Democracia pura.
En el referéndum el pueblo griego vota "no", por lo que el gobierno implementa el "sí". Democracia pura.
Una vez implementado el "sí" convoca elecciones. Si pierde, a vivir la vida que son dos días. Si gana, tiene patente de corso para hacer lo que le dé la gana. Democracia pura.
Y ahora nos escribe una sesuda pieza sobre el déficit democrático de la eurozona. No me atrevo a criticarlo, porque el tema del déficit democrático debe controlarlo bien.
No atribuyo síes o noes ficticios. Interpreto que un voto es un apoyo para quien lo recibe y una absteción lleva implícita la ausencia de apoyo.
No atribuyo síes o noes ficticios. Interpreto que un voto es un apoyo para quien lo recibe y una absteción lleva implícita la ausencia de apoyo.
Si estas atribuyendo. De hecho, estás interpretando cuando no tienes que interpretar nada. La gente se abstiene incluso estando a favor por hechos tan simples como que están de luna de miel o en urgencias. Tu interpretación es tan fácil de bypassear (o autojustificar) simplemente cambiando el sentido de la pregunta.
Voy a poner un ejemplo:
¿Cual crees que hubiera sido el resultado DEMOCRÁTICO (si-no-abstención) de la reforma de la constitución para por ejemplo, el artículo 135? ::)
Digo (dices) que interpretas las abstenciones, cuando lo cierto es que en las abstenciones habría tanto favorables al SI como al NO. He puesto un ejemplo, el de gente hospitalizada a la que tu interpretas su no-voto exclusivamente en un sentido.
Y no solo eso.
Sino que además digo que si interpretas el no-voto según te sea favorable, el resultado se puede falsear de una forma tan simple como modificando la pregunta, de tal forma que en vez de ser positiva sea negativa. Esto es algo que conocen muy bien los psicólogos, sociólogos y asimilados.
Por eso puse el ejemplo del 135, una reforma constitucional democrática y legítima emanada del parlamento español, de la que algunos claman que tenía que haberse hecho en referéndum :rofl: aún a sabiendas de que el porcentaje de votantes escasamente llegaría al 20% a juzgar por las últimas generales.
Sease, si hubiera democracia en España, habría sido necesario un referéndum. Pero como no la hay, pues nada, los menistros de finanzas del eurogrupo se invisten a si mismos de poder constituyente y se modifica la CE78 a su dictado.
¿Porqué el voto no es obligatorio? ;)
Sease, si hubiera democracia en España, habría sido necesario un referéndum. Pero como no la hay, pues nada, los menistros de finanzas del eurogrupo se invisten a si mismos de poder constituyente y se modifica la CE78 a su dictado.
No quiero que me pregunten cada 3 meses sobre si hay que cambiar esto o lo otro, ni cómo hay que hacerlo. No quiero. Y mi opinión (o la de mi abuela) merece tanto respeto democrático como la tuya. La de millones de personas que no tienen el mínimo interés por la política, ni por el futuro de su país, ni sus habitantes.
¿Tanto te custa entender que hay gente que P-A-S-A?
¿Porque quieres politizarlo todo, preguntarlo todo, fiscalizarlo todo democráticamente? :o
Quien se abstiene es porque no quiere saber NADA. Mira las cifras de abstención.
pero menos aún, quiero que esas decisiones (art.135) se sostengan en la opinión de los violadores del módulo 4 de Carabanchel. Que por supuesto tienen derecho a votar y eso es inalienable. Para eso están los partidos políticos.
Si niegas la legitimidad democrática de los partidos, es lógico que pienses que sin preguntarle "al pueblo" no hay democracia.
Yo pregunto:
Que sentido tiene preguntarle al pueblo por algo que ni sabe lo que es, ni lo que significa, ni las consecuencias que puede tener? ¿Que sentido tiene preguntarle "al pueblo" por la reforma del 135?
Creo que deformas el sentido último de la democracia.
El pueblo puede participar de la vida públixca de muchas otras formas mas que metiendo un papelito en respuesta a algo que ni sabe lo que es, ni le importa.
¿Porqué el voto no es obligatorio? ;)
¿Porqué el voto no es obligatorio? ;)
Aquí no lo es, pero en muchos países, sí (en Italia, sin ir más lejos).
¿Qué quiere decir "respeto democrático"? . Lo busco en los diccionarios, pero no aparece...Respeto que un demócrata le concedería a otro demócrata.
No me creo que no te interese la política. Se contradice con gran parte de las intervenciones tuyas en este foro.No hablo por mi.
¿Qué quiere decir "respeto democrático"? . Lo busco en los diccionarios, pero no aparece...Respeto que un demócrata le concedería a otro demócrata.
Enlaza con lo siguiente:CitarNo me creo que no te interese la política. Se contradice con gran parte de las intervenciones tuyas en este foro.No hablo por mi.
Hablo por millones que se quedan en su casa el día de las elecciones, personas que insistes en convertir en adeptos a la democracia y el gobierno del pueblo, a pesar de que insistentemente te están demostrando que no quieren saber nada del asunto. o de los otros millones de demócratas con distintas sensibilidad a la tuya, supngamos que militantes y simpatizantes del PPSOE (que son otros millones) a lso que insistes en retirar el calificativo de demócratas.
Se que en otros países el voto es obligatorio, la pregunta era retórica y orientada a saber la opinión del respetable acerca de dicha obligatoriedad. ¿Es democrático obligar a alguien a pronunciarse sobre la necesidad o no de energía nuclear? :roto2:
¿Cómo se permite un demócrata de letras estimar si es, o no es necesaria?
¿Que sentido tiene obligar a la gente a depositar un sobre vacío, o nulo, si a ellos "ninguno le representa"? La democracia tiene muchos colores.
Breades, cuando hablas del 10% de abstenciones tu hablas de los obligados.
Yo hablo del 50% que se abstienen... PORQUE QUIEREN!!!! :)
Pues claro que no quieren, pero eso no explica su comportamiento. ¿Por qué no quieren? Tú dices que porque pasan de todo y yo llevo meses diciéndote ( y de ahí no salimos...), que pasan de todo en las circunstancias actuales, con el sistema actual, porque saben que su implicación no tiene influencia y están abocados a un callejón sin salida.Cada uno no querrá por lo que sea!!! Unos por una cosa y otros por otra.
Pues claro que no quieren, pero eso no explica su comportamiento. ¿Por qué no quieren? Tú dices que porque pasan de todo y yo llevo meses diciéndote ( y de ahí no salimos...), que pasan de todo en las circunstancias actuales, con el sistema actual, porque saben que su implicación no tiene influencia y están abocados a un callejón sin salida.Cada uno no querrá por lo que sea!!! Unos por una cosa y otros por otra.
Yo solo te digo que hay millones de personas que prefieren ir a la playa que a votar, y eso no es culpa "del sistema". Por mas que intentes presentar al pueblo como perfecto e infalible en sus decisiones no van a dejar de existir ladrones, violadores, drogadictos, analfabetos e incluso astronautas ::) que se quedarán en su casa durmiendo la resca si les da la gana (especialmente los astronautas).
Porque tienen ESE DERECHO.
El sistema les permite escoger y lo hacen. Decir que el sistema favorece la abstención como estás haciendo :o no va a ninguna parte, poqrue la mayoría siempre vota. Precisamente de eso te quejabas antes, es mas te quejabas de que ese voto favorecía a los partidos dominantes.
¿No será al revés, que son dominantes porque favorecen al mayor número de personas posible? ::)
Aparte:
No respondes a la pregunta de la energía nuclear. ¿Crees que debería ser sometida a consulta?
Yo no soy representante de nadie.
Pero los políticos SI representan a quienes les otorgan ese poder. Si a ti no te representan bienvenido al club.
Pero no me vengas a decir que no representan a nadie, porque a parte de ser una afirmación falsa basada en tu impresión personal (me remito a los resultados de las elecciones) te deslizarías por la senda del despotismo, ilustrado o sin ilustrar.
[...]
No, mira, eres tú el que dice que los partidos representan a sus votantes basado en tu impresión personal. Yo ya te he explicado alguna vez (sin respuesta de tu parte) que para que haya representación tiene que haber algo más que un voto entre el representante y el representado; como una regulación en la que se establezcan los derechos y obligaciones de cada una de las partes tal y como se da en el ámbito privado en las relaciones entre abogados y sus clientes; o cuando alguna persona firma un poder en un acta notarial para que el apoderado se encargue de realizar gestiones en su nombre. Éso es representación. Inferir representación en el acto de meter un voto en una urna es una fantasía infantil.
Artículo 66: Las Cortes Generales representan al pueblo español y están formadas por el Congreso de los Diputados y el Senado.
Artículo 23: Los ciudadanos tiene el derecho a participar en los asuntos públicos, directamente o por medio de representantes, libremente elegidos en elecciones periódicas por sufragio universal.
La gente es libre de quedarse durmiendo, drogándose o jugando con su hijo recién nacido.
Es algo que aún no has asumido: la gente es LIBRE para no influir en el devenir del Estado. LIBRE.
Fantaseas con obligar a los ciudadanos a "implicarse" en la democracia, cuando ni siquiera los puedes obligar a amar a sus hijos :roto2:
Allá tu.
Las Cortes representan al pueblo español.
Y los partidos políticos son el mecanismo de representación de los españoles en las Cortes.CitarArtículo 66: Las Cortes Generales representan al pueblo español y están formadas por el Congreso de los Diputados y el Senado.
Artículo 23: Los ciudadanos tiene el derecho a participar en los asuntos públicos, directamente o por medio de representantes, libremente elegidos en elecciones periódicas por sufragio universal.
Aqui tienes los textos que desarrollan esos dos artículos en profundidad y donde se explica todo lo que niegas por desconocimiento.
Del 66
[url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=66&tipo=2[/url] ([url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=66&tipo=2[/url])
Del 23
[url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=23&tipo=2[/url] ([url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=23&tipo=2[/url])
Y no me digas que un barbudo en camiseta altavoz en mano durante una asamblea en la calle sabe más de la Constitución que el tribunal Constitucional.
Gracias.
El Gobierno se moviliza para evitar elecciones a cuatro días de la Nochebuena
Convocar a las urnas cuatro días antes de Nochebuena tiene sus riesgos, entre otros que una parte considerable de la población esté de vacaciones. El Gobierno se ha movilizado para evitarlo y la clave es impedir que el Senado enmiende los Presupuestos, una misión casi imposible.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/67655-el-gobierno-se-moviliza-para-evitar-elecciones-a-cuatro-dias-de-la-nochebuena[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/67655-el-gobierno-se-moviliza-para-evitar-elecciones-a-cuatro-dias-de-la-nochebuena[/url])
[...]
No, mira, eres tú el que dice que los partidos representan a sus votantes basado en tu impresión personal. Yo ya te he explicado alguna vez (sin respuesta de tu parte) que para que haya representación tiene que haber algo más que un voto entre el representante y el representado; como una regulación en la que se establezcan los derechos y obligaciones de cada una de las partes tal y como se da en el ámbito privado en las relaciones entre abogados y sus clientes; o cuando alguna persona firma un poder en un acta notarial para que el apoderado se encargue de realizar gestiones en su nombre. Éso es representación. Inferir representación en el acto de meter un voto en una urna es una fantasía infantil.
Sí y no.
No es perfecto, claro, pero ¿hay alternativa? Estoy más cerca de la posición de chosen porque al menos su "sistema" existe. Y es el mejor de los que se han conocido hasta ahora. Enredarse mucho con "teorías" esta bien, es interesante, pero se queda en el plano teórico, ideal, y mientras tanto hay que decidir esto y lo otro.
Mientras no haya otro sistema mejor, en el plano real, hay que vivir en éste.
La gente es libre de quedarse durmiendo, drogándose o jugando con su hijo recién nacido.
Es algo que aún no has asumido: la gente es LIBRE para no influir en el devenir del Estado. LIBRE.
Fantaseas con obligar a los ciudadanos a "implicarse" en la democracia, cuando ni siquiera los puedes obligar a amar a sus hijos :roto2:
Allá tu.
Las Cortes representan al pueblo español.
Y los partidos políticos son el mecanismo de representación de los españoles en las Cortes.CitarArtículo 66: Las Cortes Generales representan al pueblo español y están formadas por el Congreso de los Diputados y el Senado.
Artículo 23: Los ciudadanos tiene el derecho a participar en los asuntos públicos, directamente o por medio de representantes, libremente elegidos en elecciones periódicas por sufragio universal.
Aqui tienes los textos que desarrollan esos dos artículos en profundidad y donde se explica todo lo que niegas por desconocimiento.
Del 66
[url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=66&tipo=2[/url] ([url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=66&tipo=2[/url])
Del 23
[url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=23&tipo=2[/url] ([url]http://www.congreso.es/consti/constitucion/indice/sinopsis/sinopsis.jsp?art=23&tipo=2[/url])
Y no me digas que un barbudo en camiseta altavoz en mano durante una asamblea en la calle sabe más de la Constitución que el tribunal Constitucional.
Gracias.
Todos los españoles tienen derecho a disfrutar de una vivienda digna y adecuada. Los poderes públicos promoverán las condiciones necesarias y establecerán las normas pertinentes para hacer efectivo este derecho, regulando la utilización del suelo de acuerdo con el interés general para impedir la especulación. La comunidad participará en las plusvalías que genere la acción urbanística de los entes públicos.
[...]
La Constitución ha querido dejar claro desde el primer momento (Preámbulo y art. 1.2) que la soberanía reside en un solo titular: el pueblo español, del que emanan los poderes del Estado.
[...]
Efectivamente, lo es, y el gobierno (insisto, gobierno antes que estado) es muy consciente de ello:CitarEl Gobierno se moviliza para evitar elecciones a cuatro días de la Nochebuena
Convocar a las urnas cuatro días antes de Nochebuena tiene sus riesgos, entre otros que una parte considerable de la población esté de vacaciones. El Gobierno se ha movilizado para evitarlo y la clave es impedir que el Senado enmiende los Presupuestos, una misión casi imposible.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/67655-el-gobierno-se-moviliza-para-evitar-elecciones-a-cuatro-dias-de-la-nochebuena[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/67655-el-gobierno-se-moviliza-para-evitar-elecciones-a-cuatro-dias-de-la-nochebuena[/url])
Y añado: aunque me interese la política, yo suelo votar con gran desgana. Imagínense ustedes si además no me interesara...
Emigrantes españoles sin voto
Exteriores publicita el procedimiento para votar desde fuera
Sin embargo, el plazo del primer trámite terminó en diciembre
En el plano teórico, lo que quieras. En el real, yo prefiero verlo funcionando antes (en algún sitio.) ¿Dónde está funcionando una alternativa? Pon un ejemplo de país, región, comuna... lo que sea.
Donde tu dices "no es democrático" yo digo "no es perfecto" y en el mismo sentido. Pocas dudas de que el sistema no sea perfectamente democrático en el plano ideal. Pero como a las vacas hay que ordeñarlas todos los días, y no quiero entrar en argumentos circulares, que obligan a una "revolución" o a un "hombre nuevo"; si no hay un ejemplo real sobre el que trabajar, no tiene sentido seguir la discusión*. (Bajo mi punto de vista.)
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*) Salvo en el plano teórico, en el que se puede hablar todo lo que se quiera.
No.
En USA al Presidente del Gobierno lo elige el pueblo directamente en una elección independiente. Y a los miembros de las camaras legislativas por otro lado, en circunscripciones uninominales. Separación de poderes en origen. Todos le deben su puesto al pueblo que les elige.
En Francia, la doble vuelta, precisamente, es lo que hace que la elección del Presidente de la República sea democratica, ya que obliga a que el Presidente elegido sea votado por más del 50% de los votos, sease por mayoría, que es lo característico de una votación democrática.
Y los partidos políticos son el mecanismo de representación de los españoles en las Cortes.
Me pregunto si existe una conexión metafísica o paralelismo filosófico entre el Superhombre Nietzscheano y el Hombre Nuevo Ciudadánico.
En EEUU no hay presidente del gobierno, hay presidente a secas. Y NO se le elige directamente. (Ni todos los votos valen igual.)
En Francia, que es el ejemplo más versátil para España, en segunda vuelta se elige al presidente (a secas) que elige al presidente de gobierno (ahora sí.) No es muy diferente aquí, salvo que el presi es el Rey. (Y no le elige cada N años.) En las generales ¿valen igual todos los votos? (Pregunto porque no lo sé.) ¿Hay senado? ¿Hay comunidades autónomas? (Esta si la sé. ;) )
Vale. Te gusta el sistema francés. ¿Es aplicable aquí?
Esa afirmación es falsa, por lo ya dicho muchas veces en este foro: Los poderes del Estado emanan de los partidos.Los partidos representan a sus votantes en lo referente a los asuntos públicos, según artículo 23 de la Constitución Española.
[...]
De todas formas el hilo es de Europa.
¿Alguien se atreve con la crisis de los refugiados?
Esa afirmación es falsa, por lo ya dicho muchas veces en este foro: Los poderes del Estado emanan de los partidos.Los partidos representan a sus votantes en lo referente a los asuntos públicos, según artículo 23 de la Constitución Española.
Me parece perfecto que para tí la Constitución del 78 sea papel mojado.
El problema es que desde un punto de vista neutral, tu opinión vale mucho menos que la de 22 millones de votantes que la aceptan, la acatan y la defienden. Y son tanto o más demócratas que tu!!! Lo que pasa que ellos defienden el sistema desde su punto de vista. Por ejemplo, la mayoría de españoles eliminarían el senado. Y no necesitan pedirte permiso para hacerlo.
De todas formas el hilo es de Europa.
¿Alguien se atreve con la crisis de los refugiados?
[...]
La crisis de la inmigración masiva ilegal va a resultar uno de los hitos históricos más importantes de la historia de Europa. Y que se está tratando de manera irresponsable por la mayoría de los gobiernos. Espero que sólo sea de cara a la galería y establezcan un control eficaz de la gente que intenta colarse en el paraíso europeo.
[...]
La crisis de la inmigración masiva ilegal va a resultar uno de los hitos históricos más importantes de la historia de Europa. Y que se está tratando de manera irresponsable por la mayoría de los gobiernos. Espero que sólo sea de cara a la galería y establezcan un control eficaz de la gente que intenta colarse en el paraíso europeo.
Bienvenido, Trurl. Ponte cómodo.
Esa afirmación es falsa, por lo ya dicho muchas veces en este foro: Los poderes del Estado emanan de los partidos.Los partidos representan a sus votantes en lo referente a los asuntos públicos, según artículo 23 de la Constitución Española.
Me parece perfecto que para tí la Constitución del 78 sea papel mojado.
El problema es que desde un punto de vista neutral, tu opinión vale mucho menos que la de 22 millones de votantes que la aceptan, la acatan y la defienden. Y son tanto o más demócratas que tu!!! Lo que pasa que ellos defienden el sistema desde su punto de vista. Por ejemplo, la mayoría de españoles eliminarían el senado. Y no necesitan pedirte permiso para hacerlo.
De todas formas el hilo es de Europa.
¿Alguien se atreve con la crisis de los refugiados?
La crisis de la inmigración masiva ilegal va a resultar uno de los hitos históricos más importantes de la historia de Europa. Y que se está tratando de manera irresponsable por la mayoría de los gobiernos. Espero que sólo sea de cara a la galería y establezcan un control eficaz de la gente que intenta colarse en el paraíso europeo.
La crisis de la inmigración masiva ilegal va a resultar uno de los hitos históricos más importantes de la historia de Europa. Y que se está tratando de manera irresponsable por la mayoría de los gobiernos. Espero que sólo sea de cara a la galería y establezcan un control eficaz de la gente que intenta colarse en el paraíso europeo.
[...]
Pero el de la oleada de refugiados sí me parece trascendental, porque nos desborda, y no veo cómo podamos hacer para acogerlos sin que se creen conflictos ni agravios, aunque tampoco veo cómo no podamos hacerlo. Tendremos que hacer para admitirlos nos guste o no, pero lo único medianamente eficaz sería desarrollar políticas para evitar que vinieran aquí, lo cual requeriría decidirse a acabar con la guerra de Siria (y ni eso sería suficiente, porque la emigración viene de muy diversos orígenes, desde el África subsahariana hasta el sudeste asiático). Después, intentar desarrollar esos países, pero todo ello no sirve para lidiar con el problema que ya se ha decidido a migrar ilegalmente.
[...]
Me ha llamado la atención que las fotos de los refugiados en los media (puede que estén seleccionadas) presentan a las mujeres sin velo, y hablando a los periodistas.
NEW YORK – Too many politicians and economists blame austerity – urged by Greece’s creditors – for the collapse of the Greek economy. But the data show neither marked austerity by historical standards nor government cutbacks severe enough to explain the huge job losses. What the data do show are economic ills rooted in the values and beliefs of Greek society.
Greece’s public sector is rife with clientelism (to gain votes) and cronyism (to gain favors) – far more so than in other parts of Europe. Maximum pensions for public employees relative to wages are nearly twice as high as in Spain; the government favors business elites with tax-free status; and some state employees draw their salaries without actually turning up for work.
There are serious ills in the private sector, too – notably, the pervasive influence of vested interests and the country’s business and political elites. Profits as a share of business income in Greece are a whopping 46%, according to the latest available data. Italy came in second at 42%, with France third, at 41%. (Germany’s share is 39%; the United States’, 35%; and the United Kingdom’s, 32%.)
Insiders receive subsidies and contracts, and outsiders find it hard to break in. Astoundingly, young Greek entrepreneurs reportedly fear to incorporate their firms in Greece, lest others use false documents to take away their companies. According to the World Bank, Greece is one of the hardest places in Europe to start a business. The result is that competition for market share is weak and there are few firms with new ideas.
This stunted system springs from Greece’s corporatist values, which emphasize social protection, solidarity instead of competition, and discomfort with uncontrolled change. These values may well be beneficial for family life; but, even with the best of intentions, they are a recipe for a static economy and stultified careers.
Indeed, Greece’s labor productivity (GDP per worker) is only 72% of the level in the UK and Italy, and a mere 57.7% of that in Germany. And surveys indicate that mean life satisfaction in Greece is far below that found in the wealthiest EU countries (the EU15). Contrary to claims by the Greek government, corporatism impoverishes the less advantaged. EU data on poverty rates in 2010 put Greece at 21.4% – far higher than the mean EU15 rate of 16.7%.
To be sure, Greece saw productivity gains after World War II – but mostly from increases in education and capital per worker, which can go only so far. Two important sources of broad prosperity are blocked by Greece’s system. One is an abundance of entrepreneurs engaged in detecting and exploiting new economic opportunities. Without them, Greece does a poor job of adjusting to changing circumstances (an imperative emphasized by Friedrich Hayek). Greece’s much-lauded shipowners, for example, were too slow to adapt to containerization, and thus lost their market share.
The other source of broad prosperity is an abundance of business people engaged in conceiving and creating new products and processes – often termed “indigenous innovation.” Here, Greece lacks the necessary dynamism: venture capital investment flows are smaller, relative to GDP, in Greece than in any other EU country. So Greece’s economy has scant ability to create sustained productivity growth and high human satisfaction.
Some economists believe that these structural considerations have nothing to do with Greece’s current crisis. In fact, a structuralist perspective illuminates what went wrong – and why.
For several years, Greece drew on the EU’s aptly named “structural funds” and on loans from German and French banks to finance a wide array of highly labor-intensive projects. Employment and incomes soared, and savings piled up. When that capital inflow stopped, asset prices in Greece fell, and so did demand for labor in the capital-goods sector. Moreover, with household wealth having far outstripped wage rates, the supply of labor diminished. Thus, Greece went from boom to outright slump.
The structuralist perspective also explains why recovery has been slow. With competition weak, entrepreneurs did not rush to hire the unemployed. When recovery began, political unrest last fall nipped confidence in the bud.
The truth is that Greece needs more than just debt restructuring or even debt relief. If young Greeks are to have a future in their own country, they and their elders need to develop the attitudes and institutions that constitute an inclusive modern economy – which means shedding their corporatist values.
Europe, for its part, must think beyond the necessary reforms of Greece’s pension system, tax regime, and collective-bargaining arrangements. While Greece has reached the heights of corporatism, Italy and France are not far behind – and not far behind them is Germany. All of Europe, not just Greece, must rethink its economic philosophy.
It is not war, but money, that drives people abroad. That is not going to change any time soon
When the crew of HMS Bulwark first fished immigrants out of the Mediterranean, they were expecting to find the world’s hungry, wretched and destitute. Instead, they found them relatively healthy, well-dressed and carrying mobile phones and credit cards, which they intended to use upon arrival in Italy.
The military learnt then what politicians are only slowly beginning to work out – that this is not simply a refugee crisis. The world’s poor are on the move because they’re not quite so poor as they used to be, and can afford to travel. A great migration has begun, and it could be with us for decades.
...
o the Great Migration is a side-effect of perhaps the greatest success of our times: the collapse in global poverty. The Washington-based Center for Global Development recently set this out, in a study drawing on more than a thousand national censuses over five decades.
When a poor country becomes richer, its emigration rate rises until it becomes as wealthy as Albania or Armenia are today. This process usually takes decades, and only afterwards does wealth subdue emigration. War is a catalyst. If conflict strikes, and the country isn’t quite as poor as it once was, more of those affected now have the means to cross the world. The digital age means they also have the information.
Reino Unido y Francia se plantean ahora atacar Siria para frenar el éxodo de refugiados
A título personal, van a instalar a 200 refugiados sirios a 150 metros de mi casa, en un geriátrico cerrado hace unos años. Paso por allí todos los días para ir a trabajar. Ya les contaré como va la cosa.
E siamo alle diverse varianti del populismo, consolatorio o allarmista; al solito schema della sinistra buonista e della destra cattivista, dell’«accogliamoli tutti» e del «prendeteveli a casa vostra»
La falsa «crisis de los refugiados»
([url]http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH300/1_-_1_2_-25-2-9b392.jpg[/url])
La prensa atlantista ha dado la mayor difusión a la parte izquierda de esta fotografía. En ella aparece el cuerpo de Aylan Kurdi, un niño sirio de origen kurdo, supuestamente fue depositado en la playa por las olas. Pero, como puede verse en la foto, el cuerpo está en posición perpendicular a las olas, cuando debería estar paralelo a ellas. En el plano derecho de la imagen, la presencia de un fotógrafo turco de uniforme confirma la idea de un montaje de la escena. Al fondo, se distinguen varios bañistas.
Una ola de emoción cayó brutalmente esta semana sobre los pueblos que viven en los países de la OTAN. Y bruscamente tomaron conciencia del drama de los refugiados que tratan de cruzar el Mediterráneo, tragedia que dura desde hace años, ante la permanente indiferencia de la opinión pública europea.
El cambio se debe a la publicación de una fotografía que muestra al público el cuerpo de un niño ahogado, depositado por las olas en una playa turca. Poco importa que esa imagen sea una grosera escenificación: los cuerpos devueltos por el mar quedan en posición paralela a las olas, nunca perpendicularmente a ellas. Poco importa también que en menos de 2 días casi todos los diarios de los países de la OTAN hayan publicado instantáneamente la misma imagen en primera plana. Ya se sabe lo libre y pluralista que es la prensa occidental.
Trabajando en el mismo sentido, las televisiones multiplicaron en estos días los reportajes sobre el éxodo de miles de sirios, a pie, a través de los países balcánicos. Particular atención prestaron al paso de esas personas a través de Hungría, país que comenzó construyendo una inútil valla de alambre de espino antes de tomar, una tras otra, toda una serie de decisiones contradictorias que dieron a las televisiones la posibilidad de filmar repetidamente la multitud de migrantes caminando a lo largo de las vías férreas y tomando los trenes por asalto.
«En reacción» ante la conmoción que habían suscitado en sus conciudadanos, los dirigentes europeos, «sorprendidos» y contritos, ahora discuten acaloradamente sobre la manera de socorrer a estos refugiados. Antonio Guterres, ex presidente de la Internacional Socialista y actual Comisionado de las Naciones Unidas para los Refugiados, intervino en el debate entre estos dirigentes preconizando «la participación obligatoria de todos los Estados miembros de la Unión Europea». Y agrega que: «Según estimados preliminares, los países europeos tienen una necesidad potencial de aumentar las oportunidades de reinstalación en 200 000 plazas.»
¿Cuál es realmente el problema? ¿Quién está explotándolo y con qué objetivo?
Los refugiados del Mediterráneo
Desde el inicio de la «primavera árabe», en 2011, el número de personas que trata de cruzar el Mediterráneo y de entrar en la Unión Europea ha aumentado considerablemente, sobrepasando incluso el doble de cifras anteriores, y se elevó en 2014 a 626 000 personas.
([url]http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH136/1_-_1-109-2-72dda.jpg[/url])
Flujo de migrantes hacia la Unión Europea (en cientos de miles). Fuente: Eurostat
Sin embargo, contrariamente a la idea generalizada, no se trata de una oleada de migrantes nunca vista e imposible de asimilar. En 1992, aunque la Unión Europea se componía entonces de sólo 15 de los 28 Estados que actualmente la integran, estaba recibiendo proporcionalmente más migrantes que en este momento: 672 000 por 380 millones de habitantes. Existe, por lo tanto, un considerable margen antes de que los migrantes lleguen a desestabilizar la economía de la Unión Europea, que hoy cuenta 508 millones de habitantes.
Más de 2 tercios de esos migrantes son hombres de entre 18 y 34 años, según sus propias declaraciones. Así que, por lo general, no se trata de familias.
([url]http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH121/1_-_1_1_-59-2-337cf.jpg[/url])
Proporción de hombres entre los migrantes que entraron a la Unión Europea en 2014. Fuente: Eurostat
Contrariamente a la idea que están divulgando los medios de prensa, menos de un tercio son refugiados provenientes de zonas de guerra. Sólo un 20% son sirios, un 7% son afganos y un 3% son iraquíes.
O sea, los otros 2 tercios no provienen de países en guerra y son principalmente migrantes por razones económicas.
En otras palabras, el fenómeno de las migraciones está sólo marginalmente vinculado a la «primavera árabe» y las guerras. Los pobres están abandonando sus países para probar suerte en los países ricos, en total correspondencia con el orden postcolonial y con la lógica de la globalización. Este fenómeno, después de haber disminuido desde 1992 y hasta 2006, se ha reactivado y ahora va en aumento. Pero lo cierto es que actualmente equivale a un 0,12% anual de la población europea, o sea –manejado correctamente– no representa a corto plazo ningún peligro para la Unión Europea.
([url]http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH300/1_-_1_3_-15-2-77155.jpg[/url])
El presidente de la Federación de la Industria Alemana, Ulrich Grillo, quiere disponer de 800 000 trabajadores extranjeros suplementarios en Alemania. Como los acuerdos europeos prohíben esa entrada masiva de mano de obra extranjera, que encuentra además la hostilidad de la opinión pública, Grillo contribuye a poner en escena la «crisis de los refugiados» para obtener una modificación de la reglamentación existente.
¿Son los migrantes un problema?
Este flujo de migrantes despierta inquietud en los pueblos europeos. Pero los grandes empresarios alemanes lo acogen con regocijo. En diciembre de 2014, el «patrón de patrones» alemán, Ulrich Grillo, escondía hipócritamente sus intereses tras una fachada de buena voluntad al declarar a la agencia DPA: «Somos desde hace mucho un país de inmigración y debemos seguir siéndolo». Y agregaba que «como país próspero y también por amor cristiano al prójimo, nuestro país debería permitirse a sí mismo acoger más refugiados». También afirmaba: «Yo me distancio muy claramente de los neonazis y de los racistas que se reúnen en Dresde y en otros lugares». Y, con un poco más de seriedad, «Debido a nuestra evolución demográfica, garantizamos el crecimiento y la prosperidad con la inmigración» [1].
Este discurso retoma exactamente los mismos argumentos que presentaban los empresarios franceses en los años 1970. Otro elemento a tener en cuenta es que hoy en día la población europea dispone de cierto nivel de educación y de calificación, algo de lo que carece la gran mayoría de los migrantes, que estarán por consiguiente más dispuestos a aceptar ciertos tipos de empleos que los europeos rechazan. Progresivamente, la llegada de mano de obra no calificada y dispuesta a aceptar condiciones de vida inferiores a las de los europeos suscitó en el pasado tensiones en el mercado laboral. El empresariado francés favoreció entonces la llamada «reunificación familiar». La ley de 1976, la interpretación que de ella hizo el Consejo de Estado en 1977 y la jurisprudencia de la Corte Europea de Derechos Humanos desestabilizaron ampliamente la sociedad. El mismo fenómeno puede observarse en Alemania desde que se adoptaron disposiciones similares a aquellas con la inclusión, en 2007, de la reunificación familiar en la legislación alemana sobre la inmigración.
Contrariamente a otra idea generalizada, los migrantes económicos no plantean un problema de identidad para Europa, pero su ausencia sí constituye un problema para sus países de origen. Y también plantean un problema social en Alemania, donde –debido a la política estimulada por Ulrich Grillo– la clase obrera ya está siendo víctima de una feroz explotación.
En todos los demás países donde se han aplicado ese tipo de políticas, no son los migrantes económicos los que han representado un problema sino la posterior reunificación familiar.
¿Quién fabrica la imagen actual de «crisis de los refugiados»?
Desde el inicio del año 2015, el cruce ilegal de la frontera de Turquía hacia a Hungría, que costaba 10 000 dólares, bajó a 2 000 dólares por persona. Hay ciertamente traficantes de personas que son verdaderos esclavistas, pero también hay gente que ayuda a los migrantes en el cruce de las fronteras simplemente porque quieren ayudar a personas en dificultad. En todo caso, cabe preguntarse ¿quién paga la diferencia?
Por otro lado, al principio de la guerra contra Siria, Qatar imprimía pasaportes sirios falsos y los entregaba a los yihadistas de al-Qaeda para que pudieran convencer a los periodistas de la prensa atlantista de que eran «rebeldes sirios» y no mercenarios extranjeros. Pero actualmente, algunos traficantes de personas están entregando pasaportes sirios falsos a migrantes de otras nacionalidades. Y los migrantes los aceptan pensando, acertadamente, que esos pasaportes falsos han de facilitarles la entrada en la Unión Europea. En efecto, como los Estados miembros de la Unión Europea han cerrado sus embajadas en Siria –con excepción de la República Checa y Rumania– ahora no tienen cómo verificar la autenticidad de esos pasaportes.
Hace 6 meses, yo expresaba mi sorpresa ante la ceguera de los dirigentes de la Unión Europea, señalando que no percibían la voluntad de Estados Unidos de debilitar a sus países, incluso mediante la «crisis de los refugiados» [2]. El mes pasado, la publicación Info Direkt señalaba que, según los servicios de inteligencia de Austria, el éxodo de refugiados sirios hacia Europa estaba siendo orquestado por Estados Unidos [3]. Es una imputación que está por verificar, pero también constituye una hipótesis sólida.
En todo caso, todos estos acontecimientos y manipulaciones carecerían de gravedad si los Estados miembros de la Unión Europea pusieran fin a la reunificación familiar. El único verdadero problema no sería entonces la entrada de los migrantes sino la tragedia de los que mueren en el intento, tratando de cruzar el Mediterráneo, precisamente la única realidad que no moviliza a ningún dirigente europeo.
¿Qué trama la OTAN?
La OTAN, o sea el brazo armado internacional de Estados Unidos, no ha reaccionado. Pero, según sus nuevas misiones, la alianza atlántica se reserva la posibilidad de intervenir militarmente ante los grandes flujos migratorios.
Sabiendo que sólo la OTAN dispone de la capacidad de “incrustar” una información tendenciosa o simplemente falsa en la primera plana de todos los diarios de sus países miembros, es altamente probable que ese bloque militar esté organizando la actual campaña. Además, el hecho que esa campaña esté presentando a todos los migrantes como refugiados que huyen de las zonas de guerra y la insistencia sobre el origen supuestamente sirio de todos estos migrantes hacen pensar que la OTAN está preparando una acción pública relacionada con la guerra que secretamente dirige contra Siria.
_________________________________________________________
[1] «Allemagne: le patronat veut plus de réfugiés» ([url]http://www.lesechos.fr/23/12/2014/lesechos.fr/0204036074804_allemagne---le-patronat-veut-plus-de-refugies.htm[/url]) [En español, “Alemania: los patrones quieren más refugiados”], AFP, 23 de diciembre de 2014.
[2] «La miopía de la Unión Europea ante la estrategia militar de Estados Unidos» ([url]http://www.voltairenet.org/article187416.html[/url]), por Thierry Meyssan, Red Voltaire, 27 de abril de 2015.
[3] “Insider: Die USA bezahlen die Schlepper nach Europa!” ([url]http://www.info-direkt.at/insider-die-usa-bezahlen-die-schlepper-nach-europa/[/url]), Info Direkt, 5 de agosto de 2015. «Acusan a Estados Unidos de financiar el éxodo de refugiados hacia Europa» ([url]http://www.voltairenet.org/article188423.html[/url]), Red Voltaire, 13 août 2015.
MUNICH – The debate about whether Greece should leave the eurozone has revived the idea that Germany, and other similarly strong economies, would best serve the rest of the continent if they were the ones to exit the monetary union. But, though that notion may win some applause, implementing it would be shortsighted, impractical, and economically dubious.
For starters, it would not be easy to extricate Europe’s largest economy from the single currency. Any serious discussion of such an objective would cause chaos in financial markets, given the many uncertainties attached to the process.
Even more important are the argument’s economic flaws, three of which are immediately apparent. First, the proponents of a German exit put far too much faith in the power of weak currencies to fuel an economy. They argue that if Germany left, the rest of the eurozone would devalue and that this devaluation would restore growth. This is unlikely.
Before the introduction of the euro, countries such as Italy, Greece, Spain, and Portugal – and until the 1980s, France as well – regularly devalued their currencies. The result was inflation with little growth. It was precisely the painful consequences of their sliding currencies that enticed these countries to join a monetary union with Germany.
Currency devaluation can boost exports in the short term, but it also makes imports more expensive, eroding households’ purchasing power. Workers then demand higher wages to compensate. Unless the central bank is very strong and prepared to engender an economic slowdown, higher wages tend to push up inflation. The result is often a wage-price spiral that quickly offsets the competitiveness gains of a weaker currency.
Second, advocates of a German exit argue that its economy is too competitive to share a currency with weaker players like Italy, France, and Spain. This is flattering but wrong. Since 2000, France’s cumulative GDP growth has been the same as Germany’s. Ireland and Spain have done even better, despite the deep slumps they had to endure during the crisis.
Competitiveness does not depend only, or even primarily, on the exchange rate. Fundamentals such as productivity, education, research and development, and the tax system are more important. In these areas, Germany is far from being in a league of its own. On the contrary, the country will have to stop resting on its laurels and restart domestic reforms if it is to keep its strong position in the eurozone and globally. In any case, it would be absurd to rearrange the currency union every time individual members’ relative competitiveness changes.
Finally, proponents of a German exit claim that the eurozone in its current form is deeply flawed (although they usually are reluctant to provide details regarding exactly how). To be sure, the eurozone does not fully meet all of the conditions of an optimal currency area (which include an open and diversified economy, free movement of capital and labor, and flexible prices and wages). But, although the eurozone certainly has plenty of room to improve, the crisis has brought much progress in terms of integration and flexibility. The eurozone may not be perfect, but it is good enough to last.
One of the most important – but often ignored – conditions for a successful currency union is its members’ ability to agree on certain fundamentals of economic policy. Regardless of the historical and cultural differences that persist among the economic systems of, say, Italy, France, Spain, and Germany, all of these countries agree on the fundamental principles of a market-based economy. Most notably, they agree that it is the private sector, rather than the state, that is responsible for creating jobs, and that sustainable economic growth requires open product and labor markets.
In the case of Greece, these fundamental ideas do not appear to have been universally accepted. For decades, the state acted as the employer of first and last resort. Product markets were strangled by regulatory red tape, owing to the influence of vested interests. This system could persist only through sustained public borrowing. Over the last 20 years – including the period before Greece joined the euro – the country’s average annual budget deficit was more than 7% of GDP.
Greek wages and prices have already fallen sufficiently to restore competitiveness; the country now needs a framework in which private economic activity can thrive. If the conditions attached to its third bailout package help Greece move to a more sustainable economic model, then it, too, will have a future in the eurozone.
The eurozone’s survival requires, first and foremost, that all of its member countries have strong and flexible economies, which means that all of them must undertake continuous efforts to remain competitive. Wondering whether more (or less) competitive economies should leave the monetary union might be an interesting intellectual exercise. But it contributes little to the task at hand.
Me da en la nariz que toda la propaganda alemana para con los refugiados es una forma de compensar su descenso de popularidad de cara a Uropia tras el episodio griego: No somos tan malos, somos todo amor y mama Merkel acoge a los necesitados.
Tribuna semanal de P. Reverte hablando sobre el tema:(click to show/hide)
[url]http://www.finanzas.com/xl-semanal/firmas/por-arturo-perez-reverte/20150913/godos-emperador-valente-8841.html[/url] ([url]http://finanzas.com/xl-semanal/firmas/por-arturo-perez-reverte/20150913/godos-emperador-valente-8841.html[/url])
La sociedad alemana necesita mano de obra barata para llenar puestos de baja cualificación.
No es casualidad que en centropeuropa apenas haya bares.
En un sistema productivo orientado a la industria y el valor añadido, dedicarse a poner cañas no es una alternativa vital apreciable.
Ahora bien, en España... es otra cosa.
Es comprensible que la sociedad española y su modus produciendi (camareros-peluqueras) se vea amenazado por la entrada en Europa de mano de obra con la que competir directamente por las migajas de la globalización.
Por eso Alemania abre fronteras a la mano de obra barata mientras en España apaleamos negros colgando de la verja.
([url]http://img.europapress.net/fotoweb/fotonoticia_20140915100831_800.jpg[/url])
Esto no pasaba con la burbuja porque trabajaban poniendo ladrillos.
Muchos de esta oleada tienen un nivel educativo medio o alto y potencialmente podrían contribuir en Alemania a algo más que poner cañas
[...]
Quizá sufran de wishful thinking porque a mí también me chocó mucho esa política de brazos abiertos anunciada a los cuatro vientos por todo el gobierno alemán.
PD. Lo que he contado es lo que he visto y vivido en esos países. Quizá lo escrito está sesgado por ello.
[...]
Nos falta una pieza en el puzzle, creo.
Apartado en las últimas semanas de las negociaciones sobre Grecia, el presidente de la Comisión Europea regresa a los focos de la arena política con su propuesta para crear una política migratoria común. Un reto que, nuevamente, le enfrenta a varios países europeos.
La sociedad alemana necesita mano de obra barata para llenar puestos de baja cualificación.
No es casualidad que en centropeuropa apenas haya bares.
En un sistema productivo orientado a la industria y el valor añadido, dedicarse a poner cañas no es una alternativa vital apreciable.
Ahora bien, en España... es otra cosa.
Es comprensible que la sociedad española y su modus produciendi (camareros-peluqueras) se vea amenazado por la entrada en Europa de mano de obra con la que competir directamente por las migajas de la globalización.
Por eso Alemania abre fronteras a la mano de obra barata mientras en España apaleamos negros colgando de la verja.
([url]http://img.europapress.net/fotoweb/fotonoticia_20140915100831_800.jpg[/url])
Esto no pasaba con la burbuja porque trabajaban poniendo ladrillos.
[url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-09-15/ahora-todo-griego-sabe-que-nadie-puede-cambiar-las-politicas-y-que-tsipras-mintio_1016496/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-09-15/ahora-todo-griego-sabe-que-nadie-puede-cambiar-las-politicas-y-que-tsipras-mintio_1016496/[/url])
¡Que se queden o se vayan de una vez si no quieren estar!
Y ponemos una City en Pontevedra :troll:
¡Que se queden o se vayan de una vez si no quieren estar!
Y ponemos una City en Pontevedra :troll:
https://www.youtube.com/watch?v=GqH21LEmfbQ (https://www.youtube.com/watch?v=GqH21LEmfbQ)
eremy Corbyn, nuevo dirigente del opositor Partido Laborista británico, rompió ayer la rutina parlamentaria al llevar preguntas de la población al debate en la Cámara de los Comunes. Indicó que en lugar de las seis preguntas tradicionales para la media hora de rendición de cuentas del primer ministro David Cameron, decidió solicitar a los ciudadanos sus inquietudes. Corbyn recibió 40 mil interrogantes y entre los temas más abordados estuvieron los altos precios de las viviendas y el sistema de salud
"Hoy desgraciadamente tenemos una Unión Europea (UE), pero Europa ya no está unida"
MOSCÚ – Más de dieciocho meses después de que el ex Presidente Viktor Yanukovych fuera derrocado (y se exiliara), la crisis de Ucrania está en un punto muerto. Crimea ha sido reabsorbida por Rusia (lo que muchos consideran una anexión), gran parte de la Ucrania oriental está en manos de los rebeldes prorrusos y las relaciones entre Occidente y Rusia son más tensas que en cualquier momento desde los primeros tiempos de la Guerra Fría.
Pero, ¿puede alguien afirmar que ha obtenido alguna ventaja? Quienes querían ver a Ucrania anclada en Occidente o imaginaban que las sanciones aplicadas a Rusia incitarían a un cambio de régimen en el Kremlin, mediante un golpe de palacio o un levantamiento popular, han visto frustradas sus esperanzas: la popularidad del Presidente Vladimir Putin es tanta como siempre. En Rusia, quienes predecían el inmediato colapso de Ucrania y la creación en sus provincias orientales y meridionales de una Novorossia prorrusa han quedado igualmente decepcionados.
La tragedia estriba en que el precio de esas falsas ilusiones ha sido extraordinariamente oneroso desde el punto de vista humano –la cifra de muertos causados por la inobservancia del cese del fuego en la Ucrania oriental ha ascendido a más de 6.000 desde abril de 2014– y peligrosamente alto también desde el punto de vista geoestratégico. Parece que los dos bandos están dispuestos a combatir “hasta el último ucraniano”.
Como he sostenido desde hace mucho, nunca fue probable que Rusia cediera. Después de verse empujada contra la pared por más de dos decenios de expansión occidental –ya fuera por la ampliación de la Unión Europea o de la OTAN– en una parte de Europa que considera decisiva para su seguridad nacional, los rusos creen que tienen la altura moral para defender sus intereses.
Ahora, con los dos bandos intercambiándose acusaciones en una atmósfera de desconfianza mutua, el peligro radica en que el actual punto muerto provoque una crisis mucho más profunda entre Rusia y Occidente. Las dos partes necesitan encontrar una solución; sin embargo, pese a haber resultado victorioso en la Guerra Fría, Occidente no sólo parece haber perdido la paz, sino, además, estar a punto de volver a dividir a Europa y eso está ocurriendo en un momento en el que todo el continente, incluidos Rusia y muchos otros Estados euroasiáticos, afronta la amenaza del extremismo islámico.
También está sucediendo en un momento en el que las dos partes de Europa están buscando una nueva identidad geopolítica o incluso espiritual. Mientras la UE lidia con problemas de migración e integración, Rusia se aleja de un rumbo económico y cultural eurocéntrico hacia una opción euroasiática. Y los Estados Unidos –al menos durante la presidencia de Barack Obama– se han retirado a un semiaislamiento y han dejado atrás zonas de inestabilidad preocupantes y crisis irresueltas.
Entonces, ¿qué ocurrirá a continuación? Como tanto la Europa occidental como la oriental están plagadas de conflictos y estancamiento económico, los cinco siglos de predominio europeo en el mundo están tocando a su fin. Ahora la realidad, tras el fin de la supremacía bipolar de los EE.UU. y la Unión Soviética y una breve fase “unipolar” a raíz del desplome de la Unión Soviética, es la de que estamos en un mundo “multipolar”.
Ésta puede resultar también pasajera, cuando dos nuevos macrobloques geopolíticos cobran fuerza en el siglo XXI. Uno esta centrado en los EE.UU. y su ambición de concluir el Acuerdo de Asociación Transpacífica (AAP) y la Asociación Transatlántica de Comercio e Inversión (ATCI).
El segundo macrobloque es la “Gran Eurasia”, compuesta por China, Rusia, Kazajstán, el Irán y posiblemente la India. En mayo de 2015 se establecieron unos sólidos cimientos para ese proyecto con el acuerdo entre Rusia y China para coordinar la Unión Económica Euroasiática (UEE), encabezada por Rusia, y la iniciativa de Xi Jinping sobre la “Ruta de la Seda”, encaminada a acercar más a China las economías del Asía central y las de más al Oeste.
La cuestión es si esa Gran Eurasia puede ayudar a Europa a encontrar una vía para abandonar su actual callejón sin salida en materia de seguridad. No cabe duda de que en Europa algunos preferirán fortalecer la Organización para la Seguridad y la Cooperación en Europa (OSCE), pero la verdad es que ésta, por cargar con su historia en la Guerra Fría y su incapacidad para mantener la paz después de ella, está demasiado empañada para desempeñar un papel decisivo.
Una opción substitutiva podría ser un diálogo entre la UE y la UEE, pero seria complicado, porque la UEE persigue una relación más estrecha con China y sus aliados de la Ruta de la Seda. Un método mejor sería del de invitar –lo antes posible– a China y los Estados euroasiáticos a crear con el tiempo un espacio económico común desde Shanghái hasta Lisboa. Existen posibilidades evidentes de que la UE se relacione constructivamente con la Organización de Cooperación de Shanghái (creada en 2001 por China, Rusia, Kazajstán, Kirguizstán, Tayikistán y Uzbekistán y en la que está previsto que en el año próximo ingresen la India y el Pakistán). El fracaso del antiguo marco requiere un esfuerzo para crear uno nuevo, comenzando con un diálogo sobre la cooperación euroasiática para el desarrollo y la seguridad, en el que participen China y los países europeos y euroasiáticos.
Nada de todo ello convertirá en superfluas la OSCE y la OTAN y ése no debería ser el objetivo de nadie. Lo que importa para resolver los conflictos actuales –ya estén activos o supuestamente “congelados”– es la creación de un marco más amplio de cooperación y diálogo entre la UE y lo que yo llamo Gran Eurasia.
La cuestión pendiente en esa situación hipotética se refiere al papel de los EE.UU. ¿De verdad quieren permanecer en un semiaislamiento con la esperanza de ser llamados a ocupar el centro del escenario en algún improbable “momento unipolar” futuro? Esperemos que haya unos Estados Unidos listos para actuar como coparticipes responsables en un mundo más justo.
Traducido del inglés por Carlos Manzano.
European Union members that don't help refugees won't get money : German Minister Sigmar Gabriel
BERLIN: Countries that do not share European values of human empathy and solidarity cannot count on receiving money from the bloc, German Economy Minister Sigmar Gabriel warned in an interview with the newspaper Bild.
Renewing a threat issued this week by his cabinet colleague, Interior Minister Thomas de Maiziere, Gabriel said that while Germany was opening gymnasiums, barracks and homes to refugee families, other countries were "laying barbed wire on their borders and closing the gates".
The comments were a thinly veiled jab at Hungary, which has built a fence along its border with Serbia and is building one on its border with Croatia to prevent refugees fleeing war in Syria, Iraq, Afghanistan and elsewhere, to make it into Europe's frontier-free Schengen zone.
"Europe is a community of values based on human sympathy and solidarity. And those that don't share our values can't count on our money over time," said Gabriel.
"If it continues like this, then Europe is in danger, more than it was from the financial crisis or the Greece crisis."
Hungarian Prime Minister Viktor Orban's closing of the border and introducing laws making it easier for his government to crack down on migrants has helped reduce the flow of asylum seekers travelling through Austria and into Germany.
But images of Hungarian police blasting refugees with tear gas and water cannon have also tarnished Europe's image and underscored divisions over how to respond to the influx of hundreds of thousands of men, women and children from the war-torn Middle East.
Porcentaje de perceptores de ayudas en Holanda según nacionalidad.
(https://i.imgur.com/dqTa8d4.png)
Dutch mechanized brigade to be integrated into German panzer division
[url]http://www.janes.com/article/54636/dutch-mechanized-brigade-to-be-integrated-into-german-panzer-division[/url] ([url]http://www.janes.com/article/54636/dutch-mechanized-brigade-to-be-integrated-into-german-panzer-division[/url])
La ministra alemana de Defensa, Ursula von der Leyen, y su homólogo holandés, Jeanine Hennis-Plasschaert, dijeron a sus respectivos parlamentos el 15 de septiembre que a finales de este año si firmará un acuerdo por el cual dos unidades de sus ejércitos estarán completamente fusionadas en 2019.
In the course of the current reorganisation of the Bundeswehr it will become the backbone of Germany's newly formed intervention forces which will have a manpower of 35,000 soldiers in total. This division is equipped and trained for high intensity combat operations against militarily organized enemies as well as peacekeeping missions. The majority of all German troops assigned to EU-Battlegroups and Nato Response Forces will come from this division. It also represents Germany's permanent contribution to the binational I. German/Dutch Corps.
v/FR: vice presidente de a BCE Vitor Constâncio
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-le-stupefiant-aveu-de-la-bce-505811.html[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-le-stupefiant-aveu-de-la-bce-505811.html[/url])
La amenaza de Grexit fue un farol. No habia vía legal para hacerlo.
v/FR: vice presidente de a BCE Vitor Constâncio
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-le-stupefiant-aveu-de-la-bce-505811.html[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-le-stupefiant-aveu-de-la-bce-505811.html[/url])
La amenaza de Grexit fue un farol. No habia vía legal para hacerlo.
Nunca hubo tal amenaza. No fue más que pura demagogía de los mass media.
Atentos
! No longer available ([url]http://www.youtube.com/watch?t=58&v=niswhXQKk3o#[/url])
La responsable de asistencia social de Munich hablando en un congreso del SPD
(Subtítulos al inglés)
[...]
Según Schengen los paises frontera si dejan pasar gente, esa gente puede ser deportado a los paises que les dejaron entrar en Schengen inicialmente, es curioso porque Alemania podría deportar a todos los que han entrado por Hungría al propio país, cosa que posiblemente hará en un futuro con los más conflictivos.
[...]
Atentos
! No longer available ([url]http://www.youtube.com/watch?t=58&v=niswhXQKk3o#[/url])
La responsable de asistencia social de Munich hablando en un congreso del SPD
(Subtítulos al inglés)
Hace cosa de una semana que comía con compañeros de trabajo. Yo razonaba que esos refugiados no tienen cabida aquí por las razones antes expuestas; y que nuestra ayuda debía limitarse a confinarlos en campos de refugiados en el medio de nada, donde se les proveería de agua, comida, techo en forma de tiendas de campaña y demás servicios elementales; todo ello a la espera de que la situación en sus países amainase, momento en el que se les obligaría a retornar.
"Racista", me dijeron; para empezar.
Y aunque el "debate" parece propio de "Sálvame" o hez similar de la televisión-basura, hablamos de universitarios con títulos, máster y doctorados chupi-guays. Atinaba Unamuno cuando definía al pedante como el estúpido adulterado por el estudio; estos no-racistas están adulteradísimos.
Por cierto, no me consta que ninguno de ellos albergue en su vivienda a alguno de estos refugiados.
[...]
Y volvemos a darnos de bruces con la realidad española: la insostenibilidad de los precios inmobiliarios.
El problema no es que sean sirios, negros o musulmanes.
El "problema" (español) es que éstos no son capaces de satisfacer la fantasía hispana de rentas inmobiliarias. Por eso aqui "nos sobran". Igual que los millones de parados y desempleados españoles que emigran con sus títulos de ingeniería, enfermería, medicina, arquitectura...
Lo que España ve como un problema, Alemania lo ve como una bendición.
Hasta ahí de acuerdo todos.
Hagamos del problema virtud.
Pongamos a los refugiados trabajar (pej.para pagarse el pisito) que es lo que hacen los alemanes. Pongamos la mano de obra -recursos humanos- a producir.
Es lo que hace China.
Y volvemos a darnos de bruces con la realidad española: la insostenibilidad de los precios inmobiliarios.
El problema no es que sean sirios, negros o musulmanes.
El "problema" (español) es que éstos no son capaces de satisfacer la fantasía hispana de rentas inmobiliarias. Por eso aqui "nos sobran". Igual que los millones de parados y desempleados españoles que emigran con sus títulos de ingeniería, enfermería, medicina, arquitectura...
Lo que España ve como un problema, Alemania lo ve como una bendición.
Hasta ahí de acuerdo todos.
Hagamos del problema virtud.
Pongamos a los refugiados trabajar (pej.para pagarse el pisito) que es lo que hacen los alemanes. Pongamos la mano de obra -recursos humanos- a producir.
Es lo que hace China.
Y volvemos a darnos de bruces con la realidad española: la insostenibilidad de los precios inmobiliarios.
El problema no es que sean sirios, negros o musulmanes.
El "problema" (español) es que éstos no son capaces de satisfacer la fantasía hispana de rentas inmobiliarias. Por eso aqui "nos sobran". Igual que los millones de parados y desempleados españoles que emigran con sus títulos de ingeniería, enfermería, medicina, arquitectura...
Para que un país necesite de inmigrantes, tiene que estar en expansión. Una expansión real, no burbujera, como lo era la Española del 2000. USA necesitó inmigración masiva para convertirse en una superpotencia. Pero hace décadas que no la necesita y es, de hecho, un problema.
España no está en esa situación, desde... NUNCA. Pongamos límite a NUNCA en 1900, por poner un año.
Puede que Alemania tenga una economía necesitada de inmigrantes. La tuvo, en el pasado. Hoy día, dudo que la tenga. De hecho, sus proyecciones de población activa son a la baja.
El problema es que si no tenemos dónde meter a los actuales parados, como para meter a estos a producir algo.No has entendido mi mensaje.
El problema es que si no tenemos dónde meter a los actuales parados, como para meter a estos a producir algo.No has entendido mi mensaje.
Claro que SI tenemos donde meter a los parados. Hay cientos de miles de bajos comerciales vacíos esperando actividad comercial. Que leches, esperando cualquier tipo de actividad, como si son fumaderos de opio, que mas da.
Ergo lo que no hay es donde meterlos sin someterlos a expolio de renta.
Eso no lo hay.
No hay forma de meter inmigrantes que paguen 500€/mes por su techo mas 600€ por su local de reparación de bicis, trabajo digno con el que se vive perfectamente en otros países. Eso en España es imposible. No es que falte trabajo en España. Lo que no hay son empleos capaces de suplir los delirios popularcapitalistas de los españolitos.
Pero si fueran 99€ al mes, a lo mejor sí había sitio para sirios, negros y 500.000 jóvenes españoles altamente cualificados (estos de verdad) que han hecho la maleta y se han LARGAO a pagar pensiones en Bélgica.
Si hay libre circulación de capitales TIENE que haber libre circulación de personas.
Thats a capitalism fact, porque las personas SON CAPITAL (recurso humano).
Me importa poco si son negros o chinos mientras sea materia prima de calidad.
Si sobran recursos humanos su precio baja (dirigentes alemanes encantados con el dumping sirio) lo que no tiene sentido es creer que con menos habitantes, y menos trabajadores, aqui se van a mantener las paguitas. Paguitas que según las cifras de paro ya deberían haberse reducido en un 22%.
Entonces yo pregunto: si las personas son un recurso dentro de la actividad económica, lo cual es verdad... que hacemos repudiando recursos (=activos) ¿? :o
Tenemos picando a la puerta hordas de trabajadores dispuestos a trabajar en condiciones de semiesclavitud... y en España NO LES ABRIMOS!!! :roto2:
Recapacitemos y pensemos.
A nivel país, estamos rechazando algo inevitable (globalización=vasos comunicantes nivel de vida) por pura hidalguía avecremista. Antes le meto fuego que alquilarlo barato.
Claro que hay donde meterlos, pero desde luego no hay forma de que paguen la fantasía de alquiler que les queremos encasquetar, porque 500€ es MUCHO dinero.
Con 500€ vive una familia en Rumanía.
ULTIMA HORA!!! Rumanía también es Europa.
REPITO: En España SOBRA trabajo. Pero no hay forma de que este trabajo se convierta en remunerado si no quitamos primero a las sanguijuelas. Las plantas no brotan en ambientes demasiado ácidos.
Pues nada.
Sigamos repudiando mano de obra barata.
Lo que España ve como un problema, Alemania lo ve como una bendición.
Hasta ahí de acuerdo todos.
Hagamos del problema virtud.
Pongamos a los refugiados trabajar (pej.para pagarse el pisito) que es lo que hacen los alemanes. Pongamos la mano de obra -recursos humanos- a producir.
Es lo que hace China.
Y volvemos a darnos de bruces con la realidad española: la insostenibilidad de los precios inmobiliarios.
El problema no es que sean sirios, negros o musulmanes.
El "problema" (español) es que éstos no son capaces de satisfacer la fantasía hispana de rentas inmobiliarias. Por eso aqui "nos sobran". Igual que los millones de parados y desempleados españoles que emigran con sus títulos de ingeniería, enfermería, medicina, arquitectura...
Para que un país necesite de inmigrantes, tiene que estar en expansión. Una expansión real, no burbujera, como lo era la Española del 2000. USA necesitó inmigración masiva para convertirse en una superpotencia. Pero hace décadas que no la necesita y es, de hecho, un problema.
España no está en esa situación, desde... NUNCA. Pongamos límite a NUNCA en 1900, por poner un año.
Puede que Alemania tenga una economía necesitada de inmigrantes. La tuvo, en el pasado. Hoy día, dudo que la tenga. De hecho, sus proyecciones de población activa son a la baja.
Alemania está en una doble trampa:
-La del conservadurismo natalista, mutación de la mentalidad imperial, que viene a sugerir que, dado que en 1.970 nacían 1,3M de personas en el país y hoy unas 750.000, es necesario importar 500.000 anualmente para mantener la población. Este "prusianismo" mira con recelo a la vecina Francia, que tiene el mismo número de nacimientos y por ahora 14M menos de habitantes, aunque se igualarán, se supone, hacia 2035.
-La de la "extensivización" de su poder económico: a la familia Piëch, saga de doctores (de verdad,a la alemana) en ingeniería dura que lleva generaciones controlando VW-Porsche, le preocupa poco que el país pierda pobladores, pero a los amos de ALDI, Adidas (el negro es de Nike y el moro de Adidas, eso es fácil comprobarlo visitando Francia o USA), Lidl ,DT, E.On, Metro, Karstadt, etc, lo que les pone es tener masa,porque una población que envejece y "se aburguesa" tiende a reducir el consumo de lo que ellos venden, ahorra más y gasta mucho en importaciones (viajes, vinos buenos -es decir, no alemanes azucarados-, cosmética gala). Alemania mantenía -el único grande europeo- equilibrio entre intensivistas y extensivistas y de pronto, justo cuando el comercio online y apps y automatismos "siliconvalleros" varios nos dicen a gritos que el empleo extensivo se muere, esta banda logra seducir/coaccionar a la canciller con sus trasnochados alegatos. La inmo-mafia (viejunos conservadores), quizá también babea ante los rendimientos del ladrllo allende el Rhin comparados con sus magras rentitas (y cero plusvalías reales en los últimos 45 años, eso tiene que doler a lo "himbersores"; no se olvide que cuando nos dicen que en Alemania menos gente vive en propiedad, las casas alquiladas siguen siendo de alguien: de ricos y grandes fondos y aeguradoras, como en Suiza).
Pero Alemania es el único país europeo en vivir un declinar tan profundo (España produce reemplazos vía nacimientos para unos 40M de personas, Francia para 50 y muchos, es caída a medio plazo pero pequeña), y es también muy pequeña para garantizarse una suave transición hacia un mundo de baja energía o de renovables, que en cualquier caso se lleva mejor con poblaciones bajas. Es descorazonador que las fuerzas "ganadero-extensivistas", esas que en cada humano ven 80 Kg de carne compradora de básicos y aderezos horteras, hayan roto el equilibrio y se apunten un triunfo justo cuando menos conviene.
Es complicado porque es cierto que limitar la movilidad de unos factores más que la de otros tampoco conduce a situaciones óptimas . Pero a Europa le conviene más meter dinero de modo masivo en desarrollar áfrica (cómo si son 150 o 200MM anualmente, podemos pagarlo y generará retornos a la larga) que abrir puertas y eso porque tenemos un "bienestar" caro medido en euros por persona y solamente una productividad marginal muy alta del nuevo capital lo permitiría (esto exige un alto cociente de capital por persona y en África en cambio se pueden desarrollar muchos sectores con menores ratios de capital) . La diferencia de rentas nos da idea del gradiente y con ello de la potencial avalancha en caso de apertura total.
Lo que tampoco podemos hacer es encerrarnos y fingir que nada ocurre .
Si hay libre circulación de capitales TIENE que haber libre circulación de personas.CEOE APPROVED SEAL :biggrin:
Thats a capitalism fact, porque las personas SON CAPITAL (recurso humano).
Me importa poco si son negros o chinos mientras sea materia prima de calidad.
Si sobran recursos humanos su precio baja (dirigentes alemanes encantados con el dumping sirio) lo que no tiene sentido es creer que con menos habitantes, y menos trabajadores, aqui se van a mantener las paguitas. Paguitas que según las cifras de paro ya deberían haberse reducido en un 22%.
Entonces yo pregunto: si las personas son un recurso dentro de la actividad económica, lo cual es verdad... que hacemos repudiando recursos (=activos) ¿? :o
Tenemos picando a la puerta hordas de trabajadores dispuestos a trabajar en condiciones de semiesclavitud... y en España NO LES ABRIMOS!!! :roto2:
Recapacitemos y pensemos.
A nivel país, estamos rechazando algo inevitable (globalización=vasos comunicantes nivel de vida) por pura hidalguía avecremista. Antes le meto fuego que alquilarlo barato.
Decir que una cosa es buena para un país es erroneo en mi opinión. Siempre hay intereses contrapuestos dentro de un país. Será bueno para algunos y malo para otros. En este caso, estoy convencido de que sería malo para una mayoría de Españoles.
- Mayor gasto para el Estado. Malo para el contribuyente. FALSO. Ejemplo Alemania.
- Mayor competencia para el trabajador autóctono. Malo para el trabajador autóctono Proteccionismo antiliberal. Por lo menos no lo escondes
- Mayor competencia para el pobre autóctono para conseguir ayudas sociales. Malo para el pobre autóctonoProteccionismo antiliberal lacrimógeno sectario y nazionalista
- Más carne para llenar pisitos. Bueno para el rentista inmobiliario. 3 millones de viviendas vacías. Los llenamos con perros y gatos?????
- Mayor oferta de trabajadores para las empresas. Bueno para el empresario. ¿Ahora el empresario ya no es "autóctono"? He visto lenguajes sesgados pero este se lleva la palma :)
- Mayor cantidad de consumidores de productos básicos. Bueno para las empresas de ese sector (Los Iberdrola y compañia...) Acaso estas empresas no amplían plantilla con trabajadores "autóctonos" ¿? :troll:
La condición necesaria para abrir fronteras es eliminar las prestaciones sociales hasta el punto de ver normal que un pobre sin asegurar muera en la calle.Para analizar el fracaso de la sanidad pública universal española yo antes miraría al 22% de paro (con proporcional descenso de ingresos) que a 4 inmigrantes que se operan de apendicitis, máxime cuando este derecho viene garantizado por su nómina española firmada por empresario español.
Decir que una cosa es buena para un país es erroneo en mi opinión. Siempre hay intereses contrapuestos dentro de un país. Será bueno para algunos y malo para otros. En este caso, estoy convencido de que sería malo para una mayoría de Españoles.
De acuerdo.
Pero como vengo explicando varios meses atrás lo que opinen los españoles vale bien poco contra el tsunami globalizador. Nada. Cero. Irrelevante. Que no haya inmigrantes es como querer ser alto, guapo y rico (sin serlo).
Discrepo gravemente en el resto de tu mensaje, el cual no tengo por donde cogerlo.Citar- Mayor gasto para el Estado. Malo para el contribuyente. FALSO. Ejemplo Alemania.
- Mayor competencia para el trabajador autóctono. Malo para el trabajador autóctono Proteccionismo antiliberal. Por lo menos no lo escondes
- Mayor competencia para el pobre autóctono para conseguir ayudas sociales. Malo para el pobre autóctonoProteccionismo antiliberal lacrimógeno sectario y nazionalista
- Más carne para llenar pisitos. Bueno para el rentista inmobiliario. 3 millones de viviendas vacías. Los llenamos con perros y gatos?????
- Mayor oferta de trabajadores para las empresas. Bueno para el empresario. ¿Ahora el empresario ya no es "autóctono"? He visto lenguajes sesgados pero este se lleva la palma :)
- Mayor cantidad de consumidores de productos básicos. Bueno para las empresas de ese sector (Los Iberdrola y compañia...) Acaso estas empresas no amplían plantilla con trabajadores "autóctonos" ¿? :troll:
En definitiva, no deja de ser una versión light de la excusa de Rajao para no acoger inmigrantes: ejque en ejpaña hay mucho paro sabeusté.
Si relacionas inmigrantes con pobreza me remito a lo expuesto anteriormente. El problema no son los sirios ni los negros, sino que no pueden desarrollar su vida según lo teníamos previsto para ellos (alquileres de 600€ al mes). La realidad es que España se ha convertido en un país lleno de hidalgos que no se dan cuenta que los subsaharianos que quieren entran por abajo sólo lo hacen para seguir su camino hacia arriba. Aquí se quedan menos del <10% de los que pasan la frontera porque el ambiente económico es irrespirable. Certificado por un 20% de paro crónico y 500.000 titulados superiores exiliados.
Yo lo tengo clarísimo: La inmigración como catalizador. A los señoritos no les valían las parejitas jóvenes recien licenciados. Pues que traguen con sudamericanos pandilleros y sucios musulmanes conspiradores. Al fin y al cabo en la libertad de elegir está la penitencia. Habrá quien diga que tener un piso patera al lado no es libertad. Que se lo pregunten al arrendador que antes lo tenía vacío.CitarLa condición necesaria para abrir fronteras es eliminar las prestaciones sociales hasta el punto de ver normal que un pobre sin asegurar muera en la calle.Para analizar el fracaso de la sanidad pública universal española yo antes miraría al 22% de paro (con proporcional descenso de ingresos) que a 4 inmigrantes que se operan de apendicitis, máxime cuando este derecho viene garantizado por su nómina española firmada por empresario español.
Según los datos que manejan los defensores de la sanidad pública, la repercusión de la inmigración ILEGAL en la sanidad es mínima. La legal directamente no computa por no ser ningún problema (nómina legal con retenciones legales). De hecho en la época de mayor impacto de la inmigración durante la burbuja y los papeles-para-todos, las incidencias en atención primaria y listas de espera -las que siemrpe se esgrimen- eran menores que ahora, con 3 millones menos de habitantes en el país.
- Mayor gasto para el Estado. Malo para el contribuyente. FALSO. Ejemplo Alemania.CIERTO. Ejemplo España :troll: Aquí y ahora en España la inmigración no va a producir mayores ingresos al Estado. Incluso dudo de que en computos generales la inmigración de los últimos 15 años haya supuesto un beneficio para las arcas del Estado. Aunque como no tengo datos, mejor me callo. :-X
- Mayor competencia para el trabajador autóctono. Malo para el trabajador autóctono Proteccionismo antiliberal. Por lo menos no lo escondes Yo no he propuesto nada ante esa afirmación. Como no me lo has refutado, sique siendo CIERTO.
- Mayor competencia para el pobre autóctono para conseguir ayudas sociales. Malo para el pobre autóctonoProteccionismo antiliberal lacrimógeno sectario y nazionalista Lo que tu quieras pero sigue siendo cierto :troll:
- Más carne para llenar pisitos. Bueno para el rentista inmobiliario. 3 millones de viviendas vacías. Los llenamos con perros y gatos????? Los pisitos vacíos son una fuerza deflacionaria. Si los llenamos dejarán de bajar de precio.
- Mayor oferta de trabajadores para las empresas. Bueno para el empresario. ¿Ahora el empresario ya no es "autóctono"? He visto lenguajes sesgados pero este se lleva la palma :) Aquí me has pillado. Lo admito, no soy empresario.
- Mayor cantidad de consumidores de productos básicos. Bueno para las empresas de ese sector (Los Iberdrola y compañia...) Acaso estas empresas no amplían plantilla con trabajadores "autóctonos" ¿? :troll:Pues si, tienes razón. Pero ya sabemos quienes controlan y se benefician de estas empresas
Lo interesante de silicon valley, es que viene a decir, tranquilos no hace falta tanto trabajo para hacer las cosas, por ejemplo si tu tienes reuniones en X sitio las puedes hacer por videoconferencia, o si quieres hablar con los amigos no hace falta quedar, o si quieres chafardear no hace falta hablar, puedes ver Facebook y si necesitas una lavadora nueva la compras online y te la instalan sin necesidad de ir a las tiendas.
Esto conlleva trabajo de altísimo valor añadido y poco de bajo valor añadido.
Es difícil saber lo que pasa en 17 sanidades que para empezar esconden muchos datos : yo se cosas de algunas que ponen los pelos de punta y en Canarias o Andalucía no me tocan de ninguna manera .
Es probable que por el momento la inmigración ilegal haya generado pocos costes (en realidad la sanidad española ni conoce sus costes ni les importa a los "gestores"), pero es que está muy contenida : España da pocas ayudas y lo normal es que un neo entrante á Europa quiera ir a "Germoney/Geldmany" , si acaso algunos pakis informados á Vitoria, pero á España en general parece que de momento no.
Aquí hablamos no de la masa relativamente pequeña que ahora mismo está en camino sino de millones de afganos y a saber de cuantas decenas de millones de africanos que tienen en ojo puesto en Europa . Y sin capital no podrán tener empleos bien pagados y sin eso mal apunta la cosa. tampoco parece que en España falten personas (nativas o inmigrantes ya establecidos) dispuestas á trabajar por cantidades bajísimas para estándares europeos (medio SMI de un país del Norte por 160h mensuales), lo que hace aún menos pertinente la absorción masiva de población.
Lo curioso y poco conocido es que Eapaña es el país de la OCDE que más gente ha incorporado de 1990 a hoy , y correlativamente el que más ha visto crecer su población activa (más incluso que Alemania tras absorber a la RDA). Por eso lo que puede convenir a algunos alemanes podría ser la tumba de los sistemas de protección social de muchos otros países, y el mayor error de Alemania es tratar por igual a la paupérrima Hungría y a la opulenta Suecia . También llama la atención que algo tan determinante para el futuro de un país sea tratado con secretismo , propaganda sentimental , coacción brutal contra los oponentes y no poco riego de dinero y amenazas (dudo que el sentir de los creadores de opinión sea lo unánime que se manifiesta porque a otros niveles hay disidencia).
Como.mínimo queremos saber quién viene, quién ha organizado el evento (avituallamiento, consejos, curioso mdo de circunvalar la Europa musulmana en el tránsito), cual es la cifra real prevista, cómo se validará identidad y nivel de estudios (esto cualquier servicio de inteligencia lo sabe al detalle), qué se piensa hacer respecto al efecto llamada .... es grave que se haga una mísera ley de dependencia sin memoria económica para usarla como arma arrojadiza (eso hizo ZP), pero mucho peor que una marea de indocumentados de pasado desconocido recorra países donde la ciudadanía ha sido desarmada física y moralmente por Estados que le han prometido protección de la cuna a la tumba . Y disfrazando además de refugio lo que es inmigración pura y dura (pronto será público que ni la mitad de los solicitantes son sirios, abundan pakistaníes y afganos en ese flujo tan raro que Turquía nos ha lanzado de repente con alguna intención, porque sin cooperación de las FFAA turcas todo esto sería imposible) con visos de permanente y de crecer pro un factor 4 o más cuando se produzca la reagrupación.
Creo que lo dicho por BIZIRAUN y Republik puede interpretarse de varias maneras y la tuya es como poco discutible. Me cuesta interpretar que si alguien piensa que la entrada de inmigrantes perjudica a ciertos colectivos es "Proteccionista antiliberal lacrimógeno sectario y nazionalista".
- Mayor gasto para el Estado. Malo para el contribuyente. FALSO. Ejemplo Alemania.CIERTO. Ejemplo España :troll: Aquí y ahora en España la inmigración no va a producir mayores ingresos al Estado. Incluso dudo de que en computos generales la inmigración de los últimos 15 años haya supuesto un beneficio para las arcas del Estado. Aunque como no tengo datos, mejor me callo. :-XLos inmigrantes trabajarían si hubiera trabajos que les permitieran desarrollar su vida. Y con su trabajo, pagarían impuestos. De todas formas tranquilo España no es destino de Sirios, sólo de mafiosos rusos que si pueden comprar mansiones con el dinero de las prostitutas que traen de Bulgaria
- Mayor competencia para el trabajador autóctono. Malo para el trabajador autóctono Proteccionismo antiliberal. Por lo menos no lo escondes Yo no he propuesto nada ante esa afirmación. Como no me lo has refutado, sique siendo CIERTO. Lo siento soy ciudadano del mundo. Los derechos territoriales me importan una soberana mierda :) , no entiendo de autóctonos o foráneos. Yo solo veo gente que trabaja y gente que no. Por cierto, España es país de inmigrantes.
- Mayor competencia para el pobre autóctono para conseguir ayudas sociales. Malo para el pobre autóctonoProteccionismo antiliberal lacrimógeno sectario y nazionalista Lo que tu quieras pero sigue siendo cierto :troll:
- Más carne para llenar pisitos. Bueno para el rentista inmobiliario. 3 millones de viviendas vacías. Los llenamos con perros y gatos????? Los pisitos vacíos son una fuerza deflacionaria. Si los llenamos dejarán de bajar de precio.Estas esgrimiendo un argumento que podría ser mío. Te digo que los inmigrantes NO van a pagar alquileres mayores de 99€, salvo que sean mafiosos rusos. Es decir, los inmigrantes sólo pagarán alquileres al nivel de sus trabajos.
- Mayor oferta de trabajadores para las empresas. Bueno para el empresario.
- Mayor cantidad de consumidores de productos básicos. Bueno para las empresas de ese sector (Los Iberdrola y compañia...) Acaso estas empresas no amplían plantilla con trabajadores "autóctonos" ¿? :troll:Pues si, tienes razón. Pero ya sabemos quienes controlan y se benefician de estas empresas
Estoy de acuerdo contigo en que poco se puede hacer ante este "Tsunami Globalizador" y nos tendremos que amoldar a esto :tragatochos:. Pero decir que esto es una "OPORTUNIDAD"... Uff! no lo veo :facepalm:
Igual necesito un transplante de cerebro :-\
No, a ver, yo tampoco creo que sea la panacea. Sólo pretendo hacer de la necesidad virtud. Si van a entrar, porque van a entrar, por lo menos QUE TRABAJEN COÑO!!! Lo que no tiene sentido es que los que trabajamos les tengamos que pagar la luz, el agua y el comedor de los 8 hijos. Pero para que trabajen, tienen que haber las condiciones necesarias. Uséase: que se pueda vivir (pagar la luz, etc) sin destinar 300 pavos al techo, máxime cuando esto está lleno de madrigueras vacías
Parece miope y chapucero que de pronto una campaña rarisima claramente originada en Ankara (falta saber si motu proprio o por orden de la superioridad)
Parece miope y chapucero que de pronto una campaña rarisima claramente originada en Ankara (falta saber si motu proprio o por orden de la superioridad)
Puesto en corto, el gran enemigo de Ankara es el regimen de Assad, no ISIS. La "suelta" pretende presionar a los gobiernos occidentales para que ayuden en la caida de Assad.
Dicho así, no suena interesante, suena aterrador. Lo que Silicon Valley viene a decir, pues, es -qué todo pase por mí. Tus reuniones, tus chafardeos, tus compras, tu ocio, tus lecturas, tu información, tus datos...tus ahorros, tu deuda, tu dinero.-
Así instalarán el monopolio sobre todo y la lavadora costará lo mismo que antes, solo que la mayor parte del dinero irá al mismo sitio, en lugar de repartirse por toda la cadena de valor.
[url]http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11728546/Why-do-economists-support-Ubers-fare-rise-during-the-London-tube-strike.html[/url] ([url]http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11728546/Why-do-economists-support-Ubers-fare-rise-during-the-London-tube-strike.html[/url])
Se puede argumentar que quizás no consigan el monopolio y que siempre pueden surgir nuevos entrantes. ¿Seguro?.
Analicemos la situación de los desarrolladores de APP, las tiendas online de aplicaciones, los sistemas operativos, el hardware y la terrible amenaza de malware destructor si te sales del redil.
---
Qué curioso, si cambian Uds. "Silicon Valley" por Estado, todo esto podría recordar a un neoliberal rajando de los servicios que él mismo utiliza a diario de forma semigratuita y cuasi incondicional, y a los que renunciar le resultaría imposible o carísimo, dada la oferta de bienes sustitutivos no-siliconvallesca.
Para pensar.
Pallasos en Rebeldía ha realizado este miércoles una acción contra el muro construido por el Gobierno de Israel en los Territorios Palestinos Ocupados, en la zona de Cisjordania. Varios miembros de la expedición que conforma el Festiclown Palestina 2015 se han desnudado frente a esta barrera en las proximidades del puesto de control de Qalandia. “Ante este muro de vergüenza, opresión y silencio cómplice, toda la humanidad está desnuda, y ahí nos desnudamos los payasos”,
Pallasos en Rebeldía, a través de su portavoz internacional, Iván Prado, se disculpa públicamente con todos los palestinos y palestinas que se pueden sentir ofendidos por nuestras acciones contra el muro de la vergüenza, muro que atraviesa Cisjordania y el corazón de toda la humanidad.
Dicho así, no suena interesante, suena aterrador. Lo que Silicon Valley viene a decir, pues, es -qué todo pase por mí. Tus reuniones, tus chafardeos, tus compras, tu ocio, tus lecturas, tu información, tus datos...tus ahorros, tu deuda, tu dinero.-
Así instalarán el monopolio sobre todo y la lavadora costará lo mismo que antes, solo que la mayor parte del dinero irá al mismo sitio, en lugar de repartirse por toda la cadena de valor.
[url]http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11728546/Why-do-economists-support-Ubers-fare-rise-during-the-London-tube-strike.html[/url] ([url]http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11728546/Why-do-economists-support-Ubers-fare-rise-during-the-London-tube-strike.html[/url])
Se puede argumentar que quizás no consigan el monopolio y que siempre pueden surgir nuevos entrantes. ¿Seguro?.
Analicemos la situación de los desarrolladores de APP, las tiendas online de aplicaciones, los sistemas operativos, el hardware y la terrible amenaza de malware destructor si te sales del redil.
---
Qué curioso, si cambian Uds. "Silicon Valley" por Estado, todo esto podría recordar a un neoliberal rajando de los servicios que él mismo utiliza a diario de forma semigratuita y cuasi incondicional, y a los que renunciar le resultaría imposible o carísimo, dada la oferta de bienes sustitutivos no-siliconvallesca.
Para pensar.
Para pensar, especialmente notando que:
- los ciudadanos son parte del Estado, mientras que "Silicon Valley" es un conjunto de empresas privadas.
- los ciudadanos eligen a los Gobiernos, pero no eligen a nadie ni la forma de gobierno de esas empresas privadas.
- el Estado no tiene ánimo de lucro sino de redistribución e inversión para la sociedad, mientras que esas empresas privadas tienen ánimo de lucro y afán monopolístico.
- para colmo, el modelo de negocio de esas empresas privadas no es transparente a los usuarios, que creen recibir un servicio gratis, cuando están trabajando gratis para que esas empresas privadas obtengan beneficios.
Igualico...
Vaya, es malísimo el capitalismo, eh? ¡Pretender tener un modelo de negocio y ánimo de lucro! Y encima dar un servicio a los usuarios que éstos pueden libremente elegir si usan o no... (y rajar mientras lo usan).
Nada, no se hable más, hay que hacer la Internet estatal, esto está llegando demasiado lejos...
Hay estados y estados, como el de Luis xiv que era él y otros infectados por la clientela. Saquean al trabajo y empresa para dar RBUs bastardas, generan banquitos centrales provincianos para prestar a los amigotes el dinero q necesitan para los pelotazos. Estos últimos han hecho la vida un poquito mejor porque...quién paraba la música...durante un tiempo, claro.
Las empresas no están para hacer la vida un poco mejor. No es su función. Tampoco es la función de un tornero fresador o de un barrendero.
Pepephone se convierte en eléctrica 'low cost': luz a precio de coste (más 1,2€)(Atentos a la negrita)
La compañía arrancará el 30 de septiembre una nueva unidad de negocio, Pepeenergy, una comercializadora de energía renovable. La venderá a precio de coste más 1,25 euros extra al mes
La operadora Pepephone ha anunciado hoy oficialmente su entrada en el mercado de la energía eléctrica con una nueva iniciativa: PepeEnergy. Se trata de la misma estrategia que ha seguido en el mercado de telefonía como operadora virtual (OMV), pero aplicada al de la luz, es decir, actuar como comercializadora de electricidad sobre la red de terceros, una nueva línea que comenzará el 30 de septiembre. La diferencia, aseguran, está en el origen de la energía (renovable) y en el precio.
Igual que lo hizo en telefonía hace ya siete años, Pepeenergy aspira a ofrecer una alternativa low cost a las electricas tradicionales rompiendo los precios. La propuesta es ofrecer energía a los consumidores a precio mayorista más un euro al mes (para cubrir costes de la empresa asociados a ofrecer el propio servicio - personal, sistemas, atención al cliente etc). Pero hay un matiz importante.
"Si te quedas en paro, o tienes un accidente que te impida trabajar, no tendrás que pagar la factura. Hemos establecido un fondo de 0,25 euros extra al mes por cliente para que, entre todos, podamos establecer ese seguro de solidaridad", explica a Teknautas Pedro Serrahima, director general de Pepephone. Con este fondo, el precio final que pagarán todos los clientes de PepeEnergy será por tanto el coste mayorista de la electricidad más 1,25 euros al mes extra.
Para ofrecer el servicio Pepephone se ha asociado con la comercializadora de energía Enara, especializada en energías verdes. Para establecer el fondo colectivo que pagaría la factura de la luz a los clientes en paro, la compañía trabajará con Legalitas.
Otro de los puntos interesantes por los que apostará Pepeenergy es la transparencia, tanto respecto a su actividad empresarial como a la facilidad de los clientes para entender sus facturas. La compañía lo llama "nudismo empresarial".
"El mercado de la electricidad es como un flan en el que decenas de compañías cogen una cucharada. El consumidor no sabe quién coge qué ni de dónde viene el precio final de la factura. Es un caos. Nosotros vamos a ser completamente tranasparente con todo eso. Desde el precio de coste que pagamos por la luz hasta todos los costes asociados a dar el servicio", explica Serrahima a Teknautas.
PepeEnergy arrancará el próximo 30 de septiembre, pero de momento solo lo podrán contratar los clientes actuales de Pepephone (cuenta con casi 500.000 abonados), y quienes tengan ya contratado suministro de luz con una compañía eléctrica tradicional. "Es solo el primer paso", señala Pedro. "Si todo va bien, esperamos poder abrir el servicio a cualquier consumidor, sea o no cliente de Pepephone, al cabo de los dos o tres primeros meses".
Yanis Varoufakis se salió anoche en Question Time. Si no lo sube nadie lo subiré yo este fin de semana.
¿Se salió de Europa?
¿Él solito?
:troll:
Yanis Varoufakis se salió anoche en Question Time. Si no lo sube nadie lo subiré yo este fin de semana.
Voy a suponer que es esto:
! No longer available ([url]http://www.youtube.com/watch?v=YZNwdcESn90#[/url])
Austerity is being used as a cover-story for class war against the poor, Yanis Varoufakis says
[url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/austerity-is-being-used-as-a-cover-story-for-class-war-against-the-poor-yanis-varoufakis-says-10516247.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/austerity-is-being-used-as-a-cover-story-for-class-war-against-the-poor-yanis-varoufakis-says-10516247.html[/url])
Question Time for Yanis Varoufakis
[url]http://www.open.edu/openlearn/people-politics-law/politics-policy-people/economics/question-time-yanis-varoufakis[/url] ([url]http://www.open.edu/openlearn/people-politics-law/politics-policy-people/economics/question-time-yanis-varoufakis[/url])
BBC iPlayer TV programmes are available to play in the UK only. Find out why.
If you are in the UK and see this message please read this advice.
[url]http://www.bbc.co.uk/news/business-34377443[/url] ([url]http://www.bbc.co.uk/news/business-34377443[/url])
Audi and Skoda say 3.3m cars have 'cheat' emissions software
Audi and Skoda say they have a total of 3.3 million cars fitted with the software that allowed parent company Volkswagen to cheat US emissions tests.
Some 2.1 million Audis affected worldwide include 1.42 million in western Europe, with 577,000 in Germany, and almost 13,000 in the US.
Czech-based Skoda said 1.2 million of its cars were involved, but has yet to give a country or model breakdown.
Separately, German prosecutors started a probe against VW's former boss.
Former chief executive Martin Winterkorn will be investigated over "allegations of fraud in the sale of cars with manipulated emissions data," German authorities said on Monday.
The Audi models affected include the A1, A3, A4, A5, A6, TT, Q3 and Q5 models, a spokesman told the Reuters news agency.
New chief
VW said last week that 11 million cars within the group could be affected.
The scandal was revealed after the US Environmental Protection Agency found that some diesel cars were fitted with devices that could detect when the engine was being tested and could change the car's performance to improve results.
The German company apologised for breaching consumers' trust, and on Friday announced that Matthias Mueller was replacing Martin Winterkorn as chief executive. Mr Mueller promised a "relentless" investigation to uncover what went wrong.
There were also unconfirmed reports on Monday that senior R&D heads working across the car group had been suspended. Reuters said the suspensions involved staff from the Audi, Porsche and the VW brands.
Meanwhile, Volkswagen shares continue to fall in morning trading, sinking a further 6.6% in addition to last week's tumble.
The scandal has badly tarnished VW's name, left it exposed to up to $18bn in US fines, and wiped a third off its stock market value in a week.
German authorities have demanded that VW set out a timeline by 7 October on how it will ensure its diesel cars meet national emission standards without using cheat technology.
There were widespread German media reports at the weekend that the government ignored warnings two years ago that VW was using the software. However, on Monday, a government spokesman denied this.
Mad Men, no olvides que El Cochecito es el hermano pequeño de El Pisito.
En v/FR una comparativa de los sistemas de salud (sólo, no los de jubilacion) comparando FR, DE, NL y CHuiza
[url]http://fr.irefeurope.org/Reformer-et-ameliorer-le-systeme-de-Sante-grace-au-prive-et-a-la-concurrence,a2586#titre14[/url] ([url]http://fr.irefeurope.org/Reformer-et-ameliorer-le-systeme-de-Sante-grace-au-prive-et-a-la-concurrence,a2586#titre14[/url])
(lo de NL (desde 2006) es sorprendente, pero parece funcionar: funciona como los seguros de coche, con franquicia y primas, pero subvencionado por un fondo común de las gestoras y cotizaciones empresariales, cuando la prima > 4% de la renta)
Está bien para comprender los funcionamientos, pero...
Pero cuidado, es un estudio de pro-privatizacionistas
Leer médiapart
[url]http://blogs.mediapart.fr/blog/alexandra-basset/040714/jean-philippe-delsol-de-l-iref-entre-malhonnetete-intellectuelle-et-gouts-de-chiotte[/url] ([url]http://blogs.mediapart.fr/blog/alexandra-basset/040714/jean-philippe-delsol-de-l-iref-entre-malhonnetete-intellectuelle-et-gouts-de-chiotte[/url])
___
gracias a
[url]http://www.bulle-immobiliere.org/forum/viewtopic.php?f=204&t=92351&view=unread&sid=3b1a07809a6a9fa3447466b1ef9ce99c#p2037926[/url] ([url]http://www.bulle-immobiliere.org/forum/viewtopic.php?f=204&t=92351&view=unread&sid=3b1a07809a6a9fa3447466b1ef9ce99c#p2037926[/url])
Desde el fin de semana que la prensa/política alemana ha dado un giro de 180° al tema de los refugiados. Ahora dicen que no dan a basto... :o
Qué habrá pasado el fin de semana? Quizás la reunión de la ONU y las declaraciones de Putin? :biggrin:
Agence France-PresseCuenta verificada
@AFP
#BREAKING Saudi FM: Assad must go or face 'military option'
La meretriz residente en el Élysée Palace también soltó aquello de que Asad debe irse, o lo que es lo mismo en francés: je suis Isis.
Sería para descojonarse si no fuera porque tanta tensión en un punto tan caliente puede desencadenar la de diox.
edit:
Washington (CNN)Russian airstrikes in Syria could happen at any time, a U.S. official with knowledge of the latest intelligence told CNN.
"They could start at any moment," the official said. "They are ready."
En v/FR una comparativa de los sistemas de salud (sólo, no los de jubilacion) comparando FR, DE, NL y CHuiza
[url]http://fr.irefeurope.org/Reformer-et-ameliorer-le-systeme-de-Sante-grace-au-prive-et-a-la-concurrence,a2586#titre14[/url] ([url]http://fr.irefeurope.org/Reformer-et-ameliorer-le-systeme-de-Sante-grace-au-prive-et-a-la-concurrence,a2586#titre14[/url])
(lo de NL (desde 2006) es sorprendente, pero parece funcionar: funciona como los seguros de coche, con franquicia y primas, pero subvencionado por un fondo común de las gestoras y cotizaciones empresariales, cuando la prima > 4% de la renta)
Está bien para comprender los funcionamientos, pero...
Pero cuidado, es un estudio de pro-privatizacionistas
Leer médiapart
[url]http://blogs.mediapart.fr/blog/alexandra-basset/040714/jean-philippe-delsol-de-l-iref-entre-malhonnetete-intellectuelle-et-gouts-de-chiotte[/url] ([url]http://blogs.mediapart.fr/blog/alexandra-basset/040714/jean-philippe-delsol-de-l-iref-entre-malhonnetete-intellectuelle-et-gouts-de-chiotte[/url])
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gracias a
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La gente que vive en Holanda se queja de que allí el médico te manda a casa a reposar, quizá es que en España nos hemos acostumbrado a la recetita sanadora y no concebimos otro modelo.
Lo cierto es que hay enormes diferencias entre España y casi todo el resto de la UE precisamente en el modo de gestionar los servicios sanitarios, que en nuestro caso son de momento sorprendentemente baratos comparando con el resultado alcanzado. La condición cuasi-monopsonista del sector público parece que logra mantener los costes controlados, si bien hay deslizamientos brutas en las compras que se deberían acotar (plataforma conjunta de compras y más mecanismos de auditoría ex post e intervención ex ante).
Audi, primera filial del grupo en demandar a Volkswagen
Por supuestos delitos contra el derecho penal alemán.
El fabricante de vehículos de lujo ha dicho hoy que ha demandado a la matriz Volkswagen en la Fiscalía de Ingolstadt (Alemania), con el objetivo de apoyar la aclaración del escándalo de las emisiones de gases contaminantes.
Un portavoz de la empresa ha señalado que, "de este modo, queremos contribuir al proceso de esclarecimiento". "No toleramos ninguna práctica empresarial que viole la legislación vigente", ha añadido.
Volkswagen anunció la semana pasada que unos 11 millones de vehículos en todo el mundo están equipados con el motor diésel en el que instaló un software que permite al coche reconocer un test y reducir las emisiones de gases.
Concretamente, 5 millones de los vehículos son de la marca Volkswagen, 2,1 millones de Audi, 1,2 millones de Skoda , 700.000 de Seat y 1,8 millones de Volkswagen Vehículos Comerciales.
Con respecto a los barrenderos de Madrid.
No seré yo quién defienda a Botella, que si toma una decisión seguro que no es para el bien.
Pero no podemos perder de vista que si lo que dice el Ojo Izquierdo es verdad 6.300 barrenderos a 25000 de media de coste empresa (que será más porque si no son salarios mileuristas indignos y bla, bla), la cosa sale, sólo en costes laborales por 157 millonacos de euros al año. A eso añádanse las amortizaciones de la maquinaria (barredoras, bombas, camiones), los mantenimientos, el combustible, reponer y limpiar los contenedores y millones de cosas que me olvido. Ropa de trabajo, prevención de riesgos, seguros varios de la actividad...Y me juego algo a que eso echará como minimo otros 150 millones...Así que 300 millones para la basura.
Se dice pronto.
Y aquí nadie se quiere deflactar y la recogida tiene que ser todos los días y tenemos que tener derecho a generar residuos sin limitación y a que nos lo dejen todo limpio como la patena.
Nos hemos acostumbrado a un mundo carísimo. De ricos.
En Utrecht doy fe de que la basura pasa con frecuencias que en España consideramos imposibles (son más los días sin ninguna recogida que los que ven a algún camión pasar); y te dejan la bolsa sin recoger como vean que hay envases de plástico en la del vidrio o cosa semejante . En España es cierto que tenemos algunos vicios de ricacho y uno de ellos es el servicio de limpieza. Porque somos muy guarros y , si tenemos algunas ciudades muy limpias, es más por el gasto municipal que por el civismo de la población .
....... Y aquí nadie se quiere deflactar y la recogida tiene que ser todos los días y tenemos que tener derecho a generar residuos sin limitación y a que nos lo dejen todo limpio como la patena.
Nos hemos acostumbrado a un mundo carísimo. De ricos.
En Japón, donde he estado este verano, la recogida de basura es algo que, al menos a mí me ha fascinado. En Tokyo, no sólo hay que separar la basura según el tipo, sino que además no puede sacarse cuando uno quiere, sólo ciertos días y a ciertas horas. Según me contaron las multas son de aula si no clasificas bien la basura y te ciñes a los días y los horarios.
La administración local entrega unos manuales de más de 30 páginas :o dónde se especifica el sistema!
Lo pongo en este hilo no estando seguro de dónde ponerlo, aunque por su importancia para Alemania (y por tanto, Europa) creo que no descuadra aquí: se trata de un análisis algo más detallado de "lo de Volkswagen" a nivel de empresa (descripción de su posición financiera sobre todo):Un buen relato de ficción, la realidad esque pagara la multa sin problema y en Europa no cambiara practicamente nada. Lo mas grave sera la reduccion de las ventas de coches ecológicos para consumidores concienciados en USA (Que alli hasta existen), en el resto del mundo seguiran vendiendo igual, o más.
[url]http://blogs.elconfidencial.com/mercados/perlas-de-kike/2015-10-01/volkswagen-emisiones-abs-y-amigos-intimos_1043226/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/mercados/perlas-de-kike/2015-10-01/volkswagen-emisiones-abs-y-amigos-intimos_1043226/[/url])
NEW YORK – As negotiators and ministers from the United States and 11 other Pacific Rim countries meet in Atlanta in an effort to finalize the details of the sweeping new Trans-Pacific Partnership (TPP), some sober analysis is warranted. The biggest regional trade and investment agreement in history is not what it seems.
You will hear much about the importance of the TPP for “free trade.” The reality is that this is an agreement to manage its members’ trade and investment relations – and to do so on behalf of each country’s most powerful business lobbies. Make no mistake: It is evident from the main outstanding issues, over which negotiators are still haggling, that the TPP is not about “free” trade.
New Zealand has threatened to walk away from the agreement over the way Canada and the US manage trade in dairy products. Australia is not happy with how the US and Mexico manage trade in sugar. And the US is not happy with how Japan manages trade in rice. These industries are backed by significant voting blocs in their respective countries. And they represent just the tip of the iceberg in terms of how the TPP would advance an agenda that actually runs counter to free trade.
For starters, consider what the agreement would do to expand intellectual property rights for big pharmaceutical companies, as we learned from leaked versions of the negotiating text. Economic research clearly shows the argument that such intellectual property rights promote research to be weak at best. In fact, there is evidence to the contrary: When the Supreme Court invalidated Myriad’s patent on the BRCA gene, it led to a burst of innovation that resulted in better tests at lower costs. Indeed, provisions in the TPP would restrain open competition and raise prices for consumers in the US and around the world – anathema to free trade.
The TPP would manage trade in pharmaceuticals through a variety of seemingly arcane rule changes on issues such as “patent linkage,” “data exclusivity,” and “biologics.” The upshot is that pharmaceutical companies would effectively be allowed to extend – sometimes almost indefinitely – their monopolies on patented medicines, keep cheaper generics off the market, and block “biosimilar” competitors from introducing new medicines for years. That is how the TPP will manage trade for the pharmaceutical industry if the US gets its way.
Similarly, consider how the US hopes to use the TPP to manage trade for the tobacco industry. For decades, US-based tobacco companies have used foreign investor adjudication mechanisms created by agreements like the TPP to fight regulations intended to curb the public-health scourge of smoking. Under these investor-state dispute settlement (ISDS) systems, foreign investors gain new rights to sue national governments in binding private arbitration for regulations they see as diminishing the expected profitability of their investments.
International corporate interests tout ISDS as necessary to protect property rights where the rule of law and credible courts are lacking. But that argument is nonsense. The US is seeking the same mechanism in a similar mega-deal with the European Union, the Transatlantic Trade and Investment Partnership, even though there is little question about the quality of Europe’s legal and judicial systems.
To be sure, investors – wherever they call home – deserve protection from expropriation or discriminatory regulations. But ISDS goes much further: The obligation to compensate investors for losses of expected profits can and has been applied even where rules are nondiscriminatory and profits are made from causing public harm.
Philip Morris International is currently prosecuting such cases against Australia and Uruguay (not a TPP partner) for requiring cigarettes to carry warning labels. Canada, under threat of a similar suit, backed down from introducing a similarly effective warning label a few years back.
Given the veil of secrecy surrounding the TPP negotiations, it is not clear whether tobacco will be excluded from some aspects of ISDS. Either way, the broader issue remains: Such provisions make it hard for governments to conduct their basic functions – protecting their citizens’ health and safety, ensuring economic stability, and safeguarding the environment.
Imagine what would have happened if these provisions had been in place when the lethal effects of asbestos were discovered. Rather than shutting down manufacturers and forcing them to compensate those who had been harmed, under ISDS, governments would have had to pay the manufacturers not to kill their citizens. Taxpayers would have been hit twice – first to pay for the health damage caused by asbestos, and then to compensate manufacturers for their lost profits when the government stepped in to regulate a dangerous product.
It should surprise no one that America’s international agreements produce managed rather than free trade. That is what happens when the policymaking process is closed to non-business stakeholders – not to mention the people’s elected representatives in Congress.
[...] El castigo impuesto a Grecia para satisfacer la ideología de los economistas enamorados del conservadurismo económico austríaco de principios del siglo XX es vergonzoso. Sin embargo, observo que mis amigos del Pasok y Syriza no apoyan la renuncia al Euro, y mucho menos a la UE. Tampoco Podemos en España. Son siempre los trabajadores y los pobres los que sufren cuando se devalúa su moneda, y el precio de los productos y servicios esenciales aumenta. [...]
Europa tiene solo un charco, pero USA tiene dos:
Anti-austerity rally: Pictures of police marksmen watching march from Manchester rooftops circulate on social media¿Francotiradores vigilando las manifestaciones antiausteridad? ¿O esperando a recibir órdenes para provocar disturbios?
Das Auto
Cómo hay que leer la colleja que le han dado a Merkel desde Estados Unidos
El escándalo de Volkswagen con el fraude de las emisiones es la última chorizada de una empresa de aquel país que prodiga lecciones de moralidad en Europa. Un dato más en la larga serie de los últimos años, una especie de versión teutona en el siglo XXI de aquel cutre Celtiberia show de Luis Carandell. El “Teutonia-show”, podríamos decir; la financiación de la burbuja inmobiliaria en países como Estados Unidos, España o Irlanda; la crisis de los pepinos, el aeropuerto de Berlín, la Filarmónica de Hamburgo, el Germanwings, la eurocanallada griega… Por ahí todo claro, pero, ¿es este escándalo un asunto técnico? Cuesta creerlo.
Credit Suisse estima en hasta 78.000 millones de euros el perjuicio que el dieselgate puede ocasionar a la primera empresa automovilística alemana. Una bonita suma. Por si sola ya supera en un 60% el coste del mayor vertido petrolero de la historia, la catástrofe Deepwater Horizon de la compañía BP en el Golfo de México de hace cinco años. En París, Axa Investment Managers cree que el asunto le costará a Alemania alrededor del 1,1% de su PIB.
Según el economista Andrew Rose, un gurú de la ciencia de la exportación y el comercio de la Universidad de California, cada punto de caída en el índice de simpatía que un país suscita, resta un 0,5% a las compras procedentes de ese país. Sin contar siquiera el efecto que el siniestro factor Wolfgang Schäuble ha tenido sobre las maltrechas germanofilias en el Sur de Europa, es evidente que el caso VW va a tener consecuencias devastadoras, pronostica el avispado economista alemán Thomas Fricke. El sector automovilístico representa más del 17% de la exportación alemana. Pocas cosas podían hacer más daño. Con todo esto en la mollera, la pregunta que se impone es bien simple: ¿Qué ha pasado entre Estados Unidos y Alemania para que una agencia del gobierno lance tamaño torpedo contra Berlín?
Ignorar esta pregunta sería mucho peor que pensar cándidamente que los parámetros de emisiones de los automóviles los deciden los burócratas de Bruselas, o que el sin límite de velocidad de las autopistas alemanas lo decide el cuerpo de diputados del Bundestag.
La industria del automóvil pesa mucho en la política. Tiene centenares de lobbystas en Bruselas (oficialmente 240 declarados, 43 de ellos de VW), que son los que preparan las normas y envían los proyectos de ley a los políticos como platos precocinados. Se vio claro en 2013, cuando Merkel vetó y pospuso hasta 2022 normas en materia de emisión, de acuerdo con un guión conjunto de Daimler-Benz y BMW. La conexión entre políticos y grandes empresas es estrecha y conocida. Antaño propiedad pública, Volkswagen aún es hoy propiedad del Land de Baja Sajonia (en un 20%) y todos los políticos de ese Land (por ejemplo el ex canciller Gerhard Schröder o el actual vicecanciller Sigmar Gabriel) mantienen estrechos vínculos con la casa. El gobierno alemán conocía perfectamente el fraude que ahora ha estallado, como sabían los tecnócratas de Bruselas que los procedimientos para medir emisiones son un timo capaz de competir con el de la estampita. Lo mismo vale para la proyección mundial y mediática de estas gigantescas y poderosas empresas.
Se ha hablado mucho del origen nazi de VW (Seat también fue una criatura del régimen franquista), pero mucho menos del papel que Volkswagen desempeñó, por ejemplo durante la dictadura de los generales brasileños (1964-1985) confeccionando listas negras para los militares entre sus empleados, cuando su jefe de seguridad en Sao Paolo (desde 1959 hasta 1967) era Franz Stang, ex comandante de los campos de exterminio nazis de Sobibor y Treblinka, como ha recordado oportunamente el portal German Foreign Policy.
En París, Le Canard Enchaîné ha denunciado el chantaje al que la agencia encargada de comprar los espacios publicitarios de VW en la prensa francesa sometió a una veintena de diarios regionales: si querían seguir recibiendo publicidad y a fin de no perturbar la campaña de anuncios, debían renunciar a publicar informaciones sobre el dieselgate durante los días en que se publicaran los anuncios. Solo tres diarios, sobre una veintena protestaron… Por desgracia este es el mundo real, y en este mundo hay que ir con el escepticismo y las preguntas por delante.
Quien crea que asuntos de tanta trascendencia como un puñetazo en el bajo vientre de Alemania las decide un fontanero de la agencia ambiental de Estados Unidos, se equivoca. Cuando se trata de lanzar un torpedo de tal calibre contra un país amigo, es que ocurre algo en la relación y se quiere lanzar una advertencia, por lo menos. Las negociaciones del TTIP, el acuerdo de “libre comercio” diseñado para ponerle la guinda a la gran involución actualmente en curso, no van bien. En el mundo en general, cada vez más cosas escapan al control de Estados Unidos, que por ejemplo en Oriente Medio parece carecer de toda estrategia coherente. Más que nunca hay que mantener bien amarrados a los vasallos europeos. No sé por donde vienen los motivos de esta fenomenal colleja que ha recibido Merkel, pero no duden que la ha recibido con toda la bendición del poder imperial.
El TTIP no va bien (según EEUU) >> Volkswagenazo >> El Tribunal de Luxemburgo decide que el acuerdo Safe Harbor sobre privacidad de datos entre la UE y EEUU no es legal (toda empresa EEUU o filial europea - Google, Facebook, Yahoo, Microsoft, etc. - ya NO cumple automáticamente las leyes de protección de datos europeas)
[url]http://www.forbes.com/sites/gregoryferenstein/2015/10/07/what-the-eus-safe-harbor-ruling-could-mean-for-tech-startups/[/url] ([url]http://www.forbes.com/sites/gregoryferenstein/2015/10/07/what-the-eus-safe-harbor-ruling-could-mean-for-tech-startups/[/url])
Esto puede ser una bomba si se pierde el control . Falta que empiece a salir la mierda de Big Food y Big Chemical , que en esto de la oncogénesis dan sopas con honda a Big Auto, y en lugar de TTIP tendremos años-30 bis con cierre comercial y control de fronteras feroz.
China To Build Road On India-Myanmar Border To Foster Trade
© AFP 2015/ Ye Aung Thu
South Asia
23:25 18.03.2015(updated 23:27 18.03.2015) Get short URL
010700
China is planning to come up with a project linking Banshao on the India-Myanmar border with Myitkyina in Myanmar to re-link it with the historic Stilwell Road in India, a Chinese official said here on Wednesday.
"The implementation of the road Myitkyina to Banshao is going to be carried out, so that the famous Stilwell Road is expected to be re-linked up again, and it will become another international thoroughfare connecting China, Myanmar and India," Lu Wenxiang, standing deputy governor of China's Yunnan province, said at an event organised by the Indian Chamber of Commerce here.
He said his country has already built a secondary highroad from Tengchong county in China to Myitkina in Myanmar and the upcoming project linking the Stilwell Road and Myitkina will help facilitate trade in the BCIM (Bangladesh-China-India-Myanmar) corridor.
"Currently, our prefecture (of Nujiang) and Kachin state of Myanmar is committed to promoting the road connection construction to integrate into the BCIM economic circle as soon as possible," he said.
Wenxiang said enterprises out of Nujiang have already invested RMB 1.3 billion from 2010 to 2014 and the bilateral trade between Myanmar and the prefecture is valued at $150 million.
Nujiang, owing to its geo-strategic advantage along the BCIM routes, may become a major forerunner for the project, if implemented.
Read more: [url]http://in.sputniknews.com/south_asia/20150318/1013804127.html#ixzz3o09pjAZH[/url] ([url]http://in.sputniknews.com/south_asia/20150318/1013804127.html#ixzz3o09pjAZH[/url])
El TTIP no va bien (según EEUU) >> Volkswagenazo >> El Tribunal de Luxemburgo decide que el acuerdo Safe Harbor sobre privacidad de datos entre la UE y EEUU no es legal (toda empresa EEUU o filial europea - Google, Facebook, Yahoo, Microsoft, etc. - ya NO cumple automáticamente las leyes de protección de datos europeas)
[url]http://www.forbes.com/sites/gregoryferenstein/2015/10/07/what-the-eus-safe-harbor-ruling-could-mean-for-tech-startups/[/url] ([url]http://www.forbes.com/sites/gregoryferenstein/2015/10/07/what-the-eus-safe-harbor-ruling-could-mean-for-tech-startups/[/url])Esto puede ser una bomba si se pierde el control . Falta que empiece a salir la mierda de Big Food y Big Chemical , que en esto de la oncogénesis dan sopas con honda a Big Auto, y en lugar de TTIP tendremos años-30 bis con cierre comercial y control de fronteras feroz.
¿Y España juega algún papel?
Estaba claro que Alemania iba a defender su industria, ídem Francia. ¿y el resto de los actores?
El otro día me quedé flipando, hablaba con un colega sobre el tema laboral.
Simplificando: Yo soy project manager , bussines developmen manager, desarrollador de Social Media, etc.
No os parecen absurdos los Currículums de hoy en día? No es más simple y más claro decir que yo hago coches,páginas web o llevo una cuadrilla en una fábrica de cacerolas?
Absurdidades de los Anglo Jobs.
No es ni más ni menos que otro ejemplo de powerpointismo vende humos.
El otro día me quedé flipando, hablaba con un colega sobre el tema laboral.
Simplificando: Yo soy project manager , bussines developmen manager, desarrollador de Social Media, etc.
No os parecen absurdos los Currículums de hoy en día? No es más simple y más claro decir que yo hago coches,páginas web o llevo una cuadrilla en una fábrica de cacerolas?
Absurdidades de los Anglo Jobs.
No es ni más ni menos que otro ejemplo de powerpointismo vende humos.
La gente tiene más "títulos" que conocimientos. Hoy en día, me parece que ni el entrevistador sabe lo que necesita, ni el entrevistado tiene los conocimientos. Y los 2 se dedican a decir anglicanismos varios, que parecen resultones pero carecen de fondo.
Hace tiempo me preguntaba, si la externalización de RRHH servía de algo. El aparente ahorro de coste, me parece pan para hoy, hambre para mañana.
En una empresa medianamente grande, ya no se hacen nóminas, ya no hay dept de RRHH. Hay un señor/a que cobra como director de RRHH, pero no hay departamento como tal. Las entrevistas las hace alguna consultora/ETT, que hacen de filtro, y luego dan los últimos OK en la empresa.
Como entrevistado, tienes que pasar el filtro de la ETT (digo consultora de RRHH), que es alguien que no sabe ni le importa un pimiento el tema a tratar, sólo marcha "checks" en una hoja. Luego, cuando llegas a las siguientes entrevistas con la empresa, tienes que pasar el check del director de RRHH (el del sueldazo, que tampoco tiene ni idea), y luego el del Director del dept dónde iras a trabajar (que igual tampoco tiene ni idea).
Total, sale más a cuenta ser un powerpointer que un técnico, porque pasaras todos esos filtros.
Interesante.El hedonismo de la juventud ha sido cultivado por lo alto de la cadena trófica. Les dijeron a los jovenes que participarian en la fiesta, al llegar no habia ni luces, y para entrar era necesario pagar al casero unas rentas ficticias para manter la fiesta de los de arriba.
También mencionar que una sociedad empieza su decadencia cuando se instala en un edonismo que busca solo el beneficio propio.Un país se construye aportando esfuerzo e ilusión y dejando en un segundo término lo que la sociedad o país te aporta a ti.Digo esto porque quizás debido al éxito de los últimos cincuenta años se ha instalado un porqueyolovalguismo pidiendo a la sociedad más de lo que puedes aportar.
No se como explicarlo, nos queremos comer la fruta pero no hacer el esfuerzo previo de cultivarla. En la Corea Sureña se respira una ilusión de construir,de progresar, de hacer mejores barcos, coches o electrónica, esa mentalidad se ha perdido en Europa. En España la mentalidad de gran parte de los estudiantes es meterse en una plaza pública....... para chupar del bote, quien tiene más futuro Corea del Sur o España?
A PP.CC más que el discurso contra los pisos, le veo esto, una lucha para devolver la dignidad al esfuerzo, el trabajo y la ilusión de una sociedad autenticamente meritocrática, social y libre económicamente.
El otro día me quedé flipando, hablaba con un colega sobre el tema laboral.
Simplificando: Yo soy project manager , bussines developmen manager, desarrollador de Social Media, etc.
No os parecen absurdos los Currículums de hoy en día? No es más simple y más claro decir que yo hago coches,páginas web o llevo una cuadrilla en una fábrica de cacerolas?
Absurdidades de los Anglo Jobs.
No es ni más ni menos que otro ejemplo de powerpointismo vende humos.
La gente tiene más "títulos" que conocimientos. Hoy en día, me parece que ni el entrevistador sabe lo que necesita, ni el entrevistado tiene los conocimientos. Y los 2 se dedican a decir anglicanismos varios, que parecen resultones pero carecen de fondo.
Hace tiempo me preguntaba, si la externalización de RRHH servía de algo. El aparente ahorro de coste, me parece pan para hoy, hambre para mañana.
En una empresa medianamente grande, ya no se hacen nóminas, ya no hay dept de RRHH. Hay un señor/a que cobra como director de RRHH, pero no hay departamento como tal. Las entrevistas las hace alguna consultora/ETT, que hacen de filtro, y luego dan los últimos OK en la empresa.
Como entrevistado, tienes que pasar el filtro de la ETT (digo consultora de RRHH), que es alguien que no sabe ni le importa un pimiento el tema a tratar, sólo marcha "checks" en una hoja. Luego, cuando llegas a las siguientes entrevistas con la empresa, tienes que pasar el check del director de RRHH (el del sueldazo, que tampoco tiene ni idea), y luego el del Director del dept dónde iras a trabajar (que igual tampoco tiene ni idea).
Total, sale más a cuenta ser un powerpointer que un técnico, porque pasaras todos esos filtros.
El Rey anima a los jóvenes a montar su propio negocio y a "asumir su riesgo"
El otro día me quedé flipando, hablaba con un colega sobre el tema laboral.
Simplificando: Yo soy project manager , bussines developmen manager, desarrollador de Social Media, etc.
No os parecen absurdos los Currículums de hoy en día? No es más simple y más claro decir que yo hago coches,páginas web o llevo una cuadrilla en una fábrica de cacerolas?
Absurdidades de los Anglo Jobs.
No es ni más ni menos que otro ejemplo de powerpointismo vende humos.
La gente tiene más "títulos" que conocimientos. Hoy en día, me parece que ni el entrevistador sabe lo que necesita, ni el entrevistado tiene los conocimientos. Y los 2 se dedican a decir anglicanismos varios, que parecen resultones pero carecen de fondo.
Hace tiempo me preguntaba, si la externalización de RRHH servía de algo. El aparente ahorro de coste, me parece pan para hoy, hambre para mañana.
En una empresa medianamente grande, ya no se hacen nóminas, ya no hay dept de RRHH. Hay un señor/a que cobra como director de RRHH, pero no hay departamento como tal. Las entrevistas las hace alguna consultora/ETT, que hacen de filtro, y luego dan los últimos OK en la empresa.
Como entrevistado, tienes que pasar el filtro de la ETT (digo consultora de RRHH), que es alguien que no sabe ni le importa un pimiento el tema a tratar, sólo marcha "checks" en una hoja. Luego, cuando llegas a las siguientes entrevistas con la empresa, tienes que pasar el check del director de RRHH (el del sueldazo, que tampoco tiene ni idea), y luego el del Director del dept dónde iras a trabajar (que igual tampoco tiene ni idea).
Total, sale más a cuenta ser un powerpointer que un técnico, porque pasaras todos esos filtros.
Son trabajos white collar para mantener aparcados a los suyos. Que no quiere decir que no se cuele gente outsider a la empresa, pero como antes cualquier directivo medio tenia varias secretarias, ahora estan todos esos puestos en busqueda de utilidad, bastante escasa.
Sobre los titulos y los conocimientos, no existe correlacion, pero hilando con el anterior mensaje publicado a los jovenes se les negó entrar al mdo. laboral de forma digna y tambien mantenerse, desde los mass media se ha mandado un mensaje claro, formate o seras un desempleado. ¿Que ocurrio? Pues lo esperable en todas las crisis, se acumula mas stock en forma de titulos, muchos de ellos inutiles (que pregunten en la Junta de Andalucia). Y no solo eso, las posibilidades de encontrar un trabajo sin ningun titulo por muy genio que sea tienden a cero, porque toda la depresion economica y social se junta con unos politicos que les encanta legislar. Y legislan para hacer cotos privados de empleo.
Un claro ejemplo de esto es lo de piloto de drone, que han salido escuelas en las cuales puedes certificar que eres un excelente piloto y sabes la legislacion, a modico precio de 30 mil euros por un año. Podeis encontrar entrevistas a alumnos de las mismas escuelitas aparca-ricos en los cuales defienden el valor añadido de hacer el curso y la necesidad de legislacion para la actividad. ¿Acaso en los 90 no habia aviones radiocontrol? Que en los 2000 ya llevaban camaras y no diferian mucho en el uso de un drone.
El CV deberia ser un anacronismo, pero no lo es. Y menos en un pais con excedente de trabajo, sirve como primer filtro y sirve para parecer que el sistema gira y funciona en forma de meritocracia. La realidad esque la mayoria de los trabajos en España, y en la mayor parte del mundo, salen de amigos/familiares o de estos mismos ejerciendo de insiders en el mastondonte empresarial. Esta imagen de meritocracia hace que el rechazado se frustre, encima la sociedad ya tiene los suficientes mantras de defensa para hacer culpable al desgraciado de su desgracia.
¿No puede ser que no haya trabajo para todos? y que por mucho titulo que tengas no hay para todos. De ahi el mantra de emprender. Si hasta el preparado como le llaman aqui dice que hay que hacerlo [1]CitarEl Rey anima a los jóvenes a montar su propio negocio y a "asumir su riesgo"
Entonces, si no encuentras trabajo es culpa tuya, y si no emprendes tambien por tener aversion al riesgo. La realidad esque en una economia decreciente (a pesar la ficcion estadistica del gobierno) no esque no puedas emprender, esque no se debe y mas sin cierta red de seguridad.
En otros tiempos era mas sencillo emprender, no habia tanta normativa, tantos impuestos y no solo eso, sino que la economia creciente y las altas tasas de inflacion hacia que fuera una buena decision invertir el capital en cosas productivas. Eso ya no es asi, ¿como solucionarlo? Ni idea. Quizas por eso la ratio de innovacion esta en la parte mala de la curva de rendimientos decrecientes.
Solo tienen que fijarse en los emprendedores que salen en todos esos saraos a los que asisten los politicos o los reyes a hacer "networking", la mayoria lo hacen con red de seguridad o incluso estan disparando con cartucho ajeno. Vaya usted a cualquier banco/cajita a pedir financiacion para un proyecto industrial, no ya ahora, sino incluso en tiempos de burbuja, se reirian de usted.
Solo hay que ver la movilidad social en occidente (excluyendo los nordicos).
[1] [url]http://www.efe.com/efe/espana/economia/el-rey-anima-a-los-jovenes-montar-su-propio-negocio-y-asumir-riesgo/10003-2734075[/url] ([url]http://www.efe.com/efe/espana/economia/el-rey-anima-a-los-jovenes-montar-su-propio-negocio-y-asumir-riesgo/10003-2734075[/url])
Me sorprende lo de a la ligera que se habla a veces.Es una generalizacion hombre, esta claro que diversos puestos especificos es complicado cubrirlos, y especialmente si quieres tener ciertas garantias sobre su desempeño.
Supongo que a mí me pasa lo mismo.
Y estas cosas me sulfuran de tal manera que voy a romper una regla que me autoimpuse (y me arrepentiré).
Busco a un tipo para cubrir un puesto. Si cumple lo que busco el salario estará entre 55.000 y 75.000 brutos anuales.
Ingeniero, dos idiomas, que conozca el comercio internacional, que haya trabajado en venta de proyectos industriales internacionales.
Si conocéis a alguien que vaya cumpliendo eso, me mandáis un privado y os mandaré el enlace de los anuncios que hay puestos en la web para que quién sea tire su candidatura.
Ni familiares, ni amigos, ni enchufados ni aparcamientos de pollas.
Interesante.El hedonismo de la juventud ha sido cultivado por lo alto de la cadena trófica. Les dijeron a los jovenes que participarian en la fiesta, al llegar no habia ni luces, y para entrar era necesario pagar al casero unas rentas ficticias para manter la fiesta de los de arriba.
También mencionar que una sociedad empieza su decadencia cuando se instala en un edonismo que busca solo el beneficio propio.Un país se construye aportando esfuerzo e ilusión y dejando en un segundo término lo que la sociedad o país te aporta a ti.Digo esto porque quizás debido al éxito de los últimos cincuenta años se ha instalado un porqueyolovalguismo pidiendo a la sociedad más de lo que puedes aportar.
No se como explicarlo, nos queremos comer la fruta pero no hacer el esfuerzo previo de cultivarla. En la Corea Sureña se respira una ilusión de construir,de progresar, de hacer mejores barcos, coches o electrónica, esa mentalidad se ha perdido en Europa. En España la mentalidad de gran parte de los estudiantes es meterse en una plaza pública....... para chupar del bote, quien tiene más futuro Corea del Sur o España?
A PP.CC más que el discurso contra los pisos, le veo esto, una lucha para devolver la dignidad al esfuerzo, el trabajo y la ilusión de una sociedad autenticamente meritocrática, social y libre económicamente.
Sobre Corea del Sur, y extrapolable a cualquier pais que haya conseguido pasar del subdesarrollo a ser un pais aceptable conlleva una dualidad de su sociedad, si hubiera alguna manera tangible de medir el hedonismo los coreanos del sur ganaria por goleada a cualquier pais occidental, ya en la actualidad, pero en un futuro esa brecha todavia será mayor, es lo que tiene carecer de identidad cultural. Corea del Sur no deja de ser una sociedad de castas, donde incluso gente con sueldos de subsistencia se lo dejan en pagar precios extravagantes en productos tecnologicos, en cosmeticos para parecer occidentales y demas.
Lo que se ve en Corea del Sur se ve en demasiadas partes del globo, en México es igual, Colombia. Y no, eso no les hará progresar por mucho que pueda parecer que si. Son paises con unas desigualdades brutales, y su tardio desarrollo hace que las nuevas generaciones tengan cierta movilidad social, siempre que puedan estudiar e iniciar una carrera de ratas, en dos decadas eso desaparecera, como ha desaparecido en cualquier pais desarrollado por esas latitudes.
No es diferente a los jovenes africanos que quieren comerse el mundo, pero no lo haran. En muchos paises todavia es necesario pagar el sueldo de los trabajadores a sus mujeres para que no se lo gasten de camino a casa en bebida o en una camiseta del R.Madrid / Barcelona. ¿van a acumular el suficiente stock capital para montar algo decente?
No se puede determinar que pais tiene mas futuro, aunque España sigue partiendo con mucha ventaja. En todos los paises que cito lo unico que les interesa es crecer, en terminos absolutos, poblacion, pib, en Europa esa fase ya la habeis pasado, ahora se afrontan otros objetivos como la redistribución. Porque se ha llegado a niveles de desarrollo aceptables, aunque esteis en decadencia.
Sobre los jovenes españoles, claro que son hedonistas, como toda sociedad de no supervivencia (la vida en Europa occidental es "facil"), lo que ocurre es la negacion de entrar a formar parte del mdo. laboral de forma digna. ¿Que ellos tienen parte de la culpa? Pues en parte, pero en la mayor parte de todo no han tenido ni parte ni opinion. La generación de los 80 eliminaron el excedente de la reconversión con la heroina, ahora les aparcan en los gimnasios, sus batidos de proteinas y su culto al cuerpo.
Sino, ¿?expliquenme como se pueden crear espacios especificos para que realicen botellon? El pan y circo ha sido cambiado por el gimnasio y alcohol.
El otro día me quedé flipando, hablaba con un colega sobre el tema laboral.
Simplificando: Yo soy project manager , bussines developmen manager, desarrollador de Social Media, etc.
No os parecen absurdos los Currículums de hoy en día? No es más simple y más claro decir que yo hago coches,páginas web o llevo una cuadrilla en una fábrica de cacerolas?
Absurdidades de los Anglo Jobs.
No es ni más ni menos que otro ejemplo de powerpointismo vende humos.
La gente tiene más "títulos" que conocimientos. Hoy en día, me parece que ni el entrevistador sabe lo que necesita, ni el entrevistado tiene los conocimientos. Y los 2 se dedican a decir anglicanismos varios, que parecen resultones pero carecen de fondo.
Hace tiempo me preguntaba, si la externalización de RRHH servía de algo. El aparente ahorro de coste, me parece pan para hoy, hambre para mañana.
En una empresa medianamente grande, ya no se hacen nóminas, ya no hay dept de RRHH. Hay un señor/a que cobra como director de RRHH, pero no hay departamento como tal. Las entrevistas las hace alguna consultora/ETT, que hacen de filtro, y luego dan los últimos OK en la empresa.
Como entrevistado, tienes que pasar el filtro de la ETT (digo consultora de RRHH), que es alguien que no sabe ni le importa un pimiento el tema a tratar, sólo marcha "checks" en una hoja. Luego, cuando llegas a las siguientes entrevistas con la empresa, tienes que pasar el check del director de RRHH (el del sueldazo, que tampoco tiene ni idea), y luego el del Director del dept dónde iras a trabajar (que igual tampoco tiene ni idea).
Total, sale más a cuenta ser un powerpointer que un técnico, porque pasaras todos esos filtros.
Son trabajos white collar para mantener aparcados a los suyos. Que no quiere decir que no se cuele gente outsider a la empresa, pero como antes cualquier directivo medio tenia varias secretarias, ahora estan todos esos puestos en busqueda de utilidad, bastante escasa.
Sobre los titulos y los conocimientos, no existe correlacion, pero hilando con el anterior mensaje publicado a los jovenes se les negó entrar al mdo. laboral de forma digna y tambien mantenerse, desde los mass media se ha mandado un mensaje claro, formate o seras un desempleado. ¿Que ocurrio? Pues lo esperable en todas las crisis, se acumula mas stock en forma de titulos, muchos de ellos inutiles (que pregunten en la Junta de Andalucia). Y no solo eso, las posibilidades de encontrar un trabajo sin ningun titulo por muy genio que sea tienden a cero, porque toda la depresion economica y social se junta con unos politicos que les encanta legislar. Y legislan para hacer cotos privados de empleo.
Un claro ejemplo de esto es lo de piloto de drone, que han salido escuelas en las cuales puedes certificar que eres un excelente piloto y sabes la legislacion, a modico precio de 30 mil euros por un año. Podeis encontrar entrevistas a alumnos de las mismas escuelitas aparca-ricos en los cuales defienden el valor añadido de hacer el curso y la necesidad de legislacion para la actividad. ¿Acaso en los 90 no habia aviones radiocontrol? Que en los 2000 ya llevaban camaras y no diferian mucho en el uso de un drone.
El CV deberia ser un anacronismo, pero no lo es. Y menos en un pais con excedente de trabajo, sirve como primer filtro y sirve para parecer que el sistema gira y funciona en forma de meritocracia. La realidad esque la mayoria de los trabajos en España, y en la mayor parte del mundo, salen de amigos/familiares o de estos mismos ejerciendo de insiders en el mastondonte empresarial. Esta imagen de meritocracia hace que el rechazado se frustre, encima la sociedad ya tiene los suficientes mantras de defensa para hacer culpable al desgraciado de su desgracia.
¿No puede ser que no haya trabajo para todos? y que por mucho titulo que tengas no hay para todos. De ahi el mantra de emprender. Si hasta el preparado como le llaman aqui dice que hay que hacerlo [1]CitarEl Rey anima a los jóvenes a montar su propio negocio y a "asumir su riesgo"
Entonces, si no encuentras trabajo es culpa tuya, y si no emprendes tambien por tener aversion al riesgo. La realidad esque en una economia decreciente (a pesar la ficcion estadistica del gobierno) no esque no puedas emprender, esque no se debe y mas sin cierta red de seguridad.
En otros tiempos era mas sencillo emprender, no habia tanta normativa, tantos impuestos y no solo eso, sino que la economia creciente y las altas tasas de inflacion hacia que fuera una buena decision invertir el capital en cosas productivas. Eso ya no es asi, ¿como solucionarlo? Ni idea. Quizas por eso la ratio de innovacion esta en la parte mala de la curva de rendimientos decrecientes.
Solo tienen que fijarse en los emprendedores que salen en todos esos saraos a los que asisten los politicos o los reyes a hacer "networking", la mayoria lo hacen con red de seguridad o incluso estan disparando con cartucho ajeno. Vaya usted a cualquier banco/cajita a pedir financiacion para un proyecto industrial, no ya ahora, sino incluso en tiempos de burbuja, se reirian de usted.
Solo hay que ver la movilidad social en occidente (excluyendo los nordicos).
[1] [url]http://www.efe.com/efe/espana/economia/el-rey-anima-a-los-jovenes-montar-su-propio-negocio-y-asumir-riesgo/10003-2734075[/url] ([url]http://www.efe.com/efe/espana/economia/el-rey-anima-a-los-jovenes-montar-su-propio-negocio-y-asumir-riesgo/10003-2734075[/url])
Me sorprende lo de a la ligera que se habla a veces.
Supongo que a mí me pasa lo mismo.
Y estas cosas me sulfuran de tal manera que voy a romper una regla que me autoimpuse (y me arrepentiré).
Busco a un tipo para cubrir un puesto. Si cumple lo que busco el salario estará entre 55.000 y 75.000 brutos anuales.
Ingeniero, dos idiomas, que conozca el comercio internacional, que haya trabajado en venta de proyectos industriales internacionales.
Si conocéis a alguien que vaya cumpliendo eso, me mandáis un privado y os mandaré el enlace de los anuncios que hay puestos en la web para que quién sea tire su candidatura.
Ni familiares, ni amigos, ni enchufados ni aparcamientos de pollas.
Corea del Sur es un país que pasó de ser atrasado tecnológicamente, pobre como las ratas y en un sistema de castas a lo que es hoy en día sin UE, plan Marschal o Blue Banana, simplemente con su esfuerzo y sudor, merecen mis dies sin duda.
Saludos compañeros.
Usted ha visto las cincuentonas y sesentonas que se estilan hoy en día pero si visten como dieciochoañeras discotequeras.Te entiendo lo que quieres decir pero ¿Como no va a haber mayor desigualdad de ingresos en un pais con 25% de paro con uno con el 4/5%?
Y lo de la desigualdad........según la ONU y su famoso coeficiente de gini Corea del Sur es menos desigual que ..... España!!!!!!!!
[url]https://es.wikipedia.org/wiki/Anexo:Pa%C3%ADses_por_igualdad_de_ingreso[/url] ([url]https://es.wikipedia.org/wiki/Anexo:Pa%C3%ADses_por_igualdad_de_ingreso[/url])
Y cuando digo hedonismo, se refiere a todo el colectivo de un país, no solo a los jóvenes. Que quiere que le diga, la gente quiere el pescado pero no ir a pescar, ahí se refleja el alto índice de corrupción y de rentismo improductivo que asola nuestra economía.
Dualidad, claro que la hay:
-Casero--Trabajador
-Juvileta-Currante (la pensión media del último año es de 1420 euros en 14 pagas, cual es la renta de los nuevos ingresados en el sector laboral?)
-Funcionario-Trabajador privado
-Empresa del ChurrIBEX---Empresa que se tiene que sacar las castañas currando,destacando y ofreciendo buen servicio a costa bajo
-Y un largo ect
Que no hay dualidad? Y entonces que es eso?
Saludos compañeros.
Corea del Sur es un país que pasó de ser atrasado tecnológicamente, pobre como las ratas y en un sistema de castas a lo que es hoy en día sin UE, plan Marschal o Blue Banana, simplemente con su esfuerzo y sudor, merecen mis dies sin duda.
Saludos compañeros.
Y con EEUU aplicando la misma formula que en Japon o Alemania.
Los polacos y los rumanos curran igual de duro que los coreanos del sur pero no entraron en el timing geopolitico adecuado.
Por otra parte Corea del sur es un mal ejemplo de unas cuantas cosas. El trato a la mujer, sobre todo en puestos de responsabilidad, es nefasto. Tienen un nivel educacional tecnico muy elevado pero por la via de la fuerza bruta, la competitividad que se les inculca a los alumnos es una salvajada para nuestros standards.
Luego igual si tienen menos desigualdad entre clases, pero las otras asimetrias son para que se las hagan mirar.
Tengo unas máquinas que solo sabe reparar un tío, si si, son tan poco habituales que nadie las conoce, pues ese tío cobra a 120 pavos la hora + piezas (a precio de oro), sabe cual es el problema? Que sin él no me funcionan, y se rompen a veces. Para nada ese ejemplo refleja un sistema meritocrático, pues la meritocracia se basa en la excelencia por delante de los otros.
Blackmail? Germany Considers Bailout "Concessions" If Greece Keeps More Refugees
The European Commission will release €2 billion to Greece in the coming days to help the country manage the current migration crisis, a top Commission source told MNI Friday, but as German daily Wirtschaftswoche reports, the German Government is considering 'helping' Greece more financially – but only if Athens is more involved in the refugee crisis.
The European Commission will release €2 billion to Greece in the coming days to help the country manage the current migration crisis and the upgrade its public administration system, a top Commission source told MNI Friday.
The €2 billion will be the first disbursement of the so-called Juncker package worth €35 billion which aims to help Greece recover from 8 years of recession, boost investment opportunities and combat unemployment which is amongst the highest in Europe.
...
"Of course the priority is to help Greece set up hot spots to deal with the arrival of immigrants which must be dealt with effectively and imminently for the sake of Europe, but the overall project is to make Greece successful again," the source said.
And, as Keep Talking Greece reports, there could be more money for The Greeks IF they take on more refugees...
The German Government is considering to ‘help’ Greece financially –
but only if Athens is more involved in the refugee crisis. This is what
German daily Wirtschaftswoche ‘learned’ from German government sources.
“German
government no longer rules out to come towards Greece financially, if
Athens increases its commitment in the refugee crisis,” WiWo notes on
Friday and adds citing Merkel’s government sources:
“Our highest priority is currently that more refugees remain in Greece.“
In order to achieve this, “other considerations like strict
insistence on the program agreements could be set back,” the German
daily notes.
In this blackmail framework, it is not clear how exactly Germany sees
this “other considerations”. But in real life language this could be
translated into something like:
Germany offers to be more open and eventually close an
eye or two, when it comes to strict implementation of the 3rd bailout
program and the One Million and One Prior Actions and Structural
Reforms, if Greece accepts to keep more refugees in the country.
According to WiWo, “some 400,000 refugees have arrived in Greece
since the beginning of the year. among them also many boat-refugees who
arrive through the Mediterranean Sea from Turkey and want to travel
further to European Union, especially to Germany.”
Already yesterday, I drew my readers’ attention to a possible blackmail on the part of Greece’s EU partners in general and the European Commission in particular
with regards to the Refugee Crisis. However, I focused rather on the
pressure of EC and Germany to Greece to “joint patrols with Turkey”.
However, Berlin came today with this new idea. Yet, the denominator remains the same: refugees & refugee crisis vs money & vague concessions to a debt-ridden country.
Several years ago, when I started to discover how big the world was, I
was a devoted supporter of the European Union, of the free move of
people and goods and other nice visions of a liberated and united happy
world.
I cannot tell you how disappointed I have become in recent years to see that the noble European Union has mutated into a gang of thugs and common blackmailers.
Everybody knows that Chancellor Merkel is under immense pressure especially by her coalition partner arch-conservative CSU regarding her Refugees policies and that she tries to politically survive her own crisis.
But in our real life world, blackmailers are normally thrown into jail.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-10-16/blackmail-germany-considers-bailout-concessions-if-greece-keeps-more-refugees[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-10-16/blackmail-germany-considers-bailout-concessions-if-greece-keeps-more-refugees[/url])
ATENAS – La crisis europea está lista para adentrarse en su fase más peligrosa. Después de obligar a Grecia a aceptar otro acuerdo de rescate para «extender plazos y pretender cumplir», se están marcando nuevas líneas de batalla. Además, con el ingreso de los refugiados, que expone los daños causados por las perspectivas económicas divergentes y el desempleo juvenil por las nubes en la periferia europea, las ramificaciones son ominosas, como recientemente las declaraciones de tres políticos europeos –el primer ministro italiano, Matteo Renzi; el ministro de economía francés, Emmanuel Macron; y el ministro de finanzas alemán Wolfgang Schäuble– dejaron en claro.
Renzi se acercó a demoler, al menos retóricamente, las normas fiscales que Alemania ha defendido durante tanto tiempo. En un acto de desafío destacable amenazó con que si la Comisión Europea rechaza el presupuesto nacional de Italia, volverá a presentarlo sin cambios.
Esta no fue la primera vez en que Renzi se distancia de los líderes alemanes. Y no fue accidental que su declaración siguiera a un esfuerzo de meses por parte de su propio ministro de finanzas, Pier Carlo Padoan, para demostrar el compromiso italiano con las «normas» de la zona del euro respaldadas por los alemanes. Renzi entiende que adherir a la parsimonia inspirada por los alemanes está llevando a la economía italiana y a sus finanzas públicas a un estancamiento más profundo, acompañado por un mayor deterioro del coeficiente de deuda a PBI. Como político consumado, Renzi sabe que esta es una vía rápida hacia el desastre electoral.
Macron es muy distinto de Renzi, tanto en su estilo como en sus fundamentos. Como banquero devenido político, es el único ministro del presidente François Hollande que combina una comprensión seria de los desafíos macroeconómicos franceses y europeos, y cuenta con una reputación en Alemania como reformador y hábil interlocutor. Cuando habla, entonces, de una inminente guerra religiosa en Europa entre el noreste dominado por alemanes calvinistas y la periferia mayormente católica, es momento de prestar atención.
Las recientes afirmaciones de Schäuble sobre la actual trayectoria de la economía europea destacan de manera similar que Europa está en un callejón sin salida. Durante años, Schäuble ha jugado un largo juego para hacer realidad su visión de la arquitectura óptima que puede lograr Europa dentro de las restricciones políticas y culturales que considera dadas.
El «plan de Schäuble», como lo he llamado, requiere una unión política limitada para apoyar al euro. En resumen, Schäuble está a favor de un Eurogrupo (formado por los ministros de finanzas de la zona del euro) con un presidente que disponga de poder de veto –legitimado por una Cámara Europea compuesta por legisladores de los estados miembros de la zona del euro– sobre los presupuestos nacionales. A cambio de renunciar al control de sus presupuestos, Schäuble ofrece a Francia e Italia –los principales objetivos de su plan– la promesa de un pequeño presupuesto común para toda la zona del euro, que financiaría parcialmente al desempleo y esquemas de seguros de depósitos.
Una unión política disciplinaria y minimalista de ese tipo no es bien recibida en Francia, donde las élites siempre se han resistido a renunciar a la soberanía. Aunque los políticos como Macron han recorrido un largo trecho hacia la necesidad de transferir poderes sobre los presupuestos nacionales al «centro», temen que el plan de Schäuble pide demasiado y ofrece demasiado poco: límites severos sobre el espacio fiscal francés y un presupuesto común macroeconómicamente insignificante.
Pero incluso si Macron logra persuadir a Hollande para que acepte el plan de Schäuble, no resulta claro si la canciller alemana Angela Merkel estará de acuerdo. Las ideas de Schäuble hasta el momento no han logrado convencerla ni, de hecho, al Bundesbank (que, a través de su presidente, Jens Weidmann, se ha mostrado tremendamente negativo respecto de cualquier grado de mutualización fiscal, incluso la versión limitada que Schäuble está dispuesto a entregar a cambio del control de los presupuestos francés e italiano).
Atrapado entre una canciller alemana reticente y una Francia nada dispuesta, Schäuble imaginó que la turbulencia causada por una salida de Grecia de la zona del euro ayudaría a convencer a los franceses, así como a sus colegas del gabinete, sobre la necesidad de implementar su plan. Ahora, mientras espera que el actual «programa» griego colapse bajo el peso de sus propias contradicciones inherentes, el ministro de finanzas alemán se prepara para las batallas que lo esperan.
En septiembre, Schäuble distribuyó entre sus colegas del Eurogrupo un resumen de tres propuestas para evitar una nueva crisis del euro. En primer lugar, los bonos gubernamentales de la zona del euro deben incluir cláusulas que faciliten que sus tenedores deban asumir parte de las pérdidas (bail-in). En segundo lugar, las normas del Banco Central Europeo deben ser modificadas para evitar que los bancos comerciales cuenten esos bonos como activos líquidos ultraseguros. En tercer lugar, Europa debe desechar la idea de un seguro común para los depósitos y reemplazarlo con un compromiso para dejar que los bancos quiebren cuando no cumplan las normas de solvencia del BCE.
Si esas propuestas se hubieran implementado en, digamos, 1999, tal vez hubiesen limitado la salida a borbotones del capital hacia la periferia inmediatamente después de la introducción de la moneda única.
Lamentablemente, en 2015, dadas las deudas públicas y las pérdidas bancarias heredadas por los miembros de la zona del euro, un esquema de ese tipo causaría una recesión más profunda en la periferia y casi con certeza conduciría a la disolución de la unión monetaria.
Exasperado por la marcha atrás de Schäuble respecto de su propio plan para lograr la unión política, Macron recientemente dio rienda suelta a su frustración: «Los calvinistas desean que otros paguen hasta el fin de sus vidas», se quejó. «Desean reformas sin contribución alguna en favor de la solidaridad».
El aspecto más problemático de las afirmaciones de Renzi y Macron es la desesperanza que transmiten. El desafío de Renzi a las normas fiscales que empujan a Italia cada vez más hacia una espiral de deuda deflacionaria inevitable es comprensible, pero ante la ausencia de propuestas de reglas alternativas, no conduce a ninguna parte. La dificultad de Macron es que parece no existir un conjunto de reformas dolorosas que pueda ofrecer a Schäuble para persuadir al gobierno alemán de que acepte el grado de reciclado del superávit necesario para estabilizar a Francia y la zona del euro.
Mientras tanto, el compromiso alemán con las «normas» incompatibles con la supervivencia de la zona del euro desautoriza a los políticos franceses e italianos que, hasta hace poco, esperaban lograr una alianza con la mayor economía europea. Algunos, como Renzi, responden con actos de ciega rebelión. Otros, como Macron, están comenzando a aceptar con pesimismo que el marco institucional y la combinación de políticas actuales de la zona del euro llevarán en última instancia a una ruptura formal o a una muerte lenta, que adoptará la forma de una divergencia económica continua.
El resquicio de esperanza en la nube de tormenta que se está formando es que las propuestas minimalistas para la unión política, como el plan de Schäuble, están perdiendo terreno. Nada que no incluya reformas institucionales macroeconómicamente significativas estabilizará a Europa. Y solo una alianza democrática paneuropea de los ciudadanos puede generar la oleada de interés necesaria para que esas reformas arraiguen.
Traducción al español por Leopoldo Gurman.
Women and girls are subject to rape and forced prostitution on a daily basis, according to women's rights groups. Although the facility has separate dorm rooms for women, the doors cannot be locked and men control access to the sanitary facilities. Approximately 80% of the refugees/migrants at the shelter are male, according to Bavarian Broadcasting (Bayerischer Rundfunk), which reports that the price for sex with female asylum seekers is ten euros. A social worker described the facility this way: "We are the biggest brothel in Munich."
...
Half an hour ago on the border between Italy and Austria I saw a huge crowd of immigrants. With all solidarity to people in difficult circumstances, I have to say that what I saw aroused horror. ... I saw an elderly Italian woman in a car that was surrounded by the immigrants. They pulled her by the hair out of the car and wanted to use it to go to Germany. They tried to topple the bus I was in. They threw feces at us, banging on the door for the driver to open it, spat on the glass.
... A car with humanitarian aid came. Food and water. They just toppled it and stole everything. They broke into the French bus – everything was stolen in a short time. Never in my short life have I had an opportunity to see such scenes. Among them there were almost no women and children – the vast majority were aggressive young men. Just yesterday I read the news on all the websites with real compassion, worried about their fate, and today after what I saw I am just afraid.
...
This numbing litany of violence has been largely kept out of the international and even local press where possible, because, to quote the head of Germany's ZDF (public channel), 'We don’t want to inflame the situation and spread the bad mood. [The migrants] don’t deserve it.'
...
Why are we quarrelling with Europe? A Europe which requires its half a billion citizens to respect its laws is unable to persuade migrants to undergo a simple registration process. Brussels’ policies and the great powers made the situation even worse when they proved to be unable to grasp the root of the problem, and saw people who are clearly illegal economic migrants as being refugees.
As a result, we find that our borders are in danger, our way of life based on respect for the law is in danger, and Hungary and the whole of Europe are in danger. What is happening now is an invasion; we are being invaded.
66% of Hungarians seem to agree, stating that the current refugees are a 'threat to the country.'
...
In a 700-word statement on September 25, signed by Bulgarian Orthodox Church head Patriarch Neofit and other members of the Synod, the church said that repeatedly in recent months, the question had been asked what its position was on the “so-called ‘refugee problem'”. ... “In recent months we have witnessed a wave ... which has acquired all the signs of an invasion,” the Holy Synod said. "... we believe that our government should never allow into our country any more refugees”.
...
The Lombardy regional government has gone so far as to vote on penalizing hotel owners who knowingly put up asylum-seekers--in direct defiance of the prime minister.
A note: If protests haven't been even stronger, it may be because the immigrant crisis has been hugely profitable for the Mafia:
"We closed this year with turnover of [$50 million], but ... our profits all came from the gypsies, the housing emergency and the immigrants," [mafioso] Buzzi reportedly said in a [tapped] phone call.
...
In our brief press round-up, we hope to have shared both numbers and anecdotes which give a fuller picture of the migrant crisis as it is, not as we would like it to be. The generous and charitable spirit of so many Europeans has, unfortunately, been taken advantage of by throngs of the zerangi-spirited, such as the Egyptian scammers quoted above by the Moroccan translator in Vienna : 'Yes, it’s now or never, get into Europe free. It’s now or never.'
The Syrian refugee crisis is real, brutal, and must be dealt with sagely. The UN High Refugee Council (UNHCR) does laudable, thankless work, year in, year out, helping desperate refugees the world over. If our charitable impulse is real and we want to use it wisely, we should increase our funding of their efforts (as well as those of the UN World Food Program) so that Syrians fleeing into Turkey, Jordan, Lebanon, and Iraq can live more like this and less like this.
...
Cultural clash is a real threat. Large Muslim colonies have been a terrible burden on their hosts in Germany, France, Sweden, the Netherlands, and the UK (see our work on the question here, also Gates of Vienna, Sweden Report, and Gallia Watch). Muslim refugees, like all refugees, should be housed in countries as religiously, ethnically, linguistically, and culturally close to themselves as possible. In addition, your donated charity dollar can buy that refugee a good deal more in a Middle Eastern country than it can in uber-expensive NW Europe.
As for the 75%-90% of aliens entering Europe who are not directly fleeing combat, they should of course be promptly sent home. Turning away 100% of boats has stopped all migrant deaths off the coast of Australia; a high-quality wall in Israel has cut down African illegal migration to almost zero.
[...] Por ejemplo, el Gobierno británico pedirá que se retire del Tratado el compromiso de buscar una Unión "cada vez mas estrecha" entre sus países miembros. A su juicio, hay que reconocer la diferencia entre países del euro que buscan una mayor integración y los que no la desean, como Reino Unido. En su charla a los empresarios, Cameron aseguró no tener "ningún apego a las instituciones de la UE. Queremos un mercado común, no un país común". [...]
“¿Podemos aprender algo del ejemplo griego?”
Entrevista a Éric Toussaint, invitado por los sindicatos eslovenos en Ljubljana
Mimi Podkrižnik. Delo | Rebelión | 10/11/2015
-¿Creía usted en el proyecto europeo? ¿Todavía cree en él?
-Claramente no. El proyecto europeo se ha transformado en una camisa de fuerza para las poblaciones. No hay más un margen de maniobra que permita a un gobierno elegido democráticamente poner en práctica políticas al servicio del interés general y que al mismo tiempo respeten las normas europeas. Efectivamente, los diferentes tratados y la arquitectura institucional en la que se enmarcan —el Parlamento Europeo, la Comisión Europea, los gobiernos nacionales y el Banco Central Europeo— articulan un marco tremendamente jerarquizado y coercitivo que deja cada vez menos lugar al ejercicio de la autonomía, en otras palabras a la democracia y a la voz de la ciudadanía. Y hemos tenido un buen ejemplo con Grecia. En enero de 2015, el pueblo griego había llevado al poder a un gobierno con un programa de ruptura con las políticas de austeridad que habían sido un rotundo fracaso. Ese mismo pueblo se reafirmó en su rechazo a las políticas de austeridad en el referéndum del 5 de julio de 2015. Semejante desafío no hizo más que exacerbar la obstinación de las diferentes instituciones europeas en evitar que la voluntad popular se concretara. E incluso, eso se dijo claramente. En sus declaraciones, Jean-Claude Juncker expresó que el referéndum no era pertinente. Según los dirigentes europeos, la vía de las políticas europeas ya está trazada por la Comisión y el eurogrupo, y no existe ninguna posibilidad de salirse o desviarse de la misma.
-¿Por qué pasa eso? ¿Realmente estamos dentro de un círculo vicioso?
-La propia construcción de Europa, es decir la adhesión a los tratados y la propia concepción del funcionamiento de las instituciones, lleva a restringir al mínimo el funcionamiento democrático. Por otro lado, las grandes empresas privadas ejercen un lobby extremadamente poderoso sobre la Comisión y el Parlamento, incitándolos a que tomen decisiones que favorezcan los intereses particulares de dichas empresas. A la cabeza del BCE está Mario Draghi, quien era uno de los estrategas de Goldman Sachs para toda Europa. Es una situación emblemática en la que las grandes empresas privadas europeas consiguen colocar en posiciones de poder a personas que salen de su medio, o tienen jefes de Estado y altos funcionarios para que adopten medidas que priman sus intereses. Un sistema semejante se acerca mucho a un sistema oligárquico, en el que algunos pocos imponen sus decisiones y definen políticas al servicio de una pequeña minoría.
-La izquierda también cayó en la trampa. Vemos lo que pasa en Francia con la izquierda tradicional, con los socialistas de François Hollande, o bien en Grecia con la izquierda radical o con la nueva izquierda de Alexis Tsipras.
-Hago una distinción entre la izquierda tradicional y la izquierda radical, puesto que está claro que no se puede hablar de izquierda para el caso de François Hollande, Tony Blair, o Jeroen Dijsselbloem. Este último es miembro del partido socialista holandés, lo que no le impidió ser uno de los más activos en poner obstáculos en el camino del gobierno griego salido de las elecciones del 25 de enero de 2015. Se puede colocar ese tipo de partido socialista del lado de las fuerzas conservadoras. Podemos llamarlos «neoliberales» o «socioliberales». En esos partidos, existe siempre un ala izquierda que trata de expresarse: en el partido laborista inglés se eligió a Jeremy Corbyn en contra de la opinión de Tony Blair o de Gordon Brown. Pero, ¿qué margen de maniobra tendrá Jeremy Corbyn? Prestemos atención a lo que pasará con el partido laborista. En cualquier caso, Corbyn indicó claramente que si llega a ser primer ministro, el Reino Unido volverá al estado anterior a Thatcher y Blair. Habla de renacionalizar los ferrocarriles, y por lo tanto va más lejos que lo que Tsipras anunciaba en enero de 2015… François Hollande, los socialistas holandeses, los socialistas alemanes, todo ellos votaron a favor de todos los tratados europeos junto al otro gran grupo parlamentario de derecha, el partido popular. La conclusión es clara: esos socialistas son los artífices de todo a lo que nos enfrentamos en este momento. Un movimiento como el de Alexis Tsipras o Podemos en España, y otras iniciativas parecidas, no han tenido ninguna participación en la construcción de este entramado.
-Todavía no…
-No están en los lugares de poder en la Unión Europea. ¿Por qué cayeron en la lógica que prevaleció en Grecia? Porque tenían la ilusión de que las estructuras de poder europeo les concederían un margen de maniobra. Pensaban realmente que el fracaso de las políticas aplicadas en Grecia era evidente, ya que está reconocido por economistas muy serios…
-… por premios Nobel…
-Sí, pensaban que a cambio de su sentido de la responsabilidad, los dirigentes europeos y los de los gobiernos nacionales les iban a decir: de acuerdo, los dejamos llevar a cabo su experiencia, reducir radicalmente las medidas de austeridad y tratar de relanzar un poco la actividad económica de Grecia. Y se equivocaron. El cálculo había sido completamente erróneo. Para los dirigentes europeos es fundamental mostrar a todos los países de Europa que no hay ninguna posibilidad de abandonar el camino de la austeridad y que no es posible frenar las privatizaciones. Para esos dirigentes europeos, ya sean Matteo Renzi o François Hollande, Wolfang Schäuble o Jeroen Dijsselbloem, es esencial impedir el éxito de la experiencia de Syriza en Grecia. Y entre los más furiosamente decididos a hacer fracasar a Tsipras estaban, por supuesto, el presidente del gobierno español, Mariano Rajoy, y el primer ministro portugués, Passos Coelho. Puesto que se decían: si Tsipras tiene éxito, Podemos llegará al poder, antes o después, en España. Y pasaría lo mismo en Portugal. Ningún gobierno de los otros 27 países de UE dio la más mínima posibilidad al gobierno griego, ni tampoco las instituciones europeas. Pensamos que Tsipras creía que tendría el apoyo tanto de Matteo Renzi como de François Hollande, ya que también desean tener un poco más de margen de déficit. Pero no fue así.
-De acuerdo con las encuestas de opinión pública, el daño causado a Syriza afectó a Podemos. La popularidad de este último cayó del 20 % al 14 %…
-El objetivo de los dirigentes europeos es que el pueblo español no vote a Podemos y que Podemos abandone la voluntad de cambiar realmente las cosas, mostrándoles cómo Tsipras aceptó la capitulación. «Porque aunque podéis tener la posibilidad de llegar a ser miembros de un gobierno, siempre tendréis que aceptar las reglas.»
-Usted hace la distinción en Europa entre países del centro y países periféricos. Eslovenia forma parte de la periferia, evidentemente, como Grecia y Portugal. Cuando se habla de estos países, podemos percibir un discurso totalmente diferente. Se trata a Portugal de buen alumno, con respecto a su programa y a su rescate por parte de la Troika, mientras que se fustiga a Grecia.
-Como se habla de buen alumno con respecto a Irlanda. Pero la situación real es tremendamente mala tanto para Portugal como para Irlanda o España. Hay una apariencia de éxito desde el punto de vista de los criterios de los dirigentes europeos, porque estos tres países lograron reembolsar la deuda sin pedir una reducción de la misma. Pero todo eso está estrictamente ligado a los tipos de interés que, en forma provisoria, son muy bajos. Todos los países europeos, incluso Eslovenia, refinancian su deuda pública a un coste muy bajo, por el momento, pero no hay ninguna garantía de que esa situación continúe. Tanto en Portugal como en España, la tasa de crecimiento es muy baja o se estanca, la tasa de desempleo es extremadamente alta, la situación de los bancos portugueses, irlandeses, españoles es muy mala también, y será necesario continuar con la recapitalización. El año pasado, uno de los principales bancos portugueses, el Espirito Santo quebró. De hecho, los grandes medios y el gobierno europeo conceden su aprobación a algunos gobiernos porque hay que insistir en que los griegos son malos alumnos y por eso les va tan mal. Los otros, los que aplican bien las reformas, salen bien parados. Pero todo eso es mistificación. El balance real es muy diferente.
-Se entra en la psicología…
-En Eslovenia, están en una situación un poco surrealista. Si no me equivoco, la mayoría de la población eslovena, el gobierno esloveno y los grandes medios consideran que están tan cerca del centro de las grandes potencias —especialmente Alemania y Austria— que saldrán a flote. Que están en la periferia pero ya con un pie en el centro. Y algunos piensan incluso que ya están en el centro. Pero veremos si esto dura. La deuda pública de Eslovenia explotó debido al rescate de los bancos y eso no va a mejorar a corto plazo. El propio país no está exento de dificultades en los próximos dos o tres años. Y sobre todo, la gran diferencia entre Eslovenia frente a Alemania y Austria es que ustedes no están en el centro del poder europeo. Es en Berlín, París, Londres y en menor medida Bruselas y Ámsterdam donde se ejerce la influencia en la política de los dirigentes europeos, no en Ljubljana.
-¿Cuál es su opinión con respecto al papel de los medios de comunicación? Se escribe en forma diferente sobre Portugal o Grecia. Hay mucha manipulación, y también emoción. Nos perdemos en el estilo y olvidamos el fondo, por ejemplo en el estilo Varoufakis. Se preocupan por la posible «peineta», incluso por su ropa.
-Está claro que se estigmatiza a Grecia y a la población griega. Los comentaristas que deberían ser serios han dicho que en Grecia no se recaudan impuestos desde hace siglos y que eso es una herencia del imperio otomano. Por supuesto, es evidente que hay evasión fiscal en Grecia.
-… y corrupción. No olvidemos que estamos en los Balcanes…
-En toda Europa hay corrupción. En todos lados. En la FIFA, en todos los organismos… Pero quieren hacer creer que está limitado a algunos países. Para esconder la gran corrupción se pone el acento en un pequeño país, al que se estigmatiza. Lo que la opinión pública eslovena no sabe es que un ministro de defensa griego, que por cierto proviene del PASOK [Akis Tsohatzopoulos], fue condenado en 2013 a 20 años de cárcel por corrupción. Y está en prisión con otros cinco miembros de su familia. Pero nadie habla de eso. ¿Cuántos ex ministros europeos están en la cárcel? Creo que algunos ministros o ex ministros eslovenos podrían estar en la cárcel, sin embargo no lo están… no fueron condenados. En Grecia, hay procesos por corrupción y condenas: hay un proceso en curso contra 69 griegos implicados en un gran escándalo de corrupción con la empresa multinacional Siemens.
Por supuesto que Grecia tiene graves problemas de corrupción y de evasión de impuestos, pero ese problema está ampliamente extendido en toda Europa, donde las grandes empresas y la parte más rica de la población europea consiguen que se les concedan regalos fiscales. Por lo que los Estados han de paliar esa disminución en la recaudación con el endeudamiento. A eso se agrega la evasión fiscal, y como ejemplo el caso del banco HSBC, o el caso Luxleaks, que implica directamente a Juncker. No olvidemos que Draghi estaba directamente involucrado en el escándalo del maquillaje de cuentas públicas griegas en 2001 y 2002… Tenemos un gran problema tanto en Europa como en Estados Unidos: la existencia de grandes empresas, especialmente bancos enormes que, sistemáticamente, son hallados culpables de fraudes o de corrupciones. La UE solo toma medidas demasiado flojas a este respecto.
-Nadie se siente responsable ni culpable.
-Las instituciones europeas, la Comisión Europea, los gobiernos de los principales Estados podrían tomar fuertes medidas para impedir la evasión fiscal, que es masiva y que conlleva, sobre todo, perjuicios económicos a los más vulnerables. Los ricos de los países de la periferia europea colocan su dinero en los países más seguros, en Luxemburgo, Alemania, Austria, Bélgica, la City de Londres. Los responsables europeos tienen todos los medios para tomar esas medidas pero no tienen interés en hacerlo.
-¿Será posible que, algún día, uno de ellos llegue a ser juzgado?
-No soy optimista, sobre todo no a corto plazo. No creo que esos personajes sean juzgados, ni condenados, aunque su comportamiento bien lo merece. Lo que podría ser positivo es que sacáramos lecciones de lo que pasó en Grecia y que las nuevas fuerzas democráticas y progresistas comprendan que deben ser más firmes, mucho más de lo que no ha sido Tsipras, y estar dispuestos, como gobiernos democráticamente elegidos, a desobedecer las órdenes de la Comisión Europea y del BCE, si, como vimos en el caso de Grecia, se aplican medidas injustas para las economías de sus países.
-La ola de indignación dura ya cierto tiempo. Stéphane Hessel llamó a indignarse hace ya varios años. Se vio nacer al movimiento de los indignados en España y a la formación Podemos, pero todavía no se llegó a nada. Nos sentimos un poco en punto muerto.
-Las formaciones son propulsadas por una parte de la población que quiere respuestas radicales. Es por ello por lo que Jeremy Corbyn, que no tenía ninguna influencia institucional salvo la de los sindicatos, ganó en el partido laborista, y por lo mismo, Bernie Sanders en Estados Unidos, que cuenta con muy pocos medios, encuentra un gran respaldo en la base del partido demócrata a pesar de ser percibido como un socialista radical. Hace 20 años, los que tenían el viento a favor eran Tony Blair y Gordon Brown, Clinton o Barack Obama… Ahora son Sanders, Corbyn, Podemos. ¿Por qué? Porque esto corresponde a la voluntad de una parte de la población que llegó a la conclusión de que son necesarias políticas que traten los males de raíz. En algunos casos, las nuevas formaciones políticas, como Syriza o Podemos, son a veces demasiado moderadas. Aunque digan que se necesitan soluciones radicales, y por ello recogen un gran apoyo popular, tienen miedo de llevarlas a la práctica. Necesitamos un gobierno progresista que no tenga miedo a desobedecer. La intención de Stéphane Hessel era decir a la gente: si los que tiene el poder aplican políticas fundamentalmente injustas, existe el deber de rebelión, de revuelta, de desobediencia. Es importante que estas palabras provengan de alguien que resistió al nazismo, porque es justamente esa gente la que resistió en Francia, oponiéndose al régimen de Vichy, a la policía francesa y no solamente a los nazis. Había que tener mucho coraje para luchar contra la policía y el gobierno colaboracionista de tu propio país. Ahora, por supuesto, no estamos en la misma situación. La Alemania de Angela Merkel y de Wolfang Schäuble no es la Alemania nazi. Hay una enorme diferencia, pero, indudablemente, en el contexto actual, no hay suficiente espacio para ejercer los derechos democráticos, y por lo tanto debemos estar listos para desobedecer y rebelarnos. Espero que todas las fuerzas políticas lo comprendan, si no iremos de decepción en decepción. El riesgo que corremos es que llegue la extrema derecha…
-…Marine Le Pen en Francia…
-O Viktor Orban en Hungría. El gran riesgo es que esta extrema derecha termine por encontrar figuras carismáticas, y que con una desobediencia violenta, dirigida contra los migrantes, pueda aparecer como una alternativa creíble para las poblaciones. Existe un peligro real en Europa. No es inmediato, no para dentro de un año o dos, pero el peligro está ahí.
-¿Cuál es su opinión con respecto al papel de los sindicatos? Vemos que en el sector privado se cierran muchas fábricas. La clase obrera está por desaparecer.
-Es un poco exagerado, pero es evidente que existe un debilitamiento estructural de los grandes sectores de asalariados. La concentración de trabajadores con salario se reduce ciertamente en algunos países o incluso en regiones enteras de Europa. El movimiento sindical perdió fuerza en una serie de países.
-El sindicalismo se pierde, al menos en Eslovenia, en cierta nostalgia, pero, también hay que decirlo, en la demagogia. El mundo está en plena mutación, y, por lo tanto, es necesario que los sindicatos sigan también esa dinámica.
-Espero mucho de la capacidad del movimiento sindical en la redefinición de una doctrina coherente en el nuevo contexto. Uno de los grandes problemas de Europa es que tenemos una Confederación Europea de Sindicatos (CES) con, si no me equivoco, 60 millones de adherentes. Pero esta Confederación sostuvo todos los tratados europeos, excepto el último, al cual criticó: el tratado de estabilidad, coordinación y gobernanza, el TECG o pacto presupuestario. La CES se opuso al mismo pero de manera extremadamente floja, sin movilizaciones. A pesar de esta reducción de la gran concentración industrial, todavía se tiene—con una CES que reúne a casi todos los sindicatos— un poder potencial bien considerable, pero solo es potencial. En la práctica, la CES dejó hacer de todo, creyendo que la Unión Europea le permitiría, como dirección sindical, vivir tranquilamente en un supuesto diálogo social. En realidad, los dirigentes europeos no tenían otro objetivo que el de precarizar el trabajo y replantear las convenciones colectivas. La CES entendió demasiado tarde lo que estaba pasando y fue incapaz de reaccionar, porque no existía, ni existe, un funcionamiento democrático en esa enorme superestructura y también, y sobre todo, un rechazo por parte de su dirección y de ciertos grandes sindicatos, que son miembros de la CES, a enfrentarse con los partidarios de esas políticas de agresión social.
-¿Cuál es el papel de las empresas armamentistas, dada la crisis de la deuda pública así como la crisis migratoria?
-Las industrias armamentistas tienen, sin duda alguna, un papel importante: en el caso griego, los proveedores de armas a Grecia son principalmente industrias alemanas, francesas y estadounidenses. Y son responsables de la corrupción. Acabo de hablar de la condena de un ministro griego. Es evidente que la corrupción provino de empresas como Rheinmetall de Alemania, Thales de Francia y Lockheed Martin de Estados Unidos. Hay casos muy precisos y bien conocidos en los que se sabe de sobornos con montos considerables para corromper a dirigentes políticos. Y eso significa centenas de millones de euros. Se nota la preocupación de una serie de países europeos en desarrollar su industria armamentista —especialmente Polonia, que acaba de celebrar una gran feria internacional del armamento—. El importante flujo de refugiados que proviene de Siria es producto de la política de Europa y Estados Unidos con respecto a Oriente Medio. Pienso que la intervención militar en Irak, en 2003, desestabilizó la región sin aportar realmente la democracia, y también la intervención en Libia y finalmente la política llevada a cabo respecto a Siria. Todo eso generó el refuerzo de Al-Qaeda en Libia y en la zona próxima a Sudán y a Malí, favoreciendo la creación del Daesh. Tenemos proveedores de armas que aprovisionan a las diferentes partes en conflicto y mantienen las guerras. Como en otros momentos de la historia, hay, efectivamente, una relación entre la estrategia seguida por los proveedores de armas y el tipo de políticas llevadas a cabo para resolver los problemas en diferentes regiones del mundo. Tales políticas no corresponden al interés de los pueblos, puesto que uno de sus efectos más trágicos es lanzar a las carreteras a centenas de millares de personas, especialmente niños y viejos, que todo lo que pueden hacer es pedir asilo a Estados que rechazan acogerlos o lo hacen a regañadientes.
-Recientemente, la editorial eslovena CF publicó en el libro sobre la deuda pública Quien debe a quien? una fotografía de soldados alemanes izando la bandera nazi en la Acrópolis de Atenas en 1941. ¿A usted qué le parece?
-La editorial ha querido lanzar un mensaje muy fuerte. Su interés fue hacer reflexionar, puesto que no debemos olvidar la historia europea. No hace tanto tiempo, las tropas de Mussolini, seguidas por las nazis, ocupaban Grecia. Y Grecia fue uno de los países europeos más martirizados, atacados y destruidos, junto a la Unión Soviética, Polonia y en parte también Yugoslavia. Grecia tiene siempre todo el derecho de pedir reparaciones de guerra a Alemania. Y la respaldo en esa tesitura. Esa foto debería hacer reflexionar. No es una caricatura, no se puso un casco sobre la cabeza de Wolfang Schäuble o de Angela Merkel. Esa foto no quiere decir que Angela Merkel se comporte como los nazis, pero debe ser considerada como un recordatorio de nuestra historia
-Creo que se debería cambiar de retórica en los medios de comunicación y no hablar más del cuarto reich, por ejemplo. Demasiados recuerdos impiden alcanzar nuestros objetivos; vale más apaciguar el discurso. .
-Es evidente que no estamos en una situación de dominación total, ciertamente no en una dominación militar, por parte de Alemania sobre el resto de Europa. Por el contrario, muchos gobernantes nacionales están muy contentos de que Angela Merkel y Wolfang Schäuble aparezcan como los malos y los más duros. Eso les arregla algo a Matteo Renzi o a François Hollande al poder decir: «son ellos los que nos impiden hacer concesiones.»
El problema actual en Europa no es solo Alemania, es la arquitectura europea. Para cambiar todo, eso se hace evidente: si se quiere realmente una Europa democrática será necesario derogar una serie de tratados europeos. Habría que iniciar lo más rápidamente posible un proceso constituyente en el nivel europeo, un proceso democrático, que se traduzca en la elección de una asamblea constituyente europea de los diferentes pueblos de Europa. En cada país de la Unión Europea también deberían ser lanzados unos procesos nacionales con el fin de colaborar colectiva y democráticamente a un nuevo proyecto para Europa. Nos podríamos inspirar en la experiencia de Francia en el siglo XVIII en el que las poblaciones de todas las regiones del país habían redactado los «cahiers de doléances», documentos donde expresaban sus sentimientos, sus esperanzas, sus exigencias… Ya es tiempo de hacer un balance de la construcción europea de los últimos sesenta años y digamos: ahora retomamos esta construcción y la volvemos realmente democrática con la participación de los pueblos. Creo que hay una serie de tratados europeos que no nos lo permiten. Por lo tanto, será necesaria una gran conmoción en Europa, un gran movimiento europeo que permita terminar en un cambio de tal envergadura. Y ¿cuándo tendrá lugar? Comenzará con algunos países que desobedezcan, con otros que querrán salir de la zona euro. Europa entrará en una crisis mucho más grave que la actual, aunque puede que tarde de diez años o veinte. El proceso será lento y largo. La salida del antiguo régimen del absolutismo real fue el fruto de una larga lucha.
-¿Será posible de hacerlo pacíficamente, dada la historia y la crisis?
-Creo que la fuerza de las estructuras autoritarias europeas se apoya en la sumisión y la docilidad de los pueblos, así como de sus representantes políticos. Su fuerza está en nuestra obediencia resignada. A partir del momento en el que la indignación se vuelva masiva y se transforme en movilización, Europa se verá forzada a cambiar y eso no implica ejercer la violencia. Tiene que ser posible hacerlo con firmeza y determinación pero sin violencia.
-¿Es correcto hablar del 1 % de ricos contra el 99 % de pobres?
-Sí, está bien. Es muy esquemático, por supuesto, pero corresponde a la realidad. Estudié este problema y los trabajos de Thomas Piketty lo pusieron bajo los focos. El uno por ciento más rico en Estados Unidos posee el 50 % de patrimonio nacional. Si se agrega un nueve por ciento, no se obtiene mucho más… Hablar del uno por ciento permite decir que se pueden diseñar medidas para un sector minoritario de la sociedad y que no hay necesidad de tocar la clase media. Se ha llegado a tal nivel de concentración de la riqueza que la fórmula del 1 % es mucho más justa que hace 30 años. Hace 30 años había que hablar del 10 %.
-¿Pero en comparación con el período de antes de la Primera Guerra Mundial o de después? ¿Era la misma situación?
-Se ha vuelto, con respecto al nivel de concentración de la riqueza, a la situación de hace 100 años. Y es lo que muestra Piketty.
Fuente en esloveno: [url]http://www.delo.si/sobotna/se-bomo-[/url] ([url]http://www.delo.si/sobotna/se-bomo-[/url])…
Delo es el principal diario esloveno.
La traducción del esloveno al francés fue realizada por Mimi Podkrižnik. La versión francesa fue revisada por Patrick Saurin, Damien Millet y Éric Toussaint
Traducción al castellano Griselda Piñero y Raúl Quiroz
Varios ataques en París causan decenas de muertos
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/11/13/actualidad/1447449607_1[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/11/13/actualidad/1447449607_1[/url])
Los tiroteos se han producido en los distritos 10 y 11 de la capital francesa. Uno de los ataques ha tenido lugar en la conocida sala de fiestas Bataclan. También se han producido varias explosiones cerca del Estadio de Francia, donde se disputaba un partido entre la selección local y Alemania. El presidente Hollande, que presenciaba el partido, ha sido evacuado de forma inmediata
Ya se sabrá. (O no, porque a saber que nos cuentan.)
Varios ataques en París causan decenas de muertos
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/11/13/actualidad/1447449607_1[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/11/13/actualidad/1447449607_1[/url])
Los tiroteos se han producido en los distritos 10 y 11 de la capital francesa. Uno de los ataques ha tenido lugar en la conocida sala de fiestas Bataclan. También se han producido varias explosiones cerca del Estadio de Francia, donde se disputaba un partido entre la selección local y Alemania. El presidente Hollande, que presenciaba el partido, ha sido evacuado de forma inmediata
Creo que van por 150 los muertos.
Religión de paz y tal.
"Vamos a quitar dictadores y que el populacho se autorregule"
VOLVIENDO A LOS TIEMPOS DE LA COLONIZACIÓN
¿Por qué Francia quiere derrocar la República Árabe Siria?
por Thierry Meyssan
"Vamos a quitar dictadores y que el populacho se autorregule"
¿A quién pertenece la cita?
Chosen, creo que ni lo uno ni lo otro, Con tu lógica, acabas defendiendo a los Pisitofilos [...] defiendes a los Pisitófilos que garantizan que tengas el control de las rutas del petŕoleo
Lo de las primaveras árabes no lo saludamos en términos "democráticos", sino porque ilustraba la posibilidad de un pacto interciudadano internacional: a través de las redes sociales.Probablemente ese sea tu caso.
Saludamos y reaccionamos a una llamada que todo hijo de vecino sería capaz de hacer más allá de cualquier territorio, constitucion y régimen político. Hay una capacidad de pacto humano (lo llaman solidaridad, apoyo, oenegés etc) que es anterior a todas las formas politicas.
Si Washington hubiera financiado y armado antes y mejor a los insurgentes sirios cuando empezaron las protestas contra Al Assad, el Estado Islámico no estaría avanzando en Oriente Medio, opina la exsecretaria de Estado de EE.UU. Hillary Clinton.
"El fracaso a la hora de ayudar a construir una fuerza de combate creíble con los autores de las protestas contra el presidente sirio, Bashar al Assad, […] dejó un gran vacío que los yihadistas ahora han llenado", afirmó Hillary Clinton, exsecretaria de Estado de EE.UU. durante la primera Administración del presidente Obama, en una entrevista concedida a la revista 'The Atlantic'.
Las declaraciones de la político estadounidense coinciden con lo escrito en su reciente libro de memorias que cubren los años en los cuales estuvo al frente del Departamento de Estado, época en la cual fue considerada como una de los principales partidarios, en la Administración de Obama, de prestar más ayuda a la rebelión siria. Así pues, los actuales simpatizantes de Clinton argumentan que su postura de financiar y proveer de armas a los insurgentes sirios ha sido reivindicada por los recientes acontecimientos, indica el autor del artículo.
En este sentido, Clinton también dijo en la entrevista que la situación en Siria podría estar desarrollándose de un modo muy distinto "si hubiéramos tardado menos en entrenado y equipar al grupo central del Ejército Libre de Siria". De haber sido así, EE.UU. "por un lado habría tenido un mejor conocimiento de lo que estaba pasando en el terreno y, por otro, habría ayudado a poner en pie a una oposición política creíble".
"En este tipo de conflictos son los hombres duros y armados los que tienen más posibilidades de convertirse en los principales actores de una transición, y no aquellos que solo hablan desde el exterior", afirmó la exsecretaria del Departamento de Estado en referencia a "un grupo de sirios que pretendieron erigirse como la oposición política en el exilio" mientras los insurgentes "luchaban y morían" en el país.
"Por tanto, era necesario averiguar cómo podíamos apoyarlos [a los insurgentes] en el terreno, equiparlos mejor", dijo. Sin embargo, EE.UU. no empezó a aplicar el plan en el momento apropiado, perdió tiempo y su 'lugar vacante como patrocinador' fue ocupado por los yihadistas. Los grupos radicales 'convirtieron' a los rebeldes en sus aliados y actualmente están ganando más terreno en Oriente Medio, concluyó Clinton.
:facepalm: :facepalm: :facepalm:
1. Oil Spot Strategy: Donald Trump advocates sending American troops in to seize ISIS oil fields because those are the group’s “primary sources of…wealth.” He would “put a ring around it and…take the oil for our country.”
2. You Gotta Believe: ISIS is winning because they are willing to die for their philosophy, even if it’s wrong, argues Ben Carson. Meanwhile, “we are busily giving away every belief and every value for the sake of political correctness. We have to change that." Presumably, if we go back to old-fashioned American values, we’ll know how to defeat ISIS.
3. Surge: Obama made a “fatal error” when he withdrew American troops prematurely from Iraq, says Jeb Bush. He would send more advisers and trainers to help the Iraqi forces and fight alongside them in the battlefield. In Syria, he would unite the moderate forces and back them with an undisclosed number of American troops to defeat ISIS and Bashar Assad. He would also enforce a no-fly zone over part of Syria to create safe zones for civilians.
4. Feel the Pain: Ted Cruz only wants to tangle with ISIS for threatening “to attack the United States” and “for killing American civilians.” Even then, it would only be an “overwhelming air campaign to destroy the capability of ISIS to carry out terrorist attacks on the United States.” Otherwise, Cruz is not keen on fighting in other people’s civil wars or on nation building after the war is over.
5. Proxy War: “You cannot defeat ISIL unless you hit them in those parts of Syria that they now control where the Syrian government is not even present,” says Marco Rubio. America should do the hitting from the air but leave it to the regional governments to “confront [ISIS] on the ground with U.S. special forces support, logistical support, intelligence support.”
6. Surge Light: Scott Walker’s surge is less aggressive and less specific than Jeb Bush’s. It involves a no-fly zone in Syria and more advisers in Iraq who are permitted to fight ISIS. He’d increase the training of Syrian rebels to fight against the Islamic State and Assad but, unlike Bush, he doesn’t say he’d back them with American troops on the ground.
7. Talk to Our Friends: Carly Fiorina believes its “premature” to come up with a new plan to deal with ISIS. “Okay there are all these alternatives in front of us that our allies who are there have told us will help, and we’re just going to leap over all of those and talk about boots on the ground,” she says. Instead, we should hold a Camp David summit and “talk with our Arab allies about what they need from us to fight this fight.”
8. Talk to Our Friends II: John Kasich’s position is the same as Fiorina’s—let’s talk to our Arab friends first and develop a plan together. He knows putting large numbers of U.S. troops on the ground isn’t politically popular but he believes it’ll come to that eventually.
9. Kurds and Bombs: Mike Huckabee wants to send more weapons to the Kurds and “bomb the daylights” out of any ISIS target. He’s reluctant to commit large numbers of U.S. troops. If there’s boots on the ground, “they have to be more than just U.S. boots. There have to be boots that come from the Saudis, the Jordanians, and others.”
10. Proxy War II: Chris Christie would train the troops of friendly Arab governments “who all see ISIS as an existential threat to their existence.” His plan is to support them with intelligence and with weapons. “We don't want to be occupiers in the Middle East. We want to fight them there so they don't come here.”
Creo que en general en España tenemos una visión distorsionada del proceso de derrocamiento, que nos viene impuesta o autoimpuesta por los años de dictadura franquista.
Explico:
Es muy probable que en España una ayuda exterior en 1955 o 1965 hubiese servido de catalizador para cambiar el régimen dictatorial por una democracia. Es muy probable porque el grado de desarrollo de la sociedad española, europeizada, hubiese permitido una transición mas o menos cordial hacia la democracia de una forma rápida y sosegada. Había infraestructuras, ganas, había una red intelectual a 300Km en Francia y Portugal, y una red humana emigrante muy importante ligada al european-way-of-life de centroeuropa.
Esa ayuda nunca llegó.
Pero si hubiese habido una primavera española (catalizada por la CIA) hubiese tenido éxito.
Como esa ayuda no llegó y nos quedamos con las ganas, proyectamos esos deseos de libertad sobre el pueblo libio y el pueblo sirio. Y por el camino obviamos que NO HABíA PLAN para el día después, ya que esos países no son la España de 1965. Son la España de 1600.
El único plan ha sido dejar el territorio en manos de los grupos terroristas (pirañas) de los alrededores. Siria -que gozaba de cierto nivel de vida- estaba aislada en un mar de tiburones y se ha destruído el único dique que mantenía el puerto a salvo. La clase media Siria y la escasa emigración retornada no es suficiente para reconstruir el "día después".
En España eso no hubiese pasado.
De todas formas ya es tarde para hablar y es muy facil hacerlo a toro pasado.
El problema será cuando esta gente se haga con un maletín en Pakistán.
Chosen, creo que ni lo uno ni lo otro, Con tu lógica, acabas defendiendo a los Pisitofilos [...] defiendes a los Pisitófilos que garantizan que tengas el control de las rutas del petŕoleo
No me vale que utilices un diccionario personal donde pisitófilo significa lo que tu quieras.
El lenguaje es para entenderse. Tu y yo ;)
No veo a quien te refieres cuando dices "los pisitófilos de las rutas del petróleo". Es que no se que pintan los pisitófilos en un conflicto armado internacional que hubiese tenido lugar probablemente en cualquier circunstancia. Eso nunca lo sabremos.
Intuyo que vinculas la pisitofilia con el conservadurismo o inmovilismo, pero tu eso sabes que no es así. El pisito es una imbersión y como tal conlleva un riesgo de índole capitalista. Capitalistitas. El pisito es una empresita unifamiliar, ergo de perfil conservador nada de nada.
De hecho ahi los tienes pillados, de izquierdas y de derechas, liberales y conservadores, ricos y pobres. Los pozos de petróleo sigo sin verlos por ningun lado.CitarLo de las primaveras árabes no lo saludamos en términos "democráticos", sino porque ilustraba la posibilidad de un pacto interciudadano internacional: a través de las redes sociales.Probablemente ese sea tu caso.
Pero no el de la mayoría. La mayoría demócrata para mas señas.
Yo he visto hasta demo-pacifistas congratularse porque el pueblo irakí y el pueblo libio estaba siendo liberado del tirano opresor enemigo de la democracia (=dictador) y ya iba a poder escribir su propio destino :roto2:
No contaban con que la democracia es un guiso, y que con ingredientes de mierda sabe a guiso de mierda. Y que si se cae la olla nos pone pringados a todos.
Dicho y hecho.
Esto ha sido así de forma mayoritaria. De hecho eso es la democracia, un conjunto de mayorías que deciden que el delito fiscal debe prescribir al año.CitarSaludamos y reaccionamos a una llamada que todo hijo de vecino sería capaz de hacer más allá de cualquier territorio, constitucion y régimen político. Hay una capacidad de pacto humano (lo llaman solidaridad, apoyo, oenegés etc) que es anterior a todas las formas politicas.
Y eso te honra.
Pero es que yo no tengo especial interés en hacerme amiguito de un señor a 8.000 Km sólo porque ambos somos bípedos y tengamos pulgar oponible. Entiendo que tu tienes una sensibilidad humanista mayor (y yo la tngo grande), pero con eso no explicas los sentimientos homicidas HACIA TÍ de aquellos con los que compartes especie y fisionomía.
Porque tu hablas de la paz en la tierra y te honra, pero muchos la quieren alcanzar a costa de tu sometimiento y de eso no dices nada ;)
Porque detrás de todo esto subyace la idea falsa de que al otro lado allí alante tienes una persona que empatiza contigo, cuando en realidad tu vida le importa tan poco como a mi la suya.
ULTIMA HORA: En España mueren 800 personas al año en accidentes de tráfico :roto2:
Sólo quiero decir que el movimiento de las primaveras ha salido caro. Muy caro.
Y para llevarlo a cabo, con intereses no-tan-ocultos (petróleo), se ha utilizado el sentimeinto que tu expones para manipular los sentimientos de la ciudadanía.
Se ha dicho: vamos a ayudar a esta gente a liberarse del yugo del dictador que pusimos hace 30 años.
De hecho, ahi estas tu defendiendo que derrocar un gobierno amigo es una medida decente si hay twitter y wassapp de por medio, sin plan ni alternativa de escape en caso de que saliera mal (como sucedió). Y digo gobierno amigo, porque a estas alturas del a película es bastante obvio que tanto Saddam, como Gadaffi, como Al Assad eran gobiernos amigos de las democracias occidentales. Igual que el hijodeputa de Marruecos.
Pero el pragmatismo nos obliga a aceptar que es mejor contar con un sicario real sobre el terreno, que dejar que los demócratas marroquíes decidan democráticamente que Ceuta y Melilla les pertenece.
Y sería una guerra igual de democrática que la que se utilizó para tumbar a Hussein e instalar unas bases cerca de Rusia.
La realidad es muy confusa. ....y lo es en las revoluciones de colores de las decadas pasadas, o lo de yugoslavia y asi siempre; pero yo sigo con la mania, no se porque, no lo puedo argumentar, de los beneficios que muchos obtienen de los estados fallidos;
A menudo Europa es tan infantil...
Francia se 'venga' del IS bombardeando Raqqa, su feudo en Siria
[url]http://www.elmundo.es/internacional/2015/11/15/5648f29546163ffa288b45bb.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/internacional/2015/11/15/5648f29546163ffa288b45bb.html[/url])
En realidad solo han tirado 20 bombas (sic) y han alcanzado a dos objetivos.
[url]http://www.liveleak.com/view?i=1c9_1447621959[/url] ([url]http://www.liveleak.com/view?i=1c9_1447621959[/url])
[url]http://www.liveleak.com/view?i=06d_1447585266[/url] ([url]http://www.liveleak.com/view?i=06d_1447585266[/url])
Esto como diria PP.CC. es lucha libre mexicana.
Otro problema de Europa es que carece de capacidad de proyección real de fuerza. Francia tiene un portaviones que vale por medio americano, UK dos en construcción y nada más . Si vamos a tener que actuar en media África y parte de Oriente Medio, deberíamos haber tenido programas europeos para :
-Una fuerza paneuropea de al menos tres cuatro portaviones medianos, como los británicos .
-Una fuera submarina nuclear de diez unidades .
-Un bombardero medio europeo , que es la gran carencia que tenemos respecto a las grandes potencias : una cosa es que Europa haya renunciado a tener proyección estratégica fuera del puñadito de misiles anglos y galos y otra que no tengamos algo capaz de salir de Lecce y bombardear Mosul, o de Gando a Bamako.
Poco a poco, como la rana en el agua , Europa ha ido desmantelando sus capacidades militares cambiando el gasto hacia cualquier otra chorrada sin percibir que la industria aerospacial y las telecomunicaciones progresan a golpe de presupuesto militar , y ahora puede que ya sea tarde en muchas cosas (salvo alianza con Rusia para apovechar sus desarrollos, pero eso lo veo difícil).
Entre tanto, los ataques terroristas en París brutalmente nos recordaron, una vez más, que los desafíos mundiales – tales como el terrorismo, la guerra en Siria, y la crisis de los refugiados – requieren de respuestas que sean verdaderamente de nivel mundial. El G-20 es un foro ideal para abordarlos.
La guerra civil siria – ahora en su cuarto año bien avanzado – debe ser llevada a su fin, y se debe garantizar una transición política justa y sostenible. El conflicto y el brutal terrorismo estatal del régimen del presidente sirio Bashar al-Assad no es sólo la causa del terrible sufrimiento en Siria y de la muerte de más de 360.000 personas, es también la causa raíz de la crisis de los refugiados y del surgimiento del Estado Islámico de Irak y el Levante (EIIL) – que es una amenaza para todos los países. Turquía es miembro de la coalición en contra del EIIL, y estamos en la búsqueda de disminuir y destruir esta amenaza terrorista en nuestro país y más allá de nuestras fronteras.
Al mismo tiempo, no nos debemos permitir olvidar la situación extremadamente difícil de aquellos que huyen de la brutalidad del régimen de Assad y del EIIL. La comunidad internacional, que se estremeció ante la fotografía de Alan Kurdi, el pequeño niño sirio de tres años de edad que fue encontrado muerto en una playa de Turquía, debe forzarse a recordar que muchos más como él están muriendo todos los días en las frías aguas del Mediterráneo y el Egeo.
Turquía acoge actualmente a unos 2,2 millones de refugiados sirios, y hemos gastado más de 8 mil millones de dólares en el transcurso de los últimos tres años para atenderlos. La comunidad internacional debe llegar a un acuerdo sobre un mecanismo que garantice que la carga sea compartida de manera equitativa.
Por último, es importante señalar que Turquía continúa confrontando la amenaza del Partido de los Trabajadores del Kurdistán (PKK), una organización listada como un grupo terrorista tanto por Estados Unidos como por la Unión Europea. Turquía puso en marcha un gran número de reformas y realizó importantes inversiones en beneficio de nuestros ciudadanos kurdos. Y, sin embargo, el PKK se ha negado a desarmarse, por el contrario está acumulando armas y atacando objetivos civiles y de seguridad a lo largo de todo el país. Mientras continuamos luchando contra el flagelo del terrorismo en nuestro país, hacemos un llamamiento a todos los países, no sólo para estar de luto por los muertos en París, sino para rechazar el terrorismo en todas sus formas.
Chosen cuando dices que los Sirios viven en 1600, es una estupidez. Si ahora viven en 1600, no es porque sea esa su mentalidad, sino porque han sido devueltos al sXVII por nuestra comprensión del mundo[...]Voy a aceptar como hipótesis que las sociedades atrasadas lo están por "nuestra" comprensión del mundo.
Otro problema de Europa es que carece de capacidad de proyección real de fuerza. Francia tiene un portaviones que vale por medio americano, UK dos en construcción y nada más . Si vamos a tener que actuar en media África y parte de Oriente Medio, deberíamos haber tenido programas europeos para :
-Una fuerza paneuropea de al menos tres cuatro portaviones medianos, como los británicos .
-Una fuera submarina nuclear de diez unidades .
-Un bombardero medio europeo , que es la gran carencia que tenemos respecto a las grandes potencias : una cosa es que Europa haya renunciado a tener proyección estratégica fuera del puñadito de misiles anglos y galos y otra que no tengamos algo capaz de salir de Lecce y bombardear Mosul, o de Gando a Bamako.
Poco a poco, como la rana en el agua , Europa ha ido desmantelando sus capacidades militares cambiando el gasto hacia cualquier otra chorrada sin percibir que la industria aerospacial y las telecomunicaciones progresan a golpe de presupuesto militar , y ahora puede que ya sea tarde en muchas cosas (salvo alianza con Rusia para apovechar sus desarrollos, pero eso lo veo difícil).
No se donde leí que las tropas de asalto especiales alemanas (teóricamente la élite) no tiene suficiente armamento y muchas veces hacen los entrenamientos y simulacros con metralletas de madera, y simulan los tiros chillando ratatata!!!!
Pero no solo eso, el estado físico de los antaño temibles soldados germanos es hoy en día deplorable.
Sería interesante aunar fuerzas para crear un ejército capaz, cosa que ningún estado por sí solo puede permitírselo, pero si nos unimos sí, y ahí radica el problema, como pones de acuerdo a 27 países? Si un par no está de acuerdo con atacar X que pasa? Nos pelearíamos en una batalla de verborrea política para convencer a todos los países para atacar?
Y otro problema, cuando pasa algo siempre está el Tío Sam, que es el único que puede atacar , nosotros solo aportamos cuatro aviones y mil soldados por país.
Otro problema de Europa es que carece de capacidad de proyección real de fuerza. Francia tiene un portaviones que vale por medio americano, UK dos en construcción y nada más . Si vamos a tener que actuar en media África y parte de Oriente Medio, deberíamos haber tenido programas europeos para :
-Una fuerza paneuropea de al menos tres cuatro portaviones medianos, como los británicos .
-Una fuera submarina nuclear de diez unidades .
-Un bombardero medio europeo , que es la gran carencia que tenemos respecto a las grandes potencias : una cosa es que Europa haya renunciado a tener proyección estratégica fuera del puñadito de misiles anglos y galos y otra que no tengamos algo capaz de salir de Lecce y bombardear Mosul, o de Gando a Bamako.
Poco a poco, como la rana en el agua , Europa ha ido desmantelando sus capacidades militares cambiando el gasto hacia cualquier otra chorrada sin percibir que la industria aerospacial y las telecomunicaciones progresan a golpe de presupuesto militar , y ahora puede que ya sea tarde en muchas cosas (salvo alianza con Rusia para apovechar sus desarrollos, pero eso lo veo difícil).
No se donde leí que las tropas de asalto especiales alemanas (teóricamente la élite) no tiene suficiente armamento y muchas veces hacen los entrenamientos y simulacros con metralletas de madera, y simulan los tiros chillando ratatata!!!!
Pero no solo eso, el estado físico de los antaño temibles soldados germanos es hoy en día deplorable.
Sería interesante aunar fuerzas para crear un ejército capaz, cosa que ningún estado por sí solo puede permitírselo, pero si nos unimos sí, y ahí radica el problema, como pones de acuerdo a 27 países? Si un par no está de acuerdo con atacar X que pasa? Nos pelearíamos en una batalla de verborrea política para convencer a todos los países para atacar?
Y otro problema, cuando pasa algo siempre está el Tío Sam, que es el único que puede atacar , nosotros solo aportamos cuatro aviones y mil soldados por país.
en estos cambios que vendran, ¿que le va a tocar a turquia?, ¿disstadura o fallido full?Turquía es mala y yo la rompería y les daría su estado a los kurdos , pero sospecho que USA tiene otros planes .
otra bienaventuranza, ¿que te pides pa conejolandia -hispanistan-? :rofl: :rofl: :rofl: ; ademas de que no se lamine el precio de la chichi, o si;
[url]http://www.agroinformacion.com/noticias/16/avicultura%20y%20cunicultura/84745/calculan%20que%20cada%20productor%20de%20carne%20de%20conejo%20ha%20perdido%20cerca%20de%2015000%20euros%20este%20ano.aspx[/url] ([url]http://www.agroinformacion.com/noticias/16/avicultura%20y%20cunicultura/84745/calculan%20que%20cada%20productor%20de%20carne%20de%20conejo%20ha%20perdido%20cerca%20de%2015000%20euros%20este%20ano.aspx[/url])
...... sospecho que USA tiene otros planes.¿que plan tendran esos u otros pa los conejos?, ¿les damos facilidades?, ¿nos pedimos una injerencia?
.... Si hechas algunos números, te das cuenta que para tener un ejercito decente tienes que gastarte mucha pasta, recortando de otros sitios.lo que va a un sitio no va a otro y el que elige "se queda con la mayor parte" (incluido lo que se espera a futuro que rente); pero, un "pero" gordo y a menudo obviado, las balas no son igual de caras pa china que subcontratadas a blackwater, como lo del pib medido en poder de compra (si el conejo esta barato, te das un atracon por cuatro perras);
[...] al final de un modo u otro una crisis energética sea de la intensidad que sea (y recemos porque el pico sea moderado o al menos larga la meseta) va a poner contra las cuerdas a muchos países porque han superado los límites de su cabida natural en un entorno de limitación energética.
...... sospecho que USA tiene otros planes.¿que plan tendran esos u otros pa los conejos?, ¿les damos facilidades?, ¿nos pedimos una injerencia?.... Si hechas algunos números, te das cuenta que para tener un ejercito decente tienes que gastarte mucha pasta, recortando de otros sitios.lo que va a un sitio no va a otro y el que elige "se queda con la mayor parte" (incluido lo que se espera a futuro que rente); pero, un "pero" gordo y a menudo obviado, las balas no son igual de caras pa china que subcontratadas a blackwater, como lo del pib medido en poder de compra (si el conejo esta barato, te das un atracon por cuatro perras);
Hola Republik, estoy contigo en eso que todo el mundo ha estado metiendo mano durante siglos en todos esos paises, solo hay que ver el follón de fronteras y etnias como comentas. También la cerrazón cultural tiene lo suyo, pero mira que nosotros en occidente también tenemos nuestra cerrazon cultural ya que no admitimos (...bueno mas bien nuestras élites no admiten) otras formas de vida que no sean consumir y producir. Es verdad que en occidente existe por lo menos a nivel formal un ambiente de mas libertad, pero crea tu un movimiento social que de verdad ponga en peligro esta mezcla de estado-capitalismo en que vivimos y veras como se acaban las buenas formas.Muy interesante las aportaciones en este hilo. La tuya me hace recordar cómo hace unos meses ISIS se dedicó a atentar contra puestos militares egipcios (en algunos casos en las fronteras), con bombas en el Cairo, cometiendo asesinatos o, recientemente, con lo que todo apunta al uso de algún artefacto explosivo para derribar un avión ruso de pasajeros.
Tampoco la plebe occidental sabe mucho de su propia historia, no entiende como comenzó la acumulación capitalista, como funcionan los bancos y que es el dinero, como todo esto ha cambiado al estado, que quiere decir educación oficial reglada por el estado, cual es el impacto del cambio tecnológico en sus vidas, que es en realidad esta democracia "representativa", por que se rescata a los bancos si no hay ninguna ley que lo requiera y un larguisimo etcétera del que en este foro hablamos todos los días. Creo que todos hemos pasado por la experiencia de abordar algún tema de estos con familiares y conocidos, generalmente la reacción va desde la protesta airada hasta la indiferencia, pero nadie se pone a investigar, a aprender. Cada quien centrado en el día a día, cada quien sin salirse del campo consciente marcado desde arriba. En ese sentido no creo que seamos ni mejores ni peores entre occidente y los demás. Unos hablan de futbol, de política en la que no influyen nada y la última i-pijada que se han comprado y los otros del pecado y la degeneración que son las i-pijadas. Pero en ambos casos esas idea no son propias de la persona, son implantadas desde arriba.
En cada bando las élites lo manipulan todo, aquí los banqueros, industriales y políticos y allá los imanes y jeques. En ese sentido no somos muy diferentes porque tan furiosamente será atacado un grupo de tías pijas consumistas con minifalda en Arabia Saudita que en occidente un grupo de hippies que vivan en el monte y no escolarizen a sus hijos. Cualquier intento de salirse del molde marcado por las élites, cualquier intento de acceder a zonas digamos de consciencia prohibida es rigurosamente reprimido.
A mi me ayudó mucho a entender el mundo árabe dos cosas. La primera el haber vivido años en el golfo pérsico y observar como los primeros despotas y represores son las élites del lugar. Como aquí en occidente pero sin máscara ni disfráz. La segunda fue el conocer la obra y vida de Sayyid Qubt, un escritor egipcio de la primera mitad del siglo XX y a mi modo de ver las cosas el intelectual detrás de toda esta movida de la jihad islámica. A lo largo de su obra y vida es interesante el llamado que hace a todos los pueblos árabes de recuperar su dignidad, el dejar de ser unos burros en manos de sus élites nacionales que a su vez trabajan para el extranjero. Qubt era el principal intelectual y escritor egipcio durante la primera mitad del siglo XX y es tan importante que fue el mentor de Naguib Mahfouz, el gran escritor egipcio de hoy día.
Yo no estoy de acuerdo ni en desacuerdo con Qubt, pero el apelar a la dignidad incendio el asunto hace 60 años y sobre todo en Egipto. Nadie en occidente habla de esto (continuando con el tema de reducción del campo consciente), fue en Egipto donde surgió todo esto de la jihad, de aquí proviene la Hermandad Islámica donde Islam se mezcla con dignidad de forma de rechazar al gobernante extranjero mientras todo es atizado por los escritos de Qubt. Desde la época de la última dinastia de los faraones, Egipto no fue gobernado por un egipcio, fue la hermandad islámica y Qubt atizando desde la máquina de escribir y la prensa quien acabó con este estado de cosas en los años 50 del siglo pasado con el advenimiento de Nasser y la expulsión de ingleses y franceses mediante una revuelta generalizada. Esto es un logro que ha reverberado por décadas en el mundo islámico y demostró que el islam puede ser una gran fuerza aglutinante para echar al invasor usurpador, por utilizar palabras suaves que las de Qubt eran muchísimo mas duras. Este era el panorama de aquel entonces.
En esos paises occidente y muy principalmente los anglos han estado metiendo mano a su antojo durante siglos. Han eliminado gobiernos socialdemocratas (Iran), han estado causando guerras, revueltas, promoviendo golpes de estado, colocando jeques dictadores, matando líderas naturales, etc ,etc. Siempre han estado allí abortando cualquier proceso espontaneo de cambio social que se de. Claro y de aquellos barros vienen estos lodos. Tampoco esto se comenta en occidente y lo que hoy vivimos proviene de una revuelta generalizada contra esta continua intervención, que es verdad que unos y otros intentan usurpar para si, pero el origen se encuentra en esa indignación señalada por Qubt (y de que manera...llamándoles burros en sus libros) y en el hecho de que en Egipto se demostró que la historia si se puede cambiar. Claro luego les traicionaron, mataron a Qubt etc,etc...y vuelta a mas de lo mismo.
Nadie parece entender tampoco que Egipto es el país mas culto e influyente del mundo árabe y también el más poblado. Podríamos comentar también quien fue el hermano de Qubt, su relación con Ayman al-Zawahiri, la relación de este con Bin Laden y como todo coalesció en una sola cosa. Es una historia alucinante como pocas...pero larga.
Un gran saludo
NUEVA YORK – Entre los riesgos geopolíticos de la actualidad, ninguno es mayor que el arco largo de inestabilidad que se extiende desde el Magreb hasta la frontera entre Afganistán y Pakistán. Ahora que la Primavera Árabe se torna en un recuerdo cada vez más distante, la inestabilidad a lo largo de este arco se profundiza. De hecho, de entre los tres países donde inicialmente surgió la Primavera Árabe, Libia se convirtió en un Estado fallido, Egipto regresó a un régimen autoritario y Túnez está siendo desestabilizado económica y políticamente por ataques terroristas.
La violencia y la inestabilidad del norte de África se extienden hacia el África subsahariana: ahora el Sahel – una de las regiones más pobres y con el medio ambiente más dañado del mundo – está bajo el control del yihadismo, que se infiltra también en el oriente del Cuerno de África. Y, al igual que en Libia, las guerras civiles están en su apogeo en Irak, Siria, Yemen y Somalia, todos estos países que, paulatinamente, se muestran como Estados fallidos.
La agitación en la región (misma que Estados Unidos y sus aliados ayudaron a impulsar, en su búsqueda de un cambio de régimen en Irak, Libia, Siria, Egipto y otros países más) también está menoscabando Estados que anteriormente eran seguros. La afluencia de refugiados de Siria e Irak está desestabilizando a Jordania, Líbano, y ahora incluso a Turquía, que se torna, gradualmente, en un país más autoritario bajo el régimen del presidente Recep Tayyip Erdoğan. Simultáneamente, debido al conflicto no resuelto entre Israel y los palestinos, Hamás en Gaza y Hezbollah en el Líbano representan una amenaza crónica de violentos enfrentamientos con Israel.
En este agitado entorno regional, se desarrolla de manera violenta una gran lucha de poder entre la Arabia Saudita sunita y el Iran chiita, esta lucha por delegación a partidarios se desarrolla dentro de Irak, Siria, Yemen, Bahréin y Líbano. Y, si bien el reciente acuerdo nuclear con Irán puede reducir el riesgo de proliferación de dichos conflictos, el levantamiento de las sanciones económicas contra Irán proporcionará a los líderes de este país más recursos financieros para apoyar a sus partidarios chiitas. Más al oriente, Afganistán (donde los talibanes que resurgen podrían retornar al poder) y Pakistán (donde los islamistas locales representan una continua amenaza a la seguridad) están en riesgo de convertirse en Estados semi-fracasados.
Y, sin embargo, de manera notable, incluso mientras la mayor parte de la región comenzó a arder, los precios del petróleo se derrumbaron. En el pasado, la inestabilidad geopolítica en la región provocó tres recesiones mundiales. El 1973 la Guerra de Yom Kipur entre Israel y los Estados árabes provocó un embargo del petróleo que triplicó los precios y llevó a la estanflación (alta tasa de desempleo más inflación) del período 1974-1975. La revolución iraní de 1979 llevó a otro embargo y a otro shock en el precio que provocó la estanflación mundial del período 1980-1982. Y, la invasión iraquí de Kuwait en el año 1990 condujo a la otra alza en los precios del petróleo que desencadenó la recesión de 1990-1991 en EE.UU. y a nivel mundial.
Esta vez, la inestabilidad en el Medio Oriente es mucho más grave y generalizada. Pero, parece que no hubiese una “prima de miedo” que eleve los precios del petróleo; por el contrario, los precios del petróleo han disminuido considerablemente desde el año 2014. ¿Por qué?
Tal vez la razón más importante es que, a diferencia del pasado, la crisis en el Medio Oriente no ha causado un shock en el suministro. Incluso en las partes de Irak ahora controladas por el Estado Islámico, la producción de petróleo continúa, sale vía contrabando y se la venden en mercados extranjeros. Además, la perspectiva de que se eliminarán gradualmente las sanciones a las exportaciones de petróleo de Irán implica el ingreso de importantes flujos de inversión extranjera directa destinados a aumentar la capacidad de producción y exportación.
De hecho, existe un exceso de oferta mundial de petróleo. En América del Norte, la revolución de la energía del esquisto en las arenas de petróleo de EE.UU. y Canadá, y la perspectiva de mayor producción petrolífera en tierra firme y alta mar en México (ahora que su sector energético está abierto a la inversión privada y extranjera) han hecho que el continente sea menos dependiente de suministros de Oriente Medio. Por otra parte, América del Sur tiene enormes reservas de hidrocarburos, desde Colombia hasta Argentina, al igual que el oriente de África, desde Kenia hasta Mozambique.
Ya que EE.UU. está en camino hacia el logro de la independencia energética, existe el riesgo de que Estados Unidos y sus aliados occidentales lleguen a considerar al Medio Oriente como un lugar con una menor importancia estratégica. Esa creencia es una ilusión: un Medio Oriente ardiendo en llamas puede desestabilizar al mundo de muchas maneras.
En primer lugar, algunos de estos conflictos todavía pueden aún dar lugar a una verdadera interrupción del suministro, tal como ocurrió en los años 1973, 1979 y 1990. En segundo lugar, las guerras civiles que se convierten a millones de personas en refugiados desestabilizarán a Europa económica y socialmente, lo que con seguridad golpeará duramente a la economía mundial. Y, en las economías y sociedades de los Estados de primera línea, como ser el Líbano, Jordania y Turquía, que ya están bajo tensiones graves por absorber a millones de esos refugiados, se confrontan riesgos aún mayores.
En tercer lugar, la miseria y desesperanza prolongadas que sufren millones de jóvenes árabes crearán una nueva generación de yihadistas exacerbados que culpan a Occidente por su desesperación. Algunos, sin lugar a duda, van a encontrar vías para llegar a Europa y EE.UU. para luego lanzar ataques terroristas.
Así que, si Occidente ignora al Medio Oriente o aborda los problemas de la región únicamente a través de medios militares (EE.UU. ha gastado dos millones de millones de dólares [billones europeos vaya] en sus guerras de Afganistán e Irak, sólo para crear más inestabilidad), en lugar de apoyarse en recursos diplomáticos y financieros para apoyar el crecimiento y la creación de empleo, la inestabilidad de la región sólo empeorará. Una decisión de ese tipo sería una sombra que persiga a EE.UU. y Europa – y por lo tanto a la economía global – durante las próximas décadas.
Traducido del inglés por Rocío L. Barrientos.
The Matrix Extends Its Reach
Paul Craig Roberts
NOTE: The remnant of the American left has again fallen in with the official terror story of the Paris attacks, because the official story serves the left-wing’s denunciatory needs. I see that the Russians as well are on board with the official story as it serves their posture that we must all unite against terrorism. Amazing. Washington can rely on the world’s total blindness.
Within one hour of the Paris attacks and without any evidence, the story was set in stone that the perpetrator was ISIL. This is the way propaganda works.
When the West does it, it always succeeds, because the world is accustomed to following the lead of the West. I was amazed to see, for example, Russian news services helping to spread the official story of the Paris attacks despite Russia herself having suffered so often from planted false stories.
Has the Russian media forgotten MH-17? The minute the story was reported that the Malaysian airliner was hit by a Russian missile over eastern Ukraine in the hands of separatists, the blame was ascribed to Russia. And that is where the blame remains despite the absence of evidence.
Has the Russian media also forgotten the “Russian invasion of Ukraine”? This preposterous story is accepted everywhere in the West as gospel.
Has the Russian media forgot about the book by the German newspaper editor who wrote that every European journalist of consequence was an asset of the CIA?
One would have thought that experience would have taught Russian media sources to be
careful about explanations that originate in the West.
So now we have what is likely to be another false story set in stone. Just as a few Saudis with box cutters outwitted the entire US national security state, ISIL managed to acquire unacquirable weapons and outwit French intelligence while organizing a series of attacks in Paris.
Why did ISIL do this? Blowback for France’s small role in Washington’s Middle East violence?
Why not the US instead?
Or was ISIL’s purpose to have the flow of refugees into Europe blocked by closed borders? Does ISIL really want to keep all of its opponents in Syria and Iraq when instead it can drive them out to Europe? Why have to kill or control millions of people by preventing their flight?
Don’t expect any explanations or questions from the media about the story that is set in stone.
The threat to the European political establishment is not ISIL. The threats are the rising anti-EU, anti-immigrant political parties: Pegida in Germany, the UK Independence Party, and the National Front in France. The latest poll shows the National Front’s Marine Le Pen leading as the likely French president.
Something had to be done about the hordes of refugees from Washington’s wars, or the establishment political parties faced defeat at the hands of political parties that are also unfriendly to Europe’s subservience to Washington.
EU rules about refugees and immigrants and Germany’s acceptance of one million of the refugees, together with heavy criticism of those governments in Eastern Europe that wanted to put up fences to keep out the refugees, made closing borders impossible.
With the Paris terror attacks, what was impossible became possible, and the President of France immediately announced the closing of France’s borders. The border closings will spread. The main issue of the rising dissident political parties will be defused. The EU will be safe, and so will Washington’s sovereignty over Europe.
Whether or not the Paris attacks were a false flag operation for the purpose of obtaining these results, these results are the consequences of the attacks. These results serve the interests of the European political establishment and Washington.
Is ISIL so unsophisticated not to have realized that? If ISIL is that unsophisticated, how did ISIL
so easily deceive French intelligence? Indeed, can French intelligence be intelligent?
Can Western peoples be intelligent to fall for a story set in stone prior to any evidence? In the West, facts are created by self-serving statements from governments. Investigation is not part of the process. When 90 percent of the US media is owned by six mega-corporations, it cannot be any different.
As The Matrix grows in the absurdity of its claims, it nevertheless manages to become even more invulnerable.
1)
Sobre la integración de los inmigrantes en una sociedad occidental.
Los musulmanes de origen magrebí en Francia.
A ver si un forero que reside o ha vivido en el país galo lo puede confirmar.
2)
Según lo que tengo entendido: ¿hay ayuntamientos ricos que pagan la multa correspondiente para evitar la construcción en su municipio de bloques de viviendas sociales?. Es como si el municipio de las Rozas paga una multa para evitar que le construyesen viviendas sociales (familias de rentas bajas).
3)
En Francia se formaron los guetos ya que se concentró la población de origen magrebí en las barriadas periféricas de París. En España hemos copiado el modelo ya que la inmigración reciente se ha concentrado en determinadas ciudades y en determinados barrios.
Chosen cuando dices que los Sirios viven en 1600, es una estupidez. Si ahora viven en 1600, no es porque sea esa su mentalidad, sino porque han sido devueltos al sXVII por nuestra comprensión del mundo[...]Voy a aceptar como hipótesis que las sociedades atrasadas lo están por "nuestra" comprensión del mundo.
Voy a suponer que desde Tesla hasta Einstein pasando por Hawkings (por limitarnos a los últimos 100 años) tienen parte alícuota de responsabilidad en el atraso de dichas sociedades, por haber hecho que el mundo avance más rápido en unas partes del planeta que en otras.
Aceptaré como premisa que el hombre blanco occidental, artífice de la radio, la televisión, la nevera, el coche y el avión tiene una responsabilidad indefinida (pecado original) y estamos en deuda con esas sociedades más atrasadas.
Aceptando eso...
¿A donde quieres llegar?
Según mi punto de vista, dando por váilda tu hipótesis de la resposnabilidad, la asimilación cultural (por conquista y absorción-dilución) es inevitable.
Pero vamos al meollo del asunto.
¿Es racional argumentar que un petróleo que lleva enterrado 100 millones de años "pertenece" a unas agrupaciones humanas -escasas 3 generaciones- que ni tan siquiera tienen la capacidad para extraerlo?
Hace 54 años los amorosos republicanos galos balearon y tiraron al sena a ni se sabe cuantos cientos de argelinos. Hay fuentes que dicen 200 y otras que 400. Cuando quieren sin muy brutos y nadie se lo reprocha .
La demografía es importante. Egipto antes de 1930 eran cuatro oasis con un sistema feudal de vinculación a la tierra y El Cairo una ciudad manejable.
Hace 54 años los amorosos republicanos galos balearon y tiraron al sena a ni se sabe cuantos cientos de argelinos. Hay fuentes que dicen 200 y otras que 400. Cuando quieren sin muy brutos y nadie se lo reprocha .
Creo que para hacerse una idea, Argelia se vivió como una "guerra civil" desde Francia, tanto como una guerra de liberación desde el FNL. Los currantes hicieron de carne de cañon. También esta la mentalidad años 50 (= apartheid en USA SurAfrica y muchos paises donde las gentes se educaron en el ambiente racista de los años 30).
Argelia era un departamento francés como siguen siendo muchos islotes actuales, con excepciones administrativas (incluso Córcega). Imaginate un movimiento de liberacion canario.. o lo de Cuba
El articulo de Meyssian del otro día menciona (correctamente creo) cómo los partidos colonialistas / derechistas de los años 30 se atrincheraron tras la WWII con la Guerra de Argelia y desde entonces son el hilo de ariadna de la corriente politica que conduce a los lepenistas (muchos dirigentes historicos fueron militares putchistas).
Y con todo eso surge el peligro de que Israel se vea tentado a mover a a relativamente poca gente que haría falta para montar el Eretz Israel llegando al Éufrates y Basora.
Y con todo eso surge el peligro de que Israel se vea tentado a mover a a relativamente poca gente que haría falta para montar el Eretz Israel llegando al Éufrates y Basora.
Algunos sectores israelís (algunos colonos y nacionalistas) aun piensan en el Eretz Israel pero a pesar de la poca profundidad territorial del estado israelí para defenderse los dirigentes políticos y militares dominantes no quieren anexionarse inmensos territorios.
Un ejemplo: La península egipcia de Sinaí. Ocupada por Israel entre 1967 y 1982. Hubo colonización por parte de Israel. Disponía de suficiente territorio para defenderse, sobre todo, desde su flanco sur. Pues devolvió a su legítimo dueño para hacer las paces y desmanteló las colonias.
A Israel le interesa que la guerra civil siria continúe ya que los contendientes se olvidan de los Altos de Golán. Además, Hezbolá de Líbano está ocupado en la guerra civil de Siria apoyando a al-Asad junto Irán y Rusia.
La demografía es importante. Egipto antes de 1930 eran cuatro oasis con un sistema feudal de vinculación a la tierra y El Cairo una ciudad manejable.
Eso es tan así que en los años 80 Egipto y España tenían una población parecida. Hoy teinta y cinco años despues Egipto tiene casi 85 millones de habitantes.....como Alemania. A este ritmo en el 2050 tendrá 180 millones, en el 2100 casi 400 millones....y así. Actualmente Egipto posee un 3% de tierras arables y el petroleo para importar comida se acabó hace tiempo. Una situación intratable. Yo creo que aquí vamos a ver un trailer de lo que va a ser el decrecimiento global.
En esos paises occidente y muy principalmente los anglos han estado metiendo mano a su antojo durante siglos. Han eliminado gobiernos socialdemocratas (Iran), han estado causando guerras, revueltas, promoviendo golpes de estado, colocando jeques dictadores, matando líderas naturales, etc ,etc. Siempre han estado allí abortando cualquier proceso espontaneo de cambio social que se de.
Cita de: ErdoganEntre tanto, los ataques terroristas en París brutalmente nos recordaron, una vez más, que los desafíos mundiales – tales como el terrorismo, la guerra en Siria, y la crisis de los refugiados – requieren de respuestas que sean verdaderamente de nivel mundial. El G-20 es un foro ideal para abordarlos.
...... brutal terrorismo estatal del régimen del presidente sirio Bashar al-Assad .....
....Turquía es miembro de la coalición en contra del EIIL, y estamos en la búsqueda de disminuir y destruir esta amenaza terrorista en nuestro país y más allá de nuestras fronteras....
...Turquía acoge actualmente a unos 2,2 millones de refugiados sirios, y hemos gastado más de 8 mil millones de dólares en el transcurso de los últimos tres años para atenderlos. La comunidad internacional debe llegar a un acuerdo sobre un mecanismo que garantice que la carga sea compartida de manera equitativa......
......Por último, es importante señalar que Turquía continúa confrontando la amenaza del Partido de los Trabajadores del Kurdistán (PKK), una organización listada como un grupo terrorista tanto por Estados Unidos como por la Unión Europea. ......
Acojonante, ascuasardinismo de la peor especie, mezclado con amenazas en el tema de los refugiados (aunque tienen razón, si queremos que se los coman ellos, estan en su derecho de pedirnos compensaciones).
Aprovechando para zumbar a sus kurdos. Hay evidencias de atentandos sobre jovenes kurdos perpetrados por proxys del ISIS y tolerados por las autoridades turcas. Hay un flujo de petroleo del ISIS enorme a traves de la frontera turca.
Por ultimo, traer aqui el miedo expresado por turcos laicos ante la brutal regresión de su pais hacia el fundamentalismo.
¿Por fin alguien lo dice? Pero si es casi nuestro punto de partida común. Aquí quien más y quien menos esas cosas ya las tiene en mente, quizá por eso podemos obviarla en los comentarios del día a dia, poruqe se da por entendido. Además sí que se ha dicho bastantes veces, directa o implícitamente, en muchos de los análisis de este hilo y del avispero, sobre todo.En esos paises occidente y muy principalmente los anglos han estado metiendo mano a su antojo durante siglos. Han eliminado gobiernos socialdemocratas (Iran), han estado causando guerras, revueltas, promoviendo golpes de estado, colocando jeques dictadores, matando líderas naturales, etc ,etc. Siempre han estado allí abortando cualquier proceso espontaneo de cambio social que se de.
Hombre, por fin alguien lo dice.
Hemos estado volando por los aires la evolución y/o las estructuras de muchos de los paises musulmanes durante décadas.
Cualquier solución a largo debe tomar en cuenta esto.
Los últimos tres capítulos, Irak, Libia y Siria, bastan para ilustrar la estupidez de Europa, que permite que USA intervenga ( o peor aún, lo hace ella misma) mientras se va inflando una bomba de proporciones colosales a sus puertas.
¿Por fin alguien lo dice? Pero si es casi nuestro punto de partida común. Aquí quien más y quien menos esas cosas ya las tiene en mente, quizá por eso podemos obviarla en los comentarios del día a dia, poruqe se da por entendido. Además sí que se ha dicho bastantes veces, directa o implícitamente, en muchos de los análisis de este hilo y del avispero, sobre todo.En esos paises occidente y muy principalmente los anglos han estado metiendo mano a su antojo durante siglos. Han eliminado gobiernos socialdemocratas (Iran), han estado causando guerras, revueltas, promoviendo golpes de estado, colocando jeques dictadores, matando líderas naturales, etc ,etc. Siempre han estado allí abortando cualquier proceso espontaneo de cambio social que se de.
Hombre, por fin alguien lo dice.
Hemos estado volando por los aires la evolución y/o las estructuras de muchos de los paises musulmanes durante décadas.
Cualquier solución a largo debe tomar en cuenta esto.
Parece que Francia cometió dos errores en Argelia :
-El primero , no gastarse dinero en intentar cristianizarla
No es tan difícil si pensamos que media África se ha hecho musulmana bastante recientemente a base de sobornos a caciques.
-El segundo ser un poco clasistas. Argelia estaba integrada en la república pero el nivel de gasto no debía ser el mismo
Y una cosa que me llama la atención es que la horquilla en el conteo de víctimas es enorme y la cifra puede ser incluso superior a la de nuestra guerra. Pero como la guerra la hizo un santo militar de una potencia a la que le ganaron la IIGM , en la Historia dejó tan poca huella como las represalias tras la guerra contra "colaboracionistas " , donde mataron a miles con dudosas garantías . Al final Franco tiene más mala prensa por español que por haber hecho burradas diferentes de las del "entorno".
Una cosa curiosa es que conozco a un centenario general gabacho que estuvo en esa guerra. Y es muy ultra el viejo , y también tiene una pensión que en España es inimaginable y muchos pisitos.
...
Si algo puede estar fallando con la absorción magrebí seguramente tiene que ver con la importancia numérica y no poco con la presión religiosa saudí a través de sus infames establecimientos "religiosos" cada vez menos controlables. Pero en general el modelo funciona bastante bien.
El precio de los carburantes en Europa es principalmente impuestos ya que nuestros elefantiasicos estados así lo requieren. Por otra parte hace unos años me tocó hacer un estudio sobre la estructura de costes del comercio minoritario en varias capitales europeas. Conclusión: la mitad de los costes son principalmente impuestos y alquileres.
La conclusión que yo extraje de todo esto es que existe una parte muy violenta y no muy inteligente de la población que prefiere la dominacíon por la dominación así se destruya todo y que el fanatismo que de aquí se desprende no es potestad exclusiva de ningún bando.
Un saludo
https://drive.google.com/file/d/0BwkVout4nKszelV2YzRXMjBUSWs/view?usp=sharing (https://drive.google.com/file/d/0BwkVout4nKszelV2YzRXMjBUSWs/view?usp=sharing)
Oriente Próximo siempre ha sido tierra de fundamentalismos y señores de la guerra, antes del colonialismo ya se daban de leches pero ahora con los AK y las bombas se ceban.Las llanuras son fatales para mantener el equilibrio territorial porque son fronteras muy tentadoras . En Europa los problemas históricos han sido donde era fácil anexionar y los últimos grandiosos movimientos precisamente se han dado en las grandes llanuras pasados los Carpatos, Tatra y Balcanes. Y es curioso que el último ajuste de España consistiera precisamente en perder el Rosellón, que geográficamente era una especie de provocación a Francia y en cuanto pudieron se cobraron la presa.
Esas fronteras inconclusas, espacio de todos y a la vez de nadie genera fricción, antes con cuatro espadas y dos piedras morían unos cuantos, ahora con armas de fuego se ceban.
Occidente no es tan culpable como nos plantean.
Recomiendo el libro Ébano del genial reportero polaco Ryszard Kapuscinski.
Entiendo el planteamiento que haces saturno, en mi opinión las ideologías no son mas que proyecciones de las personas. Se trata de reducir la angustia de forma reduccionista ante la no explicabilidad del mundo, en este sentido cumple el mismo papel que la mitología, esta última por lo menos contiene cierta belleza artistica e intenta ser holística cosa de la que carece la ideología. Quizas la ideología sea la mitología de estos tiempos depojados de todo arte y centrados en el pensamiento, por esto no soy partidario de ninguna ideología. Simplemente percibo como ese afan de dominio se lo lleva todo por delante, es algo muy irracional ya que podriamos vivir mejor y aumentar nuestras probabilidades de supervivencia si nos comportasemos mas como humanos y dejasemos en paz a los demas. En mi consulta veo constantemente como el coartamiento de la espontaneidad, que no es mas que el resultado último (internalizado) de la dominación (la primera: a nivel familiar), causa verderos estragos en las personas. Es un tema extenso que se sale del hilo....pero ahí está. Un gran saludo.
Desde las primeraras ciudades hasta la globalización, todos somos más conscientes de ser mierdas pinchadas en palos.
Esto parece un chiste y es una muestra de la situación de nuestra defensa nacional :
[url]http://www.defensa.com/index.php?option=com_content&view=article&id=16854:la-armada-comprara-municion-para-los-canones-de-las-fragatas-f-100&catid=54:espana&Itemid=162[/url] ([url]http://www.defensa.com/index.php?option=com_content&view=article&id=16854:la-armada-comprara-municion-para-los-canones-de-las-fragatas-f-100&catid=54:espana&Itemid=162[/url])
Preocuparse del coste de la munición del cañón de un barco de 500M y tecnología puntera nos dice que la cosa anda apretadilla. Hay que pensar que llevar este barco armado a tope son más de 100M de euros en misiles y unos 30 o 40 de helicóptero embarcado . España tiene buenos astilleros y va mejorando capacidades nacionales en electrónica , Navantia exporta bien, pero cualquier misil de medio alcance (sea antiaéreo o antibuque) o de crucero , cuesta 1M de euros .Y el stock de este tipo de armas es exiguo en España y en maniobras ni se tocan.
.... La conclusión que yo extraje de todo esto es que existe una parte muy violenta y no muy inteligente de la población que prefiere la dominacíon por la dominación así se destruya todo y que el fanatismo que de aquí se desprende no es potestad exclusiva de ningún bando.
¿Nadie piensa que podemos llegar a vivir un neo-colonialismo?....
La conclusión que yo extraje de todo esto es que existe una parte muy violenta y no muy inteligente de la población que prefiere la dominacíon por la dominación así se destruya todo
La conclusión que yo extraje de todo esto es que existe una parte muy violenta y no muy inteligente de la población que prefiere la dominacíon por la dominación así se destruya todo
Te olvidas de la parte de la población violenta e inteligente que también quiere la dominación. Que la hay.
De hecho, todo esto de el petróleo de Oriente Medio va de eso... ¿no? :troll:
Adaptabilidad que le dicen, sus respuestas serían más orgánicas, realistas y no acumularían tanta tensión que constantemente les conducen a crisis y mas crisis.....y seguirían dominando.
La lucha por los recursos es INHERENTE a la vida, la vida se expandió hasta que los recursos escasearon y entonces empieza la lucha por los mismos y la evolución.
La mas difundida definición de economía es la de Lionel Robbins, quién dijo que “la economía es la ciencia que estudia la conducta humana como una relación entre fines y medios escasos que tienen usos alternativos."(Robbins 1932).
Desde otro punto de vista, la Economía del Bienestar se refiere a la economía como el estudio de las condiciones bajo las cuales se puede maximizar el bienestar de una comunidad, y la elección de las acciones necesarias para llevarlo a cabo. Esta definición le otorga a la economía mayor contenido normativo, en contraste con la definición de Robbins según la cual la economía es una ciencia eminentemente positiva.
Fuente: Concepto de Economía (ZonaEconomica.com - abril del 2006) - [url]http://www.zonaeconomica.com/definicion/economia[/url] ([url]http://www.zonaeconomica.com/definicion/economia[/url])
Escrita en parte como respuesta al darwinismo social y, en particular, al ensayo del siglo XIX de Thomas H. Huxley, "La lucha por la existencia", el libro de Kropotkin se basó en su experiencia del día a día en expediciones científicas en Siberia para ilustrar el fenómeno de la cooperación. Tras examinar las pruebas de la cooperación en comunidades de animales no humanos, "salvajes", "bárbaros", en las autónomas ciudades medievales, y en la época moderna, llega a la conclusión de que la cooperación y la ayuda mutua son tan importantes en la evolución de la especie, como lo es la competencia y la lucha mutua, en caso de no ser más.
"Pero la sociedad, en la humanidad, de ningún modo se ha creado sobre el amor ni tampoco sobre la simpatía. Se ha creado sobre la conciencia -aunque sea instintiva- de la solidaridad humana y de la dependencia recíproca de los hombres. Se ha creado sobre el reconocimiento inconscientes semiconsciente de la fuerza que la práctica común de dependencia estrecha de la felicidad de cada individuo de la felicidad de todos, y sobre los sentimientos de justicia o de equidad, que obligan al individuo a considerar los derechos de cada uno de los otros como iguales a sus propios derechos".
Piotr Kropotkin, Introducción a El apoyo mutuo
Considerada como una de sus más grandes obras, Kropotkin muestra toda su esencia como ideólogo sin dejar de lado el plano científico y analítico del tema en sí. Desde allí el principio del apoyo mutuo y voluntario se convierte en principio político.
Esta obra de Kropotkin ha sido considerada como pionera y antecedente del concepto de altruismo en etología, de la genética de poblaciones y de la sociobiología.
Tras examinar las pruebas de la cooperación en comunidades de animales no humanos, "salvajes", "bárbaros", en las autónomas ciudades medievales, y en la época moderna, llega a la conclusión de que la cooperación y la ayuda mutua son tan importantes en la evolución de la especie, como lo es la competencia y la lucha mutua, en caso de no ser más.
P.S.: el concepto de 'apoyo mutuo' en Kropotkin no es fruto de la bondad sino de la conveniencia inteligente:Razón de mas para reconocer que el mundo está lleno de idiotas :biggrin:
¿Colaborar?
Es que para eso hay que querer y poder.
¿Pero no había dicho kropotkin que era factible?
Lo será entre quienes quieran colaborar. Un ejemplo: este foro que se mantiene por la colaboración libre y desinteresada de un número de personas. No por ello vamos a inferir que todo el mundo en internet es desinteresado y colaborativo. De hecho sabemos que no, porque lo hemos vivido.CitarP.S.: el concepto de 'apoyo mutuo' en Kropotkin no es fruto de la bondad sino de la conveniencia inteligente:Razón de mas para reconocer que el mundo está lleno de idiotas :biggrin:
¿Cual es el salto que nos lleva a decir que 7.000 millones de humanos han de colaborar, siempre en todo, y ante cualquier circunstancia?
[url]http://es.wikipedia.org/wiki/Eusocialidad[/url]
([url]http://es.wikipedia.org/wiki/Eusocialidad[/url])CitarSus características son:
Los adultos cuidan de las crías.
En un nido viven dos o más generaciones.
Los miembros están divididos en casta reproductora “real” y en casta no reproductora “obrera”.
No está escrito que tengamos que seguir siendo violentos.Niego la mayor. La violencia es un fenómeno inherente a la vida.
OBCAD: pero eso no invalida que los humanos podamos comportarnos de otra forma si se dan las cicunstancias, [...] no tiene que ser 'amistad', sino win-win inteligenteSabemos que se puede. Y lo contrario también.
Teoría de Juegos.
No defiendo la guerra, sólo digo que es un fenómeno naturalNo está escrito que tengamos que seguir siendo violentos.Niego la mayor. La violencia es un fenómeno inherente a la vida.
Si A entonces B [El ser humano es un ser vivo -> el ser humano es violento]
... asumir la premisa falsa de que:'Podemos' ;), aceptar las tres premisas sobre lo que es mas frecuente ahora. Sigo manteniendo que puede dejar de ser así.
-1º el hombre es inteligente, al menos lo suficiente como para colaborar
-2º el hombre (de cumplir el punto anterior) quiere colaborar
-3º el hombre, de querer colaborar, lo hace para otro fin que no sea aprovecharse de otro
Ya no se si el debate es filosófico o biológico :rofl:
La paz es antinatural.Es ingenioso, pero matizo.
Como los preservativos o los marcapasos.
No defiendo la guerra, sólo digo que es un fenómeno naturalNo está escrito que tengamos que seguir siendo violentos.Niego la mayor. La violencia es un fenómeno inherente a la vida.
Si A entonces B [El ser humano es un ser vivo -> el ser humano es violento]
El ejemplo de los animales cazadores puede estar sujeto a discrepancias, debido a que sus armas le valen contra los su misma especie, por lo que el ejemplo más claro se encuentra en los herbívoros. Carneros y venados tienen cuernos para pelear entre sí. Los búfalos son territoriales. Habláis de colaboración como si hubiese hembras/recursos para compartir, pero NO LAS HAY. Y aunque hubiera de sobra, que nunca hay de sobra, el 200% es más que el 50%. Por eso los hamster almacenan grano.
Las hormigas tienen hormigas soldado para defenderse de otros hormigueros, y por supuesto que las mandíbulas están calibradas en tamaño para matar a miembros de su misma especie, lógicamente.
¿A nadie le extraña que el ser humano tenga unas manos del tamaño del cuello de sus congéneres? Las armas naturales del hombre están hechas para competir contra otros de su misma especie. El cerebró el primero de ellos, ya sabéis como acabó el neanderthal ::)
OJO!!! y ahí si que había recursos de sobra...CitarOBCAD: pero eso no invalida que los humanos podamos comportarnos de otra forma si se dan las cicunstancias, [...] no tiene que ser 'amistad', sino win-win inteligenteSabemos que se puede. Y lo contrario también.
Ergo erncima del instinto violento NO colaborativo por naturaleza tenemos una capa de razón que en los humanos puede ser SI o NO. El win-win dura poco cuando hablamos de recursos escasos a compartir (ejemplo de las hembras herbívoras).
Negar el egoísmo, la violencia y la maldad es negar el ser humano y la vida misma.
Fantasear con la "colaboración inteligente" es asumir la premisa falsa de que:
-1º el hombre es inteligente, al menos lo suficiente como para colaborar
-2º el hombre (de cumplir el punto anterior) quiere colaborar
-3º el hombre, de querer colaborar, lo hace para otro fin que no sea aprovecharse de otro
Ojo!!! y reconozco que la colaboración es beneficiosa, pero es que el deporte también lo es. Si el ser humano, a veces fumador y alcohólico, no es capaz de cuidarse a sí mismo... cómo me queréis convencer de que puede tener interés en "colaborar" con un desconocido a 7.000 Km de distancia, cuando ENCIMA ponemos en juego la escasez de los recursos ¿?¿?¿?
:roto2:
Ya no se si el debate es filosófico o biológico :rofl:
Saludos a todos.
Dice uno que el ser humano es básicamente colaborador. Sí, pero colaborador en la LUCHA por la supervivencia, violencia incluida cuando sea menester.
Dice otro que el ser humano, como cualquier ser vivo, es luchador y violento cuando proceda. Sí, pero su primera estrategia de lucha, sea contra los elementos, contra otras especies o contra otros humanos, es la asociación.
¿Qué necesidad hay de establecer cuál de las dos facetas es la esencia humana? Las dos lo son. What's the point? Yo ya me he perdido....
...............
La inteligencia descubre potenciales aliados donde el violento tonto, solo ve enemigos presentes. Me estoy acordando otra vez del (único) portaviones chino atracado en Siria junto a los rusos (¿cómo van los oleo/gaso-ductos desde Siberia?). Me acuerdo también del viejo de la montaña y sus asesinos. No muy lejos de los actuales cuarteles petroleros terroristas.
Saludos.
[...]
No os imaginais las cantidad de patentes que se rechazan por defectos de forma.
[url]http://www.nakedcapitalism.com/2015/11/rebooting-the-eurozone-step-1-agreeing-a-crisis-narrative.html[/url] ([url]http://www.nakedcapitalism.com/2015/11/rebooting-the-eurozone-step-1-agreeing-a-crisis-narrative.html[/url])
Sería interesante ver una estadistica de rechazos y aceptaciones versus quien es el que somete el expediente. Estadística que estará guardada bajo siete llaves.[...]
No os imaginais las cantidad de patentes que se rechazan por defectos de forma.
Ni la mitad de las que se aceptan y deberían ser rechazadas.
.... como si no tuviesen claro de donde viene el problema,..... Luego que nos hablen de "narrativas".....
..... TRE de la guerra ....
.... no se puede cuestionar no ya la legitimidad sino la utilidad de lo que se hace, so pena de ser considerado un traidor y, eventualmente, tener que afrontar penas de prisión .....
MUNICH – During the financial crisis, the eurozone’s northern members rescued their southern counterparts by offering huge bailouts and backing the European Central Bank’s promise to save the euro at all costs. When Germany recently requested a quota system to cope with the massive influx of refugees, however, its partners showed no such solidarity. And now that France, reeling from the Paris attacks, has declared war on the Islamic State, other European countries are shrugging their shoulders, mumbling condolences, and silently hoping that the conflict will spare them.
The implication is clear: although Europe has made significant progress toward fiscal union, it remains far removed from political union.
A half-century after the foundation of a common market and 15 years after the launch of the common currency, Europe still lacks a united police force and a single foreign policy. Perhaps most problematic, the EU is still home to 28 armies, with 28 commanders-in-chief, bound together only loosely by NATO.
Some European leaders – including French President François Hollande and European Commission President Jean-Claude Juncker – seem unbothered by this reality. They argue that Europe should be accelerating progress toward fiscal union even further, by introducing a common insurance scheme for deposits, a single budget, Eurobonds, more financial risk-sharing, and a unified unemployment-benefits system as quickly as possible.
They are wrong. In fact, such measures would only exacerbate the flaws in the eurozone’s structure. They would sustain false relative prices – the result of the inflationary credit bubble in the south that formed after the euro’s adoption – that are preventing the euro’s southern European countries from regaining competitiveness. As a result, structural unemployment in France and Southern Europe would persist.
Moreover, the proposed measures would compound Europe’s public-debt problems by reducing interest-rate spreads among countries even further, sustaining asset-price bubbles, and destroying the capital market’s allocative role. This was the mistake the United States made after its founding, when various rounds of debt mutualization fueled an unsustainable credit bubble that drove nine of the 29 US states and territories into bankruptcy from 1835 to 1842 and paved the way for the American Civil War.
The disadvantages of strengthening Europe’s fiscal union further do not end there. Continued progress toward fiscal union would, paradoxically, make political union increasingly unlikely for one simple, but important reason: France.
Europe’s strongest military power by far, France has thwarted all attempts to pool Europe’s armed forces. In 1954, France’s National Assembly rejected the treaty for the Western Union Defense Organization. In 2005, France rejected the proposed European Union Constitution, which could have marked the beginning of the political unification process. Successive French presidents have declared that France will not accept a United States of Europe as even a remote goal of European politics.
But France – whose banking system and industries are heavily exposed to southern Europe – is a major beneficiary of fiscal union. When the global financial crisis began, French banks’ exposure to Greece, at €58 billion ($61.7 billion), was twice as high as that of German banks. Given this, it is understandable that France prefers fiscal to political unification. But if other European countries accept this preference, and Europe continues along its unbalanced integration path, there will be no leverage to convince France to support political union.
Perhaps the tragic terrorist massacre in Paris will change the French aversion to political integration. By highlighting that even a mighty military power sometimes needs support, the attack could prove to be a game changer in the effort to create a European political union. Of course, for this to happen, the countries of Europe must unite to help France in its fight against the Islamic State. Meanwhile, France and other EU countries should help Germany, Austria, Sweden, Hungary, and Slovenia to alleviate the refugee crisis by accepting a quota system.
As Europe attempts to build a sustainable, stable, and prosperous union, it should look to successful unions like the US and Switzerland for guidance. Both of those unions began as military-defense organizations, and only later developed fiscal unions. It took decades, if not centuries, for them to obtain sizeable public budgets and begin engaging in income redistribution. And both prohibit the kind of fiscal or monetary bailout operations for single states or cantons that the EU pursued during the financial crisis.
It is time for the EU to change its approach to integration. Instead of continuing to push for unbalanced fiscal integration, it must work to implement key elements of political union, including an integrated police force, common asylum laws, a single foreign policy, and, above all, a united army. If recent events have taught us anything, it is that threats to the EU stem not from inadequate fiscal risk-sharing, but from insufficient coordination on foreign-policy and security challenges.
[...] Definitivamente Europa está en decadencia total....y los alemanes no dicen ni mu en todo esto....tan machitos que se pusieron con lo de Grecia. Al menos los franceces hacen algo, aunque no señalan el verdadero problema y quien lo está causando.
Una de sus clases, aquí.
https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo (https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo)
Una de sus clases, aquí.
[url]https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo[/url])
Muchas gracias.
[...]Como señala el investigador frances Bernard Baertschi en el primer capítulo de su magnífico libro "L'éthique à ´l'écoute des neurosciences" (Les Belles Lettres, 2013), estos dilemas del "wagon fou" ponen en conflicto las dos teorías morales dominantes:
- El "consecuencialismo", a tenor del cual las conductas deben juzgarse moralmente atendiendo sólo a la totalidad de sus consecuencias. Una manifestación particular es el "utilitarismo", que en su versión más elemental -la formulada por el británico Jeremy Bentham- aspira a hacer máxima la suma aritmética del dolor y del placer producido por la acción al conjunto de los afectados por ella.
- El "deontologismo" (deontologist ethics), cuyo defensor clásico fue el filósofo alemán Kant, a cuyo tenor existen imperativos morales absolutos que prohiben ciertas conductas o medidas, con independencia de sus consecuencias
[...]
[url]http://www.expansion.com/blogs/conthe/2014/06/21/un-dilema-gordo.html[/url] ([url]http://www.expansion.com/blogs/conthe/2014/06/21/un-dilema-gordo.html[/url])
Y mira por dónde, esto me recuerda a la política monetaria del BCE -joé, qué peazo de obsesión tengo-.
La orden dada en el Tratado de Maastricht al BCE: "Mantén los precios estables".
Pero el BCE dice: "Denomino IPC a los precios y por lo tanto mi orden es mantener el IPC estable". ¿?
Tres problemas:
1- ¿ Desde cuándo el regulado interpreta la regulación que lo regula ?
2- ¿ Es válido definir cada uno las cosas con la palabra que quiere ?
3- Burbujas de activos.
Me voy a tomar un café y, con el lio que tengo, al primer gordo que vea lo escabecho por si salvo a alguien. Just in case.
Una de sus clases, aquí.
[url]https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=GeHcXYQcXXo[/url])
Muchas gracias.
Al empezar el vídeo he recordado los dilemas morales de 'tranvías' en el blog de Conthe:Citar[...]Como señala....
[...]
[url]http://www.expansion.com/blogs/conthe/2014/06/21/un-dilema-gordo.html[/url] ([url]http://www.expansion.com/blogs/conthe/2014/06/21/un-dilema-gordo.html[/url])
Sandel llama 'categórico' al enfoque kantiano que en Conthe se traduce por 'deontologismo'.
Por si quieren profundizar en Ética.
Saludos.
_______
P.S.: el aº de Conthe, además de varios enlaces y citas, menciona al final la cuestión del idioma materno como influencia en el juicio moral, que viene al caso ya que el vídeo está subtitulado en español.
http://www.elmundo.es/internacional/2015/11/29/565b573e268e3e761c8b4624.html
De regalo, las conclusiones de la cumbre. En 2016 los turcos podran entrar a Schengen sin visa.
El gasto más rentable es en... palomitas :rofl:
.... Si ya en Mallorca vi carteles en cirílico, el próximo verano habrán muchos más :biggrin:
Cita de: José Zorrilla¿el forero Xhose?
Vamos a lamentar la entrada de Turquía en la EU, pero lo vamos a lamentar de verdad. Esta gente ha perdido la razón.que estan idos, no lo dudo, pero quizas les estan haciendo la cama y van a laminarlos pasandolos por estado fallido; esperaremos y veremos;
y en lo local la optimizacion de las palomitas pasaria por un empate a cuatro, el "voto util" palomitero va a ser que P's suba y en el ordago a chica diga "veo"
Cita de: José Zorrilla¿el forero Xhose?
Vamos a lamentar la entrada de Turquía en la EU, pero lo vamos a lamentar de verdad. Esta gente ha perdido la razón.
BERLIN – I am on a two-week European tour at a time that could make one either very pessimistic or constructively optimistic about Europe’s prospects.
First the bad news: Paris is somber, if not depressed, after the appalling terrorist attacks earlier this month. France’s economic growth remains anemic, the unemployed and many Muslims are disaffected, and Marine Le Pen’s far-right National Front is likely to do well in the upcoming regional elections. In Brussels, which was semi-deserted and in lockdown, owing to the risk of terrorist attacks, the European Union institutions have yet to devise a unified strategy to manage the influx of migrants and refugees, much less address the instability and violence in the EU’s immediate neighborhood.
Outside the eurozone, in London, there is concern about negative financial and economic spillover effects from the monetary union. And the migration crisis and recent terrorist attacks mean that a referendum on continued EU membership – likely to be held next year – could lead the United Kingdom to withdraw. This would probably be followed by the breakup of the UK itself, as “Brexit” would lead the Scots to declare independence.
In Berlin, meanwhile, German Chancellor Angela Merkel’s leadership is coming under growing pressure. Her decision to keep Greece in the eurozone, her courageous but unpopular choice to allow in a million refugees, the Volkswagen scandal, and flagging economic growth (owing to the slowdown of China and emerging markets) have exposed her to criticism even from her own party.
Frankfurt is a divided city, policy-wise: the Bundesbank opposes quantitative easing and negative policy rates, while the European Central Bank is ready to do more. But Germany’s thrifty savers – households, banks, and insurance companies – are furious about ECB policies that tax them (and others in the eurozone core) to subsidize the eurozone periphery’s alleged reckless spenders and debtors.
In this environment, the full economic, banking, fiscal, and political union that a stable monetary union eventually requires is not viable: The eurozone core opposes more risk sharing, solidarity, and faster integration. And populist parties of the right and left – anti-EU, anti-euro, anti-migrant, anti-trade, and anti-market – are becoming stronger throughout Europe.
But of all the problems Europe faces, it is the migration crisis that could become existential. In the Middle East, North Africa, and the region stretching from the Sahel to the Horn of Africa, there are about 20 million displaced people; civil wars, widespread violence, and failed states are becoming the norm. If Europe has trouble absorbing a million refugees, how will it eventually handle 20 million? Unless Europe can defend its external borders, the Schengen agreement will collapse and internal borders will return, ending freedom of movement – a key principle of European integration – within most of the EU. But the solution proposed by some – close the gates to refugees – would merely worsen the problem, by destabilizing countries like Turkey, Lebanon, and Jordan, which have already absorbed millions. And paying off Turkey and others to keep the refugees would be both costly and unsustainable.
And the problems of the greater Middle East (including Afghanistan and Pakistan) and Africa cannot be resolved by military and diplomatic means alone. The economic factors driving these (and other) conflicts will worsen: global climate change is accelerating desertification and depleting water resources, with disastrous effects on agriculture and other economic activity that then trigger violence across ethnic, religious, social, and other cleavages. Nothing short of a massive, Marshall Plan-style outlay of financial resources, especially to rebuild the Middle East, will ensure long-term stability. Will Europe be able and willing to pay its share of it?
If economic solutions aren’t found, eventually these regions’ conflicts will destabilize Europe, as millions more desperate, hopeless people eventually become radicalized and blame the West for their misery. Even with an unlikely wall around Europe, many would find a way in – and some would terrorize Europe for decades to come. That’s why some commentators, inflaming the tensions, speak of barbarians at the gates and compare Europe’s situation to the beginning of the end of the Roman Empire.
But Europe is not doomed to collapse. The crises that it now confronts could lead to greater solidarity, more risk sharing, and further institutional integration. Germany could absorb more refugees (though not at the rate of a million per year). France and Germany could provide and pay for military intervention against the Islamic State. All of Europe and the rest of the world – the US, the rich Gulf States – could provide massive amounts of money for refugee support and eventually funds to rebuild failed states and provide economic opportunity to hundreds of millions of Muslims and Africans.
This would be expensive fiscally for Europe and the world – and current fiscal targets would have to be bent appropriately in the eurozone and globally. But the alternative is global chaos, if not, as Pope Francis has warned, the beginning of World War III.
And there is light at the end of the tunnel for the eurozone. A cyclical recovery is underway, supported by monetary easing for years to come and increasingly flexible fiscal rules. More risk sharing will start in the banking sector (with EU-wide deposit insurance up next), and eventually more ambitious proposals for a fiscal union will be adopted. Structural reforms – however slowly – will continue and gradually increase potential and actual growth.
The pattern in Europe has been that crises lead – however slowly – to more integration and risk sharing. Today, with risks to the survival of both the eurozone (starting with Greece) and the EU itself (starting with Brexit), it will take enlightened European leaders to sustain the trend toward deeper unification. In a world of existing and rising great powers (the US, China, and India) and weaker revisionist powers (such as Russia and Iran), a divided Europe is a geopolitical dwarf.
Fortunately, enlightened leaders in Berlin – and there are more than a few of them, despite perceptions to the contrary – know that Germany’s future depends on a strong and more integrated Europe. They, together with wiser European leaders elsewhere, understand that this will require the appropriate forms of solidarity, including a unified foreign policy that can address the problems in Europe’s neighborhood.
But solidarity begins at home. And that means beating back the populists and nationalist barbarians within by supporting aggregate demand and pro-growth reforms that ensure a more resilient recovery of jobs and incomes.
Cita de: Nouriel RoubiniBERLIN – I am on a two-week European tour at a time that could make one either very
...
But of all the problems Europe faces, it is the migration crisis that could become existential. In the Middle East, North Africa, and the region stretching from the Sahel to the Horn of Africa, there are about 20 million displaced people; civil wars, widespread violence, and failed states are becoming the norm. If Europe has trouble absorbing a million refugees, how will it eventually handle 20 million? Unless Europe can defend its external borders, the Schengen agreement will collapse and internal borders will return, ending freedom of movement – a key principle of European integration – within most of the EU. But the solution proposed by some – close the gates to refugees – would merely worsen the problem, by destabilizing countries like Turkey, Lebanon, and Jordan, which have already absorbed millions. And paying off Turkey and others to keep the refugees would be both costly and unsustainable.
Ya. Pero Turquia en la UE significa controlar directamente desde la UE todos los yacimientos de petróleo al Sur de su frontera.
Sin perder de vista las rutas desde Iran... y China por la ruta de la seda.
Me parece que el Estado fallido, y ya está en orden de consecución, es Siria.
@Republik
muy interesante, sin expandir el espectro histórico se pierde la referencia de la inercia y de los intereses. Con todo no has mencionado a Deutschland, y es conocido el explícito respaldo de Merkel a Erdogan en las recientes elecciones turcas y su interés en el país como colonia teutona, como prácticamente lo és o al menos así se vive conviviendo en una ciudad alemana. En otras palabras: que Turquía se convierta en fallido podría no ser positivo para los alemanes.
Los anglos se resisten pero si hay que rehacer mapas no queda otra que partir su amada Turquía, y en el fondo quizá lo saben: Boeing se ha negado a pasarle el F-35 a los turcos, hasta el momento muy buenos clientes militares, y como Rusia no les va a vender nada, les queda la siempre un poco traidora y ambigua Francia (que fue la culpable de la expansión otomana del XVI y de su llegada a Viena a fines del XVII), que tampoco tengo claro que ahora mismo esté para jugar al juego de Francisco I.
...... que Turquía se convierta en fallido podría no ser positivo para los alemanes.no es positivo en el corto plazo y las votaciones recurrentes de las democracias occidentales; o si y te llegan ordas de pagapensiones, pero has de ser capaz de gestionarlas;
Juegos Olímpicos: El rechazo ciudadano tumba la candidatura olímpica de Hamburgo .....se jodio la petanca como herramienta burbujeadora; claro, que eso es un sitio donde preguntan y a gente medio normal;
Los anglos se resisten pero si hay que rehacer mapas no queda otra que partir su amada Turquía, y en el fondo quizá lo saben: Boeing se ha negado a pasarle el F-35 a los turcos, hasta el momento muy buenos clientes militares, y como Rusia no les va a vender nada, les queda la siempre un poco traidora y ambigua Francia (que fue la culpable de la expansión otomana del XVI y de su llegada a Viena a fines del XVII), que tampoco tengo claro que ahora mismo esté para jugar al juego de Francisco I.
Me has dejado un poco flipado con esto. ¿Que tiene que ver la Francia del Siglo XVI con la expansión de los Otomanos por el este de Europa?
Por otro lado, yo si creo que le interesa a Europa incluir a Turquia en el Euro. Eso abriría mercados por la zona del Caucaso y oriente medio para el euro. Por supuesto, que la paz en esos paises es condición necesaria.
Francisco I hizo más. Cuando estuvo en guerra con Carlos V, para crearle dificultades en Alemania, envío secretamente a proponer a los turcos que invadieran el Austria (1523). Luego, cuando estuvo prisionero en España, su madre envió a pedir socorro al sultán Solimán, y Solimán respondió prometiendo su apoyo a Francisco I. Esta alianza con el sultán enemigo de los cristianos, contra el emperador, jefe y baluarte de la cristiandad, parecía tan escandalosa que Francisco I tuvo cuidado de mantenerla secreta.https://es.wikisource.org/wiki/Historia_II:Alianza_de_Francisco_I_con_los_turcos (https://es.wikisource.org/wiki/Historia_II:Alianza_de_Francisco_I_con_los_turcos)
Cuando Carlos V pidió la ayuda de Francisco I para defender la cristiandad de los ataques de los turcos, el monarca francés no se atrevió a negarse formalmente. Pero cuando hubo resuelto reanudar la guerra contra Carlos V, se decidió a aliarse abiertamente con los musulmanes. Su embajador se trasladó primeramente a Túnez para dar gracias al corsario Barbarroja, que le había ofrecido la ayuda de su flota. Luego fué a Constantinopla a ponerse de acuerdo con el sultán acerca de los medios de atacar a Carlos V en Italia (1535).
El sultán firmó con Francisco I un tratado de comercio que daba a los súbditos del rey de Francia derecho a comerciar en los puertos del Imperio otomano (1536). Este tratado aseguró a los franceses en Levante una situación privilegiada, que conservaron durante tres siglos. Mientras tanto Carlos V hacía una cruzada contra los piratas musulmanes, se apoderaba de Túnez y libertaba 20.000 esclavos cristianos.
Oficiales militares de Rusia y Turquía, al fondo, saludan mientras la guardia turca de honor carga el féretro del piloto ruso, el teniente coronel Oleg Peshkov, hacia el avión de transporte de la Fuerza Aérea de Rusia en el aeropuerto de Esenboga en Ankara, Turquía el lunes 30 de noviembre de 2015. La mañana del sábado, Turquia hizo entrega del cuerpo del teniente coronel Peshkov, quien murió luego de que aviones F-16 de Turquía derribaran un caza ruso cerca de la frontera entre Turquía y Siria.
Rusia muestra fotos aéreas para probar que Erdogan compra petróleo al ISelmundo.es/internacional/2015/12/02/565ee7f9e2704ef53c8b45f5.html
El Ministerio de Defensa ruso ha anunciado en una rueda de prensa que, según la información de que dispone, el presidente turco , Recep Tayyip Erdogan, y su familia están involucrados en el negocio ilegal del petróleo del Estado Islámico: "En Occidente nadie se interesa por el hecho de que el presidente de Turquía es el jefe de una de las empresas energéticas más importantes del país", han dicho los jefes del Ejército ruso.
(...)Los tres han recordado que "la fuente principal de financiación de los terroristas del Estado Islámico es la venta de petróleo", y se han preguntado por qué Occidente "no bombardea los camiones que se encargan del suministro". Moscú cree que varios países y sobre todo Turquía están involucrados en este negocio a gran escala. El Estado Mayor tiene pruebas "fruto de labores de reconocimiento desde el espacio" que apuntan a la implicación de Turquía. Se han detectado tres rutas de petróleo: una a través del Mediterráneo y dos a través de tierra.
Carlos V tuvo que haber sido más cruel con Paquito I, que además mandó artilleros galos a enseñar al turco el arte de los cañones, que era por entonces exclusivo de Occidente. De aquellas traiciones vino el sitio de Malta en 1656 y luego Lepanto y más adelante los Balcanes, donde aún se acuerdan (de hecho quedan incrustaciones religiosas de la época que hemos podido ver en acción hace menos de 25 años en Bosnia).
But what a visit to Barcelona reminded me is that there was yet another attempt at a European Union. It was largely accomplished by peaceful means, like the current European Union. But it was also unsuccessful (like the current EU? The future will tell).
Historically astute readers would immediately recognize that I am talking about the Empire of Charles V (reigned 1519–1556).
...
In other words, the huge empire of Charles V (see the map below) was put together from tiny county-sized pieces (such as Catalonia) by a series of dynastic marriages—not by conquest! This process of step-by-step unification was not democratic, of course, but required consent of the elites of each polity. Perhaps not so different from the latest EU, in which the elites often make decisions without consulting their populations…
Desde los tiempos de Francisco I, Francia ha saboteado cualquier proyecto de Unión Europea en el que no fuera el líder absoluto. De hecho, algunos historiadores consideran a Carlos V el precursor de la Unión Europea como proyecto de unificación no violenta de Europa.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-12-02/end-europe-leaked-memo-reveal-eu-plan-suspend-schengen-two-years[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-12-02/end-europe-leaked-memo-reveal-eu-plan-suspend-schengen-two-years[/url])
Relentless escalade....
[url]http://sputniknews.com/europe/20151204/1031242193/nato-turkey-warships.html[/url] ([url]http://sputniknews.com/europe/20151204/1031242193/nato-turkey-warships.html[/url])
No tengo acceso al original de FT porque es de pago pero:
[url]http://www.zerohedge.com/news/2015-12-10/ft-shocker-eu-unveils-standing-border-force-will-act-even-if-government-objects[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2015-12-10/ft-shocker-eu-unveils-standing-border-force-will-act-even-if-government-objects[/url])
Sí, por supuesto. ZH siempre mezcla dos temas distintos, a saber, la construcción política de la UE y el "contubernio judeo-masónico globalista".
Pero se sabe que una UE fuerte y unida no tiene porqué llevar a una dictadura globalista, antes bien, puede (¿debe?) ser uno de los núcleos de un nuevo orden Multipolar.
El "divide (Europa) y vencerás" es en realidad parte de la mentalidad anglo y su globalismo. Además ellos no entienden los problemas del nacionalismo porque no los sufren.
Gringos go home!
La ligne Florian Philippot ([url]https://www.youtube.com/watch?v=M2ZfvHxaGig[/url]) d’un côté, Marion Maréchal-Le Pen ([url]https://www.youtube.com/watch?v=l08uE0Zfrmw[/url]) de l’autre ?
- Oui, ils incarnent deux tendances qui correspondent à deux sociologies électorales différentes. Florian Philippot est sur une ligne très proche de Marine Le Pen : un discours social, souverainiste, ni droite ni gauche. Elle est élue du Nord et lui de l’Est, ils ont la même implantation électorale et un électorat plus ouvrier que dans le sud.
Marion Maréchal-Le Pen a un discours plus droitier, plus sensible à la question identitaire, à l’immigration, ce qui correspond aux attentes de son électorat du sud-est, et pas seulement pied-noir. C’est également elle qui était dans les manifestations contre le mariage pour tous. On va voir avec leur rang à l’élection au Comité central, mais aussi à l’applaudimètre, à quel point ils sont soutenus en interne.
Alguien en Bruselas ha leído a Jean Raspail. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Raspail) ... o se ha asomado a la ventana de su oficina y el único blanquito era su reflejo.
Si se quiere hablar en serio de esto, hay que diferenciar siempre a los "refugiados" (demandantes de asilo) de los "inmigrantes" (ya sean económicos o por cualquier otra razón.)
Si se quiere hablar en serio de esto, hay que diferenciar siempre a los "refugiados" (demandantes de asilo) de los "inmigrantes" (ya sean económicos o por cualquier otra razón.)
Si no se hace, o nos volvemos idiotas --o unos hipócritas, que aún no lo tengo claro--, o nos volvemos unos canallas.
Centrándonos en la parte positiva, dar asilo a quién lo merece/necesita es buena publicidad, poder blando, y a la larga una buena opción.
Lo cierto es que la capacidad de la ideologia para mutilar el debate es increible. Deseo fervientemente poder mantener el date de la inmigracion con algunos amigos de izquierdas, e incluir algunas preguntas tabú como:Si se quiere hablar en serio de esto, hay que diferenciar siempre a los "refugiados" (demandantes de asilo) de los "inmigrantes" (ya sean económicos o por cualquier otra razón.)
Si no se hace, o nos volvemos idiotas --o unos hipócritas, que aún no lo tengo claro--, o nos volvemos unos canallas.
Centrándonos en la parte positiva, dar asilo a quién lo merece/necesita es buena publicidad, poder blando, y a la larga una buena opción.
100% de acuerdo. Hablo de inmigración, evidentemente.
De hecho, el responder con refugiados cuando se habla de inmigración es el habitual truco de los pro-inmigracionistas para neutralizar los argumentos de los que reclaman límites y condiciones a la inmigración legal y creen que hay que combatir con seriedad la ilegal. (Entre los que me incluyo)
PS: Interesante, Saturno.
Lo cierto es que la capacidad de la ideologia para mutilar el debate es increible. Deseo fervientemente poder mantener el date de la inmigracion con algunos amigos de izquierdas, e incluir algunas preguntas tabú como:Si se quiere hablar en serio de esto, hay que diferenciar siempre a los "refugiados" (demandantes de asilo) de los "inmigrantes" (ya sean económicos o por cualquier otra razón.)
Si no se hace, o nos volvemos idiotas --o unos hipócritas, que aún no lo tengo claro--, o nos volvemos unos canallas.
Centrándonos en la parte positiva, dar asilo a quién lo merece/necesita es buena publicidad, poder blando, y a la larga una buena opción.
100% de acuerdo. Hablo de inmigración, evidentemente.
De hecho, el responder con refugiados cuando se habla de inmigración es el habitual truco de los pro-inmigracionistas para neutralizar los argumentos de los que reclaman límites y condiciones a la inmigración legal y creen que hay que combatir con seriedad la ilegal. (Entre los que me incluyo)
PS: Interesante, Saturno.
.-Si tienes una frontera guardada con una valla, habras de defenderla no?
.-Si no la defiendes, habrá un efecto llamada,no?
.-Si la poblacion activa de un pais aumenta casi un 25%, no es sensato pensar que eso empeorara el % de poblacion activa parada?
.- Si se defiende una politica de puertas abiertas, quien tiene un modelo predictivo valido? Quien saca a los que entraron si el modelo fracasa?
Pues es complicado eh? Yo aun no lo he conseguido
¿Qué derecho tenemos a cerrar una frontera y vigilarla?. El que nosotros mismos nos arrogamos (nos otorgamos). ¿De dónde nace ese derecho?.
De que nosotros lo valemos.
¿Por qué nosotros lo valemos?.
Y eso sólo se puede responder con una venda ideológica.
La cuestión es que el que ha nacido en Mauritania se va a joder por haber nacido en Mauritania y yo no me voy a joder por haber nacido en España.
Y además los que no nos vamos a joder (o nos vamos a joder menos) nos ponemos de acuerdo para cerrarnos, hacer piña y que las cosas sigan más o menos igual, cerrando, vigilando, defendiendo...
Necesitamos justificaciones ideológicas para defender eso.
Cómo estará la cosa que hay un político alemán diciendo que la diferencia es que los humanos seguimos, según grupo "étnico/cultural/espacial" (esto cada cual que lo apellide como quiera), distintas estrategias reproductivas (asimila, suponggo que sin llegar a ser completo porque eso sería disparatado, a unos a la K y otros a la R) y por eso las tasas de crecimiento tan disímiles de las últimas décadas.
[url]http://platea.pntic.mec.es/~cmarti3/CTMA/BIOSFERA/r_k.htm[/url] ([url]http://platea.pntic.mec.es/~cmarti3/CTMA/BIOSFERA/r_k.htm[/url])
Esto es otro debate interesante, porque hace apenas 40 años todo esto era pura ciencia ficción, y el libro de Raspail una excentricidad que la progresía del momento, en la que militaba, le perdonó (es que ni se dió cuenta de lo que era, en 1961 Argelia tenía 11M de habitantes y Francia más de 50m). Hoy es casi un lepenista y a 10 años vista puede que un profeta.
Con lo que estoy de acuerdo es en que los musulmanes no se integran, almenos un porcentaje lo suficientemente elevado como para provocar problemas graves, y es que la puta religión lo destroza todo, se me revuelve el estomago cuando veo que los hijos de Alá destruyen las ruinas de la antigua Mesopotamia.
sería interesante conocer el desglose de esa búsqueda (beurette) por localidades o, mejor, por barrios.
[...]
Bueno, ahora mismo la ministra de educación Najat Vallaud-Belkacem sería una "beurette"
(cuidado que es término argótico, como si tratas a alquien de "latino", viene del diminutivo femenino de "beur", que es a su vez "arabe" pronunciado al revés)
[url]https://fr.wikipedia.org/wiki/Najat_Vallaud-Belkacem[/url] ([url]https://fr.wikipedia.org/wiki/Najat_Vallaud-Belkacem[/url])
Y la ex-ministra de justicia gala hacía salivar a Ansar (uno muy latino que no usa preservativo).
[url]https://es.wikipedia.org/wiki/Rachida_Dati[/url] ([url]https://es.wikipedia.org/wiki/Rachida_Dati[/url])
Etc.
Aunque creo que la más emblemática de las beurettes en términos de fantasía es :
[url]https://es.wikipedia.org/wiki/Nabilla_Benattia[/url] ([url]https://es.wikipedia.org/wiki/Nabilla_Benattia[/url])
(para fotos, busquen nabilla en google)
Creo que en el registro de la fantasia, la beurette francesa sería comparable a la "latina" : es decir, descendientes de colombianos, mexicanos, ecuatorianos... de inmigrantes americanos
(aunque el término "latino" se lo trajeron con ellos de América, porque lo de "sudaca" no tiene sex-appeal)
-------------
Volviendo al tema.
Hablar del peligro islámico es como si nos pusieramos a espantarnos de la cantidad de evangelistas vendedores de biblias o de católicos ultraortodoxos.
Vamos a ver, cómo vamos espantarnos de 4 rezos y burkas si resulta que en semana santa, hay manifestaciones de centenares de miles en toda la península llorando lágrimas sobre el manto de una estatua de carton piedra ? ¡Pero si los porteadores se visten como el KKK! (ya supongo que el gorro del KKK viene de Semanas Santas similares, pero ¿se puede diferenciar algo del arrebato mistico que se apodera de los tipos que lo visten?)
Por ahora es un atractivo turistico. ¿Y si a algún tarado se le ocurre recuperarlo para montar una cruzada?
O plantea que el Gobierno deba nombrar a los obispos y levantar en su nombre el impuesto religioso, el diezmo ?
Lo grave de las manifestaciones religiosas, es la propaganda que viene detrás y que recupera para sus propios fines la religiosidad normal de cualquier vecino.
[url]http://www.elplural.com/wp-content/uploads/2014/07/cospedalrouco.jpg[/url] ([url]http://www.elplural.com/wp-content/uploads/2014/07/cospedalrouco.jpg[/url])
Pero que un tipo sea religioso, de forma básica, yo creo que es buena señal de salud mental. Lo anormal es cuando la gente deja de hacerse preguntas sobre el más allá de su vida. Y convierte una simbología religiosa en un fin en si mismo, y en norma para todos.
Cómo estará la cosa que hay un político alemán diciendo que la diferencia es que los humanos seguimos, según grupo "étnico/cultural/espacial" (esto cada cual que lo apellide como quiera), distintas estrategias reproductivas (asimila, suponggo que sin llegar a ser completo porque eso sería disparatado, a unos a la K y otros a la R) y por eso las tasas de crecimiento tan disímiles de las últimas décadas.
[url]http://platea.pntic.mec.es/~cmarti3/CTMA/BIOSFERA/r_k.htm[/url] ([url]http://platea.pntic.mec.es/~cmarti3/CTMA/BIOSFERA/r_k.htm[/url])
Esto es otro debate interesante, porque hace apenas 40 años todo esto era pura ciencia ficción, y el libro de Raspail una excentricidad que la progresía del momento, en la que militaba, le perdonó (es que ni se dió cuenta de lo que era, en 1961 Argelia tenía 11M de habitantes y Francia más de 50m). Hoy es casi un lepenista y a 10 años vista puede que un profeta.
Lo irónico es que Francia tras la primera guerra mundial repobló el país con gente del Este, porque millones de jóvenes perdieron las vidas en la lucha contra Alemania. Además todo el sur de Francia (que algunos la consideran la auténtica Francia) siempre ha sido un lugar de comercio y mestizaje histórico.
Pero bueno, aún tienen el sueño de lo auténticamente Francés.
Con lo que estoy de acuerdo es en que los musulmanes no se integran, almenos un porcentaje lo suficientemente elevado como para provocar problemas graves, y es que la puta religión lo destroza todo, se me revuelve el estomago cuando veo que los hijos de Alá destruyen las ruinas de la antigua Mesopotamia.
Bueno, ahora mismo la ministra de educación Najat Vallaud-Belkacem sería una "beurette"
(cuidado que es término argótico, como si tratas a alquien de "latino", viene del diminutivo femenino de "beur", que es a su vez "arabe" pronunciado al revés)
[url]https://fr.wikipedia.org/wiki/Najat_Vallaud-Belkacem[/url] ([url]https://fr.wikipedia.org/wiki/Najat_Vallaud-Belkacem[/url])
Y la ex-ministra de justicia gala hacía salivar a Ansar (uno muy latino que no usa preservativo).
[url]https://es.wikipedia.org/wiki/Rachida_Dati[/url] ([url]https://es.wikipedia.org/wiki/Rachida_Dati[/url])
Etc.
Aunque creo que la más emblemática de las beurettes en términos de fantasía es :
[url]https://es.wikipedia.org/wiki/Nabilla_Benattia[/url] ([url]https://es.wikipedia.org/wiki/Nabilla_Benattia[/url])
(para fotos, busquen nabilla en google)
Creo que en el registro de la fantasia, la beurette francesa sería comparable a la "latina" : es decir, descendientes de colombianos, mexicanos, ecuatorianos... de inmigrantes americanos
(aunque el término "latino" se lo trajeron con ellos de América, porque lo de "sudaca" no tiene sex-appeal)
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Volviendo al tema.
Hablar del peligro islámico es como si nos pusieramos a espantarnos de la cantidad de evangelistas vendedores de biblias o de católicos ultraortodoxos.
Vamos a ver, cómo vamos espantarnos de 4 rezos y burkas si resulta que en semana santa, hay manifestaciones de centenares de miles en toda la península llorando lágrimas sobre el manto de una estatua de carton piedra ? ¡Pero si los porteadores se visten como el KKK! (ya supongo que el gorro del KKK viene de Semanas Santas similares, pero ¿se puede diferenciar algo del arrebato mistico que se apodera de los tipos que lo visten?)
Por ahora es un atractivo turistico. ¿Y si a algún tarado se le ocurre recuperarlo para montar una cruzada?
O plantea que el Gobierno deba nombrar a los obispos y levantar en su nombre el impuesto religioso, el diezmo ?
Lo grave de las manifestaciones religiosas, es la propaganda que viene detrás y que recupera para sus propios fines la religiosidad normal de cualquier vecino.
[url]http://www.elplural.com/wp-content/uploads/2014/07/cospedalrouco.jpg[/url] ([url]http://www.elplural.com/wp-content/uploads/2014/07/cospedalrouco.jpg[/url])
Pero que un tipo sea religioso, de forma básica, yo creo que es buena señal de salud mental. Lo anormal es cuando la gente deja de hacerse preguntas sobre el más allá de su vida. Y convierte una simbología religiosa en un fin en si mismo, y en norma para todos.
Totalmente de acuerdo con usted. En España no podemos dar lecciones religiosas al "intolerable" mundo árabe cuando tenemos las vergonzosas representaciones de semana santa.
Miren, a modo de chascarrillo, el otro día viendo masterchef junior, donde salen niños de 8 a 12 años, sale un niño de málaga o de sevilla (no lo recuerdo) que era devoto de la semana santa, que pertenecía a 4 hermandades, y eso lo decía como su carta de presentación en un programa de cocina. A mí me pareció deleznable, porque por muy espabilado que sea un niño, esa devoción es totalmente inducida, por los padres, por los amigos, por la sociedad, y seguramente por el colegio. Y luego nos quejamos de que los musulmanes se hagan mezquitas y se pongan a rezar a una hora determinada.
En mi opinión, primero deberíamos poner orden en nuestra casa. La religión debería ser algo como la masturbación, que lo haga todo el mundo, pero en la intimidad de su casa o coche.
Hablar del peligro islámico es como si nos pusieramos a espantarnos de la cantidad de evangelistas vendedores de biblias o de católicos ultraortodoxos.
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Vamos a ver, cómo vamos espantarnos de 4 rezos y burkas si resulta que en semana santa, hay manifestaciones de centenares de miles en toda la península llorando lágrimas sobre el manto de una estatua de carton piedra ?
Puedo arriesgarme sin equivocarme demasiado diciendo que el 80% de los conflictos mundiales estan provocados directa o indirectamente por Musulmanes.
Alá es amor y tal.........
Puedo arriesgarme sin equivocarme demasiado diciendo que el 80% de los conflictos mundiales estan provocados directa o indirectamente por Musulmanes.
Alá es amor y tal.........
El islam tiene una vocación de extenderse a la ley civil que no tienen, al menos en su praxis actual, las cristianas u otras religiones que nos visitan, que están más orientadas a la vida espiritual e interior.
Hablar del peligro islámico es como si nos pusieramos a espantarnos de la cantidad de evangelistas vendedores de biblias o de católicos ultraortodoxos.
[...]
Vamos a ver, cómo vamos espantarnos de 4 rezos y burkas si resulta que en semana santa, hay manifestaciones de centenares de miles en toda la península llorando lágrimas sobre el manto de una estatua de carton piedra ?
Creo que sí que hay una característica de la inmugración musulmana que la hace digna de tratamiento específico. Espero no patinar porque no soy "estudiao" y de nuevo insisto en que mi papel en la discusión es el de tertuliano de bar planteando preocupaciones.
El islam tiene una vocación de extenderse a la ley civil que no tienen, al menos en su praxis actual, las cristianas u otras religiones que nos visitan, que están más orientadas a la vida espiritual e interior.
La mayoría de los países de mayoría islámica tienen unos códigos civiles y penales que son como pesadillas para la mentalidad europea. Sólo se salvan (salvaban) los regidos por una dictadura que forzara el laicismo. Cuando cae esa dictadura, overshooting de islamismo radical para una generación.
Si una religión tiene en su ADN más profundo ( mucho más que otras) su vinculación directa con la política, no puede haber asimilación en un entorno aconfesional si no hay una renuncia previa esa parte de sus creencias. Y, de nuevo, estamos con un problema: Que en Europa no hay religiones buenas ni malas, ni se puede obligar a nadie a renunciar a ellas. (Ja. ¿Cómo?).
___________
Me llama la atención que en tu post dices que las manifestaciones religiosas son peligrosa manipulación y propaganda, pero te parece bien que la gente sea religiosa.
Yo entiendo que las religiones son (entre otros aspectos) la manera de transmitir la filosofía y valores sociales a la gente más sencilla con preocupaciones mundanas. Una gran fábula, una narración mística destinada a implementar unas normas de convivencia y competencia sin necesitar que todo el mundo lea (y entienda) a Heráclito, Erasmo, San Agustín o PPCC.
Pues bien, si la religión es la forma mística de transmitir ese pensamiento a base de narraciones y ritos místicos que ensalcen la comunión, entonces los ritos son fun-da-men-ta-les. Tú estás hablando de que hay gente que usa la religión y los ritos para manipular por interés material u oscuro. PUes claro, pero yo creo que ese es otro problema diferente. Nos pasa lo mismo con el periodismo, el estado del bienestar, la educación, las finanzas.
Que tengamos una Semana Santa seguida por diez veces más personas que catóiicos practicantes dice mucho. Es la expresión festiva y simbólica de la religión que transmite los valores tradicionales de las sociedades Europeas. NO digo que los capirotes simbolicen el liberalismo, jeje. Digo que es un acto de celebración de grupo histórico, y por tanto los símbolos, cuanto más ancestrales y antropológicos, mejor. Como venerar Stonehenge.
El chaval ese del MasterChef sólo es un friki o hijo de frikis. Es un caso raro y llama la atención por ello. Diría que en España la tendencia mayoritaria vca justo por el otro camino. Y precisamente es ese tipo de intensidad religiosa la que digo que viene más arraigada, por principios, entre los inmigrantes musulmanes.
Debido a lecturas poco recomendables, he caído en la osadía de creer que el conjunto de valores interiores y normas sociales subyacentes en el Cristianimo, son superiores a los musulmanes.
Por tanto, creo que debemos evitar la musulmanización de Europa. Nuestras normas (democracia+libertad de culto), tal como están aplicadas, conducen a ello, es cuestión de números.
Tenemos un problema político de primer orden. Creo que, de entrada, y antes de ningún un debate, lo prudente sería ahora extremar las medidas de protección del laicismo estatal.
El otro día discutíamos unos cuantos en la mesa porque el Alcalde de Santiago de Compostela (Marea) se negó a ceder nosequé recinto para el Belén navideño. Sorprendí a podemitas, peperos y ciudadánicos apoyando al alcalde en eso, y dije que bien podían hacerlo en cualquier recinto de la Iglesia, que en Santiago los hay perfectos para eso, monumentales. Y mil veces más bonitos y apropiados que ningún salón municipal. A años luz. Las caras de todos volvieron a cambiar cuando expliqué porqué lo apoyaba.
Dije que era necesario hacer eso ahora, aunque suene raro, incluso en la Ciudad Santa de Compostela porque pronto en muchos lugares de Europa tendremos que invocar la "estricta laicidad del Estado independientemente de las mayorías religiosas" cuando en tal pueblo, barrio o localidad haya una mayoría musulmana que pueda exigir que la administración se pliegue a sus celebraciones y preceptos religiosos, porque son mayoría. Fue genial ver a los defensores del alcalde saliendo por tangentes de fantasía, y a dos Belenistas de repente callados, con cara como de culpabilidad sobrevenida, de haber descubierto que estaban tirando piedras contra el tejado de sus hijos...
En resumen, necesitamos el armazón conceptual necesario para defender lo bueno que tenemos sin traicionarlo. Lo que tenemos ahora, al menos lo que yo conozco, lleva a contradicciones. Nuestra aperturismo lleva al fin del aperturismo. Algo esta mal diseñado y su error acumulado exige ajuste.
No le quitaré razón a lo que usted dice, pero, bajo una mentalidad Europea, no podemos prohibir el Islam u otra doctrina, si antes no prohibimos la "nuestra". Yo, sinceramente, soy partidario de prohibir toda manifestación pública religiosa, pero vamos, que tampoco me quiero poner a prohibir. Si fuera por mi, simplemente dejaría de dar ningún tipo de subvención ni ayuda a ninguna organización religiosa, no les daría ningún tipo de permiso para la construcción de ningún tipo de local o iglesia, ni les daría permiso para poder disponer de los espacios públicos (se acabó eso de cortar calles o cosas así).
En esto estoy totalmente de acuerdo con usted. Ada Colau está intentando hacer algo parecido en Barcelona. Aquí vi el otro día publicidad institucional que decía que estas fechas se celebrara el solsticio de invierno, no la navidad. Y me pareció genial.
Si promovemos este laicismo a nivel institucional, el día que sean mayoría ciertas Religiones, podremos continuar defendiendo el Laicismo. Al menos durante una temporada más larga.
Lego,
si la realidad supera los fundamentos, que problema hay en lo que planteo. Entienda me, no es porque lo plantee yo, ni siquiera es "mi libro", simplemente es pensar en voz alta.
Si el Sexo es algo bueno y bonito, pero que todos entendemos por pudor y cierta moral no se puede practicar en lugares públicos, porque no hacer lo mismo con la religión?
Si no podemos pedir permiso para hacer una orgía en medio de la calle para celebrar el solsticio de verano, porque se dan permisos para cortar las calles y que se hagan exhibiciones religiosas?
Iguale es que yo soy muy simple, o lo simplifico en exceso.
Lego,
si la realidad supera los fundamentos, que problema hay en lo que planteo. Entienda me, no es porque lo plantee yo, ni siquiera es "mi libro", simplemente es pensar en voz alta.
Si el Sexo es algo bueno y bonito, pero que todos entendemos por pudor y cierta moral no se puede practicar en lugares públicos, porque no hacer lo mismo con la religión?
Si no podemos pedir permiso para hacer una orgía en medio de la calle para celebrar el solsticio de verano, porque se dan permisos para cortar las calles y que se hagan exhibiciones religiosas?
Iguale es que yo soy muy simple, o lo simplifico en exceso.
Ajá, a eso me refiero.
Hasta ahora se podría decir que es por mayoría abrumadora. Pregunta en Sevilla. La quieren diez veces más que católicos practicantes.
Yo, ateo desde los 16, me encuentro con que le veo sentido, ya lo he explicado, a la celebración de la Semana Santa, que queda demostrado que es tan antropológica grupal como religiosa, a estas alturas.
NO participo, no entro en trance, como mucho aprecio arte fino en algunas tallas y saetas. Pero no me intranquiliza su existencia. En todo caso más bien lo contrario, lo miro con buenos ojos en el mundo del tittytainment, la trivialidad y el cortoplacismo.
No puedo decir lo mismo si me encontrara con mi ciudad tomada a nivel semana santa para una celebración musulmana. Porque me es ajena. Con eso llega. Pero es que además la considero un atraso social y politico. Y como a tí, me falta claridad para argumentar estos "sentimientos". A eso me refiero con que hace falta debate. Para conseguir claridad. Creo que alguna de las premisas que usamos ha de ser descartada.
Lego,
la Colau no es Santo de mi devoción, pero personalmente a mí esa idea no me parece mala. Lo que si me parece mal es que ese supuesto "anticristianismo" no sea un pro-laicismo, o un anti-todas-las-religiones.
Majadería a mi me parece la campaña municipal para que a los niños y las niñas les regalen los mismos juguetes. Vamos, que si mi sobrinita quiere la princesita de Frozen, pues le regale un camión de juguete, oprque lo dice la Alcaldesa (tb idea de la Colau).
Lego, créame que entiendo lo que quiere usted decir, pero es que no me entra en la cabeza que seamos laicos, y estemos poniendo pesebres en los ayuntamientos, y esto lo hace hasta ERC. Y no quiero ni entrar en el debate de que el estado le de una medalla a la virgen de no-se-que como ha hecho el PP.
El solsticio de invierno corresponde al instante en que la posición del Sol en el cielo se encuentra a la mayor distancia angular negativa del ecuador celeste. Dependiendo de la correspondencia con el calendario, el evento del solsticio de invierno tiene lugar entre el 20 y el 23 de diciembre todos los años en el hemisferio norte, y entre el 20 y el 23 de junio en el hemisferio sur. [wiki]
Vistos los vínculos existentes entre Catalunya y Marruecos, con la finalidad de fortalecer la cooperación existente entre el Gobierno de Catalunya y Marruecos en ámbitos de interés común y, con la voluntad de reforzar y consolidar las relaciones económicas, institucionales, culturales y educativas entre Cataluña y Marruecos.
Visto que, de conformidad con el artículo 193.2 del Estatuto de Autonomía de Catalunya, la Generalitat de Catalunya tiene capacidad para llevar a cabo acciones con proyección exterior que deriven directamente de sus competencias.
Por todo eso, a propuesta del consejero de la Presidencia, el Gobierno
Acuerda:
1. Aprobar el Plan Marruecos 2014-2017 del Gobierno de la Generalitat de Catalunya, que se incorpora como anexo.
[url]http://afersexteriors.gencat.cat/web/.content/Publicacio/PLA-CATALUNYA-MARROC-2014-2017.pdf[/url] ([url]http://afersexteriors.gencat.cat/web/.content/Publicacio/PLA-CATALUNYA-MARROC-2014-2017.pdf[/url])
Así que quizá sea esa la premisa que hay que eliminar y quizá re-redactar las que se vean afectadas: Asumir que no todas las religiones son iguales ante la ley, que hay algunas que se oponen a nuestra esencia cultural y modo de vida. Explicitar y argumentar moral y legalmente esa defensa en nuestro ordenamiento jurídico , igual que se defiende explícitamente de la apología del terrorismo o de la explotación sexual.
Lego, en esto no puedo estar de acuerdo. No te lo tomes a mal, pero lo veo barrer para casa, y creo que en el tema de leyes hay que ser más a aséptico.
Quiero decir que si ahora que los "cristianos" son/somos mayoría, si decidimos que todas las religiones no son iguales ante la ley, el día que son/seamos minoría, tendremos que tragarnos ese sapo. Quizá en España esto nos quede muy lejos (varias generaciones) pero como podemos ver claramente en Bélgica o Francia, en algunas regiones esto está a la vuelta de la esquina (si no es ya una realidad).
Es por esto que yo defiendo el tema de separar totalmente la religión de la vida pública. Mis 2 céntimos:
- Religión (cualquiera) fuera de las aulas a todos los niveles: Sí a la historia de las religiones, explicando sus diferencias y su época (como cuando se estudia a los reyes católicos). Eliminación total, incluso en las concertadas. La religión en casa o en los propios templos.
- Fin a la financiación de la iglesia.
- Celebración de fiestas en lugares públicos (como tú has dicho, como un Rodaje de cine), que paguen. Si la Iglesia no paga, que se realice.
- Fin de los funerales de Estado cristianos y ese tipo de cosas.
Así, a bote pronto, pienso en estas cosas. Por desgracia yo ahora no le puedo dedicar más tiempo al foro, tengo trabajo pendiente y necesito/debo ir a casa ;)
Debido a lecturas poco recomendables, he caído en la osadía de creer que el conjunto de valores interiores y normas sociales subyacentes en el Cristianimo, son superiores a los musulmanes.
Por tanto, creo que debemos evitar la musulmanización de Europa. Nuestras normas (democracia+libertad de culto), tal como están aplicadas, conducen a ello, es cuestión de números.
Tenemos un problema político de primer orden. Creo que, de entrada, y antes de ningún un debate, lo prudente sería ahora extremar las medidas de protección del laicismo estatal.
El otro día discutíamos unos cuantos en la mesa porque el Alcalde de Santiago de Compostela (Marea) se negó a ceder nosequé recinto para el Belén navideño. Sorprendí a podemitas, peperos y ciudadánicos apoyando al alcalde en eso, y dije que bien podían hacerlo en cualquier recinto de la Iglesia, que en Santiago los hay perfectos para eso, monumentales. Y mil veces más bonitos y apropiados que ningún salón municipal. A años luz. Las caras de todos volvieron a cambiar cuando expliqué porqué lo apoyaba.
Dije que era necesario hacer eso ahora, aunque suene raro, incluso en la Ciudad Santa de Compostela porque pronto en muchos lugares de Europa tendremos que invocar la "estricta laicidad del Estado independientemente de las mayorías religiosas" cuando en tal pueblo, barrio o localidad haya una mayoría musulmana que pueda exigir que la administración se pliegue a sus celebraciones y preceptos religiosos, porque son mayoría. Fue genial ver a los defensores del alcalde saliendo por tangentes de fantasía, y a dos Belenistas de repente callados, con cara como de culpabilidad sobrevenida, de haber descubierto que estaban tirando piedras contra el tejado de sus hijos...
En resumen, necesitamos el armazón conceptual necesario para defender lo bueno que tenemos sin traicionarlo. Lo que tenemos ahora, al menos lo que yo conozco, lleva a contradicciones. Nuestra aperturismo lleva al fin del aperturismo. Algo esta mal diseñado y su error acumulado exige ajuste.
No lo sera del cristianismo como institución, cosa que hasta me atrevería a discutir. Pero lo es de su filosofía. Particularmente tras la extensión del paleo cristianismo entre gentiles griegos, que a la postre fueron los que se impusieron.
La membrana osmótica entre práctica privada religiosa y legalidad publica ya es conocida desde Cristo mismo.
Sds.
Estoy de acuerdo con lo razonado, pero el fundamental que utilizas, de que la superioridad del cristianismo es haber producido la laicidad no es correcta, es completamente falsa, además, aunque nada te prohibe mentir para que los cristianos viejos acepten escuchar el resto de tu razonamiento
El laicismo NO es un producto del cristianismo.
https://es.wikipedia.org/wiki/Guerras_de_religi%C3%B3n_en_Europa
Creo que sí se puede argumentar que hay problemas de tolerancia en el Islam. Y de muchos tipos, ademas. Puede que no sea así en alguna interpretación pura, pero luego está la realidad. Y yo hablo de la realidad, preocupado.
Por favor, a modo de consulta, a ver si alguien me puede ayudar. Tengo un familiar que trabaja en la ONU, y con quien suelo discutir de estos temas geopolíticos (no es ningún capo, "simplemente" le envían a misiones de coordinar ayuda humanitaria).
Mi pregunta es, existe algún país musulmán sin esa simbiosis de estado-religión? Yo creo que no, pero me dicen que Turquía antes de Erdogan y el Irak de Sadam Hussein como ejemplos.
Upon independence in 1945, one of the biggest questions to face Indonesia concerned the role of Islam in politics. Some believed that it should play a dominant role in the life of the nation since about 90% of the population professed to be Muslim. Others advocated a limited role, noting the immense cultural and religious diversity throughout the archipelago that included Christian, Hindu, and Buddhist religions not to mention a broad spectrum of Islamic practices. This caused enormous tension throughout the country. Ultimately, Indonesia adopted a civil code instead of an Islamic one.
Sukarno, the Republic of Indonesia's first president, despaired at these divisions and introduced Guided Democracy, an authoritarian form of rule couched in democratic language. Sukarno's successor, President Suharto, established what he coined the "New Order," which looked much like Sukarno's Guided Democracy. Under both presidents, political freedom was suppressed. Islam's voice was muffled in particular as both of these leaders betrayed their Javanese religious-cultural bias against Islam. While it was permitted to operate in the social and cultural realms, Islam's political influence was effectively curtailed by other political actors such as the military.
Por favor, a modo de consulta, a ver si alguien me puede ayudar. Tengo un familiar que trabaja en la ONU, y con quien suelo discutir de estos temas geopolíticos (no es ningún capo, "simplemente" le envían a misiones de coordinar ayuda humanitaria).
Mi pregunta es, existe algún país musulmán sin esa simbiosis de estado-religión? Yo creo que no, pero me dicen que Turquía antes de Erdogan y el Irak de Sadam Hussein como ejemplos.
La provincia indonesia de Aceh promulga un estricto nuevo código penal islámico
[url]http://img.europapress.net/fotoweb/fotonoticia_20151024052142_1280.jpg[/url] ([url]http://img.europapress.net/fotoweb/fotonoticia_20151024052142_1280.jpg[/url])
La provincia indonesia de Aceh promulga un estricto nuevo código penal islámico
BANDA ACEH, Indonesia, 24 Oct. (Reuters/EP) - La conservadora provincia de Aceh, en el noroeste de Indonesia, ha promulgado este viernes un estricto nuevo código penal islámico, según han informado las autoridades gubernamentales, criminalizando el adulterio, la homosexualidad y las demostraciones de afecto en público cuando la relación no está reconocida legalmente. Aceh es la única provincia en el país de mayoría musulmana que se ha sumado a la 'sharía' o ley islámica, en con ...
Leer mas: [url]http://www.europapress.es/internacional/noticia-provincia-indonesia-aceh-promulga-estricto-nuevo-codigo-penal-islamico-20151024052142.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/internacional/noticia-provincia-indonesia-aceh-promulga-estricto-nuevo-codigo-penal-islamico-20151024052142.html[/url])
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CitarLa provincia indonesia de Aceh promulga un estricto nuevo código penal islámico
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La provincia indonesia de Aceh promulga un estricto nuevo código penal islámico
BANDA ACEH, Indonesia, 24 Oct. (Reuters/EP) - La conservadora provincia de Aceh, en el noroeste de Indonesia, ha promulgado este viernes un estricto nuevo código penal islámico, según han informado las autoridades gubernamentales, criminalizando el adulterio, la homosexualidad y las demostraciones de afecto en público cuando la relación no está reconocida legalmente. Aceh es la única provincia en el país de mayoría musulmana que se ha sumado a la 'sharía' o ley islámica, en con ...
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Veo que ha habido países de mayoría musulmana sin Sharia cuando tienen dictaduras militares que lo contengan.
Pero que, cuando falla esa contención por las armas, las cosas vuelven por su cauce normal.
Que seamos los "occidentales" quienes derribamos esas presas es nuestra vergüenza, sí, pero otra discusión complementaria.
Simplificando más aún y entrando en el mundo de la filosofía tele-tubbie que me disfruto tanto improvisando: Cuando algo es más aceptable cuanto más moderado y más peligroso cuanto más radical, pues está claro que ese algo es lo que se dice "malo". un error, un vicio, algo a vigilar. Con las cosas "buenas" es al revés. Por ejemplo, es mejor ser muy honesto que sólo un poquito honesto.
Por eso, la idea aceptada comúnmente de que el islamismo es bueno mientras sea moderado, me parece muy reveladora. ¿Es como el vino? ;)
Bueno, pero fíjate a qué extremo hay que llevar la honradez para que surjan efectos indeseables. Mientras que el islamismo es, simplificando mucho, una relación directa desde abajo.
Me da pereza dibujar las curvas para que se vea gráficamente la diferencia.
Una orden hospitalaria es un tipo de orden religiosa que tenía por objeto admitir y cuidar a los viajeros, peregrinos, pobres y enfermos. También se encargaban de defender a los peregrinos en algunos caminos peligrosos. [wiki]
Ya me preocupo de recordar, de vez en cuando, que aunque me salga un aparente tono de "sentar cátedra", lo que pretendo no es sentenciar con una supuesta verdad, sino más bien plantear las dudas que asaltan a un observador ingenuo cuando las elaboradas teorías de los más profundos cohocan con su percepción y su incipiiente sentido común.
Me estoy acordando según escribo de esta escena
[url]http://www.youtube.com/watch?v=nIbeAAuChig#t=40[/url] ([url]http://www.youtube.com/watch?v=nIbeAAuChig#t=40[/url])
Tele-tubbie como sencillez, no como estupidez.
¿Las hospitalidad es un rasgo propio del islam? ¿Y porqué no la agresividad? Mi gran preocupación es la mixtificación. Hasta los peores hijos de puta de la historia amaban a sus hijos, y eso no les redime de nada, a mi juicio. LOs podemitas, con toda su buena volutad creen que rompiendo un país conseguirán más justicia social y libertad política. ¿Su falta de mala intención hace al secesionismo aconsejable o deseable? Las mixtificaciones son el diablo para la lógica.
[url]http://www.project-syndicate.org/commentary/affluent-fascists-western-politics-by-joschka-fischer-2015-12/spanish[/url] ([url]http://www.project-syndicate.org/commentary/affluent-fascists-western-politics-by-joschka-fischer-2015-12/spanish[/url])
Jeje Wanderer cómo me he reído con tu crítica al ex-agitador sesentayochista :rofl:
Commented
TRIQUI AHMED NOV 2, 2015
Monsieur Lévy voudrait nous faire passer monsieur Poutine pour "un agitateur de brasseries" recevant d’autres agitateurs de café.
Or c’est à l’amateurisme de Robert Kagan, de Victoria Nuland ou de Bernard Henri Lévy que nous devons « le retour « de la Russie en Europe, en Méditerranée et au Proche Orient. En Europe en installant les missiles « contre l’Iran » , le réveil de la Russie n’est même pas une surprise pour un enfant de 7 ans. Et au Proche Orient en réduisant à néant toutes les Institutions des pays du Tigre et de l’Euphrate, le néoconservatisme a d’abord visé à la destruction systématique d'une histoire millénaire et des Etats arabes, et musulmans avec l’aide du wahabbisme. La Russie s’estime là visée dans ses frontières du Caucase. En Méditerranée, le sort tragique des migrants n'est que la résultante des interventions insensées qui viennent par ricochet accroitre les risques de voir les extrêmes droites gagner les élections en Europe.
Le néo-conservatisme de BHL n’est en rien le parti de la liberté ; il est le fossoyeur de la montée irrésistible des démocraties, le pourfendeur des régimes laïcs pluri-religieux et pluri-éthniques et des libertés fondamentales ; il est bien un totalitarisme, c’est-à-dire « un déni d’humanité » selon Hannah Arendt et une « désolation car " il prive de sol l’être humain". Hannah Arendt écrivait dans « Qu’est-ce que la politique ? » que « la pluralité est loi de la Terre ». " Il y a pluralité et action humaine parce que nous sommes tous pareils, c’est-à-dire humains, sans que jamais personne ne soit identique à aucun homme ayant vécu, vivant ou encore à naître". C’est pourquoi, ajoutait-elle, « plus il y a de peuples, plus il y a de monde et la réalité de l’existence présuppose la permanence et la durabilité du monde. »
Enfin si le parti de Poutine n’est pas le notre, et BHL son meilleur soutien par son aveuglement, ses erreurs d’analyse et son parti-pris, même un enfant de 7 ans sait que Poutine n’a rien de Kadaffi car plus dangereux .
Read more at https://www.project-syndicate.org/commentary/putin-apologists-across-europe-by-bernard-henri-levy-2015-10#0vtPVe2OORjjXx1H.99 (https://www.project-syndicate.org/commentary/putin-apologists-across-europe-by-bernard-henri-levy-2015-10#0vtPVe2OORjjXx1H.99)
Peter Schaeffer NOV 1, 2015
Time for some honesty here. A civilization that seeks to replace "he" and "she" with "ze" isn't going to stop or even credibly oppose Putin. Indeed, It isn't clear if a society that can't even admit the existence of biology has any moral standing to oppose Putin.
So an apologist, defender, and even advocate of the mass invasion of Europe wants to call other people a "fifth column". If Levy is really looking for the Fifth Column in Europe, he should go find a mirror.
NUEVA YORK – A las puertas de un nuevo año, enfrentamos un mundo donde se multiplican los riesgos geopolíticos y geoeconómicos. La mayor parte de Medio Oriente está en llamas, lo que hace a algunos pensar que puede comenzar en cualquier momento una larga guerra entre sunnitas y shiítas (como la Guerra de los Treinta Años en Europa, entre católicos y protestantes). El ascenso de China impulsa una amplia variedad de disputas territoriales en Asia y cuestiona el liderazgo estratégico estadounidense en la región. Y aunque la invasión rusa a Ucrania parezca haberse convertido en un conflicto semilatente, podría reactivarse en cualquier momento.
También hay riesgo de más epidemias, como en años recientes nos han enseñado los brotes de SARS, MERS, ébola y otras enfermedades infecciosas. Existe además la amenaza latente de la ciberguerra, mientras actores y grupos no estatales crean conflicto y caos desde Medio Oriente hasta África septentrional y subsahariana. Y no debemos olvidar el importante daño causado por el cambio climático, con un aumento de frecuencia y poder letal de los fenómenos meteorológicos extremos.
Aun así, puede que el eje geopolítico del mundo en 2016 pase por Europa. Para empezar, la salida de Grecia de la eurozona quizá esté postergada, pero no descartada, en la medida en que los cambios al sistema de pensiones y otras reformas estructurales puedan provocar un conflicto entre el país y sus acreedores europeos. La salida de Grecia tal vez fuera el inicio del fin de la unión monetaria, ya que los inversores empezarían a preguntarse cuál será el próximo estado miembro que abandone la unión (incluso podría ser uno de los países del núcleo, como Finlandia).
La eventual salida de Grecia puede alentar al Reino Unido a abandonar la UE, algo que es más probable que hace un año, por diversas razones. Los recientes ataques terroristas en Europa y la crisis de las migraciones acrecentaron el aislacionismo británico. El laborismo, bajo el liderazgo de Jeremy Corbyn, se ha vuelto más euroescéptico. Y el primer ministro David Cameron se metió en una trampa al demandar a la UE reformas que ni siquiera los alemanes (por más que simpaticen con el RU) pueden aceptar. Muchos en Gran Bretaña ven a la UE como un barco que se hunde.
Si Gran Bretaña sale de la UE, se producirá un efecto dominó. Tal vez Escocia decida abandonar el RU, lo que provocaría la división de Gran Bretaña. Esto podría inspirar a otros movimientos separatistas (empezando tal vez por Cataluña) a insistir con sus reclamos de independencia. Y ya sin el RU, tal vez los miembros nórdicos de la UE decidan que a ellos también les conviene irse.
En cuanto al terrorismo, la mera abundancia de yihadistas criados en Europa implica que la pregunta no es si habrá otro ataque, sino dónde y cuándo. Y una reiteración de atentados puede reducir abruptamente la confianza de empresas y consumidores, y frenar la frágil recuperación económica de Europa.
Quienes dicen que la crisis migratoria también plantea una amenaza existencial a Europa no se equivocan. Pero el problema no son los millones de migrantes llegados en 2015, sino los otros 20 millones de desplazados y desesperados que tratan de huir de la violencia, la guerra civil, el derrumbe de los estados, la desertificación y el colapso económico en grandes áreas de Medio Oriente y África. Si Europa no logra una solución coordinada a este problema y el respeto efectivo de su frontera externa común, el Tratado de Schengen se caerá y reaparecerán las fronteras internas entre los estados miembros de la UE.
En tanto, al cansancio con la austeridad y las reformas en la periferia de la eurozona (y entre miembros de la UE que no están en la eurozona, como Hungría y Polonia) se le contrapone el cansancio con los rescates en el núcleo. En toda Europa vemos un ascenso de partidos populistas de izquierda y derecha (con su hostilidad compartida al libre comercio, las migraciones, los musulmanes y la globalización).
En Grecia, Syriza está en el poder; una coalición de izquierda gobierna en Portugal; y la elección española puede llevar a un alto grado de incertidumbre política y administrativa. Partidos virulentamente xenófobos y antimusulmanes ganan popularidad en el núcleo de Europa, incluidos los Países Bajos, Dinamarca, Finlandia y Suecia. En las elecciones francesas de diciembre, el ultraderechista Frente Nacional estuvo cerca de llegar al poder en varias regiones, y puede que a su líder, Marine Le Pen, le vaya bien en la elección presidencial de 2017.
Además, en Italia el primer ministro Matteo Renzi sufre los embates de dos partidos populistas antieuro, que vienen creciendo en las encuestas de opinión. Y en Alemania, la valiente pero controvertida decisión de la canciller Angela Merkel de permitir el ingreso al país de casi un millón de solicitantes de asilo puso en riesgo su liderazgo.
En síntesis, la distancia entre lo que Europa necesita y lo que los europeos quieren es cada vez mayor, algo que puede ser preanuncio de grandes problemas en 2016. La eurozona y la UE se enfrentan a múltiples amenazas, y todas ellas demandan una respuesta colectiva. Pero en cambio, vemos a los estados miembros cada vez más abocados a dar respuestas nacionales, lo que atenta contra la posibilidad de implementar soluciones paneuropeas (la crisis de las migraciones es un ejemplo trágicamente elocuente).
Europa necesita más cooperación, integración, reparto de riesgos y solidaridad. Pero hoy parece que los europeos optan por el nacionalismo, la balcanización, la divergencia y la desintegración.
Traducción: Esteban Flamini
Vuelvo con mi idea acerca de las migraciones (a ver si salen criticas también).
Digo que la solución es:
1) Que las cotizaciones sociales de los migrantes se paguen a sus Estados de origen.
2) Que los los gastos sociales de los migrantes sean abonados por sus Estados de origen.
e indirectamente:
3) En ausencia de convenio fiscal con un Estado origen : reforzar visados; restringir derechos de estancia ; condicionar las propiedades de los migrantes como aval del Estado de origen. Pues son ciudadanos de dicho Estado, no nuestros.
Tan sólo podemos garantizar que el tratamiento laboral (=nivel de cotizacion obligatoria) y demás derechos economicos sean los mismos que para los ciudadanos europeos.
Acuerdo en Dinamarca para confiscar bienes a los inmigrantes para financiar su acogida
El gobierno conservador y los socialdemócratas garantizan una mayoría parlamentaria para el polémico proyecto de ley
Alguien tendría que explicarle a Angela Merkel estas incómodas realidades de las asimetrías europeas.
¿Qué se ha hecho mal en la República Alemana?
No ha tenido lugar una superación, no se ha acabado con los crímenes del nacionalsocialismo. Después de 1945 se calló, no hubo desnazificación, y solo unos pocos culpables fueron condenados. Muchos pudieron escapar, incluso se les ayudó a ello. De ese modo acabaron muchos nazis en América, donde pudieron seguir propagando su ideología y donde se usó de sus servicios con gusto. Pero no hace falta que miremos al exterior. Adenauer restauró a Hans Globke y a toda la alta sociedad nazi de nuevo: en el gobierno, en la justicia y en los servicios secretos. Todo siguió de forma ininterrumpida. No hemos de sorprendernos si uno de estos días estamos otra vez igual.
¿Qué quiere decir con "otra vez"? ¿Ve usted en Europa un desarrollo similar al que existió tras la crisis mundial de 1929 y cree que el fascismo puede llegar al poder?
Sí. Si seguimos así, si no hay un movimiento fuerte antifascista que se le oponga y el gobierno sigue sin hacer nada. Y hay paralelos históricos. Cuando veo las campañas en Francia hoy con las caricaturas de musulmanes, a raíz de las cuales aflora todo el odio al extranjero, me recuerdan al periódico Stürmer, que durante el periodo nazi incendió a la población contra los judíos. Es horrible.
La diferencia: entonces fue ordenado desde arriba, hoy el gobierno no toma parte... Pero el presidente de Hungría, Víctor Orbán, anunció que no quiere dejar entrar a musulmanes en su país cuando se debatió sobre la acogida de muchas personas que buscan protección en Europa. ¿Por qué ese alboroto por los refugiados? ¿Quién es el responsable? Somos nosotros, Occidente, que hemos destruido la base de la vida de esas personas. Esto me saca de quicio. No puedo soportarlo.
En su libro Recuerdos describe usted en una parte del mismo con insistencia su sentimiento vital en 1945. Usted simplemente "ya no quería ser alemana nunca más". ¿Todavía se siente así hoy?
Siempre me hacen la misma pregunta: ¿es usted judía alemana o alemana judía? Y siempre contesto: soy una persona. Y soy antifascista. Y además lo soy porque he sentido el fascismo en mis propias carnes. A mí la nacionalidad alemana me da igual. La tengo, pero no puedo decir que me sienta ligada al pueblo alemán. Tengo mucho que criticar a este Estado. Aparte de que no se hace nada en contra de los nazis: el anticomunismo es en Alemania una catástrofe. Y de ese modo se habla solamente de la resistencia de los oficiales del 20 de julio, pero nunca de la de los comunistas. En mis charlas cuento también de qué forma se silencia eso. Y que los comunistas, así como los Sinti y Roma, a diferencia de nosotros los judíos, nunca recibieron compensaciones pagadas por los horrores que sufrieron. Eso no es aceptable. Pero en Alemania me siento en casa, porque aquí puedo influir en algo con mi trabajo de enseñanza.
Llama la atención que las tres grandes crisis de sobreproducción (y del capitalismo) se hayan gestado en Estados Unidos (su principal estandarte) , y habiendo seguido exactamente la misma secuencia de:
Un período de bonanza, de gran confianza en los mercados y altísimas concesiones hipotecarias y crediticias.
Crecimiento de precios (inflación), salarios y políticas sociales.
Una fuerte contracción de la economía a raíz de la explosión de la burbuja, con el consiguiente aumento de medidas proteccionistas.
Y es que posiblemente nos encontremos con un guiño histórico entre tres momentos muy diferentes, aunque presentando matices como son la desregulación de los mercados, la disociación del patrón oro, o los siempre relativos datos sobre la automatización de los procesos y la fuerza de trabajo.
Pero Premios Nobel como Paul Krugman o Joseph Stiglitz siguen defendiendo las tesis Keynesianas y clamando contra las políticas económicas que se está aplicando como respuesta a la crisis actual, aunque los gobiernos prefieren ignorarlos y transformarse en entes abstractos al servicio de sus financistas.
¿Y qué pasa con España?
El escenario no fue muy diferente en la España de los años 30, salvando algunos matices: el llamado “retraso crónico” español tenía mucho por recuperar en materia económica y tecnológica, y debía afrontar una severa inestabilidad política caracterizada por la corrupción y el bipartidismo, y un cuerpo militar muy costoso y anticuado, además de un movimiento obrero muy fuerte.
La historia de aquellos años es larga y compleja. La conflictividad no era baja, y con cada intento de renovar algunos de los pilares sociales, resurgió la sombra de las dictadura militares.
Por ello, el Republicanismo pretendía reformar la obsolescencia del sistema institucional, y la República llegó con un ansia regeneracionista que planteó:
Una Reforma Agraria basada en la modernización y el reparto de los grandes latifundios de la Iglesia y la aristocracia, de cara a revertir una tradición de terratenientes y caciques heredada de los tiempos feudales.
Una Reforma Constitucional con la que blindar la igualdad entre las personas, la laicidad de las instituciones, y la prevalencia del interés nacional en materia económica.
Una Reforma Educativa con pretensión universal, como parte de un proyecto a largo plazo que sirviera para afianzar la democracia y la conciencia política.
Ahora, hay que aclarar que tanto la Primera como la Segunda República tuvieron gobiernos de izquierdas y de derechas, y que la cuestión territorial ya había terminado con la Primera República (1871-1874) cuando los acontecimientos de 1931 y 1934 amenazaban la unidad nacional. Nuevamente, aunque con matices, es inevitable caer en ciertos paralelismos.
En España la bonanza previa a la crisis fue larga y la caída, rápida; como en los años 30 por el endeudamiento masivo y la ciega confianza en que los precios de la burbuja inmobiliaria nunca bajarían.
El descrédito de la monarquía, la escandalosa corrupción de la clase política, la lucha por los derechos sociales y el sueño del cambio son perfectamente aplicables al contexto actual.
También lo es la lucha de la Iglesia por capitanear la defensa de la educación y la moral, los discursos en favor de la libertad, o el monstruoso crecimiento de la ultraderecha en Europa, apelando a la “pureza cultural” y a la sangría económica, pasos previos a la distinción étnica y a la incitación al odio.
Y todo esto invita a concluir que, si bien los actores pueden cambiar, y las situaciones darse con los factores en otro orden, nos acercamos peligrosamente a las mismas líneas rojas que llevaron a uno de los episodios más negros de nuestra historia.
Aumentan las amenazas exteriores, y no de manera fortuita, aunque nos invaden los discursos extremistas entre el miedo, el victimismo y el orgullo patrio, mientras se criminaliza la oposición a una política de derechas en auge.
La polarización de las posiciones deviene evidente como si los dos extremos de la historia no tuvieran nada que ver, y como si los acontecimientos actuales fueran totalmente ajenos a los de la historia reciente.
Entonces, si la historia se repite pero los actores cambian y, como se dice, el capital es gregario y tiende a agruparse cuando se siente amenazado dejando de lado diferencias menos relevantes, podríamos pensar que, o sus dueños reales en realidad no cambian al mismo tiempo que su imagen, o que Thomas Piketty tiene razón cuando sugiere que la tendencia oligárquica va a alcanzar cotas jamás vistas si el capital sigue creciendo más rápido que las economías (aumentando la desigualdad, y en consecuencia la oposición), que es exactamente lo que está sucediendo.
La lección que no llega
Todo esto nos demuestra que el pasado tiene que ser resuelto, que detrás del estudio histórico siempre se esconden dos o más versiones en una lucha permanente, y que los asuntos pendientes terminan reapareciendo como si nunca se hubiesen ido. Un ejemplo claro es la urgente necesidad de revisar la Guerra Civil Española y de investigar los crímenes que en ella ocurrieron.
Y al mismo tiempo nos enseña que debemos cambiar nuestra manera de aprender la historia, y que en lugar de hacerlo de forma lineal y por fechas, debemos observar la manera en que los cambios llegan, si llegan, para así poder identificar a los actores y no a los personajes.
“Nosotros, hombres de la cultura europea occidental, con nuestro sentido histórico, somos la excepción y no la regla. La historia universal es nuestra imagen del mundo, no la imagen de la «humanidad»”
Oswald Spengler.
Tal vez seamos demasiado etnocéntricos al pensar que la historia se repite, cuando en realidad es nuestra historia la que se repite. Y la hemos exportado, impuesto, y reproducido en un brillante epistemicidio, que nos arranca una sonrisa al recordar a George Santayana, quien un día de 1905 escribió:
“Aquellos que no conocen su pasado están condenados a repetirlo”.
Y Putin tiene el pasado que tiene. Sospecho que no hay modo de lograr la ruptura regeneradora sin un enorme trauma social porque los cuadros son los que son, no se genera ex novo una estructura tecnocrática del enorme tamaño de las que necesitan los estados, y tampoco partidos, por algo la PSOE es la Falange y la PP el Opus y, si Podemos y Cs llegan a algo, será explotando el fondo de comercio que forman los cuadros, estructuras y redes clientelares de sus partidos "padres".
La pureza cuesta y hay que sufrir mucho para alcanzarla, tal vez incluso no valga la pena, aunque nos gusta pensar que sí.
Berlin police have furiously denied this version of events, saying that while the girl did go missing briefly, any sexual contact appears to have be consensual.
La sección D del documento es la complicada, la que ha generado más críticas, rechazos y discusiones. Su título lo explica: "Prestaciones sociales y libre movimiento".
Cameron pedía poder impedir, durante cuatro años, el acceso a prestaciones sociales de trabajadores extranjeros. Los sistemas de seguridad social no están armonizados en la UE. La oferta, técnica, es más o menos similar; pero no a cualquier precio, no siempre y no sin permiso. Cada país puede hacer lo que quiera, decidir el nivel de prestaciones y las cantidades. "Siempre que no haya discriminación directa o indirecta", explica el documento.
El punto 1 A es uno de los más polémicos, pues introduce la idea de límites y restricciones, no para los inmigrantes que ya están en un país, y concretamente en Reino Unido, sino para los que lleguen en el futuro. "Aunque la libre circulación de trabajadores en virtud del artículo 45 implica la abolición de toda discriminación basada en la nacionalidad con respecto al empleo, la retribución y las demás condiciones de trabajo y empleo, tal derecho podrá estar sujeto a limitaciones por razones de orden público, seguridad pública o salud pública . Además, si razones imperiosas de interés general, tales como el fomento de la contratación, la reducción del desempleo, la protección de los trabajadores vulnerables o el evitar el riesgo de socavar la sostenibilidad de los sistemas de Seguridad Social, la libre circulación de los trabajadores puede ser restringida por medidas proporcionadas para lograr el fin legítimo perseguido", dice el párrafo.
El problema es que se hace difícil imaginar una situación o un Gobierno que no quiera proteger a los vulnerables, fomentar el empleo y combatir el paro. El documento propuesto por Tusk dice que "a partir de consideraciones objetivas, independientes de la nacionalidad de las personas afectadas y proporcionales a los objetivos que se persiguen, se pueden imponer condiciones a determinadas prestaciones sociales para asegurar que hay un grado efectivo de conexión entre la persona y el mercado laboral del Estado Miembro" en el que vive.
Las propuestas siguen en esa misma dirección: activando herramientas para situaciones de emergencia. Según el documento, este "mecanismo de salvaguardia y alerta para responder a situación de un flujo de trabajadores de otro Estado Miembro de magnitud excepcional sobre un periodo dilatado de tiempo" puede ser activado por un país, mediante una comunicación a la Comisión Europea y al Consejo. Siempre que "sea una situación excepcional de una escala que afecte a los aspectos esenciales de su sistema de Seguridad Social, incluyendo su objetivo principal de proporcionar prestaciones y que lleve a dificultades serias en el mercado laboral o que ponga una presión excesiva para garantizar el funcionamiento adecuado de los servicios públicos".
Propuesta UE a UK
-- Nanay a que UK decida de la politica monetaria
-- Okay, con segundas a permitir a los Estados ajustar las politicas sociales nacionales a los migrantes UE.
[url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/02/02/56b0a6a122601d646d8b4589.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/02/02/56b0a6a122601d646d8b4589.html[/url])CitarLa sección D del documento es la complicada, la que ha generado más críticas, rechazos y discusiones. Su título lo explica: "Prestaciones sociales y libre movimiento".
Cameron pedía poder impedir, durante cuatro años, el acceso a prestaciones sociales de trabajadores extranjeros. Los sistemas de seguridad social no están armonizados en la UE. La oferta, técnica, es más o menos similar; pero no a cualquier precio, no siempre y no sin permiso. Cada país puede hacer lo que quiera, decidir el nivel de prestaciones y las cantidades. "Siempre que no haya discriminación directa o indirecta", explica el documento.
El punto 1 A es uno de los más polémicos, pues introduce la idea de límites y restricciones, no para los inmigrantes que ya están en un país, y concretamente en Reino Unido, sino para los que lleguen en el futuro. "Aunque la libre circulación de trabajadores en virtud del artículo 45 implica la abolición de toda discriminación basada en la nacionalidad con respecto al empleo, la retribución y las demás condiciones de trabajo y empleo, tal derecho podrá estar sujeto a limitaciones por razones de orden público, seguridad pública o salud pública . Además, si razones imperiosas de interés general, tales como el fomento de la contratación, la reducción del desempleo, la protección de los trabajadores vulnerables o el evitar el riesgo de socavar la sostenibilidad de los sistemas de Seguridad Social, la libre circulación de los trabajadores puede ser restringida por medidas proporcionadas para lograr el fin legítimo perseguido", dice el párrafo.
El problema es que se hace difícil imaginar una situación o un Gobierno que no quiera proteger a los vulnerables, fomentar el empleo y combatir el paro. El documento propuesto por Tusk dice que "a partir de consideraciones objetivas, independientes de la nacionalidad de las personas afectadas y proporcionales a los objetivos que se persiguen, se pueden imponer condiciones a determinadas prestaciones sociales para asegurar que hay un grado efectivo de conexión entre la persona y el mercado laboral del Estado Miembro" en el que vive.
Las propuestas siguen en esa misma dirección: activando herramientas para situaciones de emergencia. Según el documento, este "mecanismo de salvaguardia y alerta para responder a situación de un flujo de trabajadores de otro Estado Miembro de magnitud excepcional sobre un periodo dilatado de tiempo" puede ser activado por un país, mediante una comunicación a la Comisión Europea y al Consejo. Siempre que "sea una situación excepcional de una escala que afecte a los aspectos esenciales de su sistema de Seguridad Social, incluyendo su objetivo principal de proporcionar prestaciones y que lleve a dificultades serias en el mercado laboral o que ponga una presión excesiva para garantizar el funcionamiento adecuado de los servicios públicos".
(Sigo pensando que mi planteamiento sobre migraciones es mejor.)
Eurodiputados de izquierdas denuncian a la Comisión por ocultar los tratos fiscales con multinacionales
El grupo de la izquierda GUE denuncia a la Comisión Europea tras encargar un informe independiente que concluye que la institución violó la ley comunitaria al denegar actas sobre tributación a grandes firmas desde 1998
La Comisión responde que se han hecho públicos 415 documentos. "En el comité parlamentario estimamos que los documentos solicitados son más de 5.000", responde Fabio de Masi (GUE)
"Hemos encargado este estudio porque sabíamos que Juncker estaba actuando en contra de la ley para proteger a los implicados", denuncia Paloma López (IU)
El grupo de la Izquierda Unitaria en el Parlamento Europeo (GUE), al que pertenecen Podemos, IU, Bildu o Syriza entre otros, ha presentado una demanda contra la Comisión Europea en el Tribunal de Justicia (en la corte de Primera Instancia). El motivo de la querella radica en las conclusiones de un estudio independiente encargado por el GUE por las restricciones impuestas por dicha institución a la hora de facilitar el acceso a documentos relativos a los acuerdos fiscales entre cualquiera de los estados miembros y las multinacionales; unos acuerdos ("tax rulings", en inglés) que van destapando una red de paraísos fiscales en la UE a medida de las grandes firmas transnacionales como Apple, Starbucks, Fiat o Google.
Las conclusiones del estudio, realizado por los profesores de Derecho Público Andreas Fischer-Lescano y Nele Austermann por encargo del think tank alemán Centre of European Law and Politics, son inequívocas: el Ejecutivo de Jean-Claude Juncker viola la legislación comunitaria al no entregar los documentos reclamados, entre ellos las minutas y actas del trascendental Grupo del Código de Conducta sobre la tributación de los grandes negocios (CoCG, en inglés). Se trata de un cónclave que pertenece al Ecofin, el Consejo de ministros de Finanzas de la UE, y que delibera fundamentalmente sobre la fiscalidad de las grandes firmas en la Unión en medio de la opacidad, según revela el texto.
El informe, de 30 páginas, asegura que la Comisión Europea no ha justificado las restricciones y limitaciones de acceso a los documentos impuestas a los eurodiputados que solicitan revisarlos, especialmente los que pertenecen al comité parlamentario especial TAXE, que se creó a raíz del escándalo LuxLeaks (febrero de 2015) y que supervisa todas las cuestiones relativas a la fiscalidad comunitaria. Fischer-Lescano y Austermann, profesores de la Universidad de Bremen, enumeran aproximadamente media docena de artículos y normas violadas por la institución.
El catedrático Andreas Fischer-Lescano es un profesor muy popular en Alemania, ya que en 2011 demostró que el entonces ministro de Defensa y figura emergente del equipo de Angela Merkel, Karl-Theodor zu Gutemberg, había plagiado su tesis. El barón de Gutemberg tuvo que dimitir tras revelarse este secreto.
El eurodiputado alemán (de origen italiano) Fabio De Masi ha sido el encargado de presentar la querella. "La Comisión ya no puede parapetarse más tiempo tras el secreto fiscal, cuando ha estado reteniendo vastas cantidades de información política a miembros elegidos en el Parlamento Europeo", lamenta De Masi. "Esto ya no va de privacidad de los contribuyentes, sino de respaldar a los carteles que evaden al fisco y que cuestan a los ciudadanos europeos cientos de miles de millones de euros al año", apunta.
De Masi se refiere a los apaños que varias multinacionales pactan con los estados miembros para pagar menos impuestos por los beneficios obtenidos, algo que se ha puesto recientemente de manifiesto en Países Bajos, Bélgica, Luxemburgo o Irlanda. El estudio, titulado El Derecho de Acceso a la Información del Grupo del Código de Conducta, analiza la decisión del pasado 9 de diciembre, por la cual la Comisión denegó "la solicitud de proveer el acceso a todos los documentos que habían sido redactados por la Comisión desde 1998”, en cooperación con el desconocido Grupo del Código de Conducta.
La negativa, dicen los autores, es "ilegal", y viola, entre otros, los artículos 8.3 y 15.3 del Tratado del Funcionamiento de la Unión Europea además del artículo 2.1 sobre la transparencia Regulatoria 1049/2001. La Comisión tampoco puede alegar "confidencialidad" en el recurso del artículo 13 de la Carta Fundacional del Grupo del Código de Conducta, perteneciente al Ecofin. Y a continuación aparecen una serie de normativas sobre transparencia que también son ultrajadas por el rechazo a desclasificar documentos, indican los profesores de Derecho Público.
La Comisión, en respuesta a este medio, deniega tales imputaciones. "Hemos cooperado activamente con la comisión especial parlamentaria TAXE y TAXE 2 y hemos tenido un contacto regular con el señor De Masi", aduce un portavoz. "Unos 415 documentos se han hecho disponibles a petición del Parlamento Europeo y hemos tenido en cuenta las recomendaciones hechas por TAXE". El portavoz añade que los estados miembros están siendo consultados para desclasificar otros 63 documentos.
" Estamos contentos por escuchar a la Comisión decir que va a liberar más documentos, pero el problema es que las minutas y actas del Grupo de Código de Conducta son, estimamos, unos 5.000 documentos", ironiza Fabio De Masi.
Más severa se muestra Paloma López (IU): "Hemos encargado este estudio porque sabíamos que la Comisión estaba actuando en contra a la ley para proteger a los implicados. El estudio revela como Juncker está impidiendo el acceso a la información sobre los acuerdos fiscales con multinacionales y cómo muchos Estados miembros conocían y permitían la situación de abuso fiscal de un buen número de multinacionales europeas".
Bulgaria, Chipre, Grecia, Hungría y Rumania establecen un frente proisraelí en la UE
([url]http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH250/arton190136-fd03d.jpg[/url])
Bulgaria, Chipre, Grecia, Hungría y Rumania han establecido un acuerdo con Israel para defender las posiciones de este último en el seno de la Unión Europea.
El 18 de enero de 2016, esos cinco países europeos obligaron a los ministros de Exteriores de la Unión Europea a retirar toda referencia crítica a Israel del texto del comunicado mensual conjunto de dichos ministros.
Días más tarde, el 29 de enero, Chipre, Grecia e Israel llegaron a un acuerdo para la construcción de un gasoducto y exportar gas hacia la Unión Europea. Ello implica un vuelco total de la política de Chipre y Grecia, que se concreta por iniciativa del primer ministro griego Alexis Tsipras.
Según lei, en aguas maritimas de Israel (o Siria,o Palestina, o Chipre) hay yacimientos de petroleo y gas.
Ejemplo:
https://actualidad.rt.com/opinion/roberto-bellato/189691-israel-gas-mediterraneo-oriental
De todos modos, esos 4 son los actores geográficos principales en la ruta de medio oriente a la UE.
Y si, reseau Voltaire es un poco tendencioso (bastante), algo cuentan aquí
https://es.wikipedia.org/wiki/Red_Voltaire
(En la V/FR dicen que apoyó descaradamente la tesis del compló de las Torres Gemelas.)
Le Sénat,
= Constitución
Vu l'article 34-1 de la Constitution,
= Art 25 de la Declaración de DDHH del 48
Affirmant, en accord avec l'article 25 de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, que : « toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires (...) » ;
= Lucha contra la precariedad
Reconnaissant la nécessité de lutter contre la précarité sociale pour améliorer le bien-être individuel et collectif des travailleurs ;
= Trabajos con valor de uso que no son remunerados
Constatant que de nombreuses activités, pourtant génératrices de valeur d'usage, notamment dans les domaines social, sanitaire et culturel, ne donnent droit aujourd'hui à aucune rémunération ;
= Fin del trabajo en economia digital
Prenant acte des évolutions du monde du travail dues à l'émergence de l'économie numérique qui diminue la demande de main d'oeuvre et à des délocalisations durables de nombreux sites de production engendrant la disparition d'un grand nombre d'emplois ;
= Reforma del sistema asistencial
Reconnaissant la nécessité de réformer le système dit des « minima sociaux », à savoir des allocations relevant de la solidarité nationale, dans un but de simplification mais aussi de généralisation aux bénéficiaires potentiels ;
= Facilitar la negociacion del empleo
Considérant qu'un revenu de base, loin de constituer un effet d'aubaine éloignant de l'emploi, crée au contraire les conditions de dignité et de confiance favorisant l'employabilité ;
= Reflejo de initiativas en el resto del mundo
Prenant acte et s'inspirant des diverses initiatives et expérimentations lancées à travers le monde sur la question du revenu de base ;
= Solicita al gobierno las medidas necesarias para instaurar la renta básica
Souhaite que le Gouvernement prenne les mesures nécessaires pour mettre en place un revenu de base, inconditionnel, cumulable avec d'autres revenus, notamment d'activité, distribué par l'État à toutes les personnes résidant sur le territoire national, de la naissance à la mort, sur base individuelle, sans contrôle des ressources ni exigence de contrepartie, dont le montant et le financement seront ajustés démocratiquement.
¿QUÉ DEBE HACERSE? NUESTRO HORIZONTE
El realismo exige que trabajemos con el propósito de alcanzar ciertas metas en un período de tiempo razonable.
Por esto el DiEM-25 se plantea cuatro objetivos a intervalos regulares con la intención de
alcanzar una Europa funcional y plenamente democrática antes del año 2025.
A día de hoy, los europeos se sienten abandonados por las instituciones de la UE. De Helsinki a Lisboa,
de Dublín a Creta, de Leipzig a Aberdeen. Los europeos perciben que una dura encrucijada se aproxima rápidamente.
Hay que elegir entre una democracia auténtica y una desintegración insidiosa.
Debemos decidirnos a unirnos para asegurarnos de que Europa tome la decisión sensata: ¡democracia
auténtica!
Cuando nos preguntan qué queremos y cuándo lo queremos, nuestra respuesta es:
INMEDIATAMENTE:
transparencia absoluta en la toma de decisiones.
•
Las reuniones del Consejo de la UE, del Ecofin, del ITF y del Eurogrupo han de ser retransmitidas
en directo.
•
Las actas de las reuniones del consejo de gobierno del Banco Central Europeo serán publicadas unas
semanas después de que las reuniones hayan tenido lugar.
•
Todos los documentos relativos a negociaciones cruciales (por ejemplo: TTIP, “rescates”, el estatus de
Reino Unido) que afecten de cualquier manera al futuro de los ciudadanos europeos deberán ser publi
-
cados en Internet.
•
Un registro obligatorio de grupos de interés que incluya los nombres de sus clientes, su remuneración
y sus reuniones con personal oficial (electo y no electo).
EN UN PLAZO DE DOCE MESES:
abordar la persistente crisis económica utilizando las instituciones
actuales y en el marco de los tratados en vigor de la UE.
La inminente crisis de Europa se desarrolla simultáneamente en cinco ámbitos:
•
deuda pública
•
sector bancario
•
inversiones inadecuadas
•
migración y
•
aumento de la pobreza
Estos cinco ámbitos se han dejado en manos de gobiernos nacionales impotentes para hacerles frente.
DiEM-25 presentará propuestas de políticas concretas para europeizar los cuatro ámbitos a la vez que
se limita el poder discrecional de Bruselas y se devuelve ese poder a los Parlamentos nacionales, a los
consejos regionales, a los ayuntamientos y a las comunidades. Las políticas propuestas estarán dirigidas
hacia un nuevo despliegue de las instituciones ya existentes (a través de una reinterpretación creativa
de los tratados y acuerdos en vigor) con el fin de estabilizar las crisis de deuda pública, banca, inversión
inadecuada y aumento de la pobreza.
EN UN PLAZO DE DOS AÑOS:
Asamblea Constituyente
Los pueblos de Europa tienen el derecho a considerar qué futuro quieren para la Unión y el deber de trans
-
formar Europa, hacia 2025, en una democracia plena con un Parlamento soberano que respete la autode
-
terminación nacional y que comparta el poder con los Parlamentos nacionales, las asambleas regionales
y las juntas municipales. Para ello ha de convocarse una Asamblea de sus representantes. DiEM-25 pro
-
moverá una Asamblea Constituyente formada por representantes elegidos en listas transnacionales. Tal y
como hacen las universidades al solicitar fondos para investigación a través de alianzas en otros países, las
elecciones para la Asamblea Constituyente requerirán listas que incluyan candidatos de la mayoría de los
países europeos. La Asamblea Constitucional resultante tendrá el poder de decidir sobre la futura Consti
-
tución democrática que en una década sustituirá a todos los Tratados europeos existentes.
EN 2015:
promulgación de las decisiones de la Asamblea Constituciona
Los USA se pueden permitir el tener el déficit comercial que les plazca ya que importan pagando en su propia moneda, digamos que macroeconómicamente las importaciones les salen gratis. Tal como Roma en sus buenos tiempos. La contrapartida se encuentra en el pacto con los saudíes: tu vendes petróleo SOLO en dólares y yo te protejo y mi ejercito se carga a quien tenga petróleo e intente otra cosa. Es como si los USA se hubiese apropiado por la fuerza y exportase todo el petróleo del mundo.
En contra de la percepción emitida por algunas voces, la geografía de los impactos de la crisis en Europa no puede simplificarse en una diferencia Norte-Sur. El análisis trasciende así lo nacional y se sitúa en otros aspectos, mucho más complejos, que deben ser estudiados a nivel regional y de manera individual para evaluar los factores puntuales que comparten y plantear políticas directas ajustadas a la realidad.
Así lo afirma un estudio pionero de la Universidad de Oxford, que trata de alumbrar una nueva geografía económica de los países miembros a partir de las regiones que los componen. Un complejo mapa compuesto por 254 regiones que han reaccionado de manera muy dispar a los envites de esta recesión. Una recesión que ha cambiado considerablemente el mapa económico para los países miembros.
En una famosa rueda de prensa, De Gaulle alega que Reino Unido es un país “insular” y “marítimo” cuya naturaleza “difiere profundamente” de sus socios continentales. El presidente galo desconfía de la voluntad británica de asumir las reglas del club comunitario y cree que Londres es en realidad un caballo de Troya enviado por Estados Unidos para dinamitar desde dentro el proyecto europeo.
-Los inmis no son ingleses, al menos no con respecto a las subvenciones y servicios públicos, escalonar a dos niveles la población, los Polacos y demás no recibirán los mismos subsidios que los Ingleses, segregación rancia, y eso que según he leído los extranjeros aportan más de lo que reciben de las arcas públicas.
-Los inmis no son ingleses, al menos no con respecto a las subvenciones y servicios públicos, escalonar a dos niveles la población, los Polacos y demás no recibirán los mismos subsidios que los Ingleses, segregación rancia, y eso que según he leído los extranjeros aportan más de lo que reciben de las arcas públicas.
Sin ser categórico, pero creo que las restricciones sociales a Europeos conseguidas tan solo afectan a los derechos no contributivos.
En derechos sociales, tienes los derechos contributivos (salud, paro, etc.) y los no contributivos (alojamiento, natalidad, guardería...)
Los primeros están regulados por DirectivaCE social, y no se han tocado (no hace falta trámite de todos los parlamentos UE)
Los segundos dependen del pais de acogida y la cuestión real es si son extensibles sólo a ciudadanos UK o a todos los ciudadanos UE residentes en UK
Son los segundos que UK reclamó. Lo que reclamó es que en los derechos no contributivos, no hubiera aplicación de la jurisprudencia que impide a un Estado miembro diferenciar entre ciudadanos UK y ciudadanos UE.
Es más, por lo que entendí, UK no discute que un Polaco tenga subvenciones familiares cuando sus hijos están escolarizados en UK. Lo que discute es que se paguen subvenciones familiares por número de hijos cuando estos hijos residen con su madre ¡en Polonia!
Con lo que la maratón de Bruselas era más teatro que otra cosa : Camerón obtuvo de Europa una cesión por algo que a los UE ni les va ni les viene, y Cameron evitó replantear en casa el régimen social UK (lo que le habría levantado una marea social en casa).
-----
Por lo demás, acerca del problemón del alcalde de Londres, me haría gracia que UK votara que no, en junio, y que acto seguido ¡se organizara un referendum en Escocia, Gales y... y... en Irlanda del Norte!
Pero no me lo creo: la influencia estratégica que no tiene Bruselas en UK, la tiene Washington. Las filas euroescépticas van a ser diezmadas a golpe de talonario y puertas giratorias y ya veremos cuántos cambian de chaqueta.
Eso sí, UK tiene que pasar el trance, y dejar de una vez para siempre atrás el lastre que le suponen los euroescépticos.
Lo hará a su manera, seguramente, pero será la manera europea, al fin y al cabo.
-Los inmis no son ingleses, al menos no con respecto a las subvenciones y servicios públicos, escalonar a dos niveles la población, los Polacos y demás no recibirán los mismos subsidios que los Ingleses, segregación rancia, y eso que según he leído los extranjeros aportan más de lo que reciben de las arcas públicas.
Sin ser categórico, pero creo que las restricciones sociales a Europeos conseguidas tan solo afectan a los derechos no contributivos.
En derechos sociales, tienes los derechos contributivos (salud, paro, etc.) y los no contributivos (alojamiento, natalidad, guardería...)
Los primeros están regulados por DirectivaCE social, y no se han tocado (no hace falta trámite de todos los parlamentos UE)
Los segundos dependen del pais de acogida y la cuestión real es si son extensibles sólo a ciudadanos UK o a todos los ciudadanos UE residentes en UK
Son los segundos que UK reclamó. Lo que reclamó es que en los derechos no contributivos, no hubiera aplicación de la jurisprudencia que impide a un Estado miembro diferenciar entre ciudadanos UK y ciudadanos UE.
Es más, por lo que entendí, UK no discute que un Polaco tenga subvenciones familiares cuando sus hijos están escolarizados en UK. Lo que discute es que se paguen subvenciones familiares por número de hijos cuando estos hijos residen con su madre ¡en Polonia!
Con lo que la maratón de Bruselas era más teatro que otra cosa : Camerón obtuvo de Europa una cesión por algo que a los UE ni les va ni les viene, y Cameron evitó replantear en casa el régimen social UK (lo que le habría levantado una marea social en casa).
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Por lo demás, acerca del problemón del alcalde de Londres, me haría gracia que UK votara que no, en junio, y que acto seguido ¡se organizara un referendum en Escocia, Gales y... y... en Irlanda del Norte!
Pero no me lo creo: la influencia estratégica que no tiene Bruselas en UK, la tiene Washington. Las filas euroescépticas van a ser diezmadas a golpe de talonario y puertas giratorias y ya veremos cuántos cambian de chaqueta.
Eso sí, UK tiene que pasar el trance, y dejar de una vez para siempre atrás el lastre que le suponen los euroescépticos.
Lo hará a su manera, seguramente, pero será la manera europea, al fin y al cabo.
-Los inmis no son ingleses, al menos no con respecto a las subvenciones y servicios públicos, escalonar a dos niveles la población, los Polacos y demás no recibirán los mismos subsidios que los Ingleses, segregación rancia, y eso que según he leído los extranjeros aportan más de lo que reciben de las arcas públicas.
Sin ser categórico, pero creo que las restricciones sociales a Europeos conseguidas tan solo afectan a los derechos no contributivos.
En derechos sociales, tienes los derechos contributivos (salud, paro, etc.) y los no contributivos (alojamiento, natalidad, guardería...)
Los primeros están regulados por DirectivaCE social, y no se han tocado (no hace falta trámite de todos los parlamentos UE)
Los segundos dependen del pais de acogida y la cuestión real es si son extensibles sólo a ciudadanos UK o a todos los ciudadanos UE residentes en UK
Son los segundos que UK reclamó. Lo que reclamó es que en los derechos no contributivos, no hubiera aplicación de la jurisprudencia que impide a un Estado miembro diferenciar entre ciudadanos UK y ciudadanos UE.
Es más, por lo que entendí, UK no discute que un Polaco tenga subvenciones familiares cuando sus hijos están escolarizados en UK. Lo que discute es que se paguen subvenciones familiares por número de hijos cuando estos hijos residen con su madre ¡en Polonia!
Con lo que la maratón de Bruselas era más teatro que otra cosa : Camerón obtuvo de Europa una cesión por algo que a los UE ni les va ni les viene, y Cameron evitó replantear en casa el régimen social UK (lo que le habría levantado una marea social en casa).
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Por lo demás, acerca del problemón del alcalde de Londres, me haría gracia que UK votara que no, en junio, y que acto seguido ¡se organizara un referendum en Escocia, Gales y... y... en Irlanda del Norte!
Pero no me lo creo: la influencia estratégica que no tiene Bruselas en UK, la tiene Washington. Las filas euroescépticas van a ser diezmadas a golpe de talonario y puertas giratorias y ya veremos cuántos cambian de chaqueta.
Eso sí, UK tiene que pasar el trance, y dejar de una vez para siempre atrás el lastre que le suponen los euroescépticos.
Lo hará a su manera, seguramente, pero será la manera europea, al fin y al cabo.
Es que la idea a largo plazo seguramente es llegar a semifusiones de los derechos contributivos básicos. No es tan complicado con las pensiones por su carácter actuarial: el nivel de cotizaciones en cualquier país de los ricos de la UE alcanza para una prestación similar en cualquier otro, y por eso hay acuerdos de reconocimiento recíproco de cotizaciones (los hay también con varios países latinoamericanos), que luego se liquidan a través de acuerdos del tipo de cámara de compensación.
La sanidad tiene sus problemas en cuanto aparecen prestadores privados, y por eso es probable que en toda Europa se tienda a generar sistemas sanitarios con pago diferenciado de cuota al estilo alemán, aunque luego por detrás el dinero se gestione públicamente e incluso en muchos países los prestadores de servicios continúen siendo públicos.
Pero en lo que parece que ningún país dará su brazo a torcer es en la parte no contibutiva: ahí los catálogos de prestaciones difieren mucho entre estados (de modo parejo a las enormes disparidades en recaudación fiscal per capita) y la presión migratoria intracomunitaria no es uniforme, por no hablar de la extracomunitaria (potenciamente tan onerosa que puede agotar la capacidad financiera del estado más rico en poco tiempo si el flujo entrante es elevado, imaginemos una Argelia colapsada emitiendo 20M de personas).
Si además se supone que a medio y largo plazo estos costes crecerán mucho al incrementarse el desempleo estructural, va a llegar más pronto que tarde el momento de romper con el viejo paradigma de la "masa", ese deseo inmoderado de tener siervos cotnabilizados en las estadísticas nacionales para sentirse poderoso: la guerra entre "extensivistas" e "intensivistas" en la economía se recrudecerá y el control nacional de estas partidas nadie lo cederá. A más automatización, más vamos a ver a los políticos y economistas, por fin, reconocer que la contracción demográfica no es tan mala (se enfadarán, eso sí, los "intermierdiarios" que viven de que haya masa enchufada a la luz, teléfono, TV, etc).
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Blasco Ibañez ya lo analizó en "Arroz y tartana" en el 1894. Y aún hay quien piensa que la sociedad española va a cambiar.
Arroz y tartana= Tetas y Cayennes
Pero no me lo creo: la influencia estratégica que no tiene Bruselas en UK, la tiene Washington. Las filas euroescépticas van a ser diezmadas a golpe de talonario y puertas giratorias y ya veremos cuántos cambian de chaqueta.
Eso sí, UK tiene que pasar el trance, y dejar de una vez para siempre atrás el lastre que le suponen los euroescépticos.
Lo hará a su manera, seguramente, pero será la manera europea, al fin y al cabo.
Pienso igual. UK, como todos, se tiene que cuadrar frente al primo americano. Si UK se sale de la UE, será porque así se decidió al otro lado del atlántico.
Es lo que tiene dominar el mundo. Que le pregunten a Merkel cuantas llamaditas recibe de USA con la crisis Ucraniana, o con la de los refugiados...
-Los inmis no son ingleses, al menos no con respecto a las subvenciones y servicios públicos, escalonar a dos niveles la población, los Polacos y demás no recibirán los mismos subsidios que los Ingleses, segregación rancia, y eso que según he leído los extranjeros aportan más de lo que reciben de las arcas públicas.
Sin ser categórico, pero creo que las restricciones sociales a Europeos conseguidas tan solo afectan a los derechos no contributivos.
En derechos sociales, tienes los derechos contributivos (salud, paro, etc.) y los no contributivos (alojamiento, natalidad, guardería...)
Los primeros están regulados por DirectivaCE social, y no se han tocado (no hace falta trámite de todos los parlamentos UE)
Los segundos dependen del pais de acogida y la cuestión real es si son extensibles sólo a ciudadanos UK o a todos los ciudadanos UE residentes en UK
Son los segundos que UK reclamó. Lo que reclamó es que en los derechos no contributivos, no hubiera aplicación de la jurisprudencia que impide a un Estado miembro diferenciar entre ciudadanos UK y ciudadanos UE.
Es más, por lo que entendí, UK no discute que un Polaco tenga subvenciones familiares cuando sus hijos están escolarizados en UK. Lo que discute es que se paguen subvenciones familiares por número de hijos cuando estos hijos residen con su madre ¡en Polonia!
Con lo que la maratón de Bruselas era más teatro que otra cosa : Camerón obtuvo de Europa una cesión por algo que a los UE ni les va ni les viene, y Cameron evitó replantear en casa el régimen social UK (lo que le habría levantado una marea social en casa).
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Por lo demás, acerca del problemón del alcalde de Londres, me haría gracia que UK votara que no, en junio, y que acto seguido ¡se organizara un referendum en Escocia, Gales y... y... en Irlanda del Norte!
Pero no me lo creo: la influencia estratégica que no tiene Bruselas en UK, la tiene Washington. Las filas euroescépticas van a ser diezmadas a golpe de talonario y puertas giratorias y ya veremos cuántos cambian de chaqueta.
Eso sí, UK tiene que pasar el trance, y dejar de una vez para siempre atrás el lastre que le suponen los euroescépticos.
Lo hará a su manera, seguramente, pero será la manera europea, al fin y al cabo.
Es que la idea a largo plazo seguramente es llegar a semifusiones de los derechos contributivos básicos. No es tan complicado con las pensiones por su carácter actuarial: el nivel de cotizaciones en cualquier país de los ricos de la UE alcanza para una prestación similar en cualquier otro, y por eso hay acuerdos de reconocimiento recíproco de cotizaciones (los hay también con varios países latinoamericanos), que luego se liquidan a través de acuerdos del tipo de cámara de compensación.
La sanidad tiene sus problemas en cuanto aparecen prestadores privados, y por eso es probable que en toda Europa se tienda a generar sistemas sanitarios con pago diferenciado de cuota al estilo alemán, aunque luego por detrás el dinero se gestione públicamente e incluso en muchos países los prestadores de servicios continúen siendo públicos.
Pero en lo que parece que ningún país dará su brazo a torcer es en la parte no contibutiva: ahí los catálogos de prestaciones difieren mucho entre estados (de modo parejo a las enormes disparidades en recaudación fiscal per capita) y la presión migratoria intracomunitaria no es uniforme, por no hablar de la extracomunitaria (potenciamente tan onerosa que puede agotar la capacidad financiera del estado más rico en poco tiempo si el flujo entrante es elevado, imaginemos una Argelia colapsada emitiendo 20M de personas).
Si además se supone que a medio y largo plazo estos costes crecerán mucho al incrementarse el desempleo estructural, va a llegar más pronto que tarde el momento de romper con el viejo paradigma de la "masa", ese deseo inmoderado de tener siervos cotnabilizados en las estadísticas nacionales para sentirse poderoso: la guerra entre "extensivistas" e "intensivistas" en la economía se recrudecerá y el control nacional de estas partidas nadie lo cederá. A más automatización, más vamos a ver a los políticos y economistas, por fin, reconocer que la contracción demográfica no es tan mala (se enfadarán, eso sí, los "intermierdiarios" que viven de que haya masa enchufada a la luz, teléfono, TV, etc).
Me parece que no hay que centrarse demasiado en las prestaciones y sus beneficiarios (que si se unifican contributivas, que si se independizan las que no lo son en función de nacionalidades). Además que el fantasma de la discriminacion no tiene mucho recorrido en la UE: la no discriminación entre residentes, independientemente de su origen, es orgánica en todos los derechos UE. (Por eso Cameron prefirió organizar el paripé de Bruselas, supongo que en casa ya llegaron hasta donde podían llegar sin que algún juez se lo tumbara).
Es más inteligible, aunque más abstracto, razonar como hacen las propias Directivas:
Estado responsable (=que presta el servicio en naturaleza a todo residente, sin discriminación) y
Estado Competente (=el que paga la prestación y cobra las cotizaciones sociales. Lo determina la residencia FISCAL, que no es siempre la misma residencia que determina al Estado Responsable ).
Las Directivas sólo contemplan las prestaciones en naturaleza (=acceso al médico y derechos proximos: invalidez, pension...), mientras que todo las demás prestaciones en dinero se regulan por ley interior. En las primeras, el Estado competente (el de residencia fiscal del trabajador) compensa al Estado responsable el coste de las prestaciones consumidas. En las segundas no, y tan sólo se exige al Estado Responsable la no discriminación de ciudadanos UE.
De forma que un trabajador UE que se traslada a UK tiene acceso a todas y las mismas prestaciones que los ciudadanos UK.
En lo que entendí de Camerón, el problema es que UK da subvenciones por ejemplo en función del numero de hijos, mirando sólo la residencia del trabajador, pero sin mirar donde residen los hijos! Resultado: se encuentran dando subvenciones escolares a hijos escolarizados en Polonia, porque su padre trabaja y reside fiscalmente en UK. En Francia también hubo muchas cuestiones con el tema de pagar alocaciones familiares o mínimas a familias enteras en Argelia Tunez o Marruecos.
Al final, creo que se debería generalizar la lógica de la directiva, sin mirar a la diferencia de prestaciones.
Es decir, generalizar el mecanismo que distingue Responsabilidad en prestaciones y Competencia fiscal a la hora de pagar las prestaciones y cobrar las cotizaciones.
Si te quedas a ese nival, generalizar ese mecanismo de Responsabilidad/Competencia no sólo es facil, sino que no exige para nada unificar las politicas y modelos sociales. Aunque claro, si quieres generalizar el mecanismo a las subvenciones no contributivas, éstas tendrán que tener un denominador común. O mandar un estudiante que se dedica a criar hijos en UK o FR iba a salirle a ES por el ojo de la cara (por ahora, sólo le sale por el ojo de la cara a UK o FR)
Es decir, habría que haber saltado sobre la ocasión de Cameron y en lugar de limitar el alcance de las alocaciones familiares, como en el caso de las familias polacas, habría sido la ocasión de ampliar el mecanismo social europeo. Pero politicamente, no era el discurso que esperaban los euroescépticos. A pesar de todo, supongo que la idea está latente, y el mecanismo UE actual ya demuestra que funciona, y que es resiliente.
Vamos, lo que a veces comento acerca de los inmigrantes, extraeuropeos, que sería la oportunidad de transformarlos en un activo, en lugar de sobrecargar al Estado Responsable con ellos, Sería una forma de financiar a crédito la reconstruccion de Siria (=al designarlo Estado Competente extraUE, con una cuenta de compensación a crédito, sí, pero a pagar por sus nacionales independientemente de donde tengan la residencia fiscal) por ejemplo. Quizás esté ya en el aire. Pero me extraña mucho que no se oiga nada.
@Republik, tienes links sobre la normativa de compensación que ya existe entre Lam y España ?
No me refiero a Convenios fiscales, sólo las normativas sanitarias, para saber si están redactados en la misma lógica de funcionamiento Estado Responsable / Estado competente
........................................
Blasco Ibañez ya lo analizó en "Arroz y tartana" en el 1894. Y aún hay quien piensa que la sociedad española va a cambiar.
Arroz y tartana= Tetas y Cayennes
Me leí el libro el fin de semana terelu, gracias por la recomendación. Una auténtica obra maestra, explica mejor que cualquier tratado de economía el por que en España es imposible la acumulación de capital. Efectivamente si cambias los carruajes por Cayennes y los vestidos de seda por las tetas de plástico seguimos exactamente en el mismo lugar que hace 120 años....y por los vientos que soplan allí seguiremos.
Un saludo
Yo le iría pasando armas de destrucción masiva al PKK y que se joda el turco. Les perdonamos la vida tras 1918, hicimos la vista gorda al monstruoso genocidio armenio, paguitean masivamente en Alemania y ahora esto. Mejor muerta que en la UE, y no sería tan difícil si logramos romper con USA (me reía de Trump pero ahora me encantaría verle en la Casa Blanca rompiendo la OTAN y encerrándose en su territorio).
La Comisaria Europea de Trabajo y Asuntos Sociales Marianne Thyssen presentará una propuesta para reformar la directiva comunitaria del 8 de marzo de 1996 en la que se incluirá el principio rector de “Igual trabajo, igual salario en el mismo lugar de trabajo”, con el objetivo de reducir el dumping social.
Esta será la segunda vez que se reforma la Directiva de 1996 sobre los sueldos de los trabajadores desplazados en Europa. En abril de 2014 ya se incluyó un texto en esta Directiva destinado a reforzar la protección de los trabajadores desplazados dentro de la Unión, pero no ha resuelto los problemas de dumping social. Por lo que ahora se pretende mejorar una legislación que está permitiendo abusos en este sentido. La Comisaria Marianne Thyssen llevará esta propuesta el próximo martes 8 de marzo al Colegio de Comisarios, a instancia de Alemania, Francia y otros cinco países europeos afectados por el aumento de trabajadores afectados por el dumping y la competencia desleal en estos países.
El principio por el que se regirá esta reforma es el de: “Igual trabajo, igual salario en el mismo lugar”. Las reglas básicas del trabajo no van a cambiar. El trabajador deberá tener las mismas reglas salariales del país anfitrión, con el mismo régimen de la seguridad social y está ligado estrechamente a la libre prestación de servicios dentro de la Unión Europea. Lo que se pretende es conseguir reglas más claras y más justas en el pago de los sueldos, para que el trabajador desplazado este seguro de que cobrará el mismo salario que los demás empleados que trabajan en el mismo lugar de trabajo. Este principio deberá ser respetado incluso por los países en los que no existe un salario mínimo o hay un trabajador temporal o subcontratado.
Son decenas de testimonios los que han demostrado que hay trabajadores de los países orientales que reciben salarios muy bajos en mataderos, granjas o empresas de construcción. La reforma de la Directiva de abril de 2014 ya corrigió en parte estos abusos. Tambien se debatirá sobre el aumento de las empresas de trabajo temporal en los países del Este. Esta nueva reforma tendrá que contar con el apoyo mayoritario de los Comisarios Europeos, entre los que también están representantes de los países del Este. La Comisaria Marianne Thyssen es consciente de la mala imagen de los trabajadores desplazados en Francia, por lo que espera que los lideres franceses entiendan que la libre prestación de servicios en un mercado único es fundamental y que no es lógico que algunos estados jueguen con esta ventaja comparativa
Alemania castiga a los grandes partidos por la crisis de refugiados
Los primeros sondeos atribuyen una clara derrota a Merkel y una subida mayor de la prevista a los populistas xenófobos
Alemania toma modelo de España
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/03/13/actualidad/1457890396_022335.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/03/13/actualidad/1457890396_022335.html[/url])CitarAlemania castiga a los grandes partidos por la crisis de refugiados
Los primeros sondeos atribuyen una clara derrota a Merkel y una subida mayor de la prevista a los populistas xenófobos
¡Por una Europa más divertida!
saturno, creo que cometes el mismo error que los que creen que las pensiones son una hucha.
Partiendo de que se supone que un Estado no va a adherirse o separarse de la UE frívolamente cada fin de semana o cada año, un Estado Miembro no aporta ni recibe fondos con "compromiso de permanencia".
No creo que tenga sentido pedir devoluciones de fondos aportados en ninguno de los sentidos.
Además, en la práctica, esa exigencia tuya se traduciría en una traba a la salida de un Estado Miembro: o la UE "no te dejaría salir" por no devolver los fondos recibidos, o "tú no te saldrías" hasta que la UE no te devolviera los fondos aportados (lo que bien podría suceder cuando las ranas críen pelo).
N- E
0-0 -- Separación amiable. Tanto el Estado como Europa se quedan con sus pérdidas
0-1 -- Europa reclama al Estado todas las ayudas recibidas (por ej. la PAC, ayudas estructurales)
1-0 -- El Estado reclama a Europa todos los fondos aportados a la caja común (idem)
1-1 -- Desde todas las ciudades de Europa, se organizarán manifas y marchas para tomar el Parlamento Europeo al grito de "-- Abajo los Eurócratas. Queremos el poder en el Parlamento, elecciones y consultas directas."
Conste, que hemos perdido una excelente ocasión histórica con los Brits.
España , como de costumbre, va décadas retrasada y la oferta "antisistema" es latinoamericanoide en las formas y furiosamente pro-NWO en el fondo .
[...]
¿Quiénes somos los de “aquí”? Los millones de europeístas, cada vez más recelosos y sobresaltados por el declive de los principios y valores en nuestra Europa oficial.
Nos nos fiamos de Ellos, ni de su atropellada lengua de trapo. Nos preparamos para la lectura de las conclusiones del Consejo Europeo de hoy: para descrubir sus imposturas y triquiñuelas.
[...]
España , como de costumbre, va décadas retrasada y la oferta "antisistema" es latinoamericanoide en las formas y furiosamente pro-NWO en el fondo .
(Con ganas de polemizar, a ver si desarrollas tus ideas, las argumentas)
¿Retrasada? -- Sinceramente, en relación a la época industrial, puede ser, aunque francamente, tampoco lo hizo tan mal. Aún está ahí (Norte y Cat), y en cuestión agrícola, aún hoy, lo hizo bien.
Pero donde es modélica, es en términos socio-politicos, Spain es la quinta-esencia de Europa. Al menos desde la CE-78 con el modelo territorial, el bipartidismo homogéneo desde Felipe hasta hoy, el ascenso de Podemitas y Cs. Administrativamente, funciona convenientemente bien. Su sistema fiscal es un referente.
Fíjate que economicamente, incluso supera los modelos post-industriales : perfección modélica del Capitalismo-Popular, Y ya puestos, experimentó la primera y guarda memoria de las revoluciones populares post-1917, de los totalitarismos, y hasta anticipó la WW2 con 5 años antelación. Aún se estudian sus innovaciones históricas en las universidades de todo el mundo
Y no hablemos de tradición literaria, musical, y pictórica. La concienca de Europa no existe sin España.
Conste que no lo digo irónico. Es que parece un tópico lo de denigrarse, y al final uno olvida que los paises más al norte están incluso peor y con taras sociales y mentales incluso más perversas.
¿Pro-NWO? Bueno, eso no entiendo qué otra cosa puede ser. Lo atribuyo a la mentalidad imperial que se desarrolló con el Nuevo Mundo y que combatió a Holandeses e Ingleses. Incluso la mentalidad de EEUU y de España, son sorprendentemente similares en muchos aspectos. Pero es normal porque los primeros ḿamaron de la segunda como mínimo hasta la Guerra Civil americana. Es normal que esté formateada así.
A ver ahora qué dices. (mientras voy a buscar una imagen del Rapto de Europa, que me parece que toca)
Voilà:
([url]http://img.over-blog.com/369x500/4/23/33/17/Les-evenements-./2013-07_Biennale-Sisteron/2013-07_Biennale-Claude-02.jpg[/url])
Claude Boutterin, pintor de Les-Omergues ([url]http://www.les-omergues.com/article-les-artsites-de-la-vallee-a-la-biennale-2013-des-arts-de-sisteron-119160732.html[/url]) (hacia 2012)
Mis conclusiones, sacadas en 5 segundos:
Diem25 es el "círculo Podemos" paneuropeo.
Y me sobran 2 segundos. Y no me equivoco.
El collage sale en la portada de la web, en las diapositivas, no en el foro. También salen Assange y Varo, junto a más gente que supongo serán "los más de lo más" en sus respectivos ámbitos intelectuales los cuales por supuesto serán de humanidades y ciencias políticas, eso con suerte, de ahí la tremenda facilidad que tienen para resolver problemas de ingeniería y logística (alimentaria o demográfica) al golpe de SI SE PUEDE :roto2:
Saturno amigo mío, no te tomes estos desprecios rancio-machistas-sectario-reaccionarios como reales, sino como cinismo teatral llevado al extremo.
¿Que son muy buenos? ¿Que son muy demócratas?
Pues yo lo soy más.
Y por cada uno de ellos, yo pongo 5 con ideas/ocurrencias exactamente opuestas.
¿Puede haber algo más demócrata que la extrema derecha campando a sus anchas en las elecciones locales de media europa? Por cada Diem25 te traigo 20 foros neonazis con el doble de actividad (es un decir).
El "hecho democrático" tiene el mismo valor si viene de un negro que de un ario, por decirlo en términos que rayen lo políticamente incorrecto. Salvo que queramos apoderarnos de la palabra democracia y hacer de ella lo que no es ni nunca ha sido, que me parece es el sentido de "los círculos" cuando dicen que Europa ya no es democrática.
Esta frase aparece en su portada.
Soy un gato escaldado. Perro viejo. Soy un perro-gato.
Al final, un pequeño ratón en internet.
Y cuanto más desapercibido, mejor.
Un abrazo.
Mis conclusiones, sacadas en 5 segundos:
Diem25 es el "círculo Podemos" paneuropeo.
Y me sobran 2 segundos. Y no me equivoco.
El collage sale en la portada de la web, en las diapositivas, no en el foro. También salen Assange y Varo, junto a más gente que supongo serán "los más de lo más" en sus respectivos ámbitos intelectuales los cuales por supuesto serán de humanidades y ciencias políticas, eso con suerte, de ahí la tremenda facilidad que tienen para resolver problemas de ingeniería y logística (alimentaria o demográfica) al golpe de SI SE PUEDE :roto2:
Saturno amigo mío, no te tomes estos desprecios rancio-machistas-sectario-reaccionarios como reales, sino como cinismo teatral llevado al extremo.
¿Que son muy buenos? ¿Que son muy demócratas?
Pues yo lo soy más.
Y por cada uno de ellos, yo pongo 5 con ideas/ocurrencias exactamente opuestas.
¿Puede haber algo más demócrata que la extrema derecha campando a sus anchas en las elecciones locales de media europa? Por cada Diem25 te traigo 20 foros neonazis con el doble de actividad (es un decir).
El "hecho democrático" tiene el mismo valor si viene de un negro que de un ario, por decirlo en términos que rayen lo políticamente incorrecto. Salvo que queramos apoderarnos de la palabra democracia y hacer de ella lo que no es ni nunca ha sido, que me parece es el sentido de "los círculos" cuando dicen que Europa ya no es democrática.
Esta frase aparece en su portada.
Soy un gato escaldado. Perro viejo. Soy un perro-gato.
Al final, un pequeño ratón en internet.
Y cuanto más desapercibido, mejor.
Un abrazo.
No te disculpes. Sólo dije que sonriéramos un poco, por si los hispanohablantes seguían los links.
Que este foro es como el camino de Salvación, que para quien sueña con foros de vino y rosas, frutas y hierba tierna, el nuestro parece un camino de piedras y espinas (cf. hasta en el nombre de hilos, como "La travesía del desierto" :D) ).
Hasta que no se despierta, hasta que no se desvanecen las fantasías animadas, no se puede comprender la dulzura y el buen humor que hay en tus comentarios, je, je. :biggrin:
De todos modos, el debate de DIEM25 aún no sé si es sobre "democracia".
Al leerte, pensé dos cosas:
-- Que el cerebro necesita sobrevivir, como dice el maestro, y democracia será lo que uno siga creando: un mundo de fantasías, de vino y rosas, aunque desde otros territorios (de supervivencia. también), otros la consideren fascismo, rojerío de mierda o fanatismo de cualquier índole.
-- Que aunque sean fantasias, algo proprio del ser humano, con esos seres humanos hay que convivir, incluyendo sus fantasias.
Que las fantasías conduzcan a agunos a estrellarse contra la Realidad no supone ninguna ventaja, ninguna victoria para nadie. Además, así no desaparecen las fantasías. Lo que desaparece son quienes creian en ellas. Pero vienen otros detrás, y levantarán de nuevo las mismas fantasías, y quedamos igual.
Creo más importante recomponer esas fantasías, reordenarlas, hacerla más viables, transformarlas en una "solución" que valga aquí y ahora, si con eso evitas el CPM.
(QSJ el CPM ! ;) ).
Así entiendo el DIEM25, cómo se puede participar en ello.
Como lo veo, el planteamiento paneuropeo "ciudadano" es correcto, las 4 líneas de discusión que propone son correctas y finalmente, las soluciones que a veces se me ocurren, con las que yo cavilo, parecen encajar en ese planteamiento.
Si resulta que no sirve de nada, pues no pasa nada, por aquí seguiré, contemplando con vosotros la eternidad más allá del caos, y comiendo palomitas.
8)
Estimado Saturno, esos artículos están sesgados por ir dirigidos a españoles, intentar "rimar" lo de ahora de Francia con lo que ocurrió en España y por recoger declaración de indignados españoles, que ahora repiten en Francia. En los medios / foros / blogs / calles franceses, ¿se habla del modelo 15-M español? Porque faltar no faltan modelos de "indignación", empezando por Grecia.
Saludos,
Falta dinamitar el rentismo parasitario que ha convertido el pisito en un proceso lucrativo en lugar de un bien de consumo. Mientras no se acabe con el rentismo, seguirán saliendo Indignados por todas partes, y habrá cada vez más cuanto menos rentismo perdure. Hasta que los Indignados reconstruyan a su vez su vida y el mundo.
Creo que es bueno. ;)
[url]http://www.libremercado.com/2016-04-03/jose-garcia-dominguez-por-un-salario-minimo-de-2150-euros-78590/[/url] ([url]http://www.libremercado.com/2016-04-03/jose-garcia-dominguez-por-un-salario-minimo-de-2150-euros-78590/[/url])
Y no hay mucho más, es así de simple la cosa. UN país de altas prestaciones sociales y bajos salarios vive en un permanente desequilibrio.
En dinero agregado no es tanto, en España hay del orden de 5M de salarios anómalamente bajos a los que les faltan de media 4.000 euros anuales para estar en línea con los europeos (corrigiendo por nivel de productividad). Esto son €20.000M o el 1,8% del PIB, que serían hasta 25.000 o el 2,3% sumando cotizaciones sociales. ¿Qué pasa con ese dinero?
Probablemente es algo tan simple como que se convierte en exceso de beneficios empresariales (o de gastos suntuarios del empresario) por mor de la fortísima asimetría negociadora que padecemos en España en materia salarial. Y lo peor es que la cantidad, baja en términos de PIB, seguramente es además un flujo "negro" en buena parte de casos. Porque los salarios bajos se concentran en la empresa pequeña y mediana y en los sectores primario, hostelería y servicios minoristas o construcción (subcontratas).
[...]
Lo que supongo que han hecho los del grupo "Convergencia de luchas", ha sido estudiar muy de cerca la organización, teorizarla, discutirla, comprender qué era posible hacer en España, y qué lo sería en Francia, y cómo. Una vez contrastado, reducido a coordenadas cartesianas inteligibles para ello, y habiendo comprobado que estaba entendido, pues simplemente, sacaron el compás y la regla, y ¡aplicaron el "teorema galo" a la realidad!
[...]
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Lo que supongo que han hecho los del grupo "Convergencia de luchas", ha sido estudiar muy de cerca la organización, teorizarla, discutirla, comprender qué era posible hacer en España, y qué lo sería en Francia, y cómo. Una vez contrastado, reducido a coordenadas cartesianas inteligibles para ello, y habiendo comprobado que estaba entendido, pues simplemente, sacaron el compás y la regla, y ¡aplicaron el "teorema galo" a la realidad!
[...]
Me temo que las autoridades francesas habrán hecho exactamente lo mismo. (Si no sale en la tele..)
-Esto es lo peor: tenemos un gran excedente demográfico que hay que manejar y sin ayuda externa que lo absorba no es fácil: 13M de personas producirían el PIB español con productividad francesa, pero incluso con una menor pero más adaptada a la realidad salarial, 15-17M serían suficientes y tenemos 18M legales pero 23M que quieren trabajar (Francia tiene 29M queriendo y 26M haciéndolo).
[...] Sin poder afirmarlo, como observador, intuyo que la apuesta es la misma que cuajó en el 15M, y siguió por Occupy, Tahir y otros sitios. En definitiva, es la lección de Gandi.
[...]
-Esto es lo peor: tenemos un gran excedente demográfico que hay que manejar y sin ayuda externa que lo absorba no es fácil: 13M de personas producirían el PIB español con productividad francesa, pero incluso con una menor pero más adaptada a la realidad salarial, 15-17M serían suficientes y tenemos 18M legales pero 23M que quieren trabajar (Francia tiene 29M queriendo y 26M haciéndolo).
No llego a entender que haya tanta gente que quiera trabajar, si dando subvenciones (incompatibles con el paro), por bajas que éstas sean, (supongo que) hay varios millones de parados que dejarían de ser demandantes de empleo. Hay muchos contrastes, por un lado millones de parados, y por otro mucha gente con una conciliación familiar muy complicada. La natalidad es tan baja, más por las dificultades de conciliar, que porque realmente no se llegue a fin de mes.
Visto que compartir el trabajo no parece tan eficiente, creo que se debe facilitar de alguna manera que gente con rentas no demande empleo, ya que la sociedad se está polarizando de manera alarmante, unos sin trabajo y otros con buenos ingresos, pero al mismo tiempo llevando una "mala vida" y que acogerían con ciertas condiciones salir del mercado laboral.
Francia tiene a 29m sobre 66M queriendo trabajar. Es verdad que un sistema de subsidios bien planteado ayuda a reducir presión sobre el mercado laboral. Una especie de RGI a la vasca con restricciones pero que sumara el 1-1,5% del PIB sí que es algo que se tendrá que plantear antes o después buscando de dónde arañar los recursos, claro. 18000M dan para pagar una minirenta a 3M de personas en edades fuera de las típicas de nuestro sistema de protección social.
Los Estados norteños de Europa disponen de una capacidad de gasto público que España no tiene (Alemania está en torno de los 16 mil euros por persona mientras España está en torno de los 10 mil euros por persona [con exceso de deuda pública para sostenerlo]). Por eso, el empleado norteño es receptor neto de ayudas sociales que hace que puede tener lagunas en su expediente laboral (cuidar a los hijos, año sabático, formación).
@ Mad Men, tienes razón. Mayores servicios públicos (bien gestionados) o vales descuento/cheques ayuda a cohesionar a la población y además ayuda a que hubiera menos corrupción. Pero España no genera suficiente riqueza per cápita para crear un potente Estado de Bienestar. Aunque se recaudase toda la evasión fiscal (que es imposible) serían casi 2 mil euros per cápita para el gasto público. No llegamos al gasto medio per cápita de los países con gran tamaño de población en la Europa Occidental como Alemania o Francia que superan los 15 mil euros por persona. No llegamos a países pequeños en población como Dinamarca que superan los 25 mil euros por cápita.
Las razones de la poca capacidad de generación de riqueza per cápita se ha dicho en el foro: preeminencia del sector del ladrillo en nuestro ecosistema crediticio y económico, un mix fiscal que penaliza al trabajo, un sistema crediticio que no otorga crédito suficiente a la industria, el poco tamaño medio de las empresas, una estructura institucional poco eficiente y tendente a la corrupción institucional, etc, etc........ No somos capaces de crear capital de alto valor añadido o atraerlo desde el exterior. Quizás nuestra paradoja es que el oro amarillo como lo llamo (el turismo exterior) aunque no podamos vivir enteramente de ello (aunque vienen millones de personas al año a hacer turismo en nuestra tierra son insuficientes para que la economía española pueda vivir de ella de forma exclusiva) impide crear sectores pujantes de alto valor añadido. Somos como Japón. Tenemos una dependencia energética exterior brutal. Japón tuvo que espabilar mientras España gracias al oro amarillo no espabilamos. Genera una renta anual segura y cómoda. Pero cuando tenemos que espabilarnos, espabilamos. Por eso, crece cada año las exportaciones. Pero no lo suficiente. Para generar un gasto público similar a RFA debemos gastar en torno de los 700.000 millones de euros. Una barbaridad. El PIB español per cápita debe crecer de forma considerable. Hay dos caminos: mantener la actual productividad (que según @Republik no es tan mal) y bajar la población en millones de personas o aumentar la productividad de la economía (aquí hay mucho recorrido) sin crecer apenas la población.
Los Estados norteños de Europa disponen de una capacidad de gasto público que España no tiene (Alemania está en torno de los 16 mil euros por persona mientras España está en torno de los 10 mil euros por persona [con exceso de deuda pública para sostenerlo]). Por eso, el empleado norteño es receptor neto de ayudas sociales que hace que puede tener lagunas en su expediente laboral (cuidar a los hijos, año sabático, formación).
@ Mad Men, tienes razón. Mayores servicios públicos (bien gestionados) o vales descuento/cheques ayuda a cohesionar a la población y además ayuda a que hubiera menos corrupción. Pero España no genera suficiente riqueza per cápita para crear un potente Estado de Bienestar. Aunque se recaudase toda la evasión fiscal (que es imposible) serían casi 2 mil euros per cápita para el gasto público. No llegamos al gasto medio per cápita de los países con gran tamaño de población en la Europa Occidental como Alemania o Francia que superan los 15 mil euros por persona. No llegamos a países pequeños en población como Dinamarca que superan los 25 mil euros por cápita.
Las razones de la poca capacidad de generación de riqueza per cápita se ha dicho en el foro: preeminencia del sector del ladrillo en nuestro ecosistema crediticio y económico, un mix fiscal que penaliza al trabajo, un sistema crediticio que no otorga crédito suficiente a la industria, el poco tamaño medio de las empresas, una estructura institucional poco eficiente y tendente a la corrupción institucional, etc, etc........ No somos capaces de crear capital de alto valor añadido o atraerlo desde el exterior. Quizás nuestra paradoja es que el oro amarillo como lo llamo (el turismo exterior) aunque no podamos vivir enteramente de ello (aunque vienen millones de personas al año a hacer turismo en nuestra tierra son insuficientes para que la economía española pueda vivir de ella de forma exclusiva) impide crear sectores pujantes de alto valor añadido. Somos como Japón. Tenemos una dependencia energética exterior brutal. Japón tuvo que espabilar mientras España gracias al oro amarillo no espabilamos. Genera una renta anual segura y cómoda. Pero cuando tenemos que espabilarnos, espabilamos. Por eso, crece cada año las exportaciones. Pero no lo suficiente. Para generar un gasto público similar a RFA debemos gastar en torno de los 700.000 millones de euros. Una barbaridad. El PIB español per cápita debe crecer de forma considerable. Hay dos caminos: mantener la actual productividad (que según @Republik no es tan mal) y bajar la población en millones de personas o aumentar la productividad de la economía (aquí hay mucho recorrido) sin crecer apenas la población.
Estoy de acuerdo, pero creo que la situación más probable es la de mantener la actual productividad (que no está mal) pero también mantener la población actual, algo podría bajar, pero no lo mucho.
En ese escenario nos encontramos, si eso da para menos renta que en otros paises, si el Estado del Bienestar no es tan alto, se debe reducir el gasto público sin remedio. La conciencia de que España es un país con menos capacidad de gasto que por ejemplo Alemania, aunque más que Rumanía, creo que es conocida por todos. Si eso se recalca, todavía chocará más el derroche, los aeropuertos fantasmas, AVEs, subvenciones a ONGs, etc y la gente será más crítica frente a ésto, lo que podría mejorar el uso del dinero público. Si nos creemos ricos, nos indignaremos por cosas ilógicas.
Aunque la causa de tener menor capacidad de gasto no sea tanto por la baja productividad sino por el incremento de población brutal del 2000-2006, lo importante es el hecho de esa menor riqueza. Y en general la gente sabe que Alemania o Suiza son paises más ricos, todo el mundo lo sabe, entonces, ¿de dónde viene la indignación? Por el reparto de la renta, no por tener menor renta. No es comprensible tener 4 millones de parados, De ahí mi comentario anterior. Deberiamos parecernos más a otros paises, con las diferencias lógicas de renta, y si para ello tiene que haber una RGI debido a la particularidad de tener tanta gente en edad de trabajar, debe implementarse, con todos los controles que sean necesarios.
Estoy oyendo a un residente en Bélgica que habla en el programa de Trevijano y hay cosas interesantes del mercado inmobilirio belga:
-Parece que el peso del eurofuncionariado es inmenso no solamente por residencia sino como inversión.
-Las rentas tributan a cero y lo mismo las plusvalías inmobiliarias.
-Casi todo el alto funcionariado y gente del lobby está cargado de pisitos.
Pero tienen el turismo hundido, el aeropuerto cerrado y mucho miedo.
Siempre me han extrañado las cifras macro belgas porque son demasiado buenas y alguna vez he visto que el impacto de ser la sede comunitaria es de más del 10% del PIB, siendo además considerado el país receptor neto de fondos comunitarios sin contar los salarios, por otro tipo de gastos imagino.
Pues lo que rumorea este hombre, que parece conocer bien aquello (y sospecho que vive de alquiler porque se regodea con la inmocatástrofe), es que ya hace tiempo que se piensa en crear una euroárea en Alemania para llevarse el tinglado bruselense, podría ser en torno a Colonia-Bonn, parece. La verdad es que es un área con muy buenas infraestructuras, tren de AV, etc . Ahora, en lo que se podría quedar Bélgica sin ese chollo es tremendo, la partición del país estaría asegurada, pero entonces a ver quién quiere Bruselas sin el chollo (en tiempos se habló de un plan ya hecho para que Flandes se integre en Holanda y Valonia en Francia, dejando Bruselas como ciudad-estado).
Sic transit..... mucho eurofunci debe estar temblado, me acuerdo de un pariente de un amigo, eurócrata que al parecer se jubiló con 55 años y metió todo el dinero del fondo de pensiones más un hipotecón en un edificio de apartamentos pequeñito que le daba más de 12.000 euros mensuales (allí netos por no haber impuestos). Burbujas, burbujas por doquier.
Esto tiene un gran alcance porque tampoco será extraño que Alemania puje por constituirse en una sede financiera a la altura de los €10B de PIB de la eurozona, con sus mercados de deuda, etc.
Lo mismo n version artículo:
[url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/04/06/57054316e2704e00608b4633.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/04/06/57054316e2704e00608b4633.html[/url])
Lo interesante es el conflicto aristocracia representativa (el parlamento aprobó) y democracia popular (el referendum rechazó)
(Más interesante es organizar un referendum con 30% de línea de corte.)
Lo mismo n version artículo:
[url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/04/06/57054316e2704e00608b4633.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/internacional/2016/04/06/57054316e2704e00608b4633.html[/url])
Lo interesante es el conflicto aristocracia representativa (el parlamento aprobó) y democracia popular (el referendum rechazó)
(Más interesante es organizar un referendum con 30% de línea de corte.)
Democracia popular cualificada se llamaría eso.
Con bajarlo otro orden de magnitud ya se podría incluso cumplir el sueño húmedo de muchos democraradikales.
Entonces sería democracia popular asamblearia cualificada.
Imaginen si además fuera república!
Hmmmmmm....
Alguno tendrá poluciones.
R.D.P.A.C. de las Españas.
Pendón morado.
Holanda rechaza en referéndum el tratado de asociación de la UE con Ucrania
[url]http://app.nos.nl/datavisualisatie/referendum-2016/[/url] ([url]http://app.nos.nl/datavisualisatie/referendum-2016/[/url])
62% NO
38% SI
con un 32,2% de participación, más del 30% requerido para que sea válido.
-- "C'est pas possible !" que en Paris no hubiera un 15 M. Pues ahí lo tienen.
-- "C'est pas possible !" que en Paris no hubiera un 15 M. Pues ahí lo tienen.
Por su bien, esperemos que no sea un 15M. Si lo es, en breve dejarán de hablar de lo crucial, estarán haciendo sub-asambleas sobre lenguaje sexista o especismo, y se irán a casa a twittear porque un nuevo partido llamado Pouvons les prometerá arreglarlo todo por ellos.
JAMES ROBINSON | PROFESOR DE HARVARD
“El referéndum del ‘Brexit’ es una estupidez”
El prestigioso politólogo y economista, coautor de ‘Por qué fracasan los países’, advierte del auge del proteccionismo y del nacionalismo en estos días
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/04/08/actualidad/1460136509_781535.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/04/08/actualidad/1460136509_781535.html[/url])
This past April 2, 2016, Wikileaks released transcripts of a secret teleconference among IMF officials that occurred on March 19. In it, leading IMF directors expressed concern that discussions between Greece and the IMF’s Troika partner, the European Commission, on terms of implementing last August’s deal were going too slowly. The Eurozone and Greek economies have been deteriorating since last August. Still more austerity would thus be needed, according to the discussions among the IMF participants in the teleconference. And to get Greece to agree, perhaps a new ‘crisis event’ would have to be provoked.
The original August 2015 deal called for Greece to introduce austerity measures that would result in a 3.5% annual GDP budget surplus obtained from spending cuts, tax hikes, and public works’ sales needed to make the debt repayments to the Troika. But the IMF’s latest forecast for 2016 is that Greece in 2016 would have a -1.5% GDP budget deficit, not a 3.5% budget surplus. And 2015, for which numbers are not yet available, was probably even worse. Getting from -1.5% or worse to 3.5% was thus virtually impossible, according to the IMF discussants on March 19, and therefore additional austerity measures were necessary.
THOMSEN: So the program is not financed and contingent debt relief... the debt relief is not
coming either, because they are not on track to meet the criteria. That is the whole point.
They essentially need to agree to make OUR targets the baseline and then have something in
that they hope that will overperform. But if they don't, they will still disburse. Right?
VELKOULESKOU: Yeah, that's right.
THOMSEN: They are not going to agree to that.
VELKOULESKOU: No. The first question is when is this thing going to be even discussed. Right?
Somebody needs to discuss it. I know Thomas Wieser is setting up a call on the 30th of this
month.
THOMSEN: Well, I don't know. But this is... I think about it differently. What is going to bring it all
to a decision point? In the past there has been only one time when the decision has been
made and then that was when they were about to run out of money seriously and to default.
Right?
VELKOULESKOU: Right!
THOMSEN: And possibly this is what is going to happen again. In that case, it drags on until July,
and clearly the Europeans are not going to have any discussions for a month before the
Brexits and so, at some stage they will want to take a break and then they want to start again
after the European referendum.
VELKOULESKOU: That's right.
THOMSEN: That is one possibility. Another possibility is one that I thought would have happened
already and I am surprised that it has not happened, is that, because of the refugee situation,
they take a decision... that they want to come to a conclusion. Ok? And the Germans raise
the issue of the management... and basically we at that time say "Look, you Mrs. Merkel you
face a question, you have to think about what is more costly: to go ahead without the IMF,
would the Bundestag say 'The IMF is not on board'? or to pick the debt relief that we think
that Greece needs in order to keep us on board?" Right? That is really the issue.
VELKOULESKOU: Correct!
VELKOULESKOU: When is that going to happen? I don't know, I am surprised that it has not
happened yet. I would, for the sake of the Greeks and everyone else, I would like it to
happen sooner rather than later.
VELKOULESKOU: I am hoping it's going to happen with these debt discussions that are starting in
mid April.
THOMSEN: But that is not an event. That is not going to cause them to... That discussion can go on
for a long time. And they are just leading them down the road... why are they leading them
down the road? Because they are not close to the event, whatever it is.
VELKOULESKOU: I agree that we need an event, but I don't know what that will be. But I think
Dijsselbloem is trying not to generate an event, but to jump start this discussion somehow
on debt, that essentially is about us being on board or not at the end of the day.
THOMSEN: Yeah, but you know, that discussion of the measures and the discussion of the debt can
go on forever, until some high up.. until they hit the July payment or until the leaders decide
that we need to come to an agreement. But there is nothing in there that otherwise is going
to force a compromise. Right? It is going to go on forever.
VELKOULESKOU: It will, yes, until July, if nothing happens beforehand. I agree.
THOMSEN: OK. I don't know, let's see. I hope for the sake of the Greeks that we are going to find
a solution soon... I mean, let's face it, you guys are not going agree on ... these discussions
that you have out there, they're not going to lead to... they are not going to come around to
accept our views. Right? They are not!
VELKOULESKOU: No, they are not...
THOMSEN: And they are not even getting close. Right?
VELKOULESKOU: They are not getting close. What is interesting though is that they did give in...
they did give a little bit on both the income tax reform and on the.... both on the tax credit
and the supplementary pensions. They are doing something but it is very small...
THOMSEN: Well, if they come around to give us the 2.5% and not on Mickey Mouse stuff, we
should be fully behind them.
VELKOULESKOU: I agree. There is a scenario out there that they get pressured enough, that they
would... I think actually politically for them it is possible to give on both of these things. But
they don't have any incentive and they know that the Commission is willing to compromise,
so that is the problem. In a way we went into this negotiation with the wrong strategy,
because we negotiated with the Commission a minimal position and we cannot go further
and the Commission is just starting from this one and is willing to go much further. So, that
is the problem. We didn't negotiate with the Commission and then put to the Greeks
something much worse, we put to the Greeks the minimum that we were willing to consider
and now the Greeks are saying "Well we are not negotiating". I agree with your concern that
this date is bad for us because we will get stuck as you say, so we need to think about it
when we are back.
THOMSEN: They only comfort I have is that you cannot hang out there forever. You will have to
wrap it up before the spring meetings.
VELKOULESKOU: Yeah, we need an agreement with the Europeans of an exit date. We need to
make it very explicit with the Europeans and with the Greeks, before we go back.
Stand by for another euro crisis
Once again the government is having to manage its negotiations with its creditors amid cash woes. “The situation is not as bad as it was last year,” ministry officials poignantly noted, while making it clear that the problem has already started. This month a hole of 500 million euros was filled using repos, with the Bank of Greece taking a short-term loan from state entities with available cash.
That way, officials at the State General Accounting Office expect the cash reserves to last up to the first 20 days of May.:roto2:
https://www.project-syndicate.org/commentary/italy-not-germany-leads-europe-by-anatole-kaletsky-2016-04 (https://www.project-syndicate.org/commentary/italy-not-germany-leads-europe-by-anatole-kaletsky-2016-04)
Grecia, estudio publicado por Handelsblatt
Admitido: El 95% de la ayuda a Grecia se destinó a ayudar a bancos alemanes y franceses
[url]http://www.eleconomista.es/economia/noticias/7541360/05/16/El-ESMT-de-Berlin-reconoce-que-la-ayuda-a-Grecia-fue-para-rescatar-a-lo-banca-europea.html[/url] ([url]http://www.eleconomista.es/economia/noticias/7541360/05/16/El-ESMT-de-Berlin-reconoce-que-la-ayuda-a-Grecia-fue-para-rescatar-a-lo-banca-europea.html[/url])
En FR
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/non-la-grece-n-a-pas-recu-l-aide-a-la-grece-569296.html[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/non-la-grece-n-a-pas-recu-l-aide-a-la-grece-569296.html[/url])
Ya, pero es que la alternativa era vaciar los bolsillos de depositantes de varios países europeos y de paso quebrar la banca griega.
He estado viendo las reformas griegas y la de mayor importe es un subidón del IVA mediante una dura reclasificación de bienes y servicios pasando casi todo al 23%; y EN España el IVA representa el 50% de los 50MM en exenciones y devoluciones de todo el sistema fiscal así que veremos algo parecido , me temo.
Luego aprietan en sociedades y en deducciones y exenciones del IRPF. Es curioso que no hayan tirado por el camino húngaro del TPV conectado a Hacienda porque con eso se puede reducir una gran parte del fraude en IVA e IRPF de actividades económicas .
Ya, pero es que la alternativa era vaciar los bolsillos de depositantes de varios países europeos y de paso quebrar la banca griega.
Pero Republik, si precisamente fue exactamente eso lo que hicieron.
Al final del "pase griego", los bancos FR+DE han sido rescatados con el dinero de los contribuyentes... franceses y alemanes.
Sólo que en lugar de tirar abajo sus gobernantes, a los Franceses y Alemanes, les mandaron a ladrar contra los Griegos
Es decir un bail-out indirecto.
A los Griegos, se les habría rescatado igual, con un bail-in de bancos griegos Y bancos franceses, Y bancos alemanes.
Es como el debate sobre los Hombres de negro con España, que por qué llevan esperando 6 años.
Si llevan esperando es para que España devuelva solita lo esencial de sus deudas a los bancos FR y DE.
De forma que la restructuración de la deuda española, corra a costa de los bancos o contribuyentes españoles. Sea por bail-in o restructuración interna, o lo que les dará la gana.
Pero sin poner a contribución los demás contribuyentes europeos.
Ya, pero es que la alternativa era vaciar los bolsillos de depositantes de varios países europeos y de paso quebrar la banca griega.
Pero Republik, si precisamente fue exactamente eso lo que hicieron.
Al final del "pase griego", los bancos FR+DE han sido rescatados con el dinero de los contribuyentes... franceses y alemanes.
Sólo que en lugar de tirar abajo sus gobernantes, a los Franceses y Alemanes, les mandaron a ladrar contra los Griegos
Es decir un bail-out indirecto.
A los Griegos, se les habría rescatado igual, con un bail-in de bancos griegos Y bancos franceses, Y bancos alemanes.
Es como el debate sobre los Hombres de negro con España, que por qué llevan esperando 6 años.
Si llevan esperando es para que España devuelva solita lo esencial de sus deudas a los bancos FR y DE.
De forma que la restructuración de la deuda española, corra a costa de los bancos o contribuyentes españoles. Sea por bail-in o restructuración interna, o lo que les dará la gana.
Pero sin poner a contribución los demás contribuyentes europeos.
Ya . Si el problema de fondo es la preferencia de los europeos por el ahorro "seguro"en forma de depósitos
Esto por el otro lado del balance es imposible de mantener de modo realista con lo que se descalzan no solamente plazos sino también riesgos : la banca europea tiene mucho producto de pasivo supuestamente "sólido" y se ve forzada (sobre todo las germana y gala así como los grandes sectores aseguradores de estos países) a prestar con riesgo haciendo como que no hay tal : de ahí su suicida exposición a la deuda griega , que visto el historial del país (sale de su último impago en 1962) esta claro que es un producto del que huir (los griegos ricos no tienen ni un euro en deuda de su país).
La reforma de la banca europea tendrá que consistir en algo así como crear depósitos con calificación de riesgo y prima en tipos y luego una especie de "mierdepósitos " de rentabilidad negativa que serían cómo los de.la banca cantonal suiza , pura custodia y no dinero para prestar .
Es.una tara europea o quizá la pervivencia de una cierta autoestima y exigencia ciudadana : en USA se ha "educado" a la población en que hay que invertir en productos finacieros y no en depósitos ("el dinero no da nada y la bolsa un 7% anual", es el mantra americano).
Esto sí que dará votos a quedarse en la UE jiji
[url]http://www.theguardian.com/politics/2016/may/08/brexit-hit-house-prices-significantly-george-osborne-eu-referendum[/url] ([url]http://www.theguardian.com/politics/2016/may/08/brexit-hit-house-prices-significantly-george-osborne-eu-referendum[/url])
Brexit risks '25pc house price crash' but Fitch warns remain vote will not resolve EU tensions
House prices could crash by 25pc and the pound drop by a third if the UK leaves the EU, according to Fitch, which warned that social tensions risked boiling over even if Britain stays in the bloc.
The rating agency said a messy exit characterised by "rancorous and protracted" trade negotiations would fuel market turbulence and risk "permanent damage" to the UK's financial sector.
Brexit could 'shift centre of gravity in EU'
Under this scenario, the value of sterling would drop by 30pc against a basket of other currencies by the end of 2016, pushing retail failures to levels not seen since the 2008 financial crisis and hitting UK landlords through a clampdown in immigration.
However, Fitch warned that a vote to stay in the bloc would also lead to unrest, as it predicted that net EU migration would remain elevated for years to come.
"Net EU migration to UK would remain high [if the UK votes to stay in the EU], with the resulting social tensions and core discontent with the EU ultimately unresolved," Fitch said in a report.
It also warned that leaving the EU could shift "the centre of gravity of the EU" towards "more protectionist and less economically liberal" policies.
It described a vote to leave as a "dangerous precedent" that would weaken the cohesion of the entire bloc.
If Britain thrived, this could encourage mainstream political parties in countries such as Sweden and Denmark to advocate an exit, Fitch said.
These Scandinavian countries, which have traditionally aligned themselves with the UK on issues such as globalisation, were unlikely to welcome a "shift" towards protectionism.
"The Netherlands might [also] not welcome such shifts," it said.
'Unfavourable' or no EU deal could trigger chaos
Fitch warned that fractious negotiations between the UK and EU after a Brexit vote would weigh on growth, push down the pound and push up inflation.
Mark Carney, the Governor of the Bank of England, warned last week that a Brexit could lead to a "materially lower path for growth and a notably higher path for inflation".
Mr Carney said policymakers could raise or cut interest rates depending on the state of the economy.
Fitch said the Bank would most likely be forced to increase rates to more than 3pc by 2019, following a period of looser monetary policy to offset big a fall in demand.
Lower growth and higher interest rates could trigger a sharp fall in house prices.
London, which would be "disproportionately affected by the loss of financial services business and high-wage jobs", would be most vulnerable to house price falls, it said.
"Fitch estimates that UK house prices are currently up to 25pc above 'sustainable' levels in relation to disposable income.
"This scenario could result in near-term price declines that result in house prices falling towards their sustainable level."
Landlords would also be hit by a reduction in net EU migration, which could fall "close to zero" if Britain opted for tighter controls.
It said official figures showed immigrants are "three times more likely to rent than UK nationals".
"Much tighter controls on immigration could affect the buy-to-let sector in particular ... with longer void periods between tenancies and possibly reduced monthly rental income."
The rating agency said that, while exporters were likely to benefit from a fall in the value of the pound, airlines could suffer a "significant" negative impact as "over 40pc of their costs are in dollars and a large share of their debt is also dollar denominated".
Retail sector failures could "multiply" it added, reaching levels "similar to those in 2008-2009".
While large retailers were expected to adjust to the weaker pound by sourcing goods from cheaper locations, it said: "Failures could increase among independent retailers due to their relative lack of bargaining power and extremely competitive trading conditions."
'Favourable' EU deal would leave migration elevated
Fitch said a "favourable" deal with the EU would limit the amount of market turbulence and could even result in "some restrictions on free movement of labour".
However, this would be offset by "loss of control over future changes in regulation" that would "increase the risk of the UK having to adopt EU regulation that is harmful for business", it said.
The rating agency added that net EU migration would fall over the medium term but "remain above" the Government's target of 100,000 a year.
Global banks such as HSBC and Barclays would increase their presence in the EU to reduce costs and maintain business relationships in the bloc, Fitch said.
However, it suggested that fears of a mass exodus of financial services to the EU if Britain secured favourable exit terms were exaggerated.
EU countries also hit hard by a Brexit
Fitch said Ireland, Malta, Belgium, the Netherlands, Cyprus and Luxembourg were the countries most exposed to the UK economy, and would be hardest hit by a Brexit.
All of these countries export goods and services to the UK worth at least 8pc of gross domestic product (GDP).
Economists at ING also calculated that a Brexit would deal an economic blow to the eurozone.
([url]http://i.imgur.com/qkYSVLl.png[/url])
Italia dobla las ayudas a la maternidad. Una ministra describe el panorama demográfico italiano como apocalíptico [url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url] ([url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url])
The EU will isolate and use sanctions against any far-right or populist governments that are swept to power or presidential office on the wave of popular anger against migration.
Jean-Claude Juncker, president of the European Commission, made clear at the weekend that Norbert Hofer would have been frozen out of EU decision-making if he had been elected president of Austria. “There is no debate or dialogue with the far-right,” Mr Juncker said.
Under powers given to the commission in 2014, he can trigger a “rule of law mechanism” for countries that depart from democratic norms by putting a government under constitutional supervision. Ultimately, a country can be stripped of voting rights in the EU or have funding blocked.
In a test run for the new EU constitutional powers, the commission has issued unprecedented orders to Poland, instructing the newly elected right-wing government to bow to Polish judges who have struck down laws passed by the parliament.
Mr Hofer had alarmed the EU by threatening to politicise the office of Austrian president by wielding powers, never used before, to trigger national elections at a moment most favourable for the far-right Freedom party (FPO). “You’ll be surprised at all the things that are possible,” he said before the vote. Though he lost narrowly, Austria witnessed the biggest far-right surge in Europe since the Second World War.
The FPO is the largest party after the collapse of the Social Democrats (SPO) and People’s party (OVP), the centre-right and centre-left parties that have ruled Austria between them since 1945.
Mr Hofer repeatedly threatened to use presidential powers to dissolve the current SPO-OVP coalition government, which is racked by turmoil.
He said in a newspaper interview in March that, as president, he would dismiss the government if it did not stop the influx of refugees, 90,000 of whom reached Austria last year, and if it failed to alter its economic policies.
Mr Hofer carries an Austrian-made Glock 9mm pistol because, he explains, of “uncertainty” caused by Muslim immigration. The FPO deputy leader is regarded as more moderate than Heinz-Christian Strache, the party’s firebrand figurehead, but his views are every bit as radical. In beer hall speeches he has railed about the “invasion of the Muslims”.
Mr Hofer has warned that not all the refugees who have come to Austria are friendly and that some “are prepared to cut off another person’s head”.
The EU faces the rise of other far-right parties, including the National Front in France and Geert Wilders’s Freedom party in the Netherlands.
The deadline passed yesterday for Poland to back down in the government’s confrontation with the constitutional court. In January Frans Timmermans, the European Commission’s “first vice-president” in charge of humans rights, announced that he was triggering, for the first time, the EU’s “rule of law mechanism” over Poland.
Talks have remained deadlocked since then as Beata Szydlo, the Polish prime minister whose Law and Justice party is affiliated to the British Tories, has grown increasingly enraged at lectures from Brussels.
The row began when President Duda of Poland, who is allied to the Law and Justice party, refused to swear in three constitutional court judges. Then, in March, the constitutional court struck down a law rushed through parliament restricting the powers of the judiciary over the Polish government. The government ignored the ruling, provoking street protests and condemnation in Brussels, with the looming threat of an explicit EU diktat to Poland instructing the country’s parliament to back down.
Hungary, which has also been criticised by the commission over constitutional questions, has pledged to fight alongside Poland to defend parliamentary sovereignty.
The EU’s determination to head off and to keep in check far-right and populist governments could backfire. Witold Waszczykowski, the Polish foreign minister, said that the new powers went beyond the terms of the EU that his country joined in 2004. “This is not the union, not the kind of membership that we have agreed to,” he said.
Italia dobla las ayudas a la maternidad. Una ministra describe el panorama demográfico italiano como apocalíptico [url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url] ([url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url])
A mi todo esto me llena de sospechas.
Me refiero al "problema" demográfico. (Problema ¿? )
Mas bien creo que "el problema" son realmente "los problemas derivados" de que la pasta deje de fluir de los jóvenes hacia los mayores, en la forma en que ha venido haciéndose hasta ahora. Que harán falta nuevas formas de gestionar la riqueza, que toca decreasing-management, pero que los políticos son taaaaaaan limitados que sólo se les ocurre la solución -por la base- esto es, aumentar el número de cotizantes.
Pero una cosa es cierta: esto no puede pillar a nadie por sorpresa.
Otra cosa es que se haga como en hispanistán, todo a prisas y a útlima hora. Recordemos que a ZP aún hoy se le critica a izquierda y derecha por el bono-bebé. Que si, que era poco, pero... ahora no hay nada ;D
Se rifa un decrecimiento, y nadie se lo quiere tragar.
Es un hecho.
PD: hola diegocg, gracias x avisar que cambiaste el nick
Italia dobla las ayudas a la maternidad. Una ministra describe el panorama demográfico italiano como apocalíptico [url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url] ([url]http://www.bbc.com/news/world-europe-36297177[/url])
A mi todo esto me llena de sospechas.
Me refiero al "problema" demográfico. (Problema ¿? )
Mas bien creo que "el problema" son realmente "los problemas derivados" de que la pasta deje de fluir de los jóvenes hacia los mayores, en la forma en que ha venido haciéndose hasta ahora. Que harán falta nuevas formas de gestionar la riqueza, que toca decreasing-management, pero que los políticos son taaaaaaan limitados que sólo se les ocurre la solución -por la base- esto es, aumentar el número de cotizantes.
Pero una cosa es cierta: esto no puede pillar a nadie por sorpresa.
Otra cosa es que se haga como en hispanistán, todo a prisas y a útlima hora. Recordemos que a ZP aún hoy se le critica a izquierda y derecha por el bono-bebé. Que si, que era poco, pero... ahora no hay nada ;D
Se rifa un decrecimiento, y nadie se lo quiere tragar.
Es un hecho.
PD: hola diegocg, gracias x avisar que cambiaste el nick
A mí dos hechos aparentemente aislados me han abierto los ojos sobre la falsedad del conflicto intergeneracional y los sucios intereses que lo teledirigen a través de la TV:
-Ver a un burguesazo hamburgués digno de "los Buddenbrook" en la tele alemana casi babeando ante la perspectiva de poder alquilar a papá Estado sus ¡700! pisitos vacíos para los "hinjinieros refujiados":
-Lo que un día me dijo con todo el descaro un lechoso y adiposo WASP americano, alto directivo de una marca de gran consumo: "ojalá en Europa hubiera más negros"; decía el tío que podía saber dónde había negros en Europa sin ir, solamente con sus datos de inteligencia de negocio. Un sujeto tejano con pinta de preferir ver a su hija morir de cáncer de páncreas antes que cruzarse con gente morena.
Y es así de simple, los viejos de momento están vivos porque "Big Pharma" los necesita, pero hay de fondo una guerra porque si se quiere colocar casitas y chucherías plasticosas orientales con márgenes del 80% sobre precio final, hay que importar carne que se halle en el momento propicio del ciclo hormonal. Es así de simple y de crudo, y son capaces de pucherazos (lo de Austria tiene muy mala pinta en términos estadísticos y de resultados en algunas demarcaciones) y si ahce falta de golpes militares. Es una pena pero casi prefiero que gane la Big Mafia del medicamento que la del plastiquito chinoide.
El día menos pensado echan algo para matar a no fumadores, el capitalismo post 1945 se apoya en dos elementos de gran consumo que ahora desprecia la población más educada y exigente de Occidente: el coche y el tabaco (en USA, ademàs, las bebidas hiperazucaradas, que son útiles también a Big Pharma, eso son sinergias). "Habrá que cambiarlos", pensará algún "Donald Draper" en un rascacielos neoyorquino. La pena es que la población no repudia el principal elemento de corrupción moral e intelectual, que es la televisión.
Se llevan menos. Pensiones 12%, sanidad pongamos que 4% (2/3 del gasto es una suposición más o menos atinada) y el resto es residual, ni dos puntos de PIB en total agregado. Es un dinero pero hay también charitos "pelicaoba" que por calentar silla y tener carnet de algo se llevan 32000 pavos como "asistente de bibliotecario", "administrativo del consejo andaluz para el estudio espectral de la cal de los pueblos alpujarreños" y a saber qué otras cosas.
Hay que ver si España es una "singularidad jubilacional" o simplemente uno más en su entorno, y va a ser esto último. El "mataviejismo" es un MacGuffin para que no nos fijemos en los "pakiteros" (pakis que cobran pagas, Barcelona y Bilbao están llenas) , en las charos, en las profesiones corporativizadas (el TTIP a mí me chirría en algunas cosas, pero ver chillar como guarros en el desolladero a abogados y procuradores me hace casi desear esos "falsiquesos" de Wisconsin disfrazados de Cabrales, ya aprenderé a diferenciarlos) y en la miríada de elementos extractivos que tienen su huequito en nuestra economía.
Y habrá que hacer ajustes, pero con templanza y muchas matermáticas por delante o nos lo cargamos todo: por ejemplo, hay quien cree que bajando pensiones se pueden reducir cotizaciones: craso error, el amigo ZP, y antes Aznarín, elevó tanto la pension mínima que tenemos la misma de Holanda o Francia pero con cotizaciones mínimas mucho menores: un SMIsta galo abona en total unos 9000 euros en cotizaciones, un holandes casi otro tanto, y un español apenas 3200. Entonces tenemos un sistema rarísimo de subsidios cruzados, que sumado al sistema de supervivencia más generoso y oneroso que hay en la OCDE (en Francia si enviudas solamente cobras pensión si tus ingresos son muy bajos, en España la viuda de Botin cobra sus 1500 euritos para "la pelu"), por no hablar de autónomos (la cuota de autónomos durante 35 años equivale a 360 euros de pensión, no a los 636 que se dan).
Pero si bajas a cero la contributividad (dar a todos lo mismo), rompes incentivos y todos se ponen al mínimo. Si el 80% de autonomos cotiza por el mínimo no es porque todos ganen 9000 euros al año, es que se les permite elegir y prefieren el dinero en su bolsillo.
Con malos diagnósticos salen tratamientos absurdos y difícil curación.
Paradójicamente, para combatir la desigualdad, el presidente del DIW ofrece una receta que se aleja del paradigma tradicional de la izquierda: en lugar de un Estado más grande y una burocracia más enrevesada, Fratzscher apuesta por un Estado más delgado pero también más eficiente a la hora de redistribuir la riqueza.
ATENAS – Un compromiso con la independencia de los bancos centrales es una parte vital del credo que se supone que deben defender los responsables "serios" de la política económica (privatización, "flexibilidad" del mercado laboral y demás). Ahora bien, ¿de qué se espera que sean independientes los bancos centrales? La respuesta parece obvia: de los gobiernos.
En este sentido, el Banco Central Europeo es el banco central independiente por excelencia: ni un solo gobierno lo respalda y se le está expresamente prohibido apoyar a alguno de los gobiernos nacionales de los cuales es el banco central. Y, sin embargo, el BCE es el banco central menos independiente del mundo desarrollado.
La dificultad clave es la cláusula de "no rescate" del BCE -la prohibición de ayudar al gobierno de un estado miembro insolvente-. Como los bancos comerciales son una fuente esencial de financiamiento para los gobiernos miembro, el BCE está obligado a negarles liquidez a los bancos domiciliados en miembros insolventes. En consecuencia, el BCE se basa en reglas que le impiden desempeñarse como prestador de último recurso.
El talón de Aquiles de este acuerdo es la falta de procedimientos de insolvencia para los miembros del euro. Cuando, por ejemplo, Grecia se volvió insolvente en 2010, los gobiernos alemán y francés le negaron a su gobierno el derecho de incumplir el pago de deuda en poder de bancos alemanes y franceses. El primer "rescate" de Grecia se utilizó para sanear a los bancos franceses y alemanes. Pero esto agravó la insolvencia de Grecia.
Fue en este momento cuando la falta de independencia del BCE quedó totalmente expuesta. Desde 2010, el gobierno griego ha dependido de una secuencia de préstamos que nunca podrá devolver para mantener una fachada de solvencia. Un BCE verdaderamente independiente, que adhiriera a sus propias reglas, debería haberse negado a aceptar como aval todos los pasivos por deuda garantizados por el estado griego -bonos del gobierno, títulos del Tesoro y los más de 50.000 millones de euros (56.000 millones de dólares) de pagarés que los bancos de Grecia emitieron para mantenerse a flote.
Por supuesto, esta negativa le bajaría la persiana a los bancos griegos y conduciría de inmediato a la salida de Grecia de la eurozona, porque el gobierno se vería obligado a emitir su propia liquidez. La única alternativa sería una reestructuración significativa de la deuda para poner fin a la insolvencia de Grecia. Desafortunadamente, el establishment político de Europa, reacio a adoptar alguna de estas opciones, ha optado por prolongar la insolvencia de Grecia -que, según dice, ha sido resuelta a través de nuevos préstamos.
La aceptación actual por parte del BCE de la farsa de prolongar y fingir que exigen los acreedores de Grecia ha echado por tierra su afirmación de que es independiente. Para mantener abiertos a los bancos de Grecia, y aceptar su aval garantizado por el gobierno, el BCE está obligado a otorgarle a la deuda griega una exención de su régimen de no insolvencia. Y, para mantener apretada la soga que Grecia tiene al cuello, Alemania insiste en que esta exención esté condicionada a su aprobación -o, en la jerga de la zona euro, que el Eurogrupo de ministros de Finanzas de la eurozona confirme que "la consolidación fiscal y el programa de reformas de Grecia están en marcha".
De modo que, en verdad, son los políticos los que le dicen al BCE cuándo cortarle la liquidez a todo un sistema bancario. Si bien el BCE puede afirmar que es independiente frente a gobiernos periféricos insolventes, está absolutamente a merced de los gobiernos de los países acreedores de Europa.
Para ilustrar el enigma del BCE, vale la pena revisar el trato brindado por los acreedores al gobierno griego electo en enero de 2015. En diciembre de 2014, ya era evidente que el gobierno anterior estaba en las últimas y que el partido izquierdista Syriza iba camino al poder. El presidente del banco central de Grecia, un brazo del BCE, "predijo" que los mercados estaban enfrentando una restricción de liquidez, dando a entender que una victoria de Syriza tornaría inseguro el sistema bancario -una declaración que sería insensata si no estuviera pensada para desatar una corrida bancaria.
Para cuando yo fui nombrado ministro de Finanzas en febrero de ese año, después de la victoria electoral de Syriza, la corrida bancaria estaba en pleno auge y las acciones, en caída libre. La razón, por supuesto, era el conocimiento común de que Alemania, que se oponía vehementemente a nuestro gobierno, estaba a punto de apagar la luz verde requerida por el BCE para mantener las exenciones que le permitían aceptar el aval griego.
Con la intención de estabilizar la situación, volé a Londres para ofrecerles a los financistas un mensaje de moderación y políticas sensatas con respecto a las reformas y a la reestructuración de la deuda. A la mañana siguiente, la bolsa rebotó un 13%, las acciones de los bancos subieron más del 20% y la corrida bancaria paró.
Aquel día, el BCE, presionado por Alemania, rescindió una parte importante de su exención, cortando así el acceso directo de los bancos griegos al BCE y desviándolos a un financiamiento más costoso del banco central de Grecia (la llamada asistencia de liquidez de emergencia). Como era de esperar, los precios de las acciones se desplomaron y la corrida bancaria volvió con fuerza, lo que generó una fuga de depósitos del sistema por 45.000 millones de euros en los meses siguientes. Mientras tanto, Alemania y otros acreedores comenzaron a presionar a Grecia para aceptar nuevas medidas de austeridad como el precio a pagar por revertir la decisión "del BCE".
Esta no fue la única intervención del BCE motivada por consideraciones políticas. Igualmente agresiva fue su decisión de recortar la inversión de los bancos griegos en títulos del Tesoro del gobierno, dándoles instrucciones de rechazar refinanciaciones de la deuda. Eso disminuyó la capacidad de mi ministerio de pagarle al Fondo Monetario Internacional, que seguía insistiendo con recortes drásticos de las pensiones y con la eliminación de las últimas protecciones para los trabajadores griegos.
Durante cinco meses, mientras la soga del BCE seguía ajustándose, rechazamos las exigencias de Alemania y del FMI de mayor austeridad. Finalmente, el cese completo de toda liquidez a los bancos de Grecia en junio de 2015 obligó a su cierre. Luego de esto sobrevino la presión final para dividir a nuestro gobierno y obligar al primer ministro a renunciar -cosa que hizo, a la vez que aceptó el último préstamo de prolongar y fingir por 85.000 millones de euros.
Casi un año después, los acreedores de Grecia pedían una austeridad aún mayor a cambio de más préstamos. En ese momento, el presidente del banco central de Grecia (que había desatado la corrida bancaria original en diciembre de 2014) dijo públicamente que la postura de nuestro gobierno hasta junio de 2015 causó la pérdida de depósitos por un valor de 45.000 millones de euros, los consiguientes cierres de bancos y los nuevos créditos de prolongar y fingir. El abusador culpaba a la víctima y el BCE abiertamente abrazaba su papel de sicario de sus jefes políticos: los acreedores.
El diseño actual de la eurozona hace imposible la independencia del BCE. Peor aún, la pretensión de independencia sirve como una hoja de parra para intervenciones que no son impulsadas por motivaciones políticas, pero que también son absolutamente inconsistentes con los principios de la democracia liberal.
En este sentido, el Banco Central Europeo es el banco central independiente por excelencia: ni un solo gobierno lo respalda y se le está expresamente prohibido apoyar a alguno de los gobiernos nacionales de los cuales es el banco central. Y, sin embargo, el BCE es el banco central menos independiente del mundo desarrollado.
La dificultad clave es la cláusula de "no rescate" del BCE -la prohibición de ayudar al gobierno de un estado miembro insolvente-. Como los bancos comerciales son una fuente esencial de financiamiento para los gobiernos miembro, el BCE está obligado a negarles liquidez a los bancos domiciliados en miembros insolventes. En consecuencia, el BCE se basa en reglas que le impiden desempeñarse como prestador de último recurso.
Por supuesto, esta negativa le bajaría la persiana a los bancos griegos y conduciría de inmediato a la salida de Grecia de la eurozona, porque el gobierno se vería obligado a emitir su propia liquidez. La única alternativa sería una reestructuración significativa de la deuda para poner fin a la insolvencia de Grecia. Desafortunadamente, el establishment político de Europa, reacio a adoptar alguna de estas opciones, ha optado por prolongar la insolvencia de Grecia -que, según dice, ha sido resuelta a través de nuevos préstamos.
[...]
De su actuación como ministro y de artículos como este, es evidente que Varoufakis:
- No entiende o hace como que no entiende cómo funciona la UE (habiendo sido ministro de un gobierno de un estado miembro de la UE)
- La UE se la sopla. Pero no el tan manido "establishment". Se la soplan todos los demás países que no son el suyo, y los ciudadanos de todos esos países.
- Grecia se la sopla, especialmente los ciudadanos, ya que amenazó con 1) para conseguir 2) (sabiendo que 2) era imposible), y la opción 1) era nefasta para los griegos.
[...]
De modo que, en verdad, son los políticos los que le dicen al BCE cuándo cortarle la liquidez a todo un sistema bancario. Si bien el BCE puede afirmar que es independiente frente a gobiernos periféricos insolventes, está absolutamente a merced de los gobiernos de los países acreedores de Europa.
La realidad es que la afirmación de que Grecia es insolvente es también, muy a pesar de Varoufakis, una afirmación politizada: si los acreedores de Grecia deciden hacer un recorte de deuda y otras cesiones, como se ha hecho, Grecia sigue siendo "solvente". El BCE, para juzgar la solvencia de Grecia, se fija en quien más puede decidir, es decir, sus acreedores.
Alguien se va a forrar con el cambio de la libra.
Germans get richer while southern Europe lags: study
FRANKFURT | BY JOHN O'DONNELL
The wealth disparity in the euro zone is increasing, with rising property prices helping Germans get richer while southern European countries lag behind, a study has found.
While the gap between northern countries, such as the Netherlands, and southern states like Portugal has long been a feature of the euro bloc, the study by an arm of German fund manager Flossbach von Storch shows it is getting ever wider.
Taking a basket of items including property, stocks, art and expensive wine, the research concluded that wealth in Germany and Austria jumped more than 7 percent at the end of 2015 compared to a year earlier.
That was roughly twice the growth rate of Italy and Spain, while Greeks saw their wealth drop by more than 4 percent. Property prices, which, for example, jumped by more than 6 percent in Germany, are the biggest driver of wealth.
This difference leads to political tension in the 19-member euro zone, while weak property prices in southern countries hit their banks, which hold homes and commercial property as security for loans.
"Until 2006 when the bubble burst, countries in the south were really taking off. Now they are in a Japan-like situation," said Thomas Mayer, founder of the research institute that carried out the study.
Japan has long struggled with a largely stagnant economy and ever higher government debt. Some economists fear a similar fate awaits countries in Europe.
"Countries in the north had not had such a strong inflation and came out of it better," said Mayer.
The European Central Bank has acknowledged this general trend, saying that the gap between weaker and stronger countries in the euro zone was widening rather than narrowing, as originally envisaged when the currency was created.
[url]http://www.reuters.com/article/us-eurozone-wealth-idUSKCN0YV0U3?il=0[/url] ([url]http://www.reuters.com/article/us-eurozone-wealth-idUSKCN0YV0U3?il=0[/url])CitarGermans get richer while southern Europe lags:
... the research concluded that wealth in Germany and Austria jumped more than 7 percent at the end of 2015 compared to a year earlier.
That was roughly twice the growth rate of Italy and Spain, while Greeks saw their wealth drop by more than 4 percent. Property prices, which, for example, jumped by more than 6 percent in Germany, are the biggest driver of wealth.
Los alemanes han incrementado su riqueza porque sus casas valen más.... jodeeeerrr :tragatochos:
a basket of items including property, stocks, art and expensive wine
[url]http://www.voxeurop.eu/en/content/news-brief/5092122-new-map-corruption-europe[/url] ([url]http://www.voxeurop.eu/en/content/news-brief/5092122-new-map-corruption-europe[/url])
([url]http://i.imgur.com/JH6DV4q.png[/url])
[url]http://www.reuters.com/article/us-eurozone-wealth-idUSKCN0YV0U3?il=0[/url] ([url]http://www.reuters.com/article/us-eurozone-wealth-idUSKCN0YV0U3?il=0[/url])CitarGermans get richer while southern Europe lags:
... the research concluded that wealth in Germany and Austria jumped more than 7 percent at the end of 2015 compared to a year earlier.
That was roughly twice the growth rate of Italy and Spain, while Greeks saw their wealth drop by more than 4 percent. Property prices, which, for example, jumped by more than 6 percent in Germany, are the biggest driver of wealth.
Los alemanes han incrementado su riqueza porque sus casas valen más.... jodeeeerrr :tragatochos:
Sí, pero además es que tal y como lo cuenta el anglo, parece que la culpa de que el sur de Europa no crezca, la tenga que crezca el norte.
Como de costumbre, ellos metiendo cizaña. Lo mejor sería que su Brexit ocurriera finalmente.
Ocurre lo mismo con cierta región en España. Pero me da que ni uno, ni otro.
EU Referendum: Massive swing to Brexit – with just 13 days to go
Exclusive: polling carried out for ‘The Independent’ shows that 55 per cent of UK voters intend to vote for Britain to leave the EU in the 23 June referendum
The campaign to take Britain out of the EU has opened up a remarkable 10-point lead over the Remain camp, according to an exclusive poll for The Independent.
The survey of 2,000 people by ORB found that 55 per cent believe the UK should leave the EU (up four points since our last poll in April), while 45 per cent want it to remain (down four points). These figures are weighted to take account of people’s likelihood to vote. It is by far the biggest lead the Leave camp has enjoyed since ORB began polling the EU issue for The Independent a year ago, when it was Remain who enjoyed a 10-point lead. Now the tables have turned.
Even when the findings are not weighted for turnout, Leave is on 53 per cent (up three points since April) and Remain on 47 per cent (down three). The online poll, taken on Wednesday and Thursday, suggests the Out camp has achieved momentum at the critical time ahead of the 23 June referendum.
Differential turnout could prove crucial. ORB found that 78 per cent of Leave supporters say they will definitely vote – describing themselves as a “10” on a scale of 0-10, while only 66 per cent of Remain supporters say the same.
The results will heighten fears in the Remain campaign that it is losing ground among Labour supporters, who are seen as critical to securing victory for it. According to ORB, 56 per cent of people who voted for Labour at last year’s general election now back Remain when turnout is taken into account, but a dangerously high 44 per cent support Leave. Only 38 per cent of Tory voters endorse David Cameron’s stance by backing Remain, while 62 per cent support Leave.
Many people seem ready to vote for Brexit even though the poll shows they believe it involves some risk and think the economy is more important than immigration – widely seen as the Leave camp’s trump card.
The one crumb of comfort for the Remain camp is that when people were asked to predict the referendum result, the average figures were 52 per cent for Remain and 48 per cent for Leave. This “wisdom of the crowd” polling proved accurate during Ireland’s referendum on gay marriage last year.
The ORB survey highlights the stark generational differences over the EU. Seven out of 10 people aged 18-24 back Remain and 30 per cent Leave. Support for Leave rises up the age scale to 64 per cent among those aged 55 and over (figures weighted for turnout). Crucially, just over half (56 per cent) of 18-24 year-olds say they will definitely vote, compared to more than 80 per cent of those aged 55 and over.
Support for EU membership is highest in Scotland, with 60 per cent backing Remain. But a majority of people in every other region of Great Britain favour withdrawal when turnout is taken into account. In London, seen as a strong area for the Remain campaign, only 44 per cent back staying in the EU and 56 per cent favour voting to leave. This is due to the turnout factor. Only 66 per cent of people in London say they will definitely vote, the lowest of any region.
However, warnings about the economic impact of Brexit appear to have hit home. According to ORB, eight out of 10 people – and of Conservative voters – think leaving the EU would pose some risk, and only 19 per cent think it would pose no risk at all. But a majority of both groups are still prepared to take the risk.
Similarly, 52 per cent of people agree with the statement that the economy is a bigger issue than immigration when considering how to vote in the referendum, while 37 per cent disagree.
Seven out of 10 people think the campaign has been too negative so far, while only 15 per cent disagree. The Leave camp will see this finding as a sign that what it has dubbed Remain’s “Project Fear” has not worked.
Four out of 10 people believe that whatever the referendum result, it will not have much impact on their everyday life, but more people (44 per cent) disagree with this statement.
Polling experts say the result is still too close to call, and that there has been a late swing to the “status quo” option in previous referendums, including the one on Scottish independence in 2014. They also point out that telephone polls consistently give Remain a higher rating than online surveys.
Should the UK remain a member of the EU or leave the EU?
Weighted for turnout
Now April
Remain 45 per cent 49 per cent
Leave 55 per cent 51 per cent
Headline Figure (not weighted for turnout)
Now April
Remain 47 per cent 50 per cent
Leave 53 per cent 50 per cent
What people think the result will be (average prediction)
Remain 52 per cent
Leave 48 per cent
How much of a risk do you think leaving the EU would pose?
A great deal of risk 26 per cent
Some risk 55 per cent
No risk at all 19 per cent
When considering how to vote, the economy is a bigger issue than immigration
Agree 52 per cent
Disagree 37 per cent
Don't know 11 per cent
Whether we decide to leave the EU or to remain, the result won't have much impact on my daily life
Agree 40 per cent
Disagree 44 per cent
Don't know 17 per cent
I feel the campaign so far has been too negative
Agree 69 per cent
Disagree 15 per cent
Don't know 15 per cent
Algunos ya lo habrán visto, para los que no, esta semana Trevijano y Centeno se han liado la manta a la cabeza y han dado una conferencia en Bruselas (en un club privado, supuestamente a miembros influyentes de las instituciones de la UE) para hablar sobre el R78 uno y las falsas cifras el otro. Al mismo tiempo han enviado cartas a dirigentes de la UE (Juncker, Moscovici, etc...) y a periodistas de distintos medios europeos con el resultado (de momento) de que a Ambrosio, del Telegraph, le han hecho padre a escasos días del plebiscito en el RU y de las generales en España, con lo que es bastante probable que publique algo con sustancia en los próximos días.
El Brexit dejaría a España al borde de ser contribuyente neto a la UE
Sí, porque la democracia representativa ahora es reaccionaria.
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[url]http://www.elconfidencial.com/economia/2016-06-16/brexit-espana-presupuesto-ue-reino-unido_1217983/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/economia/2016-06-16/brexit-espana-presupuesto-ue-reino-unido_1217983/[/url])CitarEl Brexit dejaría a España al borde de ser contribuyente neto a la UE
Sí, porque la democracia representativa ahora es reaccionaria.
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[url]http://www.elconfidencial.com/economia/2016-06-16/brexit-espana-presupuesto-ue-reino-unido_1217983/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/economia/2016-06-16/brexit-espana-presupuesto-ue-reino-unido_1217983/[/url])CitarEl Brexit dejaría a España al borde de ser contribuyente neto a la UE
Pues efectivamente, ésa es exactamente mi opinión.
Y los referendos, lejos de de ser "democráticos", lo único que hacen es dividir malamente a la sociedad.
Cuando hablo de PDM's, lo hago con absoluta convicción.
Y haces bien Muyuu. Yo en tu lugar haría lo mismo.
No me parece justo como estaís poniendo a parir en este foro a los partidarios del Brexit.
[...]
RU no ha querido hasta ahora soberanía, sino privilegios. Para ello ha manipulado a su opinión pública echandole la culpa de todo a la UE (más que lo "normal", pues todos lo hacen un poco.) Resultado: lo que no puede ser, no puede ser; y les toca ahora manipular a la opinión pública, para ganar la consulta.
Yo los prefiero dentro. No derramaré un lágrima si se van a hacer puñetas, sin embargo.
RU no ha querido hasta ahora soberanía, sino privilegios. Para ello ha manipulado a su opinión pública echandole la culpa de todo a la UE (más que lo "normal", pues todos lo hacen un poco.) Resultado: lo que no puede ser, no puede ser; y les toca ahora manipular a la opinión pública, para ganar la consulta.
Yo los prefiero dentro. No derramaré un lágrima si se van a hacer puñetas, sin embargo.
La única manera de meter al RU (y Dinamarca, y Suecia entre otros) en la UE es a través de "opt-outs", pero son precisamente esos supuestos privilegios los que hacen la permanencia en una unidad política supranacional mucho más inasumible. Lisboa, la introducción de QMV (mayoría cualificada o como se diga en español al 65%) etc hacen que cada vez más el RU sea forzado a decisiones en contra de sus intereses.
Si no salimos ahora será peor, puesto que se hará lo posible para impedir desde dentro el rumbo actual de la UE. No es desde fuera vayamos a colaborar, desde luego. Habrá que ver cómo queda la UE de aquí a unos años después de que se produzca la primera salida importante si es que ocurre.
Yo lo que estoy viendo es que todo lo que representa al poder económico y financiero en UK está a favor de quedarse en UE. En el bando del Brexit hay de todo, pero lo bueno es que aún sabiendo que la salida les perjudica economicamente, prefieren eso que seguir perdiendo soberanía.
“No se puede ser ambiguo. O estás dentro o estás fuera. El día después de la salida, los establecimientos británicos dejarán de tener un pasaporte financiero”
Emmanuel Macron (ministro economía francés)
I'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece (https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece)CitarI'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece (https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece)CitarI'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
Claro que no está en la papeleta. Porque eso no depende de los británicos.
Todo correcto, pues.
https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece (https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece)CitarI'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
Claro que no está en la papeleta. Porque eso no depende de los británicos.
Todo correcto, pues.
Es un mensaje para el pueblo británico. Cameron vende la historia de que vamos a reformar la UE desde dentro. Corbyn también. Esto son fantasías y cualquiera que preste un poco de atención a las resoluciones de la comisión y el parlamento de la UE desde Lisboa especialmente, sabrá que no hay nada que hacer.
Si la gente lo tuviera claro, no habría color. Leave ganaría de calle. Pero se les está tomando el pelo con estas cosas.
Ya veo que Chosen no haces la confusión, pero advierte que presentas la cosa como si tuvieras enfrente a oponentes que sí confunden los dos planos: terrunistas contra europeos.Es cierto. A mi sobrino de 5 años no puedo explicarle lo que es una ecuación diferencial, porque no lo entiende. Cuando hablo con él lo hago en su lenguaje. Como los nacionalistas están hablando en términos simplones: sentimiento, soberanía, pueblo...
Al final, acabas simplificando como ellos. Y acabarás creyendo que es así como los describes, tú, y los otros.
I'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
-Salida de multinacionales.
-Traslado de centros de decisión fuera de UK.
-Deslocalización de centros de trabajo.
-Subidas arancelarias a productos de la isla.
A ver si aqui los únicos con derechos son los que ondean banderitas y manipulan los sentimientos de analfabetos y ezquizofrénicos.No comment :facepalm:
Y esta es otra más:
¿Que pinta mi abuela decidiendo sobre cosas que no sabe ni lo que significan?
Este es otro ejemplo de la mierda "democrática" que venden algunos.
Mercancía defectuosa presentada como si fuera remedio y sanación de males, cuando una moneda tirada al aire tendría las mismas posibilidades de dar respuesta correcta o incorrecta en términos de acierto.
https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece (https://www.opendemocracy.net/uk/oliver-huitson/eu-piece)CitarI'll be voting Leave: a "reformed EU" isn't on the ballot paper
OLIVER HUITSON 16 June 2016
Claro que no está en la papeleta. Porque eso no depende de los británicos.
Todo correcto, pues.
Se me olvidaba que a Suiza le va de puta madre fuera de la UE y del Euro :biggrin:Entiendo que es fruto de tu confusión, tratando de argumentar algo favorable al nacionalismo...
La democracía tiene ese defecto, que los tontos también opinan. Pero es la mejor manera de tener el consentimiento de la población ante una decisión importante.Y lo defiendo.
Se me olvidaba que a Suiza le va de puta madre fuera de la UE y del Euro :biggrin:Entiendo que es fruto de tu confusión, tratando de argumentar algo favorable al nacionalismo...
El único problema es que "los suizos" no son nazionalistas, sino internacionalistas por definición. EL problema de los nacionalistas es que confunden los sentimientos de las personas que viven en un territorio, con el propio territorio.
Como si el concepto "Suiza paraíso fiscal" pudiera soslayarse con el de los hábitos y costumbres ancestrales :biggrin: de los ciudadanos suizos que trabajan en los bancos internacionales que tienen allí sede.
En cualquier caso, Suiza es la representación más clara de que el DINERO es la patria de todos, la única que existe. El problema para los nacionalistas ingleses es que al DINERO le conviene que exista Suiza por ahora, pero no le conviene que UK salga de Europa. Mas al contrario, lo que interesa es que se integre completamente abandonando la libra de una vez por todas.
Y sigo sin saber que problema hay con estar dentro de UE, para mantener las costumbres inglesas que forman parte del imaginario nazionalista inglés (la corona, tomar el te, emborracharse hasta el coma...).CitarLa democracía tiene ese defecto, que los tontos también opinan. Pero es la mejor manera de tener el consentimiento de la población ante una decisión importante.Y lo defiendo.
Pero también defiendo el efecto colateral de que unos se aprovechen de otros.
Lo que no tiene sentido es defender el nazionalismo para al rato siguiente esgrimir la fantasía de que "los pueblos unidos jamás serán vencidos" :rofl:
Se me olvidaba que a Suiza le va de puta madre fuera de la UE y del Euro :biggrin:Entiendo que es fruto de tu confusión, tratando de argumentar algo favorable al nacionalismo...
El único problema es que "los suizos" no son nazionalistas, sino internacionalistas por definición. EL problema de los nacionalistas es que confunden los sentimientos de las personas que viven en un territorio, con el propio territorio.
Como si el concepto "Suiza paraíso fiscal" pudiera soslayarse con el de los hábitos y costumbres ancestrales :biggrin: de los ciudadanos suizos que trabajan en los bancos internacionales que tienen allí sede.
En cualquier caso, Suiza es la representación más clara de que el DINERO es la patria de todos, la única que existe. El problema para los nacionalistas ingleses es que al DINERO le conviene que exista Suiza por ahora, pero no le conviene que UK salga de Europa. Mas al contrario, lo que interesa es que se integre completamente abandonando la libra de una vez por todas.
Y sigo sin saber que problema hay con estar dentro de UE, para mantener las costumbres inglesas que forman parte del imaginario nazionalista inglés (la corona, tomar el te, emborracharse hasta el coma...).CitarLa democracía tiene ese defecto, que los tontos también opinan. Pero es la mejor manera de tener el consentimiento de la población ante una decisión importante.Y lo defiendo.
Pero también defiendo el efecto colateral de que unos se aprovechen de otros.
Lo que no tiene sentido es defender el nazionalismo para al rato siguiente esgrimir la fantasía de que "los pueblos unidos jamás serán vencidos" :rofl:
Yo creo que Inglaterra es internacionalista, solo hace falta ver su historia.
E igualmente , Creo que desde UK el impacto sería relativamente poco dicen los informes que un 1 o 2 %, el problema vendría de la parte Europea, la pérdida de credibilidad ante la pérdida de un país como UK, dejaría tocada la unión.
Yo personalmente quiero que se queden, soy Europeista convencido,pero son libres, allá ellos con sus decisiones.
deja que dude que la pérdida de las sedes europeas de los grandes bancos supondrá solo un 1% de pérdida del PIB
deja que dude que la pérdida de las sedes europeas de los grandes bancos supondrá solo un 1% de pérdida del PIB
No se, solo digo las conclusiones sacadas en algunos estudios de analistas y Think Tanks teóricamente fiables.
Yo personalmente desconozco como afectará.
Yo creo que Inglaterra es internacionalista, solo hace falta ver su historia.
Yo personalmente quiero que se queden, soy Europeista convencido,pero son libres, allá ellos con sus decisiones.
Supongo que los Brit-In argumentan que la BoE liberará el crédito inmobiliario, aumentará el valor de los activos, la inflación se disparará y ¡ya está!
lo computan en el PIB.
:biggrin:
Supongo que los Brit-In argumentan que la BoE liberará el crédito inmobiliario, aumentará el valor de los activos, la inflación se disparará y ¡ya está!
lo computan en el PIB.
:biggrin:
Un argumento que usó Osborne es que si salimos de la UE la vivienda puede bajar... lo ponía como una catástrofe :roto2: cuando la vivienda está a unos niveles demenciales para el grueso de la población, sobre todo en los destinos con inversión extranjera significativa.
Yo creo que Inglaterra es internacionalista, solo hace falta ver su historia.
Al contrario que la UE y los que manejan el cotarro más bien como un cártel de proteccionismo, me temo. Según la corriente que haya en cada momento. Salir de la UE permitirá al RU unas relaciones más fluidas a nivel global.Yo personalmente quiero que se queden, soy Europeista convencido,pero son libres, allá ellos con sus decisiones.
Europa y la UE son cosas completamente diferentes. Si el rumbo de la UE en la opinión de alguien es negativo para Europa, ¿qué toma prioridad? ¿La UE, o Europa? ¿Hay que salvar el chiringuito a toda costa?
Todo depende de la perspectiva de cada uno. Convertir esto en bandos "europeístas vs anti-europeístas" es falaz en mi opinión.
Por cierto, no creéis que detrás del asesinato de Jo Cox hay alguien?
Demasiado para ser una casualidad.
Por cierto, no creéis que detrás del asesinato de Jo Cox hay alguien?
Demasiado para ser una casualidad.
Quizá sí, quizá no, pero éso, mientras la investigación no indique otra cosa, es irrelevante; lo que es indudable es que hay un asesino perturbado y un hecho execrable.
No soy partidario de las teorías conspiratorias sin ninguna evidencia que las sustente.
Por cierto, no creéis que detrás del asesinato de Jo Cox hay alguien?
Demasiado para ser una casualidad.
Quizá sí, quizá no, pero éso, mientras la investigación no indique otra cosa, es irrelevante; lo que es indudable es que hay un asesino perturbado y un hecho execrable.
No soy partidario de las teorías conspiratorias sin ninguna evidencia que las sustente.
Detras de un hecho, siempre hay alguien...sacándole o intentando, sacarle partido.
Lo que es prácticamente improbable es que Thomas Mair sea un agente de Bruselas.
Una conspiración supondría que Bruselas estaría detrás de uno o varios grupos extremistas-supremacistas británicos que montó hace no se sabe cuantos años con el objetivo de que si había alguna vez un referendum uno de los desquiciados atraídos por el honeypot atentaría contra la vida de una figura destacada de los partidarios del "In" ( o cometería un acto similar).
Llamamos a consultas al embajador del Reino Unido por el sandwich de paella y otras atrocidades británicas contra la cocina española. El diplomático logra la paz con su receta de pollo asado.
[...]
Ante la pasividad gubernamental, decidimos llamar a consultas al embajador británico para que rindiera cuentas sobre las atrocidades de sus compatriotas, sin importarnos que tuviera otros asuntos de menor relevancia que atender como el brexit. Simon Manley intentó justificar los desmanes, pero como sus explicaciones no nos convencieron mucho, jugó a ganarnos por el estómago. Y ganó. Nos enseñó a cocinar un fantásico Sunday roast -el asado de pollo del domingo-, tan bueno que nos hizo olvidar la paella con jerez y chili de Gordon Ramsay.
Thanks to the Islamists' campaign, and the fact that now only some "crazies" still venture in the exercise of freedom, are we now going to be just fearful? "Islamophobic" cartoonists, journalists and writers are the first Europeans since 1945 who have withdrawn from public life to protect their own lives. For the first time in Europe since Hitler ordered the burning of books in Berlin's Bebelplatz; movies, paintings, poems, novels, cartoons, articles and plays are literally and figuratively being burned at stake.[/tt]
Perdon por la generalizacion, pero, en cuestiones culturales relacionadas con el islam y el mundo árabe, los yanquis no tienen ni puta idea.Es verdad que la conclusión de un razonamiento estúpido puede ser, no siempre, desastrosa.
Como agnostico-laico-ateo convencido, nadie me tiene que convencer de lo nocivo de este nuevo fundamentalismo religioso.
Pero los argumentos estupidos solo van a llevar a conclusiones estupidas, fallidas y desastrosas. Y no me extiendo mas por falta de tiempo, no de ganas ni de material.
No son solo ZH, sino otros lugares de internet, donde he llegado a esta conclusion.
Agnosticismo
1. m. Fil. Actitud filosófica que declara inaccesible al entendimiento humano todo conocimiento de lo divino y de lo que trasciende la experiencia.
Ateo
1. adj. Que niega la existencia de cualquier dios. Apl. a pers., u. t. c. s.
Perdon por la generalizacion, pero, en cuestiones culturales relacionadas con el islam y el mundo árabe, los yanquis no tienen ni puta idea.Es verdad que la conclusión de un razonamiento estúpido puede ser, no siempre, desastrosa.
Como agnostico-laico-ateo convencido, nadie me tiene que convencer de lo nocivo de este nuevo fundamentalismo religioso.
Pero los argumentos estupidos solo van a llevar a conclusiones estupidas, fallidas y desastrosas. Y no me extiendo mas por falta de tiempo, no de ganas ni de material.
No son solo ZH, sino otros lugares de internet, donde he llegado a esta conclusion.
'Agnóstico-laico-ateo convencido' no es una generalización. Así, unidos por guión, es un cacao, o no tener ni puta idea, y por tanto un argumento 'estúpido': necio, falto de inteligencia.Cita de: DRAEAgnosticismo
1. m. Fil. Actitud filosófica que declara inaccesible al entendimiento humano todo conocimiento de lo divino y de lo que trasciende la experiencia.
Ateo
1. adj. Que niega la existencia de cualquier dios. Apl. a pers., u. t. c. s.
Para rebatir argumentos pretendidamente religiosos, sean musulmanes o cristianos, hay que ponerse en pie de igualdad en las creencias. Creer que no se puede saber nada sobre Dios, o (¿a la vez?) creer que no hay Dios, impide razonar con un creyente para criticar los motivos de sus actos (su ética).
El agnóstico consecuente, se calla de lo que no sabe cuando cree que de eso no se puede saber. El 'viejo profesor', D. Enrique Tierno, q.e.p.d., debía saberlo, y quizá por humildad, se confesaba agnóstico, no ateo.
Saludos.
Perdon por la generalizacion, pero, en cuestiones culturales relacionadas con el islam y el mundo árabe, los yanquis no tienen ni puta idea.
Como agnostico-laico-ateo convencido, nadie me tiene que convencer de lo nocivo de este nuevo fundamentalismo religioso.
Pero los argumentos estupidos solo van a llevar a conclusiones estupidas, fallidas y desastrosas. Y no me extiendo mas por falta de tiempo, no de ganas ni de material.
No son solo ZH, sino otros lugares de internet, donde he llegado a esta conclusion.
EDITO. Lo siento, es superior a miCitarThanks to the Islamists' campaign, and the fact that now only some "crazies" still venture in the exercise of freedom, are we now going to be just fearful? "Islamophobic" cartoonists, journalists and writers are the first Europeans since 1945 who have withdrawn from public life to protect their own lives. For the first time in Europe since Hitler ordered the burning of books in Berlin's Bebelplatz; movies, paintings, poems, novels, cartoons, articles and plays are literally and figuratively being burned at stake.
Es el problema de mirar el mundo a traves del ojete.
El mismo argumento, sirve para lo siguiente: ¿Vamos a permitir que el miedo a los asesinos nos haga prejuzgar a la gente por razón de su credo?¿A gente como Sadikh Khan, alcalde de Londres, por ejemplo?
El hecho de que crean que desde Hitler, en Europa (bloque occidental) no se ha reprimido la libertad de expresion hasta ahora, indica que se han olvidado de, no se
.-¿España, 39-78?
.-¿Grecia 67-74?
.-¿Portugal 33-74?
El hecho de que ignoren que se han dedicado a sabotear todos los intentos árabes por tener gobiernos laicos y hayan azuzado a los integristas contra ellos, aparte de otorgar carta blanca al peor fundamentalismo árabe, el saudi, a cambio de petroleo y alianzas. El hecho de haber creado ellos solitos el mayor estado fallido de la historia cuando un presidente oligrofrenico (seguido de otros presidentes que todos sabemos) decidió, porque si, invadir Irak.
En fin, basura intelectual.
El ateísmo es una creencia lo mismo que la abstinencia es una postura sexual :troll: :biggrin:
Considero la diferencia entre ateísmo y el agnosticismo completamente irrelevante. Técnicamente la no-existencia de realidades de las que no hay evidencia válida, en general no se puede demostrar. Yo no diría que soy agnóstico del ratoncito Pérez aunque no pueda demostrar su no-existencia. Es un nivel de precisión en el lenguaje coloquial que no me parece muy razonable.
Entiendo que se intenta no escandalizar u ofender, porque aunque parezca increíble, la palabra "ateo" a muchos les resulta ofensiva. Pues mala suerte. Tampoco nos podemos andar con tanta delicadeza.
A: no se puede saber si hay dios (agnóstico), y,
B: no hay dios (ateo).
Llevado a sus últimas consecuencias ('desastrosas') en lógica de tercio excluso, solo puede significar una estupidez ya que afirmar B no se puede saber por A. Estas sutilezas poco coloquiales aunque me parezca increíble les parecerán ofensivas.
Dios es irrelevante...
Dios es irrelevante...
Para usted o para mí puede que lo sean, pero para muchísima gente no sólo no lo es sino que se monta guerras de religión por ello.
Y no me vengan con la excusa de que las guerras de religión ocultan otros motivos (particularmente económicos), porque los fanatismos religiosos no atienden a razones pragmáticas.
Esto se está saliendo de madre! Ahora Nietzsche se posiciona contra el Brexit (wtf?)
https://www.project-syndicate.org/commentary/brexit-referendum-nietzsche-power-politics-by-hugo-drochon-2016-06 (https://www.project-syndicate.org/commentary/brexit-referendum-nietzsche-power-politics-by-hugo-drochon-2016-06)
Perdon por la generalizacion, pero, en cuestiones culturales relacionadas con el islam y el mundo árabe, los yanquis no tienen ni puta idea.
Como agnostico-laico-ateo convencido, nadie me tiene que convencer de lo nocivo de este nuevo fundamentalismo religioso.
Pero los argumentos estupidos solo van a llevar a conclusiones estupidas, fallidas y desastrosas. Y no me extiendo mas por falta de tiempo, no de ganas ni de material.
No son solo ZH, sino otros lugares de internet, donde he llegado a esta conclusion.
EDITO. Lo siento, es superior a miCitarThanks to the Islamists' campaign, and the fact that now only some "crazies" still venture in the exercise of freedom, are we now going to be just fearful? "Islamophobic" cartoonists, journalists and writers are the first Europeans since 1945 who have withdrawn from public life to protect their own lives. For the first time in Europe since Hitler ordered the burning of books in Berlin's Bebelplatz; movies, paintings, poems, novels, cartoons, articles and plays are literally and figuratively being burned at stake.
Es el problema de mirar el mundo a traves del ojete.
El mismo argumento, sirve para lo siguiente: ¿Vamos a permitir que el miedo a los asesinos nos haga prejuzgar a la gente por razón de su credo?¿A gente como Sadikh Khan, alcalde de Londres, por ejemplo?
El hecho de que crean que desde Hitler, en Europa (bloque occidental) no se ha reprimido la libertad de expresion hasta ahora, indica que se han olvidado de, no se
.-¿España, 39-78?
.-¿Grecia 67-74?
.-¿Portugal 33-74?
El hecho de que ignoren que se han dedicado a sabotear todos los intentos árabes por tener gobiernos laicos y hayan azuzado a los integristas contra ellos, aparte de otorgar carta blanca al peor fundamentalismo árabe, el saudi, a cambio de petroleo y alianzas. El hecho de haber creado ellos solitos el mayor estado fallido de la historia cuando un presidente oligrofrenico (seguido de otros presidentes que todos sabemos) decidió, porque si, invadir Irak.
En fin, basura intelectual.
Eso --la negrita-- habría que probarlo. (¿Tunez como contraejemplo?)
[...] El argumento que sostengo, es que el mundo árabe y/o musulmán no ha sido siempre el vivero de radicalismo islámico actual. Ha habido corrientes "laicas" muy importantes (incluyamos aqui a Turquía). Pero son lugares donde el estamento religioso es muy fuerte, y siempre aparece para rellenar los espacios vacios de poder. Casi siempre estarán preparados como segunda opción. Liquidar gobiernos "laicos" aupará casi siempre a islamistas al poder. O se abrirán paso ellos mismos. Ejemplos hay mil, Al Fatah-->Hamás, Baath IRak/Siria-->Daesh, Primaveras Árabes varias, Turquia, secuestro de la revolución iraní por los mullahs.... [...]
A estas horas parece claro que Brexit gana.
Con poco más de 12 millones de votos contados, casi toda Escocia y la parte hipster de Londres ya contabilizada:
Remain Leave
49.73% 50.27%
6,012,506 6,078,819
Parece que Brexit va a ganar y con algunos puntos de holgura.
[...] ¿Y qué hacer con Londres? Facilitar un nuevo acuerdo amistoso, esta vez sobre todo comercial (que es lo que le interesa), una vez David Cameron –antes de su obligada dimisión- cumpla su promesa de notificar inmediata y oficialmente su derrota a Bruselas, para desencadenar la autoexclusión según el novedoso artículo 50 del Tratado: nada de negociar bajo secuestro, como si solo una brisa hubiera pasado, sino una vez el Reino (aún) Unido notifique y renuncie a su derecho de voto en Europa sobre las cuestiones que afectan a su carpeta, como si fuera Noruega. O Turquía. [...]
¿Soy el único que lo encuentra positivo, más allá del cortoplacismo?
Un socio abusón, con vocación de privilegio, medio topo yankee, cuya economía hiperpisitófila está más que inflada y burbujeada, además de albergar en su seno el hampa financiera internacional, que jamás ha cedido ni cederá nada que no sea en su propio y exclusivo interés, con doble y triple agenda,... y con vocación de paraiso fiscal internacional; en fin, una puta joya, que encima va por ahí dando lecciones morales. Al pueblo sólo ha hecho falta planteárselo as usual: enemigo externo que les roba y les coarta, y por eso los cockney borrachuzos están perdiendo sus trabajos.
Joder, pues yo me he quedado a gusto. ATPC. Ya son libres para ir parriba, como un cobete.
Yo a la larga, lo considero enormemente positivo para Europa, por no mencionar el ejemplo que va a suponer de las consecuencias del integrismo democrático. Van a caer muchas vendas de muchos ojos.
En otro orden de cosas, interesante lo que pase con la vivienda en London. Con la simple bajada de la libra, puede que haya un repunte, ... pero por otro lado, en el fondo lo que cuenta son las expectativas de revalorizción, y ojo que ahí está la cosa.
¿Soy el único que lo encuentra positivo, más allá del cortoplacismo?
Un socio abusón, con vocación de privilegio, medio topo yankee, cuya economía hiperpisitófila está más que inflada y burbujeada, además de albergar en su seno el hampa financiera internacional, que jamás ha cedido ni cederá nada que no sea en su propio y exclusivo interés, con doble y triple agenda,... y con vocación de paraiso fiscal internacional; en fin, una puta joya, que encima va por ahí dando lecciones morales. Al pueblo sólo ha hecho falta planteárselo as usual: enemigo externo que les roba y les coarta, y por eso los cockney borrachuzos están perdiendo sus trabajos.
Joder, pues yo me he quedado a gusto. ATPC. Ya son libres para ir parriba, como un cobete.
Yo a la larga, lo considero enormemente positivo para Europa, por no mencionar el ejemplo que va a suponer de las consecuencias del integrismo democrático. Van a caer muchas vendas de muchos ojos.
En otro orden de cosas, interesante lo que pase con la vivienda en London. Con la simple bajada de la libra, puede que haya un repunte, ... pero por otro lado, en el fondo lo que cuenta son las expectativas de revalorizción, y ojo que ahí está la cosa.
La principal razón para llevar a cabo este suicidio colectivo era, precisamente, hundir el valor de la libra. Se trata de acometer una suspensión encubierta de la deuda, dado que los políticos británicos llegaron hace tiempo a la conclusión que no es posible pagar la inmensa deuda pública sin acometer devaluaciones -fraude monetario consistente en rebajar el valor de la unidad monetaria con el objetivo de devolver la deuda con unidades que valen menos que aquellas se prestaron-. Se trata de una suspensión de pagos.
Los pactos monetarios encuadrados dentro de aquellos que afectan a la competencia dentro de la UE, le limitan al Reino Unido su capacidad para deteriorar el valor de la libra y buscar ventajas comerciales completamente tramposas en un entorno de igualdad comercial. Ese fue el objetivo de mantenerse al margen del euro, pero la UE lo vio venir y por ello se firmaron pactos que, aun no estando en el euro, obligan a los miembros de la UE a mantener el valor de sus monedas dentro de un rango. Claro, el resto de los países de la UE no nos chupamos el dedo y los tratados se realizaron correctamente para evitar la competencia desleal de la devaluación y la depreciación monetaria.
Lo que está sucediendo hoy con la libra y si no se recupera no es motivo para que se salgan de la UE sino para que sean expulsados. La UE debe imponer hoy mismo sanciones y aranceles para proteger la competencia en igualdad de condiciones. No se debe permitir a ningún país buscar ventajas que alteran la libre competencia. Y eso es lo que busca el Reino Unido y quienes han votado a favor de salir. La respuesta de la UE no debe hacerse esperar. La Comisión Europea debería anunciar la imposición de aranceles a los productos británicos, incluyendo los billetes de avión al Reino Unido, equivalentes a la depreciación de la libra en las próximas semanas.
La UE tiene que proteger la libre competencia de acciones que van directamente orientadas a hacer trampas. Y bajar el valor de la libra es hacer trampas. ¿Cuántas cancelaciones de viajes a España pueden producirse en las próximas semanas porque viajar al Reino Unido este verano puede resultar mucho más barato gracias al hundimiento de la libra? La UE debería imponer una tasa idéntica a la caída de la libra. Si baja un 25 %, la tasa arancelaria a los billetes de avión debe compensar el coste del transporte y la bajada de la estancia hotelera. Así, el viaje debería ser cargado con una tasa lo suficientemente alta como para compensar esta acción tramposa contra la igualdad de competencia dentro de la UE. Y tiene que hacerse ya. Hoy mismo.
El Gobierno escocés anuncia otro referéndum por la independencia
La primera ministra Nicola Sturgeon cree que es la única forma de que la región pueda seguir dentro de la UE
Miren, lo que a mi me parece, es que es el acta de defunción oficial del popular capitalismo thatcheriano.
En su version geopolitica, financiera y "popular·" (por ahí anda el video alucinante antes de tomar el gobierno en 197x)
--el cisne negro no es el Brexit, es la inmigración:
La solucion para combinar la 4 libertades ( capital, trabajo servicios, mercancias) será cerrar las fronteras exteriores de la UE y de paises del EEE --- UK tendrá que tragárselas y la sombra Thatcher no podrá reingresar. Se cerrarán las fronteras a inmigración no-UE a cambio de reforzar la circulacion (legislacion, derechos laborales, etc) interna.
-- politicamente, el peso relativo de la UE latina acaba de incrementarse de golpe: es decir con Francia de cabeza
-- nacionalismos: el proceso nacionalista se requilibrará con la construccion de ciudadanía e instituciones/ UE.
Es decir, las instituciones UE ganarán en contrapoder acompañando el proceso de separacion-reintregración UE de las nacioncitas.
El eslabón estatal se quedará en mero dominio administrativo, existirá por siglos, pero a la manera del proceso español. La unidad de mercado se controlará desde la UE.
Adelante, y que sea divertidooooo 8)
¿Soy el único que lo encuentra positivo, más allá del cortoplacismo?
Un socio abusón, con vocación de privilegio, medio topo yankee, cuya economía hiperpisitófila está más que inflada y burbujeada, además de albergar en su seno el hampa financiera internacional, que jamás ha cedido ni cederá nada que no sea en su propio y exclusivo interés, con doble y triple agenda,... y con vocación de paraiso fiscal internacional; en fin, una puta joya, que encima va por ahí dando lecciones morales. Al pueblo sólo ha hecho falta planteárselo as usual: enemigo externo que les roba y les coarta, y por eso los cockney borrachuzos están perdiendo sus trabajos.
Joder, pues yo me he quedado a gusto. ATPC. Ya son libres para ir parriba, como un cobete.
Yo a la larga, lo considero enormemente positivo para Europa, por no mencionar el ejemplo que va a suponer de las consecuencias del integrismo democrático. Van a caer muchas vendas de muchos ojos.
En otro orden de cosas, interesante lo que pase con la vivienda en London. Con la simple bajada de la libra, puede que haya un repunte, ... pero por otro lado, en el fondo lo que cuenta son las expectativas de revalorizción, y ojo que ahí está la cosa.
Merkel ha dicho que le resultaba decepcionante el resultado, pero en Alemania están encantados. Nadie traga a los británicos -los ingleses, concretamente-, pero los alemanes menos que nadie.
UK es como usted dice; el peor socio imaginable. Probablemente se unió a la UE en los 70 por presiones del primo USA, o quizá porque su economía entonces no estaba boyante, precisamente.
Los listos dicen que esto no va a cambiar gran cosa. Mucho ruido mediático, pero poco más. Tienen un par de añitos para hacer efectiva la salida, y entre tanto negociarán chorrocientos tratados comerciales con la UE para que las cosas sigan más o menos igual. Conociéndolos, sacarán tajada, como de costumbre.
Políticamente, en lo interno ellos van a tener un lío de cojones con Escocia. La UE estará mejor sin ellos como bloque, y UK podrá hacer efectivo su sueño de seguir pesando en lo internacional como antaño con el imperio.
Pienso que políticamente van a perder mucho peso e influencia. Estaban mejor como mosca cojonera sacando pecho dentro de la UE, que fuera. Fuera, por mucho que se empeñen, y en el mundo de bloques enormes en el que estamos, no son nadie.
A pie de calle está por ver cómo les afectará. La UE es un monstruo supranacional que no tengo ya muy claro si es bueno o malo. A sociedades atrasadas y corruptas como la nuestra le suele venir bien para parar los pies de sus caciques. Pero países avanzados como UK, Holanda o Dinamarca se ven amenazados e indignados por la corrupción y el descontrol de Bruselas.
Si la libra cae mucho, el viajar se va a acabar para la trash británica. A España le perjudicaría, pero quien no dependa del turismo, se va a ver aliviado de ver menos basura inglesa ensuciando, embruteciendo y vulgarizando su costa. Lo mismo España, que cualquier otro país del mundo que los recibiera. Ellos funcionan igual en todas partes, haciendo bueno aquello de "puedes sacar a un inglés de inglaterra, pero no puedesa sacar inglaterra de un inglés".
Otros niveles de vida british, no sé. En general y por lo que sé, un británico medio no vive mejor que un español. Aquí las cosas se han degradado mucho con la crisis y la entrada del euro. Pero en los 90, ingleses que conocí me decían: "Un inglés de clase media no puede vivir como un español, saliendo cada dos por tres a tomar cervezas, cafés, tapas o a comer. Todo eso es demasiado caro".
me gustaria que me aclararas una cosa:
Los escoces han dicho que no van a votar a favor de salirse en el Parlamento Britanico
eso tiene alguna influencia o es solo palabreria?
CitarEl Gobierno escocés anuncia otro referéndum por la independencia
La primera ministra Nicola Sturgeon cree que es la única forma de que la región pueda seguir dentro de la UE
[url]http://www.expansion.com/economia/2016/06/24/576d0e99ca474117188b459d.html[/url] ([url]http://www.expansion.com/economia/2016/06/24/576d0e99ca474117188b459d.html[/url])
Saludos.
([url]http://www.forexfactory.com/attachment.php?attachmentid=1958744&stc=1&thumb=1&d=1466756483[/url])
un futuro esperanzador
[...] UK es un sitio serio. Si en el referendum ha salido que se salen, no hay vuelta atrás, y no van a escudarse es excusas en plan "es que el Parlamento ha rechazado el Brexit". [...]
[...] UK es un sitio serio. Si en el referendum ha salido que se salen, no hay vuelta atrás, y no van a escudarse es excusas en plan "es que el Parlamento ha rechazado el Brexit". [...]
Bueeeeeno... se verá. De momento: "Johnson says no rush for Brexit as Cameron quits after losing referendum."
[url]http://www.theguardian.com/international[/url] ([url]http://www.theguardian.com/international[/url])
[ No descartes a Tsipras Moment. ]
[...] UK es un sitio serio. Si en el referendum ha salido que se salen, no hay vuelta atrás, y no van a escudarse es excusas en plan "es que el Parlamento ha rechazado el Brexit". [...]
Bueeeeeno... se verá. De momento: "Johnson says no rush for Brexit as Cameron quits after losing referendum."
[url]http://www.theguardian.com/international[/url] ([url]http://www.theguardian.com/international[/url])
[ No descartes a Tsipras Moment. ]
[...] UK es un sitio serio. Si en el referendum ha salido que se salen, no hay vuelta atrás, y no van a escudarse es excusas en plan "es que el Parlamento ha rechazado el Brexit". [...]
Bueeeeeno... se verá. De momento: "Johnson says no rush for Brexit as Cameron quits after losing referendum."
[url]http://www.theguardian.com/international[/url] ([url]http://www.theguardian.com/international[/url])
[ No descartes a Tsipras Moment. ]
[...] UK es un sitio serio. Si en el referendum ha salido que se salen, no hay vuelta atrás, y no van a escudarse es excusas en plan "es que el Parlamento ha rechazado el Brexit". [...]
Bueeeeeno... se verá. De momento: "Johnson says no rush for Brexit as Cameron quits after losing referendum."
[url]http://www.theguardian.com/international[/url] ([url]http://www.theguardian.com/international[/url])
[ No descartes a Tsipras Moment. ]
Eso es entre otras cosas porque ahora empiezan las primarias Tory. Cameron ha dimitido, pero dejará el cargo en octubre al siguiente. Por eso quieren paralizar las cosas, porque en 3 meses largos los mercados pueden hacer pupa, mientras se van preparando para salirse de la UE.
No digo que no.
Pero sí digo que Cameron (David ;) ) prometió "enviar la carta" un minuto después del brexit. Ha incumplido tal promesa. (Nadie se la había pedido. La cagada es toda suya.) Y francamente, despues de lo de Grecia: "gano" el referendum, y me hago el "sueco"; me creo calquier cosa. Y RU, eventualmente, puede ser Grecia.
a mí me ha pillado el toro aquí (llevo año y medio) y no veo aires en el ambiente como de recular. y ojo que la infinita mayoría de la gente de mi empresa son target the The Guardian, eran Remain y hasta la propia empresa así lo anunció públicamente, pero se ha votado y “es lo que hay y nos vamos a la mierda”.
en la sede de Londres, con 120 empleados, hay gente de 21 países. no sé es cuantos son EU, pero la carnicería puede ser maja según como se ponga la cosa.
Londres quiere mantener el acceso al mercado único pero frenar la libre circulación de personas; Europa no está por la labor...
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/24/actualidad/1466751765_822662.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/24/actualidad/1466751765_822662.html[/url])
Declare London independent from the UK and apply to join the EU.
London is an international city, and we want to remain at the heart of Europe.
Let's face it - the rest of the country disagrees. So rather than passive aggressively vote against each other at every election, let's make the divorce official and move in with our friends on the continent.
This petition is calling on Mayor Sadiq Khan to declare London independent, and apply to join the EU - including membership of the Schengen Zone (Umm, we'll talk about the Euro...).
Mayor Sadiq, wouldn't you prefer to be President Sadiq? Make it happen!
#londependence
[...] El argumento que sostengo, es que el mundo árabe y/o musulmán no ha sido siempre el vivero de radicalismo islámico actual. Ha habido corrientes "laicas" muy importantes (incluyamos aqui a Turquía). Pero son lugares donde el estamento religioso es muy fuerte, y siempre aparece para rellenar los espacios vacios de poder. Casi siempre estarán preparados como segunda opción. Liquidar gobiernos "laicos" aupará casi siempre a islamistas al poder. O se abrirán paso ellos mismos. Ejemplos hay mil, Al Fatah-->Hamás, Baath IRak/Siria-->Daesh, Primaveras Árabes varias, Turquia, secuestro de la revolución iraní por los mullahs.... [...]
La cuestión no es laico/religioso, sino democrático/autocrático, o más en general estado de derecho/dictadura (o anarquía, estado fallido.. etc.)
Hay ejemplos... Tunez, el mismo Marruecos, Indonesia, Jordania... de países que tratan de avanzar hacia estados de derecho. Afrontan los mismos problemas que Latinoamérica, o Grecia, Portugal, España... en su momento; que no es fácil.
Y luego están los hidrocarburos, y otras cuestiones de geostratégia.
Añade al cóctel, doscientas partes de hipocresía, y unas gotas de fanatismo.
...
...
Añade también lo suyo: si pudieran, nos cortarían el cuello, y esclavizarían a nuestras mujeres. (No todos ellos lo quieren, pero no son pocos los que sí.)
...
...
En fin, mi tesis es que son como los demás. Tienen los problemas que tienen o han tenido los demás anteriormente, y las soluciones por delante son igual de dolorosas que lo han sido para otras naciones que han pasado por ello antes. (Asia entera, África negra.) Porque efectivamente; el mundo no se para para ti, tienen que avanzar mientras el resto, esté como esté, sigue a lo suyo, a su ritmo y defendiendo sus intereses.
"Ej lo que hay" en modo palillero.
El político conservador británico Jonathan Hill ha dimitido este sábado de su cargo como comisario europeo de Estabilidad Financiera, Servicios Financieros y Mercado de Capitales de la Unión Europea (UE), después de que el Reino Unido votara por el brexit.
"A la luz del resultado del referéndum, es correcto que dimita", ha señalado en su cuenta de Twitter.
Saturno, no hay que volverse loco buscando tres pies al gato, básicamente ni dios sabe como se sale uno ni quien tiene que aprobarlo en UK, la UE ha venido a decir que con que "Camarón de la Isla" les deje un post-it en el frigo en la siguiente reunión que ponga "art. 50 y tal", que ya se dan por enterados y empiezan con el papeleo del desahucio y esas cosas...
Ay señor, llévame pronto...
:roto2:
20:30 -- Podemos da el sorpasso según encuestas de pie de urna.
[url]http://www.leparisien.fr/international/elections-legislatives-en-espagne-le-royaume-en-quete-d-un-gouvernement-stable-26-06-2016-5916119.php[/url] ([url]http://www.leparisien.fr/international/elections-legislatives-en-espagne-le-royaume-en-quete-d-un-gouvernement-stable-26-06-2016-5916119.php[/url])
¡Diviértanse!
El Brexit o la mezcla de un 'tory' estúpido, un laborista traidor y un fascista engreído
[url]http://goo.gl/t5NhTP[/url]
([url]http://goo.gl/t5NhTP[/url])
En mi opinión, los resultados electores los podríamos colocar en los hilos de ppcc o del rescate.
Yo de todos modos venía a traer ésto:CitarEl Brexit o la mezcla de un 'tory' estúpido, un laborista traidor y un fascista engreído
[url]http://goo.gl/t5NhTP[/url]
([url]http://goo.gl/t5NhTP[/url])
Aquí pidio ayuda saturno, pero ya está todo el pescado vendido.
Igual que antes ¿Terceras elecciones?
Aquí pidio ayuda saturno, pero ya está todo el pescado vendido.
Igual que antes ¿Terceras elecciones?
Lo dudo. La repetición, en mi opinión, ha sido porque Podemos creía que la baza de IU le iba a colocar en mejor posición.
Ahora todos saben que una repetición les haría más daño (salvo al PP). Supongo que habrá acuerdo esta vez.
37-85-71-32 para PP, PSOE, UP y C's (al 98% de escrutinio.)
Berlin trace donc ses conditions à une plus grande intégration de la zone euro : un changement de traités pour « renforcer le contrôle sur la politique financière et économique », bref une mise sous tutelle européenne des budgets nationaux. Logiquement, les services de la Wilhelmstrasse s'attendent donc à ce qu'il n'y ait pas de « grands accords sur le sujet ». En résumé : l'Allemagne n'entend pas s'engager dans une zone euro plus intégrée. Rien d'étonnant à cela à un an des élections françaises et allemandes. La réponse européenne au Brexit ne devrait donc se faire que par une tentative d'impressionner ceux qui seraient tentés de suivre l'exemple britannique et non par un nouveau projet européen.
Aquí pidio ayuda saturno, pero ya está todo el pescado vendido.
Igual que antes ¿Terceras elecciones?
Lo dudo. La repetición, en mi opinión, ha sido porque Podemos creía que la baza de IU le iba a colocar en mejor posición.
Ahora todos saben que una repetición les haría más daño (salvo al PP). Supongo que habrá acuerdo esta vez.
Mis opciones:
- PPSOE
- PP+C's, con abstención de PSOE
El PP ha ganado de largo las elecciones, y justo es reconocerlo; por mucho que no nos guste, debe formar gobierno.
[...] Boris Johnson knew this yesterday, when he emerged subdued from his home and was even more subdued at the press conference. He has been out-manoeuvred and check-mated.
If he runs for leadership of the party, and then fails to follow through on triggering Article 50, then he is finished. If he does not run and effectively abandons the field, then he is finished. If he runs, wins and pulls the UK out of the EU, then it will all be over - Scotland will break away, there will be upheaval in Ireland, a recession ... broken trade agreements. Then he is also finished. Boris Johnson knows all of this. When he acts like the dumb blond it is just that: an act. [...]
Interesting.Citar[...] Boris Johnson knew this yesterday, when he emerged subdued from his home and was even more subdued at the press conference. He has been out-manoeuvred and check-mated.
If he runs for leadership of the party, and then fails to follow through on triggering Article 50, then he is finished. If he does not run and effectively abandons the field, then he is finished. If he runs, wins and pulls the UK out of the EU, then it will all be over - Scotland will break away, there will be upheaval in Ireland, a recession ... broken trade agreements. Then he is also finished. Boris Johnson knows all of this. When he acts like the dumb blond it is just that: an act. [...]
[url]http://indy100.independent.co.uk/article/people-are-really-really-hoping-this-theory-about-david-cameron-and-brexit-is-true--bJhqBql0VZ?utm_source=indy&utm_medium=top5&utm_campaign=i100[/url] ([url]http://indy100.independent.co.uk/article/people-are-really-really-hoping-this-theory-about-david-cameron-and-brexit-is-true--bJhqBql0VZ?utm_source=indy&utm_medium=top5&utm_campaign=i100[/url])
[...]
Yo soy la UE, tengo que suspender los derechos de UK hasta que acte el art. 50 o bien.... pida renegociar su entrada en la UE... con un ¡ referendum de readhesión !
Hay que ser consecuentes por ambos lados.
Aprovecharía para reformar el Tratado UE e introducir el voto libre en toda la UE.
[...]
Un aspecto interesante del articulo 50, es que su invocación la hace el Gobierno que se va (UK)
Pero la UE lo exige a la vista del resultado de votos, es decir ¡exige al Gobierno que traiga el artículo 50 en nombre de los electores de ese Gobierno!
Hay una arquitectura no resuelta, que toca a la legitimación de las instituciones UE.
Las instituciones nacionales tienen su legitimidad construida por la historia de sus pueblos.
Pero las de la UE no sé si se están construyendo sobre las razones propias de los pueblos
Razones las hay, pero no quedan reflejadas en instituciones, o son muy pocas.
La UE tomó como modelo los tratados y convenios entre gobiernos (Viena, Berna, ....):
Fueron la gran moda durante el sXIX hasta la UE.
Quizá no haya que pensar tampoco en instituciones comunes elaboradas.
Sólo en libertad de desplazamiento, por ejemplo. Y dejar que las cosas se hagan solas
Lo que sí falta en Europa es la libertad de voto en asuntos de interés UE
Con libertad de voto, los demás ciudadanos UE habrían podido votar en el referendum de UK.
Con las otras 4 libertades, falta ésa. Implica que los Gobiernos no puedan plantear consultas reservando a sus ciudadanos un voto que afecta a toda la UE. Aprobar ese cambio constitucional es el único (y último) referendum local que puede hacer un Estado que se adhiere a la UE. Al que le puede seguir entonces otro referendum continental, y sobre la misma pregunta. La entrada de Turquia, o la salida de UK o cualquier otro tema.
La nacionalidad administrativa funciona en Europa igual que el empadronamiento en España.
Pero el origen del derecho (de voto) europeo no sería la Nacionildad, sino la condción de ciudadano UE.
En otro caso, como ahora, la Nacionalidad opera como un filtro, una medida de protección del Gobierno local, y sobre todo, de los otros Gobiernos. Ahí tienes empotrados todos los intereses de las "castas", simplemente, estamos dando a los diferentes porteros la responsabilidad del administrador de la finca común.
Esa sería la contradicción de la arquitectura democrática de la UE :
que el derecho de voto en temas que afectan a la UE no se puede ejercer desde todo el territorio afectado, no se puede ejercer desde toda la UE.
(pensamientos en voz alta)
Aquí pidio ayuda saturno, pero ya está todo el pescado vendido.
Igual que antes ¿Terceras elecciones?
Lo dudo. La repetición, en mi opinión, ha sido porque Podemos creía que la baza de IU le iba a colocar en mejor posición.
Ahora todos saben que una repetición les haría más daño (salvo al PP). Supongo que habrá acuerdo esta vez.
Mis opciones:
- PPSOE
- PP+C's, con abstención de PSOE
El PP ha ganado de largo las elecciones, y justo es reconocerlo; por mucho que no nos guste, debe formar gobierno.
¿Porque lo dice el PP?
Y si UP pacta con PSOE, sumando más escaños que el PP ¿no sería justo que formaran Gobierno?
Aquí pidio ayuda saturno, pero ya está todo el pescado vendido.
Igual que antes ¿Terceras elecciones?
Lo dudo. La repetición, en mi opinión, ha sido porque Podemos creía que la baza de IU le iba a colocar en mejor posición.
Ahora todos saben que una repetición les haría más daño (salvo al PP). Supongo que habrá acuerdo esta vez.
Mis opciones:
- PPSOE
- PP+C's, con abstención de PSOE
El PP ha ganado de largo las elecciones, y justo es reconocerlo; por mucho que no nos guste, debe formar gobierno.
¿Porque lo dice el PP?
Y si UP pacta con PSOE, sumando más escaños que el PP ¿no sería justo que formaran Gobierno?
No veo cómo podría hacerlo.
Insisto, yo no digo que me guste, sino que es lo que hay. Además, UP+PSOE sólo podría tener más escaños si juntáramos a la vez a todos los nacionalistas, que por cierto, salvo ERC, son todos (muy) de derechas.
A ver si aclaramos el conceto.
La UE es una Unión de Estados Miembros SOBERANOS.
Algunas de las consecuencias de dicha soberanía son:
1) que aplican las políticas nacionales e internacionales en su territorio
2) que recaudan sus impuestos en su territorio en la moneda que deciden
3) que emiten su deuda pública soberana, de la que responden sólo ellos
4) que deciden unilateralmente si se adhieren a la UE o si dejan la UE, habiendo luego mecanismos legales, políticos y económicos pactados para tales adhesiones o salidas
De 1) se sigue que un país (p.ej. España) puede saltarse un acuerdo vinculante (p.ej. el MoU) y la UE no puede implementar cambios políticos en España,
sino recordar y advertir al gobierno de turno los compromisos adquiridos, y lanzar las medidas legales pertinentes si hay incumplimiento reiterativo.
- La UE no puede entrar a su antojo en un país a cambiar políticas absurdas aunque la UE y los propios ciudadanos de ese país quisieran
De 2) se sigue que los impuestos se pagan por país, y los países transfieren fondos a la UE según una serie de pactos y mecanismos.
- Aunque la UE y los ciudadanos quisieran que una parte de los impuestos los cobrase directamente Europa, eso no es posible si los Estados Miembros no decidieran ceder esa parte de su soberanía.
De 3) se sigue que no hay eurobonos. La UE no puede emitir "deuda UE" de la que respondan solidariamente sus Estados Miembros.
- Aunque la UE y los ciudadanos quisieran que haya eurobonos, eso no es posible si los Estados Miembros no decidieran ceder esa parte de su soberanía (responder solidariamente con sus impuestos nacionales de la deuda de otro país).
De 4) se sigue que el Reino hasta-ahora-Unido, y cualquier otro Estado Miembro, pueden decidir unilateralmente (mediante referéndum o mediante calentón de su caudillo correspondiente) salir de la UE.
- Aunque la UE y los ciudadanos quisieran que ese país no salga, ese país saldrá si lo decide.
A ver si cala ya en las meninges españolas: la relación entre un país soberano y la UE NO ES EQUIVALENTE a la relación entre una región y el país, ni entre una provincia y una región. En general, las provincias y regiones no son soberanas, y las competencias que tengan se las atribuye el Estado al que pertenecen.
El problema no es la UE ni la arquitectura democrática de la UE. El problema es que (ni el establishment cortijero ni la mayoría natural palillera de) ningún país quiere ceder soberanía, ahora que la UE ya ha ido fraguando y toca (cuerpo de aduanas común, eurobonos, etc.).
Eso, los ciudadanos que lo quieran, lo han de expresar y pelear localmente en cada país.
En particular, deben decidir si quieren quitar soberanía al Estado para crear mini- y micro-estados (y que Villatripas de Arriba tenga su moneda propia, recaude sus impuestos, emita Tripabonos, y tenga aduana propia en la frontera con Villatripas de Abajo), o si quieren quitar soberanía al Estado para transferirla a la UE y crear una Europa más fuerte (por ejemplo, aduanas, ciertos impuestos y parte de la deuda).
[...]
Yo soy la UE, tengo que suspender los derechos de UK hasta que acte el art. 50 o bien.... pida renegociar su entrada en la UE... con un ¡ referendum de readhesión !
Hay que ser consecuentes por ambos lados.
Aprovecharía para reformar el Tratado UE e introducir el voto libre en toda la UE.
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Te veo muy british ahora...
Lo que NO hay que hacer en mi opinión, es tratar de acercar el ascua a la sardina de uno porque el támesis pasa por Londres.
Habrá que resolver el problema, with no strings added. (Sin añadir más problemas, ideítas, intereses. Solucionar el Brexit de una manera u otra, pero sólo el Brexit.)
[...] Te has fijado que en el referendum UK podía votar cualquier ciudadano de la Commonwealth ?
[...]
[...] Te has fijado que en el referendum UK podía votar cualquier ciudadano de la Commonwealth ?
[...]
Inventándote las cosas, no vas a ninguna parte.
Conozco a un profe de "British Council", madrileño*, que no ha podido votar por llevar mas de 15 años aquí. (Tampoco en el referendum escocés.)
..........
* Madrileño de Edimburgo. (Es lo que dice él, y yo como madrileño no tengo 'na que objetar'.)
[...] Te has fijado que en el referendum UK podía votar cualquier ciudadano de la Commonwealth ?
[...]
Inventándote las cosas, no vas a ninguna parte.
Conozco a un profe de "British Council", madrileño*, que no ha podido votar por llevar mas de 15 años aquí. (Tampoco en el referendum escocés.)
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* Madrileño de Edimburgo. (Es lo que dice él, y yo como madrileño no tengo 'na que objetar'.)
[...] Te has fijado que en el referendum UK podía votar cualquier ciudadano de la Commonwealth ?
[...]
Inventándote las cosas, no vas a ninguna parte.
Conozco a un profe de "British Council", madrileño*, que no ha podido votar por llevar mas de 15 años aquí. (Tampoco en el referendum escocés.)
..........
* Madrileño de Edimburgo. (Es lo que dice él, y yo como madrileño no tengo 'na que objetar'.)
No desvies el debate. Por lo pronto creo que cualquier ciudadano de la CW residente en UK podía votar.
Pero no podía votar un EU-citizen residente en UK.
Por qué?
Porque el alcance de ese tipo de voto, no opera sobre la suma de Inglaterra, Escocia,.. etc.... sino sobre la totalidad como UK o como la CW (que me corrijan pero la CW con Canada, Austrialia etc es una UK descafeinada, posterior, al estar territorialmente disyuntas, no?)
Pues lo mismo, hay votos cuyo alcance no opera sobre sumas de nacionalidades, sino sobre "totalidades" como la U.E
Habría que mirar un poco como se regula el derecho a voto en la CommonWealth
Y de todos modos, los que propmueven una Federación Europea no proponen nada muy diferente.
Aunque creo que lasubsidiariedad es mejor en el caso UE.
George Soros says Brexit has made the disintegration of the EU practically irreversible
The billionaire went as far as saying the UK itself 'may not survive' the decision
[url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url])
So Brexshitters, now that you have "your" country back, what do you plan to do with it?
Or are you totally clueless?
George Soros dixit:CitarGeorge Soros says Brexit has made the disintegration of the EU practically irreversible
The billionaire went as far as saying the UK itself 'may not survive' the decision
[url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url])
Mi opinión es diametralmente opuesta: en realidad ahora EU va a ser políticamente más fuerte que nunca, y el € como moneda, no digamos...
En cuanto a su segunda afirmación, con ésa sí que estoy de acuerdo.
Leído por ahí:CitarSo Brexshitters, now that you have "your" country back, what do you plan to do with it?
Or are you totally clueless?
La negrita* es mía.
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* Sólo la negrita. :)
George Soros dixit:CitarGeorge Soros says Brexit has made the disintegration of the EU practically irreversible
The billionaire went as far as saying the UK itself 'may not survive' the decision
[url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/business/news/george-soros-says-brexit-has-made-the-disintegration-of-the-eu-practically-irreversible-a7105321.html[/url])
Mi opinión es diametralmente opuesta: en realidad ahora EU va a ser políticamente más fuerte que nunca, y el € como moneda, no digamos...
En cuanto a su segunda afirmación, con ésa sí que estoy de acuerdo.
Coincido contigo pero creo que la digestión se nos va a hacer pesada.
Echando un vistazo rápido parece que al DB la cosa le ha hecho mucho daño y también a los bancos italianos. Esperemos que sólo sean unas décimas de fiebre.
De todos modos, la angloesfera está on fire. Parece que los que nos hemos metido el tiro en el pie somos los continentales.
... Our democracy does not allow, much less require, decision-making by referendum. That role belongs to the representatives of the people and not to the people themselves. Democracy has never meant the tyranny of the simple majority, much less the tyranny of the mob (otherwise, we might still have capital punishment). Democracy entails an elected government, subject to certain checks and balances such as the common law and the courts, and an executive ultimately responsible to parliament, whose members are entitled to vote according to conscience and common sense...
Before making a statement at Holyrood on Tuesday on the implications for Scotland of last week’s Brexit vote, where the UK overall opted to leave the EU while Scotland voted 62% to 38% to stay in, the first minister said she wanted its mandate to reinforce her hand in those talks.
With the first wave of post-EU referendum opinion polls showing only a modest rise in support for independence and ambivalence about a fresh referendum, Sturgeon is keen to investigate options for some form of “associate” status for Scotland in the EU while it remains in the UK, to preserve Scotland’s access to the single market and wider EU benefits.
“I am now determined to explore every avenue to retain Scotland’s EU status, and Tuesday’s parliamentary debate is a vital part of that process,” she said, adding: “It is now crucial that our national parliament speaks with as strong and united a voice as possible on this issue.”
S&P recorta también el rating de AAA a AA, saltándose el AA+
https://www.theguardian.com/business/live/2016/jun/27/pound-shares-markets-brexit-crisis-osborne-lew-business-live?page=with:block-577166cde4b0f4303810a2da#block-577166cde4b0f4303810a2da (https://www.theguardian.com/business/live/2016/jun/27/pound-shares-markets-brexit-crisis-osborne-lew-business-live?page=with:block-577166cde4b0f4303810a2da#block-577166cde4b0f4303810a2da)
President Of The European Parliament: "It Is Not The EU Philosophy That The Crowd Can Decide Its Fate"
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-06-27/president-european-parliament-it-not-eu-philosophy-crowd-can-decide-its-fate[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-06-27/president-european-parliament-it-not-eu-philosophy-crowd-can-decide-its-fate[/url])
EU Schulz: "TheBritish violate EU framework, as it isn't in EU philosophy that mob can decide over rise & fall of EU
Der Mob wird euch vielleicht bald baumeln lassen, ihr raffgierigen Mistgeburten -Heuchler!!!
(https://pbs.twimg.com/media/CluK-gnWAAA5H5_.jpg)
Die Briten versoßen gegen die Eu-Rahmenbedingungen, das es nicht in der Philosophie der EU liegt, dass der Mob über Aufstieg und Untergang der EU entscheiden darf.
Dos ciudadanos polacos recibieron una golpiza la madrugada del sábado, en uno de los muchos episodios que se han registrado el fin de semana.
Este lunes, la embajada de Polonia en el Reino Unido condenó los hechos violentos de carácter racista y exigió castigo a los autores.
“Estamos conmocionados y profundamente preocupados por los recientes episodios de insultos xenófobos contra la comunidad polaca y otros residentes en el Reino Unido de origen inmigrante”, se lee en un comunicado de la representación diplomática.
“La embajada polaca está en contacto con las instituciones relevantes y la policía local ya investiga los dos casos más comentados, en Hammersmith, en Londres, y en Huntingdon, en Cambridgeshire”.
Poco después el posicionamiento de Polonia ante los ataques, David Cameron también condenó la violencia racista. Una portavoz del gobierno británico declaró: “tenemos que ser absolutamente claros en que este gobierno no tolerará la intolerancia”, ante “los incidentes que hemos visto en todo el país durante el fin de semana, en los que intimidaron a inmigrantes y les dijeron que se vayan a su casa”.
O sea que los españoles básicamente han perdido el tiempo y el dinero, porque no cambia gran cosa, ¿verdad? No lo he seguido muy de cerca.
[...]Citar
Coincido contigo pero creo que la digestión se nos va a hacer pesada.
Echando un vistazo rápido parece que al DB la cosa le ha hecho mucho daño y también a los bancos italianos. Esperemos que sólo sean unas décimas de fiebre.
De todos modos, la angloesfera está on fire. Parece que los que nos hemos metido el tiro en el pie somos los continentales.
??
¿Acaso hemos tenido ocasión de votar? Yo en todo caso les botaría...
No es la filosofía EU que su destino sea decidido por la multitud:CitarPresident Of The European Parliament: "It Is Not The EU Philosophy That The Crowd Can Decide Its Fate"
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-06-27/president-european-parliament-it-not-eu-philosophy-crowd-can-decide-its-fate[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-06-27/president-european-parliament-it-not-eu-philosophy-crowd-can-decide-its-fate[/url])
Yo directamente habría dicho la chusma... :vomit:
"Blessed SDS, you are nothing but rabble, you know..."
ZH es un puto estercolero éstos días, por cierto.
Espero a ver el origen de la cita de Schulz, pero entiendo que está argumentando la democracia representativa frente a la directa.Hace ya años recuerdo haber leído un estudio que intentaba dibujar el mundo en 2050: me extrañó una cosa sobre todas las demás y era la enorme convergencia en rentas a nivel planetario, pero bien pensado tenía toda la lógica: cada vez será más difícil para países y seguramente personas (al menos clanes familiares con vocación de perdurabilidad) mantener esas ventajas por las que uno se sitúa más arriba, y una de ellas es la concentración del poder financiero, necesaria cuando el capital y el know-how para su manejo son escasos (y se han acumulado en Londres merced al comercio y la globalización del XIX) y su prima la energia está centralizada y controlado su fluir por pocas manos (y muy anglosajonas). ¿qué pasa cuando todo esto comienza a resquebrajarse ante la perspectiva de un nuevo ciclo largo económico que, si no con la eternamente pospuesta fusión, va a contar con la generación renovable distribuida como uno de sus puntales? Pues que un modelo arcaico de plaza finaniera revienta y con él muchas cosas anejas: el sistema financiero tal como está hoy concebido casi recuerda a la época heorica del barbero-cirujano, uno confía sus ahorros a señores que saben tanto de finanzas como un ingeniero de fisiología pero están ahí por diversos condicionantes, en general anacrónicos, del diseño y evolución de las finanzas desde el XIX.
Vamos a ver llegar debates sobre democracia aún más difíciles de enderezar que los que versan sobre inmigración.
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Creo que la momia de thatcher está dando el último estertor.
Y que los Brits van a sacar a la luz el terrible secreto de familia que tenían guardado desde los 80.
(Y quizás desde la IIWW. porque UK, con EEUU fue el único país que después de la guerra no tuvo
que hacer la necesaria introspección para drenar la hiel ideologica de los 30 -- y la bestia se les quedó rumiando en la prole de esos años -- con Thatcher de quintaesencia y los 40-55 de hordas entusiasmadas: en eso consistió el neoliberalismo)
La historia del Cid, al lado, va a quedar como una nana para dormir a niños.
Honestamente, yo (la UE) les daría la espalda sin pensarlo más, sólo haciendo de de enfermera por horas.
Creo que el espectáculo del PopularCapitalismo muriéndose en lo que fue su cuna va a ser horrible, y dantesco.
Y una lección brutal. Los Indios ya lo dicen. En prensa de Africa lo siguen de cerca también.
Y los paises de la CommonWealth van a tomar nota.
(En Australia el partido republicano ha tomado un nuevo impulso en los sondeos)
¡Adelante, y diviértanse!
With financial markets in turmoil, a big drop in the pound and the prospect of further chaos, some supporters of Brexit are backpedaling on bold pronouncements they made just a few days earlier. “A lot of things were said in advance of this referendum that we might want to think about again,” Liam Fox, a former cabinet minister, told the BBC, including when and how Article 50 — the formal process for leaving the European Union — should be invoked.
Perhaps no promise was more audacious — and mendacious, critics say — than the £350-million-a-week claim. Boris Johnson, the former mayor of London who was the frontman of the Brexit campaign, toured Britain in a bus emblazoned with the slogan: “We send the E.U. £350 million a week, let’s fund our N.H.S. instead,” a reference to the country’s widely revered National Health Service.
Hours after proclaiming “independence day” for Britain, Nigel Farage, the leader of the fiercely anti-European U.K. Independence Party, conceded that the £350 million figure was a “mistake.” Asked by the BBC on Sunday about the spending pledge, Iain Duncan Smith, a former Conservative Party leader who campaigned for Brexit, said the Leave side had merely promised “to spend the lion’s share of that money” on the health service.
CitarWith financial markets in turmoil, a big drop in the pound and the prospect of further chaos, some supporters of Brexit are backpedaling on bold pronouncements they made just a few days earlier. “A lot of things were said in advance of this referendum that we might want to think about again,” Liam Fox, a former cabinet minister, told the BBC, including when and how Article 50 — the formal process for leaving the European Union — should be invoked.
Perhaps no promise was more audacious — and mendacious, critics say — than the £350-million-a-week claim. Boris Johnson, the former mayor of London who was the frontman of the Brexit campaign, toured Britain in a bus emblazoned with the slogan: “We send the E.U. £350 million a week, let’s fund our N.H.S. instead,” a reference to the country’s widely revered National Health Service.
Hours after proclaiming “independence day” for Britain, Nigel Farage, the leader of the fiercely anti-European U.K. Independence Party, conceded that the £350 million figure was a “mistake.” Asked by the BBC on Sunday about the spending pledge, Iain Duncan Smith, a former Conservative Party leader who campaigned for Brexit, said the Leave side had merely promised “to spend the lion’s share of that money” on the health service.
[url]http://www.nytimes.com/2016/06/27/world/europe/having-won-some-brexit-campaigners-begin-backpedaling.html[/url] ([url]http://www.nytimes.com/2016/06/27/world/europe/having-won-some-brexit-campaigners-begin-backpedaling.html[/url])
George Osborne has said that the government will "absolutely" have to cut public spending and raise taxes following Friday's referendum decision to leave the European Union.
The chancellor said it is key that Britain provides fiscal stability in the wake of the Brexit decision.
"We are in a prolonged period of economic adjustment in the UK, we are adjusting to life outside the EU and it will not be as economically rosy as life inside the EU," he told BBC Radio 4.CitarWe are absolutely going to have to provide fiscal security to people, we are going to have to show the country and the world that the government can live within its means.
– CHANCELLOR GEORGE OSBORNE
Asked if that meant tax rises and spending cuts, he said: "Yes, absolutely."
"I think we can provide a clear plan," he added.
Fisheries chiefs and campaigners say current catch quotas will continue until the UK leaves the EU, and new arrangements may not be more generous
British fishermen have been warned that, despite the promises made by the leave campaign, they cannot expect to be granted greater catches after the UK leaves the European Union, and they may face increased economic turmoil.
Fishermen will have to remain within their current catch quotas while the UK is still a member, and even if new arrangements are negotiated after a Brexit, they will not necessarily be more generous, fisheries chiefs and campaigners have warned.
British fishing fleets will still be bound by international agreements on fish stocks that must now be worked out, and which may not be to their benefit.
“Promises have been made and expectations raised during the referendum campaign and it is now time to examine if and how they can be delivered,” said the National Federation of Fishermen’s Organisations.
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“Unfortunately, perhaps, the UK’s geopolitical position means that it is not politically or legally possible just to ringfence most of our fish resources, in the way that, for example, Iceland can. The reality is that most of our stocks are shared with other countries to some degree or other.
“We can certainly seek to renegotiate quota shares, as well as access arrangements, but it is realistic to expect that there will be a price. Who will pay that price is a critical question.”
The cost could, in theory, be subsidised by the government, or it could be borne by consumers, though this would depend on the price of fish to be imported, if UK fisheries are to remain competitive. The effects on fishing fleets are likely to vary across the UK. Many fishermen currently benefit from EU subsidies to help them buy better boats with new nets that help to preserve fish stocks, for instance by allowing juvenile fish to swim clear.
A spokesman for the European commission told the Guardian: “It is far too early to speculate on this question [of what will happen to fisheries]. That will be addressed in due course, once negotiations with the UK begin on its withdrawal agreement as well as on the agreement concerning its future relationship with the EU. For the time being, nothing changes.”
Although there are only about 11,000 people directly employed in fishing in the UK, nearly half of them in Scotland, which voted to stay in Europe. The industry was made a touchstone by Leave campaigners.
[...]
Quería compartir un pensamiento:
Si yo fuera un padre de familia británico, y me enterara que mis padres, o los de mi mujer, hubieran votado `Brexit', mi primera tentación sería pegarles una buena patada en los h*****, pero creo que mucho mejor y más justo sería denegarles de ahora en adelante que pudieran ver en modo alguno a sus nietos.
Para empezar, no merecerían verlos si han decidido unilateralmente arrebatarles su futuro.
My modest proposal... >:(
Los jóvenes británicos se indignan ahora, pero estaban distraídos
[...]
Un 75% de los votantes entre 18 y 24 años apoyó el Remain, quedarse en la UE, según el sondeo YouGov, exactamente lo contrario que los más mayores.
[...]
La participación fue más alta en las zonas con media de edad más elevada y algunas encuestas señalan que más de la mitad de censados entre 18 y 24 años se abstuvieron, un porcentaje que la cadena Sky elevaba hasta el 64%, mientras los mayores de 45 años votaron masivamente.
[...]
There is a power vacuum on the left and centre right, and a divided nation which won't be unified behind Angela Eagle, Jeremy Corbyn, Boris Johnson or Theresa May.
There is an undirected anger that isn't really to do with the EU, but the effects of globalisation, immigration, the effects of automation on manufacturing jobs, and a skewed nation that concentrates its money in London at the expense of other regions.
The people who want the Britain of the 1950s back can never be satisfied by mainstream politicians because they can't provide solutions to those problems and won't be able to deliver on the promises made in the Referendum campaign. And now we have completed the transition to a post-truth, post-fact, anti-intellectual emotional equivalency that validates the fringe elements on the extreme right.
We should all be terrified.
Sigo leyendo la prensa británica.
Sun, Mail, Mirrow, Independent y Guardian.
Veo a los abandicionistas muy, muy crecidos.
En concreto los seguidores de UKIP. Incluso en los comentarios del Independent.
Como en las magufadas y en las conspiranoias tienen un punto de su argumentación que es indestructible.
Se trata del populismo nacionalista más rancio y derechista. Creo que está muy, muy cerca del fascismo o el nazismo. Lo que me falta de identificar es la oligarquía que realmente defiende escondiéndose detrás de la defensa del hombre sencillo ("pequeño" ha dicho Farage hoy en la eurocámara).
Recordemos que el fascismo y el nazismo eran anti revolucionarios a pesar de toda la parafernalia.
Tiene muchos elementos y uno de los más curiosos es la anti ilustración o anti intelectualidad. Si las cosas no son sencillas es que tratas de engañarme. Recordemos que Oxford y Cambridge votaron Remain.
De todas formas, de vez en cuando encuentras algún comentario luminoso (este en el Guardian):CitarThere is a power vacuum on the left and centre right, and a divided nation which won't be unified behind Angela Eagle, Jeremy Corbyn, Boris Johnson or Theresa May.
There is an undirected anger that isn't really to do with the EU, but the effects of globalisation, immigration, the effects of automation on manufacturing jobs, and a skewed nation that concentrates its money in London at the expense of other regions.
The people who want the Britain of the 1950s back can never be satisfied by mainstream politicians because they can't provide solutions to those problems and won't be able to deliver on the promises made in the Referendum campaign. And now we have completed the transition to a post-truth, post-fact, anti-intellectual emotional equivalency that validates the fringe elements on the extreme right.
We should all be terrified.
Britain, you never realised how powerful you were in the EU. You should have learned from what happened to my country
I had the doubtful pleasure to witness a similar political farce in Norway - and it didn't lead to anything like the utopia you imagine
[url]http://www.independent.co.uk/voices/brexit-britain-norway-deal-what-happened-to-my-country-eu-membership-a7105561.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/voices/brexit-britain-norway-deal-what-happened-to-my-country-eu-membership-a7105561.html[/url])
CitarLos jóvenes británicos se indignan ahora, pero estaban distraídos
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Un 75% de los votantes entre 18 y 24 años apoyó el Remain, quedarse en la UE, según el sondeo YouGov, exactamente lo contrario que los más mayores.
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La participación fue más alta en las zonas con media de edad más elevada y algunas encuestas señalan que más de la mitad de censados entre 18 y 24 años se abstuvieron, un porcentaje que la cadena Sky elevaba hasta el 64%, mientras los mayores de 45 años votaron masivamente.
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[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467115809_027115.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467115809_027115.html[/url])
Si las cifras son ciertas, aprox. un tercio de los jóvenes de entre 18 y 24 años habrían votado por el leave y dos tercios se habrían abstenido. Es decir, los chavales no votan, ven los resultados, se cagan en sus mayores y seguidamente se organizan para recoger firmas y solicitar al Parlamento que repitan el plebiscito.
:facepalm:
Habrá que hacer una petición para que repitan el Inglaterra - Islandia, y si cuela el España - Italia también. :troll:
¿Por qué temen las bolsas menos al Brexit?
Comentan los operadores que está influyendo mucho el hecho de que los bonos de la eurozona al completo, están mejorando mucho. Y esto demuestra con claridad lo fácil que controla el BCE las posibles tensiones que podrían haber creado las noticias de Brexit en la deuda. También por lo comentado en apertura sobre el Briback.
[url]http://www.estrategiasdeinversion.com/carpatos/que-temen-bolsas-menos-brexit-323854#ixzz4CxIXXC00[/url] ([url]http://www.estrategiasdeinversion.com/carpatos/que-temen-bolsas-menos-brexit-323854#ixzz4CxIXXC00[/url])
¡Vaya cara más dura!
Cameron culpabiliza a Europa de la derrota en el referéndum británico ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467107648_794578.html[/url])
¡Y qué tío más inútil e irresponsable!
[...]
sigo sin ver por ningún lado un segundo referéndum, ni que no se ejecute la 50.
Angela Merkel: Brexit is irreversible and it is 'wishful thinking' to hope for U-turn
[url]http://www.independent.co.uk/news/world/europe/angela-merkel-brexit-is-irreversible-and-it-is-wishful-thinking-to-hope-for-u-turn-a7108801.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/world/europe/angela-merkel-brexit-is-irreversible-and-it-is-wishful-thinking-to-hope-for-u-turn-a7108801.html[/url])
¡Vaya cara más dura!
Cameron culpabiliza a Europa de la derrota en el referéndum británico ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467107648_794578.html[/url])
¡Y qué tío más inútil e irresponsable!
Saturno va a tener que actualizar el concepto gestores D&DOP por gestores DD&COP (Administradores del Dinero, Deuda y Culpa de Otra personas.)
:rofl:
[...]
sigo sin ver por ningún lado un segundo referéndum, ni que no se ejecute la 50.
Pues ya lo dice hasta Kerry:
John Kerry: Brexit could be 'walked back'
https://www.theguardian.com/us-news/2016/jun/29/john-kerry-brexit-could-be-walked-back-david-cameron (https://www.theguardian.com/us-news/2016/jun/29/john-kerry-brexit-could-be-walked-back-david-cameron)
US secretary of state expresses doubts over whether Brexit will happen as David Cameron ‘has no idea how he would do it’
[...]
parece que Kerry no sabe lo que se cuece en UK o simplemente verbaliza sus esperanzas.
[...]
Vaya espectáculo! Mola.
Si se van; qué tal un acercamiento condicionado estrategico hacia rusia?
Despacito y tal.
Sds.
WTF??
Al parecer, los electores británicos no entienden la diferencia entre unas elecciones y un referéndum, lo cual explica en buena medida el resultado que ahora ellos mismos (incluso quienes han votado `leave'), no quieren:
[url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jun/29/brexit-disaster-electoral-reform-tories-referendum[/url] ([url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jun/29/brexit-disaster-electoral-reform-tories-referendum[/url])
Vaya espectáculo! Mola.
BREAKING: David Cameron rejects passing emergency legislation that would allow EU nationals currently in UK to remain
https://twitter.com/intlspectator (https://twitter.com/intlspectator)
[...]
No entiendo esto:BREAKING: David Cameron rejects passing emergency legislation that would allow EU nationals currently in UK to remain
https://twitter.com/intlspectator (https://twitter.com/intlspectator)
[...]
No ha habido Brexit todavía. (O igual ya vale todo.)
WTF??
Al parecer, los electores británicos no entienden la diferencia entre unas elecciones y un referéndum, lo cual explica en buena medida el resultado que ahora ellos mismos (incluso quienes han votado `leave'), no quieren:
[url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jun/29/brexit-disaster-electoral-reform-tories-referendum[/url] ([url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jun/29/brexit-disaster-electoral-reform-tories-referendum[/url])
Veo tu WTF y lo subo:
'What is the EU?' trends on Google hours after Brexit result announced
[url]http://www.standard.co.uk/news/politics/eu-referendum-what-is-the-eu-trends-on-google-hours-after-brexit-result-announced-a3280581.html[/url] ([url]http://www.standard.co.uk/news/politics/eu-referendum-what-is-the-eu-trends-on-google-hours-after-brexit-result-announced-a3280581.html[/url])
Rajoy ya se opone a la candidatura de Escocia, o es sólo que aún no es independiente ?
Es una línea de AFP:
[url]http://www.romandie.com/news/ALERTE--Brexit-lEspagne-soppose-a-toute-negociation-de-lUE-avec-lEcosse/716196.rom[/url] ([url]http://www.romandie.com/news/ALERTE--Brexit-lEspagne-soppose-a-toute-negociation-de-lUE-avec-lEcosse/716196.rom[/url])
Procedimiento de retiradaEvidentemente no hace falta ser experto en Tª de juegos como Varoufakis, para saber que negociar desde fuera y con un plazo de dos años es una postura muy débil.
El Artículo 50 del Tratado de la Unión Europea regula el procedimiento de retirada. Todo Estado miembro podrá decidir retirarse de la Unión de conformidad con sus normas constitucionales. La retirada de un Estado miembro puede producirse de dos maneras:
1) Previa celebración de un acuerdo internacional entre la Unión y el Estado miembro de que se trate. El Estado miembro que decida retirarse notificará su intención al Consejo Europeo. La Unión negociará y celebrará con ese Estado un acuerdo que establecerá la forma de retirada, teniendo en cuenta el marco de sus relaciones futuras con la Unión. Este acuerdo se negociará con arreglo al artículo 218.3 del Tratado de Funcionamiento de la Unión Europea. La Comisión o el Alto Representante de la Unión para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad, presentará recomendaciones al Consejo, que adoptará una decisión por la que se autorice la apertura de negociaciones y se designe al negociador o al jefe del equipo de negociación de la Unión. El Consejo celebrará el acuerdo en nombre de la Unión por mayoría cualificada, previa aprobación del Parlamento Europeo.
2) Pasados dos años (salvo que el Consejo Europeo ampliara el plazo) desde que el Estado miembro en cuestión notificara su deseo de hacerlo al Consejo.
Los Tratados dejarán de aplicarse al Estado de que se trate a partir de la fecha de entrada en vigor del acuerdo de retirada o, en su defecto, a los 2 años de la notificación de retirada al Consejo Europeo. El miembro del Consejo Europeo y del Consejo que represente al Estado miembro que se retire no participará ni en las deliberaciones ni en las decisiones del Consejo Europeo o del Consejo que le afecten.
La mayoría cualificada, se definirá como un mínimo del 72% de los miembros del Consejo que represente a Estados miembros participantes que reúnan como mínimo el 65% de la población de dichos estados.
Si el estado miembro que se ha retirado de la Unión solicita de nuevo la adhesión, su solicitud de someterá al el procedimiento establecido en el Artículo 49 del Tratado de la Unión Europea.
El Tratado de Lisboa configura el derecho de retirada como un "derecho unilateral" de todos los Estados miembros de la Unión. Esto es así, en primer lugar, porque el estado interesado en retirarse de la Unión no solicita, sino que notifica al Consejo Europeo su voluntad de dejar de pertenecer a la Unión como Estado miembro. En segundo lugar, porque la retirada no está sometida a ningún tipo de condición. Y, en tercer lugar, porque la retirada no queda condicionada al cumplimiento de ningún requisito.
https://es.wikipedia.org/wiki/Retirada_de_un_Estado_miembro_de_la_Uni%C3%B3n_Europea
Rajoy ya se opone a la candidatura de Escocia, o es sólo que aún no es independiente ?
Es una línea de AFP:
[url]http://www.romandie.com/news/ALERTE--Brexit-lEspagne-soppose-a-toute-negociation-de-lUE-avec-lEcosse/716196.rom[/url] ([url]http://www.romandie.com/news/ALERTE--Brexit-lEspagne-soppose-a-toute-negociation-de-lUE-avec-lEcosse/716196.rom[/url])
Yo creo que hay que verlo como consecuencia de nuestros propios problemas territoriales:
[url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/spanish-prime-minister-mariano-rajoy-opposes-eu-talks-with-scotland-a7109176.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/spanish-prime-minister-mariano-rajoy-opposes-eu-talks-with-scotland-a7109176.html[/url])
Rajoy no quiere ejemplos para el soberanismo: "Si Reino Unido se va, Escocia también se va"
El jefe del Ejecutivo no ha querido avanzar si España vetaría una eventual solicitud de Escocia, si se independiza del Reino Unido, de adherirse a la UE en un futuro, pero sí ha aclarado que está "radicalmente" en contra de que Escocia pueda negociar por su cuenta con la UE.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/85198-rajoy-no-quiere-ejemplos-para-el-soberanismo-si-reino-unido-se-va-escocia-tambien-se-va[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/85198-rajoy-no-quiere-ejemplos-para-el-soberanismo-si-reino-unido-se-va-escocia-tambien-se-va[/url])
No entiendo bien el asunto de la dimisión (o no) de Jeremy Corbyn.
Labour crisis live: Ed Miliband and David Cameron lead brutal new calls for Jeremy Corbyn to resign
[url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url] ([url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url])
David Cameron's back from Brussels, Labour MPs ramp up their coup, the Tory leadership opens - and we have PMQs. Follow live updates here
¿Puede alguien poner luz aquí? gracias por adelantado.
No entiendo bien el asunto de la dimisión (o no) de Jeremy Corbyn.
Labour crisis live: Ed Miliband and David Cameron lead brutal new calls for Jeremy Corbyn to resign
[url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url] ([url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url])
David Cameron's back from Brussels, Labour MPs ramp up their coup, the Tory leadership opens - and we have PMQs. Follow live updates here
¿Puede alguien poner luz aquí? gracias por adelantado.
no estoy siguiendo a fondo las guerras internas de partidos, ni tengo el brackground (disculpad el Anglicismo) para saber con detalle como llegó Corbyn al poder, pero más o menos:
parece que la llegada de Corbyn al liderazgo del Labour fué desde la periferia del partido y con nuevas bases (200.000 se registraron en el partido siguiéndole).
en las elecciones de 2015 el equipo de campaña electoral de Cameron hizo un gran trabajo de bullshitting, y he visto críticas al nivel (por lo bajo) del equipo de Corbyn. uno de los que le han criticado tras el Brexit ponía este reportaje como ejemplo (en inglés) [url]https://www.youtube.com/watch?v=94ptAcbfKP0[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=94ptAcbfKP0[/url])
el resultado fué que perdió las elecciones y el SNP (independentistas) se quedó con la mayor parte de los votantes del Labour.
tras conocerse el resultado del referéndum, más de la mitad del Shadow Cabinet ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Shadow_Cabinet[/url]) presentó dimisión a Corbyn. si no recuerdo mal comenzó con el segundo de a bordo, que además dijo que Corbyn no estaba preparado para liderar el partido com había demostrado durante la campaña del referéndum. para ilustrar, y entre otras cosas: durante la misma Corbyn se había tomado un par de semanas de vacacions, había dicho a los Remain que estaban abultando las cifras del mal que podía causar a UK estar fuera de la UE y no dijo “he votado Remain” de hecho dentro del propio partido han llegado a duda que lo haya hecho. en el debate parlamentario de esta semana Cameron también le dió un buen repaso abundando en la herida pero no recuerdo los detalles.
los líderes del Labour están intentado que se apee pero tiene — o él así lo ve — soporte popular, y se niega a ello. y en eso están.
No entiendo bien el asunto de la dimisión (o no) de Jeremy Corbyn.
Labour crisis live: Ed Miliband and David Cameron lead brutal new calls for Jeremy Corbyn to resign
[url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url] ([url]http://www.mirror.co.uk/news/uk-news/brexit-labour-live-miliband-corbyn-8306265[/url])
David Cameron's back from Brussels, Labour MPs ramp up their coup, the Tory leadership opens - and we have PMQs. Follow live updates here
¿Puede alguien poner luz aquí? gracias por adelantado.
no estoy siguiendo a fondo las guerras internas de partidos, ni tengo el brackground (disculpad el Anglicismo) para saber con detalle como llegó Corbyn al poder, pero más o menos:
parece que la llegada de Corbyn al liderazgo del Labour fué desde la periferia del partido y con nuevas bases (200.000 se registraron en el partido siguiéndole).
en las elecciones de 2015 el equipo de campaña electoral de Cameron hizo un gran trabajo de bullshitting, y he visto críticas al nivel (por lo bajo) del equipo de Corbyn. uno de los que le han criticado tras el Brexit ponía este reportaje como ejemplo (en inglés) [url]https://www.youtube.com/watch?v=94ptAcbfKP0[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=94ptAcbfKP0[/url])
el resultado fué que perdió las elecciones y el SNP (independentistas) se quedó con la mayor parte de los votantes del Labour.
tras conocerse el resultado del referéndum, más de la mitad del Shadow Cabinet ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Shadow_Cabinet[/url]) presentó dimisión a Corbyn. si no recuerdo mal comenzó con el segundo de a bordo, que además dijo que Corbyn no estaba preparado para liderar el partido com había demostrado durante la campaña del referéndum. para ilustrar, y entre otras cosas: durante la misma Corbyn se había tomado un par de semanas de vacacions, había dicho a los Remain que estaban abultando las cifras del mal que podía causar a UK estar fuera de la UE y no dijo “he votado Remain” de hecho dentro del propio partido han llegado a duda que lo haya hecho. en el debate parlamentario de esta semana Cameron también le dió un buen repaso abundando en la herida pero no recuerdo los detalles.
los líderes del Labour están intentado que se apee pero tiene — o él así lo ve — soporte popular, y se niega a ello. y en eso están.
Gracias.
Pero no deja de ser curioso que ya le ha pedido la dimisión hasta el señor CaMoron...* que es del otro partido. Tiene que haber algo más (me da en la nariz.)
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* Visto por ahí.
"Hay que dialogar sobre la base de medidas y reformas concretas y ahí es donde podemos encontrarnos", ha dicho la vicepresidenta en declaraciones en el Congreso, tras asegurar que en el PP no está "ni siquiera planteado" el asunto de qué partido debe tener la presidencia del Congreso. [ la zanahoria ]
Serán cosas de las 'regiones' (dicho de Escocia, por La Vanguardia, ;)).
Saludos.
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P.S.: no se les habrá escapado el gracioso bucle de que la 'ninguna competencia' de Escocia para negociar su permanencia se debe a que sigue formando parte del R.U., precisamente del que tendría que separarse antes para adquirir competencia negociadora de adhesión a la UE, y el cual aún no ha puesto la cuenta atrás de los dos años en marcha notificando su Brexit. Otro motivo para procrastinar.
Gracias.
Pero no deja de ser curioso que ya le ha pedido la dimisión hasta el señor CaMoron...* que es del otro partido. Tiene que haber algo más (me da en la nariz.)
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* Visto por ahí.
Gracias.
Pero no deja de ser curioso que ya le ha pedido la dimisión hasta el señor CaMoron...* que es del otro partido. Tiene que haber algo más (me da en la nariz.)
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* Visto por ahí.
Porque la dimisión colectiva del shadow cabinet ha sido de los miembros de la facción Blairita del Labour, que son mas próximos a los tories que los de Corbyn. Y desde luego los conservadores prefieren tener a esos enfrente que a un laborista ortodoxo, encima con bastante tirón popular.
En cuanto a la posición de Corbyn con respecto al brexit, estuvo casi todo el tiempo sin decir nada y cuando al fin lo hizo fue excesivamente cauto. Se supone por no enfadar a algunos sindicatos que son muy pro leave. Y sigue poniéndose de canto con ese tema. Un poco decepcionante.
Lo de que arrastro a sus bases a inscribirse en el Labour esta volviendo a suceder ahora mismo ante la posibilidad de elecciones internas.
Thus I noted – 40 times on 24 June alone – that politicians of all parties, from Cameron on down (or perhaps up) announced that they were “absolutely” sure, certain, appalled or overwhelmed by events. The original winner of the Absolutely Award, of course, was Lord Blair of Kut al-Amara who always combined it with “completely” (as in I am “absolutely and completely certain” … that the intelligence/weapons of mass destruction/45 minute warning is real). We must, in fact, absolutely and completely distrust anyone who uses the word “absolutely”.
La paradoja de Dover
La frontera sur de Reino Unido votó por el 'Brexit' para frenar la inmigración. Ahora crecen en Francia las voces para dejar de frenar a los sin papeles en Calais
[...]
La frontera sur de Reino Unido se encuentra de facto en Calais, donde decenas de agentes británicos controlan la aduana y los pasaportes de los que quieren pisar suelo inglés. Fue en 2003, cuando el entonces primer ministro, Tony Blair, no consiguió convencer a Jacques Chirac de que se subiera al carro de la guerra de Irak, pero en la trastienda, sus ministros de Interior cocinaron el acuerdo de Touquet, que permite a Londres controlar sus fronteras desde el país vecino. Tras el Brexit, crecen las voces en Francia que piden acabar con el pacto, lo que les permitiría aliviar la crisis humanitaria en Calais.
Los franceses amenazan con pagar a los británicos con su propia medicina. Vienen a decirles 'Si quieren soberanía, empiecen por controlar su propia frontera'. Horas después del referéndum, Xavier Bertrand, presidente de la región Hauts de France, a la que pertenece Calais, pidió renegociar los acuerdos de Touquet. “Si los ingleses querían recuperar su libertad, que recuperen también su frontera”, dijo. También lo pide la alcaldesa de Calais, Natacha Bouchart, y hasta ha amenazado con hacerlo el ministro francés de Economía, Emmanuel Macron, que antes de la consulta dijo que, si los británicos se iban de la UE, “Francia dejaría de retener a los inmigrantes en Calais”. Lo pide también el candidato conservador Alian Juppe. Su postura no cuenta de momento con el respaldo del Gobierno de París, que teme que el canal de la Mancha acabe convirtiéndose en un cementerio como el Mediterráneo. El presidente François Hollande ha declarado este miércoles en Bruselas que el acuerdo con Reino Unido es bilateral y que no tendría sentido cancelarlo.
[...]
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467136937_462174.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/06/28/actualidad/1467136937_462174.html[/url])
A diferencia de la UE, Gran Bretaña es una isla cuyo idioma se habla en todo el mundo, y posee armas nucleares. Sus aliados continentales no tienen esas ventajas (solamente Francia es una potencia nuclear). No hay nada que impida que Gran Bretaña se convierta en otra Suiza. (Hasta puede llegar a parecérsele en forma si Escocia e Irlanda del Norte, que votaron abrumadoramente a favor de permanecer en la UE, deciden escindirse).
Hasta ahora, Gran Bretaña ha jugado un importante papel como contrapeso de Alemania, que ahora tendrá que asumir el liderazgo de Europa, quiéralo o no. El problema es que los demás miembros de la UE no lo tolerarán. La zona del este de Europa (Hungría, la República Checa, Eslovaquia y Polonia, gobernados todos por pequeños hombres fuertes) se opondrá firmemente. Los nacionalistas de estas pequeñas naciones están llevando a sus países a una serie de nuevas catástrofes, en que aparecen y desaparecen del mapa como anuncios de televisión.
Los que más ganan con esta situación no son Gran Bretaña ni los partidarios del Brexit, sino Rusia y su presidente, Vladimir Putin. No es ninguna coincidencia el que todas las monedas se estén devaluando ante el dólar excepto el rublo (hasta el franco suizo se habría depreciado de manera importante sin la intervención de su banco central). Rusia es un actor global, por lo que la debilidad de la UE la fortalece. Su importancia ha aumentado bastante, proporcionalmente a la reducción de la seguridad de Occidente. En la carrera entre Rusia y EU por ver quién cae primero, la UE acaba de dar un salto por sobre Rusia.
At its core, Brexit reflects a pervasive phenomenon in the high-income world: rising support for populist parties campaigning for a clampdown on immigration. Roughly half the population in Europe and the United States, generally working-class voters, believes that immigration is out of control, posing a threat to public order and cultural norms.
In the middle of the Brexit campaign in May, it was reported that the UK had net immigration of 333,000 persons in 2015, more than triple the government’s previously announced target of 100,000. That news came on top of the Syrian refugee crisis, terrorist attacks by Syrian migrants and disaffected children of earlier immigrants, and highly publicized reports of assaults on women and girls by migrants in Germany and elsewhere.
(...)First, stop the refugee surge by ending the Syrian war immediately. This can be accomplished by ending the CIA-Saudi alliance to overthrow Bashar al-Assad, thereby enabling Assad (with Russian and Iranian backing) to defeat the Islamic State and stabilize Syria (with a similar approach in neighboring Iraq). America’s addiction to regime change (in Afghanistan, Iraq, Libya, and Syria) is the deep cause of Europe’s refugee crisis. End the addiction, and the recent refugees could return home.
(...)All of this underscores the need to shift from a strategy of war to one of sustainable development, especially by the US and Europe. Walls and fences won’t stop millions of migrants fleeing violence, extreme poverty, hunger, disease, droughts, floods, and other ills. Only global cooperation can do that.
Lo de que arrastro a sus bases a inscribirse en el Labour esta volviendo a suceder ahora mismo ante la posibilidad de elecciones internas.
Realmente, el cisne negro no es el Brexit. Ha sido la crisis de refugiados.
Objetivamente, Merkel tomó una decision nacional y se olvidó que el espacio Schengen está reservado a ciudadanos UE. De ahi, estalló la demagogia del discurso antiinmigrantes (¡eran refugiados!)
que acabó en el Brexit. Fue un error garrafal y le costará probablemente la reeleccion en 2017.
Pero desde entonces, todos los nacionalistas juegan a confundir las "fronteras" de Schengen (que aún no existen) con las de los Estados-nación (que no existen para ciudadanos UE). Ese juego de palabras es repugnante y le está costando a la UE el crédito internacional que aún tenía en derechos humanos. En eso, el Brexit es una bendición. porque quizás permita dejarles a los anglos la etiqueta de xenófobos (y no eran inmigrantes, ¡eran refugiados!). Los Noruegos fueron otro tanto, por cierto, aunque no se les notó demasiado desde fuera cuando rechazaron el tratado de Lisboa.
Todos somos borregos en potencia; no bajemos la guardia 8)
Un tsunami de plebiscitos en Europa
La avalancha de referendos que los nuevos partidos pueden solicitar a raíz del triunfo del ‘Brexit’ puede poner en peligro los principios de solidaridad, negociación y democracia sobre los que se funda el proyecto europeo
Aún queda por asimilar la conmoción causada por la votación británica a favor de salir de la Unión Europea. No obstante, los líderes europeos deben blindarse frente a lo que está por venir. De hecho, el Brexitpodría ser el temblor inicial que desencadene un tsunami de referendos en Europa durante los próximos años. En toda Europa, hay 47 partidos políticos que hacen que la política vaya de cabeza. Se están haciendo con el control de la agenda política, dándole forma según sus intereses. Y ganan poder en el proceso. En un tercio de los Estados miembros de la UE, esos partidos forman parte de los gobiernos de coalición, y su éxito ha impulsado a los partidos tradicionales a adoptar algunas de sus posiciones.
A pesar de que estos partidos tienen raíces muy diferentes, todos ellos presentan un aspecto en común: todos tratan de provocar un vuelco en el consenso sobre política exterior que ha definido a Europa desde hace varias décadas. Son euroescépticos; desdeñan a la OTAN; quieren cerrar sus fronteras y detener el libre comercio. Están cambiando la cara de la política, sustituyendo las batallas tradicionales entre izquierda y derecha por enfrentamientos entre su propio nativismo enojado y el cosmopolitismo de las élites que desprecian.
El arma favorita de estos partidos es el referéndum, ya que mediante los referendos pueden obtener rápidamente apoyo popular para sus pequeños temas. De acuerdo con el Consejo Europeo de Relaciones Exteriores, hay 32 convocatorias solicitadas de referendos en 18 países de la UE. Algunos, como el Partido Popular Danés, quieren seguir el ejemplo de Reino Unido y realizar una votación sobre la pertenencia a la UE. Otros quieren escapar de la eurozona, o bloquear la Asociación Transatlántica de Comercio e Inversión (TTIP) con Estados Unidos, o restringir la movilidad laboral.
El esquema de reubicación de los refugiados de la UE ha demostrado ser un tema particularmente divisor. El primer ministro húngaro, Viktor Orban, ha declarado que va a celebrar una votación sobre las cuotas propuestas. Y, el partido de la oposición polaca Kukiz’15 está recogiendo firmas para su propia consulta sobre el tema.
Devolver el poder a las masas a través de la democracia directa puede realmente ser la propuesta más revolucionaria que ofrecen estos partidos. De hecho, refleja una comprensión de las frustraciones que han impulsado una oleada mundial de protestas populares durante los últimos años. Unas protestas que, en el mundo árabe, provocaron auténticas revoluciones. El mismo espíritu de protesta que condujo, por ejemplo, a españoles, griegos, y neoyorquinos a salir a las calles —en verdad con diferentes demandas— está alimentando el apoyo a estos nuevos referendos y a los nuevos partidos que los provocan.
Se trata de una pesadilla no solo para los partidos tradicionales, sino también para la gobernabilidad democrática. Tal como ha demostrado la experiencia de California con varios referendos, el público a menudo vota por cosas contradictorias. Por ejemplo, a favor de impuestos más bajos y a favor de más programas de bienestar; o, por la protección del medio ambiente y por tener gas más barato.
Sin embargo, para la UE, esta dinámica es exponencialmente más difícil; de hecho, anula los cimientos de la Unión Europea. La UE es, al fin y al cabo, la máxima expresión de la democracia representativa. Se trata de un organismo ilustrado que se sustenta sobre valores liberales básicos, tales como los derechos individuales, la protección de las minorías,y una economía basada en el mercado. Pero las capas de la representación sobre las que se asienta la UE han creado la sensación de que una especie de élite-sobre-la-élite es la que está al mando. Una élite que está muy alejada de los ciudadanos comunes. Esto ha proporcionado a los partidos nacionalistas el blanco perfecto para sus campañas contra la UE. A esto hay que añadir que el temor alarmista sobre temas como la inmigración y el comercio hace que la capacidad que tienen los partidos nacionalistas para atraer a votantes frustrados o ansiosos sea fuerte.
Hay pues dos visiones de Europa —la diplomática y la demótica— que ahora se enfrentan una a la otra. La Europa diplomática, encarnada por el padre fundador de la UE Jean Monnet, es la que sacó de la esfera popular las cuestiones más sensibles y las transformó en aspectos técnicos que los diplomáticos podían manejar mediante compromisos burocráticos a puerta cerrada. La Europa demótica, ejemplificada por el Partido de la Independencia del Reino Unido —la punta de lanza para el Brexit—, es como Monnet, pero a la inversa, ya que toma compromisos diplomáticos como el TTIP o el acuerdo de asociación con Ucrania, y los politiza intencionalmente.
Mientras la Europa diplomática se caracteriza por la búsqueda de la reconciliación, la Europa demótica se caracteriza por perseguir la polarización. La diplomacia es un ámbito donde todos ganan; la democracia directa es un ámbito de suma cero. La diplomacia trata de bajar la temperatura; el paradigma demótico la eleva. Los diplomáticos pueden trabajar unos con otros; los referendos son binarios y fijos, no dejando nada de espacio para la maniobra política y para llegar a un compromiso creativo necesario para resolver los problemas políticos. En la Europa demótica, la solidaridad es imposible.
El alejamiento de Europa de la diplomacia comenzó hace más de una década, cuando se rechazó el Tratado por el que se establece una Constitución para Europa en los referendos populares en Francia y Países Bajos. El resultado es que la UE puede haber dejado la actividad de elaborar tratados, lo que significa que la esperanza de una futura integración también puede haberse esfumado. Sin embargo, en la estela del Brexit, la futura integración no es la mayor preocupación de Europa. En vez de ello, tiene que lidiar con fuerzas cada vez más poderosas que socavan la integración ya lograda. Fuerzas que intentan empujar atrás a Europa. De hecho, solo hay que recordar lo que había antes de la UE para realmente darse cuenta de cuán peligroso puede ser este camino. En esta nueva era de vetocracia en Europa, la diplomacia que sustentó la creación del proyecto europeo ilustrado y progresista no puede funcionar, dejando a la UE en una situación ingobernable. Ahora que los euroescépticos se han salido con la suya en el Reino Unido, la vetocracia se hará más fuerte que nunca. Las votaciones directas sobre temas como las normas de comercio o la política de inmigración destriparán la democracia representativa de Europa, de la misma forma que las votaciones directas sobre pertenencia amenazan las entrañas de la propia UE. En una novela popular escrita por el premio Nobel José Saramago, la península Ibérica se desprende de la parte continental de Europa y se aleja flotando por el mar. Con un tsunami de plebiscitos sobre al continente, esta puede llegar a ser una metáfora profética.
Mark Leonard es director del Consejo Europeo de Relaciones Exteriores.
Traducción del inglés de R. L. Barrientos.
© Project Syndicate, 2016.
[url]http://elpais.com/elpais/2016/06/28/opinion/1467138323_672597.html[/url] ([url]http://elpais.com/elpais/2016/06/28/opinion/1467138323_672597.html[/url])
[...] Por ello es superficial responsabilizar de la situación solo a los políticos, a las élites o las instituciones. Cambiarlas es costoso y no asegura nada. Y es erróneo exonerar a las masas. En realidad somos igual de “extractivas” que las élites: el fraude no campea solo en la fiscalidad de grandes fortunas, sino también en la economía sumergida y las prestaciones sociales. Además, las masas somos, probablemente, más “disipadoras”: nuestro mayor derroche, la sobreinversión en obras públicas, cuenta con apoyo general y, más que distribuir rentas, las dilapida. Semejante maniqueísmo entre masa y élite sería de esperar del votante común, pero no de los intelectuales. Se arriesgan a cometer un error similar al de la Generación del 98: despreciar los logros de la Restauración y hacer una tabla rasa institucional en la que se vuelven irrelevantes. [...]
Más que nada porque lo contrario presupone tres grupos, no dos: elite, masa, y nomasa.
Realmente, el cisne negro no es el Brexit. Ha sido la crisis de refugiados.
Objetivamente, Merkel tomó una decision nacional y se olvidó que el espacio Schengen está reservado a ciudadanos UE. De ahi, estalló la demagogia del discurso antiinmigrantes (¡eran refugiados!)
que acabó en el Brexit. Fue un error garrafal y le costará probablemente la reeleccion en 2017.
Pero desde entonces, todos los nacionalistas juegan a confundir las "fronteras" de Schengen (que aún no existen) con las de los Estados-nación (que no existen para ciudadanos UE). Ese juego de palabras es repugnante y le está costando a la UE el crédito internacional que aún tenía en derechos humanos. En eso, el Brexit es una bendición. porque quizás permita dejarles a los anglos la etiqueta de xenófobos (y no eran inmigrantes, ¡eran refugiados!). Los Noruegos fueron otro tanto, por cierto, aunque no se les notó demasiado desde fuera cuando rechazaron el tratado de Lisboa.
Aunque a nivel de marketing del Brexit ha habido relación entre el tema de los refugiados y el de los inmigrantes, no te pongas "buenista". Como comenta alpha, el vitriolo xenófobo en RU ha ido dirigido a húngaros y polacos, no a los refugiados.
EDITO: vean el gran post de Jenofonte10 sobre este tema en el hilo de ppcc:
[url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2371.msg145796#msg145796[/url] ([url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=2371.msg145796#msg145796[/url])
Hay algo que pierde el local: el efecto riqueza de su patrimonio inmobiliario deflactado. El abandono del internacionalismo obrero es un 'logro' del capitalismo popular.
El esquema de reubicación de los refugiados de la UE ha demostrado ser un tema particularmente divisor. El primer ministro húngaro, Viktor Orban, ha declarado que va a celebrar una votación sobre las cuotas propuestas. Y, el partido de la oposición polaca Kukiz’15 está recogiendo firmas para su propia consulta sobre el tema.
Buen análisis:
[url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2016-06-30/brexit-relato-nacional-casa-dividida_1225763/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2016-06-30/brexit-relato-nacional-casa-dividida_1225763/[/url])
@Lem
Bagaje.
Sds.
Brexit: Singapore bank UOB suspends London property loans
9 hours ago
From the section Business
Image copyright Getty Images
Image caption Singapore's other big lenders said they were closely monitoring the situation
One of Singapore's largest lenders, UOB, says it has suspended its loan programme for London properties.
The decision comes in response to uncertainty caused by the UK's decision to leave the EU, the bank said.
The vote on 23 June caused global market turmoil and pushed the pound to 31-year lows. The Singapore dollar has gained about 10% since the referendum.
Singaporeans were the top Asian buyers of UK commercial property in 2015, according to consultancy Knight Frank.
UOB told the BBC in a statement: "We will temporarily stop receiving foreign property loan applications for London properties."
"As the aftermath of the UK referendum is still unfolding and given the uncertainties, we need to ensure our customers are cautious with their London property investments."
Analysis: Karishma Vaswani, Asia Business correspondent
Read this as the bank telling Singapore borrowers - hold your horses chaps, you may be in for a bumpy ride.
Market sources tell me that UOB has the highest exposure amongst the big three banks in Singapore to London property loans. UOB doesn't disclose how much it lends out for the London portfolio but it also offers international loans for Australia and Thailand.
"From a banking perspective, this [the possibility of Brexit] is just the tip of the iceberg," Sam Ahmed, Managing Director of Deriv Asia told me. "And banks will look to protect themselves from unintended consequences and adopt a more conservative approach by limiting their exposure for UK based assets."
Michael Gove: Boris Johnson wasn't up to the job
5 minutes ago
From the section UK Politics
Michael Gove has said he chose to run for the Conservative Party leadership after deciding "reluctantly but firmly" that Boris Johnson was not capable of uniting the party or the country.
"It had to fall to someone else... I felt it had to fall to me," he said.
The justice secretary was set to back his fellow Leave campaigner. Mr Johnson pulled out after Mr Gove's switch.
Home Secretary Theresa May, who backed staying in the EU, is favourite to win the contest and become prime minister.
The other contenders are Work and Pensions Secretary Stephen Crabb, who backed Remain, ex-Defence Secretary Liam Fox, who backed leaving the EU and energy minister and Leave campaigner Andrew Leadsom.
Nominations for the Conservative Party leadership closed at midday on Thursday.
The winner of the contest - sparked by David Cameron's decision to resign after the UK voted to leave the EU - is set to be announced on 9 September.
Mr Gove's decision to run for the leadership and Mr Johnson's subsequent decision to bow out of the contest sent shockwaves through the political world in a day of high drama on Thursday.
In an interview with the BBC political editor Laura Kuenssberg, Mr Gove, explaining his reasons for standing, said following last week's Brexit result he felt the country needed a leader "who believed heart and soul in leaving the European Union".
"I also believed we needed someone who would be able to build a team, lead and unite. I hoped that person would be Boris Johnson," he said.
But he added: "I came in the last few days reluctantly and firmly to the conclusion that while Boris has great attributes he was not capable of uniting that team and leading the party and the country in the way that I would have hoped."
Mr Gove said he had only decided to run for the leadership late on Wednesday evening, and was still to speak to Mr Johnson about his decision.
He rejected as "just not true" accusations from Mr Johnson's supporters that he had betrayed the former London mayor by deciding to stand for leader, rather than throw his weight behind him.
He said he had been "trying hard to persuade" Conservative MPs over the course of the week that Mr Johnson was the right candidate to be leader but after reflecting on conversations with colleagues "I realised it was not going to work".
"So I tried as hard as I could but last night, reflecting on this, I came to the conclusion that ultimately Boris could not build that team, could not provide that leadership and that unity.
"It had to fall to someone else. As someone who had argued consistently that we should leave the European Union, and as someone who's experienced at the highest levels in the Cabinet, I felt it had to fall to me," he said.
Image copyright PA
Image caption Mr Gove and Mr Johnson campaigned side by side during the referendum campaign
Mr Gove - who along with Mr Johnson was a prominent figure in the Leave campaign - also confirmed he had not discussed his decision with Chancellor George Osborne.
Echoing arguments he made during the EU referendum campaign, he said he would work to bring down immigration outside the EU to a "manageable" level, built on an Australian points-style system.
"I'll negotiate with toughness, and with great attention to detail to get the best possible deal for Britain. It's only when we are outside the European Union that we can at last bring those numbers under control in the way that the public want," he said.
Setting out his Brexit plan, Mr Gove said he would not trigger Article 50 - the formal process for leaving the EU - until he was ready to do so.
"The decision to trigger Article 50 is in the hands of the next prime minister. If that is me, I will make a judgement as to when is right for Britain and I won't be hurried or hassled by anyone into pressing that button or triggering that Article until I believe it is right for this country," he said.
Pero lo que pueden ganar un señor de Oporto, Bratislava o Vigo con una ruptura desordenada de todas las instituciones y tratados edificadasa a lo largo de medio siglo, no alcanzo a imaginarlo.
Ya. Si esto es el trilema De Rodrik: globalización, Soberanía y democracia no se pueden tener a la vez pero sí las parejas posibles con esos tres elementos. China va sacrificado la democracia y en Europa y USA tocará sacrificar parcialmente la globalización . Pero de no ser globalista entusiasta a soñar con cosas tan absurdas como cierre de fronteras al nivel de la España de 1970 y florecientes minas de carbón en EL Bierzo con productividades de 1Tm por minero y día , va un trecho .
¿Por qué tanto rechazo al libre comercio?Es puro tierraplanismo.
Ya. Si esto es el trilema De Rodrik: globalización, Soberanía y democracia no se pueden tener a la vez pero sí las parejas posibles con esos tres elementos. China va sacrificado la democracia y en Europa y USA tocará sacrificar parcialmente la globalización . Pero de no ser globalista entusiasta a soñar con cosas tan absurdas como cierre de fronteras al nivel de la España de 1970 y florecientes minas de carbón en EL Bierzo con productividades de 1Tm por minero y día , va un trecho .
¿Podrías explicar más eso? Ya había oído sobre el trilema. Lo que nunca me ha quedado claro es si se trata de una especie de "teorema social", o si meramente es que ninguna nación ha sido capaz hasta ahora de tener las tres cosas a la vez.
Entiendo que la elección de la UE y de USA ha sido sacrificar parcialmente la soberanía y parcialmente la democracia para tener algo de las tres, pero como más importante la globalización.
Lo que veo ridículo es tratar de volver a las políticas mercantilistas de "empobrecer al vecino" (y empobreciendo a la mayor parte de su población también, aunque éso sí, igualando socialmente por abajo a casi todos), políticas cutres a más no poder y que además no hacen sino aumentar casi instantáneamente los recelos entre naciones aún vecinas.
Irregularidades obligan a anular las elecciones austríacas donde el ecologista Van der Bellen se impuso por la mínima al ultraderechista Hofer ([url]https://www.youtube.com/watch?v=r4tr7Liwcdg[/url]):
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/07/01/actualidad/1467367627_691181.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/07/01/actualidad/1467367627_691181.html[/url])
:o
¿Por qué tanto rechazo al libre comercio?Es puro tierraplanismo.
Los lumpendemócratas creen que pueden exigir un salario elevado y a la vez seguir comprando pantalones a 3 euros en el Primark, en la ignorante ilusión de que ambos hechos no están relacionados entre sí :roto2:
Lo que pasa que aqui NADIE se dedica a fabrica ropa. Por eso no es visto como amenaza.
Cambia "pantalones de 3€" por carbón (polaco), acero (chino), coches (bulgaria) u hortalizas (marruecos), y tendrás delante a un grupo de presión deseoso de revertir la globalización y poner trabas al comercio internacional en defensa de sus intereses.
En la alimentación los agricultores españoles protestan contra Marruecos, y Francia protesta contra España.
¿Por qué tanto rechazo al libre comercio?Es puro tierraplanismo.
Los lumpendemócratas creen que pueden exigir un salario elevado y a la vez seguir comprando pantalones a 3 euros en el Primark, en la ignorante ilusión de que ambos hechos no están relacionados entre sí :roto2:
Lo que pasa que aqui NADIE se dedica a fabrica ropa. Por eso no es visto como amenaza.
Cambia "pantalones de 3€" por carbón (polaco), acero (chino), coches (bulgaria) u hortalizas (marruecos), y tendrás delante a un grupo de presión deseoso de revertir la globalización y poner trabas al comercio internacional en defensa de sus intereses.
En la alimentación los agricultores españoles protestan contra Marruecos, y Francia protesta contra España.
¿Por qué tanto rechazo al libre comercio, que es algo que todos los economistas y políticos de todos los partidos apoyan?
La "hoja de ruta"... :facepalm:
Roadmap Plan for UK Departure of the EU
[url]http://thebrexitplan.com/[/url] ([url]http://thebrexitplan.com/[/url])
Me parto con la prensa estos días.
Si mañana se repitiera, volvería a ganar Leave. Estoy convencido. Hasta qué punto está la burguesía londinense fuera de contacto con el populacho es un fenómeno digno de estudio. :biggrin:
De momento ganar tiempo. Dejar que pase el verano... y después me creo que hagan cualquier cosa. Hoy el referendum va a misa. En octubre ya se verá.
[...]
A este paso tendremos nuevo gobierno a principios de septiembre, y antes de fin de año tendremos borradores de acuerdos con Estados Unidos, Canadá, Australia, Nueva Zelanda, México, India y algún otro país posiblemente. Esto solamente sería una carta a jugar si la UE no acepta una solución AEE+ (Área Económica Europea con límites a la libertad de movimiento, similar a lo que Suiza negocia para finales del año que viene). El RU podría optar a salirse por completo.
Tal vez para noviembre o diciembre (veremos) se invoque el artículo 50. Si así se estima conveniente. Si la UE decide una especie de solución punitiva, el RU puede cancelar el acta de adhesión unilateralmente yéndonos a un escenario WTO que es perfectamente asumible pero traumático para ambas partes si se hace de un día para otro.
[...]
Me parto con la prensa estos días.
Si mañana se repitiera, volvería a ganar Leave. Estoy convencido. Hasta qué punto está la burguesía londinense fuera de contacto con el populacho es un fenómeno digno de estudio. :biggrin:
Das por hecho que los demás van a querer firmar algo en meses. En cuanto a la UE, hasta octubre se puede esperar, pero no todo lo que os de la gana. Se trata de negociar... ¿Qué vais a ofrecer?
Te digo lo que le dijeron a tu querido Farage:
¿Qué c**** haces tú por aquÍ?
Das por hecho que los demás van a querer firmar algo en meses. En cuanto a la UE, hasta octubre se puede esperar, pero no todo lo que os de la gana. Se trata de negociar... ¿Qué vais a ofrecer?
Invocar el artículo 50 significa que empiezan los dos años prorrogables, no que nadie tenga que firmar nada.
Sospecho que la oferta será similar a la de Suiza. Limitaciones a la libertad de movimiento, AEE+, salida de la UE completa en términos judiciales, política agraria, cuotas de pesca, etc. Lo que se ofrece es AEE+ algo de lo que el Reino Unido pierde más que gana en realidad, ya que la balanza comercial con la UE es radicalmente a favor de la UE, aunque no lo sea en todos los sectores. El RU gana su dinero principalmente fuera de la UE. De hecho el Reino Unido ahora mismo es una máquina de hacer dinero para la UE, que se funde todo el comercio exterior a la UE en la UE (aunque no sea un juego de suma cero, por supuesto). El palo económico de una salida desordenada del Reino Unido podría ser devastador, por eso no creo que ocurra.
A pesar de los estudios enormemente sesgados de Economist o FT, salirse por completo no sería para nada una situación catastrófica.
Todos los escenarios tienen sus ventajas y sus desventajas. Obviamente las partes directamente afectadas a corto plazo harán toda la presión posible a favor de su escenario preferido.
Tenemos años de drama por delante.
Te digo lo que le dijeron a tu querido Farage:
¿Qué c**** haces tú por aquÍ?
Hay alguna norma sobre participación extracomunitaria en el foro?
No, la participación es libre.
La respuesta es un poco brusca, pero es pertinente. Si estáis fuera que más hay que hablar. (De lo contrario, se puede pensar que se busca otra cosa, como más deserciones.) Personalmente, me da lo mismo. Creo que somos espectadores, y sólo espectadores.
El problema es que no tenéis razón.
Te digo lo que le dijeron a tu querido Farage:
¿Qué c**** haces tú por aquÍ?
Hay alguna norma sobre participación extracomunitaria en el foro?
No, la participación es libre.
La respuesta es un poco brusca, pero es pertinente. Si estáis fuera que más hay que hablar. (De lo contrario, se puede pensar que se busca otra cosa, como más deserciones.) Personalmente, me da lo mismo. Creo que somos espectadores, y sólo espectadores.
El problema es que no tenéis razón.
Te digo lo que le dijeron a tu querido Farage:
¿Qué c**** haces tú por aquÍ?
Hay alguna norma sobre participación extracomunitaria en el foro?
No, la participación es libre.
La respuesta es un poco brusca, pero es pertinente. Si estáis fuera que más hay que hablar. (De lo contrario, se puede pensar que se busca otra cosa, como más deserciones.) Personalmente, me da lo mismo. Creo que somos espectadores, y sólo espectadores.
El problema es que no tenéis razón.
Disiento con todos:
.-La prensa inglesa es una mina estos dias. Un verdadero divan de psicoanalista. Medio pais está horrorizado con el otro medio
.-La respuesta no me parece pertinente. Si en un foro no se pueden tolerar opiniones diferentes expresadas con respeto ¿para que puñetas sirve? Luego os quejais de que se os van foreros de postin, por diferencias con la sharia del foro. Yo estoy harto de disentir con la mayoria y en mi caso es mas duro, porque se que tengo razón y vosotros no 8)
.-Pura curiosidad, Muyuuu, ¿eres british, y si lo eres, lo eres por naturalizacion o siempre lo has sido?
Te digo lo que le dijeron a tu querido Farage:
¿Qué c**** haces tú por aquÍ?
Hay alguna norma sobre participación extracomunitaria en el foro?
No, la participación es libre.
La respuesta es un poco brusca, pero es pertinente. Si estáis fuera que más hay que hablar. (De lo contrario, se puede pensar que se busca otra cosa, como más deserciones.) Personalmente, me da lo mismo. Creo que somos espectadores, y sólo espectadores.
El problema es que no tenéis razón.
Disiento con todos:
.-La prensa inglesa es una mina estos dias. Un verdadero divan de psicoanalista. Medio pais está horrorizado con el otro medio
.-La respuesta no me parece pertinente. Si en un foro no se pueden tolerar opiniones diferentes expresadas con respeto ¿para que puñetas sirve? Luego os quejais de que se os van foreros de postin, por diferencias con la sharia del foro. Yo estoy harto de disentir con la mayoria y en mi caso es mas duro, porque se que tengo razón y vosotros no 8)
.-Pura curiosidad, Muyuuu, ¿eres british, y si lo eres, lo eres por naturalizacion o siempre lo has sido?
Es interesante ver las opiniones de la gente para sacar ciertas conclusiones.
Y es que el miedo y los intereses personales mueven el corazón, no el amor y la paz.
La gente mayor está más a favor del Brexit,porque? Pues simplemente porque es gente que a vivido poco mundo (viajar es otra cosa), dependen directa o indirectamente del gobierno en temas de sanidad, pensiones,ayudas.... y suelen ser de la vieja escuela, racistas.
Los jóvenes es otro cantar, suelen viajar más, hacer Erasmus currar en otros países y tener amigos de todas las culturas y colores, además el estado les suele ofrecer pocas ayudas y servicios.
Clase baja inglesa, resentidos porque un polaco curra más,mejor y se queja menos por el sueldo.
Clase media con aires, no les gusta ver gente de color, temen que su situación económica se vea comprometida.
Clase rica y capitalista (en mayúsculas como dice PP.CC) totalmente opuesta, su fuerza recae en la globalizacion, el comercio y la producción, no quieren trabas.
Se mire como se mire los intereses de cada colectivo marcan el voto, pero ojo, los resentidos son cada vez más en Inglaterra y el resto de Europa, vigilen gobernantes, que tenenmos multitud de ejemplos históricos con consecuencias nefastas.
No duden que Inglaterra es un gran estratega, en el SXV y XVI los servicios secretos ingleses toreaban como querían a los españoles.
Mi respuesta fue obviamente brusca, pero la pregunta creo que es pertinente.
Mi respuesta fue obviamente brusca, pero la pregunta creo que es pertinente.
Dónde es "aquí"? Porque este hosting es de Shoreditch, Londres. :biggrin:
Si la pregunta es pertinente, especifica un poco para que pueda responder mejor.
¿Y a quién le importa el hosting?
En fin, aguardaré con paciencia franciscana una argumentación creíble de porqué marcharse es bueno para UK, justo para el conjunto de sus habitantes, y un acto democrático el haber hecho ésta consulta.
Tic tac...
Principales países asociados del R.U.
Clientes principales
(% de las exportaciones) 2015
Estados Unidos 14,9%
Alemania 10,0%
Suiza 7,3%
China 5,9%
Francia 5,8%
Países Bajos 5,7%
Irlanda 5,5%
Bélgica 3,8%
España 2,9%
Italia 2,8%
--------------
Principales proveedores
(% de las importaciones) 2015
Alemania 15,0%
China 10,0%
Estados Unidos 9,2%
Países Bajos 7,5%
Francia 6,1%
Bélgica 5,0%
Italia 4,0%
España 3,4%
Irlanda 3,0%
Noruega 3,0%
[...] Europa (el continente) seguirá existiendo mucho depués de la CEE y seguramente la UE. De Europa no se puede desertar. La UE, el proyecto supranacional, se puede abandonar y está en el mismo Tratado de Lisboa. No veo el problema, como tú dices pero después hablas de "deserciones" :D Por otro lado, es bien cierto que al Reino Unido le interesa un continente menos políticamente monolítico, ya sea por la relajación de la estructura de la UE o mediante la salida de más miembros. Todo dentro de la ley y de la lógica.
No hay razón o no razón, hay intereses y diferentes ideales para cada país y el mundo en general.
Repasando acontecimientos, tenemos el caso de un lider, el moon faced idiot al que los tories eligieron para que los simples creyesen que se trataba de alguien cercano con quien se podria tomar una pinta en un pub, a pesar de ser un elitista de los cojones de Eton y el club Bullingdon.
El susodicho se acojona por el ascenso de una corriente UKIPer, lanza un ordago que sabe qeu no va a cumplir, le salen mal los calculos y se ve obligado a seguir con una farsa en la que no cree, y donde finalmente, la parte mas corta de miras y prehominida de UK, a la que nunca se le ha preguntado mas que para engañarlos y vender sus bienes, acaba saboteando la linea (torcida pero linea) seguida por el pais en politica exterior con sus vecinos en los ultimos 50 años.
¿Que podria fallar? :rofl: :rofl:
Con la grandiosa escuela de manipuladores inteligentes e hijos de puta que hay en UK, haber tropezado con esto....you could do better.
Nos van a joder a todos, pero la panzá de reir no me la quita nadie. Lo siento por la gente que quiero alli, voy a tener que dar muchas palmadas en la espalda y muchos animos...
Añadamos un enriquecedor tocho y una detenida mirada al ombligo euroesceptico y su historia
Europhobia: a very British problem
[url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jun/21/brexit-euroscepticism-history[/url] ([url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jun/21/brexit-euroscepticism-history[/url])
[...] La Comisión considera que Italia "no tiene ahora mismo problemas de liquidez y cuenta con el apoyo del BCE en caso necesario", pero ha accedido a crear esa especie de bazuka "para dejarlo en una esquina de la habitación, por si un día fuera necesario", según las fuentes consultadas en Competencia.
[...] Italia juega con esos miedos y, en definitiva, quiere una solución a la española pero sin las quitas a los preferentistas. Roma argumenta que el Brexit ha provocado tales turbulencias que sin ese dinero público en la banca, Italia –y con ella toda la eurozona— podría enfrentarse a una crisis del sistema. Desde hace días circulan rumores de todo tipo en Bruselas, que cifran la inyección de capital público necesaria en 40.000 millones de euros (cifra idéntica
Brexit is only one of many signs of how the political landscape within Europe has been tilting. A disintegrative tendency has been gathering steam over the last 5-10 years, well before UK Prime Minister David Cameron had rashly decided on the referendum on whether UK should leave the EU in motion. Now, in the aftermath of the referendum, the main question is, what’s next? In the following I propose some answers suggested by the new discipline of Cultural Evolution and my research on historical dynamics (Cliodynamics ([url]http://peterturchin.com/cliodynamics/[/url])). My proposal is quite radical. Rather than trying to fight the disintegrative trend, we should allow it to run its course, destroying the EU as it is now. But we need a European Union. Thus, what I hope will happen is another integrative project within Europe, one that will learn from the mistakes of the last one.
In other words, the EU is dead; long live a new and better EU.
Social Cooperation is Key We live in huge societies of hundreds of millions of people, but we don’t really understand what makes them possible. It is not often appreciated that well-functioning—peaceful, prosperous, and just—societies are possible only on the basis of effective cooperation (for more on this, see Ultrasociety: How 10,000 Years of War Made Humans the Greatest Cooperators on Earth ([url]https://www.amazon.com/Ultrasociety-Years-Humans-Greatest-Cooperators-ebook/dp/B0185P69LU[/url])).
The overall trend over the last 10,000 years has been for humans evolving to cooperate in ever larger societies—from living in farming villages of a few hundred people to nation-states of today and even supra-national formations like the EU. But cooperation is fragile. We know from studying history that cooperation tends to go up and down in cycles. Currently, and according to all the indicators, both the United States and the European Union are in a downward, disintegrative, phase of the cooperation cycle.
There are several interlocking reasons why the EU, in particular, has entered the disintegrative phase. Let’s discuss them in turn.
Betrayal of the Elites The political elites in UK were overwhelmingly in favor of staying, but the majority of the population voted to leave. We see similar fault-lines develop between the elites and people in other European countries (notably, Germany). Why? Some answers are suggested by The Revolt of the Elites and the Betrayal of Democracy ([url]https://www.amazon.com/Revolt-Elites-Betrayal-Democracy/dp/0393313719[/url]), published 20 years ago by Christopher Lasch. Lasch’s book is a powerful social critique of the American elites, but many of his charges now apply to the European leaders—self-serving, globalist, and disdainful of people they govern.
This development is, in large part, a result of the spread of the corrosive ideology of neoliberalism from the US to Europe. As the European elites adopted the neoliberal views en masse, it changed their attitudes and behaviors in several ways.
First, neoliberalism freed them to pursue self-serving policies, such as reducing corporate taxes:
([url]http://i0.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/corporate-1024x661.png?zoom=2&fit=980%2C633[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/01/brexit-as-destructive-creation/corporate/[/url])
Source ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Taxation_in_Germany#/media/File:German_tax_rate_on_corporate_income_1995-2009.png[/url])
Second, the reference group for European elites became other wealth- and power-holders in Berlin, London, and Washington, not their own populations.
The treatment of Greece last year is a vivid illustration of the new elite behavior ([url]http://peterturchin.com/blog/2015/07/12/the-deep-historical-roots-of-the-european-crisis/[/url]). The Greeks were forced to swallow the neoliberal recipe for fixing the mess, in which they found themselves. Note also that it was not the elected (and completely ineffectual) European Parliament that imposed austerity on Greece.
Imperial Overstretch The European Union was born in 1957, when the Treaty establishing the European Economic Community was signed by Belgium, France, Italy, Luxembourg, the Netherlands and West Germany. If you trace the signing countries together on the map, they will closely match the extent of the Carolingian Empire. Why is this important?
([url]http://i1.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2015/06/charlemagnes-empire.gif?zoom=2&fit=491%2C395[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2015/06/27/is-this-the-beginning-of-the-end-for-the-european-union/charlemagnes-empire/[/url])
Large-scale societies are not simply huge sloshing bags of people. Instead, they’re groups of groups of groups. Unlike ants, humans cooperate in societies that are organized hierarchically. Cooperation is important at all levels: we cooperate in families, we cooperate in towns, we cooperate on a regional level, in nation-states, and supranational organizations, like the European Union or the United Nations. At each level you need an identity. Who is that “us” who is cooperating? Most people have multiple nested identities, for example, one can be an Ingoldstadter, Bavarian, German, and European.
Here I am interested in cooperation at the level above the nation-state. So where do supranational identities come from?
In my cultural evolutionary view, such identities come from very deep history. Often, they are “ghosts” of powerful and prestigious empires that are long gone—“charter polities”, to use a term proposed by the historian Victor Lieberman in Strange Parallels ([url]https://www.amazon.com/Strange-Parallels-Southeast-c-800-1830-Comparative/dp/0521530369[/url]). For the European Union such a charter polity is the Carolingian Empire (eighth and ninth centuries AD).
After the Carolingian Empire broke apart it left behind the idea of Europeanness that still survives today, although naturally it underwent a lot of evolution in the last thousand years. Initially the idea of Europe was known as Latin Christendom (note that excludes Orthodox Christian areas as well as Islam). Latin Christendom had two important unifying institutions, Empire and Papacy. Of course, the French and Germans fought each other all the time, but when they were faced with outsiders (for example, during the Crusades), they actively cooperated with each other.
([url]http://i2.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/1280px-Europa_Prima_Pars_Terrae_in_Forma_Virginis-1024x740.jpg?zoom=2&fit=980%2C708[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/01/brexit-as-destructive-creation/1280px-europa_prima_pars_terrae_in_forma_virginis/[/url])
There were internal tensions within the precursor of the EU, the European Economic Community, but these problems were resolved in cooperative manner. But then, and especially after the collapse of the Soviet Union, the EU started acting as a typical expansionary empire, gobbling up more and more states. This is a typical imperial disease, known in historical sociology as “imperial overstretch.” The problems mounted, willingness to cooperate waned, and the integrative trend reversed itself. In addition to the spread of neoliberalism, which, as I stated above, is an ideology corrosive of cooperation, different EU members found it difficult to cooperate with each other, because they did not share a well-defined common identity. Additionally, different groups evolve different institutions that promote cooperation. This is why, as the political scientist Robert Putnam found, ethnically diverse groups find it more difficult to cooperate. It’s a coordination problem.
Bavarian Finance Minister Markus Söder recently expressed this idea as follows: “In southern Europe, there are notions of solidarity that differ from ours.” ([url]http://www.dw.com/en/conservative-german-politicians-consider-berlins-best-brexit-approach/a-19368374[/url])
Identities are not fixed in stone; they evolve. The idea of Europeanness has evolved quite a lot since the day of Charlemagne. But evolution takes time. You cannot build an identity and a common set of institutions in one fell swoop. The rapid expansion of the European Union far beyond the area where Europeanness was born (the Carolingian Empire) was, in my opinion, a big mistake. Positive social change is gradual and slow; breaking apart, on the other hand, can occur quite rapidly.
Destructive Creation But breaking apart is also an important aspect of social evolution. When social formations become dysfunctional they must be somehow swept away and be replaced with more cooperative, more functional formations. After all, that’s how free market economics works. Unprofitable firms go belly up, and more efficient ones grab their market share. Joseph Schumpeter called this “creative destruction.” For reasons I explain in Ultrasociety ([url]https://www.amazon.com/Ultrasociety-Years-Humans-Greatest-Cooperators-ebook/dp/B0185P69LU[/url])I prefer to reverse the order, “destructive creation”.
In the past, political formations—chiefdoms, states, and empire—were usually discarded by violent means, either as a result of external conquest, or of internal revolution and civil war. I very much hope that the dissolution of the European Union will unfold in a non-violent manner. In fact, the faster the political elites decide that the EU must go, the better chances are that it will happen without people getting killed.
I actually don’t expect such an outcome. Instead, over the next years the European elites will invest a lot of effort in trying to reform the European institutions. That effort is likely to fail, because it will not address the deep reasons for disintegration that I have discussed in this article.
What will probably happen is that the EU will gradually fade away by becoming increasingly ineffectual and then irrelevant. A historical example of such a fade is the League of Nations.
Where could a new and better EU come from? There is already some talk about “Core Europe” (Kerneuropa) perhaps consisting of the six founding nations, or some other subset of the EU. Such an incipient supranational political formation has a much better chance of promoting integration in Europe, now and in the future, than an attempt to reform the current EU. It can borrow those EU institutions that worked well, and replace the “bad” ones, which demonstrably didn’t work, with new versions.
Much has been learned during the last 60 years. But the architects of the new Europe should not limit their sights to the past experience of just Europe and only the last six decades. We have a rich history of human attempts to build large-scale societies over the last 10,000 years. The rise of the new discipline of Cultural Evolution, which uses evolutionary theories and historical data (see Seshat: Global History Databank ([url]http://seshatdatabank.info/[/url])), provides us with new tools and ideas for evolving peaceful, prosperous, and just societies.
los ideólogos de las falacias mágicas
[url]https://blog.baloneygeek.com/posts/2016/06/27/brexit-is-not-happenning.html[/url] ([url]https://blog.baloneygeek.com/posts/2016/06/27/brexit-is-not-happenning.html[/url])
[url]http://indy100.independent.co.uk/article/people-are-really-really-hoping-this-theory-about-david-cameron-and-brexit-is-true--bJhqBql0VZ[/url] ([url]http://indy100.independent.co.uk/article/people-are-really-really-hoping-this-theory-about-david-cameron-and-brexit-is-true--bJhqBql0VZ[/url])
- If the successor follows through and invokes Article 50, Scotland and Northern Ireland breaks away and joins the EU. The United Kingdom is no longer united. A mountain of laws and regulations need to be torn up and new ones written in its place. The English economy collapses. The public quickly loses patience, and the blood is now on the successor's hands. His career is over, as is the United Kingdom as we know it.
- If the successor does not follow through and fails to invoke Article 50, the premise of the democratic government falls apart. The governance of the UK is no longer democratic, and the entire establishment is a farce. The successor's career is over, as is probably the entire government's. It doesn't end there, however. The next person on the chair also finds himself in the same conundrum, as the next. Until the will of the British people change and they decide to stay - and make it known in another referendum - this cycle continues.
Social Cooperation is Key We live in huge societies of hundreds of millions of people, but we don’t really understand what makes them possible. It is not often appreciated that well-functioning—peaceful, prosperous, and just—societies are possible only on the basis of effective cooperation
La mayor agrupación social del planeta es conocida como China, y se regula por un régimen comunista dictatorial que no duda en aplicar la fuerza -incluso mortal- contra todo indicio de disidencia interna.
Es más sencillo. Elreferéndumplebiscito no fué democrático porque el RU no cuenta con un sistema político democrático. Punto. Cualquier clase de votación no es más que un instrumento al servicio del poder político y su calidad no la define la votación sino la forma de Gobierno existente. El ejemplo más claro lo tenemos en casa: El plebiscito para refrendar la CE78.
Aún así, aunque todavía hay que ver qué ocurre, un plebiscito en el RU no es lo mismo que un plebiscito en España porque allí hay representación real en el Parlamento, sease, libertad política real.
En v/FR, porque si no lo fuera, iba para el hilo de PPCC
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-pourquoi-le-royaume-uni-a-besoin-d-un-nouveau-modele-economique-584318.html[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-pourquoi-le-royaume-uni-a-besoin-d-un-nouveau-modele-economique-584318.html[/url])
De cómo tras el Brexit el Gobierno investiga convertirse en paraíso fiscal para mantener la burbuja inmobiliaria y especulativa financiera, porque son sus principales fuentes de ingresos.
Y de cómo mantener la burbuja y la City son actividades incompatibles que conducen al colapso de ambas
Es decir: para atraer capitales tendrán que subir tipos de interés, para mantener la burbuja tendrán que bajarlos, pero en ambos casos, actuarían contra los intereses de los votantes del Brexit etc.
En v/FR, porque si no lo fuera, iba para el hilo de PPCC
[url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-pourquoi-le-royaume-uni-a-besoin-d-un-nouveau-modele-economique-584318.html[/url] ([url]http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-pourquoi-le-royaume-uni-a-besoin-d-un-nouveau-modele-economique-584318.html[/url])
De cómo tras el Brexit el Gobierno investiga convertirse en paraíso fiscal para mantener la burbuja inmobiliaria y especulativa financiera, porque son sus principales fuentes de ingresos.
Y de cómo mantener la burbuja y la City son actividades incompatibles que conducen al colapso de ambas
Es decir: para atraer capitales tendrán que subir tipos de interés, para mantener la burbuja tendrán que bajarlos, pero en ambos casos, actuarían contra los intereses de los votantes del Brexit etc.
Éste incide sobre ideas similares, pero llega a conclusiones opuestas:
[url]http://www.independent.co.uk/news/business/analysis-and-features/dont-panic-britains-economy-can-survive-just-fine-outside-the-european-union-a7118736.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/business/analysis-and-features/dont-panic-britains-economy-can-survive-just-fine-outside-the-european-union-a7118736.html[/url])
La Comisión Europea decidirá el martes en qué términos activa el proceso contra España y Portugal por desviación de déficit. Mientras países como Francia e Italia abogan por una respuesta amable, Alemania lidera el bloque de los duros. “Las reglas deben ser respetadas”, reiteró el lunes el portavoz del ministro de Hacienda, Wolfgang Schäuble. Las fuentes consultadas insisten en que Berlín espera que Bruselas envíe una señal a los Gobiernos con tentaciones manirrotas. Hay que dejar claro que merece la pena atenerse a las normas del Pacto de Estabilidad y Crecimiento.
“España y Portugal han fallado a sus obligaciones presupuestarias. Si la Comisión quiere mantener su credibilidad, tenemos que adoptar sanciones ahora. Todo lo demás sería inexplicable", aseguró al Bild el comisario europeo Günther Oettinger, el alemán con más poder en Bruselas y cercano a la canciller Merkel. Schäuble y los suyos prefieren estos días mantener un perfil bajo para que no les puedan acusar de presionar a la Comisión, pero el mensaje está claro. Ni España -que cerró 2015 con un déficit del 5,1% del PIB frente al 4,2% al que se había comprometido- ni Portugal deben salir indemnes.
Alemania ya mostró en mayo su malestar por la decisión del Ejecutivo comunitario de congelar cualquier castigo hasta después de las elecciones españolas y el referéndum británico. Schäuble criticó entonces al equipo que encabeza Jean-Claude Juncker por dañar la confianza en las reglas europeas. “No estamos contentos. La Comisión ha tomado esta decisión dentro de sus competencias, pero no nos parece afortunada”, dijo el ministro alemán. Otros dirigentes europeos como el presidente del Eurogrupo y ministro holandés, Jeroen Dijsselbloem, se expresaron de forma parecida.
Pese a la firmeza actual de los alemanes, el pacto de estabilidad que trata de asegurar unas finanzas públicas sostenibles a los miembros de la UE fue dinamitado en 2003 por Berlín y París. Alemania pasaba por un duro plan de ajuste y el entonces canciller Gerhard Schröder logró junto al presidente francés, Jacques Chirac, que el Consejo no respaldara las recomendaciones de la Comisión para atajar el déficit. El Gobierno alemán reconoce ahora que esa decisión fue un error que dañó la credibilidad de las reglas europeas. Y ahora pretende que no ocurra lo mismo en los otros países.
La actitud de Juncker en las últimas semanas tampoco ha ayudado a tranquilizar a los alemanes. Cuando hace un mes le preguntaron al presidente de la Comisión por qué Francia había logrado evitar una sanción, él respondió con una sorprendente sinceridad: “Porque es Francia”. Es difícil ignorar el hecho de que no todos los países reciben el mismo trato en la UE, pero ningún líder europeo lo había expresado tan a las bravas. En Berlín consideran que este tipo de declaraciones suponen un obstáculo más para lograr esa credibilidad que el Gobierno alemán invoca de forma constante. “La próxima vez, la Comisión hará la vista gorda con otro Estado miembro. Y al final lo hará con todos y tendremos una unión monetaria ciega”, disparó Dijsselbloem hace unas semanas.
La libra sigue cayendo y se cambia ya en mínimos de las últimas tres décadas
[url]http://www.eleconomista.es/mercados-cotizaciones/noticias/7683939/07/16/La-libra-sigue-cayendo-y-se-cambia-ya-en-minimos-de-las-ultimas-tres-decadas.html[/url] ([url]http://www.eleconomista.es/mercados-cotizaciones/noticias/7683939/07/16/La-libra-sigue-cayendo-y-se-cambia-ya-en-minimos-de-las-ultimas-tres-decadas.html[/url])
Se ha dejado un 12% desde que comenzó la tormenta por el Brexit
Está claro que convertirse en un pseudo paraíso fiscal será la estrategia británica. Su atractivo será venderse como antagonistas a la UE. Un Gibraltar, pero a lo bestia.
Teniendo en cuenta que llevan más de dos siglos tomando el pelo a los europeos, no creo que les vaya mal.
[url]http://economia.elpais.com/economia/2016/07/04/actualidad/1467653068_623668.html[/url] ([url]http://economia.elpais.com/economia/2016/07/04/actualidad/1467653068_623668.html[/url])CitarLa Comisión Europea decidirá el martes en qué términos activa el proceso contra España y Portugal por desviación de déficit. Mientras países como Francia e Italia abogan por una respuesta amable, Alemania lidera el bloque de los duros. “Las reglas deben ser respetadas”, reiteró el lunes el portavoz del ministro de Hacienda, Wolfgang Schäuble. Las fuentes consultadas insisten en que Berlín espera que Bruselas envíe una señal a los Gobiernos con tentaciones manirrotas. Hay que dejar claro que merece la pena atenerse a las normas del Pacto de Estabilidad y Crecimiento.
“España y Portugal han fallado a sus obligaciones presupuestarias. Si la Comisión quiere mantener su credibilidad, tenemos que adoptar sanciones ahora. Todo lo demás sería inexplicable", aseguró al Bild el comisario europeo Günther Oettinger, el alemán con más poder en Bruselas y cercano a la canciller Merkel. Schäuble y los suyos prefieren estos días mantener un perfil bajo para que no les puedan acusar de presionar a la Comisión, pero el mensaje está claro. Ni España -que cerró 2015 con un déficit del 5,1% del PIB frente al 4,2% al que se había comprometido- ni Portugal deben salir indemnes.
Alemania ya mostró en mayo su malestar por la decisión del Ejecutivo comunitario de congelar cualquier castigo hasta después de las elecciones españolas y el referéndum británico. Schäuble criticó entonces al equipo que encabeza Jean-Claude Juncker por dañar la confianza en las reglas europeas. “No estamos contentos. La Comisión ha tomado esta decisión dentro de sus competencias, pero no nos parece afortunada”, dijo el ministro alemán. Otros dirigentes europeos como el presidente del Eurogrupo y ministro holandés, Jeroen Dijsselbloem, se expresaron de forma parecida.
Pese a la firmeza actual de los alemanes, el pacto de estabilidad que trata de asegurar unas finanzas públicas sostenibles a los miembros de la UE fue dinamitado en 2003 por Berlín y París. Alemania pasaba por un duro plan de ajuste y el entonces canciller Gerhard Schröder logró junto al presidente francés, Jacques Chirac, que el Consejo no respaldara las recomendaciones de la Comisión para atajar el déficit. El Gobierno alemán reconoce ahora que esa decisión fue un error que dañó la credibilidad de las reglas europeas. Y ahora pretende que no ocurra lo mismo en los otros países.
La actitud de Juncker en las últimas semanas tampoco ha ayudado a tranquilizar a los alemanes. Cuando hace un mes le preguntaron al presidente de la Comisión por qué Francia había logrado evitar una sanción, él respondió con una sorprendente sinceridad: “Porque es Francia”. Es difícil ignorar el hecho de que no todos los países reciben el mismo trato en la UE, pero ningún líder europeo lo había expresado tan a las bravas. En Berlín consideran que este tipo de declaraciones suponen un obstáculo más para lograr esa credibilidad que el Gobierno alemán invoca de forma constante. “La próxima vez, la Comisión hará la vista gorda con otro Estado miembro. Y al final lo hará con todos y tendremos una unión monetaria ciega”, disparó Dijsselbloem hace unas semanas.
despues del trato dispensado a Grecia,Se la podía haber expulsado por sus estrafalarios desfases, y sin embargo se perdonó y además se le prestó dinero para poder cumplir. ¿Desde cuando prestar dinero -cuando te lo piden- es motivo de afrenta?
despues del trato dispensado a Grecia,Se la podía haber expulsado por sus estrafalarios desfases, y sin embargo se perdonó y además se le prestó dinero para poder cumplir. ¿Desde cuando prestar dinero -cuando te lo piden- es motivo de afrenta?
No he visto a ningún alemán robando en Grecia.
Al contrario, sólo he visto teutones dejándose allí el dinero de sus vacaciones. Todo lo contrario que los griegos, fugando sus capitales (evadiendo miles de millones de euros) y con estafas continuadas a la hacienda pública, como la del ejército griego: formado por personal griego, con presupuesto griego y que sale de los mermados bolsillos griegos.
La campaña que han hecho los antieuropeos con Grecia pasará a la historia.
Seamos realistas, fue inaceptable que un país del tamaño (económico) de Grecia, incapaz de cumplir las mínimas reglas de contabilidad en una tienda de comestibles, llegase al parlamento europeo echando un pulso y amenazando con irse. Y sin embargo, lo hizo. Y el resto de ministros se lo perdonaron. Creo que se le ha dado un trato muy, muy, MUY correcto dada la situación.
Como no podría ser de otra forma.
Se la "salvo" para no tener que hundir a la banca prestataria no griega.
CitarSe la "salvo" para no tener que hundir a la banca prestataria no griega.
Es que solo faltaba!!!
¡¿¡¿Lo siguiente que será, pedir cárcel para la violada y mariscadas para el violador!?!?
¿Desde cuando hay que salvar al moroso antes que al estafado?
Lo del "plan sensato" propuesto por el estafador es tan, tan subjetivo que no hay por donde cogerlo. Porque en frente de ese "plan sensato" según el cual Grecia no pagaba y los prestamistas no cobraban (tócate los cojones :biggrin:) había otro más sensato aún, y era tan sensato que se había aceptado previamente POR LOS GRIEGOS.
Si el problema es que los griegos son pobres, ese problema tal vez debieras buscarlo en que otras personas que no viven en islas paradisíacas del mediterráneo trabajan más, en sectores más productivos, donde invierten en tecnología y no permiten el saqueo constante de sus cuentas públicas.
Mira, como en España.
Lo que no acabo de entender es como se permitió ese cachondeo con las economías del sur, sinceramente, los prestatarios sabían lo que pasaba, un simple análisis superficial de Grecia o la Burbujedada España debería provocar que incluso el más tonto inversor huyera a la velocidad de la luz.
Nigel "Brexit" Farage, having tanked the UK economy, retires to "get his life back"
[url]https://www.youtube.com/watch?time_continue=55&v=oOMLtMSljyA[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?time_continue=55&v=oOMLtMSljyA[/url])
Nigel Farage, a stock broker who spent years pretending to be a working class lad in a flat cap, has announced that he is quitting as leader of the United Kingdom Independence Party because now that he has "[his] country back" he wants to "get [his] life back."
Farage, who perfected racist dog-whistling as a martial art, followed up on the Brexit vote by hurling ad hominems at the European Parliament while grinning like a constipated turtle.
Highlights of Farage's career in the EU include billing the taxpayer for £2M in expenses, as well as putting his wife on the payroll as a "personal secretary."
Farage quit the leadership last year after he lost his UK Parliamentary race in a landslide, but then changed his mind three days later.
Mr Farage said his "political ambition has been achieved" with the UK having voted to leave the EU.
He said the party was in a "pretty good place" and said he would not change his mind about quitting as he did after the 2015 general election.
Leading UKIP was "tough at times" but "all worth it" said Mr Farage, who is also an MEP. He added that the UK needed a "Brexit prime minister".
No he visto a ningún alemán robando en Grecia.
...
Seamos realistas, fue inaceptable que un país del tamaño (económico) de Grecia, incapaz de cumplir las mínimas reglas de contabilidad en una tienda de comestibles, llegase al parlamento europeo echando un pulso y amenazando con irse.
CitarSe la "salvo" para no tener que hundir a la banca prestataria no griega.
Es que solo faltaba!!!
¡¿¡¿Lo siguiente que será, pedir cárcel para la violada y mariscadas para el violador!?!?
Lo que no acabo de entender es como se permitió ese cachondeo con las economías del sur, sinceramente, los prestatarios sabían lo que pasaba, un simple análisis superficial de Grecia o la Burbujedada España debería provocar que incluso el más tonto inversor huyera a la velocidad de la luz.
Es darle vueltas y vueltas a lo mismo: se trata de que deudor y acreedor se fusionen.
Tal vez el inversor no era tan tonto...
Lo que no acabo de entender es como se permitió ese cachondeo con las economías del sur, sinceramente, los prestatarios sabían lo que pasaba, un simple análisis superficial de Grecia o la Burbujedada España debería provocar que incluso el más tonto inversor huyera a la velocidad de la luz.
Es darle vueltas y vueltas a lo mismo: se trata de que deudor y acreedor se fusionen.
Tal vez el inversor no era tan tonto...
Retomando tu ejemplo anterior, una violacion es tambien una fusion.Jeje, estás siendo necio ;) y lo sabes.
Grecia pais subprime.
La de aniquilar economicamente al Grecia para asegurar que los balances cuadren, identica a la descongelacion bochornosamente lenta en España que es la razon de ser de este foro.
Retomando tu ejemplo anterior, una violacion es tambien una fusion.Jeje, estás siendo necio ;) y lo sabes.
Una violación no está regulada por un contrato firmado entre las partes.
El consentimiento y aceptación mutua es base de la seguridad jurídica desde tiempos de Babilonia. Y era así con los fenicios, con los romanos, y será así en el año 3000.
No entiendo la pataleta con que Grecia es una potencia económica mundial y que los griegos son perfectos, y que deberían estar en el G8 y ser los dueños del mundo y de la OTAN. Es que no lo entiendo. Porque esto mismo se podría aplicar a Marruecos, Bolivia y Senegal, lo cual resultaría absurdo. No entiendo porqué las potencias economicas avanzadas de corte industrial (europeas y USA) deberían ceder sus asientos en los órganos de control a países que sólo aportan fantasías ideológicas con propuestas imposibles, en la esperanza personal de sus líderes de salvar el pellejo, aunque eso supusiese revertir el orden jurídico internacional... PORQUEYOLOVALGO.
Las fantasías revolucionarias antinaturales de Varoufakis sólo valen para vender sus libros (de papel, que lo aguanta todo). Su moto la tuvo que pagar. Y su casa. Y su corte de pelo. ¿A que vienen sus propuestas heterodoxas para el resto del universo?
Yo es que estoy convencido de que el camino de la austeridad es el correcto. Porque la competencia asiática y suramericana ESTÁ AL ACECHO y se nos van a subir (a los europeos) a la chepa, nada más cometamos un fallo.
Es que yo asumo que no puede haber Ferraris para todos.
Varoufakis y su concepción altermundista dicen justamente lo contrario. Viva la fiesta que pagan los demás!!! Nacionalicemos la fábrica de Ferraris!!!
Comprendo que "ideológicamente" es una jodienda que la libertad y la responsabilidad personal demuestren todos los días que el buen indígena es realmente un hijoputa y un ignorante a partes iguales, pero es que yo no soy el padre de la humanidad y no tengo porqué responsabilizarme de los destinos de todos los ludópatas y drogadictos del planeta.
Lo que no puede ser es saltarnos la seguridad jurídica cuando nos sale de la banana, porque convertimos esto en la selva. Y con Canarias ya tenemos suficiente.
No niego que todo esto sea una conquista en toda regla, por la vía económica. Sólo que en vez de verlo en clave nacionalista (como hacéis muchos oponiendo Grecia a Alemania ¿? ) yo lo veo como la construcción del gran imperio europeo. La banca pillada es mundial, vía FMI España tiene prestado dinero en Grecia y viceversa.
Hay que trasladar los organismos de decisión desde lo local hasta lo supranacional. No hay mas camino. En el parlamento europeo hay representación griega, hay cientos de funcionarios europeos de origen griego. Muchos comisarios han sido españoles. Es que aqui no se está echando a nadie de ningún sitio.
Sólo se van los que quieren irse (Varoufakis y Farage, por ejemplo).
Y se van con un discurso que ya vemos el que es y el recorrido que tiene.
Si la libra hoy está cayendo y es un problema para los ingleses... IMAGINAOS como estaría el neo-Dracma!!! Yo he visto en este foro defender que Grecia tenía que renunciar al rescate, y que debía salirse del euro y devaluar su moneda :rofl:CitarGrecia pais subprime.
La de aniquilar economicamente al Grecia para asegurar que los balances cuadren, identica a la descongelacion bochornosamente lenta en España que es la razon de ser de este foro.
Pero es que es así.
Grecia era un país subprime en vías de desarrollo y se le enchufó a los fondos de cohesión. Y claro que estaba aniquilada económicamente (como Ecuador o Argelia) y por eso tuvo que ser rescatada 3 veces. 3 VECES!!!!! :o
Lo que no puede ser es echarle la culpa al prestamista. Los desfalcadores han sido griegos, y la burbuja española es culpa de los españoles. Esto no admite discusión. Ahora queda ver en quien se confía para afrontar los desafíos del futuro.
Donde no hay disciplina hay que ponerla.
Y quien tiene que ponerla es quien puede.
Grecia como entidad jurídica última (=país independiente) tiene que desaparecer.
Y Portugal, y España. Doy por hecho que Francia y Alemania ya lo han hecho, como corresponde a los supuestos líderes de titánica empresa.
Y estoy completamente seguro de que UK revertirá el referéndum.
... the press was accusing our government in general and me in particular that “we had no plan for reforming Greece”. When talking to the press, Eurogroup colleagues and troika representatives kept repeating, ad nauseum, that they “did not know what the Greeks were proposing”.
The truth is that they knew perfectly well what we were proposing. And that they never paid any attention to our proposals.
Was that because our proposals were worthless, as they kept “leaking” to the press?
Or was it because our proposals’ substance made it hard for them to admit that the real reason they refused to engage with our sensible, sophisticated proposals was that they only cared about humiliating our government and derailing the negotiations?
Tengo que confesar que no me los he leido, pero presté atención a las cifras que daba Varoufakis en sus entrevistas relativas a los documentos, y no tengo porque pensar que mentia respecto de algo que el mismo habia puesto por escrito. Y las propuestas eran sensatas.
Tu hablas de generalidades y principios y juzgas una colección de propuestas sin conocerlas, solo por la nacionalidad y los antecedentes de equipos gubernamentales anteriores.
Dime, con tu esquema de pensamiento, ¿como reconocerias una equivocacion de la Troika, si ni siquera conoces los argumentos (en este caso al menos) con los que se les contrapropone?
The truth is that they knew perfectly well what we were proposing. And that they never paid any attention to our proposals.Claro que sabían perfectamente lo que proponían. Sólo faltaba. ¿Que no pusieron atención?
sophisticated proposals was that they only cared about humiliating our government and derailing the negotiations?Argumento NECIO.
y no tengo porque pensar que mentia respecto de algo que el mismo habia puesto por escrito. Y las propuestas eran sensatas.
solo por la nacionalidad y los antecedentes de equipos gubernamentales anteriores.Si te parece empezamos a hablar de Chile o Argentina, pero cuando hablamos de Grecia entonces hablaré de las cuentas falseadas de Grecia. Que el problema no es falsear las cuentas, si eso lo hacen todos los países!!! El problema es que se lo intentes hacer a tus socios que encima son tus prestamistas, cuando el plan que tienen sobre la mesa se llama CONSTRUCCIÓN PANEUROPEA con un primer plato que es tu soberanía.
Dime, con tu esquema de pensamiento, ¿como reconocerias una equivocacion de la Troika, si ni siquera conoces los argumentos (en este caso al menos) con los que se les contrapropone?Claro que reconozco las equivocaciones de la troika.
Otro de los clásicos a la hora de aprender de Propaganda es el libro de Edward Bernays publicado en 1928. Para él, la manipulación de la opinión pública era una parte fundamental de la democracia.
Bernays nació en Austria y era sobrino de Sigmund Freud, pero desde pequeño se radicó en los Estados Unidos. Fue asesor de Presidentes y Empresas por muchos años. Para él, la manipulación era necesaria para buscar el bien común.
“La manipulación consciente e inteligente de los hábitos y opiniones de las masas es un elemento de importancia en la sociedad democrática. Quienes manipulan este mecanismo oculto de la sociedad constituyen el gobierno invisible que detenta el verdadero poder que rige el destino de nuestro país.
Quienes nos gobiernan, moldean nuestras mentes, definen nuestros gustos o nos sugieren nuestras ideas, son en gran medida personas de las que nunca hemos oído hablar de ellas.”
No puedo por menos que decir algo; dices:CitarTengo que confesar que no me los he leido, pero presté atención a las cifras que daba Varoufakis en sus entrevistas relativas a los documentos, y no tengo porque pensar que mentia respecto de algo que el mismo habia puesto por escrito. Y las propuestas eran sensatas.
y acusas de hablar sin conocer:CitarTu hablas de generalidades y principios y juzgas una colección de propuestas sin conocerlas, solo por la nacionalidad y los antecedentes de equipos gubernamentales anteriores.
Dime, con tu esquema de pensamiento, ¿como reconocerias una equivocacion de la Troika, si ni siquera conoces los argumentos (en este caso al menos) con los que se les contrapropone?
¿Y qué se supone que deberímos hacer los demás? Leernos los enlaces y explicartelos...
No way.
[...]
Creo que no has entendido bien el mensaje.
[...]
Tienes razón, me he ido por las ramas ;D
El debate es recurrente por eso suelo adelantar argumentos al desenlace ;)
Poco a poco, desmontando a Varoufakis:CitarThe truth is that they knew perfectly well what we were proposing. And that they never paid any attention to our proposals.Claro que sabían perfectamente lo que proponían. Sólo faltaba. ¿Que no pusieron atención?
La propuesta era dilatar otros 20 años la construcción paneuropea (algo inasumible) sólo porque el nuevo gobierno griego de turno argumentaba que ellos no eran responsables de la deuda que los gobiernos anteriores habían adquirido.
Lo cual SIENDO CIERTO (que lo es) vendría a significar que ellos no representan al pueblo griego sino a ellos mismos, y que los anteriores gobernantes tampoco representaban a Grecia en la firma de acuerdos multilaterales, de donde sería facil deducir que la democracia representativa no se aplica si no conviene.
Oleeeeeeeeee!!! :rofl:
Pero había otro motivo -mas profundo- para negarles la oportunidad de "hacer las cosas bien" y honrar su deuda.Citarsophisticated proposals was that they only cared about humiliating our government and derailing the negotiations?Argumento NECIO.
El objetivo era y es la construcción europea lo cual implica la pérdida de soberanía nacional, con traspaso a un gobierno federal representativo (comisarios de todos los países y presidencia rotativa!!!).
Este es el objetivo último y lo entiende hasta un niño. Sólo un nacionalista recalcitrante, magufo, y mentiroso (=Varoufakis) sería capaz de no reconocerlo aún cuando las pruebas las tiene delante de sus narices, por puros hechos consumados.
Grecia ha sido el primer país en federarse a la fuerza. Grecia forma parte del protectorado Europeo. Las cuentas de Grecia son controladas por la Federación (parlamento europeo).
Esto es así y es incuestionable.
Seguir con la matraca del pueblo griego y su yogur inmortal ya es cansino. Que si, que tienen bandera, y costumbres, y bailes regionales, que nadie les va a quitar eso. Pero tiene que haber una transferencia de soberanía (económica, militar, etc) al gobierno federal tarde o temprano.
Joder, peo si es lo mismo que existe en EEUU, no es tan dificil de entender.
Y lo digo por Varoufakis. Lo que pasa que se hace el orejas (motivos?) porque yo me niego a creer que sea tan corto de entendederas.Citary no tengo porque pensar que mentia respecto de algo que el mismo habia puesto por escrito. Y las propuestas eran sensatas.
Tan sensatas que dejaban a Grecia dispuesta para entrar de cabeza en el G8 ::)
No culpo a Varoufakis de nada. Es más, estaría incluso dispuesto a admitir que sus propuestas eran reales y eran más sensatas que los planes que se llevaban ejecutando desde que Grecia se convirtió en un sumidero de fondos FEDER allá por el año 2000.
El problema es que eso hubiese estado bien en el 2005. Pero el 2015 ya era demasiado tarde y el proceso no se podía dilatar más. La oportunidad era de oro, no se podía desaprovechar. Y la fantasía totalitaria de Tsipras con la cercanía con la frontera africana sumaban demasiados argumentos en contra como para seguir financiando una economía podrida. Tenía que hacerse aprovechando el rescate.
Movimiento de mago: Mientras miras la mano izquierda con la derecha cambio la carta.
Y todos tan contentos.
En grecia ya no hay corralito, vuelve a haber calefacción, libre circulación de personas y capitales europeos, y las medicinas no faltan en las farmacias. Yo es que no se que mas se puede pedir, cuando a escasos 100 Km la gente se lanza al mar en flotador para salvar a sus hijos recién nacidos.Citarsolo por la nacionalidad y los antecedentes de equipos gubernamentales anteriores.Si te parece empezamos a hablar de Chile o Argentina, pero cuando hablamos de Grecia entonces hablaré de las cuentas falseadas de Grecia. Que el problema no es falsear las cuentas, si eso lo hacen todos los países!!! El problema es que se lo intentes hacer a tus socios que encima son tus prestamistas, cuando el plan que tienen sobre la mesa se llama CONSTRUCCIÓN PANEUROPEA con un primer plato que es tu soberanía.
No culpo a Varoufakis, porque el momentum histórico era demasiado potente.
Ni siquiera un referéndum pudo pararlo, como tampoco podrá el referéndum británico.
Porque no podrá. Y se integrarán.
Yo no tengo ningún problema con la superación del "concepto-país" europeo.
Me gusta vivir este proceso en primera persona, saborear la gloria de formar parte de la historia.
Yo entiendo que quienes no sepan ver que Celtiberia, Iberia, Hispania, España... ha sido siemrpe lo mismo, se sientan huérfanos y culpen a Merkel de que su taller mecánico habitual ha cerrado ¿?. Pero es que no es mi caso. Soy defensor de los Estados Unidos de Europa liderados por un gobierno Federal, donde la maquinaria es movida por funcionarios neutrales, no nacionalistas (capital Luxemburgo, nadie es nativo) con 4 idiomas, procedentes de cualquier miembro de la Unión.CitarDime, con tu esquema de pensamiento, ¿como reconocerias una equivocacion de la Troika, si ni siquera conoces los argumentos (en este caso al menos) con los que se les contrapropone?Claro que reconozco las equivocaciones de la troika.
Pero no creo que sea un error construir una gran área de influencia europea.
Un abrazo.
La propuesta Varoufakis era ingenua, no por si misma, sino por la actitud cerril de los interlocutores.
Pero reitero que yo busco el debate en lo concreto, tu a mi entender te vas por las ramas. Tu sabrás por qué.
Las tres voces
JOSé ZORRILLA
Brexit: hora de poner fin a la posguerra mental angloamericana
Adiós a la relación especial entre el Reino Unido y EEUU, que ambos países siguen percibiendo a través del filtro del Día D. Malas noticias para Washington, pero buenas para Europa
[url]http://goo.gl/TGsP8G[/url] ([url]http://goo.gl/TGsP8G[/url])
Realmente creo que Europa le está haciendo un favor al atrasado y tercermundista país griego.
Varoufakis simplemetne se ha equivocado de lugar para librar su batalla. Lo que tenía que haber hecho era luchar por los intereses de su pueblo desde el interior de Europa. Hacer carrera interna, reconocer los beneficios del nuevo Dios Globalización, los avances tecnológicos del hombre blanco, y facilitar la fusión de los pueblos. Lo que viene siendo una actitud inteligente.
Escogió lo contrario. Y se convirtió en un proscrito, ridiculizado en todos los salones del parlamento europeo. Y a punto estuvo de retrotraer a su país 200 años, si no fuera porque su compañero de viaje -un tal Tsipras- fue capaz de comprender lo que yo te estoy explicando.
Y se sentó a asimilar la realidad, porque esa era su función histórica. Y se la envainó. Y con ello permitió que los viejecitos de su país pudieran seguir teniendo un plato de comida en la mesa a final de mes, agua caliente, calefacción y medicinas.
Para mi, es un héroe.
Por eso me sorprende lo de la superioridad moral, cuando precisamente mi argumento es el contrario. Métanse todos la moral por donde les quepa, y quédense con quien les proporcione mejor nivel de vida hoy, ahora.
Sean capitalistas, europeos, alemanes o americanos.
Las banderitas, el "pueblo unido", y las unidades de destino en lo universal que defienden los caudillitos tipo Varoufakis sólo traen miseria.
Goldman Sachs ficha al expresidente de la Comisión Europea Durao Barroso
Me parece que V. no denuncia a "Europa" sino cierta ideología que tiene poco que ver con unos ideales que V. afirma están en la base del proyecto europeo.Lo siento Saturno pero no entiendo el mensaje oculto (porque lo tiene seguro :) ) de tu mensaje.
Métanse todos la moral por donde les quepa, y quédense con quien les proporcione mejor nivel de vida hoy, ahora.
es muy, muy, muy difícil encasillarme en el bando contrario... porque no hay bando contrario; pero es lo que hay.hombre, CHOSEN, no quieras hacernos el viejo truco jedi... "estos no son los droides que buscais","la oligarquía no existe", etc.... :biggrin: :biggrin: :biggrin:
Respecto a la ideología... [...]
Ya se que eso puede sacar de las casillas a más de alguno porque es muy, muy, muy difícil encasillarme en el bando contrario... porque no hay bando contrario; pero es lo que hay.[...]
Respecto a la ideología... [...]
Ya se que eso puede sacar de las casillas a más de alguno porque es muy, muy, muy difícil encasillarme en el bando contrario... porque no hay bando contrario; pero es lo que hay.[...]
Sólo un pero... un matiz. A mí me vale lo que dices, porque creo entender el "contexto", no me parece que haya vuelta atrás en el incremento del diametro de los circulos de civilización y no voy a cambiar mi ratón por uno igual con el logo de ferrari... Pero entiendo también que ver como se "manipula" a las masas o como éstas después "dictan" los gustos, ¿la opinión?, las costumbres, ¿los precios? produce un escalofrío no muy tranquilizador. El enfoque es demasiado materialista tal vez para un foro de "lectores". :)
La propuesta Varoufakis era ingenua, no por si misma, sino por la actitud cerril de los interlocutores.
Pero reitero que yo busco el debate en lo concreto, tu a mi entender te vas por las ramas. Tu sabrás por qué.
¿interlocutores?
Es que creo que todavía no lo has entendido ::)
No hay interlocución posible.
Que Varoufakis insista en eso de la negociación :biggrin: sólo demuestra lo perdido que está en su fracasado delirio nacionalista.
Hay que ser más realista.
Es ingenuo pensar que Pizarro y Cortés van a sentarse con Moztezuma a escuchar los fantásticos y maravillosos beneficios de darse la vuelta por donde han venido.
Estoy diciendo que los negociadores del Eurogrupo (=TODOS LOS PAÍSES DE EUROPA) fueron a Grecia a integrarla en la nueva concepción de área supranacional. Punto.
A partir de ahí, lo que opine Varoufakis y los griegos, ya no importa nada; como de hecho se demostró cuando Tsipras pasó olímpicamente del resultado del referéndum que él mismo había convocado :biggrin:
Probablemente lo único inteligente que hizo en su carrera como político. Y no es alemán, ni francés. Es griego.
Yo no puedo ser más claro.
La "interlocución" de Varoufakis es pura fantasía en la mente de un sacerdote azteca que ve como su mundo de fantasía se desmorona ante una realidad mucho más poderosa que sus rituales indígenas. Nunca ha habido interlocución en esos términos, ni similares. Ha habido una absorción directa que comenzó con el primer tratado de la Unión en 1986.
A partir de esta realidad, como unidad de destino en lo universal (seas inca o maya) caben dos opciones:
1ª.- Aceptar el avance de la historia y aprovechar las redes de saneamiento, las tres comidas al día, la agricultura y la ganadería del hombre blanco como beneficiosas para tu desarrollo. No es casualidad que en Ecuador hablen castellano.
2ª.- No aceptarlo, montar una pataleta y que se acabe demostrando lo equivocado que estabas por pura consumación de los hechos. Adorando a un dios proscrito, con tu orgullo nacionalista roto y tu descendencia pasando necesidades básicas.
Por suerte en Grecia no se llega a estos extremos porque hablamos de una FUSIÓN.
Creo que estoy siendo bastante explícito.
La fusión se realizará SI o SI, a partir de ahí tenemos dos opciones: aceptarla con todo lo bueno que trae, que no es poco (vida del primer mundo) o insistir en el mismo error de las COLONIAS en 1800, elevadas a lomos de un pueblo inculto e ignorante, lideradas por paletos locales, retrocedieron 200 años en el nivel de vida por estúpido amor a una bandera inventada y el orgullo de un pueblo que nunca existió como tal (¿república bolivariana? ¿pero estamos locos?)
Pongo como ejemplos a Nicaragua o Guinea, por decir dos países miserables que renunciaron al bienestar de provincia anexa al primer mundo, por una estúpida bandera que simbolizaba no se sabe bien que, ni donde, ni cuando, ni porqué.
Realmente creo que Europa le está haciendo un favor al atrasado y tercermundista país griego.
Varoufakis simplemetne se ha equivocado de lugar para librar su batalla. Lo que tenía que haber hecho era luchar por los intereses de su pueblo desde el interior de Europa. Hacer carrera interna, reconocer los beneficios del nuevo Dios Globalización, los avances tecnológicos del hombre blanco, y facilitar la fusión de los pueblos. Lo que viene siendo una actitud inteligente.
Escogió lo contrario. Y se convirtió en un proscrito, ridiculizado en todos los salones del parlamento europeo. Y a punto estuvo de retrotraer a su país 200 años, si no fuera porque su compañero de viaje -un tal Tsipras- fue capaz de comprender lo que yo te estoy explicando.
Y se sentó a asimilar la realidad, porque esa era su función histórica. Y se la envainó. Y con ello permitió que los viejecitos de su país pudieran seguir teniendo un plato de comida en la mesa a final de mes, agua caliente, calefacción y medicinas.
Para mi, es un héroe.
Por eso me sorprende lo de la superioridad moral, cuando precisamente mi argumento es el contrario. Métanse todos la moral por donde les quepa, y quédense con quien les proporcione mejor nivel de vida hoy, ahora.
Sean capitalistas, europeos, alemanes o americanos.
Las banderitas, el "pueblo unido", y las unidades de destino en lo universal que defienden los caudillitos tipo Varoufakis sólo traen miseria.
si a eso fueramos, desacuerdo en la narrativa monocolor de la UE-parte norte como buena, y la UE-parte sur como mala y retrograda.Que no Alpha ;) que Bolivia no es ninguna potencia mundial, ni Grecia tampoco.
En este caso, no es que no se respetaran, es que no había ni protocolo definido.Y Varoufakis intentó aprovecharse de ello de la siguiente forma:
V. se salió, y trabaja en crear las bases de lo que deberían ser esos protocolos UE que hoy no existen.Varoufakis lo que quería es que las amas de casa voten su magufada de plan estratégico.
Sólo por decir que V. y la UE no se opusieron sobre tesis contrarias, sino sobre la legitimidad de las decisiones tomadas.
Bueno Chosen, aprovecho para saludar y despedirme, ya sin argumentar.
Es que ultimamente no me meto en fregaos de los que no sale nada, y de aqui no sale (ojo, y no hablo de ganar la discusion, sino de sacar en claro, que yo entro aqui a que me tireis del caballo y y me hagais dudar)
Pero estamos protagonizando un "¿Donde vas? Manzanas traigo" de libro.
Bueno Chosen, aprovecho para saludar y despedirme, ya sin argumentar.
Es que ultimamente no me meto en fregaos de los que no sale nada, y de aqui no sale (ojo, y no hablo de ganar la discusion, sino de sacar en claro, que yo entro aqui a que me tireis del caballo y y me hagais dudar)
Pero estamos protagonizando un "¿Donde vas? Manzanas traigo" de libro.
Hay que tener más paciencia. Ya saldrá la respuesta. (No sé por ejemplo, por qué no aceptas la hipótesis de que varufaquis sea lo que parece, un fraude, un discurso vacío.)
Tu verás.
[...]
De VF solo me interesa bajar a las propuestas concretas que hizo y como las hizo. Su posterior discurso de DiEM25 me guste mas o menos es mas dificilmente baremable. En ningun momento nadie me ha dicho que su propuesta tal estaba equivocada o era demagogica por este y aquel motivos. Utilizando un simil pugilistico, estoy intentando que se pelee en un ring (las acciones de VF como ministro griego de finanzas), pero los oponentes no se deciden a entrar, pero, desde fuera, sostienen que mis argumentos no tienen media ostia, eso si, sin subir al ring y confrontarlos con los suyos. Me importa un rabano recibir una paliza, pero ha de ser en ese ring. ¿Que puede haber mas facil que decir que la propuesta de superavit primario para 2017 de la CE del 3.5% era realista y cojonuda, y que el 2% de VF era una tomadura de pelo? Se puede valorar muy facilmente algo asi.
[...]
Pero estamos protagonizando un "¿Donde vas? Manzanas traigo" de libro.
Encontré un articulo en Forbes y además Keen hace un buen resumen del Modest Proposal. Vale la pena releerlo.
[url]http://www.forbes.com/sites/stevekeen/2015/05/20/greek-deception-greek-tragedy-german-farce-german-myth/7/[/url] ([url]http://www.forbes.com/sites/stevekeen/2015/05/20/greek-deception-greek-tragedy-german-farce-german-myth/7/[/url])Citar5/20/2015 @ 2:42AM 30,166 views
Their first proposal addressed the real cause of the crisis: the parlous state of many Greek (and Spanish and Cypriot) private banks after the crisis. The current arrangement requires the Greek government to borrow on their behalf from the European Stability Mechanism (ESM); they propose instead that the ESM should take over:
CitarOur proposal is that a national government should have the option of waiving its right to supervise and resolve a failing bank. Shares equivalent to the needed capital injection will then pass to the ESM… Reform may entail a merger, downsizing, even a full resolution of the bank, with the understanding that steps will be taken to avoid, above all, a haircut of deposits. Once the bank has been restructured and recapitalised, the ESM will sell its shares and recoup its costs.
Their second recognised the Maastricht Treaty’s limit on government debt of 60% of GDP, and proposed that this could also be an obligation of the ECB (European Central Bank). Since a 60% of GDP level was allowed, this should be funded by bonds backed by the ECB which would still be serviced by the Greek government. With the ECB issuing the bonds, the interest rate on them would reflect the credit rating of the ECB—which is absolute—rather than the tenuous credit rating of Greece. Rates on these bonds would fall from over 10% now to just above zero—and what holders would lose in returns they would gain in the certainty that the bonds would be honoured.
The third proposal was to use the European Investment Bank (EIB) and the almost dormant European Investment Fund (EIF) to fund infrastructure investments throughout Europe. Bonds used to finance this investment would be debt of the European Union in general, which is quite low, rather than of any member states. The fourth was to start a Emergency Social Solidarity Programme to undo some of the enormous harm that austerity progams have done to living standards in Europe. This program would:Citarguarantee access to nutrition and to basic energy needs for all Europeans, by means of a European Food Stamp Programme modelled on its US equivalent and a European Minimum Energy Programme.
These proposals are both modest and separable, and only the third and fourth proposals breach Schäuble’s uncompromising assertion that “Stimulus—both in fiscal and monetary policy—is not part of the plan”. Varoufakis expected that, when he became Finance Minister for Greece, he would be able to raise these proposals with his counterparts. Surely they could agree to the first two proposals—and certainly to the second, which would involve no cost to other EU partners? But instead he has found that his fellow Finance Ministers are unwilling to discuss anything except compliance with the existing, failing, program of austerity. For his exasperation at this, he is accused of “hectoring” his fellow Finance Ministers.
Hay una crítica a la postura de Keen & all de Tim Worstall aquí
[url]http://www.forbes.com/sites/timworstall/2015/05/20/steve-keens-interesting-view-of-the-greek-debt-crisis/[/url] ([url]http://www.forbes.com/sites/timworstall/2015/05/20/steve-keens-interesting-view-of-the-greek-debt-crisis/[/url])CitarOr alternatively, could we please have some more of your taxpayers’ money to spend on our voters? Great politics domestically in Greece, not so hot in other eurozone countries.
Y esta crítica sigue razonando sobre la UE como si no pudiera tener un presupuesto común.
Fusión de acreedores y deudores (claro que para eso, hace falta un FMIxit previo).
Las fantasías revolucionarias antinaturales de Varoufakis sólo valen para vender sus libros (de papel, que lo aguanta todo). Su moto la tuvo que pagar. Y su casa. Y su corte de pelo. ¿A que vienen sus propuestas heterodoxas para el resto del universo?
[url]https://www.theguardian.com/world/2016/apr/05/yanis-varoufakis-why-we-must-save-the-eu[/url] ([url]https://www.theguardian.com/world/2016/apr/05/yanis-varoufakis-why-we-must-save-the-eu[/url])
"From the day I assumed office I strove to put together sensible, moderate proposals that would create common ground between my government, the troika of Greece’s lenders and Schäuble’s people. The idea was to go to Brussels, put to them our own blueprint for Greece’s recovery and then discuss with them their own ideas and objections to ours.
My own Athens-based team worked hard on this, together with experts from abroad, including Jeff Sachs of Columbia University, Thomas Meyer, a former chief economist at Deutsche Bank, Daniel Cohen and Matthieu Pigasse, leading lights of the French investment bank Lazard, the former US treasury secretary Larry Summers, and my personal friend Lord Lamont – not exactly a group of leftist recalcitrants.
Soon we had a fully-fledged plan, whose final version I co-authored with Jeff Sachs. It consisted of three chapters. One proposed smart debt operations that would make Greece’s public debt manageable again, while guaranteeing maximum returns to our creditors. The second chapter put forward a medium-term fiscal consolidation policy that would ensure the Greek government would never get into deficit again, while limiting our budget surplus targets to levels low enough to be credible and consistent with recovery. Finally, the third chapter outlined deep reforms to public and tax administration, product markets, and the restructure of a broken banking system as well as the creation a development bank to manage public assets at an arm’s length from politicians.
I am often asked: Why were these proposals of your ministry rejected? They were not. The Eurogroup and the troika did not have to reject them because they never allowed me to put them on the table. When I began speaking about them, they would look at me as if I were singing the Swedish national anthem. And behind the scenes they were exerting pressure on the Greek prime minister, Alexis Tsipras, to repress these proposals, insinuating that there would be no agreement unless we stuck to the troika’s failed programme.
What was really going on, of course, was that the troika could simply ignore our proposals, tell the world that I had nothing credible to offer them, let the negotiations fail, impose an indefinite bank holiday, and then force the prime minister to acquiesce on everything – including a massive new loan that is at least double the size Greece would have required under our proposals."
https://yanisvaroufakis.eu/2015/06/18/greeces-proposals-to-end-the-crisis-my-intervention-at-todays-eurogroup/ (https://yanisvaroufakis.eu/2015/06/18/greeces-proposals-to-end-the-crisis-my-intervention-at-todays-eurogroup/)
In our proposals to the institutions we have offered:
- An extensive (but optimised) privatisation agenda spanning the period 2015-2025
- The creation of a fully independent Tax and Customs Authority (under the aegis and supervision of Parliament)
- A Fiscal Council that oversees the state budget
- A short-term program for limiting foreclosures and managing non-performing loans
- Judicial and civil procedure code reforms
- Liberalising several product markets and services (with protections for middle class values and professions that are part and parcel of society’s fabric)
- Elimination of many nuisance charges
- Public administration reforms (introducing proper staff evaluation systems, reducing non-wage costs, modernising and unifying public sector payrolls).
In addition to these reforms the Greek Authorities have engaged the Organisation of Economic Cooperation and Development (OECD) to help Athens design, implement and monitor a second series of reforms. Yesterday I met with the OECD’s Secretary General Mr Angel Gurria and his team to announce this joint reform agenda, complete with a specific roadmap:
- A major Anti-corruption Drive and relevant institutions to support it – especially in the area of procurement
- Liberalising the construction sector, including the market and standards of construction materials
- Wholesale trade liberalisation
- Media – electronic and press code of practice
- One-Stop Business Centres that eradicate the bureaucratic impediments to doing business in Greece
- Pension System Reform – where the emphasis is on a proper, long-term, actuarial study, the phasing out of early retirements, the reduction in the operating costs of the pensions funds, pension fund consolidation – rather than mere pension cuts.
Yes, colleagues, Greeks need to adjust further. We desperately need deep reforms. But, I urge you to take seriously under consideration this important difference between:
- reforms that attack parasitic, rent-seeking behaviour or inefficiencies, and
- parametric changes that jack up tax rates and reduce benefits to the weakest.
We need a lot more of the real reforms and a lot less of the parametric type.
[url]http://www.eldiario.es/agendapublica/proyecto-europeo/propuestas-Varoufakis-eurozona_0_352415401.html[/url]
"El documento está firmado en Julio de 2013, y muchas cosas han ocurrido desde entonces. Los posteriores desarrollos de la UE en la gestión de la crisis no sólo están en consonancia con las propuestas de Varoufakis, Holland y Galbraith, sino que en algunos casos incluso las han superado.
En el ámbito bancario, la Unión Europea ha culminado su proceso de puesta en marcha de la Unión Bancaria, adelantándose de esta manera los presagios de los autores. La gestión del MEDE y del Banco Central Europeo en el Mecanismo Único de supervisión y de resolución bancaria, así como la utilización del MEDE como instrumento de recapitalización bancaria, suponen un paso en una dirección similar a la propuesta por el documento.
...
En el plano del plan de inversiones, la propuesta de Juncker para la elaboración de un plan de inversiones en la Unión Europea va de hecho más allá del planteado por los autores, usando no sólo el Banco Europeo de Inversiones (BEI), sino también la garantía del presupuesto comunitario y la de aquellos países que, de manera voluntaria, quieran contribuir al mismo sin que estas contribuciones sean consideradas déficit público por la comisión. Adicionalmente, la compra, por parte del Banco Central Europeo, de bonos del BEI en el marco del QE rebajarán sus costes de financiación y le permitirán ampliar su propio balance."
[...]
Me pasa lo mismo que a alpha. No entiendo nada.
Es como si leyésemos dos Varoufakis distintos. Por eso me pregunto si realmente lo conoces bien o simplemente lo estás caracterizando como el tipo de gente que lo suele apoyar políticamente. Es que acabo de enlazar un artículo de Yanis titulado "¿Por qué debemos salvar la UE?", todo el mundo sabe que es pro-Europa, ha estado haciendo campaña por el "Remain" en UK, ha arrancado el primer partido-movimiento panaeuropeo, y aquí tú nos estás diciendo que no, que Yanis es todo lo contrario, y que quería sacar a Grecia de Europa. Igual es cosa mía y me estoy perdiendo algo que tú sí ves, pero tu discurso sería más sencillo de compartir sino se acompañase de referencias sorprendentes sobre Varoufakis que, para mí, a falta de mejor explicación, no se ajustan a la realidad en absoluto.
Hablas de sus propuestas heterodoxas, pero no dices cuáles son, porque la más heterodoxa debía ser la reestructuración de la deuda pública griega y eso es algo que apoya el FMI y que funciona desde Babilonia al menos. Las propuestas griegas fueron diseñadas por conocidos representantes de la ortodoxia económica, como expica Varu en el mismo artículo de que enlacé el otro día:Citar[url]https://www.theguardian.com/world/2016/apr/05/yanis-varoufakis-why-we-must-save-the-eu[/url] ([url]https://www.theguardian.com/world/2016/apr/05/yanis-varoufakis-why-we-must-save-the-eu[/url])
"From the day I assumed office I strove to put together sensible, moderate proposals that would create common ground between my government, the troika of Greece’s lenders and Schäuble’s people. The idea was to go to Brussels, put to them our own blueprint for Greece’s recovery and then discuss with them their own ideas and objections to ours.
My own Athens-based team worked hard on this, together with experts from abroad, including Jeff Sachs of Columbia University, Thomas Meyer, a former chief economist at Deutsche Bank, Daniel Cohen and Matthieu Pigasse, leading lights of the French investment bank Lazard, the former US treasury secretary Larry Summers, and my personal friend Lord Lamont – not exactly a group of leftist recalcitrants.
Soon we had a fully-fledged plan, whose final version I co-authored with Jeff Sachs. It consisted of three chapters. One proposed smart debt operations that would make Greece’s public debt manageable again, while guaranteeing maximum returns to our creditors. [Esto es un deseo, no una serie de propuestas.] The second chapter put forward a medium-term fiscal consolidation policy that would ensure the Greek government would never get into deficit again, [Otro deseo.] while limiting our budget surplus targets to levels low enough to be credible and consistent with recovery. Finally, the third chapter outlined deep reforms to public and tax administration, product markets, and the restructure of a broken banking system as well as the creation a development bank to manage public assets at an arm’s length from politicians. [Esto es lo que tendríais que traer, si acaso.]
I am often asked: Why were these proposals of your ministry rejected? They were not. The Eurogroup and the troika did not have to reject them because they never allowed me to put them on the table. When I began speaking about them, they would look at me as if I were singing the Swedish national anthem. And behind the scenes they were exerting pressure on the Greek prime minister, Alexis Tsipras, to repress these proposals, insinuating that there would be no agreement unless we stuck to the troika’s failed programme.
What was really going on, of course, was that the troika could simply ignore our proposals, tell the world that I had nothing credible to offer them, let the negotiations fail, impose an indefinite bank holiday, and then force the prime minister to acquiesce on everything – including a massive new loan that is at least double the size Greece would have required under our proposals."
Y este es el resumen que hacía Yanis en junio pasado de sus propuestas:Citarhttps://yanisvaroufakis.eu/2015/06/18/greeces-proposals-to-end-the-crisis-my-intervention-at-todays-eurogroup/ (https://yanisvaroufakis.eu/2015/06/18/greeces-proposals-to-end-the-crisis-my-intervention-at-todays-eurogroup/)
In our proposals to the institutions we have offered:
- An extensive (but optimised) privatisation agenda spanning the period 2015-2025
- The creation of a fully independent Tax and Customs Authority (under the aegis and supervision of Parliament)
- A Fiscal Council that oversees the state budget
- A short-term program for limiting foreclosures and managing non-performing loans
- Judicial and civil procedure code reforms
- Liberalising several product markets and services (with protections for middle class values and professions that are part and parcel of society’s fabric)
- Elimination of many nuisance charges
- Public administration reforms (introducing proper staff evaluation systems, reducing non-wage costs, modernising and unifying public sector payrolls).
Tiene toda la razón Chosen. Se reunen para hablar de la deuda griega (y de sus bancos) y el idiota este se pone a hablar de como debería ser, en su opinión, la eurozona. Le callaron la boca, claro.CitarIn addition to these reforms the Greek Authorities have engaged the Organisation of Economic Cooperation and Development (OECD) to help Athens design, implement and monitor a second series of reforms. Yesterday I met with the OECD’s Secretary General Mr Angel Gurria and his team to announce this joint reform agenda, complete with a specific roadmap:
- A major Anti-corruption Drive and relevant institutions to support it – especially in the area of procurement
- Liberalising the construction sector, including the market and standards of construction materials
- Wholesale trade liberalisation
- Media – electronic and press code of practice
- One-Stop Business Centres that eradicate the bureaucratic impediments to doing business in Greece
- Pension System Reform – where the emphasis is on a proper, long-term, actuarial study, the phasing out of early retirements, the reduction in the operating costs of the pensions funds, pension fund consolidation – rather than mere pension cuts.
Todo deseos; de cómo hacerlo, ni palabra.CitarYes, colleagues, Greeks need to adjust further. We desperately need deep reforms. But, I urge you to take seriously under consideration this important difference between:
- reforms that attack parasitic, rent-seeking behaviour or inefficiencies, and
- parametric changes that jack up tax rates and reduce benefits to the weakest.
We need a lot more of the real reforms and a lot less of the parametric type.
Tampoco tengo muy claro si te refieres a estas propuestas para Grecia cuando hablas de las propuestas "heterodoxas" de Varoufakis o de las que hace para Europa en su "Modest Proposal", y que ya han sido parcialmente adoptadas en Europa:Citar[url]http://www.eldiario.es/agendapublica/proyecto-europeo/propuestas-Varoufakis-eurozona_0_352415401.html[/url]
"El documento está firmado en Julio de 2013, y muchas cosas han ocurrido desde entonces. Los posteriores desarrollos de la UE en la gestión de la crisis no sólo están en consonancia con las propuestas de Varoufakis, Holland y Galbraith, sino que en algunos casos incluso las han superado.
En el ámbito bancario, la Unión Europea ha culminado su proceso de puesta en marcha de la Unión Bancaria, adelantándose de esta manera los presagios de los autores. La gestión del MEDE y del Banco Central Europeo en el Mecanismo Único de supervisión y de resolución bancaria, así como la utilización del MEDE como instrumento de recapitalización bancaria, suponen un paso en una dirección similar a la propuesta por el documento.
...
En el plano del plan de inversiones, la propuesta de Juncker para la elaboración de un plan de inversiones en la Unión Europea va de hecho más allá del planteado por los autores, usando no sólo el Banco Europeo de Inversiones (BEI), sino también la garantía del presupuesto comunitario y la de aquellos países que, de manera voluntaria, quieran contribuir al mismo sin que estas contribuciones sean consideradas déficit público por la comisión. Adicionalmente, la compra, por parte del Banco Central Europeo, de bonos del BEI en el marco del QE rebajarán sus costes de financiación y le permitirán ampliar su propio balance."
Europe is fragmenting. While in the past year the European Central Bank has
managed to stabilise the bond markets, the economies of the European core and
its periphery are drifting apart. As this happens, human costs mount and
disintegration becomes an increasing threat.
It is not just a matter for the Eurozone. The fallout from a Eurozone breakup
would destroy the European Union, except perhaps in name. And Europe’s
fragmentation poses a global danger.
Following a sequence of errors and avoidable delays Europe’s leadership
remains in denial about the nature of the crisis, and continues to pose the false
choice between draconian austerity and a federal Europe.
Todo deseos; de cómo hacerlo, ni palabra.
Bla, bla, bla; más deseos.
¿Dónde están las propuestas? [Que las traiga alpha, preferentemente.]
Antieuro, para ser exactos.
2) Varoufakis es nacionalista
[...]
Otras dos afirmaciones que me hacen explotar el cerebro. Yo sigo a Varoufakis en twitter desde hace mucho tiempo y jamás lo describiría de esa manera. En el artículo "Why we must save the EU" que acabo de enlazar Yanis explica su estrecha relación con Alemania desde la infancia (su tío había convencido a su madre de estudiar en Alemania, sus padres sintonizaban el canal DW alemán clandestinamente), y en "Europe needs a hegemonic Germany" Yanis deja claras sus preferencias ya desde el título:
https://yanisvaroufakis.eu/2013/02/22/europe-needs-a-hegemonic-germany/
[...]
El resto del discurso me parece razonable y lo compro sin problemas, pero no entiendo de dónde salen ciertas opiniones sobre Varoufakis, no encajan en absoluto con lo que le he venido leyendo durante años.
Entonces, cuando se dice que las propuestas son heterodoxas sería interesante para el debate señalar cuáles en concreto lo son.TODAS las que son contrarias a las propuestas de la troika, que es quien aplica la ortodoxia aquí.
Francamente, me asaltan sentimientos encontrados con estas cosas. Por una parte, parte de ese desvio en el cumplimiento es pura basura electoralista de Mariano. Por otro, despues del trato dispensado a Grecia, empiezo a estar harto de la ley del embudo alemana, basada, principalmente, en que ellos no cometen errores, y que cualquier disidencia debe verse castigada. Todo esto, acompañado de la logica politica de barrer para casa.
Todo lo que digo es muy general, y no me gusta apuntar a enemigos exteriores. Pero seguramente si lo documentase, se verian los lados oscuros de la politica liderada por Alemania (lo que no se es si tenemos un sustituto que la mejore, probablemente habria que contrapesarla para equilibrar el resultado)
TODAS las que son contrarias a las propuestas de la troika, que es quien aplica la ortodoxia aquí.
La troika son todos los ministros de economía de la zona euro. Incluído el de Grecia.
Lo cual deja a Varoufakis y sus planteamientos en la heterodoxia, lo poco común, raro o extraño.
Eso es algo que V. no llegó a comprender. Y cuando se dió cuenta, empezó a criticar a Europa por hacerselo pasar mal a los griegos, lo cual acabó por demostrarse tan falso, tan falso, que tuvo que dimitir tras el puñetero corralito al que sometieron a la población...
"La independencia ilusoria del BCE"
[url]https://www.project-syndicate.org/commentary/europe-least-independent-central-bank-by-yanis-varoufakis-2016-06/spanish[/url] ([url]https://www.project-syndicate.org/commentary/europe-least-independent-central-bank-by-yanis-varoufakis-2016-06/spanish[/url])
"La aceptación actual por parte del BCE de la farsa de prolongar y fingir que exigen los acreedores de Grecia ha echado por tierra su afirmación de que es independiente. Para mantener abiertos a los bancos de Grecia, y aceptar su aval garantizado por el gobierno, el BCE está obligado a otorgarle a la deuda griega una exención de su régimen de no insolvencia. Y, para mantener apretada la soga que Grecia tiene al cuello, Alemania insiste en que esta exención esté condicionada a su aprobación -o, en la jerga de la zona euro, que el Eurogrupo de ministros de Finanzas de la eurozona confirme que "la consolidación fiscal y el programa de reformas de Grecia están en marcha".
De modo que, en verdad, son los políticos los que le dicen al BCE cuándo cortarle la liquidez a todo un sistema bancario. Si bien el BCE puede afirmar que es independiente frente a gobiernos periféricos insolventes, está absolutamente a merced de los gobiernos de los países acreedores de Europa.
Para ilustrar el enigma del BCE, vale la pena revisar el trato brindado por los acreedores al gobierno griego electo en enero de 2015. En diciembre de 2014, ya era evidente que el gobierno anterior estaba en las últimas y que el partido izquierdista Syriza iba camino al poder. El presidente del banco central de Grecia, un brazo del BCE, "predijo" que los mercados estaban enfrentando una restricción de liquidez, dando a entender que una victoria de Syriza tornaría inseguro el sistema bancario -una declaración que sería insensata si no estuviera pensada para desatar una corrida bancaria.
Para cuando yo fui nombrado ministro de Finanzas en febrero de ese año, después de la victoria electoral de Syriza, la corrida bancaria estaba en pleno auge y las acciones, en caída libre. La razón, por supuesto, era el conocimiento común de que Alemania, que se oponía vehementemente a nuestro gobierno, estaba a punto de apagar la luz verde requerida por el BCE para mantener las exenciones que le permitían aceptar el aval griego.
Con la intención de estabilizar la situación, volé a Londres para ofrecerles a los financistas un mensaje de moderación y políticas sensatas con respecto a las reformas y a la reestructuración de la deuda. A la mañana siguiente, la bolsa rebotó un 13%, las acciones de los bancos subieron más del 20% y la corrida bancaria paró.
Aquel día, el BCE, presionado por Alemania, rescindió una parte importante de su exención, cortando así el acceso directo de los bancos griegos al BCE y desviándolos a un financiamiento más costoso del banco central de Grecia (la llamada asistencia de liquidez de emergencia). Como era de esperar, los precios de las acciones se desplomaron y la corrida bancaria volvió con fuerza, lo que generó una fuga de depósitos del sistema por 45.000 millones de euros en los meses siguientes. Mientras tanto, Alemania y otros acreedores comenzaron a presionar a Grecia para aceptar nuevas medidas de austeridad como el precio a pagar por revertir la decisión "del BCE".
Esta no fue la única intervención del BCE motivada por consideraciones políticas. Igualmente agresiva fue su decisión de recortar la inversión de los bancos griegos en títulos del Tesoro del gobierno, dándoles instrucciones de rechazar refinanciaciones de la deuda. Eso disminuyó la capacidad de mi ministerio de pagarle al Fondo Monetario Internacional, que seguía insistiendo con recortes drásticos de las pensiones y con la eliminación de las últimas protecciones para los trabajadores griegos.
Durante cinco meses, mientras la soga del BCE seguía ajustándose, rechazamos las exigencias de Alemania y del FMI de mayor austeridad. Finalmente, el cese completo de toda liquidez a los bancos de Grecia en junio de 2015 obligó a su cierre. Luego de esto sobrevino la presión final para dividir a nuestro gobierno y obligar al primer ministro a renunciar -cosa que hizo, a la vez que aceptó el último préstamo de prolongar y fingir por 85.000 millones de euros."
- Es antieuro: la única propuesta concreta que hizo V. --y al final la tengo que traer yo--, fue sacar a Grecia del eurosistema, para ver si se rompía.* El bienestar de los griegos le importaba un carajo.
No es de lógico pensar que esto no se le ocurrió a Varoufakis --ni a James Galbraith desde Texas que bien podía haber hecho de interlocutor con el imperio.
Probablemente un plan con los dos factores antes citados y un guiño geopolítico serio al Emperador hubiera podido resultar en otros términos de rendición.
[url]http://www.irishtimes.com/opinion/ireland-s-future-depends-on-breaking-free-from-bailout-1.565236[/url]
"The IMF, which believes that lenders should pay for their stupidity before it has to reach into its pocket, presented the Irish with a plan to haircut €30 billion of unguaranteed bonds by two-thirds on average. Lenihan was overjoyed, according to a source who was there, telling the IMF team: “You are Ireland’s salvation.”
The deal was torpedoed from an unexpected direction. At a conference call with the G7 finance ministers, the haircut was vetoed by US treasury secretary Timothy Geithner who, as his payment of $13 billion from government-owned AIG to Goldman Sachs showed, believes that bankers take priority over taxpayers. The only one to speak up for the Irish was UK chancellor George Osborne, but Geithner, as always, got his way. An instructive, if painful, lesson in the extent of US soft power, and in who our friends really are."
[url]http://www.sinpermiso.info/textos/el-acuerdo-secreto-de-geithner-con-los-dirigentes-de-la-unin-europea[/url]
"En otoño de 2011, resultaba evidente que Grecia no podría saldar su deuda pública. La UE sacó la conclusión de que había que depreciar esa deuda en un 50%. La alternativa a eso era la quiebra sobre el total de la deuda. Así que, básicamente, la solución para Grecia venía a reproducir lo que había ocurrido con la deuda latinoamericana en los 80, cuando los gobiernos substituyeron la deuda existente y los préstamos bancarios por bonos Brady, así llamados por el secretario del Tesoro de Reagan, Nicolas F. Brady. Esos bonos tenían un principal más bajo, pero al menos se consideraba seguro su cobro Y en efecto, se hicieron los pagos.
Esa quita griega del 50% parecía radical, pero los bancos europeos ya habían cubierto sus apuestas y subscrito seguros de impagos: los bancos norteamericanos se hacían cargo de buena parte de esos seguros.
En diciembre de 2011, un cuarto de siglo después de Brady, el secretario del tesoro de Obama, el señor Geithner, viajó a Europa para reunirse con los dirigentes europeos y exigirles que Grecia depreciara su deuda sobre la base de quitas voluntarias por parte de bancos y acreedores. Explicó que los bancos norteamericanos habían apostado a que Grecia no quebraría, y que, por lo mismo, su situación patrimonial neta era tan precaria que, si tenían que pagar por su mala apuesta, irían a la quiebra.
Según me contaron los banqueros alemanes la situación, Geithner amenazó con cargarse a los bancos y a las economías europeas, si no se allanaban a pagar el pato y cargar ellos con las pérdidas: los bancos estadounidenses no tenían que pagar por los seguros colateralizados de impagos (CDOs) y por otras apuestas en las que habían vertido miles de millones de dólares.
Los europeos estallaron de indignación. Pero Geither terminó por ofrecerles un trato. De acuerdo: la Casa Blanca permitirá la quiebra de Grecia. Pero los EEUU necesitan tiempo.
Convino en abrir una línea de crédito de la Reserva Federal al Banco Central Europeo (BCE). La Fed suministraría dinero para prestar a los bancos en el ínterin cuando las finanzas de los gobiernos europeos desfallecieran. Se daría tiempo a los bancos para que pudieran deshacer sus garantías de quiebra. Al final, el BCE sería el acreedor. El BCE y presumiblemente, la Fed cargarían con los costes, a expensas del contribuyente. Los bancos estadounidenses (y probablemente también los europeos) evitarían así cargar con unas pérdidas que se llevarían por delante su situación patrimonial neta.
[...]
Bien, ¿y dónde está escrita esa propuesta tan concreta de Varoufakis para que los demás la podamos evaluar?
[...]
[...]"The prime minister, before we won the election in January, had given me the green light to come up with a Plan B. And I assembled a very able team, a small team as it had to be because that had to be kept completely under wraps for obvious reasons," he said.
Mr Varoufakis recruited a technology specialist from Columbia University to help handle the logistics. Faced with a wall of obstacles, the expert broke into the software systems of the tax office - then under the control of the EU-IMF 'Troika' - in order to obtain the reserve accounts and file numbers of every taxpayer. "We decided to hack into my ministry’s own software programme," he said. [...]
[...] "The context of all this is that they want to present me as a rogue finance minister, and have me indicted for treason. It is all part of an attempt to annul the first five months of this government and put it in the dustbin of history," he said. [...]
The goal of the computer hacking was to enable the finance ministry to make digital transfers at "the touch of a button". The payments would be 'IOUs' based on an experiment by California after the Lehman banking crisis.
A parallel banking system of this kind would allow the government to create euro liquidity and circumvent what Syriza called "financial strangulation" by the ECB.
[...]"This was very well developed. Very soon we could have extended it, using apps on smartphones, and it could become a functioning parallel system. Of course this would be euro denominated but at the drop of a hat it could be converted to a new drachma,” he said. [...]
[...] "I always told Tsipras that it will not be plain sailing but this is the price you have to pay for liberty," he told the Telegraph. [...]
[...] "But when the time came he realised that it was just too difficult. I don't know when he reached that decision. I only learned explicitly on the night of the referendum, and that is why I offered to resign," he said. Mr Varoufakis wanted to seize on the momentum of a landslide victory in the vote but was overruled. [...]
Bien, ¿y dónde está escrita esa propuesta tan concreta de Varoufakis para que los demás la podamos evaluar?
Yo he enlazado dos PDFs llenos de propuestas de Varoufakis y su equipo y ninguno de ellos contiene sacar a Grecia del euro. Cuando yo digo que el Grexit era el plan de Schauble y no de Yanis, y que Varoufakis siempre manifestó que jamás jugaría con la amenaza de un Grexit intento respaldarlo con un mínimo de "documentación":
Moctezuma Xocoyotzin cedió ante todas las solicitudes de Cortés ya que no pudo reunir un ejército lo bastante grande como para poder vencerlo. [...]
Moctezuma aceptó ser bautizado y declarado súbdito de España, donde todavía viven sus descendientes, los condes de Miravalle y los duques de Moctezuma.
Su tabaco. Gracias.
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2015/08/01/actualidad/1438462320_301878.html[/url]
P. Usted tenía un plan B: una moneda paralela dentro del euro. ¿Aún puede activarse?
R. Vamos a separar dos cosas. Había un esquema, denominado plan X, un plan de contingencia para responder a los actos de agresión por parte del BCE, el Eurogrupo y demás instituciones. Y un diseño para un nuevo sistema de pagos a través de la oficina de impuestos. Este sistema se debería haber aplicado de todos modos; debería aplicarse mañana. Pero el plan X ya es historia.
Yo también he enlazado, pero no has debido verlo.
[Muy bueno el apunte de CHOSEN de que Varoufakis era Troika, al ser Ministro de uno de los Estados Miembros. Otra falacia argumental y demagógica más].
Claro, pero es que ese plan no era para sacar a Grecia del euro sino para crear un sistema de pagos paralelo al euro.Altermundismo o mundo alternativo (paralelo).
Era la única manera de intentar cumplir con los dos mandatos ¿incompatibles? de los griegos, el surgido del referéndum y el de la permanencia en el euro.Si a la gente le preguntas si quiere ser mas alta, mas guapa, mas rica y mas lista, mas joven y mas sabia, te van a responder afirmativamente. Aunque sea manifiestamente incompatible. El referéndum moderno es el fracaso de los políticos modernos trasladando a la población preguntas que ellos no saben resolver. Es como si un cirujano preguntase en medio de la operación cual es la mejor estrategia para salvar al paciente. Podemos acertar de casualidad, o podemos fracasar estrepitosamente.
[...] para responder a los actos de agresión por parte del BCE, el Eurogrupo y demás instituciones.Varoufakis opina que terminar con el corralito es un acto de agresión?
Claro, pero es que ese plan no era para sacar a Grecia del euro sino para crear un sistema de pagos paralelo al euro.Altermundismo o mundo alternativo (paralelo).CitarEra la única manera de intentar cumplir con los dos mandatos ¿incompatibles? de los griegos, el surgido del referéndum y el de la permanencia en el euro.Si a la gente le preguntas si quiere ser mas alta, mas guapa, mas rica y mas lista, mas joven y mas sabia, te van a responder afirmativamente. Aunque sea manifiestamente incompatible. El referéndum moderno es el fracaso de los políticos modernos trasladando a la población preguntas que ellos no saben resolver. Es como si un cirujano preguntase en medio de la operación cual es la mejor estrategia para salvar al paciente. Podemos acertar de casualidad, o podemos fracasar estrepitosamente.
Fueron Tsipras y Varoufakis quienes llevaron a su país al corralito. Ellos eran los que gobernaban.
Y fue Europa (el BCE) quien liberó a la población griega del corralito.
Sacado de la entrevista en el País:Citar[...] para responder a los actos de agresión por parte del BCE, el Eurogrupo y demás instituciones.Varoufakis opina que terminar con el corralito es un acto de agresión?
¿Se supone que con corralito en Grecia vivían mejor?
Vamos hombre... ::)
Poco más puedo añadir.
Mi postura está clara.
La fusión y pérdida de soberanía es dura, pero más duro será enfrentarse a una economía global sin armas y a pecho descubierto.
Mi postura está clara.
La fusión y pérdida de soberanía es dura, pero más duro será enfrentarse a una economía global sin armas y a pecho descubierto.
el imperio avanza en la misma línea estratégica de la izquierda: Una élite en el poder y un mar de miseria global. La estructura operativa del poder es idéntica en ambos escenarios. De esto deberíamos preocuparnos y ocuparnos: de la gran sintonía estratégica entre la izquierda y el imperio.
Mi postura está clara.
La fusión y pérdida de soberanía es dura, pero más duro será enfrentarse a una economía global sin armas y a pecho descubierto.
No creo que Varoufakis tenga gran problema con la pérdida de soberanía griega, al fin y al cabo, es partidario de una verdadera integración europea.
Varoufakis tenía, como Ministro, el encargo de buscar lo mejor para los griegos y un programa electoral que cumplir. Varoufakis no se dio cuenta de que, mientras él operaba a nivel técnico (buscando las mejores soluciones económicas para Grecia y por tanto para los acreedores), los demás estaban a otras cuestiones políticas mucho más importantes, como esa "fusión" o como país-ejemplo para los que vengan detrás. Da igual lo buenas o malas que fuesen las propuestas de Yanis (nadie se interesó por ellas), porque lo que interesaba era crujir a Grecia y hacer una demostración de fuerza. Simplemente no se podían permitir la posibilidad de que empezasen a salir Syrizas como setas y darle más alas a Podemos aquí. El plan ha funcionado perfectamente e Iglesias ya defiende con vehemencia la claudicación de Tsipras.
Di que sí, muy bien, pides la info; te la dan: el periodista narra como el propio Varou le cuenta que la han acusado de traidor... Sí, ni más ni menos: traidor. Y tú a tu rollo...No entiendo.
No creo que Varoufakis tenga gran problema con la pérdida de soberanía griega, al fin y al cabo, es partidario de una verdadera integración europea.¿Una integración más "verdadera" que la habida tras el rescate?
Varoufakis no se dio cuenta de que, mientras él operaba a nivel técnico (buscando las mejores soluciones económicas para Grecia y por tanto para los acreedores),-1º Para Grecia. Nacionalismo. Por no decir que esas "soluciones económicas" desembocaron en un corralito vergonzoso fruto de su teoría de juegos y el reto de la gallina.
Da igual lo buenas o malas que fuesen las propuestas de Yanis (nadie se interesó por ellas), porque lo que interesaba era crujir a Grecia y hacer una demostración de fuerza. Simplemente no se podían permitir la posibilidad de que empezasen a salir Syrizas como setas y darle más alas a Podemos aquí.
Di que sí, muy bien, pides la info; te la dan: el periodista narra como el propio Varou le cuenta que la han acusado de traidor... Sí, ni más ni menos: traidor. Y tú a tu rollo...No entiendo.
La misma caverna facha que aquí intenta implicar a Carmena por un error en la programación de un espectáculo titiritero o a Zapata por chistes idiotas en twitter también existe en Grecia. ¿Cuál es el valor de que los Manos Limpias griegos acusen de chorradas como conseguir la lista de NIFs griegos por métodos poco ortodoxos?
Cuando sea condenado, volvemos a hablar del tema.
No creo que Varoufakis tenga gran problema con la pérdida de soberanía griega, al fin y al cabo, es partidario de una verdadera integración europea.¿Una integración más "verdadera" que la habida tras el rescate?
¿Cómo puede ser mas partidario de una "integración" más integradora que una fusión por absorción?
-1º Para Grecia. Nacionalismo. Por no decir que esas "soluciones económicas" desembocaron en un corralito vergonzoso fruto de su teoría de juegos y el reto de la gallina.Las soluciones no, porque sus soluciones ni siquiera llegaron a ser escuchadas.
-2º Para los acreedores ¿? ¿Desde cuando es competencia del deudor buscar (imponer mediante el juego de la gallina) las mejores soluciones económicas para los acreedores?Si sus propuestas generan más crecimiento económico que las de la troika, hay mayor probabilidad de que Grecia pueda devolver los préstamos.
No se puede todo a la vez.
¿Alguien vería normal acusar HOY a la UE de antidemocrática porque nos pone una multa a nosotros?
¿Alguien duda de la legitimidad del organismo para hacerlo?
Esperaré entonces a ver dónde queréis llegar.Una última cuestión, que los próximos días no voy a tener mucho tiempo para el debate: si a Varoufakis lo vilipendiáis por, supuestamente, haber intentado sacar a Grecia del euro, ¿por qué no veo la misma animadversión contra Schauble, que sí tenía entre sus planes la expulsión de Grecia del euro? Creo que hay un sesgo claro ahí también
Esperaré entonces a ver dónde queréis llegar.Una última cuestión, que los próximos días no voy a tener mucho tiempo para el debate: si a Varoufakis lo vilipendiáis por, supuestamente, haber intentado sacar a Grecia del euro, ¿por qué no veo la misma animadversión contra Schauble, que sí tenía entre sus planes la expulsión de Grecia del euro? Creo que hay un sesgo claro ahí también
Esperaré entonces a ver dónde queréis llegar.Una última cuestión, que los próximos días no voy a tener mucho tiempo para el debate: si a Varoufakis lo vilipendiáis por, supuestamente, haber intentado sacar a Grecia del euro, ¿por qué no veo la misma animadversión contra Schauble, que sí tenía entre sus planes la expulsión de Grecia del euro? Creo que hay un sesgo claro ahí también
Lo que yo no entiendo es por qué no citáis a Corbyn o a cualquier otro izquierdista mínimamente creíble. Varou me parace simplemente un fantoche, una majorette sin sustancia, y que para colmo no me queda claro qué busca. (Al margen de lo que diga.) Pero allá vosotros. Lo dicho, esperar y ver.
Mi postura está clara.
La fusión y pérdida de soberanía es dura, pero más duro será enfrentarse a una economía global sin armas y a pecho descubierto.
No creo que Varoufakis tenga gran problema con la pérdida de soberanía griega, al fin y al cabo, es partidario de una verdadera integración europea.
Varoufakis tenía, como Ministro, el encargo de buscar lo mejor para los griegos y un programa electoral que cumplir. Varoufakis no se dio cuenta de que, mientras él operaba a nivel técnico (buscando las mejores soluciones económicas para Grecia y por tanto para los acreedores), los demás estaban a otras cuestiones políticas mucho más importantes, como esa "fusión" o como país-ejemplo para los que vengan detrás. Da igual lo buenas o malas que fuesen las propuestas de Yanis (nadie se interesó por ellas), porque lo que interesaba era crujir a Grecia y hacer una demostración de fuerza. Simplemente no se podían permitir la posibilidad de que empezasen a salir Syrizas como setas y darle más alas a Podemos aquí. El plan ha funcionado perfectamente e Iglesias ya defiende con vehemencia la claudicación de Tsipras.
Di que sí, muy bien, pides la info; te la dan: el periodista narra como el propio Varou le cuenta que la han acusado de traidor... Sí, ni más ni menos: traidor. Y tú a tu rollo...
No entiendo, exactamente, que prueba el hecho de que te acusen de algo. Que te acusen tus rivales politicos, concretamente.
Tú "compras" el producto. Yo no. ¿Qué parte no se entiende?
[Defiéndelo, tienes pista libre.]
Si sus propuestas generan más crecimiento económico que las de la troika, hay mayor probabilidad de que Grecia pueda devolver los préstamos.Esto se ha demostrado falso.
CHOSEN, como demostrador de conclusiones eres un desastre.Jajaja, casi casi.
Se pueden incluir todas las frases altisonantes y todas las mayusculas que se quieran, pero eso no le da mas valor a las conclusiones, si las premisas son erroneas.
Así negociará Reino Unido su salida de la Unión Europea
[...]
En un artículo escrito esta semana, el ministro del Brexit adelanta sus ideas principales para acometer la retirada de la UE. "El desenlace ideal (y en mi opinión el más probable, después de muchas discusiones) es un acceso continuado sin tarifas al mercado único. Una vez que otros países europeos vean que no vamos a ceder en el control de nuestras fronteras [para limitar la inmigración], querrán negociar, en su propio interés".
Estos son los pasos que pretende dar Davis.
1. Diseño de un plan de acción. "La negociación tiene que estar bien diseñada", afirma el ministro del Brexit. Durante los próximos meses, prevé consultar con las administraciones de Escocia y otras regiones; y con agentes económicos como la patronal, los sindicatos y representantes de la City; para pergeñar un Libro Blanco con los pasos a dar, los objetivos y las posibles alternativas.
2. Activación del artículo 50. Con ese programa preparado, Davis espera notificar formalmente a Bruselas el deseo de que Reino Unido deje la UE al final de 2016 o comienzos de 2017. Según el artículo 50 del Tratado de Lisboa, esto abriría un periodo de dos años (prorrogables) para negociar la salida.
3. La negociación. Davis opina que sus socios europeos no querrán perder el acceso al mercado británico, por lo que aceptarán un pacto de libre comercio de productos y servicios aunque Reino Unido cierre sus fronteras al movimiento de trabajadores. Pero "si son irracionales", el ministro advierte que su Gobierno no tendrá problemas para imponer una tasa del 10% a la importación de coches. "Esto nos daría 2.000 millones de libras para apoyar a nuestra industria automovilística".
4. Conversaciones paralelas. A la vez que negocia con la UE, David Davis pretende llegar a acuerdos comerciales con países como Estados Unidos, China, Canadá, Australia, India, Japón e Indonesia, entre otros países. A su juicio, será más fácil para Reino Unido llegar a estos pactos que para toda la UE, pudiéndolos negociar en 12 o 24 meses.
5. Fecha decisiva. "Conforme avancemos con los nuevos acuerdos comerciales, podría haber un aumento de la inversión extranjera para aprovechar las condiciones que son creadas", anticipa Davis. "Esto significa que algunos beneficios del Brexit podrían materializarse antes de la fecha probable de salida de la UE, al rededor de diciembre de 2018". En ese mismo momento, entrarían en vigor los tratados con otros países. "Todo ello nos permitirá presentarnos a las elecciones de 2020 con los primeros frutos de una exitosa estrategia económica de comercio libre global".
El plan de Davis contradice palabras de otros ministros como Hammond, quien prevé seis años de negociaciones y ve difícil mantener el acceso de los servicios financieros de la City al resto de la UE tras el Brexit. Muchos analistas también creen que el proceso será más complicado y los socios europeos pondrán barreras a Reino Unido si este país restringe la inmigración
[url]http://www.expansion.com/economia/politica/2016/07/14/5787e2f3e2704e065c8b4632.html[/url] ([url]http://www.expansion.com/economia/politica/2016/07/14/5787e2f3e2704e065c8b4632.html[/url])
QUE ME VOY, QUE ME ESTOY YENDO, PERO HOY NO, MAÑANA.Citar[...]
¿No desprende cierto aroma a cuento de la lechera, con prórroga y desempate en los penaltis?.
Saludos.
David Davis: Trigger Brexit by start of 2017
[url]http://www.bbc.co.uk/news/uk-politics-uk-leaves-the-eu-36802756[/url] ([url]http://www.bbc.co.uk/news/uk-politics-uk-leaves-the-eu-36802756[/url])
Key to the negotiations will be access to the European single market, which EU leaders have said is conditional on accepting the free movement of people. Mr Davis said the "ideal outcome" would be "continued tariff-free access" to the EU single market, adding: "Once the European nations realise we will not budge on control of our borders, they will want to talk, in their own interests. "But what if they are irrational, as so many Remain-supporting commentators asserted they would be in the run-up to the referendum? "This is one of the reasons for taking a little time before triggering Article 50. The negotiating strategy has to be properly designed, with serious consultation."
Estás tomando a V. de pretexto para soltar tu hiel sobre los indios del Amazonas.:-\ No entiendo.
Mira, prueba a meterte con Farage o con Bo Johnson, que ésos si que hablan por hablar, y macarras, estilo inglés.¿Que le puedes echar en cara a un indigente intelectual? Vamos hombre. Yo no critico las predicciones de un astrólogo de la televisión ni las declaraciones de Sálvame Delux. Y me río de quien lo hiciera. ¿Tu criticarías las opiniones de un afectado por síndrome de Down?
¿Esto no merece un comentario?
Boris Johnson, nuevo ministro de exteriores britanico.
[url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jul/13/philip-hammond-appointed-chancellor-as-george-osborne-exits[/url] ([url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jul/13/philip-hammond-appointed-chancellor-as-george-osborne-exits[/url])
:roto2:
¿Esto no merece un comentario?
Boris Johnson, nuevo ministro de exteriores britanico.
[url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jul/13/philip-hammond-appointed-chancellor-as-george-osborne-exits[/url] ([url]http://www.theguardian.com/politics/2016/jul/13/philip-hammond-appointed-chancellor-as-george-osborne-exits[/url])
:roto2:
Lo merece.
La mejor argumentación que he encontrado ha sido creo que en el Telegraph, donde explicaban que las intenciones de May son claras: hacer que los responsables políticos del brexit (los responsables son los electores-PDM) desciendan a los infiernos de su propia miseria intelectual, afronten las consecuencias de sus actos, y se enfrenten ELLOS a sus mentiras y a la población.
Al parecer las carteras en las que van a sufrir son esta de Boris, la de agricultura que ponen al frente a otra "listilla" que tendrá que explicarles a los agricultores que se han acabado las ayudas de la UE (miles de millones de €) y que tendrán que competir a pelo, otra cartera específica para el brexit tambien con un iluminado a la cabeza, y alguna secretaría por ahí. Todas ellas auténticos campos de minas.
Todas ellas con paletos arancelistas al frente.
También es cierto que la acusan de irresponsable por poner a semejantes individuos al mando de nada, pero la verdad que poco más puede hacer.
Hablando de DIEM25, hay un debate bastante bien llevado sobre la reforma de instituciones UE y las cuestiones de fondo que plantean
Un debate muy al estilo TE.net (cuando nos centramos ;)
Empieza aquí, después de banear a un troll (no he leido los mensajes anteriores)
Lo lleva de facto un tal UffeJensen (que no está de acuerdo con el modelo federalista que grosso modo apuntan los demás))
[url]https://www.diem25.org/forum/viewtopic.php?f=36&t=166&start=160[/url] ([url]https://www.diem25.org/forum/viewtopic.php?f=36&t=166&start=160[/url])
Los demás re-exponen y profundizan.
===
Por cierto, Uffe Jensen en el plano economico es un partidario de Henry George, y lo explica muy bien en su sitio:
[url]http://rightsanddemocracy.dk/home/rightsanddemocracy/socio-economic_inclusion/how_lvt_works/index.html[/url] ([url]http://rightsanddemocracy.dk/home/rightsanddemocracy/socio-economic_inclusion/how_lvt_works/index.html[/url])
Sería muy interesante comparar la LVT (Land Value Taxation) con las reformas que reclama PPCC (sin definirlas). Muchas veces me he preguntado si PPCC se ha estudiado a H:George (y antecesores) por su proximidad, pero no parece tener conciencia de ello.
Pero en general el debate es constructivo y con bastantes links.
Here’s a good example of how this works in practice, with me a numerate bystander in one very important debate: does massive immigration depress wages of native workers?
The proper beginning of the story is 1962 when the young George Borjas arrived as a Cuban refugee in Miami. Eventually he became an economist and was hired by Harvard. His specialty is labor economics and he is one of the foremost American experts on the consequences of immigration for labor markets.
Then, in 1980 Fidel Castro allowed a mass exodus from Cuba, which became known as the Mariel boatlift ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Mariel_boatlift[/url]). Within months more than 100,000 immigrants arrived in Miami.
([url]http://i2.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/Mariel-Boatlift-3.jpg?zoom=2&fit=660%2C482[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/15/why-statistics-are-not-damned-lies-the-effect-of-mariel-boatlift-on-miami-wages/mariel-boatlift-3/[/url])
Source ([url]http://adst.org/2015/04/a-flood-of-cuban-migrants-the-mariel-boatlift-april-october-1980/[/url])
The following graph taken from Borjas forthcoming paper ([url]https://www.hks.harvard.edu/fs/gborjas/publications/journal/ILRR2017.pdf[/url]) illustrates the magnitude of this this labor supply “shock,” to use economics jargon:
([url]http://i1.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/immigration.png?zoom=2&fit=691%2C489[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/15/why-statistics-are-not-damned-lies-the-effect-of-mariel-boatlift-on-miami-wages/immigration/[/url])
What we see here is two initial waves during the 1960s, following the Cuban Revolution of 1959 (including Borjas as a “data point” for 1962). During the 1970s emigration from Cuba was shut down by the Castro regime. The huge spike in 1980 is the Mariel boatlift, after which emigration from Cuba was again shut down as a result of behind-the-scenes agreement between Cuba and the US. The smaller spike around 1995 is known as “Little Mariel.” More recently the increase in Cuban immigration is due to the wet-feet, dry-feet policy ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Wet_feet,_dry_feet_policy[/url]).
What we have here is a perfect natural experiment to find out how massive immigration influxes affect the wages of native workers. The Berkeley economist David Card saw the potential of this labor supply shock and used it in a paper that was published in 1990 in Industrial and Labor Relations Review ([url]http://davidcard.berkeley.edu/papers/mariel-impact.pdf[/url]).
([url]http://i1.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/card-1024x596.png?zoom=2&fit=980%2C570[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/15/why-statistics-are-not-damned-lies-the-effect-of-mariel-boatlift-on-miami-wages/card/[/url])The 1990 Card study became a classic and had been used as one of the strongest arguments in supporting the view that immigration has no negative effects for us to worry about.
Now fast forward to 2015, when one summer morning George Borjas decided to revisit this analysis in light of what we have learned about immigration effects since 1990 (much of it due to Borjas own efforts). You can hear him tell the story in this video ([url]https://youtu.be/32BPK4MKvLo[/url]).
He did something very simple, and you can actually see what he did if you watch the 6-minute section of the video that starts at c.6:30. He used the same CPS data ([url]https://www.census.gov/cps/data/[/url]) as David Card. However, he focused only on workers that were (1) non-Hispanic (as the best approximation to the native-born), (2) aged 25-59 (prime working age), (3) male, and (4) high-school dropouts. The last characteristics is key, because 60 percent of Marielitos did not complete high school. And even many of those of the rest 40 percent, who did, were looking for unskilled jobs due to their lack of linguistic and other skills. So Marielitos competed directly with high school dropouts, and if there is an effect on the wages, this is where we should look.
Borjas next compared the inflation-adjusted wages of Miami residents, who had these characteristics, to wages of the same segment of the American population in all other American metropolitan areas but Miami. And here’s what the data say:
([url]http://i2.wp.com/peterturchin.com/blog/wp-content/uploads/2016/07/result.png?zoom=2&fit=606%2C475[/url]) ([url]http://peterturchin.com/blog/2016/07/15/why-statistics-are-not-damned-lies-the-effect-of-mariel-boatlift-on-miami-wages/result/[/url])The vertical line at 1980 indicates the arrival of Marielitos. The blue curve for Miami begins diverging from the black curve (other metropolitan areas) after 1980 and the difference reaches its maximum around 1985. The reason that it takes time for the effect of labor oversupply to reach its maximum impact is that wages are, in economics jargon, “sticky”—it takes several years for them to adjust to new labor market conditions. I saw the same effect in my own analysis of the effects of labor oversupply on national wages in the US ([url]http://peterturchin.com/blog/2013/04/15/putting-it-all-together/[/url]). Interestingly, I also estimated the lag effect at 5 years, although at the time I did not know of Borjas analysis (well, because I did mine two years before—in 2013).
Eventually other forces come into play and the wage gap shrinks. Another divergence occurs following the Little Mariel in 1995 and the gap is not closed by the end of the series, probably due to the constant, if at a lower level, immigration into Miami. The blue band and the black dotted line are the 95% confidence limits. What they tell us is that when there is no overlap, the difference between the two curves is statistically significant—highly unlikely to happen by chance alone. In other words, the Miami wages for native-born men without high school diplomas were indeed much lower than for similar workers in other US metropolitan areas during the 1980s and then again in the late 1990s, following the two spikes of Cubans migrating to Miami. During the 1980s Miami wages were 20 percent lower than elsewhere. A very substantial effect.
[...]
yes, you. you Briton there. which EU reg did you break, today? find one of your liking and do it, and report the feeling here
Me parto con Ghordius...Citar[...]
yes, you. you Briton there. which EU reg did you break, today? find one of your liking and do it, and report the feeling here
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-14/uk-now-front-queue-america-rushes-pass-trade-deal#comment-7829160[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-14/uk-now-front-queue-america-rushes-pass-trade-deal#comment-7829160[/url])
Vamos a tener que "clonar" cierto hilo de bb.info... Algo así como:
Me levanto y veo que no han invocado el Art.50 :roto2:
Interesante contribución sobre porqué en los USA y en RU ha habido ésa escalada de sentimientos antiinmigración, cuando no son en absoluto los mayores receptores de ésta:
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url])
With a 10.6% change in its foreign-born population, Spain moved from the 26th ranked country in 1990 in terms of share of foreign-born residents to 7th in 2015. This was largely due to Spain’s need for workers in the service and construction industries, sectors that could not attract native-born residents in sufficient quantities. So far, the country does not appear to be experiencing a marked rise in anti-immigration sentiment.
.....este articulo da pie a mi subjetiva mania contra las malas explicaciones, contra las explicaciones cortas de ambito, o autocensuradas; que tan cansinamente reprocho a ppcc o a los rojelios; mirar al dedo es causa de muchissmo mal y no son inocentes, ademas ningunear al personal con explicaciones cortitas es mu poco cristiano :rofl: :rofl: :rofl:
....quizas han apostado, junto con otros agentes geopoliticos innobrables, por la desintegracion segura de la UE y juegan a "maricon el ultimo"
Interesante contribución sobre porqué en los USA y en RU ha habido ésa escalada de sentimientos antiinmigración, cuando no son en absoluto los mayores receptores de ésta:
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url])
Uno de los motivos, lo llevo yo en la firma.
El articulo cita tambien el que, y ya lo he dicho y no me cansare de repetirlo, es uno de los mayores motivos de orgullo patrio que tengo, que basicamente es que mi firma, aqui, no se ha cumplidoCitarWith a 10.6% change in its foreign-born population, Spain moved from the 26th ranked country in 1990 in terms of share of foreign-born residents to 7th in 2015. This was largely due to Spain’s need for workers in the service and construction industries, sectors that could not attract native-born residents in sufficient quantities. So far, the country does not appear to be experiencing a marked rise in anti-immigration sentiment.
Interesante contribución sobre porqué en los USA y en RU ha habido ésa escalada de sentimientos antiinmigración, cuando no son en absoluto los mayores receptores de ésta:
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url])
Uno de los motivos, lo llevo yo en la firma.
El articulo cita tambien el que, y ya lo he dicho y no me cansare de repetirlo, es uno de los mayores motivos de orgullo patrio que tengo, que basicamente es que mi firma, aqui, no se ha cumplidoCitarWith a 10.6% change in its foreign-born population, Spain moved from the 26th ranked country in 1990 in terms of share of foreign-born residents to 7th in 2015. This was largely due to Spain’s need for workers in the service and construction industries, sectors that could not attract native-born residents in sufficient quantities. So far, the country does not appear to be experiencing a marked rise in anti-immigration sentiment.
Pues depende. Pásese por los barrios populares de muchas ciudades, donde en los colegios los inmigrantes no se integran, sino que se integran los españoles en franca minoría e incluso marcada excepción.
Muchos de esos barrios están a dos décadas de convertirse en guettos. Los años que faltan para que los jubilautas que viven en ellos se vayan yendo al otro barrio.
Lo único que nos distancia de los disturbios y problemas que tienen en Francia, sobre todo París, es que ellos se importaron a los inmigrantes hace mucho. España será un calco de Francia en un par de décadas, tres a lo sumo.
Donde los franceses han fracasado, nosotros, más analfabestias y con menos recursos, fracasaremos doblemente.
Para el que tenga hijos, que vaya planificando cómo sacarlos de esos barrios. Más aún si son hijas. El que no, también debería plantearse un "white flight" si puede permitírselo.
Recuerden: cuando vendían que el ladrillo era maravilloso, que no había burbuja, etc., mentían, o eran unos inconscientes. Ahora, con este tema, es exactamente lo mismo.
CE mantiene propuesta de igualar sueldos de desplazados a pesar de objeciones
Bruselas, 20 jul (EFECOM).- La Comisión Europea (CE) anunció hoy que mantendrá su propuesta para igualar los salarios de los trabajadores desplazados a los de los autóctonos, al considerar que esta no viola el principio de subsidiariedad, algo que habían alegado once parlamentos nacionales.
Un total de 11 parlamentos, principalmente los de los países del este y Dinamarca, se opusieron a esta revisión mediante el procedimiento de "tarjeta amarilla", que solo se ha dado en tres ocasiones, y que obligó al Ejecutivo a revisar la propuesta y posteriormente decidir si la mantenía, reformaba o retiraba.
El proyecto también prevé ampliar las reglas de igualdad de trato a los trabajadores temporales desplazados y fijar un periodo máximo de dos años para los trabajadores desplazados de larga duración, a cuyo término tendrán que depender enteramente del régimen local.
Interesante contribución sobre porqué en los USA y en RU ha habido ésa escalada de sentimientos antiinmigración, cuando no son en absoluto los mayores receptores de ésta:
[url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2016-07-19/which-countries-have-most-immigrants[/url])
Uno de los motivos, lo llevo yo en la firma.
El articulo cita tambien el que, y ya lo he dicho y no me cansare de repetirlo, es uno de los mayores motivos de orgullo patrio que tengo, que basicamente es que mi firma, aqui, no se ha cumplidoCitarWith a 10.6% change in its foreign-born population, Spain moved from the 26th ranked country in 1990 in terms of share of foreign-born residents to 7th in 2015. This was largely due to Spain’s need for workers in the service and construction industries, sectors that could not attract native-born residents in sufficient quantities. So far, the country does not appear to be experiencing a marked rise in anti-immigration sentiment.
Pues depende. Pásese por los barrios populares de muchas ciudades, donde en los colegios los inmigrantes no se integran, sino que se integran los españoles en franca minoría e incluso marcada excepción.
Muchos de esos barrios están a dos décadas de convertirse en guettos. Los años que faltan para que los jubilautas que viven en ellos se vayan yendo al otro barrio.
Lo único que nos distancia de los disturbios y problemas que tienen en Francia, sobre todo París, es que ellos se importaron a los inmigrantes hace mucho. España será un calco de Francia en un par de décadas, tres a lo sumo.
Donde los franceses han fracasado, nosotros, más analfabestias y con menos recursos, fracasaremos doblemente.
Para el que tenga hijos, que vaya planificando cómo sacarlos de esos barrios. Más aún si son hijas. El que no, también debería plantearse un "white flight" si puede permitírselo.
Recuerden: cuando vendían que el ladrillo era maravilloso, que no había burbuja, etc., mentían, o eran unos inconscientes. Ahora, con este tema, es exactamente lo mismo.
No se exactamente a que llamas barrios populares o porque piensas que no vivo en uno de elos. Lo hago.
En concreto el "share" del mio es africano, colombiano y español. Está por debajo de la media de renta per capita, pero no hay problemas de convivencia. Su discurso son vaguedades, lugares comunes y bla bla bla del miedo.
Concretamente el tema escolar me toca mucho las narices. Porque se basa en el trato preferencial a los colegios concertados. En mi barrio, TODA la pobacion inmigrante se concentra en el colegio/instituto público porque durante muchos años, a los colegios concertados se les ha permitido, con dinero público, hacer seleccion del alumnado y rechazar su cuota de nanos de bajo nivel escolar por origen. No abiertamente, claro, pero si dandoles libertad para dar o quitar puntos de acceso con reglas propias, que se usaban para eso. Lo cual me parece muy bien, es perfectamente legitimo hacer seleccion de tus alumnos SI ERES UN COLEGIO PRIVADO, pero si te paga el estado, amigo, juega con las reglas del estado. Afortunadamente se ha cambiado el reglamento para que los colegios concertados se vean obligados a asumir su pequeña cuota de nanos de bajo nivel escolar.
Mientras tanto, la vida sigue y no oigo a la gente culpar de sus mierdas a los negros ni a los colombianos. Hay bastante bar mixto hispano colombiano. Los negros viven mas a su bola, solo molestan porque hablan alto. Hay varias iglesias cristianas no catolicas, de negros (todo un show tanto por sus carteles como por sus mujeres cuando se visten de domingo) de latinos.....Para completar el cuadro, de los unicos que estamos todos hasta los cojones, es de los gitanos rumanos que ocuparon un bloque. Pero en general el ambiente es bueno, supongo que porque los habitantes no vivimos todos aconados pensando en el apocalipsis madmaxero urbano que tu comentas. Y no vamos a ir a pedir asilo a La Moraleja o Las Rozas version valenciana.
¿Que no tengo el barrio lleno de mohameds? Pues es cierto. Ahi no puedo hablar por experiencia.
[url]http://www.elconfidencial.com/ultima-hora-en-vivo/2016-07-20/ce-mantiene-propuesta-de-igualar-sueldos-de-desplazados-a-pesar-de-objeciones_970205/[/url] ([url]http://www.elconfidencial.com/ultima-hora-en-vivo/2016-07-20/ce-mantiene-propuesta-de-igualar-sueldos-de-desplazados-a-pesar-de-objeciones_970205/[/url])CitarCE mantiene propuesta de igualar sueldos de desplazados a pesar de objeciones
Bruselas, 20 jul (EFECOM).- La Comisión Europea (CE) anunció hoy que mantendrá su propuesta para igualar los salarios de los trabajadores desplazados a los de los autóctonos, al considerar que esta no viola el principio de subsidiariedad, algo que habían alegado once parlamentos nacionales.
Un total de 11 parlamentos, principalmente los de los países del este y Dinamarca, se opusieron a esta revisión mediante el procedimiento de "tarjeta amarilla", que solo se ha dado en tres ocasiones, y que obligó al Ejecutivo a revisar la propuesta y posteriormente decidir si la mantenía, reformaba o retiraba.
El proyecto también prevé ampliar las reglas de igualdad de trato a los trabajadores temporales desplazados y fijar un periodo máximo de dos años para los trabajadores desplazados de larga duración, a cuyo término tendrán que depender enteramente del régimen local.
¿podría esta medida implicar lo siguiente?
1. Más Europa
2. Más conciencia de nacionalidad europea para la clase obrera
3. Preferencia por los obreros autóctonos -> Menor antieuropeísmo de la clase obrera en los países que más sufren la globalización (véase el caso de UK con los polacos por ejemplo)
On ne va plus attendre bien longtemps, les Banques sont en train de préparer les esprits pour l'ouverture de la chasse au Pokémon go.
Planquez vous mes petits Pikachu, ou rejoigner le doux pays de la décroissance.ABN Amro va imposer des taux négatifs sur ses comptes commerciaux[url]http://www.businessbourse.com/2016/07/27/abn-amro-va-imposer-des-taux-negatifs-sur-ses-comptes-commerciaux/[/url] ([url]http://www.businessbourse.com/2016/07/27/abn-amro-va-imposer-des-taux-negatifs-sur-ses-comptes-commerciaux/[/url])
L’une des plus grosses banques hollandaises, ABN Amro, a mis en garde ses clients commerciaux contre l’arrivée d’un taux d’intérêt négatif sur ses comptes commerciaux.
La banque met actuellement à jour ses termes et conditions pour y inclure son droit de faire passer les taux d’intérêt en-dessous de zéro.RBS pourrait taxer les dépôts de certains clients à cause des taux négatifs[url]http://www.zonebourse.com/ROYAL-BANK-OF-SCOTLAND-GR-10759239/actualite/RBS-pourrait-taxer-les-depots-de-certains-clients-a-cause-des-taux-negatifs-22752212/[/url] ([url]http://www.zonebourse.com/ROYAL-BANK-OF-SCOTLAND-GR-10759239/actualite/RBS-pourrait-taxer-les-depots-de-certains-clients-a-cause-des-taux-negatifs-22752212/[/url])
Londres - La banque britannique RBS a prévenu ses clients professionnels qu'elle pourrait les faire payer pour leurs comptes de dépôts si les taux d'intérêt devaient encore baisser, à une semaine d'une réunion de la Banque d'Angleterre qui pourrait assouplir sa politique.
"Les taux d'intérêt mondiaux restent à des niveaux très bas et sont actuellement négatifs dans quelques marchés. En fonction des conditions du marché, nous pourrions avoir à faire payer un intérêt sur les soldes créditeurs", ont écrit la banque et sa filiale Natwest à leur 1,3 million de clients professionnels au Royaume-Uni.
Our attitude towards wealth played a crucial role in Brexit. We need a rethink
Stephen Hawking
https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jul/29/stephen-hawking-brexit-wealth-resources (https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/jul/29/stephen-hawking-brexit-wealth-resources)
Brexit, el 'Sonderway' y la muerte de Aristóteles
La salida británica de la Unión Europea es un capítulo más del 'camino especial' inglés, que rechazó ser parte de la CECA y la CEE y trató de ser parte de Europa sin serlo
[url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2016-08-02/brexit-sonderway-camino-especial-ingles-muerte-aristoteles_1239456/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/mundo/las-tres-voces/2016-08-02/brexit-sonderway-camino-especial-ingles-muerte-aristoteles_1239456/[/url])
With Democrats howling that Vladimir Putin hacked into and leaked those 19,000 DNC emails to help Trump, the Donald had a brainstorm: Maybe the Russians can retrieve Hillary Clinton’s lost emails.
Not funny, and close to “treasonous,” came the shocked cry.
Trump then told The New York Times that a Russian incursion into Estonia need not trigger a U.S. military response.
Even more shocking. By suggesting the U.S. might not honor its NATO commitment, under Article 5, to fight Russia for Estonia, our foreign policy elites declaimed, Trump has undermined the security architecture that has kept the peace for 65 years.
More interesting, however, was the reaction of Middle America. Or, to be more exact, the nonreaction. Americans seem neither shocked nor horrified. What does this suggest?
Behind the war guarantees America has issued to scores of nations in Europe, the Mideast and Asia since 1949, the bedrock of public support that existed during the Cold War has crumbled.
We got a hint of this in 2013. Barack Obama, claiming his “red line” against any use of poison gas in Syria had been crossed, found he had no public backing for air and missile strikes on the Assad regime.
The country rose up as one and told him to forget it. He did.
We have been at war since 2001. And as one looks on the ruins of Afghanistan, Iraq, Syria, Libya and Yemen, and adds up the thousands dead and wounded and trillions sunk and lost, can anyone say our War Party has served us well?
On bringing Estonia into NATO, no Cold War president would have dreamed of issuing so insane a war guarantee.
Eisenhower refused to intervene to save the Hungarian rebels. JFK refused to halt the building of the Berlin Wall. LBJ did nothing to impede the Warsaw Pact’s crushing of the Prague Spring. Reagan never considered moving militarily to halt the smashing of Solidarity.
Were all these presidents cringing isolationists?
Rather, they were realists who recognized that, though we prayed the captive nations would one day be free, we were not going to risk a world war, or a nuclear war, to achieve it. Period.
In 1991, President Bush told Ukrainians that any declaration of independence from Moscow would be an act of “suicidal nationalism.”Today, Beltway hawks want to bring Ukraine into NATO. This would mean that America would go to war with Russia, if necessary, to preserve an independence Bush I regarded as “suicidal.”Have we lost our minds?
The first NATO supreme commander, General Eisenhower, said that if U.S. troops were still in Europe in 10 years, NATO would be a failure. In 1961, he urged JFK to start pulling U.S. troops out, lest Europeans become military dependencies of the United States.
Was Ike not right? Even Barack Obama today riffs about the “free riders” on America’s defense.
Is it really so outrageous for Trump to ask how long the U.S. is to be responsible for defending rich Europeans who refuse to conscript the soldiers or pay the cost of their own defense, when Eisenhower was asking that same question 55 years ago?
In 1997, geostrategist George Kennan warned that moving NATO into Eastern Europe “would be the most fateful error of American policy in the post-Cold War era.” He predicted a fierce nationalistic Russian response.
Was Kennan not right? NATO and Russia are today building up forces in the eastern Baltic where no vital U.S. interests exist, and where we have never fought before — for that very reason.
There is no evidence Russia intends to march into Estonia, and no reason for her to do so. But if she did, how would NATO expel Russian troops without air and missile strikes that would devastate that tiny country?
And if we killed Russians inside Russia, are we confident Moscow would not resort to tactical atomic weapons to prevail? After all, Russia cannot back up any further. We are right in her face.
On this issue Trump seems to be speaking for the silent majority and certainly raising issues that need to be debated.
How long are we to be committed to go to war to defend the tiny Baltic republics against a Russia that could overrun them in 72 hours?
When, if ever, does our obligation end? If it is eternal, is not a clash with a revanchist and anti-American Russia inevitable?
Are U.S. war guarantees in the Baltic republics even credible?
If the Cold War generations of Americans were unwilling to go to war with a nuclear-armed Soviet Union over Hungary and Czechoslovakia, are the millennials ready to fight a war with Russia over Estonia?
Needed now is diplomacy.
The trade-off: Russia ensures the independence of the Baltic republics that she let go. And NATO gets out of Russia’s face.
Should Russia dishonor its commitment, economic sanctions are the answer, not another European war.
Brexit ‘could be delayed until late 2019’ with Whitehall departments not ready to trigger Article 50
‘They say they don’t even know the right questions to ask when they finally begin bargaining with Europe’
[url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/brexit-date-article-50-eu-referendum-result-europe-theresa-may-a7189851.html[/url] ([url]http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/brexit-date-article-50-eu-referendum-result-europe-theresa-may-a7189851.html[/url])
..... En fin, en los próximos años veremos cómo van desinflando gradualmente el Brexit ......
La felicidad cuesta… y (también) hay que pagarla con sudor
Expertos sostienen que la felicidad es como un músculo que hay que trabajar, y que se debería entrenar día a día en una tarea constante, con ayuda de técnicas como el mindfuness o la meditación
La máxima que dejó para la posteridad la dura profesora de danza de la serie ochentera “Fama” bien podría valer para resumir las técnicas que animan a un trabajo constante para conquistar la dicha y el bienestar. Si la fama cuesta, la felicidad no le va a la zaga, y también hay que pagarla con sudor. Juan Francisco Alcañiz y Jonatan Arroyo sostienen que la felicidad es como un músculo que hay que trabajar, y que se debería entrenar día a día en una tarea constante.
De hecho, comparan el cerebro con “una montaña en la que hay dos caminos” entre los que hay que elegir, pero con la máxima de cambiar el itinerario que, por defecto, va creando la mente “para entrenarse en la felicidad”. Estas ideas han sido los ejes del taller que han impartido esta semana para 25 alumnos en la Universidad Internacional Menéndez Pelayo de Santander.
Y han llamado a esta experiencia “El gimnasio de la felicidad”, donde los alumnos han podido ejercitar su mente, sus emociones y su conducta con dinámicas de grupo y atrevidas propuestas. “Existen muchos gimnasios para entrenar el cuerpo, pero la mente y lo que somos hay pocos sitios donde realmente se entrenen”, señala Juan Francisco Alcañiz, psicólogo, terapeuta familiar y orientador educativo.
Para ello, junto a Arroyo ha abordado técnicas diversas, como meditación, mindfulness o, por ejemplo, métodos de control del pensamiento negativo que muchas veces asalta la mente. Pero también han ido más allá, hasta envolver a sus alumnos en papel resistente para inducir sentimientos irracionales, como el agobio, y a partir de ahí tratar de avanzar.
La idea de estos jóvenes es generar cambios en el pensamiento y en la conducta por medio de las emociones, pero recalcan que nada queda al azar y que todas sus técnicas cuentan con un riguroso respaldo científico.
“No es una moda o una metodología que se aleja de la realidad. Nosotros partimos de investigaciones científicas contrastadas, que están estudiadas por autores como por ejemplo Félix López o Eugenio Carpintero, que demuestran que estas intervenciones funcionan y son efectivas”, destacan.
Alcañiz deja claro que sus técnicas no son una panacea que de la noche a la mañana vayan a hacer desaparecer los problemas, pero insiste en la importancia de la perseverancia y de no cejar en el empeño. Este terapeuta reivindica que las habilidades sociales, la empatía, la inteligencia emocional y la relaciones se trabajen desde niño, y apuesta por una enseñanza explícita de cómo gestionarlo.
Su compañero, que es psicopedagogo, educador y orientador, trata de responder a la pregunta del millón, y reconoce que es complejo acotar hasta qué punto se puede cambiar, porque es una variable muy personal, que depende de cada individuo.
Alcañiz y Arroyo defienden el trabajo preventivo para incrementar la resistencia ante los riesgos y las dificultades de la vida. Y, como una especie de moraleja, y como si de la letra de una canción se tratara, Arroyo apuesta por caer en la cuenta de que felicidad “está en las pequeñas cosas”, pero también “en las pequeñas conductas que hay que aprender”.
Y ello “día a día, y para mejorar el bienestar personal y social”, señala este psicopedadogo, que diferencia este método de los preconizados por “gurús que adoctrinan y que dicen que hay que ser felices pero sin explicar cómo”.
Ellos, por su parte, desean “seguir creciendo” y poder extender estas herramientas más allá de su trabajo, que en el caso de Alcañiz es con familias en riesgo de exclusión en Madrid y con las que ha logrado resultados “muy positivos”. No pierden de vista la idea de emprender con estas técnicas.
[url]http://www.republica.com/2016/08/14/la-felicidad-cuesta-y-tambien-hay-que-pagarla-con-sudor/[/url] ([url]http://www.republica.com/2016/08/14/la-felicidad-cuesta-y-tambien-hay-que-pagarla-con-sudor/[/url])
Alemania, a favor de un acercamiento entre la Unión Europea y Rusia
El ministro alemán de Asuntos Exteriores, Frank-Walter Steinmeier, afirmó hoy que es partidario de un acercamiento entre la Unión Europea (UE) y Rusia, en una intervención en la Universidad Federal Borís Yeltsin, en la ciudad rusa de Ekaterimburgo.
Steinmeier señaló que son muchos los que consideran que debe haber un acercamiento entre Rusia y la UE, y agregó: "Yo soy uno de ellos".
El jefe de la diplomacia alemana inauguró con su homólogo ruso, Serguéi Lavrov, una escuela de verano, tras lo cual ambos abordaron las relaciones germano-rusas y otros asuntos de la actualidad internacional con un grupo de estudiantes.
"Vemos que en Europa aumenta la comprensión de que no hay alternativa a la normalización de las relaciones y al restablecimiento de la cooperación en los formatos existentes", dijo el ministro ruso, citado por medios locales.
Aseguró que muchos políticos ya comprenden que fue un error la congelación de los mecanismos de cooperación, incluido el diálogo en materia de energía, entre la UE y Rusia, y la labor del Consejo OTAN-Rusia.
Lavrov expresó su esperanza de que las relaciones entre Moscú y Berlín "retornen a su antigua trayectoria".
"Cuando hay conflictos pareciera que confirmásemos que hay una confrontación entre Occidente y Rusia. Voces en ese sentido se oyen tanto en Rusia como Occidente, pero yo creo que unos y otros se equivocan", dijo a su vez Steinmeier.
En cuanto al conflicto de Ucrania, que junto a Siria serán los temas centrales de las conversaciones que mantendrá con su colega ruso, Steinmeier indicó que ha traído propuestas que "podrían ayudar a mejorar la situación de seguridad" en la zona del conflicto, que ha costado la vida ya a cerca de 10.000 personas.
Alemania ordenará a la población que almacene comida y agua en caso de ataque contra el país
Se trata de una medida de emergencia inédita desde el final de la Guerra Fría.
([url]http://estatico.vozpopuli.com/imagenes/Noticias/5F6C7FE5-06D7-1681-0CFF-E524CB49FDB0.jpg/resizeCut/1240-0-2000/0-384-1080/imagen.jpg[/url])
El Gobierno alemán se plantea recomendar a sus ciudadanos que almacenen comida y agua en caso de ataque terrorista o catástrofe, en una medida de emergencia inédita desde el final de la Guerra Fría, según ha informado el diario Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung este domingo.
Alemania se encuentra en estado de alerta después de dos atentados islamistas y el asalto a tiros efectuado por un adolescente a principios de mes. A tal efecto, Berlín anunció a principios de mes una serie de medidas de gasto adicional en sus fuerzas de seguridad y la creación de una unidad especial contra el crimen informático y el terrorismo.
Interior ha confirmado la veracidad del documento que se discutirá el próximo miércoles en el Consejo de Ministros para decidir su aprobación
Sin embargo, el Gobierno se plantea ahora introducir el llamado "Concepto para la Defensa Civil" por el que se instará a la población a "acumular comida y agua para sobrevivir durante diez días", según el documento de Interior recogido por el diario, a partir de una idea concebida por un comité parlamentario hace cuatro años.
Un portavoz de este Ministerio ha confirmado la veracidad del documento y ha añadido que se discutirá el próximo miércoles en el Consejo de Ministros para decidir su aprobación, aunque se espera que el número de días de subsistencia se reduzca a cinco.
"Se pedirá a la gente que se prepare apropiadamente para cualquier evento que pudiera amenazar nuestra existencia y no se pueda descartar categóricamente para un futuro", según el informe, que también recomienda la puesta en marcha de un "sistema de alarma fiable" y reforzar las estructuras de los edificios ante una posible tragedia.
[url]http://vozpopuli.com/actualidad/88360-alemania-ordenara-a-la-poblacion-que-almacene-comida-y-agua-en-caso-de-ataque-contra-el-pais[/url] ([url]http://vozpopuli.com/actualidad/88360-alemania-ordenara-a-la-poblacion-que-almacene-comida-y-agua-en-caso-de-ataque-contra-el-pais[/url])
?¿?¿?¿?¿?
Esto sí que ya no lo entiendo muy bien de qué va.CitarAlemania ordenará a la población que almacene comida y agua en caso de ataque contra el país
Se trata de una medida de emergencia inédita desde el final de la Guerra Fría.
([url]http://estatico.vozpopuli.com/imagenes/Noticias/5F6C7FE5-06D7-1681-0CFF-E524CB49FDB0.jpg/resizeCut/1240-0-2000/0-384-1080/imagen.jpg[/url])
El Gobierno alemán se plantea recomendar a sus ciudadanos que almacenen comida y agua en caso de ataque terrorista o catástrofe, en una medida de emergencia inédita desde el final de la Guerra Fría, según ha informado el diario Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung este domingo.
Alemania se encuentra en estado de alerta después de dos atentados islamistas y el asalto a tiros efectuado por un adolescente a principios de mes. A tal efecto, Berlín anunció a principios de mes una serie de medidas de gasto adicional en sus fuerzas de seguridad y la creación de una unidad especial contra el crimen informático y el terrorismo.
Interior ha confirmado la veracidad del documento que se discutirá el próximo miércoles en el Consejo de Ministros para decidir su aprobación
Sin embargo, el Gobierno se plantea ahora introducir el llamado "Concepto para la Defensa Civil" por el que se instará a la población a "acumular comida y agua para sobrevivir durante diez días", según el documento de Interior recogido por el diario, a partir de una idea concebida por un comité parlamentario hace cuatro años.
Un portavoz de este Ministerio ha confirmado la veracidad del documento y ha añadido que se discutirá el próximo miércoles en el Consejo de Ministros para decidir su aprobación, aunque se espera que el número de días de subsistencia se reduzca a cinco.
"Se pedirá a la gente que se prepare apropiadamente para cualquier evento que pudiera amenazar nuestra existencia y no se pueda descartar categóricamente para un futuro", según el informe, que también recomienda la puesta en marcha de un "sistema de alarma fiable" y reforzar las estructuras de los edificios ante una posible tragedia.
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Como con los chinos, tampoco me pega Merkel ni ningún gobierno alemán soltando cosas como esta gratuitamente.
¿Algo pasa o es simple pastoreo fearmongering?
LONDON – In the wake of the 1953 workers’ uprising in East Germany, the playwright Bertolt Brecht mordantly suggested that “if the people had forfeited the confidence of the government,” the government might find it easier to “dissolve the people and elect another.” :roto2: It is a sentiment that resonates with many in the United Kingdom today, in the aftermath of June’s Brexit referendum.
...
https://www.project-syndicate.org/commentary/brecht-on-brexit-by-howard-davies-2016-08 (https://www.project-syndicate.org/commentary/brecht-on-brexit-by-howard-davies-2016-08)
[...]
Does Brexit mean leaving the single market entirely, mostly, a fair bit, or not really at all? Who can say? Does it mean ending, partially restricting or barely tinkering with freedom of movement? Not a clue. How long will it take to negotiate trade deals with the EU, the US and other nations, and how punishing might the terms be? Go figure. Will British expats retain the right of residency in EU countries? Beats me.
[...]
The biggest loser of the “means” genre, I think, is a staple of the short-tempered parent. Admittedly, “no means no” seldom works. Overheard in the supermarket sweetie aisle, it tends to be the prologue to, “Oh, all right, then, have the f****** Haribos, see if I care if you get dentures for your 10th birthday.” Yet its fatal flaw is its clarity. “No” in this context can only mean “no”. It can’t possibly mean “Yes”, “Maybe”, “Noel Edmonds’ scrotal sack”, or, “Watch yerself, missus, or I’ll move that Nissan plant from Sunderland to the outskirts of Zagreb.”
Brexit up to date...
....
[ So, what does 'Brexit Means Brexit' mean? :) ]
[...]
*: Con nosotros significando desde el gobierno británico hasta las diversas castas económicas allí presentes (empezando, sin lugar a dudas, por las financieras). Luego lo venderán como quieran, pero la gran reculada estuvo servida desde el principio. En todo caso, parecería que han estado asesorados all along por miembros de nuestras castas locales para lo del procrastinar, así para lo de nadar y guardar la ropa.
[...]
Thereafter, the house divided on predictably partisan lines. Those on the remain side wanted to get to grips with the nitty gritty of what access to the single market Britain would get, how EU laws would be repealed and whether Britain would remain signed up to Europol. Those on the leave side thought such things were minor niggles and what really mattered was sticking two fingers up to the Frogs and the Hun and returning sovereignty to parliament. Though not to the extent of giving parliament a vote on the details – should any ever emerge – of the Brexit negotiations reached as it might vote against it.
[...]
War is peace.
Freedom is slavery.
Ignorance is strength.
Brexit is reBRmain.
War is peace.
Freedom is slavery.
Ignorance is strength.
Brexit is reBRmain.
... Bremain?
Alguien pensaba que se iba a negociar en dos meses? Pero estamos fuera. Al tiempo.
Salu2.
Luxembourg foreign minister: Hungary should leave EU
Jean Asselborn, Luxembourg’s foreign affairs minister, said Hungary should be kicked out of the EU over its stance on the refugee crisis, Die Welt reported.
([url]http://g8fip1kplyr33r3krz5b97d1.wpengine.netdna-cdn.com/wp-content/uploads/2016/09/GettyImages-546587788-714x475.jpg[/url])
“We cannot accept the founding principles of the EU being violated,” Asselborn told the newspaper in an interview published Tuesday, just days before the informal EU summit in Bratislava on September 16.
“[Those] who build fences against refugees like Hungary does, or who violate press freedom and judicial independence, should be excluded temporarily or forever from the EU,” Asselborn said, adding that was “the only way to preserve the cohesion and values of the EU.”
[url]http://www.politico.eu/article/luxembourg-foreign-minister-jean-asselborn-hungary-should-leave-eu/[/url] ([url]http://www.politico.eu/article/luxembourg-foreign-minister-jean-asselborn-hungary-should-leave-eu/[/url])
CitarLuxembourg foreign minister: Hungary should leave EU
Jean Asselborn, Luxembourg’s foreign affairs minister, said Hungary should be kicked out of the EU over its stance on the refugee crisis, Die Welt reported.
([url]http://g8fip1kplyr33r3krz5b97d1.wpengine.netdna-cdn.com/wp-content/uploads/2016/09/GettyImages-546587788-714x475.jpg[/url])
“We cannot accept the founding principles of the EU being violated,” Asselborn told the newspaper in an interview published Tuesday, just days before the informal EU summit in Bratislava on September 16.
“[Those] who build fences against refugees like Hungary does, or who violate press freedom and judicial independence, should be excluded temporarily or forever from the EU,” Asselborn said, adding that was “the only way to preserve the cohesion and values of the EU.”
[url]http://www.politico.eu/article/luxembourg-foreign-minister-jean-asselborn-hungary-should-leave-eu/[/url] ([url]http://www.politico.eu/article/luxembourg-foreign-minister-jean-asselborn-hungary-should-leave-eu/[/url])
Se habla de refugiados en vez de inmigrantes, sin rubor. Y dice que la única manera de preservar la cohesión y valores de la UE es abrir fronteras a la inmigración ilegal sin control.
Y ojo que, de nuevo, no son declaraciones de un agitador ni de algún funcionario bocachancla. Lo dice el Ministro de Exteriores de un miembro de la UE.
Siento ser pesado como siempre pero aquí pasa algo que no entiendo.
Se habla de refugiados en vez de inmigrantes, sin rubor. Y dice que la única manera de preservar la cohesión y valores de la UE es abrir fronteras a la inmigración ilegal sin control.
Y ojo que, de nuevo, no son declaraciones de un agitador ni de algún funcionario bocachancla. Lo dice el Ministro de Exteriores de un miembro de la UE.
Siento ser pesado como siempre pero aquí pasa algo que no entiendo.
Aquí se habla de una operación que trasciende hasta la política convencional, se habla de si queremos renunciar a ser lo que siempre hemos sido y diluirlo voluntariamente en tres o cuatro generaciones de forma irreversible. ¿Cómo va a imponerlo un partido con el 30% de votos? ¿Y amenazando a la gente? ¿De verdad están dispuestos a una guerra para imponer esa "visión"?
Lo que me pasa es que yo he sido siempre pro-UE, perfectamente dispuesto, deseando la cesión de la soberanía española a unos EEUU de Europa. Más que por lo económico, que también, por integrarnos en un marco político algo más fino, racional y democrático que lo que somos capaces de darnos los picaruelos hispanos nosotros solos. Por fundirnos en una Europa más libre e ilustrada.
Pues ya no lo tengo tan claro. Ya no me lo creo y además me siento insultado y ahora amenazado por ese "marco de libertad".
Yo sí que quiero vivir en una Europa muy mayoritariamente blanca y con una cultura predominante judeo-cristiana, greco-romana o lo que carallo seamos. ¿Soy malo? ¿Soy gañán o reaccionario, un neandertal? ¿Se puede saber qué me está llamando ese señor? ¿debo tener miedo?
Sí que suenas reaccionario, sí.Será que lo soy, si todo el mundo lo dice. Será cuestión de acotumbrarse al calificativo.
Tú ves "tu España" (lo que extrapolas del trocito que conoces), "tu Europa" (lo que extrapolas del trocito que conoces), "tu estadística" y "tu tiempo".No, hablo de la España de los españoles, la Europa de los Europeos (por mucho que le joda a Juncker) y de las estadística oficiales.
- Tu España/Europa "blanca", "cristiana", etc. no se reproduce. Desde hace tiempo. ¿Vas a clonar españoles blancos católicos?Si algún día quisiéramos estabilizar la población a partir de la pirámide exponecial que había hasta los 80, en TODOS los casos habríamos de pasar por una etapa con la pirámide en forma de huso. No es intrínsecamente malo. De hecho, hay una enorrrrme parte de la comunidad científica argumentando seriamente que una población de siete mil millones ya está por encima de lo razonable, dados nuestros usos guarros y depredadores. Igual que la deflación no es mala sino una bendición pasado el trance, igual puede ser con la población.
- En general, Occidente (incluido Japón) tiene una demografía siniestra. En los países no occidentales tiene buena pinta, y en África tiene pinta de boom cercano y futuro.
- Los inmigrantes sudamericanos son, en promedio, bastante más creyentes y practicantes católicos que los españoles "de pura cepa". ¿Quién es más "puro" ahora?Esta el la clave del malentendido. YO NO HABLO DE PUREZA. Hablo de prudencia en las cantidades, democracias en las decisiones y de selección y variedad de los invitados. Si eso es ser racista, pues me acostumbraré al insulto, tampoco es problema.
- Ahora ya hay un montón de chicos (y no tan chicos) que son españoles pero con rasgos asiáticos, negros, indios, etc. Unos por ser hijos de inmgrantes, otros por ser hijos de parejas mixtas (diferentes razas o nacionalidades). ¿No son españoles? ¿Les metemos en lejía? ¿Has analizado tu genoma, a ver cuánto judío, moro, negro, blanco, etc., tienes? (esto debería ser obligatorio para que a la gente se les quitaran las tontunas de pureza racial)Aquí el "malentendido" empieza a fastidiar. Claro que son Españoles. Aquellos a los que invitemos serán Españoles. España es todo menos una raza pura. ¿y?. Precisamente estoy diciendo que deberíamos evitar que los invitados sean el 95% de una etnia concreta, y encima de esa que trae una cultura que es a la nuestra como el aceite al agua. ¿Qué estoy diciendo tan raro?
- Las situaciones de desigualdad o desequilibrio, cuanto más aumentan o se prolongan, más violentamente se reequilibran. Con una demografía en picado, cuanto más se atrinchere Occidente en mantener su status privilegiado contra un resto del mundo mucho menos próspero pero mucho más numeroso y joven, más rápido y peor caerá. Esa es la guerra.De nuevo, ¿quién habla de "atrincherarse". Hablo, EXIJO, que se haga con cabeza y respetando la ley. Y si hay que cambiar la ley, hágase según métodos europeos, no de esta forma. Insisto ¿que hace Europa incumpliendo sus leyes y persiguiendo a quien exige su cumplimiento?
- Puedes "dejar entrar" gente de otras culturas o atrincherarte. Atrincherándote tienes todas las de perder.
- Si de verdad creyeras que tu cultura es la más valiosa y potente, no tendrías tanto problema a que "entrara" gente en ella, ¿no?. Todo el mundo adopta algo mejor con gusto. Y sí, siempre habrá un toma y daca, algo perderás y algo ganarás. Pero igual que viviendo solo o en pareja.Sí, creo que nuestra cultura (no "la mía") es la más valiosa y potente en bastantes aspectos, precisamente porque ha aprendido mucho de otras gacias al un aperturismo bien medido.
- Hablas de 3 o 4 generaciones adelante, pero mira 3 o 4 generaciones atrás. "Tu España" ya es absolutamente extraterrestre para tu bisabuelo o tatarabuelo: no se va a misa, no gusta la religión católica y sufre críticas, no gustan los toros y se está cerca de abolirlos, no se puede hacer nada con animales en las fiestas del pueblo, la gente española ya no habla español ("he retuiteado el report de stock desde el meeting"), la gente está atontada con maquinitas y ya no se ve ni habla cara a cara, lo más importante para la gente es el dinero, la gente vive hasta los 85 años y parece que tienen 65 de antes, ahoar comemos hamburguesas y suchi, nadie lleva sombrero ni alpargatas, los homosexuales no se tienen que esconder y se casan, la gente va en coche hasta a cagar y luego gastan dinero en sudar en un gimnasio (juntos físicamente, pero cada uno con su aparatitos y su música para aislarse de los demás), hay más comunicación que nunca pero se siente más soledad que nunca, etc., etc., etc. ¿Habría que volver a los usos y costumbres de 1910? ¿Es viable?Visi, cuando hablo de cultura no me refiero a bailes regionales o al plato típico. Me estás confundiendo con un fascistilla butifarrero. Hablo de derecho romano, libertades individuales, separación de las creencias y sentimientos de la res pública y de la apertura. No me trago que sea "normal" la existencia de territorios en Europa donde ya no rige la ley europea sino la sharia. O de que tengamos que renuncias a nuestros usos tradicionales para respetar los usos tradicionales de los invitados. Y de nuevo, no me trago lo de hacer todo esto "por cojones, y te callas, racista, retrógado, que vas a acabar mal".
Yo estoy de acuerdo con Timmermans en que no aceptar la diversidad y atrincherarse para intentar vivir en un eterno 1980 traerá una guerra, y además una en la que tendremos todas las de perder.De nuevo "atrincherarse". Pero lo importante de este párrafo es que reconoces el peligro de que hacerlo así acabe en guerra porque habrá que obligar por la fuerza a una buena parte de la población a aceptar esa "visión" del futuro. Pues ya me dirás quién es aquí el reaccionario y, sobre todo, quién está empezando esa guerra.
No entiendo qué es lo que te chirría.jo.
Aquí el "malentendido" empieza a fastidiar. Claro que son Españoles. Aquellos a los que invitemos serán Españoles. España es todo menos una raza pura. ¿y?. Precisamente estoy diciendo que deberíamos evitar que los invitados sean el 95% de una etnia concreta, y encima de esa que trae una cultura que es a la nuestra como el aceite al agua. ¿Qué estoy diciendo tan raro?
Nadie en la historia ha podido cerrar las fronteras o mejor dicho, nadie ha podido poner fronteras al movimiento humano, y quien lo haya conseguido es porque es un tirano.PUes yo creo que TODOS los estados se basan en fronteras. Frontera NO IMPLICA impermeable, implica regulación. En las fronteas hay PASOS FRONTERIZOS. Vaya cosas decís.
Forma parte de la humanidad el movimiento y todo el mundo tiene derecho a moverse, mi hijo se va a vivir a Munich, pero yo no quiero que vengan los moros aquí :roto2:Yo quiero que el moro y CUALQUIERA que venga aquí cumpla con requisitos parecidos a los que a mi hijo se le exigen para ir a Munich y no ser deportado. De verdad ¿no te das cuenta de lo que dices? ¿Pretendes que me trague estas cacho ruedas de molino? ¿Porqué en este debate hay tante gente lúcida haciendo estas lecturas absurdas y ofensivas?
Los ricos y los Españoles (no somos ricos) son los únicos con derecho a moverse :roto2:
Quien se cree propietario de un trozo de tierra? Solo dos tipos, los terruñistas y los nacional-fascistas.Aclárate. Mad Men ¿Deben exiistir o no? ¿Cual es el papel de una frontera que para ti no es fascista racista?
Con esto no digo que la frontera no deba existir, pero se ve rápido el doble rasero de la gente.
Nadie en la historia ha podido cerrar las fronteras o mejor dicho, nadie ha podido poner fronteras al movimiento humano, y quien lo haya conseguido es porque es un tirano.PUes yo creo que TODOS los estados se basan en fronteras. Frontera NO IMPLICA impermeable, implica regulación. En las fronteas hay PASOS FRONTERIZOS. Vaya cosas decís.CitarForma parte de la humanidad el movimiento y todo el mundo tiene derecho a moverse, mi hijo se va a vivir a Munich, pero yo no quiero que vengan los moros aquí :roto2:Yo quiero que el moro y CUALQUIERA que venga aquí cumpla con requisitos parecidos a los que a mi hijo se le exigen para ir a Munich y no ser deportado. De verdad ¿no te das cuenta de lo que dices? ¿Pretendes que me trague estas cacho ruedas de molino? ¿Porqué en este debate hay tante gente lúcida haciendo estas lecturas absurdas y ofensivas?
Los ricos y los Españoles (no somos ricos) son los únicos con derecho a moverse :roto2:CitarQuien se cree propietario de un trozo de tierra? Solo dos tipos, los terruñistas y los nacional-fascistas.Aclárate. Mad Men ¿Deben exiistir o no? ¿Cual es el papel de una frontera que para ti no es fascista racista?
Con esto no digo que la frontera no deba existir, pero se ve rápido el doble rasero de la gente.
¡¡¡ESTOY DEFENDIENDO LA NACIÓN JURÍDICO-POLÍTICA EUROPEA!!!! Fascistas y racistas lo son mucho más en los países de procedencia de toda esa gente, por cierto. ¿Quieres que te traiga cincuenta videos ahora mismo que te van a enseñar lo que piensan de nosotros y de nuestras libertades y apertura esos invitados? ¿O necesitas doscientos? Porque los tengo, eh!
[...]
Resumo
- Olvidémonos de una Europa mayoritariamente blanca o con una cultura judeo-cristiana predominante.
- Aceptaremos el multiculturalismo o la guerra.
[...]
ps: No reconozco las fotos ni adivino lo que quieres decir, Sudden.
Sobre las fotos de exiliados republicanos, vuelvo a repetir que hablo de inmigración masiva y descontrolada. No tengo problemas de inmigración inteligente y democráticamente regulada y desde luego, no hablo de refugiados. No hablo de refugiados. No hablo de refugiados.
PS: La comparación de los exiliados de la GCE con la crisis actual, ahora que lo pienso, hace aguas por todas partes. Si quieres lo discutimos, pero es casi off-topic. No se parecen ni en la cantidad, ni el motivo, ni en su disposición exigencias y actitud ante el anfitrión, ni en la capacidad del anfitrión, ni en el choque étnico o cultural que provocan, ni se parecen en casi nada, la verdad.
Es irónico hablar de inmigración o blancura de la piel en España, lo digo porque hemos emigrado como ratas y no tenemos la tez tan blanca como los nórdicos.No, amigo, no emigramos como ratas. Emigramos pidiendo permiso, por el paso fronterizo, con el DNI en la boca, agradecidos al anfitrión, aceptando sus normas y sabiendo que si causas problemas o eres un parásito, deportado. En muchos sitios esos emigrantes se convirtieron en pilares de crecimiento y modernización de esas economías en expansión. Vamos, igualito que lo que ahora afrontamos aquí.
A veces hace falta un poco de memoria y sensibilidad.No me vengas con esas, que como entremos ahí ya verás que jardín. Que la "sensibilidad" irracional te puede llevar a cometer auténticas atrocidades.
En EE.UU existen 50-60 millones de descendientes de Alemanes que huyeron como la peste de su país, todo el mundo se mueve y cada uno intenta buscarse las habichuelas donde puede.Comparar esas dos situaciones es fantástico. De nuevo no tiene nada que ver ni la cantidad, ni las estridencias culturales, ni la actitud de los emigrados, ni las posibilidades y situación del anfitrión, ni la aceptación social, ni nada de nada.
Por cierto Lego,solo los ricos se sienten bien en su entorno afín, ningún pobre estará a gusto con su entorno.Bah. Obviamente hablaba de entornos étnicos y culturales, no de percentiles de renta. Reléeme con eso aclarado ya verás como sí que tiene sentido. O rebátelo si crees que no lo tiene.
Por último, esos inmigrantes deberían tener derecho a tratar con la administración del Estado que quieren.
Es lo de menos. Si el Estado de acogida no los quiere, sea, pero que al menos sea su interlocutor.
No está nada claro que deba ser Grecia o Italia las que se encarguen de ellos, sólo porque son Estados de tránsito.
En resumen, el problema de inmigración no es una "masa" de gente anónima.
Son ciudadanos de tal o cual Estado, que quieren ir a tal o cual otro Estado.
El diseño actual, hace que ni el Estado de origen, ni el de destino interviene.
Ahora, vuelve a preguntar lo del proceso democrático : qué pinta un Estado de transito decidiendo "democráticamente" sobre una decision que afecta a otros dos Estados?? Imaginas a Grecia decidiendo democráticamente mandar a los Sirios a España cuando éstos no quieren ir ni a Grecia ni a España?
Todo ese lío de los "estados de tránsito" es derivado de que hablamos de inmigración ilegal y de refugiados que llegan saltando vallas. Con todo lo que eso acarrea; mafias de traficantes humanos, dinero tóxico y corrupción en ambos lados, ausencia de filtros, vacíos legales,paradojas éticas, tensiones entre socios. Todo eso deja de exisistir con la integración de fronteras. Eso es lo que yo quiero.
El segundo bloque de tus cuestiones, por ahorrar, te las respondo casi todas señalando un desacuerdo fundamental.CitarAhora, vuelve a preguntar lo del proceso democrático : qué pinta un Estado de transito decidiendo "democráticamente" sobre una decision que afecta a otros dos Estados?? Imaginas a Grecia decidiendo democráticamente mandar a los Sirios a España cuando éstos no quieren ir ni a Grecia ni a España?
Los refugiados van donde se les acoja como refugiados, no donde ellos quieran.
Pero no debatíamos nada de todo esto. Discutíamos demasiadas cosas a la vez,
- El modo de implementar ese plan, los pucherazos, insultos y amenazas, el macarthismo y sus consecuencias.
Para no perdernos intentaba centrarme en una, en la última, pero podemos cambiar a otra.
Miralo asi: ¿Qué disitingue a los refugiados del terremoto de Italia de los Libios de Lampedusa?
La Soberania consiste en GARANTIZAR esos derechos humanos a todos los humanos que estén en tu territorio de incumbencia,Estoy en absoluto desacuerdo. La soberanía es la capacidad de imponer un marco legal en un territorio. Precisamente lo segundo que mencionas (para negarlo) es justo mi definición de soberanía. Aceptar que cualquiera que se cuele sin tu permiso en el territorio queda en igualdad de derechos que los nativos es una decisión soberana que habrá de ser votada. Yo votaría un rotundo NO. Otra cosa es que por humanidad no dejemos que el que se ha colado se muera de hambre, no le curemos sus heridas, o le entregue a un sátrapa que le quemará en una pira siendo un inocente. Pues no,claro. Pero de ahí a igualar su estatus con el mío, NI DE COÑA. Ni tampoco con el inmigrante legal, que para mi sí que debería adquirir derechos plenos cumpliendo condiciones y en plazos razonables. Hablo en serio. De hecho,que igualar el inmigrante legal con el ilegal es un moral hazard de libro, con consecuencias funestas.
No esta en decidir a quien si y a quien no se los reconoces.
Entre el lunes 12 y miércoles 14 de septiembre he tenido la suerte de poder visitar el Parlamento Europeo y ver en primera línea el Debate sobre el Estado de la Unión. La agenda ha estado cargada de seminarios y reuniones sobre los retos de la Unión, la negociación del Brexit, el TTIP, la multa a Apple… Reconozco que me divertí tanto como aprendí sobre el funcionamiento de las instituciones europeas (me anoto eso de los “trílogos”). Esto que quiero compartir con vosotros no son más que algunas de las notas que he tomado estos días y que tal vez sirvan para ordenar un poco la cuestión. En todo caso, me vuelvo con la sensación de que la Unión Europea está entrando en una lenta y difícilmente evitable decadencia política, económica y social. Quizá la nota optimista sea que, al menos, están preocupados. Que al menos no me encontré con la orquesta del Titanic.
Una de las mejores charlas del viaje fue la de Paulo Rangel, del PSD portugués y vicepresidente de los populares europeos. Trufada de buen humor y referencias a España, vino a enmarcar los tres ejes de conflicto dentro de la UE. La tomo como punto de partida para hilvanar el contenido de los otros seminarios.
La salida del Reino Unido
El primer asunto tratado fue la gestión del Brexit. Durante su charla Rangel señaló que Alemania siempre ha mirado a Reino Unido por concordancia en las policies (más rigor y liberalismo) mientras que para Francia lo ha sido por politics (contrapeso frente a Alemania). A su entender Francia querría que la negociación de salida fuera rápida y ya busca a Italia como nuevo contrapunto frente a Berlín, pero desde Berlín prefieren que la salida sea lenta para que el polo meridional de Europa no sea tan importante. En todo caso, parece que la cuestión se demorará. Como se nos apuntó en otro seminario Richard Corbett (Laborista), antes de la activación del artículo 50, el de salida de la UE, es necesario hacer un listado de materias a tratar y que Reino Unido tome posición ¿Establecerá Reino Unido agencias nuevas para cada cuestión regida por agencias europeas? ¿Adoptará regulación propia? Las materias a tratar son ingentes y va para largo.
A grandes rasgos los conservadores británicos deben tomar una decisión que no es fácil. Tal como nos señaló Ramón Jáuregui, de los socialistas, si el Reino Unido quiere salirse de la UE pero permanecer en el Mercado Común – una especie de independencia post-moderna – no le queda más remedio que aceptar las cuatro libertades fundamentales: mercancías, servicios, capitales y trabajadores. Como os podéis imaginar, dado el tema de la inmigración, esta última es la más conflictiva de asumir. De no darse el caso, el Reino Unido debería salirse totalmente del Mercado Común, con las consecuentes barreras arancelarias, aunque pudiera haber sectores concretos de acuerdo. La última salida implica mayores pérdidas económicas que la primera, pero también mayor autonomía. Es justamente entre estas dos posturas donde hay discrepancias a ambos lados del campo.
Los conservadores británicos, crecidísimos en los sondeos, están divididos sobre si seguir la línea dura – no aceptar los cuatro puntos anteriores y salirse aunque eso suponga pérdidas económicas – o una más conciliadora – aceptar las condiciones comunitarias. En todo caso, la idea de un nuevo referéndum está olvidada pero no así la de hacer uno sobre el acuerdo final de salida de la UE. Esta es la bala que se guardan algunos. Si el acuerdo final no fuera ratificado, los años de negociaciones se irían al traste pero los británicos seguirían dentro. En el otro campo, los estados de la UE se dividen sobre lo mal que se lo quieren hacer pasar a Reino Unido. Es un juego de señalizar los costes que tiene salirse, sobre todo cuando puede haber una cascada de referéndums en Países Bajos o Francia, ambos con elecciones el año próximo. Un juego que se debe tensar lo justo para no incurrir en pérdidas económicas en la Europa Continental.
Sea como sea, está claro que como reconocen tanto Jáuregui como Daniel Hannan, de los conservadores británicos, Europa va inevitablemente a un modelo de diferentes niveles de integración, estando en el núcleo los países de la zona euro. Aunque, sinceramente, me quedo con la impresión de que es un espejismo pensar que dicho núcleo se va a integrar más tras este shock. Los tiros parecen ir más bien por echar el freno.
Soberanismo y refugiados
Una segunda y emergente línea de fractura dentro de la UE es el que se genera a partir de los países de Visegrado, conformado por Hungría, Polonia, República Checa y Eslovaquia. Estos países plantean ir a un nuevo soberanismo nacionalista, claramente orientado a resistir la integración y apertura de los países más occidentales de la Unión. De hecho, en algunos casos se plantean directamente conformar democracias iliberales, lo que supone una amenaza de mayor magnitud. Este bloque es el que se ha opuesto de manera más viva a la búsqueda de un acuerdo común en materia de refugiados.
Como nos contó Cecilia Wikström, de los liberales suecos, la Convención de Dublín es el mecanismo de solicitantes de asilo de la UE, pero ha ido fracasando en sus sucesivas versiones. Con la llegada de casi un millón y medio de refugiados los últimos años – de los cuales un millón sólo ha sido acogido en Alemania, algo que merece la pena recordar – la respuesta de los socios ha sido ir suspendiendo la aplicación el tratado ¿Y cómo funciona en esencia Dublín? Las cuotas de refugiados se establecen en base a el PIB y la población de los miembros y se supone que una vez un país llega a una cuota máxima se comienza a distribuir. Un reto logístico monumental y para los países miembros han hecho bastante poco por poner los medios. Además, sin incentivos ni sanciones para que cumplan, era bastante inevitable que así fuera.
Wikström insistió mucho en los valores humanitarios de la Unión Europea y recordó que, al fin y al cabo, la política de asilo – que supondría 30 personas por cada municipio de más de 10.000 habitantes de Europa – es una política ganadora para todos. En especial para las zonas más despobladas de nuestros países cara a mantener servicios públicos. También se mojó y consideró ilegal el tratado con Turquía, e incluso denunció la idea que algunos plantean de hacer algo parecido con el estado fallido libio. Su energía y compromiso con la materia era total y por principio se negó a cerrar el mundo a la movilidad de las personas. Fue extremadamente crítica con el papel del Consejo en toda esta materia.
Sobre esto último me quedo con una queja legítima del eurodiputado Jonás Fernández. Si alguien ha intentado impulsar una política común de asilo ha sido la UE y la Comisión. Si ha fracasado esta política ha sido más bien por el bloqueo de los estados, por una Europa que ha dejado sola a Alemania en esta materia. Por eso dijo que tras el vergonzoso tratado con Turquía los ayuntamientos en España no deberían haber arriado la bandera comunitaria. Lo que deberían es haber arriado la española. Y razón no le falta.
La complicada integración fiscal
La tercera gran línea de conflicto es la que se plantea a propósito de la integración fiscal y la división Norte-Sur. Rangel se encargó de recordar que al fin y al cabo no existe verdadera soberanía monetaria fuera del euro – todas las monedas están ligadas al BCE. Auto-titularse soberano suena muy bien, pero su ejercicio real ya es otra cosa. En cualquier caso, insistió en que los países del norte no se fían de más integración (a pesar del avance de la Unión Bancaria) porque temen que el sur se siga desviando de las reglas. Por su parte, el sur sí pide integrarse más pero relajando los criterios de austeridad. Y mientras, como recordaba el eurodiputado Ernest Urtasun, del grupo Verde, lo que tenemos es una crisis social que está destruyendo los sistemas de partidos europeos, aumentando el euroescepticismo y desgastando la Unión.
Como se pudo escuchar en diferentes foros, la Comisión Juncker trampea de manera evidente las reglas para dar cierto respiro al sur y, no en vano, eso hace que su presidente esté en el punto de mira de Alemania. Esta legislatura, todos coinciden, está siendo de parálisis y en general no hay muchas expectativas con la cumbre de Bratislava. Aún así, con el caso Apple como telón de fondo, Pablo Zalba, de los populares, veía con buenos ojos la idea de mayor armonización fiscal en la UE dado que en esa cumbre se discutirá una base imponible común para el impuesto de sociedades. Sin embargo, para Paloma López de Izquierda Unida, es más que probable que se vaya a hablar más de integración en Defensa, un tema menos divisivo. Algo que la entristecía ya que la ventana de oportunidad de opiniones públicas favorables, tanto a ser duros con las empresas que no cumplen como a más unión fiscal, empieza a cerrarse. En esa línea, Jaúregui insistió en le pilar fiscal y la hacienda Europea aunque Ramón Tremosa, de los liberales, rebajó las expectativas de integración, no viendo como algo necesariamente negativo la competencia fiscal dentro de la zona euro.
El lamento fue generalizado por cómo hasta la tasa a las transacciones financieras, que era idea de la UE y le podía haber dotado de ingresos propios, fue secuestrada por los estados para sí. El debate fiscal, que también se complementó con otro del TTIP sobre las ventajas o no de dicho acuerdo, dejaban en el aire dos preguntas sin respuesta. De un lado, la posibilidad o no de buscar regulaciones comunes a la globalización (o la gobernanza de la zona euro) cuando tienes políticas nacionales en colisión. Del otro, si hay compensaciones para los perdedores de una mayor integración (comercial o monetaria) de modo que sea sostenible. No vi respuestas claras a ningún lado del arco político.
¿Algo de margen para el optimismo?
Tras esta experiencia en Estrasburgo vuelvo con la percepción de que la magnitud de los retos hace que sea muy complicado salir del túnel. El calendario electoral además hace que con Matteo Renzi en la cuerda floja y elecciones francesas, alemanas y en Países Bajos el año próximo sea difícil maniobrar. Las opiniones públicas, por razones y por conductos diferentes, están votando repliegue nacional. Este hecho es incontestable, y es por lo tanto muy probable que el proyecto europeo entre en barrena. Por más que sea indudable que no estamos en 2010 y se ha avanzado mucho para evitar caer en los mismos errores que el pasado, las heridas están a flor de piel. La desigualdad dentro de los países es mayor, las divergencias entre ellos también lo es, la unión fiscal es complicada de montar, Reino Unido se va y el Este quiere desandar camino.
Decía Séneca que para un barco que no sabe a qué puerto se dirige ningún viento le será favorable. Eso es exactamente lo que ocurre en la UE aunque con algunos matices. El matiz que supone tener tantas crisis tal vez sea la oportunidad para poder negociar arreglos en diferentes mesas, más espacio para la transacción. Que los límites del soberanismo en la práctica los hemos visto y que no queda mucho más remedio que pensar a fondo cómo meter mano en este entorno global. Que aún con las dificultades, las instituciones tienen gente de muchísimo talento y valía. Que tal vez ahora en la UE se enteren que con un discurso de “valores” no se va a ninguna parte, que aquí hace falta cosas concretas. Tal vez todo eso sean oportunidades para moverse fuera de este equilibrio perverso. Porque tal vez, pese a todo, merezca la pena intentar salvar la Unión Europea, aunque sea de ella misma.
Do Immigrants Import Their Economic Destiny?
How migration shapes the prosperity of countries
This is one of the great policy questions in our new age of mass migration, and it’s related to one of the great questions of social science: Why do some countries have relatively liberal, pro-market institutions while others are plagued by corruption, statism, and incompetence? Three lines of research point the way to a substantial answer:
The Deep Roots literature on how ancestry predicts modern economic development,
The Attitude Migration literature, which shows that migrants tend to bring a lot of their worldview with them when they move from one country to another,
The New Voters-New Policies literature, which shows that expanding the franchise to new voters really does change the nature of government.
Together, these three data-driven literatures suggest that if you want to predict how a nation’s economic rules and norms are likely to change over the next few decades, you’ll want to keep an eye on where that country’s recent immigrants hail from.
...
There are three major long-run predictors of a nation’s current prosperity, which combine to make up a nation’s SAT score:
S: How long ago the nation’s ancestors lived under an organized state.
A: How long ago the nation’s ancestors began to use Neolithic agriculture techniques.
T: How much of the world’s available technology the nation’s ancestors were using in 1000 B.C., 0 B.C., or 1500 A.D.
When estimating each nation’s current SAT score, it’s important to adjust for migration: Indeed, all three of these papers do some version of that. For instance, without adjusting for migration, Australia has quite a low ancestral technology score: Aboriginal Australians used little of the world’s cutting edge technology in 1500 A.D. But since Australia is now overwhelmingly populated by the descendants of British migrants, Australia’s migration-adjusted technology score is currently quite high.
On average, nations with high migration-adjusted SAT scores are vastly richer than nations with lower SAT scores: Countries in the top 10% of migration-adjusted technology (T) in 1500 are typically at least 10 times richer than countries in the bottom 10%.
...
Overall, the relationship between a nation’s percent population of Chinese descent in 1980 and current economic freedom is strongly positive. Singapore, Hong Kong, and Taiwan, the countries with the largest percentage of post-1500 Chinese immigrants, are the freest. Hong Kong, which had only a few thousand Chinese residents before the British arrival, is now the economically freest country in the world. Malaysia (a third of whose residents are of Chinese descent) and Thailand (10 percent) are next, and Malaysia is clearly the freer of the two. The remaining countries, Laos and Myanmar, are substantially less economically free than Singapore. Of course, including China in this graph would weaken the relationship, but to repeat: we aren’t interested in ancestry per se, but in relatively peaceful migration.
Economists have long known that some of the strongest statistical predictors of long-run national prosperity have been “percent Confucian” and “percent Buddhist.” A famed paper coauthored by Xavier Sala-i-Martin demonstrated that conclusively. It’s time for scholars to investigate whether, for most countries, a pro-Confucian migration policy is a good option.
...
trusting attitudes migrate. And the link from trust to economic performance is well-accepted at this point: One famous paper, “Does Social Capital Have an Economic Payoff?” [Answer: Yes] is now routinely cited in economics textbooks. And why do low-trust societies generate worse economic performance? One reason is that low-trust individuals demand more government regulation. In “Regulation and Distrust” the authors report:
Using the World Values Survey, we show both in a cross-section of countries, and in a sample of individuals from around the world, that distrust fuels support for government control over the economy.
The authors suggest that this happens because in low-trust societies, people want someone checking up on untrustworthy businesses and individuals, and a strong government is one way to do just that. Together, this literature suggests that migration from low-trust societies will tend to hurt long-run economic performance, partly because low-trust individuals demand more government regulation.
One particular attitude has been well-studied in the migration literature: Strong family ties. This is often known as “amoral familism,” the view that you should help out your family, right or wrong. In comparative anthropology and sociology, it’s well known that cultures strong in amoral familism tend to be places where children live with their parents into adulthood, where corruption is common, and where identity is heavily shaped by one’s extended family. A remarkable handbook chapter by Alesina and Giuliano finds that:
…on average familistic values are associated with lower political participation and political action. They are also related to a lower level of trust, more emphasis on job security, less desire for innovation and more traditional attitudes toward working women.
It’s safe to predict that voters and politicians with these traits are unlikely to support much Schumpeterian creative destruction. And, unsurprisingly at this point, amoral familism itself tends to migrate:
…family values are quite stable over time and could be among the drivers of institutional differences and level of development across countries: family values inherited by children of immigrants whose forebears arrived in various European countries before 1940 [!] are related to a lower quality of institutions and lower level of development today.
At this point, it’s clear that attitudes migrate to a substantial degree, and at least in democracies, they’re likely to take those attitudes into the voting booth. There’s an old saying in the migration policy world, a line by Max Frisch: “We wanted workers, we got people instead.” It looks like that saying needs updating: “We wanted workers, we got voters instead.”
...
It turns out that, contrary to the “New voters = No change” theory, giving the vote to women really did change government in a more progressive, expansionist direction:
Suffrage coincided with immediate increases in state government
expenditures and revenue and more liberal voting patterns
for federal representatives, and these effects continued growing
over time as more women took advantage of the franchise…On the basis
of these estimates, granting women the right to vote caused expenditures
to rise immediately by 14 percent…by 21 percent after 25 years, and by 28 percent after 45 years.
Women did not quietly, meekly vote for whatever the men around them supported. They had their own minds, and those minds, when empowered by the vote, moved policy in a more progressive direction. And notice that the longer-run effect was twice the immediate effect: Expanding the franchise to a group that favored more government spending indeed increased government spending, but it took decades to see the full effect. In U.S. history, new voters have mattered.
And this is no one-off study: the policy impact of female suffrage has been studied extensively. To quote a study focused on Europe:
Using historical data from six Western European countries for the period 1869-1960, we provide evidence that social spending out of GDP increased by 0.6-1.2% in the short-run as a consequence of women’s suffrage, while the long-run effect is three to eight times larger.
...
Government policies don’t radiate from subterranean mineral deposits: they are in large part the product of its voting citizens. And in the long run, new citizens lead to new policies.
Together, these three literatures provide a combination of big-picture and close-up evidence that if a country is choosing between high-SAT and low-SAT immigration policies, the high-SAT approach will yield big benefits in the long run. Individual countries will always be exceptions to the rule, so some countries taking the low-SAT immigration path will still look pretty good. But wise citizens don’t bet on being the exception: they bet on being the rule.
Punto preliminar: Lo que diga Al Jazeera sobre este tema lo valoro más o menos igual que lo que diga cualquier medio implicado en la guerra, y de HRW lo mismo te digo. O peor, que encima van de guays y de seres de luz.
Estoy de acuerdo contigo en muchas coass, pero no en esta.
Moneda única.
Lo mismo cabe decir de esa máquina de cerrar industrias y de impedir su desarrollo que ha sido la moneda única y lo sigue siendo.
Pedro Sanchez... ¿el nuevo Corbyn ?
Y no lo digo yo, es el análisis que también voy viendo en medios galos.
Es decir: si el PSOE quería quitarse de encima a la cúpula populocapitalista Sanchez no podría hacerlo mejor.
Y es cierto que se parece mucho a la forma con que Corbyn acaba de reventar la "casta" de los parlamentarios del Labour. Dimitieron todos de los organos del partido, pero se quedaron en sus escaños, y ahora resulta que Corbyn gana mayoria aplastante.
Así que Sanchez convoca elecciones internas, ¿eh?
Pues eso, que la base vaya a votar.
¡Diviértanse!
Government debt fell to 91.2% of GDP in euro area
At the end of the second quarter of 2016, the government debt to GDP ratio in the euro area (EA19) stood at 91.2%, compared with 91.3% at the end of the first quarter of 2016. In the EU28, the ratio decreased from 84.5% to 84.3%.
La justicia británica establece que el Parlamento debe aprobar el ‘Brexit’
El fallo rechaza el argumento del Gobierno, que consideraba tener facultad para activar la salida
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/11/03/actualidad/1478166206_090858.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2016/11/03/actualidad/1478166206_090858.html[/url])
Asustada. Nerviosa. La vieja Europa -“vieja” como piropo- se está convirtiendo en la Europa vieja -“vieja” en el sentido de vejestorio-.
Se ha asustado cuando ha aparecido Donald Trump en Estados Unidos. Oigo toda una serie de lamentaciones. Que este señor es impresentable (verdad). Que dónde va con ese peinado (verdad). Que no hace más que amenazar (verdad). Que se va a cargar Europa (una mentira como la copa de un pino).
Dos personajes se han unido rápidamente a lo que diga y a lo que haga Donald: Nick Farage y Marine Le Pen. Dicen que hay otros en cola.
Europa se ha echado a temblar. ¡Lo que nos faltaba después del Brexit! Y ahora, el referéndum en Italia que, llenos de pesimismo, aseguramos que se va a cargar a Renzi. Y los refugiados, que vienen y vienen y bastante hacemos con intentar que no se ahoguen, porque si se ahogan, nos remuerde la conciencia, como si nosotros tuviéramos la culpa de que unos sinvergüenzas metan 500 personas en una lancha en la que caben 100.
Y Cataluña que se quiere ir de España, aunque parece que no de Europa. Y Escocia y Gales, que se quieren quedar.
Es el momento de Europa. Apasionante. Ya vale de quejarse. Ya vale de meterse con Trump. Que se metan con él los que le tengan miedo. Nosotros, a lo nuestro, o sea:
1. A fortalecer la idea de Europa.
2. A fortalecer las instituciones que ya existen, pero que tienen que existir realmente. Un Gobierno fuerte, un Parlamento fuerte, un BCE fuerte…
3. A recordar que el objetivo final es la unión política. Que no se nos olvide, porque estamos en un proyecto de un calibre fenomenal y no nos podemos entretener con bagatelas.
Necesitamos estadistas. Personas que sepan lo que soñaron los primeros y estén dispuestos a dejarse la piel para llevarlo a cabo.
Personas que nos deberían recordar que una empresa así no es para cualquiera. Y lo siento, pero los que veo de cerca –Mariano, François, Enzo– son “cualquiera”. Y si me voy a Bruselas, a Frankfurt, me encuentro con más “cualquieras”, lo que no es un insulto, ni un desprecio. Es la realidad. Porque números 1 hay uno. Los demás son número 2, 3, etc.
En Alemania hay una número 1. Ángela ya le ha recordado a Donald cuáles son los valores que hay que defender y se ha ofrecido a trabajar con él “sobre la base de esos valores“. No a soportar sus cosas. A trabajar con él, de igual a igual.
Se presenta una temporada preciosa, de fortalecimiento de Europa. Cuanto más “espectacular” se ponga Donald, más Europa.
Camino difícil, pero, repito y repito, apasionante. Porque Europa se creó para eso, para ser una potencia mundial. Y es posible que la elección de este chico, tan especial, nos haga dar un paso importante en la creación de esa potencia.
No vuelvo a decir lo de “apasionante”, porque alguien puede pensar que tengo pobreza de vocabulario (es verdad) o que soy un pelmazo (quizá).
Estoy de acuerdo con tu análisis Manu, pero no con tus conclusiones.
El liderazgo político debería implicar sobresalir por encima de las masas, mediocres por definición. No defiendo la "dictadura del político" (nada más lejos) sino la coherencia de la gestión estatal profesionalizada. En cualquier caso bienvenida sea la democracia, por absurdo (y peligroso) que sea poner a mi bisabuela a opinar sobre leyes de comercio internacional :roto2:
Que Trump haya ganado las elecciones con la bandera de la oposición al TTIP, solamente responde al ascenso de la mediocridad y el miedo. Miedo a que la industria europea termine lo que ya empezó hace años.
Hace aproximadamente un año tuve mil discusiones en este foro defendiendo que la industria europea estaba en condiciones de enfrentarse en igualdad de condiciones con la industria norteamericana. Los que defendía la salida del TTIP decían que el tratado era un caballo de troya americano.
Resulta que tienen ellos más miedo que nosotros. Los involucionistas al poder.
Empiezan impidiendo el libre comercio, pero terminarán prohibiendo libros. Y claro que ganarán elecciones. Que nadie lo dude.
Yo pregunto: ¿Que problema supone un tratado de libre comercio equitativo y bilateral?
No va a pasar nada que no sea que siga su curso la Transición Estructural del Populacapitalismo
a la Era Cero.
Desde los convulsos años de entre guerras todos los países han creado un método, cada uno a su estilo, para evitar que oportunistas, populistas y gente de extremas se aproveche de las crisis. Algo normal, porque la mentalidad de las masas es maníaco-depresiva y puede liarla muy gorda.
Dicho esto, Trump tiene las manos atadas, que nadie le tema, porque siempre lo han tenido fichado, el margen de maniobra que tiene es poco o nada.
The ECB is Preparing for the end of the Eurozone (https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/shutterstock_449306020-150x150.jpg) (https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/shutterstock_449306020.jpg) A break-up of the eurozone is not a science-fiction scenario anymore, thanks to the European Central Bank and its Public Sector Purchase Programme (PSPP). The more government bonds the ECB buys, the smaller becomes the problem of a country’s insolvency and debt conversion into French francs or Greek drachmas. Eventually, who cares if all the bonds are kept by the institution that cannot go bankrupt and that is out of the financial market?
Let us recall: the exclusion of Greece from the Euro Area was impossible in 2012 due to a large amount of Greek debt held by foreign banks, which were rescued by the ECB, the European Union and the International Monetary Fund. These institutions, called Troika, saved banks and private creditors, not the Greeks: 95% of the bailout money went to banks, as a study of the European School of Management and Technology proved.1)
For Greece the the problem is solved now and Grexit has become possible as more than three-quarters of the Greek debt is in the hands of international bailout funds.2) In the case of Grexit, the financial system will not collapse because the burden has been imposed on the German, French and Italian taxpayers and the international institutions that can afford to sustain losses made from the Greek debt because their solvency depends on governments, i.e. taxpayers again.
(https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/Greek-debt.jpg) (https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/Greek-debt.jpg)Source: CNN Money, Data from January 2015
Pulling the Greek debt out of the financial market means that the debt relief is only a political decision. And people like Wolfgang Schäuble, German finance minister, can harass the Greek authorities3) with no risk. The burden is spread on millions of citizens, while banks and banking elites will not suffer any more. Solving the problem is now in the hands of politicians.
To limit the financial chaos that is likely to ensue when France, Greece or Italy leave the euro:
1. inter bank exposure across borders should be limited;
2. sovereign debt should be limited to national banks and financial institutions;
3. the European Central Bank should mop up as much debt and liabilities as possible, which will result in litigation or disputes.
France, Italy or Greece will argue that their debts should be converted to the franc, lira, or drachma while the holders of the securities still insist that they stay in euros. If all these liabilities are held by the ECB, this problem can be solved more easily. This institution can resort to all kinds of tricks such as we saw with the Greek debt. Greek maturities have been extended to 35 years and interest payments have been postponed for 10 years.4)
The European Central Bank quantitative easing program is hardly improving the economy in the Eurozone, but at least it is providing the financial stability now that a euro-breakup it a matter of time. (For more information see our Gefira bulletin)
Greece is not a part of the Public Sector Purchase Programme; however, other EA countries’ bonds are being massively bought by the ECB. In the years 2002-2011 less than 2% of the EA’s debt was held by the Central Bank but as soon as the quantitative easing started, the share of the ECB in European bond holders has risen sharply. In the end of 2015 the share of the ECB as a holder of the EA’s government debt soared to 6%, and according to our estimations in 2016 it may be even twice higher or more, as the asset purchase program was expanded. Small countries like Slovakia, Finland, Lithuania or Slovenia could soon find themselves in the hands of the ECB, as 1/5 of their debt is already held by Frankfurt’s ECB.Government debt held by central bank (as a % of government debt) – EA19
(https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/Gov-debt-held-by-central-bank.jpg) (https://gefira.org/wp-content/uploads/2016/12/Gov-debt-held-by-central-bank.jpg)Source: ECBAt the same time, the share of other monetary financial institutions, i.e. banks, has dropped below 25%. A further decrease would minimize the risk of a euro collapse for banks. Moreover, the share of residents5) in EA’s debt holdings has increased, which means that most of the bonds can be easily converted to the local currency without big protests from the outside powers.
The public sector purchase programme, the main part of the ECB’s quantitative easing, was introduced in order to decrease the interest rates and help the local economies to rebound. However, the unwitting side effect of Mario Draghi’s policy is that the ECB has been putting itself in a position of being able to exclude a country from the eurozone. With a majority share in a country’s bond-covered debt, Frankfurt can decide which state should stay in the Eurogroup and which can be dismissed without a potential collapse on the financial market.
No tenéis la sensación de que cada vez son más pobres las navidades? Cada año veo menos regalos y más baratos. Una tendencia lenta pero clara hacia abajo.
Felices Fiestas !!!!
se hace más posible la salida ordenadaLo que está haciendo el ECB es anticipar (poner los fondos) para la fusión entre deudor y acreedor. Obviamente no va a haber ninguna expulsión.
se hace más posible la salida ordenadaLo que está haciendo el ECB es anticipar (poner los fondos) para la fusión entre deudor y acreedor. Obviamente no va a haber ninguna expulsión.
Es como decir que España va a "expulsar" a Extremadura por su deuda :roto2: En cualquier caso el gobierno central (el que tiene el poder) llevaría a cabo una reorganización que fusionase administrativamente el territorio con otras regiones.
Y aqui lo tenemos. El gobierno UE ya se impone en muchas medidas a los gobiernos nacionales. España es una región de la UE, es decir, no se puede expulsar a España de la UE como tampoco se puede expulsar a Badajoz por su deuda.
¿No se quejaban los antieuropeístas (Tsipras) de que Alemania se estaba quedando con los puertos griegos?
Entonces... como cojones van a expulsar ahora a ningún país de la EU ¿?¿?¿?
Es que no tiene sentido. Nunca antes había estado tan clara la fusión (sometimiento) a la superestructura como lo está ahora. Pensad en la UE como el gobierno federal de los USA.
EDITO: nadie en USA jamás se plantearía expulsar a Puerto Rico independientemente de su deuda. Al contrario los USA desean anexionarse más países y cuanto más pobres (débiles) mejor. Toda sudamérica por ejemplo.
Eso es lo que intenta Europa con Turquía y -como ya sabemos- las repúblicas ex-soviéticas.
¿Expulsar de la UE por la deuda país?
:rofl:
Dejad que me ría.
Draghi: “Muchos gobiernos deben darse cuenta de que perdieron su soberanía nacional hace tiempo”
6 noviembre, 2014
“Muchos gobiernos todavía deben darse cuenta de que perdieron su soberanía nacional hace mucho tiempo. Debido a que en el pasado han permitido que su deuda se acumule, ahora dependen de la buena voluntad de los mercados financieros”, asegura Draghi.
[url]https://href.li/?http://www.publico.es/444595/draghi-muchos-gobiernos-deben-darse-cuenta-de-que-perdieron-su-soberania-nacional-hace-tiempo[/url] ([url]https://href.li/?http://www.publico.es/444595/draghi-muchos-gobiernos-deben-darse-cuenta-de-que-perdieron-su-soberania-nacional-hace-tiempo[/url])
Los Estados nacionales están muertos
11 de noviembre 2010
Los Estados nacionales están muertos: el jefe de la UE dice que la creencia de que los países puede estar solo es una “mentira y una ilusión”
[url]http://www.dailymail.co.uk/news/article-1328568/Nation-states-dead-EU-chief-says-belief-countries-stand-lie.html#ixzz151IMLdmN[/url] ([url]http://www.dailymail.co.uk/news/article-1328568/Nation-states-dead-EU-chief-says-belief-countries-stand-lie.html#ixzz151IMLdmN[/url])
El órdago de Trichet: crear los Estados Unidos de Europa y monetizar deuda
1 Diciembre, 2010
Los rescates soberanos han fracasado. El mercado no duda de que habrá quitas (quiebras), agravándose así la crisis de deuda que vive la zona euro. Por ello, el BCE deja la puerta abierta a una compra masiva de bonos. Trichet pide crear los Estados Unidos de Europa. ¿La clave? Un Tesoro único.
[url]http://www.libertaddigital.com/economia/el-ordago-de-trichet-crear-los-estados-unidos-de-europa-1276408482/[/url] ([url]http://www.libertaddigital.com/economia/el-ordago-de-trichet-crear-los-estados-unidos-de-europa-1276408482/[/url])
Schroeder aboga por crear los “Estados Unidos de Europa”. europapress.es
BERLÍN, 4 Sep./2011 (Reuters/EP) –
El excanciller alemán Gerhard Schroeder ha defendido la constitución de unos “Estados Unidos de Europa” con un gobierno único que permita al bloque sortear futuras crisis económicas. El modelo pasa por la cesión de más soberanía a la UE, empezando por una armonización de las políticas fiscales.
[url]http://www.europapress.es/internacional/noticia-schroeder-aboga-crear-estados-unidos-europa-20110904175345.html[/url] ([url]http://www.europapress.es/internacional/noticia-schroeder-aboga-crear-estados-unidos-europa-20110904175345.html[/url])
España – Margallo aboga por un gobierno económico europeo por encima de los nacionales
27 febrero, 2014
El ministro de Asuntos Exteriores y Cooperación, José Manuel García-Margallo, ha abogado este miércoles por la creación de un gobierno económico europeo, que dé lugar a los “Estados Unidos de Europa” y que “controle” a los ejecutivos nacionales de los estados miembro.
[url]https://href.li/?http://ecodiario.eleconomista.es/politica/noticias/5576287/02/14/Margallo-aboga-por-un-gobierno-economico-europeo-por-encima-de-los-nacionales.html[/url] ([url]https://href.li/?http://ecodiario.eleconomista.es/politica/noticias/5576287/02/14/Margallo-aboga-por-un-gobierno-economico-europeo-por-encima-de-los-nacionales.html[/url])
Documentos TV – Los negocios de Bruselas – RTVE.es
13 octubre, 2014
Poderosos grupos de presión colaboran con las instituciones europeas mientras diseñan sus normas en materia política y económica.La gente no entiende que es la Unión Europea. No entiende cómo funciona y no sabe qué personas la gestionan, pero sí sabe que a esas personas no las eligieron los ciudadanos.
Con esta declaración del máximo representante de uno de los lobbies que operan en Europa arranca el documental de investigación ‘Los negocios de Bruselas’ ; una aclamada producción austríaco-belga participada, entre otros, por las televisiones públicas de estos dos países europeos y que Documentos TV traslada esta semana a las pantallas españolas.
El documental desentraña la influencia que ejercen los 2500 lobbies, concentrados alrededor del epicentro del poder político y económico, que es Bruselas.
Ver documental-> [url]https://www.youtube.com/watch?v=ep_KHRr124o&feature=youtu.be[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=ep_KHRr124o&feature=youtu.be[/url])
Una ONG informa que más de la mitad de los eurodiputados hacen labores externas
Los resultados obtenidos indican “niveles alarmantes en los intereses privados de los eurodiputados”, expresó la organización.
[url]https://href.li/?http://www.20minutos.es/noticia/2264837/0/eurodiputados/labores-externas/conflicto-intereses/[/url] ([url]https://href.li/?http://www.20minutos.es/noticia/2264837/0/eurodiputados/labores-externas/conflicto-intereses/[/url])
En Bruselas hay cuatro ‘lobistas oficiales’por cada eurodiputado
9 junio, 2013
Las ONG estiman que entre 10.000 y 30.000 lobistas trabajan en la sede de la Unión Europea, lo que sitúa a la capital comunitaria a la misma altura que el otro gran núcleo mundial de los grupos de presión: Washington.
“Puertas giratorias”
Las ONG denuncian la desregulación del fenómeno de las “puertas giratorias”, esto es, cuando un legislador deja su puesto en las instituciones comunitarias para fichar por un grupo de presión.
En 2010, 6 de los 13 comisarios que fueron substituidos en la Comisión Barroso II terminaron en puestos de este tipo, entre ellos el extitular de Industria Gunter Verheugen y el de Mercado Interior, Charlie McCreevy.
Cuatro ‘lobistas’ por cada eurodiputado
La huella del lobby en el Parlamento Europeo tampoco es pequeña pues existen 3.000 lobistas acreditados de forma permanente en la Eurocámara, que cuenta con 754 eurodiputados.
[url]https://href.li/?http://www.eleconomista.es/economia/noticias/4895665/06/13/En-Bruselas-hay-cuatro-lobistas-oficialespor-cada-eurodiputado.html[/url] ([url]https://href.li/?http://www.eleconomista.es/economia/noticias/4895665/06/13/En-Bruselas-hay-cuatro-lobistas-oficialespor-cada-eurodiputado.html[/url])
La mayoría de los europeos no tienen ni idea de que esto está ocurriendo…
Trabajo en un Parlamento, y observo, día tras día, con incredulidad, la normativa que se nos remite desde la UE. Desde hace aproximadamente dos años, desde el Parlamento Europeo se distribuye a los Parlamentos nacionales, y estos a los autonómicos una ingente cantidad de normas, que a su vez modifican otras, y que están unificando y regulando todos y cada uno de los ámbitos de actividad humana…
Una normativa que llena miles de hojas que son reenviadas a los correspondientes grupos políticos para que puedan presentar sus enmiendas. De manera que, al menos teóricamente, todo el mundo tendría que saber lo que está sucediendo. Pero, curiosamente, no es así. Porque nadie parece tener mucho interés en leer lo que se remite. Porque es un puro trámite al que nadie parece prestar atención. No hay tiempo. Eso es cosa de otros. Todo es cosa de otros. Eso sí, de la noche a la mañana, los contenidos de esos miles de hojas se convierten en normas de obligado cumplimiento…
[url]http://loquepodemoshacer.wordpress.com/2011/11/14/la-mayoria-de-los-europeos-no-tienen-ni-idea-de-que-esto-esta-ocurriendo/[/url] ([url]http://loquepodemoshacer.wordpress.com/2011/11/14/la-mayoria-de-los-europeos-no-tienen-ni-idea-de-que-esto-esta-ocurriendo/[/url])
se hace más posible la salida ordenadaLo que está haciendo el ECB es anticipar (poner los fondos) para la fusión entre deudor y acreedor. Obviamente no va a haber ninguna expulsión.
Es como decir que España va a "expulsar" a Extremadura por su deuda :roto2: En cualquier caso el gobierno central (el que tiene el poder) llevaría a cabo una reorganización que fusionase administrativamente el territorio con otras regiones.
Y aqui lo tenemos. El gobierno UE ya se impone en muchas medidas a los gobiernos nacionales. España es una región de la UE, es decir, no se puede expulsar a España de la UE como tampoco se puede expulsar a Badajoz por su deuda.
¿No se quejaban los antieuropeístas (Tsipras) de que Alemania se estaba quedando con los puertos griegos?
Entonces... como cojones van a expulsar ahora a ningún país de la EU ¿?¿?¿?
Es que no tiene sentido. Nunca antes había estado tan clara la fusión (sometimiento) a la superestructura como lo está ahora. Pensad en la UE como el gobierno federal de los USA.
EDITO: nadie en USA jamás se plantearía expulsar a Puerto Rico independientemente de su deuda. Al contrario los USA desean anexionarse más países y cuanto más pobres (débiles) mejor. Toda sudamérica por ejemplo.
Eso es lo que intenta Europa con Turquía y -como ya sabemos- las repúblicas ex-soviéticas.
¿Expulsar de la UE por la deuda país?
:rofl:
Dejad que me ría.
(…) El mes pasado la Alta Representante de Política Exterior y Seguridad Común, Federica Mogherini, insistía en la necesidad de dotar de contenido real a la cláusula de asistencia mutua y solidaridad de los Tratados para protegerse en caso de ataque. Y ante la amenaza terrorista en el este y sur mediterráneos solicitó un aumento de la contribución para garantizar la defensa colectiva.
Junto a las medidas antiterroristas se impulsará la armonización de políticas de inmigración, fronteras y costas con un sistema auténticamente supranacional europeo. La cercanía del EI es un claro aviso. Y ejemplo de la necesidad urgente de crear un Ejército europeo. [url]https://href.li/?http://www.eleconomista.es/firmas/noticias/7750560/08/16/Libia-por-que-ahora.html[/url] ([url]https://href.li/?http://www.eleconomista.es/firmas/noticias/7750560/08/16/Libia-por-que-ahora.html[/url])
Juncker vuelve a pedir la creación de un Ejército europeo
21 Ago. (EUROPA PRESS)”Necesitamos configurar una política exterior, de seguridad y defensa común con el fin de crear un Ejército europeo para tener la posibilidad de cumplir nuestras responsabilidades en el mundo”, dijo en la ciudad austriaca de Alpbach. [url]https://href.li/?http://www.europapress.es/internacional/noticia-juncker-vuelve-pedir-creacion-ejercito-europeo-20160821212930.html[/url] ([url]https://href.li/?http://www.europapress.es/internacional/noticia-juncker-vuelve-pedir-creacion-ejercito-europeo-20160821212930.html[/url])
Hollande / Merkel (víspera cumbre de Bratislava)
(…) Frente al drama de los actuales refugiados, solo cabe “la solidaridad” para repartirlos entre los países, pero la futura UE debe ser “equipada” para un control efectivo de sus fronteras exteriores. También por la amenaza terrorista. [url]https://href.li/?http://internacional.elpais.com/internacional/2016/09/15/actualidad/1473940020_311410.html[/url] ([url]https://href.li/?http://internacional.elpais.com/internacional/2016/09/15/actualidad/1473940020_311410.html[/url])
Para Donald Tusk, la mayor preocupación de la UE es “el orden en sus fronteras exteriores”
(…) el presidente del Consejo, Donald Tusk, expresó bien a las claras que la mayor preocupación de los 27 se reduce a “restaurar el orden en sus fronteras exteriores” para conseguir “una reducción de los flujos irregulares hacia la UE”. [url]https://href.li/?http://internacional.elpais.com/internacional/2016/09/21/actualidad/1474483329_759616.html[/url] ([url]https://href.li/?http://internacional.elpais.com/internacional/2016/09/21/actualidad/1474483329_759616.html[/url])
Presidente del BCE M.Draghi
25/10/16“Hay un pesimismo muy extendido. Pero la integración europea avanza. No en las áreas que nos parecían más importantes hace unos años, sino en las que más interesan ahora a los ciudadanos: migración, seguridad y defensa” [url]https://href.li/?http://economia.elpais.com/economia/2016/10/25/actualidad/1477422339_281528.html[/url] ([url]https://href.li/?http://economia.elpais.com/economia/2016/10/25/actualidad/1477422339_281528.html[/url])
Me parece bien la opinión social-liberal sobre los refugiados. Opino que la libre circulación de capitales debe ir acompañada de la circulación de personas.
Pero ésta opinión, que comparto, es incompatible con la otra (muy generalizada y que no comparto) acerca de una supuesta "Europa de las corporaciones" lejos de los ciudadanos, la opinión de un europarlamento "vendido" a las empresas, y demás zarandajas new-age destinadas a engatusar mentes despistadas.
Si alguien aqui quiere a los refugiados bien lejos son la mayoría silenciosa de ciudadanos europeos, trabajadores medioclasistas que verían sus trabajos (y el futuro de sus hijos) dumpeados por hordas de inmigrantes semicualificados a precio irrisorio.
Las empresas capitalistas están encantadas con mano de obra barata acostumbrada a nulos derechos laborales. Si alguien aqui presiona para que entren inmigrantes, son las corporaciones capitalistas, véase Alemania país capitalista de derechas haciendo horas extra para absorber el máximo de horas trabajadas posibles.
Defender las dos posiciones a la vez es imposible.
Lelde Smits: So are you at all concerned about the impact of Brexit to the EU, what will it be to the EU?
Steve Keen: My feeling about Brexit has always been that England is only a partial member of the club to begin with, it never joined the Euro, which is a gigantic difference between itself and the other economies.
Steve Keen: I think, England has got out thinking, “We’ve got away and what a big mistake we’ve made, we’ve lost access to this big market, etcetera, etcetera…”
I think at some stage the club is going to disband. Because quite possibly Italy, and certainly if Marine Le Pen wins in France, they’re going to leave the club. And once they are gone, the club won’t be there anymore.
Lelde Smits: But Steve –
Steve Keen: Brexit may be Britain getting out of the whole thing before the others getting out and being in a better situation because they are more prepared.
and certainly if Marine Le Pen wins in FranceLas estimaciones otorgan al FN un 25% de los votos.
Citarand certainly if Marine Le Pen wins in FranceLas estimaciones otorgan al FN un 25% de los votos.
Keen utiliza un dato estadisticamente remoto como punto de partida para establecer una hipótesis contraviniendo todo principio de búsqueda de la verdad. Encima presenta una conclusión (el fin de EU) como algo plausible dentro de dicha hipótesis.
Creo que está intentando meter miedo.
Movilizar al electorado centrista.
How Deutsche Bank Made a $462 Million Loss Disappear
A dubious trade leads to a criminal trial for Europe’s most important bank.
On Dec. 1, 2008, most of the world’s banks were still panicking through the financial crisis. Lehman Brothers had collapsed. Merrill Lynch had been sold. Citigroup and others had required multibillion-dollar bailouts to survive. But not every institution appeared to be in free fall. That afternoon, at the London outpost of Deutsche Bank, the stolid-seeming, €2 trillion German powerhouse, a group of financiers met to consider a proposal from a team led by a trim, 40-year-old banker named Michele Faissola.
The scion of an Italian banking family, Faissola was the head of Deutsche’s global rates unit, a division that created and sold financial instruments tied to interest rates. He’d been studying the problems of one of Deutsche’s clients, Italy’s Banca Monte dei Paschi di Siena, which, as the crisis raged, was down €367 million ($462 million at the time) on a single investment. Losing that much money was bad; having to include it in the bank’s yearend report to the public, as required by Italian law, was arguably much worse. Monte dei Paschi was the world’s oldest bank. It had been operating since 1472, not long after the invention of the printing press, when the Black Death was still a living memory. If investors were to find out the extent of its losses in the 2008 credit crisis, the consequences would be unpredictable and grave: a run on the bank, a government takeover, or worse. At the Deutsche meeting, Faissola’s team said it had come up with a miraculous solution: a new trade that would make Paschi’s loss disappear.
The bankers in the room had seen some financial sleight of hand in their day, but the maneuver that Faissola’s staffers proposed was audacious. They described a simple trade in two parts. For one half of the deal, Paschi would make a sure-thing, moneymaking bet with Deutsche Bank and use those winnings to extinguish its 2008 trading losses. Of course, Deutsche doesn’t give away money for free, so for the second half of the deal, the Italians would make a bet that was sure to lose. But while the first transaction was immediate, the second would play out slowly, over many years. No sign of the €367 million sinkhole would need to show up when Paschi compiled its yearend financial reports.
The audience for the proposal that day was Deutsche’s global market risks assessment committee, a top-level panel that reviews transactions with legal, regulatory, and reputational considerations. Respectively, that means asking: Is a given trade within the law? Is it within the looser framework of industry rules and standards? And even if so, can Deutsche pull it off without maiming its brand—its basic ability to operate as a trustworthy member of the global financial system?
To at least one member of the committee, the possibilities of Faissola’s trade seemed wondrous. “This is fantastic,” said Jeremy Bailey, Deutsche’s European chairman of global banking, according to testimony of an executive who later recounted the exchange for an internal disciplinary panel. “You can book a [profit] in front and spread losses over time?” Bailey added. “We should do it for Deutsche Bank.”
Ivor Dunbar, the meeting’s chairman, curbed Bailey’s enthusiasm. “We are not discussing [our] balance sheet here,” he said. (Bailey, through a spokesman, denies he made the remarks.)
Outside the room, one of Faissola’s longtime colleagues was raising questions about the deal. William Broeksmit, a managing director who specialized in risk optimization, was concerned about the winner-loser construction. A Chicago-born son of a United Church of Christ minister, Broeksmit had decades earlier been a pioneer in interest rate swaps, the financial instruments that had rewritten the possibilities—and profitability—of investment banking. But Broeksmit, 53, was also against reckless derivative deals, which is how he viewed Faissola’s proposal, according to a person familiar with his thinking. Eleven minutes after the meeting began, Broeksmit e-mailed one of its attendees with a warning about the Paschi trade and its “reputational risks.”
The message had no effect. When the meeting ended after almost 90 minutes, Faissola got a go-ahead—setting in motion a scandal that has resulted in a criminal trial now under way in Milan. A judge there has accused Deutsche Bank and five former executives, including Faissola and Dunbar, of colluding with Paschi to falsify its accounts in 2008. (None of Deutsche’s top managers at the time has been accused of wrongdoing. Faissola declined to comment for this article, as did both banks. Dunbar didn’t respond to requests for comment.)
Eight years after the financial crisis, the stakes could hardly be higher. Being the biggest bank in Germany makes Deutsche the most important bank in Europe, and the Paschi trial is an uncomfortable reminder that its operations, already with barely enough capital to meet industry standards, are threatened by persistent scandal. Deutsche is also facing investigations into whether it helped clients launder billions out of Russia. This month the bank agreed to pay $7.2 billion to resolve a U.S. probe into its subprime mortgage business, admitting it misled investors. Deutsche has paid more than $9 billion in further fines and settlements related to claims of tax evasion; violating sanctions against Iran, Libya, Syria, Myanmar, and Sudan; rigging the $300 trillion Libor market; and other alleged breaches of the law.
The strain has intensified concerns about Deutsche’s balance sheet, which contains one of the world’s largest pots of most-difficult-to-quantify risk. The bank says it’s trimmed some of its exposure, as John Cryan, who became chief executive officer in 2015, attempts to clean up his predecessors’ messes. But if Deutsche ever requires government help, such as a bailout, the effects could be catastrophic for more than shareholders. In recent years, as the euro community has faced one solvency problem after another in Greece, Portugal, and elsewhere, Germany’s Angela Merkel has been chief scold. She’s insisted on fiscal pain for irresponsible actors and pushed for banking rules that keep taxpayers from picking up the bills again for reckless financiers. Her government coming to the aid of Deutsche Bank after lecturing others on restraint would be the ultimate euro zone irony. In a worst-case scenario, it could trigger a furor that finally brings down the continent’s currency, already made fragile by Brexit, refugees, and the rise of nationalist politicians.
The bank’s deal with Paschi is a microcosm of how Deutsche’s embrace of derivatives, questionable accounting, and slow-walking of regulators have eroded the market’s trust to the point that no one really knows how close the company is to the edge. What exactly happened in the days surrounding the December 2008 meeting in London is key to the Italian prosecution. The German financial-markets regulator, known as BaFin, already tried to get to the bottom of the matter, commissioning an independent audit in January 2014.
The ensuing report has never been made public, but Bloomberg Businessweek obtained a copy. It shows that auditors asked Faissola what happened that afternoon in London. Other participants recalled details and dialogue, the report says, but Faissola drew a blank about the event he’d helped run. Broeksmit wasn’t interviewed. On Jan. 26, 2014, the day before the audit began, his body was found at his London home, hanging from a dog leash.
Founded in 1870, Deutsche Bank was for most of its existence content to take deposits and make loans; in the 1920s it participated in the founding of the airline Lufthansa and the merger of automakers Daimler and Benz. Then, in the 1980s and ’90s, Deutsche watched as rival lenders in London and across the U.S. turbocharged profit growth by snapping up boutique investment banks and hiring or building teams to sell higher-margin financial products. To join the bonanza, Deutsche in 1995 hired one of its leaders from Merrill Lynch: Edson Mitchell, a redheaded chain smoker from Maine who was nurturing a team of future financial leaders. His crew included Broeksmit, the swaps innovator, and Anshu Jain, a prodigy at selling such risky, fee-laden products to hedge funds. Three years later, Deutsche made an even more emphatic attempt to buy its way into investment banking’s culture and profits, acquiring Bankers Trust—a New York derivatives house notorious for its cowboy culture—for about $10 billion.
If longtime Wall Streeters gawked at first at the German interloper, they quickly recognized that Deutsche had adopted their aggression and then some: Mitchell and his deputies expanded Deutsche’s London-based investment banking operation until it made half the bank’s revenue by the turn of the century.
Mitchell didn’t live to see Deutsche complete its transformation into a financial omnivore. Three days before Christmas 2000, he was riding in a small Beechcraft Super King Air 200 plane along the coast of Maine toward his vacation home in Rangeley. The wreckage was found the next morning, not far from the summit of Beaver Mountain. He was 47. Afterward, Jain took over as head of global markets. One of his deputies was Faissola.
Faissola represented the next generation in Deutsche’s investment banking push. He was born in 1968 in Sanremo, the coastal town whose legendary song contest launched the tune Volare, and his uncle was president of the Italian banking association. While running Deutsche’s global rates division in London for Jain, Faissola built his own fortune, at times earning tens of millions of pounds a year. He drew the jealousy of British co-workers because, as a foreigner, he was able to legally avoid U.K. tax on his bonuses. Faissola’s town house in Chelsea featured an indoor pool.
In the first years of the millennium, Deutsche bankers chased new sources of riches around the globe. People who piled into uncharted areas or pushed the rules were rewarded handsomely. Starting in 2005, Deutsche traders in Europe, North America, and Asia manipulated a benchmark interest rate to benefit their own derivative bets, according to an indictment made public last year in federal court in New York City. Deutsche’s most profitable derivatives trader earned a bonus of almost £90 million (then $130 million) in 2008 alone. Deutsche bankers also increased their bonuses in the runup to the crisis by creating and selling to clients mortgage securities that were marketed as high-quality investments but were in fact loaded with home loans destined to go bust. For clients, Deutsche became a go-to bank when they wanted risk and complexity.
In May 2002, when it was 530 years old, Monte dei Paschi asked Deutsche Bank to sell it something complicated. Paschi had recently listed its shares on the Italian stock exchange and was under pressure to grow. It owned a piece of another bank known today as Intesa Sanpaolo and wanted to convert some of that stake into cash for acquisitions, while still benefiting from any rise in Intesa’s shares—a kind of have-cake-and-eat-it-too arrangement. It was exactly the kind of bespoke financial product the new, risk-friendly Deutsche was growing fat on. The two banks created a venture called Santorini Investments—essentially, a derivative bet in the form of a company. The bet would pay off if Intesa shares rose and would lose value if they fell. Later restructuring made Paschi the sole shareholder.
The switch meant that in 2008, when bank stocks tanked in the worldwide financial crisis, Paschi took all of the losses, which swelled from €180 million in early October to more than €300 million in the following weeks. The bank’s own shares were on their way to losing half their value since the start of the year. If Paschi included the Santorini loss in its Dec. 31 reports, the consequences would be dire: Italy’s central bank could take over its administration or force a bailout that would wrest control from its owners, a politically connected Siena foundation. As the losses grew, Deutsche executives knew time was running out for Paschi to find a solution. Having done the first deal, they went to Paschi management with a proposal for a second that would both help the Tuscan bank and be a new source of fees for Faissola’s group. On Nov. 3 they sent Paschi draft contracts for the sure-to-win/sure-to-lose trade that straddled the new year. Each prong of the bet simply wagered on an index that was the exact inverse of the other. Essentially, the trade had little economic purpose—only an accounting one.
That’s typically a red flag to auditors and regulators, and it took almost a month for Deutsche to alter the deal so it contained a small amount of actual risk. The bankers did this by mixing in two interest rate triggers—that is, prices to be fed into a formula that would determine how much money the participants in the trade had to pay or receive from each other. But that created a slight possibility that Paschi could win both sides of the bet. To mitigate this potential Deutsche loss—as much as €500 million—Deutsche added a third trigger. Underlying the now complex flowcharts of rates, payments, and triggering events was the asset on which the transactions were to be based: about €2 billion in Italian government bonds.
Further illustrating the incestuousness of the deal, Paschi would need to buy the bonds and hand them over to Deutsche as collateral. Deutsche, for the sake of its own accounting, would need to sell the bonds to come up with cash that it then would give right back to Paschi to pay off the Santorini loss. And Paschi would buy the bonds in the first place from a third bank that had bought them from Deutsche.
By Dec. 1, 2008, Faissola’s group was ready to present the deal to Deutsche’s risks assessment committee, which sent it along to a final bureaucratic stage: the market risk management approval committee, where Broeksmit had influence. Top management had just handed Broeksmit broad authority to police risk across the firm, rehiring him after he’d taken a hiatus as a consultant. Michele Foresti, a managing director who reported to Faissola, e-mailed Broeksmit on Dec. 2, copying his boss. “I understand market risk management doesn’t want to give us green light to close this transaction,” Foresti wrote, noting the small chance of a €500 million loss. “I feel the risks are important but we should be able to manage them, could we sit down to discuss as soon as you have 5 mins?” Broeksmit’s reply was terse: “I think this should be presented to Anshu.”
Anshu Jain was by then co-head of investment banking at Deutsche. Foresti sent another e-mail at 3:52 p.m. the next day: “still waiting for [committee] approval, faissola is in anshu’s office.” What, if anything, Jain knew about the deal was an avenue later explored in the German regulator BaFin’s audit. It found no evidence to suggest Jain was aware of the transaction and couldn’t conclude whether he’d been involved in its approval. Jain told the inquiry that he wasn’t part of that process, though he couldn’t rule out having heard about the Paschi transaction in a general meeting. Faissola said he couldn’t recall having talked with Jain about the transaction. Faissola could have been in Jain’s office for many reasons. (Jain declined to comment for this article. Foresti, who’s a defendant in the Milan case, also declined to comment.)
Deutsche’s risk committee signed off on the Santorini project by the end of the day, after first securing a concession that Paschi would sign a memo pledging to inform its own auditors about the deal and consult its own legal and accounting advisers. The two parties executed the first part of the trade that night by phone, and the rest of the paperwork was signed over the following two days.
The deal allowed Paschi an immediate gain of €364.1 million, neutralizing the derivative loss. Deutsche netted about €60 million in fees, according to documents seen by Bloomberg Businessweek. Internally, the profits were credited to Faissola’s unit.
Deutsche also benefited from the way it accounted internally for its side of the deal. That complex shuttling of Italian bonds? The bank decided that all of the back-and-forth maneuvers cancelled themselves out and did not need to appear on its balance sheet. Deutsche began to apply the practice to transactions around the world, totalling more than $10 billion that never showed up on its books and making the bank look smaller and less risky than it really was. In September 2009, it was Broeksmit again who took notice. In an e-mail about a similar deal, he wrote that such accounting techniques “may be a rounding error at this point, but [they are] growing quickly.”
An anonymous whistle-blower contacted Italian authorities and the U.S. Federal Reserve about Santorini, and they started parallel probes in 2011. In the fourth quarter of that year, Deutsche appeared to resist the Fed’s questions, and likely because of the delays and insufficient replies—according to the BaFin audit—the Fed issued a subpoena in April 2012.
Jain was promoted to co-CEO the next month. He proposed Broeksmit as the new chief risk officer, but had to back off after BaFin objected, noting that he’d never managed a large number of employees. Broeksmit retired in February 2013—out of the bank, but well aware of the mounting investigations into the Deutsche-Paschi deal. In subsequent months he complained to a psychiatrist that he was suffering from anxiety about being investigated.
At the same time, Santorini exploded in Italy as a national scandal. In January 2013, Bloomberg News reported that Paschi executives had used the deal to improperly obscure losses—provoking criminal investigations, tanking the bank’s stock, and, in February 2013, leading to a government bailout of €4.07 billion.
Among the casualties was David Rossi, Paschi’s communications chief. At about 9 p.m. on March 6, a bank employee noticed that Rossi was missing from his fourth-floor office. A window had been left open. Authorities found Rossi’s body in a courtyard below. Rossi, 51, wasn’t himself the subject of any inquiries, but his home had been searched two weeks earlier by police. His death was at first ruled a suicide, but the inquest has been reopened based on evidence his wife presented, including security video that shows Rossi fell out backward.
Several months after Rossi’s death, in January 2014, Broeksmit was supposed to meet his wife of almost 30 years at a cafe near their home in the South Kensington neighborhood of London. He didn’t show. When she returned home, she found his body hanging from the leash attached to a door. In a dog bed, he’d left suicide notes, including one addressed to Jain, his longtime colleague. The New York Post reported last year that the note to Jain contained an apology. A summary of Deutsche Bank’s own review of the suicide, seen by Bloomberg Businessweek, doesn’t mention the note and says the review found no direct link between Broeksmit’s death and his work at Deutsche.
BaFin’s auditors interviewed Faissola on Aug. 28, 2014. He told them he couldn’t recall details of the period in which the Santorini deal closed. Faissola also said he couldn’t recall telling Deutsche’s lawyers in 2012 that the transaction could be characterized as “window dressing” Paschi’s financials, as another source had told the investigators.
Faissola laid blame on Paschi and defended his role. “Nobody could have anticipated that the top management of a top European bank, fully regulated, with credible advisors and auditors, had allegedly ‘crooks’ on the board,” he told auditors hired by BaFin. Faissola left Deutsche Bank in 2015, as did Jain and his co-CEO, Jürgen Fitschen. (Neither Jain nor Fitschen is accused in the Italian case.)
In February 2016, Deutsche said BaFin had closed its inquiries into Paschi and other matters, pointing to changes the bank had implemented and further measures it planned to take. An overhaul of the management board and the departure of senior executives contributed to the regulator’s assessment that the company had done enough, a person with knowledge of the matter said at the time.
On Oct. 1, 2016, a judge in Milan handed down his indictment in the Santorini affair. The trial, which began with an initial hearing in December, is expected to run throughout 2017. Doubts about the financial health of Deutsche Bank have eased, but the stock is still about 80 percent below its 2007 high, and with legal costs uncertain, management hasn’t ruled out needing to raise more capital. New CEO Cryan is expected to introduce a strategy as soon as February, when the bank announces its final 2016 results, which analysts estimate will barely show a profit. Brought in to right the ship, Cryan has been contrite. “We didn’t always control ourselves,” he said at a Davos panel on Jan. 17. And those big bonuses? Gone. Senior employees won’t be getting any for the last year.
Meanwhile, Paschi is about to be nationalized in the biggest bank takeover by the state since the 1930s. And Faissola has kept busy. After his resignation he founded an investment company, based in Jersey in the Channel Islands, called F.A.B. Partners. The F stands for Faissola. It counts among its clients the Qatari government. With a stake of almost 10 percent, the regime is the biggest shareholder in Deutsche Bank. According to recent reports, Faissola’s latest project is advising the Qataris on whether to boost that position—and extend his former employer a lifeline.
In Stunning Admission, Draghi Says A Country Can Leave Eurozone But Must "Settle Bill First"
by Tyler Durden
Jan 21, 2017 12:50 PM
Less than 4 years ago, and shortly after his infamous "whatever it takes" threat to speculators, Mario Draghi responded to a question from Zero Hedge readers, saying "there is no Plan B" when it comes to contingency plans for a Eurozone nation leaving the monetary union. The reasoning was simple: the mere contemplation of such a scenario assigned a probability to its occurrence, which is why the ECB was desperate to give the impression that no matter what, Europe's cohesion is unbreakable.
Fast forward four years later, when not only has this particular strategy been thoroughly rejected, but for the first time ever the head of the ECB provided a framework, vague as it may be, laying out what a Eurozone exit would look like.
In a letter to two Italian lawmakers in the European Parliament released on Friday, and first reported by Reuters, Mario Draghi implied that a country could leave the euro zone - so much for "No Plan B" - but first it would need to settle or debts with the bloc's TARGET2 payments system before severing ties.
"If a country were to leave the Eurosystem, its national central bank's claims on or liabilities to the ECB would need to be settled in full," Draghi said in the letter. He did not specify in what currency the "settlement" would have to take place. It was also not clear just what the ECB would do in response if a country did not "settle its claims in full": at last check the ECB did not have a policy-enforcing army.
As Reuters confirms, the comment by Draghi is "a rare reference by Draghi to the possibility of the currency zone losing members." We would say not just "reference" but admission that a Italexit is all too possible, however the only way the ECB would allow it, would be for Italy first to pay its €357 billion TARGET2 bill (which various confused and clueless tenured economists over the past five years claimed would never be used by the ECB as a bargaining chip in "exit" negotiations and has no political implications; oops).
To be sure, the beneficiary of such a transfer payment would be the country most reliant on the perpetuation of the status quo: Germany, which has some €754 billion in Target2 "assets" which could be nullified should one or more Eurozone countries exit without satisfying their payment obligations.
In the letter, Draghi reiterated that the imbalances were due to the ECB's own bond buying-program, where many of the sellers are foreign investors with accounts in Germany, and ensuing portfolio rebalancing.
Draghi's admission that "QuItaly" or UscIta as it is known domestically - is an all too real possibility coincides with a groundswell of anti-euro sentiment in Italy and other euro zone states, fueled in part by last June's unprecedented decision by Britain to leave the European Union.
The threat of defaults on cross-border debts has often been credited as one element keeping the euro zone together throughout the financial crisis. As these payments are not generally settled, weaker economies including Italy, Spain and Greece have accumulated huge liabilities towards Target 2 while Germany stands out as the biggest creditor with net claims of 754.1 billion euros.
Target 2 imbalances have worsened in recent months, with Harvard economist Carmen Reinhart warning of capital flight from Italy. This can be seen in the chart below, which confirms that below the calm surface portrayed by low - if recently rising - Italian bond yields, tremendous capital imbalances are piling up.
Draghi's admission, which is meant as a quasi-threat to Italy, may have opened up a whole new can of worms for European stability in addition to concerns about Trump, because not only has Draghi confirmed that an exit from the Eurozone has been explicitly modeled by the central bank, but also lays out the conditions under which it would be considered and permitted.
More importantly, it also once again provides the basis for an aggressive "negotiation", potentially escalating to rancorous bargaining between Italy and Germany, as suddenly the ECB has made it clear that Italy's gain in a "hypothetical" Euro zone exit would be a tremendous loss for Berlin and Merkel. We are confident that the question of "how much" preventing such a loss would be worth to Merkel, will emerge in very short order. As for what Draghi's statement means for countries with a far smaller Target2 liability which may also consider exiting the monetary union, the answer is two words: "green light."
([url]http://i.imgur.com/FjtpLun.png[/url])
me estoy imaginando un duelo Macron-Le Pen y eso será interesante porque se trata de un astutísimo servidor de la plutocracia globalista muy bien posicionado en plan centroizquierda "votable". Hasta está casado con una exprofesora suya que le saca 20 años (las "Charettes " galas en el bote). Al final veo a Francia "lampeduseando" y el único factor desestabilizador queda en Alemania (y ahí el sistema electoral permite coaliciones de todo tipo para proteger el sistema)
me estoy imaginando un duelo Macron-Le Pen y eso será interesante porque se trata de un astutísimo servidor de la plutocracia globalista muy bien posicionado en plan centroizquierda "votable". Hasta está casado con una exprofesora suya que le saca 20 años (las "Charettes " galas en el bote). Al final veo a Francia "lampeduseando" y el único factor desestabilizador queda en Alemania (y ahí el sistema electoral permite coaliciones de todo tipo para proteger el sistema)
Esto se puede poner muy calentito si, como en EEUU, empiezan a "aflorar" escándalos: [url]https://www.bloomberg.com/politics/articles/2017-01-26/french-frontrunner-rocked-by-probe-offering-opening-to-rivals[/url] ([url]https://www.bloomberg.com/politics/articles/2017-01-26/french-frontrunner-rocked-by-probe-offering-opening-to-rivals[/url])
([url]http://i.imgur.com/MZ5MwGI.png[/url])
([url]http://i.imgur.com/Orm577w.png[/url])
([url]http://i.imgur.com/7fFVBPF.png[/url])
Parece que la prensa va a saco a por Fillon, de quien casualmente ahora se saben muchas cosas nuevas.
Me fio de Saturno ya que estoy seguro de que lo sigue mucho más de cerca, pero no las tengo todas conmigo respecto a FN. Una alta abstención de los votantes "mainstream" podría hacernos un Trump en Francia.
Hablando de Europa, o de la UE que no es lo mismo.
El Parlamento de la UE está tratando de implantar una decisión de su presidencia: Impedir la retransmisión de Discursos de Parlamentarios que a juicio de la Autoridad puedan ser "De Odio".
Es decir, en la Unión Europea se Implanta progresivamente la Censura Previa a............los Parlamentarios Elegidos en los Estados miembros. ¿Queda algún foro para hablar libremente?
Esto no es de ahora, viene de lejos porque Europa Continental no entiende de Libertad --que no es "libertades otorgadas"-- ni de Democracia --soberanía de los Ciudadanos--.
En estas condiciones la pregunta de Gorbachov cada vez tiene más sentido. ¿Se dan ustedes cuenta de que cada vez se parecen más a la Unión Soviética?
Este edicto de la Presidencia del Parlamento arranca de hace unas pocas semanas y es "otra" reacción de la UE tras el Brexit y la victoria de Trump.
La conclusión es que Europa Continental no tiene verdaderas Democracias sino un Régimen Mixto en el cual coexisten Instituciones Aristocráticas y élites Oligopólicas y Despóticas. Por ejemplo esta última decisión.
La palabra democracia ya es un significante vacío y la realidad que viene es..........para salir corriendo. Como han hecho los Británicos.
Me temo que el dicho "la niebla del canal ha dejado al Continente aislado" tiene más miga de lo que parece a simple vista.
Buenos días
[url]http://www.lavanguardia.com/internacional/20170207/414077483301/parlamento-europeo-interrumpir-emision-discursos.html[/url] ([url]http://www.lavanguardia.com/internacional/20170207/414077483301/parlamento-europeo-interrumpir-emision-discursos.html[/url])
Entrevista | Rüdiger Safranski
“Hoy la tiranía es de la aprobación populista, de las redes sociales”
El filósofo ha sido la estrella del 60º aniversario del Instituto Goethe
[url]http://cultura.elpais.com/cultura/2017/02/06/actualidad/1486393859_199566.html[/url] ([url]http://cultura.elpais.com/cultura/2017/02/06/actualidad/1486393859_199566.html[/url])
Por qué a muchos liberales españoles les gusta Donald Trump
El presidente de EEUU es de derechas y buena parte de su ideología se basa en contradecir y fastidiar a la izquierda. ¿Tendrá algo que ver eso con ciertos apoyos?
[url]http://blogs.elconfidencial.com/cultura/el-erizo-y-el-zorro/2017-02-07/donald-trump-liberalismo_1327587/[/url] ([url]http://blogs.elconfidencial.com/cultura/el-erizo-y-el-zorro/2017-02-07/donald-trump-liberalismo_1327587/[/url])
¿Creéis que los rumores de affaire homosexual de Macron le pueden pasar factura? A lo mejor tengo al pueblo francés en excesiva estima, pero pienso que no va a influir en absoluto, salvo que saquen algo más serio y que tenga la menor importancia.
Three left-leaning German parties would now win enough combined support to oust Chancellor Angela Merkel in September's election, according to an opinion poll by the INSA institute to be published in Bild newspaper on Tuesday.
The newspaper said in advance of the report that it was the first time "in a long time" that a left-of-center coalition would have enough support to knock the Christian Democrats out of office.
The three parties had enough votes to form a coalition after the last election in 2013 but opted not to join forces because of lingering SPD opposition to alliances with the hard-left Linke party. Support for all three parties fell after that and was long short of a majority before the INSA opinion poll.
The poll found that the Social Democrats would win 31 percent to 30 percent for the conservatives, unchanged in the last week. The Linke party would win an unchanged 10 percent and the pro-environment Greens were also steady, winning seven percent for a total of 48 percent for all three leftist parties.
That would leave just 47 percent for the three other parties likely to clear the 5 percent threshold and win seats in the next parliament, the poll of 2,028 voters found.
The CDU and their Bavarian sister party would win 30 percent, the Free Democrats (FDP) 5 percent and other smaller parties below the 5 percent threshold, according to the poll.
Kant's AI program predicts that Le Pen would take 28 percent of the vote in the first round, he said, which would best 16.4 percent for Fillon, and 19 to 20 percent for Macron.
Current inputs are pointing to a Macron victory in the second round — 52.3 percent to 47.7 for Le Pen — Kant said, but he added that he expects the right-wing politician to gain considerable ground after a first round victory.
"If she wins the first round, this dynamic will change," he said, noting the similarities between the populist appeal of Le Pen and President Donald Trump.
En V/F: Paul Magnette (el especialista de la UE que bloqueó el tratado con Canadá)
[url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url] ([url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url])
Buen diagnóstico.
En V/F: Paul Magnette (el especialista de la UE que bloqueó el tratado con Canadá)
[url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url] ([url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url])
Buen diagnóstico.
L’euro, vous le voyez plutôt comme une réussite ou un échec?
C’est une monnaie mal pensée. Elle a été conçue selon une logique monétariste: créons une monnaie et l’économie suivra. Cela n’a pas marché. La convergence économique ne s’est pas réellement produite par l’effet de l’euro. Cela n’a pas non plus amené à créer une vraie politique économique européenne: il n’y a pas de vrai budget, pas de vraies ressources propres. Une union monétaire sans union économique a pour seul effet de neutraliser la variable monétaire dans les ajustements entre les Etats membres. Du coup, l’ajustement se fait sur des législations sociales et fiscales qui n’ont pas convergé. Cela a produit ce qu’on pouvait craindre: l’euro a accéléré une dérégulation sociale et fiscale, il a inversé la logique de l’Union européenne.
El euro, cómo lo ve, ¿un éxito o un fracaso?
Es una moneda mal pensada. Concebida según una logica monetarista: creamos una moneda, y la economía se adaptará. No ha funcionado. No hubo convergencia económica por efecto del euro. Tampoco trajo una verdadera politica economica europea : no hay presupuesto real, ni recursos propios reales.
Una unión monetaria sin unión economica ha tenido como único efecto el de neutralizar [el factor convergente de] la variable monetaria [acentuando las divergencias] en los ajustes [respectivos] de los propios Estados miembro.
De tal forma que los ajustes se han llevado a cabo sobre las legislaciones sociales y tributarias, pero sin hacerlas converger. Y el resultado ha sido el que podía temerse: el euro aceleró la desregulación social y tributaria, invirtiendo así lo que era la lógica inicial de la UE.
C’est-à-dire?
Toute la logique de l’Union européenne est une logique de convergence et de protection. Aujourd’hui, il y a une asymétrie fondamentale: la monnaie est contraignante; la libéralisation se décide à la majorité absolue des États membres; mais l’union sociale et l’union fiscale, c’est l’unanimité. Donc il y a quelque chose de bancal dans le système. Ce sont une vingtaine d’années qui ont complètement retourné le sens de l’Union européenne. Parce que jusqu’alors, la logique des traités fondateurs, l’idée c’était toujours: je dé-régule au niveau national mais je re-régule en même temps au niveau européen.
¿Es decir?
Toda la lógica de la U.E. descansa en una lógica de convergencia y de protección. Hoy, tenemos una asimetría fundamental:
-- la moneda funciona como un corsé;
-- la liberalización [regulatoria] se decide a la mayoría absoluta de los E.miembro; pero
-- la unión social y tributaria, requiere la unanimidad.
Por tanto, es como si todo el sistema estuviera cojeando.
Han bastado un par de decenios para darle completamente la vuelta al significado de la U.E. Porque hasta sus inicios, dentro de la lógica de los tratados fundacionales, la idea era siempre la misma:
des-regulación a nivel nacional pero al mismo tiempo res-regulación a nivel europeo
[url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url] ([url]http://www.lecho.be/dossier/maastricht/Paul_Magnette_L_Europe_est_en_train_de_se_desintegrer.9859074-8732.art[/url])
Cette période est aussi celle qui mène aux élargissements de l’Union européenne, une erreur?
D’un point de vue géopolitique, il fallait faire ces élargissements. Le problème, ce sont les conditions qu’on y a mis qui étaient très faibles. Il aurait fallu dire: il faut un jour entrer dans l’euro, on va vous aider — et vous forcer — à atteindre les conditions économiques, à faire de la convergence. Au lieu de ça, on s’est dit: les travailleurs (roumains, bulgares, polonais, hongrois…) vont aller là où on manque de travail, en Europe occidentale. Et le capital (français, allemand…) va aller là où on manque de capital, en Europe centrale.
Este periodo es también el de la ampliación de la UE. ¿Fué un error?
Desde un punto de vista geopolícito, las ampliaciones eran necesarias.
EL problema fue poner condiciones muy débiles. Convenía decir: en tal día tenéis que entrar en el euro,vamos a ayudarles -- y forzarles -- a alcanzar las condiciones económicas para ello, a hacer convergencia.
Pero en lugar de ello, nos dijimos : que los trabajadores (rumanos,búlgaros, polacos, húngaros...) puedan ir allá donde falta trabajo, a Europa occidental. Que el capital (francés, alemán...) pueda ir allá donde falta capital, a Europa central.
C’est précisément ce qui s’est passé.
Oui, du point de vue de l’économie abstraite, c’est formidable: les facteurs s’allouent naturellement là où ils doivent aller. C’est la magie de la main invisible. Sauf que pour les gens, c’est brutal. Dans nos pays, ça déstructure complètement les systèmes de sécurité sociale. Et pour les pays d’Europe centrale, c’est une catastrophe: la Roumanie a perdu les 15% les plus jeunes et les plus costauds de sa population! Et les conséquences politiques sont dramatiques. On est dans un moment de désintégration politique complet. Jusqu’ici l’Europe n’avait jamais reculé, là elle recule. Et ce n’est pas fini à mon avis.
Así es como ocurrió precisamente.
Así es, desde el punto de vista de la abstracción económica, es algo formidable : la asignación automática de los factores se produce ahí donde éstos deban desplazarse. Es la magia de la mano invisible. Salvo para la gente, porque es brutal.
En nuestros paises, se traduce por une desestructuración completa de los sistemas de seguridad social. Y para los paises de Europa central, es una catástrofe : Rumanía ha perdido el 15% de los más jóvenes y más fuertes de su población ! Las consecuencias políticas son dramáticas.
Vivimos un momento de desintegración política total. Hasta ahora, Europa no había retrocedido nunca, pero ahora, retrocede. Y el proceso no ha terminado, me parece.
Quel scénario pour l’Europe après le Brexit, dans un horizon de 25 ans?
J’imagine bien le Brexit être suivi par un Polxit, un Hongrexit, un Roumaxit, un Bulgxit… Si on arrive à négocier un accord dur mais équilibré entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, certains pays se diront qu’un modèle à la britannique est enviable. Donc la Pologne, la Hongrie, la Roumanie, la Bulgarie – et peut-être le Danemark et la Suède – sortent de l’Union et nouent des accords commerciaux ou de partenariat.
¿Qué escenario para Europa tras el Brexit, en un horizonte de 25 años?
Imagino bien que al Brexit le siga un Poloxit, un Hungaxit, un Rumaxit, un Bulgaxit…
Si conseguimos negociar un acuerdo duro pero equilibrado entra la UE y el RU, algunos paises se pondrán a envidiar el planteamiento británico. Por tanto, Polonia, Hungria, Rumanía, Bulgaria – quizás Dinamarca y Suecia – se salen de la UE y establecen acuerdos comerciales o de asociación.
C’est souhaitable, selon vous?
Oui. Ca permet d’arrêter un peu la concurrence interne: on se retrouve alors avec des pays beaucoup plus proches en termes de niveau de PIB et de modèle socio-économique. L’Union regroupe quand même encore 400 millions d’habitants, on est encore plus nombreux que les États-Unis. On en profite pour signer des accords d’association avec des pays de la Méditerranée. Et avec un peu de chance – c’est horrible ce que je vais dire – mais les Etats-Unis décident d’une intervention unilatérale au Proche-Orient, et les Européens disent NON. Il y a des manifestations un peu partout en Europe: c’est la naissance d’une conscience civique européenne qui ne naîtra que dans l’affrontement. Il faut un "nous contre eux". Et il vaut mieux que ce soit nous Européens, multilatéralistes, légalistes, contre les États-Unis isolés et agressifs. Par la même occasion, on arrête toutes les négociations des traités multilatéraux et bilatéraux et on fait des accords commerciaux purs et on en profite pour renforcer le développement endogène de l’Union européenne.
¿Esa solucion le parece recomendable?
Sí. Porque permitirá aliviar la competencia interna : se quedan entonces paises mucho más cercanos en términos de nivel de PIB y de modelo socioeconómico. La UE seguirá contando con 400 millones de habitantes, seguimos siendo más poblados que los Estados-Unidos.
Aprovechamos para firmar tratados de asociación con los paises del Mediteráneo. Y con algo de suerte -- esto que voy a decir es espantoso --, habiendo decidido EEUU una intervencion unilateral en Oriente Medio, entonces los Europeos se plantan y dicen que NO. Se producen entonces manifas un poco por todas partes en Europa: se produce el nacimiento de la conciencia cívica europea, que sólo puede nacer dentro del enfrentamiento. Necesitamos un "Nosotros contra ellos". Il vale mucho más que seamos nosotros, Europeos, simultilateralistas, legalistas, los que nos plantemos en contra de unos EstadosUnidos aislados y agresivos.
Por la misma ocasión, ponemos punto final a todas las negociaciones de tratados multilaterales y bilaterales, abrimos acuerdos comerciales puros y duros, y aprovechamos para reforzar el desarrollo endógeno de la U.E.
Comment?
L’Europe réinvestit massivement, elle mutualise une partie des dettes, et elle finance des grands travaux. Pas des grosses infrastructures type TGV mais des grands chantiers comme la rénovation de l’ensemble du parc énergétique des logements sociaux. On explique aux classes moyennes et populaires que grâce à l’Europe leur facture d’énergie va baisser. On commence doucement à réconcilier les citoyens avec l’Union européenne, on crée de l’emploi, on assure notre indépendance énergétique. Et on redevient les leaders du combat climatique mondial de manière crédible. On doit se donner des objectifs. Mais en mettant de l’argent. Sans quoi ça n’est pas attractif.
¿Cómo?
Que Europa reinvierta masivamente, que mutualice una parte de la deudo y financie grandes obras. No hablo de grandes infraestructuras al estilo del TAV sino proyectos de gran tamaños como la renovación del parque energético de las viviendas sociales.
Explicando a las clases medias y populares que con Europa conseguirán reducir su factura energética. Así empezamos a reconciliar poco a poco a los ciudadanos con la UE, se crean empleos, y consolidamos nuestra independencia energética. Volvemos a ser de nuevo los líderes de la lucha mundial por el clima de forma creíble. Debemos ponernos objetivos. Pero debemos poner los medios de dinero. Sin éstos, el proyecto no tienen atractivo.
Europa contra la ley hipotecaria española
Texto: Gladys Martínez López / Foto: David Fernández
¿Qué pasaría si la legislación hipotecaria española fuera ilegal desde hace al menos 22 años? ¿Qué pasaría si todas y cada una de las hipotecas firmadas contuvieran al menos una cláusula abusiva que un juez debería haber declarado nula pero que no pudo revisar porque se lo prohibía la legislación española? ¿Y si a causa de esa o esas cláusulas usted hubiera perdido la vivienda? ¿Y si los gobiernos de distinto signo político no hubieran velado en todos estos años por la protección del consumidor a pesar de los reiterados avisos lanzados desde Europa? ¿Y si la mayor instancia judicial europea respaldara lo que la Plataforma de Afectados por la Hipoteca (PAH) viene denunciando desde hace años?
El pasado 26 de enero, el Tribunal de Justicia de la Unión Europea (TJUE) publicaba una sentencia que, al igual que las siete anteriores dictadas en los últimos cuatro años, daba un varapalo a la legislación hipotecaria española.
Pero ésta “no es una sentencia más”, dice la PAH, porque considera abusiva la cláusula de vencimiento anticipado de las hipotecas, una cláusula que no sólo se encuentra en todas las hipotecas firmadas en las últimas décadas, sino que también es la que invocan las entidades financieras para iniciar el procedimiento de ejecución hipotecaria y reclamar de golpe toda la deuda más intereses cuando el cliente haya dejado de pagar tan sólo tres cuotas hipotecarias, condenándolo a la pérdida de su vivienda y a una deuda de por vida.
El TJUE establece que la legislación española no cumple con la Directiva 93/13/CEE relativa a la protección de los consumidores, porque sólo les concede el plazo de un mes para oponerse a la ejecución, y porque impide a los jueces examinar de oficio la abusividad de una cláusula si no ha sido aplicada en la práctica.
El TJUE es claro: si una cláusula es abusiva y se declara nula, “debe tener como consecuencia el restablecimiento de la situación en que se encontraría el consumidor de no haber existido dicha cláusula”
La sentencia llega, además, sólo un mes después de otro varapalo del TJUE contra la legislación española. Referente a la cláusula suelo, la sentencia del 26 de diciembre supuso una dura corrección al Tribunal Supremo español, que el 9 de mayo de 2013 reconocía como abusivas las cláusulas suelo pero decidía declarar su nulidad sólo de cara al futuro utilizando como argumento que si los afectados reclamaban todo lo que les había sido sustraído desde el inicio se pondría en peligro “la estabilidad del sistema financiero”.
Frente a esto, el TJUE es claro: si una cláusula es abusiva y se declara nula, “debe tener como consecuencia el restablecimiento de la situación en que se encontraría el consumidor de no haber existido dicha cláusula”.
Esto obligará a los bancos, si se aplica correctamente la medida, a la devolución de entre 3.000 y 7.000 millones de euros a todos los afectados por esta cláusula, y abre la posibilidad de que miles de familias soliciten la paralización de sus procedimientos de ejecución.
La pelota está ahora en el tejado del Tribunal Supremo, que el 15 de febrero se reunirá en pleno para establecer unos criterios para dar cumplimiento a la sentencia del Tribunal de Luxemburgo.
La clave: la Directiva 93/13/CEE
“Podemos afirmar sin ningún temor que todas las ejecuciones hipotecarias y desahucios habidos desde el 1 de enero de 1995, fecha en que debieron haber sido implementadas las medidas contenidas en la Directiva 93/13/CEE, lo han sido mediante la aplicación de una legislación que además de injusta, inhumana y criminal, era también ilegal”, decía la PAH justo después de la publicación de la última sentencia del TJUE.
“La directiva sale en 1993, y los Estados tienen un año para trasponerla [al derecho nacional]. En España no se ha hecho desde Felipe González hasta la actualidad, y lo que se ha hecho ha sido totalmente insuficiente, como la Ley 1/2013 –dice Carlos Macías, portavoz de PAH Barcelona–. Esto nos abre la oportunidad de pedir que los jueces españoles paralicen las ejecuciones hipotecarias en proceso y suspenderlas hasta revisar todas las cláusulas abusivas y eliminarlas, entre ellas la de vencimiento anticipado, que es la que ha llevado a la ejecución hipotecaria de más de 700.000 familias desde 2007”.
¿Y qué pasará con todas estas familias, las que ya han perdido su vivienda? Macías indica que es necesario “abrir un mecanismo de reparación del daño causado a cientos de miles de familias que han sido ejecutadas con una legislación ilegal. No es fácil, estamos trabajando en el cómo”.
Para el abogado Martí Batllorí, “se abre un periodo de incertidumbre jurídica, pero también de esperanza y oportunidad para muchas familias que están en un procedimiento de ejecución hipotecaria o para quienes han perdido su vivienda de recuperar o compensar el daño sufrido por una ley hipotecaria injusta. Se puede pedir la nulidad de todos los procedimientos, aunque no sabemos si se va a conceder”.
Jurídicamente se sostiene, y hay algunos juzgados que lo han hecho, indica Batllorí, pero la situación es más evidente para los procedimientos en marcha que para aquellos que ya se cerraron. En cualquier caso, “la nulidad de los procedimientos ya finalizados se va a plantear, y los tribunales van a tener que pronunciarse porque, entre otras cosas, la sentencia del 26 de enero hace saltar por los aires la cosa juzgada, la que hace que no puedas volver sobre algo que ya habías discutido”.
Estamos hablando de cientos de miles o millones de casos. “Se habla de seis o siete millones de préstamos con cláusulas suelo, y cientos de miles de ejecuciones hipotecarias finalizadas que tenían estas u otras cláusulas abusivas”, continúa este abogado.
Cláusulas abusivas
Los últimos años han sido un goteo de sentencias europeas que han dejado en evidencia a los distintos gobiernos, a las diferentes leyes hipotecarias españolas y a las instituciones judiciales.
El elemento clave en estas sentencias es “la abusividad”, indica Batllorí: “Se ha abusado por parte de las entidades financieras de la posición de debilidad de los ciudadanos con connivencia del legislador y connivencia judicial en muchos casos, se ha estado abusando de los consumidores, y este abuso es una violación de un derecho fundamental como es el derecho a la vivienda”.
En todo esto, dos elementos importantes que no se han respetado, indica este abogado: primero, los tratados internacionales firmados por España, como la directiva 93/13, obligan a España; segundo, las sentencias del TJUE son jurisprudencia aplicable a nuestro país.
Desahucio en Leganés (Madrid), en 2011. Foto: Olmo Calvo.
Estos años, jueces valientes han puesto cuestiones prejudiciales al TJUE en diferentes puntos, y en cada sentencia el Gobierno español, en vez de adaptarse a la directiva europea, va haciendo un pequeño parche, y sobre cada pequeño parche hay una nueva sentencia, y eso es lo que ha ido pasando desde 2013″, explica Macías.
En marzo de 2013, dos años después de la extensión de las PAH al calor del 15M y con los grupos de Stop Desahucios en plena actividad, el TJUE declaró ilegal y abusiva la legislación española.
La ley vigente no permitía al consumidor oponerse a su ejecución hipotecaria en base a la posible existencia de cláusulas abusivas, ni al juez encargado de la ejecución valorar si existían esas cláusulas y, en ese caso, suspender cautelarmente el procedimiento.
El TJUE determinó que esta situación violaba la directiva europea y generaba una clara vulneración de los derechos del consumidor al situarlo en una situación de indefensión, y determinó que los jueces debían revisar de oficio las cláusulas abusivas.
La sentencia obligaba al Gobierno a modificar la legislación hipotecaria, algo que estaba precisamente en ese momento en el punto de mira con la presentación de la Iniciativa Legislativa Popular de la PAH, que recabó un millón y medio de firmas y proponía una solución al problema de la vivienda mediante tres medidas básicas: la paralización de los desahucios, la dación en pago retroactiva y el alquiler social. Sin embargo, el bloqueo del PP en el Parlamento y la modificación sustancial que proponía del texto llevó a la PAH a la retirada de la ILP porque, “tal y como la pretende aprobar el PP, vulnera su espíritu y sus demandas”, según dijo la entonces portavoz de la plataforma, Ada Colau.
El Gobierno siguió en solitario con su propia agenda y en mayo presentaba la Ley 1/2013 de medidas para reforzar la protección de los deudores hipotecarios. Los afectados la calificaron como un parche, y siguieron frenando los desahucios en la calle y obteniendo daciones y alquileres mediante la presión a los bancos, ya que la ley era tan limitada que protegía a un porcentaje ínfimo de personas afectadas por la crisis hipotecaria, no anulaba las cláusulas abusivas y seguía legitimando la política de desahucios masivos.
Y los varapalos se fueron sucediendo: uno en noviembre de 2013, con un auto del tribunal europeo que volvía a declarar contraria al derecho comunitario la legislación española por seguir considerando a los jueces meros ejecutores de desahucios sin la potestad para valorar y anular cláusulas abusivas como la de vencimiento anticipado. Otra en julio de 2014, con una sentencia que arremetía contra la Ley de Enjuiciamiento Civil por un motivo básico: en caso de obtener una sentencia desfavorable después de denunciar cláusulas abusivas, la persona afectada no podía recurrir, mientras que en el caso de que la sentencia desfavorable fuera para la entidad financiera, ésta sí podía hacerlo.
Ante este último bofetón del TJUE, el Gobierno respondió aprobando dos meses después, el 8 de octubre, “a hurtadillas”, según denunciaba la PAH, el Real Decreto-Ley 11/2014, que daba el plazo de un mes para que las personas a las que no se había permitido recurrir pudieran hacerlo. “¿Por qué un gobierno limita a un mes la posibilidad de recurrir a los estafados por cláusulas abusivas reconocidas como tales por la UE?”, denunciaba entonces la plataforma. Pero nada cambió.
Desde ese momento, cuatro nuevas sentencias han redundado en el mismo sentido: los intereses de demora, la ausencia de notificación individual del plazo de un mes para que los afectados se puedan oponer a la ejecución por la existencia de cláusulas abusivas, las cláusulas suelo y la cláusula de vencimiento anticipado.
Ante los continuos varapalos del TJUE, ¿adaptará el Gobierno una vez más su legislación? ¿Recibirá pronto un nuevo golpe del tribunal europeo?
“El desaguisado es tan importante que ante la emergencia que había [en 2013], en lugar de dar una respuesta, el legislador miró para otro lado y maquilló la normativa vigente. Venimos arrastrando cuatro años de hervor judicial que están dando algunos resultados, y seguirán llegando varapalos porque hay muchos otros pendientes. Sería conveniente que el legislador diera un paso al frente y resolviera el problema, pero no hay voluntad política”, dice Batllorí.
En abril de 2016, la Comisión Europea abrió al Estado español un procedimiento de infracción y le dio un plazo de dos meses para que adaptara su legislación sobre ejecución hipotecaria y cláusulas abusivas a la normativa europea.
No sólo necesitamos adaptarnos a la directiva europea, sino que el derecho a la vivienda necesita dar una vuelta de 180 grados en el Estado español
“Hace mucho tiempo que se dice que hay una multa encima de la mesa, que al final es triste porque la vamos a tener que pagar todos con recursos públicos. Quien tiene que decidir la sanción es la Comisión y ellos se lo guisan, ellos se lo comen, porque esa sanción hace años que se anuncia y está guardada en un cajón”, dice Macías.
Según este activista, “no sólo necesitamos adaptarnos a la directiva europea, sino que el derecho a la vivienda necesita dar una vuelta de 180 grados en el Estado español: constituir un mecanismo real de segunda oportunidad, como la dación en pago u otro mecanismo, como existen en toda Europa, recuperar la vivienda en manos de las entidades financieras que han sido rescatadas con recursos públicos sin ninguna contrapartida social para que sigan especulando con la vivienda, ampliar el parque de alquiler social del 1% al 15% o 18% de la media europea, limitar los precios del alquiler porque ahora mismo la gran mayoría de los desahucios son por impago de alquiler y una mayor inversión en políticas de vivienda”.
Tusk, reelegido presidente del Consejo Europeo pese a la oposición de Polonia
Los otros 27 socios europeos apoyan unánimamente la continuidad del polaco en el cargo
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/03/09/actualidad/1489062917_801504.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/03/09/actualidad/1489062917_801504.html[/url])
[...]
Las leyes de todo tipo que se van estableciendo desde la UE sobre la llamada “indiferencia de género”, son restricciones graves a la libertad de expresión y conducen al adoctrinamiento escolar obligatorio de nuestros hijos que pasan a ser "material humano" a su disposición para lo que les pete. ¿A quién le hace ilusión tener hijos y criarlos para esto?
[...]
PS2: el adoctrinamiento escolar obligatorio sin duda ha extendido su alcance en las últimas generaciones. En mis tiempos, religión y ética eran opcionales, y además "marías" - ahora hay religión y ética metida hasta en las matemáticas.
Hablemos de Europa, pero permítanme cambiar de tercio. La economía no derrumba civilizaciones. Otras cosas sí.
Vamos a hablar de libertad. Ese mito de la UE que no resiste ni un soplo.
Si un sistema no es libre no es humano y no puede ser democrático porque no hay democracia sin libertad. Y entre las libertades hay tres: de Pensamiento, de Expresión y de Educación que en la UE no existen y las que quedan se las están cepillando pasito a pasito en un ejercicio Orwelliano que haría palidecer de envidia a cualquier dictador.
Hablemos de la Unión Europea y de la imposición europea de la indiferencia de género. Una ideología sectaria en manos de lobbies poderosos.
Las leyes de todo tipo que se van estableciendo desde la UE sobre la llamada “indiferencia de género”, son restricciones graves a la libertad de expresión y conducen al adoctrinamiento escolar obligatorio de nuestros hijos que pasan a ser "material humano" a su disposición para lo que les pete. ¿A quién le hace ilusión tener hijos y criarlos para esto?
El 20 de Enero 2006, el Parlamento Europeo aprobó una Resolución para erradicar la "homofobia" y promover una cultura de libertad, tolerancia e igualdad entre los ciudadanos y en la legislación, actuando a nivel de la UE así como de los Estados miembros.
No tardan en mostrar su verdadera cara y pasan al otro extremo
El Parlamento europeo dice que esa homofobia “puede definirse como un miedo y una aversión irracionales a la homosexualidad y a la comunidad LGBT basada en prejuicios y comparable al racismo, a la xenofobia, el antisemitismo y el sexismo” --Considerando A--, “que se ocultan a menudo tras justificaciones de orden público, de la libertad religiosa y del derecho a la objeción de conciencia” --Considerando B--.
Fijémonos en que el objeto de su condena no se queda en el odio y en sus derivaciones de violencia y análogas, sino que comprende explícitamente “el miedo y la aversión”. El miedo es un sentimiento y , según el Diccionario, “aversión” es repugnancia y contradicción, un gesto instintivo o un criterio.
Por tanto la Resolución está llamando a una Cruzada contra la violencia (que es lo mismo que decir que hay que querer a las madres) , pero también contra sentimientos, instintos y criterios que, a juicio de sus autores, son las Herejías o Heterodoxias de nuestro tiempo.
Más allá de la comprensión de la homosexualidad que todos compartimos, y, más allá de la propuesta de equiparación entre dichas parejas y los matrimonios entre hombre y mujer (Considerando E y mandato 2), ................... que no comparto por cuestión de pura justicia equitativa......
1. Se repudia a los países que están queriendo introducir modificaciones constitucionales para impedir las uniones entre personas del mismo sexo (Considerando C),
2. Se señala el objetivo de reconocer las familias homosexuales (Considerando F),
3. Se insta a la apertura de procedimientos de infracción a los Estados miembros que no cumplan tales principios (Mandato 7), e incluso
4. Sanciones penales a quienes no se adapten a ello (Mandato VIII).
Además se “insta a los Estados miembros y a la Comisión a intensificar la lucha contra la homofobia mediante métodos educativos –tales como campañas contra la homofobia en los centros escolares, en las universidades y en los medios de comunicación- así como utilizando medios administrativos, judiciales y legislativos” (Mandato 5) que recuerda a Clockwork Orange y el electroshock obligatorio
Los Poderes Públicos están pues obligados a ocuparse de que la infancia y adolescencia en los centros docentes sean convencidos de que es personal y socialmente igual lo homo que lo hétero;
Y a que los padres que consideren adecuado educar a sus hijos hacia el matrimonio heterosexual, deberán hacerlo en posiciones clandestinas, contrariando y enfrentándose con los dogmas oficiales.
Realmente con ello se abandona la prédica de la tolerancia para ser sustituida por la de la indiferencia entre las dos orientaciones sexuales imperativamente establecida por los poderes públicos de la Unión Europea.
Esto es todo un atentado a la libertad de pensamiento, de expresión y de educación que recuerda tiempos que creíamos pretéritos. La pretensión de que vivimos en democracia y libertad se derrumba estrepitosamente.
Esta Europa yo la doy por perdida y reventará. Las causas no serán económicas porque ya su economía es inviable
7% de la Población, 25% del PIB, 50% del Gasto en Welfare State globales. Es decir,.............
Las causas tendrán que ver con la falta de libertad y la opresión de los disidentes que son la mayoría informada. En consecuencia, si las mayorías tampoco deciden ni son representadas ¿Qué democracia es esta UE?
Esta gente mamó lo que mamó: Dictadores Y Oligopolios y no ha aprendido nada. Los que mamaron otra cosa hacen mutis por el foro. UK el primero.
En otro momento traeré lo que algunas Comunidades Autónomas, sin tener competencias constitucionales para ello, están legislando obedientemente en España.
Esto, señores, no es Europa. No es Democracia y no es libertad.
Por lo tanto..........
Primero, que en Europa no hay libertad. Examine, por favor, cómo anda de libertad el planeta, y si Europa es el lugar con menos libertad.
Llegando incluso en algunos cursos académicos y "Talleres de sexualidad" a proponer a menores de edad la experimentación sexual en todas sus variantes humanas.
El asunto es que libertad y fomento siguen siendo palabras distintas. Aunque con la neolengua nunca se sabe
Se mezclan torpezas con la incapacidad del público de entender el lenguaje o las expresiones figuradas y las ganas de la prensa de conseguir clikeos.
El tipo no dijo que los españoles nos gastábamos el dinero en mujeres y alcohol.
Aquí solemos, figuradamente, referirnos a lo mismo con la imagen del yonkie. Lo que, evidentemente, no quiere decir que todos los españoles somos yonkies.
Pero cuando hay ganas de sentirse ofendido y de vender la ofensa para ganarse unos cliks...
Se mezclan torpezas con la incapacidad del público de entender el lenguaje o las expresiones figuradas y las ganas de la prensa de conseguir clikeos.
El tipo no dijo que los españoles nos gastábamos el dinero en mujeres y alcohol.
Aquí solemos, figuradamente, referirnos a lo mismo con la imagen del yonkie. Lo que, evidentemente, no quiere decir que todos los españoles somos yonkies.
Pero cuando hay ganas de sentirse ofendido y de vender la ofensa para ganarse unos cliks...
Si se lo pones fácil a la prensa para que te lo saquen de contexto - y se lo ha puesto muy fácil - eso en el Siglo XXI cuenta como torpeza. Es lo que hay.
([url]http://i.imgur.com/CxNZh7U.png[/url])
([url]http://i.imgur.com/CxNZh7U.png[/url])
Sigo pensando que tiene que haber alguna relación causal directa entre la evolución del baby boom y la burbuja. No post ni ante, sino simultánea.
El frenazo de la natalidad se da cuando crece la burbuja y ambas gradualmente, pero no después como consecuencia.
Es como si la inercia expansiva se redirija hacia el último reducto mientras la economía tradicional languidece.
Insisto, más como desviación y patrón gradual retroalimentado que como causa lo uno de lo otro.
No sé si me explico...
Sds.
Palomitas - Gibraltar.... ;) (Brexit, Escocia, Irlanda) 8)
1. Políticas abortivas por parte de los poderes públicos. En USA faltan unos 50 millones. Es España unos 2. Las pirámides serían muy diferentes.
El infanticidio ha sido practicado en todos los continentes y por gente de todos los niveles de complejidad cultural, desde los cazadores y recolectores a la “¿avanzada?” civilización actual. En lugar de ser una excepción, y una conducta psicópata, como nos han enseñado desde que tenemos uso de razón, es algo totalmente natural.
Si bien hay muchas diversas razones para el infanticidio, las dos más importantes son la pobreza y el control de la población, y son llevadas a cabo generalmente por la madre o el padre de la victima.
Desde la prehistoria, el suministro de alimentos, los depredadores, el clima, y la falta de avances tecnológicos han sido un freno constante en el crecimiento de la población humana. Una forma de controlar los efectos letales de hambre era restringir el número de niños permitidos para sobrevivir hasta la edad adulta
Sorprendente lo de Melenchon. La Vème está herida,en apariencia de muerte ,pero todavía hay pulso en Francia. Sería interesante una segunda vuelta entre extremos y luego las legislativas en Junio para ver cómo forman un gobierno.
A las puertas de Europa Oriental, división costa/interior en el referéndum para dar más poderes a Erdogan.
([url]http://i.imgur.com/NyIbnUc.png[/url])
Llamativo.
Estudio cayéndose a pedazos en un barrio popular del Este de Londres.
[url]http://www.rightmove.co.uk/property-for-sale/property-47890464.html[/url] ([url]http://www.rightmove.co.uk/property-for-sale/property-47890464.html[/url]) (archivo [url]http://archive.is/L4fb2[/url] ([url]http://archive.is/L4fb2[/url]) )
([url]http://i.imgur.com/fKoinuW.png[/url])
350K libras esterlinas.
Esa caseta tiene tal relación superficie:volumen que mantenerla caliente en invierno requiere mas combustible del que cabe dentro.
La locura londinense alcanza cotas delirantes, por algo hay tantas obras y proyectos para mejorar el acceso ferroviario. Va a quedar una ciudad vacía, de casas-hucha de ricachones asiáticos, y hordas embutidas en el Crossrail y Thameslink llegando cada día desde sitios cada vez mas lejanos.
Los 300k de futuros titulares de plaza que va a crear la giga oferta de empleo público, podrían ser el último cartucho para mantener un añito más de demanda inmobiliaria y optimismo en el consumo
No creo que sea una sorpresa:
Marine Le Pen : 23,30 %
Emmanuel Macron : 22,98 %
François Fillon : 19,73 %
Jean-Luc Mélenchon : 18,69 %
Benoît Hamon : 5,94 %
Nicolas Dupont-Aignan : 5,07 %
Jean Lassalle : 1,35 %
Philippe Poutou : 1,16 %
François Asselineau : 0,89 %
Nathalie Arthaud : 0,70 %
Jacques Cheminade : 0,19 %
En savoir plus sur [url]http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/live/2017/04/23/presidentielle-2017-resultats-analyses-reactions-suivez-la-soiree-du-premier-tour-en-direct_5115904_4854003.html#kOJE48PY5rv1jcUf.99[/url] ([url]http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/live/2017/04/23/presidentielle-2017-resultats-analyses-reactions-suivez-la-soiree-du-premier-tour-en-direct_5115904_4854003.html#kOJE48PY5rv1jcUf.99[/url])
En todo caso, creo que cabe felicitarse de que sendos carcas como Fillon y Mélenchon no hayan pasado, aunque por poco.
Alliance des Nations Unies Souveraines : ANUS?? Seriously?? #2017LeDebat
La sospecha de que ¿es una comedia colosal organizada por la clase politica British junto con Bruselas?No creo que sea una comedia de Bruselas y no creo que haya ningún partido mayoritario que defienda el "paren esto", por lo que no puede ganar.
¿Qué pasa si el voto regional es aún más tajante o si los votos "Paren esto" salen mayoritarios?
Ojito: [url]http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-39827244[/url] ([url]http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-39827244[/url])
Ojito: [url]http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-39827244[/url] ([url]http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-39827244[/url])
Suena a operación de bandera falsa. De todas formas, me parece que es más difícil que gane Le Pen que Trump. Ella es una política profesional que heredó el partido de su padre y, por tanto, también casta.
Entrevista a Robert Kaplan:
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/04/actualidad/1493916184_055017.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/04/actualidad/1493916184_055017.html[/url])
". La situación en Europa es mucho peor de lo que nadie hubiese podido prever hace una década. Muchos países del este y el centro de Europa siguen un camino muy peligroso, Hungría y Polonia están moviéndose hacia el populismo y el autoritarismo; muchas de las repúblicas de la antigua Yugoslavia, Grecia y Bulgaria se encuentran en una situación económica desesperada. En Francia, ocurra lo que ocurra, las elecciones han demostrado que el poder de la ultraderecha es mayor de lo que nadie hubiese imaginado hace unos años; la crisis en un banco italiano puede poner en peligro el euro. Y Rusia está practicando una forma de imperialismo, desde los Estados bálticos hasta Siria: compra políticos, infiltra crimen organizado, dirige operaciones de espionaje. Rusia está practicando una forma de imperialismo tradicional pero que, a la vez, le permite negarlo todo. Europa está muy débil."
Merkel: “Los europeos tenemos que tomar el destino en nuestras manos”
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/28/actualidad/1495991847_111089.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/28/actualidad/1495991847_111089.html[/url])
Europa ya no puede contar Estados Unidos y con Reino Unido tampoco, al menos no como antes. O lo que es lo mismo: la Unión Europea no es la que era antes del Brexit y la alianza transatlántica no es ni la sombra de la que fue en la era pre-Trump. Esa es la imagen que ha devuelto el espejo de las cumbres de la OTAN en Bruselas y del G7 en Taormina (Italia), donde ha cristalizado una realidad en gestación desde hace ya varios meses. “Los europeos tenemos que tomar el destino en nuestras manos”, advirtió la canciller alemana, Angela Merkel, el domingo en Múnich con Trump recién regresado a EE UU.
Tremendo. Habrá que seguir este tema.
[...]
The true meaning of “America first” is clear. The Trump presidency will put the interests of American coal, oil and fracking companies first, before that of the planet’s ecosystem. It will place the interests of US-owned car manufacturers first, above those of Volkswagen and Mercedes. And if it comes to a military face-off with Putin’s Russia, America will fight last.
[...]
In a world as dangerous as this, led by men as dangerous as Trump and Putin, we should need no prompting to exceed the 2% of GDP defence spending target, and to reverse all cuts to police, fire and emergency services. The fact is that Trump has signalled that the current “strategic concept” of Nato, written in 2010, is a dead letter. The major European democracies need to craft a new one. And Britain has to be part of that.
Merkel: “Los europeos tenemos que tomar el destino en nuestras manos”
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/28/actualidad/1495991847_111089.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/28/actualidad/1495991847_111089.html[/url])
Europa ya no puede contar Estados Unidos y con Reino Unido tampoco, al menos no como antes. O lo que es lo mismo: la Unión Europea no es la que era antes del Brexit y la alianza transatlántica no es ni la sombra de la que fue en la era pre-Trump. Esa es la imagen que ha devuelto el espejo de las cumbres de la OTAN en Bruselas y del G7 en Taormina (Italia), donde ha cristalizado una realidad en gestación desde hace ya varios meses. “Los europeos tenemos que tomar el destino en nuestras manos”, advirtió la canciller alemana, Angela Merkel, el domingo en Múnich con Trump recién regresado a EE UU.
Tremendo. Habrá que seguir este tema.
No es tremendo. Es un hecho y no es sorprendente. Es una de las consecuencias del declive del poder de EEUU y el surgimiento de una realidad más multipolar - que es lo que viene pasando en los últimos años.
Nosotras llevamos tiempo hablando de que Europa debería desengancharse del lado anglo, porque desenganche iba a haber, y reforzar lazos con Rusia y Asia (y con América del Centro y Sur desde España y Portugal, o zonas de África desde Francia).
Trump arremete contra Alemania y le acusa de dañar la economía de EEUU
El presidente estadounidense devuelve el golpe a Merkel con un tuit en el que responsabiliza a Berlín del déficit comercial
[url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/30/estados_unidos/1496153910_792003.html[/url] ([url]http://internacional.elpais.com/internacional/2017/05/30/estados_unidos/1496153910_792003.html[/url])
Donald Trump’s visit to Europe has left the continent’s leaders both aghast and determined to make the best of a bad situation. There is, after all, nothing that brings people together better than having to confront a common problem. So goes the theory, at least.
[...]
Renuncia director de Comunicaciones de Trump y se esperan más cambios
Comienzan a tomar forma los rumores sobre que el Presidente estaría inclinado a efectuar despidos en masa dentro de su equipo de relaciones públicas, con el cual está inconforme.
En este artículo de The Guardian se explora la idea de que Europa se puede unir más (contra Trump.) Dice que nada une más que resolver problemas juntos. Veremos.
As Merkel knows, Trump’s rudeness and arrogance can unite Europe
https://www.theguardian.com/commentisfree/2017/may/29/donald-trump-uniting-europe-eu (https://www.theguardian.com/commentisfree/2017/may/29/donald-trump-uniting-europe-eu)CitarDonald Trump’s visit to Europe has left the continent’s leaders both aghast and determined to make the best of a bad situation. There is, after all, nothing that brings people together better than having to confront a common problem. So goes the theory, at least.
[...]
Tax Evasion and Inequality∗
Annette Alstadsæter (Norwegian University of Life Sciences)
Niels Johannesen (University of Copenhagen)
Gabriel Zucman (UC Berkeley and NBER)
May 28, 2017
Impuestos evadidos según tasa impositiva:
([url]http://i.imgur.com/HY9UvPd.png[/url])
De los Papeles de Panamá (individuos suecos, noruegos y daneses).
Fuente:
[url]http://gabriel-zucman.eu/files/AJZ2017.pdf[/url] ([url]http://gabriel-zucman.eu/files/AJZ2017.pdf[/url])CitarTax Evasion and Inequality∗
Annette Alstadsæter (Norwegian University of Life Sciences)
Niels Johannesen (University of Copenhagen)
Gabriel Zucman (UC Berkeley and NBER)
May 28, 2017
Impuestos evadidos según tasa impositiva:
([url]http://i.imgur.com/HY9UvPd.png[/url])
De los Papeles de Panamá (individuos suecos, noruegos y daneses).
Fuente:
[url]http://gabriel-zucman.eu/files/AJZ2017.pdf[/url] ([url]http://gabriel-zucman.eu/files/AJZ2017.pdf[/url])CitarTax Evasion and Inequality∗
Annette Alstadsæter (Norwegian University of Life Sciences)
Niels Johannesen (University of Copenhagen)
Gabriel Zucman (UC Berkeley and NBER)
May 28, 2017
Esto es lo esperable. En la población adulta total de un país el P80 coincide aproximadamente con el salario promedio, y eñ grueso de los que están bajo ese nivel son asalariados. Por tanto , el fraude (duro y blando entendiendo este último como "elusión legal") por fuerza ha de estar en los tramos superiores de renta. Lo que a veces no imaginamos es que en España tener un par de bares o de licecias licencias de taxi (o 50 Ha de remolacha subvencionada) ya sitúa al titular en el P99.
The rescue of Banco Popular means that attention will now turn to Italy’s financial sector.
Some analysts are speculating on whether any Italian banks will fall into Europe’s resolution mechanism, as some regional lenders are struggling to raise fresh capital.
Analysts at ABN Amro, though, fear that some Italian banks aren’t as attractive as Popular.
The deal is facilitated by the fact that Banco Popular is actually strong enough to have buyers. Especially their loan book, and diversification to Portugal was of interest. Crucially, the deal could be performed without the need for state assistance. However, in Italy, the banks of Veneto and Vicenza are not in the equivalent balance sheet position as the Banco Popular. It would seem that the large institutions in Italy would be unwilling to take over the banks without the interaction of the Italian state, either via the Atlante fund or another mechanism.
The question now is, if Banco Popular has now been stated as ‘failing or likely to fail’ by the SRB, what does this mean for the arguably weaker banks of Veneto and Vicenza banks
La reacción a la compra del Popular por parte del Santander parece positiva:
The deal is facilitated by the fact that Banco Popular is actually strong enough to have buyers. Especially their loan book, and diversification to Portugal was of interest.
La reacción a la compra del Popular por parte del Santander parece positiva:
The deal is facilitated by the fact that Banco Popular is actually strong enough to have buyers. Especially their loan book, and diversification to Portugal was of interest.
¡Qué cachondos! Debe ser humor británico...
El loan book tiene una mora reconocida del 15%. A saber cuál es la real.
El balance tiene unos 36.000 millones de activos tóxicos. A saber cuál es el volumen real.
El Popular es tan "strong enough to have buyers" que lo venden por 1 euro.
El Santander, con la compra, tiene el 40% del ladrillo tóxico de la banca española más otras perlas. A saber si hay contraprestaciones ocultas y qué nos puede costar esta compra "sin dinero público" a los españoles.
Todo para evitar una quiebra declarada y con MUR.
La reacción a la compra del Popular por parte del Santander parece positiva:
The deal is facilitated by the fact that Banco Popular is actually strong enough to have buyers. Especially their loan book, and diversification to Portugal was of interest.
¡Qué cachondos! Debe ser humor británico...
El loan book tiene una mora reconocida del 15%. A saber cuál es la real.
El balance tiene unos 36.000 millones de activos tóxicos. A saber cuál es el volumen real.
El Popular es tan "strong enough to have buyers" que lo venden por 1 euro.
El Santander, con la compra, tiene el 40% del ladrillo tóxico de la banca española más otras perlas. A saber si hay contraprestaciones ocultas y qué nos puede costar esta compra "sin dinero público" a los españoles.
Todo para evitar una quiebra declarada y con MUR.
La reacción a la compra del Popular por parte del Santander parece positiva:
The deal is facilitated by the fact that Banco Popular is actually strong enough to have buyers. Especially their loan book, and diversification to Portugal was of interest.
¡Qué cachondos! Debe ser humor británico...
El loan book tiene una mora reconocida del 15%. A saber cuál es la real.
El balance tiene unos 36.000 millones de activos tóxicos. A saber cuál es el volumen real.
El Popular es tan "strong enough to have buyers" que lo venden por 1 euro.
El Santander, con la compra, tiene el 40% del ladrillo tóxico de la banca española más otras perlas. A saber si hay contraprestaciones ocultas y qué nos puede costar esta compra "sin dinero público" a los españoles.
Todo para evitar una quiebra declarada y con MUR.
Lo compran por 1€, pero se supone que se quedan toda la deuda y sus activos tóxicos, digo yo...
El último cartucho
POR QUÉ MACRON FRACASARÁ
Grandes ambiciones, enérgico voluntarismo y poco apoyo popular. Son la base sobre la que el nuevo presidente de Francia quiere aplicar, con una nueva imagen, todo lo que ha fracasado en las últimas décadas. Para llegar a su engañosa victoria electoral, el joven Macron ha tenido que abolir la alternancia y casi el pluralismo institucional en Francia. Para hacer su tortilla ha incendiado la cocina. Esta victoria, que se va a defender con métodos autoritarios, será, seguramente, su mayor factor de derrota a medio y largo plazo.
Kremlinología en el Elíseo
Los gobiernos franceses suelen estar llenos de ministros que quieren ser presidentes. Personajes que conspiran y maniobran para ello desde sus cargos. Con François Hollande había unos cuantos cuyas ambiciones eran manifiestas; Arnaud Montebourg, Manuel Valls y el propio Emmanuel Macron, el más listo y discreto de todos ellos que acabó haciéndose con el trono. En el gobierno de Macron no hay rastro de esos “conspiradores ambiciosos”. El Presidente se ha vacunado contra el papel que él mismo jugó como ministro de Hollande. Si se exceptúa a Bruno Le Maire, un peso ligero de la derecha al frente de la economía (por si acaso, Macron le ha puesto como segundo a su más fiel colaborador Benjamin Griveaux), en el nuevo gobierno francés no hay políticos. Solo tecnócratas obedientes.
En la foto de grupo que Macron se hizo el miércoles con sus ministros en el jardín del Elíseo, el Presidente rompió la tradición y se colocó no al frente, sino en medio de ellos. Parece más democrático, pero no es más que una cuestión de imagen: todo el mundo tiene claro quien es ahí “el jefe”, como se le llama en su entorno. Macron quiere ser un presidente “total”. Mandar mucho y hablar poco (“La palabra presidencial será rara”, ha dicho). Sus ministros serán disciplinados, no se admitirán filtraciones y si las hubiera serán sancionados. “Este gobierno tiene vocación de durar”, dijo después de la foto.
Los medios de comunicación, en un 80% en manos de magnates que le apoyan, no han prestado gran atención al hecho de que han bastado treinta días para que el nuevo gobierno “irreprochable y ejemplar” sufriera su primera crisis: cuatro ministros salpicados por irregularidades económicas que han saltado de sus cargos. Pese a la corrupción estructural en la que están sumidos, a los medios de comunicación franceses les encanta derribar los ídolos que ellos mismos contribuyeron a crear. ¿Cuánto durará en su actual forma esta corrupta indulgencia mediática?
Programa y objetivos
Presentado como innovador y original, a menudo con fórmulas “nórdicas” y sofisticaciones conceptuales para camuflar simples y viejas políticas neoliberales de recorte social, el programa de Macron no tiene gran cosa de original: se trata de aplicar de una vez por todas en Francia el catálogo completo de Bruselas/Berlín.
La narrativa habitual afirma que esa involución socio-laboral nunca se ha podido aplicar en Francia, país “conservador” con “exceso de Estado” y de funcionarios, y que esas reformas, “liberarán las energías del país”. En realidad se trata de imponer a la fuerza un recorte de pensiones del 20%, una bajada de salarios, un recorte de la función pública (120.000 funcionarios menos) y una “flexibilidad” que de alas a la precariedad.
“Es el político anglófono y filo germano que Europa necesita”, dijo de él la revista Foreign Affairs. “Su ascenso pinta bien para los accionistas y empresarios que piden una reestructuración urgentemente necesaria del mercado laboral francés”, señala un comentarista de la agencia Bloomberg. “El salvador de Europa” delira en portada The Economist con un punto de interrogación. Y detrás de ellos, la habitual cacofonía de todo un ejército de papagayos.
El objetivo es emular el “modelo alemán”, incrementando la franja de salarios bajos que en Alemania afecta al 22,5% de los asalariados (7,1 millones) y en Francia solo al 8,8% (2,1 millones). Con estas fórmulas se podrá llegar a los “satisfactorios” niveles de desempleo alemanes. El paro en Alemania es del 3,9% según Eurostat, y del 5,8% según la oficina federal de estadística alemana, que usa una contabilidad diferente a la europea. Pero desde hace años se conoce que, gracias a diversos trucos contables que barren debajo de la alfombra a sectores enteros de la población laboral, la cifra real de paro es bien superior, del 7,8% actualmente. Es decir, solo dos puntos menos que en Francia y con más precariado entre los asalariados y más pobreza entre los jubilados, un problema apenas existente en Francia. Alemania, que tiene una demografía languideciente, no es un modelo para Francia con su dinámica tasa de natalidad y su mayor necesidad de servicios públicos.
Que Francia no ha hecho reformas en esa dirección, forma parte del mito. La intentona de Macron es la radical culminación de treinta años de hegemonía neoliberal en la política y en los medios de comunicación de Francia, algo que comenzó en 1974 Valéry Giscard d´Estaing, fue proseguido por Mitterrand (traicionando su programa inicial en 1983) y continuado desde entonces por todos los presidentes de “izquierda” y de derecha que ha conocido el país. La globalización quiere destruir una tradición nacional de estado fuerte particularmente apreciada por los franceses y que económicamente funciona mucho mejor de lo que se dice.
En términos generales el modelo político de Macron es la “marktkonforme Demokratie” (la democracia adecuada al mercado) de la Señora Merkel, incluida la marginalización de la oposición parlamentaria. La empresa y la meritocracia nunca habían estado tan presentes en el gobierno. Los sectores privilegiados nunca habían pesado tanto (por encima del 70%) en el cuerpo de diputados.
Ideológicamente Macron es, según la definición del fundador de Attac Peter Wahl, “una mezcla programática de relato liberal de izquierda-verde-alternativo (cuestiones de género, minorías sexuales, medio ambiente, europeísmo y cosmopolitismo), modernismo start-upista digital en la línea “uber para todos”, un subidón make France great again, y un neoliberalismo casi a la Margaret Thatcher con rostro humano”.
Su hoja de ruta es “gaidarista” (por Yegor Gaidar, el autor de la “terapia de choque” rusa): introducir rápidamente y por decreto una involución socio-laboral a partir del verano, y contener la contestación social que seguirá mediante la introducción en el derecho común, a partir del otoño, de los preceptos liberticidas de las medidas de excepción contenidas desde noviembre de 2015 en el “estado de urgencia” aún vigente.
En Rusia, la “terapia de choque” de Gaidar (1991) precisó de un golpe de estado (1993). Francia no es Rusia, pero Macron tiene muchas posibilidades, y todas las posiciones, para ser el Presidente autoritario de Francia.
También tiene muchas posibilidades de fracasar, por su política socio-laboral errada e impuesta, y porque su base social y electoral (la Francia de los de arriba y el voto del 16% del censo) es reducida. La suma de ambas cosas arroja una legitimidad débil (que contrasta mucho con su aplastante mayoría absoluta en las instituciones y medios de comunicación) y convierte en temeraria su autoritaria ambición de enderezar a Francia acabándola de destrozar.
Las ambiciones y los riesgos
Solo un joven de 39 años, convencido de su propia genialidad y de que no debe nada a nadie, y que desconoce el fracaso, puede aunar tal explosiva relación entre ambiciones y riesgos. La devaluación salarial y de pensiones del 20% que se busca, fracasará porque hundirá la demanda interna y aumentará el paro en Francia. Macron debería incrementar los salarios, pero incluso si quisiera no podría, porque está aprisionado por el esquema alemán que domina Europa. Su consigna europea, “La Europa que protege”, está en contradicción directa con el programa neoliberal, es decir con el proyecto europeo. La situación de las cuentas públicas francesas para cumplir con el dogma alemán del 3% de déficit y los otros requisitos, se anuncia complicada. En el remoto supuesto de que el macronismo intentara una política alternativa en Europa, debería renegar del actual proyecto europeo. Si no hace nada, continuará alimentando todo eso que hoy hace soberanistas a más de la mitad de los franceses. El ministro de Economía francés, el peso ligero Bruno Le Maire, es totalmente incapaz de enfrentarse al peso pesado alemán Wolfgang Schäuble.
Macron tiene grandes ambiciones. Dice que su presidencia supondrá, “un renacimiento de Francia y espero que de Europa”. La simple realidad es que su fracaso sembrará el caos en Francia, donde la indignación tomará el relevo a la indiferencia y a la sorda decepción actuales, y por extensión agravará la situación en esa Unión Europea que busca salidas a su complicado embrollo en la militarización y el belicismo, la “Europa de la defensa”.
El primer adversario de Macron será, una repetición, aumentada, de lo que se vio la pasada primavera: una alianza de la juventud y del sindicalismo radicalizado que podría empujar hacia una gran revuelta. Para valorar si eso puede dar lugar a serias convulsiones, basta comprender una cosa: que la situación actual no tiene alternativa institucional.
Para llegar a donde ha llegado, Macron y las fuerzas oligárquicas que lo auparon en el último ciclo electoral han tenido que dinamitar la alternancia y casi el pluralismo institucional en el país (el incendio de la cocina). En las instituciones francesas ya no hay más que un solo partido. El conglomerado macronista, ampliado a sus satélites (socialistas y conservadores “constructivos” hacia el Presidente), tiene el 80% de los diputados cuando obtuvo el voto real del 16% de los franceses.
Esta victoria, será a medio y largo plazo su mayor factor de derrota, porque esa abolición condena a la oposición a un estatuto “antisistema”: cualquier fuerza social que se oponga al macronismo tendrá que cambiar el régimen. Un escenario muy ruso, que recuerda al drama de la autocracia, pero en Francia.
El autoritarismo macronista que se anuncia es el último cartucho del establishment para disolver/cambiar Francia. Su fracaso no tendrá alternativa en el actual marco institucional, la V República, y probablemente, tampoco en el actual sistema. A partir de este pronóstico, se admiten todas las apuestas
Para llegar a donde ha llegado, Macron y las fuerzas oligárquicas que lo auparon
CitarPara llegar a donde ha llegado, Macron y las fuerzas oligárquicas que lo auparon
Me resulta graciosa la desfachatez con que los perdedores socialdemócratas (antiguos marxistas acomplejados) insultan al populacho al que dicen representar, tratando al votante como una oveja idiota que va a pastar a donde le dice el amo.
Como si no hubiera camareros de derechas o empresarios tipo Elon Musk de izquierdas.
Para ellos siempre hay un éter indefinido al que echarle la culpa, sea la oligarquía, los poderosos, o las multinacionales. La democracia siempre está secuestrada por no-se-sabe-quien y los votos Lepenistas son de los alienígenas.
El chiste se torna ridículo cuando se acusa de autoritarismo a un presidente que aún ni siquiera ha dado forma al sillón. En fin.
Totally Disagree.
“¡Los marxistas sueltos!” (1)
Por su parte, Jeremy Corbyn fue recibido con los brazos abiertos por el público, los residentes y las familias en duelo. Su empatía es auténtica y sus antecedentes en materia de lucha por los derechos de la mayoría son inatacables. La creciente popularidad de Corbyn, a pesar de los ataques casi unánimes de los medios, reposa en el contenido de su programa político, con un plan para construir 500.000 viviendas para frenar los costos exorbitantes de los alojamientos.
Si sólo una demostración pública de solidaridad y una escasa ventaja política estuvieran en juego, los propietarios ricos de todo el mundo que poseen bienes en Londres podrían dormir bien tranquilos. Pero es probable que se hayan sumergido en un miedo frío al escuchar la demanda de Corbyn: quiere que los residentes de Grenfell sean reubicados en el barrio, ¡en las propiedades de lujo vacantes! (2)
De hecho, una vez que se va más allá de la defensa de la propiedad privada, que el capitalismo defiende por encima de todo, es evidente que la solución para las familias sin techo se encuentra en las casas deshabitadas. Yo iría aún más lejos al sugerir que la solución de la cesión de casas de lujo vacías se aplique más allá de los residentes de la Torre Grenfell, de modo que los problemas de los sin techo y que las malas condiciones de alojamiento sean resueltas instantáneamente. Incluso podríamos imaginar una especie de lotería inversa. En lugar de una lotería normal en la que una persona seleccionada al azar se hace rica, esta vez una persona rica elegida al azar se convertiría en un poco menos rica, mientras que una familia pobre de la clase obrera conseguiría un alojamiento en buenas condiciones con un alquiler por un período indefinido de una libra al mes.
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(1) Tras la publicación de las encuestas de las últimas elecciones generales, la miembro del UKIP (y ex aspirante al liderazgo) Suzanne Evans tuiteó: “Si esta encuesta de salida es correcta, los conservadores han tenido una de sus peores noches. El Parlamento suspendido, el Brexit amenazado y los marxistas sueltos” (“Marxists at large“).
(2) ¡Corbyn insistió su idea y los medios mainstream tienen verdaderamente mucho miedo!
El objetivo de este proceso y de la Audiencia del TPP es identificar y juzgar la cadena de corresponsabilidad en la completa ruta de migrantes y refugiadas en la que sus derechos humanos son violados de forma amplia y sistemática lo que demanda una acción urgente y acceso a la justicia. Este es el proceso que buscamos construir desde abajo, con las personas más implicadas y más directamente afectadas- de las autorganizaciones de migrantes y refugiadas.
GUNVOR EN EL CONGO–
Pétroleo, cash y sobornos: las aventuras de un negociante suizo en Brazzaville
En janvier 2012, la Police fédérale perquisitionne le siège de la société de
négoce Gunvor, au 80–84 de la rue du Rhône, le quartier le plus chic de Genève.
Sous le regard interloqué des employés, les agents de la force publique
emportent plusieurs cartons de documentation, dont le disque dur du dépar-
tement Afrique. Le Ministère public de la Confédération (MPC) vient alors
d’ouvrir une procédure pénale dirigée contre inconnu pour « soupçon de blan-
chiment d’argent » en rapport avec de possibles faits de corruption sur un
important marché pétrolier conclu en République du Congo, un pays souvent
épinglé pour détournement et mauvaise gestion des recettes pétrolières.
Les comptes bancaires suisses de deux inter médiaires rémunérés par Gunvor
et celui d’un « business developer » employé par la société sont bloqués auprès
de la banque Clariden Leu de Genève. Plus de 30 millions de dollars de
commissions ont transité sur ces comptes en l’espace de quelques mois. Sur
quoi porte ce deal hors norme, dans le viseur de la justice helvétique ?
En enero de 2012, la policia federal [suiza] hace una perquisicion en la sociedad de negocios Gunvor en Ginebra. Los agentes públics se llevan varios cartones de documentacion, incluidoel disco duro del departamento África
El Ministerio público de la Confederacion (MPC) acaba de abrir un procedimiento penal contra X por "sospecha de blanqueo" en relacion con hechos de corupcion en un
importante contrato de suministro de petróleo con la Republica del Congo,, pais
a menudo mezclado en asuntos de sobornos y mala gestion de recursos petrolíferos.
Las cuentas bancarias suizas de los 2 intermediaros remunerados por Gunvor y de un "business developper" empleado de Gunvor en el baco Clariden Leu de Ginebra quedan bloqueadas.
Más de 30 millones de dólares en comisiones han transitado por esas cuentas en pocos meses.
Pero qué era lo que exactamente se remuneraba, y que por ello merece tal atención de la Justicia?
La UE ha sido el principal impulsor y financiador del Global Warming primero y del Climate Change más tarde.
......
Estoy comenzando a documentarme sobre esto porque cada vez es más fuerte la sospecha de un gran fraude y pediría a colegas del foro mejor documentados que ofreciesen sus ideas sobre este asunto.
Un saludo
PS. ¿Qué sucedería si viésemos que este asunto del AGW, la ideología de género y todo el resto del Tool Box del Poder fuesen patrañas? ¿Podría el sistema soportarlo?
PS. ¿Qué sucedería si viésemos que este asunto del AGW, la ideología de género y todo el resto del Tool Box del Poder fuesen patrañas? ¿Podría el sistema soportarlo?El "sistema", en cuanto que es una entidad teórica, tiene total plasticidad para soportar cualquier cosa. Lo que hoy es A, mañana es B y listo. Sólo hay que reimprimir los libros.
No es casualidad que los principales impulsores del medio de transporte eléctrico sean (seamos) Europa y Japón. La supremacía industrial consiste en eso. Desplazar una tecnología para vender la tuya.A EEUU también le interesa, toda vez que no controla directamente a los páises productores y que el petróleo tiene o tendrá un límite.No sé Chosen, yo pensaba que eran los chinos con el Litio los que tenían la sartén del negocio por el mango. Precisamente ahora al gobernar Merkel con los ecologistas se verá obligada a poner buena cara al coche eléctrico, que en términos globales (producción de litio...) puede que sea tan contaminante o más como el otro y en términos económicos supone poner a nuestra industria a depender de China.
Lo que no es asumible es que los europeos, teniendo alternativas para un nuevo mercado a desarrollar -como líderes- sigamos en el camino del combustible fósil.
Si por el camino hay que financiar estudios para demonizar el diésel, se hará.
si existen trenes Diesel mucho más económicos y sin necesidad de tener toda una red electrificada, solo consume cuando se usa.:roto2:
Los chinos gracias a dios solo lideran la producción a escala y por ahora están obligados a competir en la zona de muy bajo valor añadido (producción). Para que se entienda... Arabia Saudí no tiene tantas refinerías. El refino es lo que da valor añadido.
La ventaja de la electricidad es que el MISMO coche podría funcionar con baterías de litio, de niquel, condensadores, rayos de tormenta, catenarias o carriles de inducción. Ahí es donde está el valor añadido. El valor de una batería de litio en un iphone es casi cero, pero te la cobran a 100€. A eso me refiero.si existen trenes Diesel mucho más económicos y sin necesidad de tener toda una red electrificada, solo consume cuando se usa.:roto2:
Le electricidad solo se consume cuando se usa. Precisamente el tren solo consume cuando se mueve. Justo la forma más sencilla de predecir el consumo porque tienen un horario, por eso se electrifica la red ferroviaria ;) (y el TGV es el medio de transporte terrestre más rápido y eficiente).
A ver, se electrifica porque recibe ingentes cantidades a fondo perdido por parte de los estados keynesianismo puro.Extraño argumento... ¿Keynesianismo? Las redes eléctricas se vienen desplegando desde mucho antes que Keynes naciera. Lo curioso es que tu estimas que disponer de luz en tu casa es más importante (y merecedor de red eléctrica) que transportar mena de hierro u hombres de negocios a Shangai. ¿Electrificar las autopistas o el corredor mediterráneo es un acto de keynesianismo? venga hombre... ::)
En EE.UU los trenes son DIESEL porque reciben muy poca subvención y deben ser rentables, por eso se ven esos trenes kilométricos de mercancías.Los trenes diesel existen por una simple cuestión estratégica en el mix de transporte. Eso es así y siempre ha sido así.
La electricidad producida si no se consume se pierde, que es lo que ocurre por las noches o en temporadas de bajo consumo.La electricidad no se pierde jamás. Tocas de oído... y hay notas que desafinas un poco jeje ;) Te lo explico en el siguiente punto.
Precisamente almacenar es el talón de aquiles de la electricidad, por el coste de las baterías, por la dificultad de extraer de las minas los materiales extraños que necesitan y por la baja capacidad de almacenaje.La "electricidad" (vector) se almacena desde hace decenios en forma de energía potencial. Por eso los trenes son eléctricos y nuuuncaaa van a llevar baterías.
pero creo que muchas líneas han sido creadas desde un punto de vista político y no desde un punto de vista económico o logístico.Claro que si, nos ha jodido!!! ¿Y eso que tiene que ver con la idoneidad de la electricidad para transporte por ferrocarril? ;D Es como degradar el futbol porque un alcalde corrupto construyó un polideportivo ;)
A ver, se electrifica porque recibe ingentes cantidades a fondo perdido por parte de los estados keynesianismo puro.Extraño argumento... ¿Keynesianismo? Las redes eléctricas se vienen desplegando desde mucho antes que Keynes naciera. Lo curioso es que tu estimas que disponer de luz en tu casa es más importante (y merecedor de red eléctrica) que transportar mena de hierro u hombres de negocios a Shangai. ¿Electrificar las autopistas o el corredor mediterráneo es un acto de keynesianismo? venga hombre... ::)CitarEn EE.UU los trenes son DIESEL porque reciben muy poca subvención y deben ser rentables, por eso se ven esos trenes kilométricos de mercancías.Los trenes diesel existen por una simple cuestión estratégica en el mix de transporte. Eso es así y siempre ha sido así.CitarLa electricidad producida si no se consume se pierde, que es lo que ocurre por las noches o en temporadas de bajo consumo.La electricidad no se pierde jamás. Tocas de oído... y hay notas que desafinas un poco jeje ;) Te lo explico en el siguiente punto.CitarPrecisamente almacenar es el talón de aquiles de la electricidad, por el coste de las baterías, por la dificultad de extraer de las minas los materiales extraños que necesitan y por la baja capacidad de almacenaje.La "electricidad" (vector) se almacena desde hace decenios en forma de energía potencial. Por eso los trenes son eléctricos y nuuuncaaa van a llevar baterías.Citarpero creo que muchas líneas han sido creadas desde un punto de vista político y no desde un punto de vista económico o logístico.Claro que si, nos ha jodido!!! ¿Y eso que tiene que ver con la idoneidad de la electricidad para transporte por ferrocarril? ;D Es como degradar el futbol porque un alcalde corrupto construyó un polideportivo ;)
sabe que coste tendría un billete de AVE si lo pagara en totalidad el usuario?Esta pregunta es estrafalaria.
La energía no se almacena, se adapta la oferta a la demanda.Antes dijiste que la energía no consumida ¿? se perdía.
Hablemos de Europa...
¿Que opináis de los planes secesionistas de ISIS y el Ejército Islámico para instaurar en España las fronteras de la antigua Al-Ándalus? Es decir... ¿tiene el pueblo árabe derecho a decidir sobre el futuro de dicha indudable región histórica?
:troll: :troll: :troll:
Lectura del 1-O por un "profe" (ENS, nivel doctorado-investigador) de historia española -- en v/FR
[url]http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/09/25/31001-20170925ARTFIG00131-referundum-catalan-l-independance-n-est-qu-un-slogan.php[/url] ([url]http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/09/25/31001-20170925ARTFIG00131-referundum-catalan-l-independance-n-est-qu-un-slogan.php[/url])
Ce qui est certain c'est que le gouvernement espagnol - je préfère cette expression à Madrid car en opposant Madrid et Barcelone, on oublie l'existence de 47 millions d'Espagnols - n'opposera jamais la violence à l'action des responsables catalans mais toujours les instruments de l'État de droit. Nous sommes en 2017… pas en 1936, malgré les discours délirants et irresponsables de certains.
esta frase me reafirma en la idea que los doctorados los regalan seas del pais que seas
el resto del texto parece sacado de un libro de Cebrian
Lo cierto es que el gobierno español -- prefiero esta expresión antes que decir Madrid, porque al oponer Madrid y Barcelona, olvidamos la existencia de 47 millones de Españoles -- no opondrá nunca la violencia a la acción de los responsables catalanes, sino siempre todos los instrumentos del Estado de derecho. Estamos en 2017... no en 1936, a pesar de los discursos delirantes e irresponsables de algunos.
Has citado el pasaje que precisamente me fijé y me hizo citar el paper. Lo de "doctorante" lo puse por precisar lo que llamé "profe".CitarLo cierto es que el gobierno español -- prefiero esta expresión antes que decir Madrid, porque al oponer Madrid y Barcelona, olvidamos la existencia de 47 millones de Españoles -- no opondrá nunca la violencia a la acción de los responsables catalanes, sino siempre todos los instrumentos del Estado de derecho. Estamos en 2017... no en 1936, a pesar de los discursos delirantes e irresponsables de algunos.
Me pareció que da en el clavo, y que ése es el punto donde se distinguen los dos discursos: uno que se limita a aplicar simplemente la Constitución, otro que la ignora invocando un supuesto derecho que -- fuera de esa constitución -- simplemente no existe. Luego, quién pisotea el derecho. ¿El que tiene que aplicarlo?
La constutición española es ya oficialmente papel mojado, pero es que ha sido el mismo TC el que se ha encargado de cargarsela. Lo que nos depara no lo sabemos nadie, pero lo que si que es seguro es que ya nada será igual.
PD Ya que vas dando lecciones de frances podrias ponerme algún corte donde salga Rajoy hablando en otro idioma?
el problema, a mi entender en que la mayoria de individuo-dictador pretende ser un gióvane d’onore y es no es posible sin el bautizo de sangre.
que usted lo intenta, no lo niega nadie, pero si que es verdad que su espiritu identitario es presente en su interior aunque no lo quiera. Lo afirmado anteriormente es que la diferencia está en la ubermoral [Uber+Moral] impregnada en el supuesto elector cuyas consecuencias recibe la sociedad que le rodea
¿es legal que usted de opiniones sobre los demas? obviamente, estamos en una dictadura blanda que lo permite
en los comentarios anteriores usted lo puede ver, no es la libertad lo que lo impide,usted puede ver todos los dias en los medios gente con supuesta sapienza lo que en el fondo no deja de ser un comentario de individuo pispajo
Podemos pide activar el artículo 7 de la UE tras la violencia policial
Por otro lado, los eurodiputados de Podemos han enviado una carta al presidente de la Comisión Europea (CE), Jean-Claude Juncker, en la que aseguran que se cumplen las condiciones para activar el artículo 7 del Tratado de la UE en España tras la violencia policial en Cataluña, que pretendía impedir el referéndum del 1-O. Un artículo que contempla incluso la suspensión del derecho de voto de un país en el Consejo de la Unión Europea.
Abundando en lo que explica Saturno sobre derechos vinculados a territorio, me llegan al whatsapp mensajes que circulan entre Policías Nacionales y GCs, quejándose de que en los pueblos a los que les han destinado les deniegan el abono de gimnasio, o en el hotel les piden directamente que por favor se vayan a otro.
Nada que no se haya visto en el País Vasco antes, en ese sentido no me sorprende. Lo que me llama la atención realmente, es cómo el virus nazionalista puede llegar a infectar incluso a un "pueblo" :biggrin: famoso por su amor al dinero. Que los borrokas mirasen mal a los nacionales me parecía comprensible, dado el elevado analfabetismo funcional existente en las montañas vascas, pero que un catalán renuncie hoy a un buen negocio dando servicio a miles de foráneos, es algo inaudito. Un buen catalán "de los de toda la vida" les hubiese subido la cuota de abono, por charnegos, no se si me explico.
Supongo que es la mezcla con sangre del sur de España, estando como están todos los catalanes mezclados con extremeños y andaluces, lo que les ha debilitado el gen catalán usurero. Vamos a tener que cambiar todo el repertorio de chistes para adaptarnos a esta nueva realidad, fruto de la globalización y las autopistas hasta 1ª línea de playa.
Fuera de bromas, los nacioncitas vasco-etarras os llevan años de ventaja.
Con la ayuda inestimable de España, Francia e Italia, los arios-centroeuropeos os van a utilizar de conejillos para cimentar aún mas la fundación de la UE, como antes ya se hizo con los griegos.
En este proceso integrador y constituyente de los Estados unidos de Europa os vamos a dar una zanahoria seguida de 20 palos, para que aprendáis.
No me gusta tu comentario. Suena un tanto xenófobo. Ya sé que a tí te da igual.Que va, al contrario. Si que me importa tu opinión en este sentido.
Leía hace no mucho por ahí que no sólo los catalanes son más españoles de lo que piensan, sino que hasta se puede defender que son los más españoles de todos nosotros. Lo español emana de una forma muy potente en Cataluña, no en cuanto a su expresión circunstancial, que varía, sino a la corriente de fondo.
Cosas extraordinariamente españolas nos han ofrecido en altas dosis: infantilismo, quijotismo, y drama (victimismo). Asuntos muy latinos. PPCC nos ha señalado otros que no hace falta rememorar. Por supuesto, en los aspectos positivos también aplica: creatividad, genio, flexibilidad, ...
Se dice que esas cosas y otras muchas hacen al fin y al cabo que Spain sea una simpática y bonita curiosidad a ojos de nuestros más pragmáticos y grises vecinos.
Si puedo, cuando esté más sosegado, os intentaré transmitir mis impresiones del despropósito catalán.
Y debo reconocer que lo he pasado, y aún, lo estoy pasando muy mal.
Ppr mucho que lo intentase, me han metido de lleno y han conseguido sacar mi pretendidamente controlado gen volkgeist.
Debo reflexionar.
Mucho.
Sds.
Si puedo, cuando esté más sosegado, os intentaré transmitir mis impresiones del despropósito catalán.
Y debo reconocer que lo he pasado, y aún, lo estoy pasando muy mal.
Ppr mucho que lo intentase, me han metido de lleno y han conseguido sacar mi pretendidamente controlado gen volkgeist.
Debo reflexionar.
Mucho.
Sds.
Si puedo, cuando esté más sosegado, os intentaré transmitir mis impresiones del despropósito catalán.
Y debo reconocer que lo he pasado, y aún, lo estoy pasando muy mal.
Ppr mucho que lo intentase, me han metido de lleno y han conseguido sacar mi pretendidamente controlado gen volkgeist.
Debo reflexionar.
Mucho.
Sds.
Me siento talmente identificado contigo. A mi me pasa lo mismo. Al final me he visto casi forzado (como todo le mundo aqui) a posicionarme.
Lo cual lamento profundamente.
Es tiempo de reflexión interna
Si puedo, cuando esté más sosegado, os intentaré transmitir mis impresiones del despropósito catalán.
Y debo reconocer que lo he pasado, y aún, lo estoy pasando muy mal.
Ppr mucho que lo intentase, me han metido de lleno y han conseguido sacar mi pretendidamente controlado gen volkgeist.
Debo reflexionar.
Mucho.
Sds.
Me siento talmente identificado contigo. A mi me pasa lo mismo. Al final me he visto casi forzado (como todo le mundo aqui) a posicionarme.
Lo cual lamento profundamente.
Es tiempo de reflexión interna
No, es el tiempo de la reflexión colectiva. Esta sociedad está enferma. Somos demasiados los que estamos ahí como para no exigir un antes y un después.
Si puedo, cuando esté más sosegado, os intentaré transmitir mis impresiones del despropósito catalán.
Y debo reconocer que lo he pasado, y aún, lo estoy pasando muy mal.
Ppr mucho que lo intentase, me han metido de lleno y han conseguido sacar mi pretendidamente controlado gen volkgeist.
Debo reflexionar.
Mucho.
Sds.
Me siento talmente identificado contigo. A mi me pasa lo mismo. Al final me he visto casi forzado (como todo le mundo aqui) a posicionarme.
Lo cual lamento profundamente.
Es tiempo de reflexión interna
No, es el tiempo de la reflexión colectiva. Esta sociedad está enferma. Somos demasiados los que estamos ahí como para no exigir un antes y un después.
Habrá un antes y un después.
No lo dude.
Pero después de desactivar (y el cuerpo me pide decir aplastar) la rebelión.
Y ya puestos me retrato aquí. Cero negociación.
Desactivación ejemplar de la rebelión.
Y mucha reflexion colectiva y negociación después.
Sds.
[...]
Creo que ha sido un error no haber hablado de la independencia, haber hablad en serio. Haber puesto a CIU, ERC y la CUP a plantear lo que querían. Lo que querían de verdad y con detalle. Que cada uno de los tres nos explicase (y explicase a los catalanes) como sería la justicia, la política monetaria, la financiación de la república, qué parte de la deuda se iban a quedar y que se lo explicasen al mundo, a ver qué les decían.
[...]
Sr saturio, es vd muy libre de opinar así.
Lo.que ni vd ni el presidente de la generalitat ni la mitad del pueblo de cataluña pueden es hacernos a la otra mitad el favor de negociar lo innegociable para nosotros.
Por muy fachas que le parezcamos.
Y fíjese que ni le mento al otro 80% de españoles que también lo.consideran innegociable.
Si le sienta mal, cambie de pais o aislese.
Si tan poco le importa , tampoco debería afectarle.
A quien quiera oir: NO NOS ABANDONEN.
NO NOS NEGOCIEN POR UNA TRANQUILIDAD DE TELEDIARIO.
No nos abandonen.
Sds.
... lo queremos para una España unida en una Europa unida, libre de esta enfermedad que creímos curada en el 45, pero que ya vemos que no ha sido así.Una enfermedad que nos azuzan recurrentemente y en la que caemos por una naturaleza que hace que, cuando se cruza el Rubicón, de poco sirva razonar.
En la morada de los muertos, en medio de los tormentos, levantó los ojos y vio de lejos a Abraham, y a Lázaro junto a él. Entonces exclamó: “Padre Abraham, ten piedad de mí y envía a Lázaro para que moje la punta de su dedo en el agua y refresque mi lengua, porque estas llamas me atormentan”.
[...]
Abraham respondió: “Si no escuchan a Moisés y a los Profetas, aunque resucite alguno de entre los muertos, tampoco se convencerán”». [Lucas 16, 23-24 y 31]
Sin ánimo de ofender a nadie, creo que uno de las cosas que no se dicen habitualmente es que los catalanes de bien (y ya se imaginan a lo que me refiero), han hecho mutis por encima de sus posibilidades.
Yo lo que he visto -y me corrijan- es que no se posicionaban en absoluto, pareciendo estar cómodos con la deriva: mira tu, si al final se consigue, ni tan mal. La mayoría silenciosa catalana ha sido otorgante e incluso complacida en la intimidad con los avances del ideologismo, tan evidentes que nadie puede ahora escandalizarse: sabían lo que les estaban contando a sus niños en la escuela, y saben perfectamente lo que sale por la tv3 en estos momentos.
La mayoría silenciosa restospaña es eso, demasiado silenciosa (cabe decir inane y lela muchas veces), pero no se equivoquen, el desprecio sociológico hacia ellos se ha notado. La gente no es tonta.
Tristemente el supremacismo sigue ahí. Mi mierda huele mejor. Por eso incluso a los moderados les sorprende tanto cuando se les dice que son españolazos a más no poder, su cerebro no lo puede creer.
Pues para mí, señores, la Cataluña imponente es la del siglo XIX, donde había capitalistas de verdad, arte de verdad y cojones, lo que hay ahora es mayormente fachada (es decir, pisitos y deuda) y mucho ego mal llevado.
Miren, a mí me enamora mi tierra, no la cambio por otra; pero ni de lejos la creo la mejor, al igual que yo mismo no me creo mejor que ustedes. Tenemos virtudes y defectos. Yo me conozco los míos y los de mi tierra perfectamente. Sin embargo ¿cómo creen que sobrellevamos los andaluces las deposiciones televisadas en la que un elfo del oasis nos perdona la vida, rebosando desprecio al decir que nos están manteniendo y que les estamos robando?
No se equivoquen, el poso de resentimiento en la mayoría silenciosa española no era visible, pero existe. Vienen los lodos de aquellos barros, y nos damos cuenta de que lo mismo tiene mal arreglo.
Pero yo soy optimista, y creo que podemos olvidar y pasar página en ambos lados más rápido de lo que se piensa, a condición de que el insulto termie. Ahora mismo. En ambos lados, si es que hay lados. De lo contrario la parte racional podría no vencer.
... lo queremos para una España unida en una Europa unida, libre de esta enfermedad que creímos curada en el 45, pero que ya vemos que no ha sido así.
Una enfermedad que nos azuzan recurrentemente y en la que caemos por una naturaleza que hace que, cuando se cruza el Rubicón, de poco sirva razonar.
RGCIM, la Puerta del Carmen en Zaragoza estuvo bien defendida. Artículo 30 y sigamos su ejemplo de valentía sin par.
Abandonar, nunca
Con cabeza, sin complejos, cada uno desde donde pueda o se le necesite
Ya somos dos, yo mas antiguo, y al lagarto decirle que no estan solos.
Un saludo
https://pbs.twimg.com/media/DLiDaxMW0AI-bQ_.jpg (https://pbs.twimg.com/media/DLiDaxMW0AI-bQ_.jpg)
Esa distinción que hace usted entre lo que es nuestro, suyo, de ellos etc, es completamente falsa, Las relaciones entre cataluña región, y el resto de España tienen una historia de siglos y es lo suficientemente intrincada como para que ni usted, ni nadie, tenga ningún derecho a apropiarse de nada de eso, así que utilizaré mi derecho a decidir, que es un derecho exclusivamente de ámbito privado, para decidir no hacerle ni caso y me preocuparé de lo que quiera, este a la distancia que este (si esta dentro de las fronteras de España), eso si puedo decidirlo pero ponerle a usted una frontera donde a mi me de la gana ya no pertenece al ámbito privado y no puedo hacerlo poniendo papelitos en una urna.
Lo que es España y sus fronteras no lo ha decidido nadie, y no es decidible, es un producto de la historia que nos viene dado.
Se ha usado derecho a decidir para evitar usar derecho de autodeterminacion, que sería lo correcto, pero eso no se quiere utilizar porque el consenso más amplio en el mundo es que ese derecho solo lo tienen las colonias, y Cataluña no ha sido jamás una colonia, ni una nación.
No tienes ustedes, ni nosotros derecho a decidir que es España o sus fronteras en una votación, es un hecho objetivo producto de la historia que nos viene dado.
es por ello que usted se autoasigna el derecho a determinar lo que cada uno decide o lo que no lo que en el fondo le hace darme la razón.
españa, conforero, no es lo que usted diga o parece que diga, ni siguiera lo que los dos juntos digamos. Dejandolo en el ámbito privado se impone informarle que a mi ni me diga lo que tengo que hacer ni me aliente con su autoridad moral a apoyar otras idealidades.
aparte de todo esto, en el fondo su nacionalismo hidden flag no deja de ser una respuesta defensiva a la ignorancia de lo que le rodea, que comparto, pues en el fondo y a diferencia de mi usted idealiza las elites saqueadoras como salvadoras, patria común del ciudadano-dictador.
No obstante, dejemos a un lado los ubermoralistas. El gobierno de François Malan puede estar representado por diferentes opciones:
Borrell: 70 años, visto bueno por la metropoli pero con una esperanza de vida de menos de 10 años. Descartado
Maragall, enfermo. Descartado
Rivera. 40 añosSu aspiración es ser el mayordomo de Moncloa. Descartado
Arrimadas. 36 años. La ZP femenina. Descartado
Levy. 40 años. No tiene la aprobación del Consejo de Israel. Descartado
Piqué. 60 años. enfermo, Descartado
se antoja complicado el recambio racial. Esperemos acontecimientos
Bueno, pues parece que tenemos declaración de independenca de Schrödinguer, esta declarada y suspendida a la vez... :facepalm:
Bueno, pues parece que tenemos declaración de independenca de Schrödinguer, esta declarada y suspendida a la vez... :facepalm:
Es bochornoso. Como representante de Cataluña, era su responsabilidad suspender la Constitución... o suspender la Autonomía. No puede diferirlo y menos autoatribuirse el mandato hasta... cuando le dé la gana. Cómo le llamarán para entonces: ¿Duce?
No os avergoncéis.
La lección que acaba de dar España (los Españoles) al mundo sobre el significado de una Constitución ha sido magistral.
Mañana se empezarán a oir voces reclamando la misma para Europa. ;)
A partir de ahora, a las alucinaciones identitarias las llamarán "catalanas". LePen "la catalane". Haider, el AFD, una sarta de "catalanes". A los brexiters, "the catalans".
A Trump cuando diga "America First", entre el público le contestarán -- "You Catalan!"
Magistral.
Independencia sin blanca
LUIS GARICANO Y FRANCISCO DE LA TORRE
[url]http://www.elmundo.es/espana/2017/10/13/59dfb68ee2704e6c3c8b4658.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/espana/2017/10/13/59dfb68ee2704e6c3c8b4658.html[/url])
El arreón nacionalista tiene su origen en la NECESIDAD de contar con un poder judicial afín que les permita librarse de la cárcel tras la brutal corrupción institucional autonómica permitida por el ejecutivo.
Cataluña: cada vez se ve más clara la trama
Es perfectamente posible que me equivoque, porque en este juego de tramposos ya es difícil saber quién juega a qué, e incluso es probable que los protagonistas hayan dejado de controlar los acontecimientos y estén improvisando. Pero en líneas generales, a grandes rasgos, la impresión que deja la sesión de este miércoles en las Cortes es la siguiente: estamos asistiendo al nacimiento de un nuevo orden constitucional, a esa “segunda transición” que soñó Zapatero, y el asunto catalán está sirviendo como fulminante, como materia explosiva, de lo que haya de venir.
Avanzo la hipótesis: la deriva rupturista del gobierno catalán ha venido pintiparada para que ahora los políticos emprendan una reforma de la Constitución en sentido confederal, es decir, hacia un país más deshilachado todavía, reforma que viene siendo una reclamación permanente de numerosos centros de poder desde hace años. Así que ahora podríamos asistir, por ejemplo, a una negociación conflictiva, pero controlada, entre un gobierno catalán (el actual u otro futuro) sometido a amenaza de intervención estatal y un gobierno de España dispuesto a abrir la caja constitucional, mientras las Cortes comienzan el proceso de demolición del Sistema de 1978 para reemplazarlo por otra cosa. Barcelona y Madrid salvarían así la cara mientras a la opinión pública se la adormece con la cantinela del consenso.
Es muy posible que el decorado de la escena esté diseñado desde tiempo atrás. Los acontecimientos de los últimos meses no habrían hecho sino precipitar la función. Y tal vez eso explique por qué el Gobierno de España ha permanecido impasible mientras los separatistas, por su parte, proclamaban su singular independencia con freno y marcha atrás.
Modificaciones traumáticas
La operación no es inédita en los anales del juego político. Imaginemos la siguiente situación. Un determinado Gobierno, empujado por presiones externas e internas, se ve obligado a impulsar una modificación traumática del mapa legal. Temerosos de que esa modificación dispare resistencias graves, los agentes interesados conciben el siguiente plan: forzar un escenario de inestabilidad extrema para que el cambio resulte aceptable y, aún más, deseable como mal menor.
Ante el riesgo de una ruptura general del orden establecido, todo el mundo aceptará una ruptura limitada, ejecutada bajo control. De esta manera se conseguirá el objetivo inicial con un coste relativamente bajo. Así llegó al poder De Gaulle, por ejemplo. Si no es esto lo que está pasando en Cataluña, se parece mucho. La “modificación traumática”, es decir, el objetivo general, sería la reconversión del Estado en términos propiamente confederales, con un status de semi independencia para varias regiones.
Y el “escenario de inestabilidad extrema” sería el proceso independentista desencadenado en Cataluña. ¿Hipótesis descabellada? Tal vez. Pero más descabellado es que un gobierno regional haya podido desobedecer reiteradamente las leyes, organizar un referéndum previamente prohibido e incluso declarar su independencia, sin que el Estado haya hecho nada efectivo para impedirlo. Semejante cúmulo de incongruencias sólo se explica, precisamente, si forma parte de un proceso cuya auténtica naturaleza no está en los hechos visibles, sino en lo que no se ve.
Reforma “confederal” de la Constitución, sí. No debería extrañarnos. Hace mucho tiempo que la poderosísima oligarquía catalana, con sus largos tentáculos políticos y mediáticos en Madrid, intenta imprimir un giro decisivo al marco político español para conquistar cuotas definitivas de autogobierno; por supuesto, con el consiguiente beneficio propio.
Podemos recordar las tesis del socialista Maragall sobre el “federalismo asimétrico” (era 1998) o las reiteradas propuestas de pacto fiscal de Artur Mas hasta 2012 (anteayer, como quien dice), ambos presidentes de la Generalidad. En realidad, ha sido la tónica permanente del nacionalismo catalán desde los tiempos de Cambó y aun antes: obtener del Estado un trato preferente que permita a Cataluña rentabilizar al máximo su riqueza (dejando de lado la enojosa circunstancia de que esa riqueza procede, en gran medida, del resto de España). Los aduladores de corte han travestido con frecuencia esa política como “contribución a la gobernabilidad del Estado”, y no es del todo falso, pero con el relevante matiz de que el precio de la tal contribución siempre ha superado las siete cifras.
Oligarquía y nacionalismo
Aquí el nacionalismo político ha jugado un papel determinante. Por decirlo así, el partido catalanista –desde la Lliga de Cambó hasta la Convergencia de Pujol- siempre ha sido el agente del dinero catalán. En el Sistema de 1978, construido precisamente sobre el arbitraje de intereses de las oligarquías económicas, territoriales y políticas, el elemento “catalán” ha sido determinante, y basta ver los nombres de los consejos de administración de las grandes empresas privatizadas desde entonces y de las grandes concesiones públicas. A cambio, el Estado podía ofrecer la imagen de un apacible escenario de diálogo y consenso.
Ahora bien, mientras tanto el nacionalismo iba construyendo su propio proyecto, a veces diferido, pero nunca ocultado, de construir una nación en Cataluña. Al cabo de cuarenta años, la hegemonía plena del separatismo sobre la vida política, cultural y social ha disparado las expectativas de una parte creciente de la población, al tiempo que intensificaba el sentimiento independentista. Sentimiento, por cierto, al que ya no le bastaba la ambigua moderación de Convergencia, sino que viraba abiertamente hacia el polo más radical de la Esquerra. Nada se había hecho desde el Estado para combatir este proceso, al revés: se suponía que la complicidad de Convergencia iba a mantener el suflé dentro de límites razonables. Pero no.
La fragilización de Convergencia, hija de la corrupción generalizada, pero también de la propia política nacionalista, modificó profundamente el mapa de influencias. A lo largo de cuarenta años de hegemonía en Cataluña, las relaciones tradicionales habían cambiado y el socio de la oligarquía catalana ya no era propiamente el partido nacionalista, sino el Gobierno de la Generalidad, de manera que, cuando éste pasó a otras manos, las cosas cambiaron de manera dramática.
Aún más cuando el gobierno catalán, para mantener la mayoría nacionalista, tuvo que dar entrada a la ultraizquierdista CUP, realmente dispuesta a llevar a cabo una revolución social sin concesiones. De alguna manera, lo que se ha vivido en Cataluña desde entonces ha sido un “doble poder” muy parecido al que Azaña denunciaba en 1936: la Generalidad sublevada contra el Gobierno de la nación y la ultraizquierda sublevada contra la Generalidad. Con el relevante matiz de que esa ultraizquierda ha sido abundantemente protegida por la propia Generalidad. En todo caso, el nuevo escenario rompía el paisaje. La oligarquía ha comprobado que el nuevo poder autonómico ya no era su socio, sino que quería materializar su anhelado proyecto separatista. Y los acontecimientos se han precipitado.
En los mentideros se da por descontado que la retracción unánime de la banca y la gran empresa catalanas, anunciando su marcha de Cataluña en caso de independencia, es producto directo de las gestiones de la Corona y el Gobierno, fundamentalmente de la primera. Consta también que los grandes nombres del dinero han tratado de llamar a la sensatez al gobierno catalán, con nimios resultados.
Las gentes del dinero en Cataluña pueden estimular el nacionalismo en la medida en que les reporta beneficios, pero la independencia de la región –y ellos lo saben mejor que nadie- sería una ruina. Por eso hemos visto recular en estos días a firmas muy comprometidas con la financiación del separatismo. Es interesante: sus predecesores, en 1936, intentaron retomar el control sobre la política catalana pero, espantados, acabaron financiando al ejército de Franco; sencillamente, el monstruo se les había ido de las manos. Hoy ha ocurrido algo semejante.
El nacionalismo catalán ya no responde a los intereses de la oligarquía catalana. Naturalmente, ahora ésta va a intentar retomar el control. De ahí las permanentes invitaciones del Gobierno Rajoy a los sectores más “moderados” del catalanismo para que se aparten de las muy revolucionarias CUP: se trataría de recomponer el statu quo.
La reforma constitucional
Como es lógico, esa recomposición del paisaje sólo puede pasar por una reforma constitucional. ¿Por qué? Porque a lo largo de estos cuarenta años los poderes locales han construido su propia red de influencia y presión, es decir, de poder, y eso exige una capacidad de autofinanciación que actualmente les está vetada. Por supuesto, las exigencias son más altas a medida que el poder es más grande, y las de Cataluña son inmensas. Pero ya hemos visto en las Cortes que todos esperan sacar tajada: hace tiempo que la partitocracia española ha girado hacia un sistema clientelar territorial, de manera que la reforma no será sino la consumación de un proceso ya en marcha.
En lo que concierne expresamente a Cataluña, ¿en qué podría consistir ese pacto? Básicamente, en el reconocimiento formal de su condición de nación y en una sustanciosa aportación de dinero: un modelo de financiación semejante al cupo vasco, agencia tributaria propia no subordinada a la estatal, garantía estatal (española) de las pensiones en Cataluña (hoy con un déficit del 21,5%), etc.
Quién sabe si además se añadirían al repertorio otras concesiones en materia de representación internacional. Después de todo, las exigencias de la oligarquía catalana nunca han tenido otro objetivo: seguir sacando beneficio de España con las menores obligaciones posibles hacia el conjunto. El presidente de la patronal CEOE, el catalán Juan Rosell, que nunca se ha distinguido por ser el hombre más prudente del mundo, lo dijo claramente el pasado 15 de septiembre en uno de sus frecuentes calentones de boca: “Hay un problema en Cataluña y no podemos decir que el problema ya no existirá tras el uno de octubre (…). Hay que volver a lo que hicimos en el año 1977 y 1978”, un nuevo “pacto territorial”, incluida la reforma constitucional, “para que podamos vivir con tranquilidad y prosperidad los próximos 40 años”. Claro, ¿no?
Mucha gente considera aún inconcebible que Rajoy, presidente del Gobierno en representación del Partido Popular, haya asumido como propia una operación que en la práctica viene a liquidar la existencia de España como Estado-nación. Eso –dicen- sería más propio del PSOE de Zapatero.
Pero, por otro lado, ¿qué capítulos de la Agenda Zapatero le quedaban a Rajoy por asumir como propios? Rajoy ha mantenido la política de Zapatero en el asunto de ETA, en la conformación de un mapa mediático de libertad limitada, en la ley de memoria histórica, en la ley del aborto, en la ley de matrimonios homosexuales… Tiene pleno sentido que ahora culmine un capítulo que Zapatero empezó con su famoso “Apoyaré la reforma del Estatuto que venga del Parlamento catalán”. Aquello significó un salto cualitativo determinante en el “problema catalán”. Hoy recogemos lo sembrado.
A partir de aquí, cada cual está jugando su papel en el drama. El PP, exhibiendo la aplicación de un artículo 155 que, si alguien se toma la molestia de leerlo, verá que no es más que una intervención administrativa temporal, ejecutable en diversos grados y perfectamente compatible con cualquier proceso de negociación política. El PSOE, blasonando de apoyar al Gobierno (“responsabilidad de Estado”) y al mismo tiempo poniendo como condición la reforma constitucional, exigencia muy probablemente pactada de antemano con Rajoy.
Ciudadanos, apoyando expresamente al Gobierno y auspiciando una inmediata convocatoria de elecciones autonómicas, mientras exhibe a “Europa” como auténtico horizonte de la política española. Podemos, esforzándose por aparecer equidistante y tratando de acaparar en beneficio propio el papel de “mediador” (con pocas expectativas de éxito, por cierto). Los grupos minoritarios de carácter regional, estimulando también una reforma constitucional de la que esperan sacar ventaja. La oligarquía económica, que con muy pocas excepciones ha apoyado siempre al nacionalismo, jugando ahora el papel de conciencia de la Cataluña española. Y así sucesivamente. Ojo: no es que todos se hayan puesto de acuerdo de antemano en que pase lo que está pasando; es, más bien, que hay un acuerdo de base en explotar en propio beneficio las condiciones creadas por la deriva de nuestro sistema político.
¿Y el pueblo, el sufrido pueblo español? El pueblo español, en general, no quiere. El pueblo español, como ha demostrado estos días en las calles, está razonablemente contento con su condición nacional y apenas es permeable a los dicterios de “fascismo” que se le prodigan desde el separatismo y la ultraizquierda. Resulta que el español medio es mucho más patriota de lo que nuestros mandamases creían.
Todos los sondeos de opinión muestran un creciente descontento con el sistema autonómico. Si se sometiera a referéndum una reconfiguración del país con más competencias para las comunidades autónomas, difícilmente obtendría mayoría. La pérdida de soberanía española en materia económica, exterior y militar resulta cada vez menos soportable para el ciudadano común.
El sortilegio de “Europa” aún funciona, pero malamente. Si a eso le sumamos la desazón de ver cómo el país se deshace no sólo por arriba, sino también por abajo, por el ámbito regional, se entenderá que no esté la Magdalena para tafetanes. Pero, precisamente por eso, la insurrección separatista catalana ha puesto las cosas exactamente donde hacían falta: ante el riesgo cierto de ruptura de la unidad nacional (el supuesto de inestabilidad extrema), todo el mundo aceptará una modificación del mapa legal que, en otras condiciones, habría parecido demasiado traumática.
Esta hipótesis no tiene por qué ser correcta. No hay –o, al menos, yo no tengo- información privilegiada que la confirme. Pero las cosas que han venido pasando se ajustan bastante bien a esta “plantilla”. ¿O no?
Por cierto, Les Luthiers, como antes Charlie Hebdo, un grupo foráneo de humor, que no comulga para nada con las ideas independentistas:
https://elpais.com/cultura/2017/10/17/actualidad/1508243777_249628.html (https://elpais.com/cultura/2017/10/17/actualidad/1508243777_249628.html)
Si ya a ése nivel les van calando fuera, y no sólo en el de los gobiernos y cancillerías, es que la guerra ideológica les va mucho peor de lo que piensan...
Con lo bella que era la chica ucraniana, no sé como ponen a ésa chiqueta con tal cara de fregona, la verdad.. :-\
Con lo bella que era la chica ucraniana, no sé como ponen a ésa chiqueta con tal cara de fregona, la verdad.. :-\
Pues yo veo a esta chica de grandes ojos almendrados y voz medio quebrada y me digo, qué caramba, démosles la independencia, carajo.
Joder, quiénes somos nosotros para impedir la felicidad de los catalonians.
Como decía alguien por ahí, no me gusta la postura de, -Os jorobáis, catalonians, que sois simples spaniards unicejos- Dicho esto con ondear de banderas rojigualdas.
El problema es que es imposible. El que nos parezca idiota o no, o que nos parezca un discurso marciano que una de las comunidades autónomás más ricas plantee que está sometida, el que nos de risa que crean en una república de piruleta fuera de España, el que creyesen como niños que Europa les esperaría con los brazos abiertos porque quién no va a querer a unos tipos tan molones...
todo eso no es lo crítico.
Lo crítico es que es imposible separarnos. Aunque queramos. Si se acepta el "derecho a decidir" al final va a pasar que un señor de Burgos que no se ha enterado que tiene ese derecho va a tener que devolver él sólo el 1.1 millón de millones y los acreedores no van a considerarle capaz de devolverlo.
Y me da mucha penita que las chicas de ojos almendrados que hablan con tanta determinación a pesar de la emoción que les embarga y hacen de tripas corazón por no llorar y pedir que Europa actue hoy, porque mañana será tarde, se van a tener que dar cuenta en un momento u otro que nunca tendrán su república feliz. Nunca serán la Noruega del Mediterráneo, ¡qué disgusto!.
El coordinador de la Asociación Española de Guardias Civiles (AEGC) en Cataluña, Bartolomé Barba, ha asegurado este martes que un instituto catalán separó este lunes a los niños entre los que estaban a favor o en contra de la actuación policial que tuvo lugar durante la jornada del referéndum del 1-O. Según reveló, los profesores obligaron a los primeros a quedarse en clase mientras los segundos jugaban en el patio.
En declaraciones a COPE, ha comparado esta situación con "un campo de concentración" donde algunos alumnos están "marcados con la estrella de David" y por ello reciben un trato distinto.
Joder, menos mal que se ven mas opiniones racionales!!!
Tras ver las manifas de ayer en defensa de los dos filoetarras encarcelados (yordis)... por increíble que parezca y tras días de tensión contenida, ya tengo un sentimiento de tranquilidad.
Están echados al monte.
Nadie en su sano juicio les apoyará.
Tras esta deriva contraria a la separación de poderes (exigiendo que el ejecutivo se salte a los jueces!!! :roto2:) seguida de rodillas por los irresponsables de Podemos y las mareas hippys, esto ya está encarrilado.
En el parlamento europeo ya están marcados. No van a ninguna parte. Y mucho menos con Maduro utilizándolos como metralla. Están acabados.
A los independentistas "de bien", esos cientos de miles de ciudadanos (engañados) que se manifiestan, que se creen un pueblo reprimido a porrazos el 1-O :rofl: , un país lliure y todas esas arengas infantiles, pues que les jodan.
Yo también quiero tener un Ferrari y me aguanto.
...como decía el gran Quevedo: "Y luego, in continente, caló el chapeo, requirió la espada, miró al soslayo, fuese y no hubo nada."
Más sobre el absurdo de la educación en catalán obligatoriamente, incluso para impartir lenguas extranjeras:
[url]http://www.elmundo.es/baleares/2017/10/19/59e7bc99468aeb233e8b45cd.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/baleares/2017/10/19/59e7bc99468aeb233e8b45cd.html[/url])
Como también en Baleares, ahora prima la catalanidad de los médicos especialistas, sobre su competencia, incluso cuando hay una carencia crónica de candidatos en ciertos puestos de nivel, pero críticos para mantener unas prestaciones esenciales.
Más allá del desprecio...
Preparando los futuros independentistas baleares.
el arancel proteccionista, implantado por los gobiernos de España en atención a la perpetua queja –y excelente diplomacia– catalana, ha convertido al resto de España en un mercado cautivo del textil catalán, cuando es notorio que es más caro y peor que el inglés. Un premio colosal, pues no había entonces industria más importante que la del algodón, que será pronto matriz de otras, como la química. Esa descompensación primigenia, el arancel, reescribe toda la historia económica de España. A partir de esa discriminación positiva inicial, que le permite arrancar con ventaja frente a las otras comunidades, pues España era un páramo industrial,
La plataforma Òmnium Cultural ha publicado este jueves varios mensajes en su cuenta de Twitter en la que llaman a los catalanes a retirar dinero en efectivo y gastarlo para "dinamizar la economía" y así demostrar que son "protagonistas de su futuro" y que "nadie puede jugar con la voluntad democrática de los catalanes".
La entidad ha encadenado una serie de 'tuits' en los que invita a los usuarios a retirar dinero en efectivo de "uno de los principales bancos" entre las 8 y las 9 de la mañana y, en caso de ser Banco Sabadell o Caixabank, anima a expresar el "desacuerdo con la decisión de trasladar su sede social fuera de Cataluña".
Una vez retirado el dinero, instan a gastarlo para conseguir "una economía catalana dinámica". Con ello quieren demostrar que "el poder" está en sus manos, que son "protagonistas de su futuro" y que "nadie puede jugar con la voluntad democrática de los catalanes".
"Nosotros ofrecimos diálogo y el Estado español ha respondido con el encarcelamiento de Jordi Cuixart y Jordi Sánchez. Somos millones y actuando todos juntos, pacífica y cívicamente, haremos sentir nuestro clamor", apuntan en el último mensaje de la cadena.
Putin esgrime Cataluña para acusar a la UE y Occidente de doble rasero
El presidente ruso compara en el foro Valdai el caso español, los de Kosovo, Crimea y el Kurdistán iraquí
Putin esgrime Cataluña para acusar a la UE y Occidente de doble rasero
El presidente ruso compara en el foro Valdai el caso español, los de Kosovo, Crimea y el Kurdistán iraquí
([url]http://Putin[/url] esgrime Cataluña para acusar a la UE y Occidente de doble rasero
El presidente ruso compara en el foro Valdai el caso español, los de Kosovo, Crimea y el Kurdistán iraquí)
Al final va a ser en Octubre. O no.
Òmnium Cultural llama a sacar dinero de los bancos en efectivo y "dinamizar" la economía catalana
[url]http://www.eleconomista.es/politica-eleconomista/noticias/8687461/10/17/minum-Cultural-llama-a-sacar-dinero-de-los-bancos-en-efectivo-y-dinamizar-la-economia-catalana.html[/url] ([url]http://www.eleconomista.es/politica-eleconomista/noticias/8687461/10/17/minum-Cultural-llama-a-sacar-dinero-de-los-bancos-en-efectivo-y-dinamizar-la-economia-catalana.html[/url])CitarLa plataforma Òmnium Cultural ha publicado este jueves varios mensajes en su cuenta de Twitter en la que llaman a los catalanes a retirar dinero en efectivo y gastarlo para "dinamizar la economía" y así demostrar que son "protagonistas de su futuro" y que "nadie puede jugar con la voluntad democrática de los catalanes".
La entidad ha encadenado una serie de 'tuits' en los que invita a los usuarios a retirar dinero en efectivo de "uno de los principales bancos" entre las 8 y las 9 de la mañana y, en caso de ser Banco Sabadell o Caixabank, anima a expresar el "desacuerdo con la decisión de trasladar su sede social fuera de Cataluña".
Una vez retirado el dinero, instan a gastarlo para conseguir "una economía catalana dinámica". Con ello quieren demostrar que "el poder" está en sus manos, que son "protagonistas de su futuro" y que "nadie puede jugar con la voluntad democrática de los catalanes".
"Nosotros ofrecimos diálogo y el Estado español ha respondido con el encarcelamiento de Jordi Cuixart y Jordi Sánchez. Somos millones y actuando todos juntos, pacífica y cívicamente, haremos sentir nuestro clamor", apuntan en el último mensaje de la cadena.
[url]https://twitter.com/omnium/status/921103515447152640[/url] ([url]https://twitter.com/omnium/status/921103515447152640[/url])
La típica cosa por la que se acaba montando un clásico pánico bancario, vaya.
Atacar a Europa desde dentro
Si Cataluña sentara un precedente de secesión, estimulando a otras regiones a imitarla, la Unión Europea entraría en una profunda crisis existencial. De hecho, se puede decir que en el caso catalán hoy se juega nada menos que su futuro
JOSCHKA FISCHER
[...]
La UE es una asociación de naciones-Estado, no de regiones. Si bien estas pueden desempeñar un papel importante no pueden participar como alternativa a los Estados. Si Cataluña sentara un precedente de secesión, estimulando a otras regiones a imitarla, la UE entraría en una profunda crisis existencial. De hecho, se puede decir que en el caso de Cataluña hoy se juega nada menos que el futuro de la Unión Europea.
[...]
https://elpais.com/elpais/2017/10/18/opinion/1508350313_648066.html (https://elpais.com/elpais/2017/10/18/opinion/1508350313_648066.html)
Ferraz debe poner firme al PSC. Nos jugamos mucho.
El secretario de Organización del PSC subraya que la posición del partido es el apoyo del 155 (https://twitter.com/ElsaGarciad/status/921424756691427329?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=https%3A%2F%2Felpais.com%2Fccaa%2F2017%2F10%2F19%2Fcatalunya%2F1508393771_172982.html)
Los alcaldes del PSC de cuatro distritos catalanes han suscrito un comunicado de rechazo al artículo 155, cuyas medidas ha aprobado este sábado el Gobierno en Consejo de Ministros Extraordinario y que cuenta con el apoyo del secretario general del PSOE, Pedro Sánchez.
El texto está firmado por la alcaldesa de Santa Coloma de Gramenet, Núria Parlón (cercana a Pedro Sánchez y miembro de la Ejecutiva del partido), el alcalde de Terrassa, Jordi Ballart, el de Granollers, Josep Mayoral, y el de Castellar del Vallés, Ignasi Giménez.
[...]
[url]http://www.vozpopuli.com/politica/Cisma-PSC-alcaldes-comunicado-desacuerdo_0_1074193217.html[/url] ([url]http://www.vozpopuli.com/politica/Cisma-PSC-alcaldes-comunicado-desacuerdo_0_1074193217.html[/url])
El 155 de la constitu no da potestad al Gobierno para cesar a los dirigentes de la Autonomía díscola. Rajoy, con la medida de ayer, está dando un golpe de Estado. El 155 de la constitu solo habilita al Gobierno a intervenir en la Autonomía en cuestión para forzar la obediencia del Gobierno autonómico salido de las urnas.
Hombre wanderer, es que en este asunto, como en todo lo que perpetran los partidos, están haciendo un uso torticera de la ley. El 155 de la constitu no da potestad al Gobierno para cesar a los dirigentes de la Autonomía díscola. Rajoy, con la medida de ayer, está dando un golpe de Estado. El 155 de la constitu solo habilita al Gobierno a intervenir en la Autonomía en cuestión para forzar la obediencia del Gobierno autonómico salido de las urnas.
Lo jodido del asunto es que los organismos internacionales están dando cobertura al enésimo dislate de esta infame partidocracia que padecemos. Es una aberración tras otra con la pseudo-nacion jaleando y aplaudiendo como hooligans cada movimiento de su facción estatal particular.
Es todo taaaaan burdo...
El 155 de la constitu no da potestad al Gobierno para cesar a los dirigentes de la Autonomía díscola. Rajoy, con la medida de ayer, está dando un golpe de Estado. El 155 de la constitu solo habilita al Gobierno a intervenir en la Autonomía en cuestión para forzar la obediencia del Gobierno autonómico salido de las urnas.
Creo que sí puede. Un golpe de Estado supone que el suspendido tuviese soberania.
La sentencia del TC ya indica que la CA no es soberana (sólo el ciudadano, por encima de las CCAA). No puedes llamar golpe de Estado a suspender los representantes de una CA cuya existencia administrativa emana de la CE78 (por modelo territorial del Estado).
El autogobierno sólo significa que los residentes pueden nombrar ellos mismos los dirigentes, según procedimientos que ellos mismos se dan (Estatuto de A.)
Pero una CA sigue siendo una emanación constitucional. una super-región
Es todo el debate que quiere PuigDemont. Pedir diálogo al superior administrativo según derecho administrativo, de forma que éste le reconozca como interlocutor de igual a igual, según derecho internacional (que es como operan los Estados soberanos en la UE, p.e.)
Aceptar un dialogo de iguales por parte de Rajoy es dar por aceptada y reconocida la soberania internacional de CAT. Actualmente, la soberania de Rajoy es internacional, la de CAT es constitucional de España. No puede haber dialogo si este supone el reconocimiento juridico previo de la soberania internacional de CAT.
Lo de Puigdemont es un artificio juridico para después de dialogar de igual a igual. y fracasar, poder alegar ante terceros soberanos que España ya ha reconocido la soberania de CAT. Al haber España reconocido de facto a Cataluña, los terceros podrán hacerlo a su vez.
Es toda la jugada de pedir la mediacion de la UE.
Quien comete golpe de Estado, es PuigDemont. Y lo está haciendo en CAT, además, ante sus propios paisanos, que le jalean... PuigDemont es el "Vivan las caenas" de cuando se tiró abajo la Constitucion de Cadiz.
(Editado)
Sí hombre, sí.
El gobierno está dando un golpe de Estado y los demócratas son los indepes y podemos.
HQJ.
Burdo, dice.
Sutil va a ser la bajada de votos de los jacobinos.
Podemos, podría haberse suicidado delante nuestro, tras haber asesinado a lo que quedaba del 15m, si es que quedaba algo. Como decía un articulista, el problema de Podemos es que para ellos España es algo tan odioso, que hay que destruirlo a cualquier coste. Las deposiciones de PIT y Echenique quedan ya para los museos del esperpento.
Sí hombre, sí.
El gobierno está dando un golpe de Estado y los demócratas son los indepes y podemos.
HQJ.
Burdo, dice.
Sutil va a ser la bajada de votos de los jacobinos.
Otra cosa
Me entran tentaciones de fundar un partido de izqueirdas decididamente unionista y pro-globalización...
El 155 de la constitu no da potestad al Gobierno para cesar a los dirigentes de la Autonomía díscola. Rajoy, con la medida de ayer, está dando un golpe de Estado. El 155 de la constitu solo habilita al Gobierno a intervenir en la Autonomía en cuestión para forzar la obediencia del Gobierno autonómico salido de las urnas.
Creo que sí puede. Un golpe de Estado supone que el suspendido tuviese soberania.
La sentencia del TC ya indica que la CA no es soberana (sólo el ciudadano, por encima de las CCAA). No puedes llamar golpe de Estado a suspender los representantes de una CA cuya existencia administrativa emana de la CE78 (por modelo territorial del Estado).
Hoyga saturno
Si el ciudadano fuese soberano (que no lo es por mucho que lo diga la Constitucion, ya que sería el Congreso y no el Gobierno a instancia del Senado quien tuviese que tomar esa decisión) ¿no le parece que un Gobierno que anula su soberano derecho a elegir Gobierno está dando un golpe de Estado?
Pues si no se lo parece tenemos un problema de raíz porque no existe ninguna ley en el ordenamiento jurídico español, como es natural, que faculte a un Gobierno, el que sea, a pasar por encima del resultado de unas votaciones emitidas por el soberano ciudadano. La contradicción es tan obvia que sorprende que tenga que aclararla.
esa es la interpretación de González Trevijano de dicho artículo:
https://www.youtube.com/watch?v=BYR0iQ-XbVk (https://www.youtube.com/watch?v=BYR0iQ-XbVk)
1-
Si una Comunidad Autónoma no cumpliere las obligaciones que la Constitución u otras leyes le impongan, o actuare de forma que atente gravemente al interés general de España, el Gobierno, previo requerimiento al Presidente de la Comunidad Autónoma y, en el caso de no ser atendido, con la aprobación por mayoría absoluta del Senado, podrá adoptar las medidas necesarias para obligar a aquélla al cumplimiento forzoso de dichas obligaciones o para la protección del mencionado interés general.
2-
Para la ejecución de las medidas previstas en el apartado anterior, el Gobierno podrá dar instrucciones a todas las autoridades de las Comunidades Autónomas.
esa es la interpretación de González Trevijano de dicho artículo:
https://www.youtube.com/watch?v=BYR0iQ-XbVk (https://www.youtube.com/watch?v=BYR0iQ-XbVk)
A ver si he entendido bien los 3 minutos que dice Trevijano, que son 40 de reloj.
-- Quiere aplicar el código penal a 2,7 millones de Catalanes.
-- Lo propio es aplicar el estado de excepción, en otro caso, el 155 introduce una Dictadura de los partidos desde Madrid.
Eso creo que es una falsedad. Está contemplando una relación de tú a tú entre "Madrid" y CAT.
Pero mo es Madrid quien toma el control del Govern, es el "Estado de todos" como dice el TC.
Lo siento, para mí Trevijano se cayó en un pozo (supongo que yo sí he leido a Ferrajoli, y el TC también).
-- La CE78 carece de delegado del Gobierno en las CCAA -- como en el modelo Alemán
Ya, pero Alemania es una Federación donde cada Lander goza de soberanía propia.
No es un problema de que la CE78 esté mal o que el traductor no entendiera la CE-Alemana.
En la CE78, la soberanía es exclusiva del Estado que somos todos y las CCAA son Instituciones de (auto)gobernación. No hace falta delegado del Gobierno porque una CA es una Institucion del ESTADO.
Nadie niega que en España se haya sido laxo con las Administraciones Públicas que son las CCAA, incluso para dejarlas inspirarse del modelo Federal, pero es que España no es una Federación.
Lo único cierto que dice Trevijano, es que nadie pensaba que una Institución del Estado pudiera confundir autogobierno y soberanía. Es tan absurdo que se olvidaron del mecanismo de poder vetar las leyes de las CA (que es lo que parece corrigen ahora). Hay que ser Puigdemont o la CUP para inventar semejante estratagema. No es ni brillante. Es... estúpido
===
Ya he comentado varias veces en TE.net que los españoles tienen un problema de abducción mental con la "residencia" autonómica.
Las CCAA, como emanación del Estado, tienen la obligación de garantizar los derechos de todos los _Españoles_ (sustantivos) que toman residencia en su territorio de competencia.
Que a los Españoles residentes en un territorio se les diga "Catalanes", es un adjetivo sustantivado: un Español catalán, se dice un Catalán. Pero sus derechos nacen de su condición de "nacional" (Español) y no de su residencia.
El problema con los Nacionalismos (el nacional populismo) es que pretenden interpretar la residencia como un sinónimo de "nacionalidad", es decir, que la residencia autonómica sea criterio determinante de los derechos ciudadanos y de las obligaciones de las Instutuciones autonímicas. Por ejemplo, los Catalanes afirman que un voto de autogobierno de los residentes de la CA es tan válido como el voto ciudadano soberano a las Cortes.
Con esa lógica, dices también que la residencia determina la "ciudadania" y poco a poco, acabas negando los derechos ciudadanos de los no-residentes, aunque sean Españoles. El problema es que los derechos de ciudadanía española no depende de la residencia.
Por ejemplo, cualquier Español, aunque resida en otra CA, puede exigir que la Admón Autonómica garantice sus derechos ciudadanos. Otra cosa es que en 40 años, parece que casi ningún Español ha pensado en exigirlo (también está el coste prohibitivo de reclamar derechos no patrimoniales, y la carencia de una figura de Fiscal/Abogado de los DDCCiudadanos, que asuma le defensa de oficio, como ya comentaba).(click to show/hide)
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El único argumento de Trevijano que tiene razón es que el mandato es para "obligar" a las autoridades a respetar la legalidad. No puede sustituirse a ellas.
El problema de Trevijano es que tal y como he leido, el Estado no se va a sustituir a las autoridades catalanas.
Lo que pide al Senado es el mecanismo para "obligarlas" a aplicar la ley.
Articulo 155 de la CE78Citar1-
Si una Comunidad Autónoma no cumpliere las obligaciones que la Constitución u otras leyes le impongan, o actuare de forma que atente gravemente al interés general de España, el Gobierno, previo requerimiento al Presidente de la Comunidad Autónoma y, en el caso de no ser atendido, con la aprobación por mayoría absoluta del Senado, podrá adoptar las medidas necesarias para obligar a aquélla al cumplimiento forzoso de dichas obligaciones o para la protección del mencionado interés general.
2-
Para la ejecución de las medidas previstas en el apartado anterior, el Gobierno podrá dar instrucciones a todas las autoridades de las Comunidades Autónomas.
Hasta donde he leido que va a hacer el Estado (y me da igual que sea Rajoy u otro, aquí no veo que sea relevante su color político, salvo para los fantasmas históricos. Aquí lo que hay es un proceso administrativo):
- El Senado autorizará la destitución del Govern y cargos autonómicos ;
- El Senado otorga a los delegados del Estado un derecho de veto sobre las decisiones de las Autoridades Autonómicas
En términos administrativos, no hay otras medidas. No hacen falta otras, si lo miras bien-
De hecho, Rayoy ha dejado clarito que no se anula el Estatut. AL contrario: se aplica.
Veamos cómo (yo entiendo que) funciona.
Tras descabezar las autoridades administrativas de la CA, que son sus subordinadas (y cuya legitimidad viene de arriba, del Estado de todos, y no de abajo, de los residentes en la CA), los Delegados del Estado:
-a- Invitan al Parlament a comunicarles su intención de designar un Govern, nuevos cargos, etc
Observen que NO piensan destituir la Presidenta del Parlament. Es ella la que debe proponer el President nuevo.
-b- Disponen de 30 días para dar el aval. Por ejemplo, para autorizar a la Presidenta del Parlament a que introduzca el Orden del día de investidura
-c1- En caso de dar el aval, la Presi convoca el Orden del día, y el Parlament nombra al Govern
Lo mismo para todas las demás autoridades catalanas : Mayor de mossos, Staff de TV3 etc.
-c2- En caso de no dar el aval, las autoridades catalanas siguen descabezadas, y se vuelbe al punto (a)
En caso de quedarse la Generalitat desbezada, no se vota nada, pero las leyes y normativas siguen vigentes.
Los funcionarios autonómicos saben por tanto lo que deben hacer. No hace falta decirles nada.
Sólo controlar.
El Estatut no se anula, por tanto. Se aplica. No creo ni que sea posible anularlo (tiene rango de ley orgánica, sólo que con ámbito "territorial").
OK. Señor Trevijano, ¿Donde está el problema juridico?
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Creo que a Trevijano se le cruzan los cables (al final se ve bien) queriendo denunciar la "dictadura de Partidos", que es su bestia negra.
Pero lo único que hay aquí, quitando los fantasmas de la historia, es un problema de gestión administrativa de una Institución AutoGobernada cuyas potestades emanan del Estado. ¡Faltaría más que no se pudiera destitutuir a un agente del Estado que apela a la Rebelión! El que haya sido nombrado por via de autogobierno de "catalanes adjetivos" es irrelevante. El Estado "de todos" desde luego que puede cuadrar una Institucion... que emana del Estado
Por lo demás, los derechos ciudadanos (que esos sí emanan de la calidad sustantiva "Español", no del adjetivo "catalán") no se tocan. Cuando Trevijano empieza a gritar (con calma, eh, tanto que bajé el sonido), que eso abría la puerta a una "dictadura politica" (al principio) o a cerrar medios de comunicación privados (al final), me convencí que Trevijano no se había enterado y que estaba descolocado desde su sentimiento de Español (hasta lo dice él)
Resumiendo a Trevijano.... para evitar la "dictadura de partidos" desde Madriz, hay que activar el estado de excepción....
¡Olé, torero, torerooo!
;D
Sobre el temita de la Marca Hispánica, antes Tarraconensis Hispanorum, la noticia que más me ha impresionado los últimos meses es esta.
“La Generalitat oculta las cuentas y los fondos de 65 entes públicos”. (El 30% de las Corporaciones públicas controladas por el Govern)
[url]http://www.abc.es/espana/abci-generalitat-oculta-tribunal-cuentas-fondos-65-entes-201710160349_noticia.HTML[/url] ([url]http://www.abc.es/espana/abci-generalitat-oculta-tribunal-cuentas-fondos-65-entes-201710160349_noticia.HTML[/url])
Dejemos volar la imaginación y seguro que nos quedamos cortos.
¿Con un 155 de solo 6 meses se va a arreglar esto –con las inevitables derivaciones penales–?
Hay muchos cambios legales necesarios para que el Estado Autonómico sea viable y no todos ellos exigen cambios constitucionales.
Por ejemplo,............. ¿Qué tal extender al Sector Público las Responsabilidades Penales Corporativas que hoy pesan sobre las empresas privadas?
Saludos
Es problema es "querer parecer demócratas" creando instituciones bastardas, que mezclan conceptos irreconciliables.
Según FAZ, la cena fue "una llamada de socorro" de último minuto. En ella, May habría "rogado" ayuda a sus colegas europeos, insistiendo en que no tiene más margen de maniobra y que pedir un periodo de transición de dos años era ya un problema para ella en casa. La describe, siempre según sus fuentes, como ansiosa, abatida y desalentada.
Y el encuentro con los jefes de Estado y de gobierno de la Unión Europea durante la cumbre no habría ido mejor. Siempre según el diario, Juncker habría descrito a May a sus colegas como "asustada" y "desanimada" y les habría explicado que daba la sensación de "no confiar en nadie". FAZ habla de una actitud "seca" de la canciller alemana, Angela Merkel, que habría dicho a May que la UE no puede "solucionar los problemas de Gran Bretaña por ti". Y que la imagen cordial, con Emmanuel Macron y la propia Merkel al frente, tras el encuentro perseguía dar cierto apoyo público a May, pues los 27 prefieren a la 'premier' antes que a Boris Johnson a la cabeza del ejecutivo británico.
CitarAngela Merkel, que habría dicho a May que la UE no puede "solucionar los problemas de Gran Bretaña por ti".
CitarAngela Merkel, que habría dicho a May que la UE no puede "solucionar los problemas de Gran Bretaña por ti".
Exactamente. A negociar se viene llorada de casa. Aparte de que son lágrimas de cocodrilo...
Lo leeré más detenidamente pero...
Es falso que el régimen del 78 haya privado de recorrido a los nacionalismos, y sólo tienes que mirar lo que está pasando en Cataluña, es más ha dotado a los nacionalismos de todos los elementos necesarios para fomentar su actividad, hasta el punto que sólo te queda darles "palos", inhabilitarlos, o darles una hacienda para que se puedan manejar a sus anchas siendo en un 99% de un estado autónomo total.
Esto yo creo que es indiscutible, mas que nada, porque la realidad está ahí fuera, sólo tienes que abrir un periódico.
El problema es que si lo llamas parlamento, y acoge proyectos identitarios, al final...la ciudadanía lo acaba interpretando como representativo de una identidad.
Si coges una manzana y sabe a manzana al final es una manzana, aunque en una ley ponga que es una pera.
En cualquier caso siguiendo la misma dinámica "garantista" que dices que tiene el modelo, y dado que no proviene del Estado/territotio/nación, sino de los derechos personales, entonces, efectivamente, el argumento de que no podemos decidir dejar de ser españoles por que es un hecho que nos viene dado se desmorona, y claro, si es por mis derechos pues yo puedo decidir, por lo tanto, ¿porque no van a poder los catalanes decidir?
Porque tenemos que decidirlo todos...es lo que dice el TC,
pero si el estado territorio no es lo que garantiza nada sino los derechos personales,
¿en qué se fundamenta la unidad nacional?,
en que todos lo hemos decidido así...osea que si todos decidieramos que españa se dividiera en 17 autonomias independientes, debería hacerse al día siguiente. O la mitad más uno de las autonomías quisieran independizarse...claro eso es muy difícil que ocurra osea que podemos dormir tranquilos.
Que nos quede a todos claro.
la Constitución admite "su revisión total", pero que ésta sólo puede llevarse a cabo "en el marco de los procedimientos de reforma" que el texto constitucional prevé. "Es plena la apertura de la norma fundamental a su revisión formal, que pueden solicitar o proponer, entre otros órganos del Estado, las Asambleas de las Comunidades Autónomas", dice la sentencia, de la que ha sido ponente el magistrado Andrés Ollero. "Otra cosa supondría", se añade, "liberar al poder público de toda sujeción a Derecho, con daño irreparable para la libertad de los ciudadanos". Esto último, concluye, es "lo que ha consumado el Parlamento de Cataluña al aprobar la ley impugnada".
Los magistrados prosiguen afirmando que el Parlamento de Cataluña "se ha situado por completo al margen del Derecho, ha entrado en una inaceptable vía de hecho, ha dejado declaradamente de actuar en el ejercicio de sus funciones constitucionales y estatutarias y ha puesto en riesgo máximo, para todos los ciudadanos de Cataluña, la vigencia y efectividad de cuantas garantías y derechos preservan para ellos tanto la Constitución como el mismo Estatuto". De esta forma, ha dejado a los ciudadanos "a merced de un poder que dice no reconocer límite alguno".
Estos birlibirloques dialécticos y conceptuales como que no ayudan mucho a que la ciudadanía tenga las cosas claras.
Luego, evidentemente, nadie tenía ni un sólo argumento potente que esgrimir contra "el derecho a decidir", Ahí tenian al Rajao diciendo "que lo moderno es..." como si la identidad, la soberanía, etc, fueran conceptos sujetos a modas...pues claro...si lo decidimos en un pis pas entre los que nos juntemos, lo que esté mas de moda.
Normal...
Sin embargo, la composición del Tribunal sí es dependiente de los poderes del Estado: de los doce miembros, cuatro son nombrados a propuesta del Congreso de los Diputados, cuatro a propuesta del Senado, dos a propuesta del Gobierno de la Nación y dos a propuesta del Consejo General del Poder Judicial, un órgano independiente en su acción pero cuya composición es elegida por el poder político.
Es independiente pero es elegida por el poder político...es una manzana pero sabe a pera.
Y otra cosa más, el modelo garantista de Ferrajoli podrá ser una construcción válida para un país como Italia que se unifico en el siglo XIX....algún pegamento por leve y malo que fuera tendrían que darle al engendro, pero España es una nación desde hace bastantes más siglos, no es una construcción moderna, como la UE o como la unificación de Italia, y mal día fue el que nuestros padres de la Constitución se fijaron en semejante engendro para crear la nuestra.
Tenemos historia para dar y tomar, incluso con episodios nacionalistas incluidos, como nación, país, pueblo o como lo quiera llamar.
Ahora tenemos que suspender esos artefactos, estamos tonteando con convertirnos en un aborto de federación de regiones que siempre han estado unidas, vamos que habría que separarlas para después unirlas de manera federal, convocar elecciones y cambiar constituciones, tenemos a 4 millones o más de ciudadanos que creen que las fronteras se deciden en unas urnas, estamos dando el cante en todo el mundo mientras países como Francia o Alemania que no son garantistas (que atrasados), ja, se muestran como un bloque sólido en cualquier lugar en el que haya que sentarse a negociar, incluida la UE.
Pero hoyga si lo dice Ferrajoli...
Me temo que ha hecho mucho más por la unidad de España el mundial de la selección española de fútbol que el sistema garantista de Ferrajoli.
Lo que me estás respondiendo todo el rato es que es legal, está recogido en la legalidad vigente, eso ya lo sé.
Lo que yo discuto es que esa legalidad vigente tenga una base conceptual sólida, es un engendro construido la revés, que es lo que tenemos que construir para que nos dé un resultado, no que es lo que somos y para arriba construimos el tinglado.
El derecho de autodeterminacion solo está aceptado en las naciones Unidas para las colonias.
Que digas que basta con que sea un jurista da igual quien lo ponga, es decir que corte ideológico tiene y a quien debe su puesro es suficiente para desacreditar todo lo que digas después, la ley no son matemáticas, no lo son, y la independencia del poder judicial es la única garantía real para un ciudadano que lucha contra su estado, lo otro es literatura de la mala, birlibirliques dialécticos para evitar enfrentar el hecho de que tu garantía contra el gobierno o el poder legislativo es un poder puesto a dedo por los mismos contra los que peleas.
Tu abogado está pagado por la empresa contra la que litigas.
Por cierto, que el régimen del 78 permita que decidamos la disolución o no de españa... te parece bien?
.
Es que tu pones a la nacionalidad como garantía cuando no lo es.
La nacionalidad no garantiza nada, es un hecho que te viene dado, lo que te garantiza tus derechos es el sistema político en el.que ejerces esos derechos.
Supongo que dice todas estas cosas porque está a deseando disoverte en una europa.unida sin fronteras y con una única legislación vigente para todos.
Pues siento decirte que dudo que eso pase tal.cual, por mucha tramoya legal que le pongan, mucho.tiempontendria que pasar para que eso vale en los ciudadanos de esa supuesta Europa unida por mucha tramoya legal que le pongas.
La nacionalidad es un derecho personal en cuanto que te viene dado pero no puedes decidir sobre el.
Y discúlpeme pero le leo en un móvil en diagonal con prisas...culpa mía y pido perdón.
¿Que Europa no tiene un sustrato cultural? :roto2:
Imaginate si lo tiene que incluso es ANEXIONADOR, como demuestra la lista de espera para integrarlo... por encima de las Constituciones propias!!!
Si no ves el "sustrato" amigo, tienes un problema de ceguera muy importante.
Si si lo tiene pero no está por encima del Nacional.¿? Y te basas en...
CitarSi si lo tiene pero no está por encima del Nacional.¿? Y te basas en...
Entiendo que será tu sentimiento, tu caso particular, pero creo que no es representativo.
Ese sesgo personal no puede explicar fenómenos tan sencillos como el consorcio eurofigther o Schengen, por mentar dos ejemplos de "pertenencia a comunidad".
CitarSi si lo tiene pero no está por encima del Nacional.¿? Y te basas en...
Entiendo que será tu sentimiento, tu caso particular, pero creo que no es representativo.
Ese sesgo personal no puede explicar fenómenos tan sencillos como el consorcio eurofigther o Schengen, por mentar dos ejemplos de "pertenencia a comunidad".
En EEUU el pegamento es la Constitución, aquí dudo mucho que un engendro como esos que montan llegue a pegar realmente nada, legalmente ...lo que quieran claro.
Pero queda muchísimo para llegar a ver un Estados Unidos de Europa, de hecho, es como una torre de babel, yo creo que es imposible
Nación: Etimología
La palabra nación proviene del latín nātio (derivado de nāscor, nacer), que podía significar nacimiento, pueblo (en sentido étnico), especie o clase. Escribía, por ejemplo, Varrón (116-27 a. C.): Europae loca multae incolunt nationes ("Son muchas las naciones que habitan los diversos lugares de Europa"). En los escritos latinos clásicos se contraponían las nationes (bárbaros no integrados en el Imperio) a la civilitas (ciudadanía) romana. Dice Cicerón: Todas las naciones pueden ser sometidas a servidumbre, nuestra ciudad no.
En la Edad Media y Moderna el término se continuó empleando en sentido étnico, al margen de que ahora las naciones estuvieran integradas en diversas entidades políticas como Reinos e Imperios. También se usaba para designar a grupos de personas según su procedencia, siguiendo un criterio muy variable (a veces simplemente geográfico), con el fin de distinguir a unos de otros.
En el año 968, el obispo Liutprando de Cremona, en enfrentamiento con el emperador bizantino Nicéforo II en pos del patrón Otón I, emperador del Sacro Imperio Romano, declara en su crónica: «lo que dices que pertenece a tu Imperio, pertenece, como lo demuestran la nacionalidad y el idioma de la gente, al Reino de Italia».
En las universidades medievales, cuya lengua académica era el latín, los estudiantes (provenientes de toda Europa) solían agruparse en naciones, en función de su lengua materna vernácula o su lugar de nacimiento. En 1383 y 1384, mientras estudiaba teología en París, Jean Gerson fue electo dos veces procurador de la nación francesa (esto es, de los estudiantes francófonos de la Universidad). La división en París de estudiantes en naciones fue adoptada por la Universidad de Praga, donde desde su apertura en 1349 el Studium Generale se dividió entre bohemios, bávaros, sajones y en diversas naciones.
En los grandes mercados de la Edad Media los comerciantes se reunían en naciones, identificándose así el origen de los productos en venta.
Este audio también es muy interesante.
https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw (https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw)
"La nación en europa es anterior al estado, antes del nacimiento del estado renacentista, la nación es la ocmunidad que habita el territorio donde se nace.
El estado es posterior, la creación de un organismo unitario de poder, que extiende su poder a los límites de la nación, territoriales. "
Este audio también es muy interesante.
https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw (https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw)
"La nación en europa es anterior al estado, antes del nacimiento del estado renacentista, la nación es la ocmunidad que habita el territorio donde se nace.
El estado es posterior, la creación de un organismo unitario de poder, que extiende su poder a los límites de la nación, territoriales. "
Si crees que algo es necesariamente mejor por ser más antiguo, entonces es mejor no vacunarse ni lavarse, es mejor que la mierda fluya por las calles y no por las alcantarillas, es mejor la esclavitud, es mejor la opresión al trabajador que el movimiento obrero, es mejor el analfabetismo, es mejor el feudalismo que la democracia, es mejor la opresión de los ricos que el Estado del Bienestar... y es mejor el concepto racista-terruñista de nación que el concepto moderno jurídico-administrativo de Estado-nación.
Sobre tus anteriores posts, estando de acuerdo contigo en algún punto, parece que mezclas temas como Estado y gobierno, o la imperfección de la democracia como argumento de ilegitimidad del Estado, o el que un gobierno particular sea considerado malo o corrupto como argumento de legitimidad de ataques al Estado, etc.
Esas mezclas (interesadas en el caso de los partidos) son el rescoldo emocional que avivan los independentistas (CUP, Bildu, etc.) o los fragmentadores, como Unidos Podemos - el partido de escala nacional que quiere fragmentar el Estado-nación, movimiento con el que culminaría su autodestrucción al legitimar por encima de sí mismo a los CUPs y Bildus de cada región-mini-nación. Muy mal hay que querer a España para estar dispuesto a autodestruirse por fragmentarla...
Imaginemos que Portugal y España votan dentro de cada Estado el unirse en una Confederación Ibérica. En ambos países gana el sí. Pero no crean un mecanismo de marcha atrás.
El sustrato de la discusión que mantenía con Saturno es que, él sí cree que la nación es decidible, por lo tanto si todos votáramos que Cataluña se independizará se tendría que independizar.
Dos naciones pueden juntarse, haciendo un acuerdo, y separarse .Habla usted como si las naciones fueran una unidad eterna.
Son dos entidades.
Usted y su mujer, se casan y se separan.
Usted y su madre.
Su madre le ha parido eso no lo puede cambiar ni decidir, se llevará mal o no se hablarán. Pero lleva sus genes.
Más o menos.
Dos naciones pueden juntarse, haciendo un acuerdo, y separarse .Habla usted como si las naciones fueran una unidad eterna.
Son dos entidades.
Usted y su mujer, se casan y se separan.
Usted y su madre.
Su madre le ha parido eso no lo puede cambiar ni decidir, se llevará mal o no se hablarán. Pero lleva sus genes.
Más o menos.
(https://intecmar.org/wp-content/uploads/reino-de-galicia.jpg)
Luego, con la palabra Nación, hay historiadores de todos los colores. Y da igual la etimologia. Lo que tiene significado es por qué cobró o cambió de sentido en tal y cual momento.
Con el uso que se hizo de "Patria" en la Revolución, se ve más claro. Patria=Constitución : Adelante, hijos de la Patria... etc.
Este audio también es muy interesante.
https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw (https://www.youtube.com/watch?v=k9JJRBPglIw)
"La nación en europa es anterior al estado, antes del nacimiento del estado renacentista, la nación es la ocmunidad que habita el territorio donde se nace.
El estado es posterior, la creación de un organismo unitario de poder, que extiende su poder a los límites de la nación, territoriales. "
Estoy convencido de que la arquitectura garantista de la CE78 es lo que le da el aguante para hacer convivir "cuencos de proyectos" más o menos dispares, e incluso flotar cuando algunos se llenan de residuos (=identidad nacional-ista) hasta aparentemente correr el riesgo de acabar con las garantías constitucionales.
El hecho relevante de la revolución francesa no es que después se llamen naciones o paises hasta el siglo XVII, el hecho relevante es la "asamblea nacional" el cambio que supone que la gente, el pueblo, la nación tome "el poder" frente al rey y los nobles, que despues se dota de personalidad jurídica.
Claro no es instantáneo que el resto de paises adopten el modelo, y se use "nación".
"La nación no tiene personalidad jurídica, pero tiene personalidad política, como la nación no puede concentrarse en un punto para ser sujeto de derechos y obligaciones, se crea el estado que es la personalidad juridica de la nación, por eso el estado puede cobrar impuestos porque tiene personalidad juridica, la nación es el objeto sobre el que el estado (que tiene personalidad juridica) aplica los derechos y obligaciones que en virtud de esa personalidad juridica adquiere en benéfico o perjuicio de la nación"
Nuestra Constitución está trufada de derechos, ahora supongo que por lo que dice usted, están muy bien yo se los compro todos..
"Todos los españoles tienen el deber de trabajar y el derecho al trabajo, a la libre elección de profesión u oficio, a la promoción a través del trabajo y a una remuneración suficiente para satisfacer sus necesidades y las de su familia, sin que en ningún caso pueda hacerse discriminación por razón de sexo."
¿Garantiza algo que esté escrito en la Constitución eso?
¿Cuánto es un salario suficiente?
"Los poderes públicos promoverán las condiciones favorables para el progreso social y económico y para una distribución de la renta regional y personal más equitativa, en el marco de una política de estabilidad económica. De manera especial realizarán una política orientada al pleno empleo."
Distribución de la renta personal equitativa...vale... cuanto es equitativa.
Que es una política de estabilidad económica.
"Todos los españoles tienen derecho a disfrutar de una vivienda digna y adecuada. Los poderes públicos promoverán las condiciones necesarias y establecerán las normas pertinentes para hacer efectivo este derecho, regulando la utilización del suelo de acuerdo con el interés general para impedir la especulación. La comunidad participará en las plusvalías que genere la acción urbanística de los entes públicos."
Que es digna, cuantos metros cuadrados por persona es digna.
De las plusvalías y de las pérdidas por lo que se ve.
"Una ley orgánica regulará la institución del Defensor del Pueblo, como alto comisionado de las Cortes Generales, designado por éstas para la defensa de los derechos comprendidos en este Título, a cuyo efecto podrá supervisar la actividad de la Administración, dando cuenta a las Cortes Generales."
Supervisar...
En fin...
Si no hubiera declarado elecciones autonómicas, lo hubieran hecho los indepes en su nuevo país, constituyentes.
¿Y cómo las paras? ¿A porrazos? Imposible. Otro 1-O.
Más caos en Cataluña porque, ¿qué van a hacer ahora PdCat, ERC y las CUP? ¿No concurrir a las autonómicas? ¿Montar unas paralelas?
Rajoy los mete en otro berenjenal, mientras cesa a todo cristo y pone en marcha la implacable apisonadora de la justicia.
Bien jugado.
Yo soy ‘iberista’. Adoro Portugal, no me gusta la exclusión de Portugal. Si fuera posible llegar a un acuerdo sensato se podría hacer la gran república ibérica con dos idiomas, que son fantásticos, con sus sangres mezcladas con su arqueología, su Atlántico, su Mediterráneo, sus Pirineos, su panorama sobre el estrecho de África. Esta Península podían ser un paraíso terrenal de derechos humanos, de cultura y no lo es todavía
Ian Gibson
De raindog en burbuja sobre las prontas elecciones en Cataluña.CitarSi no hubiera declarado elecciones autonómicas, lo hubieran hecho los indepes en su nuevo país, constituyentes.
¿Y cómo las paras? ¿A porrazos? Imposible. Otro 1-O.
Más caos en Cataluña porque, ¿qué van a hacer ahora PdCat, ERC y las CUP? ¿No concurrir a las autonómicas? ¿Montar unas paralelas?
Rajoy los mete en otro berenjenal, mientras cesa a todo cristo y pone en marcha la implacable apisonadora de la justicia.
Bien jugado.
la ley esta al servicio de los poderesEs que solo faltaba, que la ley estuviera de parte de los contrarios al poder.
la ley esta al servicio de los poderesEs que solo faltaba, que la ley estuviera de parte de los contrarios al poder.
Otra muestra de infección por lenguaje antisistema ;)
Para las pensiones, por ejemplo, historicamente existen Mutuas de trabajadores, funcionarios etc que son el origen del sistema de pensiones para quienes cotizan.
Se intentó ampliar el sistema al conjunto de la población:
-- fue una decision "politica" de introducir un sistema de repartición que alcance a toda la población
-- pero no se pueden tocar los "derechos" adquiridos de los trabajadores con mutua
-- la repartición pública en todo caso se SUMA a la de los mutualistas.
Resultado: en realidad, has organizado un sistema de privilegiados,
Y el problema clave: al ser una decisón de origen politica (por ley parlamentaria) un ciudadano no puede impugnarla ni exigir nada a las Instituciones. A lo sumo se cambia la Ley. Que sea la regla de mayoría la que opere (para crear la ley) implica que la Institución tan sólo cumplirá SI y SOLO SI se mantiene la mayoría. No es una obligación jerarquicamente superior impuesta por la Constitución como en el "modelo garantista".
Inversamente, en Francia, el acceso a los servicios de Salud, derechos a pension, alocaciones familiares, etc, se verifica en todo el territorio indistintamente, no sólo para los Franceses sino para todos los seres humandos del orbe: porque el Principio constitucional es el de no discriminación de los seres humanos.
“Yo por la dignidad de los cerdos no iré a ninguna butifarrada”, era la primera respuesta de un usuario, que no ha parecido gustar a los responsables de la ANC, quienes no tardaban en afirmar airadamente “haz tu propia butifarrada solo como un búho, a falta de cerdos no te necesitamos para nada, adiós”.
un perfil que se define como el sector animalista de la propia ANC, y que demandaba “#Llibertad para los Jordis respetando la vida de los otros animales también”.
Sin embargo, la jurisdicción señalaría que la rebelión y la sedición –los dos principales que esgrime la Fiscalía– entrarían en esta categoría [razones politicas], según señala para La Vanguardia la profesora de Derecho Internacional de la UIB, Margalida Capellà, quién recuerda que es a cada país y cultura jurídica que corresponde valorar la naturaleza de estos delitos
Yo creo que usted confunde constitución con ordenamiento jurídico.
Puigdemont intenta pedir asilo en Belgica, amparado con los Flamencos.
(El abogado ya tiene experiencia con la extradición de etarras.)
Si entienden el v/FR presten atención a lo que dice después de él un Doctor en Dcho de asilo europeo
https://www.rtbf.be/auvio/detail_theo-francken-propose-l-asile-politique-a-carles-puigdemont?id=2271910 (https://www.rtbf.be/auvio/detail_theo-francken-propose-l-asile-politique-a-carles-puigdemont?id=2271910)
[...]
El viceprimer ministro de Bélgica: "Cuando llamas a la independencia, mejor te quedas junto a tu pueblo"https://www.elconfidencial.com/espana/cataluna/2017-10-31/independencia-cataluna-puigdemont-belgica-kris-peeters_1469952/ (https://www.elconfidencial.com/espana/cataluna/2017-10-31/independencia-cataluna-puigdemont-belgica-kris-peeters_1469952/)(click to show/hide)
Saturno, me parecen interesantes las coincidencias que señalas (mantenimiento de la embajada de Bruselas, dejar el fin de semana libre y sin acusaciones a Puigdemont...)
Sin embargo me parece inverosímil que "los poderes fácticos de la UE" se hayan puesto de acuerdo para arreglar de una vez por todas el problema de las regiones separatistas. De hecho a duras penas consiguen consensos para tener política exterior, para emitir bonos europeos o para simplemente seguir cohesionados. Hay que pensar que los que deciden están inmersos en ciclos electorales continuos en los que tienen que vender una imagen o la contraria según lo exijan las circunstancias y los pactos dentro de cada Estado...
Me parece más verosimil la siguiente "conspiranoia": los popes de la UE llaman a Puigdemont el jueves 26, justo cuando tomará la decisión que todos consideramos idiota (no convocar elecciones y seguir con la DUI). Le dicen que han llegado a un acuerdo con Rajoy para que pueda exiliarse en Bruselas y de alguna manera blindarse frente a una condena de cárcel inmediata que casi toda España aplaudiría.
Una vez en Bruselas la extradición a España se complica porque efectivamente los flamencos abren una causa general por los "derechos del pueblo catalán" teniendo como prueba visible la actuación policial del 1-O. A partir de ese momento la UE puede "chantajear" o presionar a Rajoy con el desenlace de tal proceso. Que Rajoy no quiere aplicar las directivas sobre el control a los bancos, entonces le amenazamos con dar la razón a Cataluña y poner en tela de juicio la "quirúrgica" solución del 155 sobre Cataluña...
[...]
Diego Velázquez, corresponsal luxemburgués, lo resumía ayer muy bien tras la comparecencia: "los spin-doctors de Puigdemont parecen no ser conscientes de una cosa: la prensa de Bruselas no es un buen público para la promoción del nacionalismo. No son muy emocionales, estamos acostumbrados a los argumentos legales tramposos y a dilemas. Muy apegados al orden institucional y conscientes de los efectos del contagio", escribió en dos tuits. Los corresponsales europeos están más que curtidos en todo tipo de crisis y dramas, conocen muy bien las leyes y las respuestas oficiales. Les afecta cuando una minoría denuncia opresión, cuando hay una narrativa de lucha por la libertad. Y desde luego cuando hay cargas policiales violentas. Pero también se saturan más fácilmente, tienen el detector de irrelevancia muy alerta y pasan página rápido cuando llega la siguiente noticia.
[...]
Yannis KoutsomitisCuenta verificada @YanniKouts
After Brussels tragicomedy, Puigdemont is history. Not worth wasting anymore time to listen to what he says. Adiós loser.
[...]
[url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/01/59f8dfcbe2704e815c8b461f.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/01/59f8dfcbe2704e815c8b461f.html[/url])
Fuentes judiciales españolas consideran que Bélgica “no es mal país para hacer esperar” a la Justicia española, ya que sus jueces son especialmente sensibles y puntillosos a las alegaciones de vulneraciones de derechos fundamentales. En su rueda de prensa de este martes en Bruselas, Puigdemont, destituido el viernes pasado al aplicar el Gobierno el artículo 155 de la Constitución, manifestó que no volverá a España hasta que no tenga “garantías de un juicio justo”.
La juez Lamela admitió a trámite la querella por rebelión, como hizo este martes el Tribunal Supremo con la querella contra la presidenta del Parlament, Carme Forcadell y los miembros de la Mesa de la Cámara que permitieron que se votara el viernes la declaración de independencia de Cataluña. En caso de que no comparezcan ante el magistrado del Supremo Pablo Llarena y la juez Lemela, estos podrían dictar un auto —resolución razonada— con una orden de detención e ingreso en prisión contra ellos.
Puigdemont’s Catalan circus comes to Brussels
Chaos and confusion as ousted president takes the stage.
https://www.politico.eu/article/carles-puigdemont-catalan-circus-comes-to-brussels-eu-spain/ (https://www.politico.eu/article/carles-puigdemont-catalan-circus-comes-to-brussels-eu-spain/)
Puigdemont ha "exigido" la libertad de los encarcelados, por entender que han sido privados de libertad "por haber cumplido con su programa aprobado en el Parlament". "Nos espera una represión larga y feroz, la furia está desbocada", ha señalado el president en alusión a la actuación del Gobierno español.
El president cesado también ha calificado de "muy grave error, un atentado gravísimo a la democracia que rompe sus principios básicos" la decisión judicial de la Audiencia Nacional, que ha relacionado con una postura del Gobierno que entiende de "renuncia al diálogo". "El Gobierno español opta por la violencia policial como el 1-O y los encarcelamientos", y ha cuestionado el clima en el que se desarrollará la campaña electoral, para él marcada por la "represión".
El problema de los independentistas -ahora- es que en sus ansias de internacionalizar el problema -su problema- han ido a meterse en la cueva del lobo.
Pedir mediación europea :rofl: en un conflicto secesionista es el summum de la estulticia.
Si se decalasen la boina (la barretina) se darían cuenta.
El problema de los independentistas -ahora- es que en sus ansias de internacionalizar el problema -su problema- han ido a meterse en la cueva del lobo.
Pedir mediación europea :rofl: en un conflicto secesionista es el summum de la estulticia.
Si se decalasen la boina (la barretina) se darían cuenta.
No necesariamente. De todos modos, la 2 partes no pueden hacer otra cosa. Tanto una como la otra han estando exagerando el trazo, claramente, para que la lectura de los medios se alinee con la de las manos hábiles: CAT saltándose el derecho, ES aplicándolo con aparente saña-
Hasta los abogados lo detectan
[url]http://www.lavanguardia.com/politica/20171103/432556533564/abogado-andreu-van-den-eynde-consellers-juez-carmen-lamela-movil.html[/url] ([url]http://www.lavanguardia.com/politica/20171103/432556533564/abogado-andreu-van-den-eynde-consellers-juez-carmen-lamela-movil.html[/url])
The 102-page “Strategic Perspective 2040” report — adopted in late February and kept under wraps since then — outlines six scenarios for how social trends and international conflicts are likely to play out and influence German security, the weekly magazine reported Saturday.
It includes a worst-case scenario in which the EU unravels and Germany is forced into a “reactive mode.” In this projection, the international order falls apart after “decades of instability,” value systems lose their influence and globalization grinds to a halt.
“EU enlargement has been largely abandoned, other states have left the community, Europe has lost its global competitiveness,” the report reads, according to Der Spiegel. “The increasingly disorderly, sometimes chaotic and conflict-prone world has dramatically changed the security environment of Germany and Europe.”
Más de dos millones en subvenciones. En concreto 2,2 millones. Ese es el importe percibido por Batabat, una de las empresas que cuelgan de la cooperativa Som presidida por Oriol Soler, el ideólogo del 1-O. Un importe percibido a lo largo de una década y que ha permitido que el que fuera conocido como impulsor del “Estado Mayor” de Puigdemont permaneciese durante todo ese periodo ligado a la financiación pública.
Los mandos están posicionados con el secesionismo y decidieron incumplir las órdenes de Fiscalía con absoluta desfachatez. El problema es que al menos dos parejas de mossos sí quisieron cumplir con la ley, y decidieron quitar las urnas. De manera deliberada se dejó que fueran rodeados por la masa, con la consiguiente coacción. Estos compañeros pidieron auxilio varias veces por la emisora.
¿Y cuál fue la respuesta?
El jefe, [Jaime] Monterde [subinspector de Seguridad Ciudadana], dijo por la emisora: «Que no se mande a nadie». Los de transmisiones se quedaron, lógicamente, perplejos.
¿Está diciendo que el responsable negó ayuda a unos agentes que estaban en situación de riesgo?
Así es.
...
Monterde, por ejemplo, llamó por la emisora «hijos de puta» a los policías que estaban desalojando gente del colegio Can Vilumara. Se quedaron todos callados y se oyó al intendente pidiendo decoro en las comunicaciones. Pero vamos, que este señor no tiene autocontrol siquiera, ha sido visto en la comisaría escupiendo literalmente a la bandera de España.
...
Mossos, además de que los mandos persiguen a los agentes no independentistas, se usa la jerarquía de manera represiva, y ahí siempre está la DAI. Es un comisariado político. A la mínima que discrepes, te la echan encima. Te suspenden de empleo y sueldo cuando te niegas a hacer lo que ellos quieren.
[url]http://www.zerohedge.com/news/2017-11-04/why-catalan-independence-movement-failing[/url] ([url]http://www.zerohedge.com/news/2017-11-04/why-catalan-independence-movement-failing[/url])
The “snowflake” generation.
It seems that the great plan of Catalan nationalists for independence was “Step aside while I make a revolution, otherwise I’m going to call you names. On Twitter. And maybe make a video on Youtube and share it with my friends on Facebook.” That’s it.
While Kurds are fighting Islamic terrorists and brandishing AK-47s in Syria, Catalans are brandishing their Iphones. The former are fighting for independence, the latter look like they are attending a pop concert.
En fin, que la poli les dé un par de yoyas bien dadas, que las necesitan para quitarse de encima tanta tontería. :facepalm:
(@Wanderer -- Que seas un nominalista militante no justifica que renuncies a la palabras para entender de dónde nace la tonteria.. ::) )
Independencia de CAT -- ¿Qué hay de Bretaña?
El referendum de CAT ha puesto el foco en la voluntad de independencia de Catalanes.
Algo que hace germinar ideas en otros paises y regiones, ¿como la Bretaña? Preguntas a algunos diputados...
Maiwenn Raynaudon-Kerzerho - Bretons
Publié le 03/11/17 à 07h05 — Mis à jour le 03/11/17 à 07h05
Viejos Estados contra Regiones
El Dptdo LREM de Ploërmel, regionalista, ve señales fuertes en CAT:
"Es el final de los Estados nación. Nacieron ideologicamente al final del Medievo. Se construyeron hasta el XIX como potencias mundiales coloniales.
Ahora en el XXIe, se produce un reequilibrio. Los Estados recuperan su lugar en el mundo en proporción a su población y capacidad industrial. Pero China, India, Brasil han entrado en fase industrial, con un potencial increiblemente superior a Francia o España de hoy. Por eso es necesario para los Europeos andar juntos.
Claro que a estos viejos Estados que se construyeron contra Europa y contra sus regiones les cuesta superar dicha fase. Sin embargo, es necesario hacerlo si queremos que Europa siga teniendo peso en el mundo."
La independencia de las regiones, ¿es necesaria para la construccion europea?
“Por supuesto que será el camino de llegada! Con estos pequeños paises, se podrá contar por fin con un ejercito, una diplomacia europeas. No tendria sentido que CAT se dotara de un ejército!"
Para el antiguo profe de historia, el movimiento está en marcha:
"El derecho de los puebloa a autodeterminarse hace que existan hechos históricos y fenómenos que no se pueden facilmente combatir. El flujo acaba llevándoselo todo por delante. Para mi, este es un fenómeno que tomará tiempo pero es ineluctable. Incluso en Francia. Así es la Europa del mañana."
«Cuando me metieron en la celda con aquel preso pensé: Voy a tener que compartir celda con él hasta mañana a las ocho. Estaba un poco acojonado. Es algo que no recomiendo ni a mi peor enemigo. Es terrible. Las cárceles son durísimas. Eso que dicen que son como hoteles de cinco estrellas no es así, hay mucha austeridad»
(...)
Vila (44 años) aún sigue en «estado de shock» por haber pisado la prisión. No olvida sus vivencias con su compañero de celda. «Se portó muy bien conmigo, me ayudó hasta a hacer la cama y me dijo: "Se nota que no ha hecho la mili". Le dije que sólo había estado en la Cruz Roja. Tenía televisión y pasamos la noche saltando de telediario en telediario. Me decía: "Mira, ahí hablan de usted", y me preguntaba si me molestaba el sonido de la televisión. El pobre hombre me ha cuidado muchísimo», recuerda Vila, que apenas pegó ojo. También se le cortó el estómago. Sólo ingirió al día siguiente tres galletas con un poco de mermelada y un café con leche.
(...)
El ex conseller dedicó su mañana en prisión a pasar las entrevistas con el psicólogo, el educador social y el médico. También tuvo tiempo de ir a la biblioteca, donde sacó el libro de Romeo y Julieta de Shakespeare y una obra de Oscar Wilde. «Me cogí esos libros por si esto se alargaba»
Ciudadanos, PSC y PP consiguen el 68% del voto procedente de la abstención
[url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/11/5a0617d846163f5c1f8b45f9.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/11/5a0617d846163f5c1f8b45f9.html[/url])
[...]
Añado que la unica solución del 21d , psc mediante, es tripartito con erc y podemos.
La otra es repetir nazis.
Imagínense.
...... Estoy haciendo las maletas. ....es el camino, momento minsky y maleta
Pero no veo al psc por la labor.
Son muy contemporizadores y no quieren pisar callos.
Tal vez la distancia me haga parecer demasiado optimista
Esquerra: “El Govern no estaba preparado para desarrollar la república”
https://elpais.com/ccaa/2017/11/13/catalunya/1510575903_354682.html (https://elpais.com/ccaa/2017/11/13/catalunya/1510575903_354682.html)
El Ejecutivo de Carles Puigdemont estaba preparándose para la posibilidad de que se desatara un conflicto bélico con el resto de España tras la declaración unilateral de independencia. El exsecretario de Hacienda del Govern Josep Lluís Salvadó, mano derecha de Oriol Junqueras y uno de los arquitectos del proceso secesionista, manejó un informe un mes antes de la consulta del 1-O que abogaba por la creación de un ejército compuesto por hasta 22.000 soldados para afrontar ataques armados contra Cataluña al día siguiente de la ruptura. “Son poco probables, pero nunca son completamente descartables, como lo demuestra el incremento repentino de la actividad bélica en una región pacífica desde el año 45 como la frontera entre Rusia y Ucrania”, una guerra por el control de las provincias del Donbáss que ha dejado 50.000 muertos desde 2014 y en la que ya se inspiró Òmnium Cultural para su vídeo de propaganda 'Help Catalonia'
Lo de los indepes es cada día más ridículo (o cinismo en grado extremo, que también)*:CitarEsquerra: “El Govern no estaba preparado para desarrollar la república”
https://elpais.com/ccaa/2017/11/13/catalunya/1510575903_354682.html (https://elpais.com/ccaa/2017/11/13/catalunya/1510575903_354682.html)
*:(click to show/hide)
Este asunto no es sino un circo para tener entretenido al personal y que no se hable de lo importante. Que salgan ahora diciendo esto significa que el acuerdo fiscal está muy cerca y que están desmontando la carpa.
El tema de que ya hay acuerdo fiscal me ha llegado...aunque no doy mucha fiabilidad a las fuentes.
Las mismas fuentes lo comentaban el día de la no-declaración-pero-luego-sí-aunque-finalmente-no-era-de-verdad de independencia.
Me da la impresión que el grupo dirigente catalán no entendió bien las consecuencias reales del Brexit, ni lo que significaba la elección de Donald Trump como nuevo presidente de Estados Unidos. El Brexit y Trump no eran una ventana de oportunidad para la independencia de Catalunya; más bien todo lo contrario.
¿Hay una espiral de silencio en Cataluña? Estos datos sugieren que sí
Los catalanes contrarios a la independencia hablan menos de política, responden menos encuestas y dicen sentirse incómodos al expresar sus ideas
https://politica.elpais.com/politica/2017/11/17/ratio/1510918962_413256.html (https://politica.elpais.com/politica/2017/11/17/ratio/1510918962_413256.html)
Las elecciones creo que se deberían hacer a ciegas, y no con las encuestas en la mano; la única encuesta válida han de ser las propias elecciones.
Las elecciones creo que se deberían hacer a ciegas, y no con las encuestas en la mano; la única encuesta válida han de ser las propias elecciones.
No, si al final va a acabar vd. pensando que la democracia son los padres :biggrin:
Economistas del 'procés' trazaban un panorama negro para España, Europa y bancos si Cataluña salía de la UE
Un informe intervenido por la Guardia Civil decía que la UE necesitaba que Cataluña siguiera en la zona euro para que Caixabank y Sabadell no la desestabilizaran.
[url]http://www.vozpopuli.com/politica/Economistas-proces-panorama-negro-Espana-Europa-Cataluna-UE_0_1082891914.html[/url] ([url]http://www.vozpopuli.com/politica/Economistas-proces-panorama-negro-Espana-Europa-Cataluna-UE_0_1082891914.html[/url])
Cita de: wanderer en Hoy a las 20:37:55
Para que se vea el nivel intelectual de éstos aspirantes al juego de la gallina:
CitarCitar
Economistas del 'procés' trazaban un panorama negro para España, Europa y bancos si Cataluña salía de la UE
Un informe intervenido por la Guardia Civil decía que la UE necesitaba que Cataluña siguiera en la zona euro para que Caixabank y Sabadell no la desestabilizaran.
[url]http://www.vozpopuli.com/politica/Economistas-proces-panorama-negro-Espana-Europa-Cataluna-UE_0_1082891914.html[/url] ([url]http://www.vozpopuli.com/politica/Economistas-proces-panorama-negro-Espana-Europa-Cataluna-UE_0_1082891914.html[/url])
Citar
La explicación que hace es la siguiente: España aporta 13.083 millones de euros a la UE; de esa cantidad, Cataluña aportaría a la UE 2.600 millones y recibe 311,2 millones de la PAC y 211,6, de los fondos FEDER, FSE, FEADER, FEP i Fons de Cohesión.
Pero si Cataluña estuviera fuera de la UE, no aportaría nada y no recibiría nada con lo que, concluyen, el resultado para el nuevo Estado sería positivo en 2.600 millones de euros porque, alegan "Cataluña aporta 5 veces lo que recibe de la UE".
@Wanderer, por curiosidad, has leido a H. Arendt ? Meintras la leía, me dije a veces que ella algo si "leyó" en tí. ;)
(Restaurado -- este sigue al anterior mio)@Wanderer, por curiosidad, has leido a H. Arendt ? Meintras la leía, me dije a veces que ella algo si "leyó" en tí. ;)
(Antes de que se arme la marimorena porque Arendt tiene muchas lecturas : me refiero al rasgo del PDM, y no necesariamente como tal a Wanderer, pero sí al PDM como rasgo de una actitud politica)
Exactamente lo que me dije leyendo a Arendt era que el PDM corresponde a una doble aspiración o herencia:
1/ Estado de clases
2/ Imperialismo politico
Respecto del 1/, porque la ausencia de una _clase_ con intereses generacionales sin embargo refuerza (aunque en negativo) la aspiración a un Estado de intereses de clase.
Respecto del 2/, porque la globalización como fenómeno politico se fundamenta en el conflicto entre intereses imperialistas de la burguesía y Estado constitucional (jurídico, DDHH).
En el Imperialismo, la expansión capitalista de la burguesía necesita subordinar al Estado geográfico a sus intereses global.
En la globalización, la evolución política del Estado-Nación hacia el Estado-Constitucional es la respuesta jurídica-racional al imperialismo capitalista.
La ausencia de un Estado "jurídico global" alienta la actitud imperialista del PDM, pero la respuesta a esto es la contraria al PDM (debido a que el PDM conecta entonces con el totalitarismo): la respuestas es la Meta-Constitucionalidad democrática, a través de la integración continental o mediante tratados politico-comerciales, donde la UE es representativa de integración continental. El resultado hoy son los debates sobre la necesidad de una Tasa-Google y GAFAM, de una fiscalidad meta-estatal.
Yo añado incluso que conduce políticamente a una declaración de Derechos Meta-Humanos: que en la UE correspondería a los de las Regiones siendo los Estados los garantes (Ejecutivo) del ambos tipos de derechos: los d.humanos y ciudadanos clásicos, pero además los derechos de pueblos (=el Estado como garante de los derechos de autogobierno de los pueblos, de su libertad para "determinarse" en su ámbito de soberanía -- porque esa es la aportación histórica de España con la CE78).
___
Otra cosa que leí de Arendt fue el distingo que hace Arendt entre la democracia inglesa y la continental.
La D.Inglesa, que se remonta a la Revol de Cromwell, el bipartidismo se concibe como un desarrollo politico de la Corona (Estado), con el que se alinean los Comunes. No hay conflicto Pueblo /Estado.
La D.Continental que surge con la Revol. francesa, es de partidos de _clase_, con el consiguiente conflicto de clases entre sí, pero también del Estado contra todos. La salvación a ese conflicto fue la identidad "nacional", y la formación de la Nación-Estado continental. A su vez, la contradicción interna que tiene la NaciónEstado derivó (es la tesis de Arendt) en los totalitarismos
Hablamos mucho en este hilo y otros de las diferencias entre el sistema UK y el Continental.
Me gustaría entenderlo mejor, escuchar a los que han leido y pensado en ello.
ENTREVISTA Ayaan Hirsi Ali
"Fomentar el islam es independizar a Cataluña de Occidente"
[url]http://www.elmundo.es/opinion/2017/11/20/5a11eb54e5fdea0f208b45ae.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/opinion/2017/11/20/5a11eb54e5fdea0f208b45ae.html[/url])
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Añado que la unica solución del 21d , psc mediante, es tripartito con erc y podemos.
La otra es repetir nazis.
Imagínense.
¿Es tan imposible una mayoría "constitucionalista"? Para mí que lo que pueda pasar el 21D es una incógnita envuelta en un enigma, y rodeada de un misterio.
Y éso vale tanto para el bando independentista como para el constitucionalista. Ud. que vive por allá quizá conozca mejor el paño, pero ahora todo ha cambiado.
[...]
Añado que la unica solución del 21d , psc mediante, es tripartito con erc y podemos.
La otra es repetir nazis.
Imagínense.
¿Es tan imposible una mayoría "constitucionalista"? Para mí que lo que pueda pasar el 21D es una incógnita envuelta en un enigma, y rodeada de un misterio.
Y éso vale tanto para el bando independentista como para el constitucionalista. Ud. que vive por allá quizá conozca mejor el paño, pero ahora todo ha cambiado.
[url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/23/5a169577ca4741ca088b457b.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/espana/2017/11/23/5a169577ca4741ca088b457b.html[/url])
La obsesión por inculcar el sentimiento nacionalista en la sociedad catalana, propiciando un férreo control en casi todos sus ámbitos -el documento propugna la infiltración de elementos nacionalistas en puestos clave de los medios de comunicación y de los sistemas financiero y educativo-, y las referencias a un ámbito geográrico -los Países Catalanes- que sobrepasa los límites del Principado, son algunos ejes del que viene a ser el Programa 2000 de los nacionalistas catalanes.
El documento, de 20 folios de extensión, equipara Cataluña a los Paises Catalanes -entendiendo estos como el área de influencia de las comunidades catalana, valenciana y parte de sureste francés-, y sostiene que Cataluña es una "nación.
...
los ponentes no ocultan la necesidad de controlar a los educadores para que cumplan lo estipulado en la doctrina nacionalista. Se aboga, así, por "vigilar la composición de los tribunales de oposición" para todo el profesorado.
Asimismo, se alienta a "reorganizar el cuerpo de inspectores de forma que vigilen la correcta cumplimentación de la normativa sobre la catalanización de la enseñanza". También se considera necesario "incidir en las asociaciones de padres".
Puigdemont ve la UE como un "club de países decadentes" y plantea que Cataluña vote su salida
[url]http://www.elmundo.es/cataluna/2017/11/26/5a1aadc6268e3ed57b8b456e.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/cataluna/2017/11/26/5a1aadc6268e3ed57b8b456e.html[/url])
But that raised the question of whether Northern Ireland would have special status, or whether all of the United Kingdom would also be expected to comply with some EU rules. The leaders of Scotland and Wales, and the mayor of London, swiftly announced that if Northern Ireland were to gain special status, they might want it too.https://www.reuters.com/article/us-britain-eu/irish-furor-thwarts-may-bid-to-clinch-brexit-trade-deal-idUSKBN1DY17G?il=0 (https://www.reuters.com/article/us-britain-eu/irish-furor-thwarts-may-bid-to-clinch-brexit-trade-deal-idUSKBN1DY17G?il=0)
Los independentistas amenazan con marcar no ya solamente a ciudadanos que sean militantes o cargos de PP, Ciudadanos y PSC o a empresarios o funcionarios que se resistan a a la secesión de Cataluña, sino también a sus familias. Las Unidades de Defensa de la República (UDR), otras de las denominaciones que utiliza la CUP para sus comités de agitación callejera y acoso a los constitucionalistas, están haciendo un llamamiento en las redes sociales bajo el lema: “Comienza la diversión, la caza del traidor.
...
Una campaña que no sólo cita concretamente a “funcionarios”, en lo que fuentes policiales confirman a OKDIARIO supone una clara referencia a los agentes de las Fuerzas de Seguridad, además de a miembros de la administración de Justicia, Educación o Sanidad, sino también, y expresamente a sus “familiares y parejas”.
Familiares y parejas, nuevos amenazados.
CitarBut that raised the question of whether Northern Ireland would have special status, or whether all of the United Kingdom would also be expected to comply with some EU rules. The leaders of Scotland and Wales, and the mayor of London, swiftly announced that if Northern Ireland were to gain special status, they might want it too.
If a hard Brexit is economically unacceptable to British business and Parliament, a soft Brexit is politically unacceptable to EU leaders, and a fake Brexit is unacceptable to almost everyone, that leaves just one alternative: no Brexit.
It is still entirely possible to abandon Brexit by revoking Britain’s withdrawal notice under Article 50 of the Treaty on European Union. This decision would have to be made by Parliament before the treaty deadline of March 29, 2019, and it would probably have to be ratified by another referendum.
A necessary condition for this sequence of events would be the collapse of May’s government, perhaps caused by a Brexiteer revolt against the “vassal state” conditions imposed by the EU during the transition period. Under these circumstances, a general election would almost certainly produce a Labour-led coalition based on a promise to “think again” about Brexit. This was exactly the scenario suggested last month by one of May’s few remaining loyalists, Health Secretary Jeremy Hunt, who became the first senior Tory to admit publicly that Brexit might never happen if zealous Euroskeptics ever rebelled against May.
For the time being, the threat of a Labour government has been sufficient to intimidate Brexit hardliners. But the forced quiescence of the Euroskeptics makes it more certain that May will negotiate a “vassal state” transition that evolves into the Euroskeptics’ nightmare of an inescapable “Hotel California,” based on the Norway model.
As the Brexit hardliners grasp this logical conundrum, they could well decide to bring down May and risk a general election rather than collaborate in Britain’s demotion to “vassal statehood.” The suicide jumper is still falling, and, until he passes the first-floor window, we will not know whether he is attached to a bungee cord.
Alemania ha terminado por imponer su mentalidad económica a toda la eurozona. Después de los desmanes económicos que provocaron la crisis en los países periféricos, la canciller, Angela Merkel, ha conseguido hacer una 'Europa bávara'. El objetivo está claro: países con unos costes laborales ajustados que permitan mantener niveles altos de competitividad y que desincentiven el consumo externo.
Bajo esta premisa, la eurozona se ha convertido en el gran polo exportador del mundo, con un superávit exterior disparado en los últimos trimestres. Según los datos publicados por el Banco Central Europeo (BCE), el superávit por cuenta corriente del tercer trimestre del año casi alcanzó los 125.000 millones de euros, nada menos que un 42% más que en el mismo periodo del año anterior. Este superávit genera cada mes una gran entrada de divisas a la región que sirven para reducir su deuda externa o incluso acumular activos en algunos países. [La balanza por cuenta corriente incluye las exportaciones de bienes y servicios, el saldo de las rentas del trabajo y del capital y las transferencias].
[...]
El cambio del euro frente al ‘billete verde’ superaba este viernes, último día de negociación de 2017, la cota de los 1,20 dólares, un umbral que no rebasaba desde el pasado mes de septiembre y que supone una revalorización superior al 14% en el año. [...]
Puigdemont, detenido en Alemania tras entrar en coche desde Dinamarca
El expresidente catalán ha sido interceptado en un operativo a 30 kilómetros de la frontera tras activarse la orden de detención europea contra él
https://politica.elpais.com/politica/2018/03/25/actualidad/1521973804_797756.html (https://politica.elpais.com/politica/2018/03/25/actualidad/1521973804_797756.html)
The 61-year-old professor of economics at St Andrews University had helped to organise a peaceful independence referendum in her native Catalonia and thereafter to serve in its short-lived government. The charge of violent rebellion follows those distressing scenes in which vicious packs of unarmed Catalan citizens attacked police shields and batons with their heads and left the boys in the riot gear bereft and traumatised.
The European Union’s response to Spain’s violent suppression of a peaceful act of democracy was predictable: “Just keep paying your dues and we’ll look the other way.” Among its member states there has been little desire to ask Spain to justify its violence and the draconian sentences handed to the leaders of Catalan independence.
No one has asked: “So why did you insist on violent suppression when you could simply have ignored the referendum and opted not to recognise it?”
Artículo de opinión de The Guardian:
https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition (https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition)
Resumen aproximado -creo-: un gobierno reaccionario quiere acusar a una pobre profesora de sedición cuando esta sólo apoyó un pacífico referéndum de ciudadanos desarmados. De seguir así habrá que mandar unas nuevas Brigadas Internacionales.
Regalito de la anglosfera.CitarThe 61-year-old professor of economics at St Andrews University had helped to organise a peaceful independence referendum in her native Catalonia and thereafter to serve in its short-lived government. The charge of violent rebellion follows those distressing scenes in which vicious packs of unarmed Catalan citizens attacked police shields and batons with their heads and left the boys in the riot gear bereft and traumatised.
The European Union’s response to Spain’s violent suppression of a peaceful act of democracy was predictable: “Just keep paying your dues and we’ll look the other way.” Among its member states there has been little desire to ask Spain to justify its violence and the draconian sentences handed to the leaders of Catalan independence.
No one has asked: “So why did you insist on violent suppression when you could simply have ignored the referendum and opted not to recognise it?”
Artículo de opinión de The Guardian:
[url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url] ([url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url])
Resumen aproximado -creo-: un gobierno reaccionario quiere acusar a una pobre profesora de sedición cuando esta sólo apoyó un pacífico referéndum de ciudadanos desarmados. De seguir así habrá que mandar unas nuevas Brigadas Internacionales.
Regalito de la anglosfera.CitarThe 61-year-old professor of economics at St Andrews University had helped to organise a peaceful independence referendum in her native Catalonia and thereafter to serve in its short-lived government. The charge of violent rebellion follows those distressing scenes in which vicious packs of unarmed Catalan citizens attacked police shields and batons with their heads and left the boys in the riot gear bereft and traumatised.
The European Union’s response to Spain’s violent suppression of a peaceful act of democracy was predictable: “Just keep paying your dues and we’ll look the other way.” Among its member states there has been little desire to ask Spain to justify its violence and the draconian sentences handed to the leaders of Catalan independence.
No one has asked: “So why did you insist on violent suppression when you could simply have ignored the referendum and opted not to recognise it?”
Es lógico que sucedan estas cosas, cuando no ponemos orden en nuestra propia casa entonces los vecinos y todo dios comienza a opinar sobre el asunto.
Este tipo de cosas solo es el resultado de la tradicional debilidad del estado español, el cual se comporta de forma feroz y despiadada ante el ciudadano de a pie y por cosas bastante nimias y en cambio en temas de estado, en temas internacionales y en crímenes importantes es de una ambigüedad, de una inacción y un autismo impresionantes.
¿ Por qué ?
Porque no se siente legítimo y apoyado por su población, debido a que aquí el estado es el primer felón que constantemente obra de mala fe desde hace siglos.
En el tema de Catalunya si el estado piensa que se está socavando la unidad de España utilizando recursos públicos entonces ha debido ser consecuente y al aplicar el 155 recentralizar competencias en educación, seguridad ciudadana y medios de comunicación autonómicos. Esas serían las medidas políticas, luego los tribunales que hagan lo que tenga que hacer.
Pero no, se esconden detrás de los tribunales porque saben que no tienen legitimidad para aplicar medidas políticas de este calibre en el territorio nacional, esa legitimidad se perdió desde hace décadas entre tanta corrupción, expolio económico al país, a su población y escándalo tras escándalo. Una cosa es ganar las elecciones y otra tener legitimidad.
Este estado es tan felón que manipula a la justicia para lo que le conviene (proteger su impunidad) y luego la deja sola ante el peligro cuando lo que se requiere son medidas políticas de grueso calibre. La cúpula del estado (y por ende de las élites donde reside el verdadero poder) piensa que todo lo demás que no sean ellos es para usar y tirar tal como se pensaba en la época de los reyes absolutistas.
Esto me trae a la memoria a Carlos IV y su ilustre hijo Fernando VII en Bayona vendiendole el territorio español y a los españoles que contiene a Bonaparte con tal de ellos salvarse y conservar su tren de vida. ¿ Identidad nacional?....¿ de donde ?...... ¿ como ?.
En realidad da lo mismo que sobre el problema catalán opinen y decidan otros países en base a otros intereses que no sean españoles ya que en el fondo la identidad nacional española y por lo tanto su acción como país es muy débil, tan débil que el mismo estado se comporta como si fuese una administración colonial.
Artículo de opinión de The Guardian:
[url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url] ([url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url])
Resumen aproximado -creo-: un gobierno reaccionario quiere acusar a una pobre profesora de sedición cuando esta sólo apoyó un pacífico referéndum de ciudadanos desarmados. De seguir así habrá que mandar unas nuevas Brigadas Internacionales.
Regalito de la anglosfera.CitarThe 61-year-old professor of economics at St Andrews University had helped to organise a peaceful independence referendum in her native Catalonia and thereafter to serve in its short-lived government. The charge of violent rebellion follows those distressing scenes in which vicious packs of unarmed Catalan citizens attacked police shields and batons with their heads and left the boys in the riot gear bereft and traumatised.
The European Union’s response to Spain’s violent suppression of a peaceful act of democracy was predictable: “Just keep paying your dues and we’ll look the other way.” Among its member states there has been little desire to ask Spain to justify its violence and the draconian sentences handed to the leaders of Catalan independence.
No one has asked: “So why did you insist on violent suppression when you could simply have ignored the referendum and opted not to recognise it?”
Es lógico que sucedan estas cosas, cuando no ponemos orden en nuestra propia casa entonces los vecinos y todo dios comienza a opinar sobre el asunto.
Este tipo de cosas solo es el resultado de la tradicional debilidad del estado español, el cual se comporta de forma feroz y despiadada ante el ciudadano de a pie y por cosas bastante nimias y en cambio en temas de estado, en temas internacionales y en crímenes importantes es de una ambigüedad, de una inacción y un autismo impresionantes.
¿ Por qué ?
Porque no se siente legítimo y apoyado por su población, debido a que aquí el estado es el primer felón que constantemente obra de mala fe desde hace siglos.
En el tema de Catalunya si el estado piensa que se está socavando la unidad de España utilizando recursos públicos entonces ha debido ser consecuente y al aplicar el 155 recentralizar competencias en educación, seguridad ciudadana y medios de comunicación autonómicos. Esas serían las medidas políticas, luego los tribunales que hagan lo que tenga que hacer.
Pero no, se esconden detrás de los tribunales porque saben que no tienen legitimidad para aplicar medidas políticas de este calibre en el territorio nacional, esa legitimidad se perdió desde hace décadas entre tanta corrupción, expolio económico al país, a su población y escándalo tras escándalo. Una cosa es ganar las elecciones y otra tener legitimidad.
Este estado es tan felón que manipula a la justicia para lo que le conviene (proteger su impunidad) y luego la deja sola ante el peligro cuando lo que se requiere son medidas políticas de grueso calibre. La cúpula del estado (y por ende de las élites donde reside el verdadero poder) piensa que todo lo demás que no sean ellos es para usar y tirar tal como se pensaba en la época de los reyes absolutistas.
Esto me trae a la memoria a Carlos IV y su ilustre hijo Fernando VII en Bayona vendiendole el territorio español y a los españoles que contiene a Bonaparte con tal de ellos salvarse y conservar su tren de vida. ¿ Identidad nacional?....¿ de donde ?...... ¿ como ?.
En realidad da lo mismo que sobre el problema catalán opinen y decidan otros países en base a otros intereses que no sean españoles ya que en el fondo la identidad nacional española y por lo tanto su acción como país es muy débil, tan débil que el mismo estado se comporta como si fuese una administración colonial.
De acuerdo en todo, pero aclarar que la Nación y el Estado son cosas distintas. La primera son la gente, su cultura, idiomas que hablan, tradiciones... Lo segundo es el cuerpo administrativo que toma forma de oligarquía de partidos cuyo único factor de gobierno ha sido la corrupción desde el primer día que se consagró la democracia que se dieron.
Se repartieron el botín que era España, se protegieron unos a otros (Villarejo: "Los fiscales generales del Estado que nombró el PSOE me prohibieron investigar a Pujol" ([url]http://Villarejo:[/url] "Los fiscales generales del Estado que nombró el PSOE me prohibieron investigar a Pujol")) y ahora que se acaba el dinero les seguimos importando la misma mierda que entonces.
Si la Nación despierta un minuto pasa esto:
[url=http://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM]www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM[/url] ([url]http://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM[/url])
Lo explicó el forero Sr Matanzas de Portugal y lo hice yo de Rusia, más de una década hace ya que amigas rusas de filología en San Petersburgo me cuentan cómo gente del entorno nacionalista catalán se dedica a vender allí su historia paralela sin que jamás alguien los haya rebatido. Qué no habrán estado haciendo a otros niveles y en otros países con el pleno conocimiento e inacción de todos y cada uno de los gobiernos que hemos sufrido.
Quien crea que esto lo arregla C's va listo, esto solo se arregla si despierta la Nación. Y sí, suena a Trevijano porque el tío lo bordó con la basura que nos gobierna.
Artículo de opinión de The Guardian:
[url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url] ([url]https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/apr/08/spain-scotland-catalonia-eu-extradition-mckenna-ponsati-independence-sedition[/url])
Resumen aproximado -creo-: un gobierno reaccionario quiere acusar a una pobre profesora de sedición cuando esta sólo apoyó un pacífico referéndum de ciudadanos desarmados. De seguir así habrá que mandar unas nuevas Brigadas Internacionales.
Regalito de la anglosfera.CitarThe 61-year-old professor of economics at St Andrews University had helped to organise a peaceful independence referendum in her native Catalonia and thereafter to serve in its short-lived government. The charge of violent rebellion follows those distressing scenes in which vicious packs of unarmed Catalan citizens attacked police shields and batons with their heads and left the boys in the riot gear bereft and traumatised.
The European Union’s response to Spain’s violent suppression of a peaceful act of democracy was predictable: “Just keep paying your dues and we’ll look the other way.” Among its member states there has been little desire to ask Spain to justify its violence and the draconian sentences handed to the leaders of Catalan independence.
No one has asked: “So why did you insist on violent suppression when you could simply have ignored the referendum and opted not to recognise it?”
Es lógico que sucedan estas cosas, cuando no ponemos orden en nuestra propia casa entonces los vecinos y todo dios comienza a opinar sobre el asunto.
Este tipo de cosas solo es el resultado de la tradicional debilidad del estado español, el cual se comporta de forma feroz y despiadada ante el ciudadano de a pie y por cosas bastante nimias y en cambio en temas de estado, en temas internacionales y en crímenes importantes es de una ambigüedad, de una inacción y un autismo impresionantes.
¿ Por qué ?
Porque no se siente legítimo y apoyado por su población, debido a que aquí el estado es el primer felón que constantemente obra de mala fe desde hace siglos.
En el tema de Catalunya si el estado piensa que se está socavando la unidad de España utilizando recursos públicos entonces ha debido ser consecuente y al aplicar el 155 recentralizar competencias en educación, seguridad ciudadana y medios de comunicación autonómicos. Esas serían las medidas políticas, luego los tribunales que hagan lo que tenga que hacer.
Pero no, se esconden detrás de los tribunales porque saben que no tienen legitimidad para aplicar medidas políticas de este calibre en el territorio nacional, esa legitimidad se perdió desde hace décadas entre tanta corrupción, expolio económico al país, a su población y escándalo tras escándalo. Una cosa es ganar las elecciones y otra tener legitimidad.
Este estado es tan felón que manipula a la justicia para lo que le conviene (proteger su impunidad) y luego la deja sola ante el peligro cuando lo que se requiere son medidas políticas de grueso calibre. La cúpula del estado (y por ende de las élites donde reside el verdadero poder) piensa que todo lo demás que no sean ellos es para usar y tirar tal como se pensaba en la época de los reyes absolutistas.
Esto me trae a la memoria a Carlos IV y su ilustre hijo Fernando VII en Bayona vendiendole el territorio español y a los españoles que contiene a Bonaparte con tal de ellos salvarse y conservar su tren de vida. ¿ Identidad nacional?....¿ de donde ?...... ¿ como ?.
En realidad da lo mismo que sobre el problema catalán opinen y decidan otros países en base a otros intereses que no sean españoles ya que en el fondo la identidad nacional española y por lo tanto su acción como país es muy débil, tan débil que el mismo estado se comporta como si fuese una administración colonial.
De acuerdo en todo, pero aclarar que la Nación y el Estado son cosas distintas. La primera son la gente, su cultura, idiomas que hablan, tradiciones... Lo segundo es el cuerpo administrativo que toma forma de oligarquía de partidos cuyo único factor de gobierno ha sido la corrupción desde el primer día que se consagró la democracia que se dieron.
Se repartieron el botín que era España, se protegieron unos a otros (Villarejo: "Los fiscales generales del Estado que nombró el PSOE me prohibieron investigar a Pujol" ([url]http://Villarejo:[/url] "Los fiscales generales del Estado que nombró el PSOE me prohibieron investigar a Pujol")) y ahora que se acaba el dinero les seguimos importando la misma mierda que entonces.
Si la Nación despierta un minuto pasa esto:
[url=http://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM]www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM[/url] ([url]http://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=uVbD7VYUKVM[/url])
Lo explicó el forero Sr Matanzas de Portugal y lo hice yo de Rusia, más de una década hace ya que amigas rusas de filología en San Petersburgo me cuentan cómo gente del entorno nacionalista catalán se dedica a vender allí su historia paralela sin que jamás alguien los haya rebatido. Qué no habrán estado haciendo a otros niveles y en otros países con el pleno conocimiento e inacción de todos y cada uno de los gobiernos que hemos sufrido.
Quien crea que esto lo arregla C's va listo, esto solo se arregla si despierta la Nación. Y sí, suena a Trevijano porque el tío lo bordó con la basura que nos gobierna.
Muy cierta la puntualización de diferenciar entre actuaciones del Gobierno y del Estado. Puede que como dice juancoco el Gobierno ni está ni se le espera ni tiene legitimidad, pero el Estado es diferente, y puede debe actuar; contundentemente, además.
Pero como la acción del Estado (tanto por sus estamentos judiciales como por extensión, del pueblo español) no se encuentra respaldado por un gobierno felón, débil y traidor, por eso ocurre ésa desafección. Si es que es para menos cuando nos están traicionando y malbaratando impunemente y delante de nuestras narices.
Y luego va el indigno de MRB presumiendo de "experiencia y sentido común", cuando tales cosas, si es son ejercidad por ellos, han demostrado ser tan irrelavantes como despreciables.
"el candidato a la Presidencia de la Generalitat llegó a la siguiente conclusión: los catalanes que hablan español son “bestias que viven, mueren y se multiplican“.
“Bestias con forma humana que destilan odio”
En su artículo, lo explicó con estas palabras: “Ahora miras a tu país y vuelves a ver hablar a las bestias. Pero son de otro tipo. Carroñeras, víboras, hienas. Bestias con forma humana, que destilan odio. Un odio perturbado, nauseabundo, como de dentadura postiza con verdín, contra todo lo que representa la lengua”.
“Están aquí, entre nosotros”, añadió, “les repugna cualquier expresión de catalanidad. Es una fobia enfermiza. Hay alguna cosa freudiana en en estas bestias."
...
El separatista al que rinde homenaje Quim Torra, Daniel Cardona, escribió artículos como el siguiente:
"la configuración racial catalana es más puramente blanca que la española y, por tanto, el catalán es superior al español en el aspecto racial“.
Con este bagaje intelectual, Quim Torra promete ahora desde la tribuna del Parlament convertirse en el presidente de todos los catalanes, incluyendo a los millones de catalanes constitucionalistas a los que desprecia calificándoles como “víboras, hienas y bestias carroñeras con forma humana”.
¿Alguien entiende esto? .....no se, pero esta claro que sirve para explicar esto; ahora que cada palo aguante su vela, haberlo pensao antes
¿Alguien entiende esto?
¿Alguien entiende esto?
Claro que se entiende: ante la tibia respuesta del actual gobierno español presidido por esa especie de Carlos IV del siglo XXI que lo único que le importa es volver cuanto antes a las vida apacible de Marca y siesta en la Moncloa, ahora viene el recrudecimiento pero de verdad del conflicto catalán nombrando presidente no a un fanático, sino a lo siguiente ya con visos de carlismo. Si esta situación se prolonga algunos años, como es de esperar, lo mas probable es que se junte con la nueva crisis económica mundial que ya comienza a asomar por el horizonte, que en realidad es la continuación de la del 2007 pero con fundamentals bastante peores, que se perfila como de órdago y que en España será muchísimo pero muchísimo peor.
Entonces se darán las condiciones perfectas: ambiente de incertidumbre y angustia generalizado, crisis del estado español por imposibilidad de financiar su red clientelar, desaparición o herida de muerte del R78 y al fanático dispuesto a todo (un Luis Companys) instalado desde hace unos años en la generalitat con el tinglado bien adoctrinado y purgado.
Este escenario no excluye conflicto civil, así como importantes cambios en la Unión Europea.
Por Bruselas anda el run run de que España es irrecuperable, lo ven como un peligro al Euro e incluso España ha rechazado lo de los Eurobonos porque eso implica fiscalización directa de sus presuspuestos (interventores europeos en el ministerio de hacienda español) y adiós al régimen clientelar. Eso no ha pasado inadvertido.
En Bruselas ya están cansados de tanto desmán, desastre y cara dura engominado. Les tienen calados: despilfarro a lo Felipe II, corrupción, dame dinero pero no me fiscalices, PIB, deuda, paro, déficit, rescates bancarios y demás cifras reportadas al Eurostat mas falsas que un billete de seis Euros , narcotráfico y lavado de dinero campante ramificado a la política, justicia politizada al extremo, el tema eléctrico del que Angela Merkel ha comentado que por allí no vamos a ningún sitio, burbuja tras burbuja inmobiliaria, las grandes constructoras caciquiles sobre las que Saenz de Santamaría fue advertida en mas de una reunión Bilderberg de que deberían de desaparecer por lo menos la mitad y darle un mazaso al sector construcción para liberar capital hacia el industrial. En fin: un largo etcétera que los powers-that-be llevan años diciéndole a los diferentes gobiernos españoles y estos haciendo lo que les da la gana, eso si: con el dinero de los primeros.
Por lo tanto tarde o temprano llegará el momento de darle un escarmiento a España y a los españoles que contiene y que no hacen nada respecto a la situación descrita. Un escarmiento que no se olvide y que a la vez sirva para que los demás vean quien es el que manda.
No pueden hacer lo mismo que con Grecia (condenarla al olvido y que se muera) porque es mucha gente y dinero, pero si pueden salvar sus partes digamos "salvables": país vasco y Catalunya, es decir: subir la frontera con África desde Gibraltar hasta el Ebro. Claro hoy esto parece una barbaridad, pero quizás bajo una crisis económica global importante como la que se avecina, en medio del sálvese quien pueda esta alternativa se convierta en atractiva.
Y se está jugando a que en ese momento esté instalado en la generalitat el fanático que lleve a cabo las acciones que serán necesarias.
El tema sería de calado ya que España es el país mas antiguo de Europa y uno de los mas antiguos del mundo.
Un saludo
No pueden hacer lo mismo que con Grecia (condenarla al olvido y que se muera) porque es mucha gente y dinero, pero si pueden salvar sus partes digamos "salvables": país vasco y Catalunya, es decir: subir la frontera con África desde Gibraltar hasta el Ebro.
Sánchez, sobre Quim Torra: "Es el Le Pen de la política española"
El 9 de julio de 1902, tras concluir el año escolar, se trasladó a Lausana donde se inscribió en el sindicato de albañiles y obreros. Luego fue nombrado secretario y publicó su primer artículo en el periódico L'Avvenire del Lavoratore («El Porvenir del Trabajador»).Anna Gabriel: Ignasi Guardans escribe en Twitter (https://www.catalunyapress.es/texto-diario/mostrar/1068197/anna-gabriel-vive-zona-acomodada-ginebra-pesar-precaria-situacion-economica (https://www.catalunyapress.es/texto-diario/mostrar/1068197/anna-gabriel-vive-zona-acomodada-ginebra-pesar-precaria-situacion-economica))
Desde noviembre vivió en Suiza, tras huir de Italia para librarse del servicio militar obligatorio
No puedo dar datos por respeto a la privacidad. Pero anoche me contaron amigos de Ginebra cómo y sobre todo dónde vive cierta ex líder de la CUP en una de las calles con más abolengo de la ciudad... Digna de estudio esa radicalidad revolucionaria de quita y pon
"Por lo que tengo entendido la zona en la que vive la señora Gabriel le debe costar incluso más que la media. Un apartamento en Ginebra de 80 metros cuadrados está por unos 5.000 euros al mes. Depende de dónde puede estar a 10.000 euros al mes", ha señalado Guardans.
-¿Cree que el trato que está recibiendo España en algunos países europeos con el tema catalán tiene que ver con la historia que usted cuenta?
-Todo que ver. Los flamencos en Bélgica, los territorios luteranos alemanes e Inglaterra forman el mismo triángulo de toda la vida. Lo que se deriva del pasado es grave, pero va a haber consecuencias para la Unión Europea, que estamos viendo hasta qué punto es un trampantojo insolidario que no sirve siquiera para apoyar la integridad territorial de los Estados que forman parte de ella. Eso es muy grave. Yo siempre lo dije, que no había que confiar en Europa para nada. Pero esto hace un daño infinitamente mayor a la UE que a España. A partir de aquí vamos a ver cómo se viene abajo.
-¿Cree que tratan a España con menosprecio?
-Sí, ellos se sitúan en una posición de superioridad moral que tienen completamente asumida. Es el mismo supremacismo de los independentistas catalanes. Creerse superiores y mejores.
https://www.lavozdegalicia.es/noticia/cultura/2018/05/28/protestantes-inventaron-fake-news-denigrar-espana/0003_201805G28P25991.htm (https://www.lavozdegalicia.es/noticia/cultura/2018/05/28/protestantes-inventaron-fake-news-denigrar-espana/0003_201805G28P25991.htm)
Entrevista con María Elvira Roca (Imperiofobia y leyenda negra):Citar-¿Cree que el trato que está recibiendo España en algunos países europeos con el tema catalán tiene que ver con la historia que usted cuenta?
-Todo que ver. Los flamencos en Bélgica, los territorios luteranos alemanes e Inglaterra forman el mismo triángulo de toda la vida. Lo que se deriva del pasado es grave, pero va a haber consecuencias para la Unión Europea, que estamos viendo hasta qué punto es un trampantojo insolidario que no sirve siquiera para apoyar la integridad territorial de los Estados que forman parte de ella. Eso es muy grave. Yo siempre lo dije, que no había que confiar en Europa para nada. Pero esto hace un daño infinitamente mayor a la UE que a España. A partir de aquí vamos a ver cómo se viene abajo.
-¿Cree que tratan a España con menosprecio?
-Sí, ellos se sitúan en una posición de superioridad moral que tienen completamente asumida. Es el mismo supremacismo de los independentistas catalanes. Creerse superiores y mejores.
No he leído su libro y soy un lego en temas de historia... ¿creeis que acierta -en su planteamiento general- o se pasa de frenada?
[...]
Además ya nos han dicho repetida y explícitamente que tendremos eso o la guerra. Pero no un cualquiera, eh, eso lo han dicho Merkel, Macron y todas las instancias Europeas al más alto nivel, y lo corroboran con actos contudentes pasándose por el forro leyes, tratados, contratos sociales y lo que haga falta. jodo En Italia AYER han vetado un gobierno porque se oponía. Con la excusa del "antieuropeísmo" manda huevos. La gran mayoría de nosotros queremos unos EEUUE con toda la cesión de soberanía que sea necesaria.
[...]
A este post le faltan enlaces...
...
Es evidente que si se creen superiores, pero además es que Europa está completamente desquiciada.
...
Los musulmanes de a pie no son tontos y van a querer vivir con derechos y libertades europeas
He debatido sobre esto con varias de las personas más formadas e informadas e inteligentes que conozco. Dos de ellas, por ejemplo, saben que el ladrillo son los padres, entienden la situación del desagüe del 2018 y lo que le viene encima al pisito y a nuestro EeB. Nivel T.E.
Con ambas la charla acabó casi igual. Cuando, después de cotejar y desplegar los hechos, la conclusión es que sus hijos, hoy pequeños, serán de adultos minoría cristiana bajo mayoría musulmana, en su propio país. Que los están educando para un mundo que no existirá como tal. Y ambos amigos se quedaron con la mirada perdida. "Bueno... así es la vida". No lo entiendo. Yo asumiría pobreza y sacrificio infinito, iría a la guerra si fuese necesario por evitarle ese destino a SUS hijos Llámemme romántico.
¿Qué está pasando?
Los musulmanes de a pie no son tontos y van a querer vivir con derechos y libertades europeas
He debatido sobre esto con varias de las personas más formadas e informadas e inteligentes que conozco. Dos de ellas, por ejemplo, saben que el ladrillo son los padres, entienden la situación del desagüe del 2018 y lo que le viene encima al pisito y a nuestro EeB. Nivel T.E.
Con ambas la charla acabó casi igual. Cuando, después de cotejar y desplegar los hechos, la conclusión es que sus hijos, hoy pequeños, serán de adultos minoría cristiana bajo mayoría musulmana, en su propio país. Que los están educando para un mundo que no existirá como tal. Y ambos amigos se quedaron con la mirada perdida. "Bueno... así es la vida". No lo entiendo. Yo asumiría pobreza y sacrificio infinito, iría a la guerra si fuese necesario por evitarle ese destino a SUS hijos Llámemme romántico.
¿Qué está pasando?
Quizá porque la mitad del carácter se hereda y la otra mitad la adquirimos de creencias que aceptamos más o menos aleatoriamente del entorno, Lego.
Si nuestros bisabuelos no fueron capaces de hacer un esfuerzo para evitar dos guerras mundiales que destrozaron Europa, ¿porque los bisnietos, con un carácter parcialmente heredado, iban a ser diferentes? Hubiera bastado con que la Segunda Internacional hubiera hecho caso a Jean Jaures y no hubiera habido guerra. Pero fue asesinado por pacifista y los trabajadores que hubieran podido parar cualquier guerra solo diciendo que no juntos se empezaron a matar los unos a los otros, y a sus hijos.
Los musulmanes de a pie no son tontos y van a querer vivir con derechos y libertades europeas
In the early years of Islam, when Muslims found themselves amid hostile unbelievers, they were allowed to conceal their true beliefs in order to preserve the faith. Later, Shi’ites, who lived for centuries as a persecuted minority under Sunni rule, took this allowance and transformed it into an injunction known as taqiyya, from the Arabic word for prudence, or concealment (ketman, or kitmān, is the Persian word for a closely related concept). After the re-conquest of Spain by Christian forces, some Muslim clerics encouraged their followers to practise taqiyya in order to survive and maintain their religion. Throughout history, the Nicodemites, the Waldensians, the Socinians, the recusant Catholics and other Christian sects have adopted a similar approval of dissimulation.
Los musulmanes de a pie no son tontos y van a querer vivir con derechos y libertades europeasPerdonad que me autocite, pero estimo que debo explicar mejor esta breve opinión garabetada con el móvil. (Y además es que soy etnocéntrico y creo que mis mensajes son los mejores del foro ;))
Vergünzas tienen todos los pueblos con historia. O sin ella. Todos. Europa no gana a nadie en CV de ferocidad. Sólo hemos sido más efectivos.
Ahora, en vez de vergüenzas, repasemos medallas. Cosas que cada civilización o cultura ha aportado al progreso dela humanidad, en todos los sentidos. O males que cada uno ha erradcado para si y para otros.
Y que alguien diga porqué no merecemos pèrdurar, hasta el punto de que nuestros propios líderes nos imnponen un riesgo existencial por la fuerza de las armas si es necesario.
Repirt la pregunta que acabo de dejar el el hilo principal.
¿Qué está pasando?
Las explicaciones oficiales de natalidad, pensiones o caridad son un insulto a la inteligencia. Y las instituciones arremente cintra quien pide que se cumpla la ley.
He debatido sobre esto con varias de las personas más formadas e informadas e inteligentes que conozco. Dos de ellas, por ejemplo, saben que el ladrillo son los padres, entienden la situación del desagüe del 2018 y lo que le viene encima al pisito y a nuestro EeB. Nivel T.E.
Con ambas la charla acabó casi igual. Cuando, después de cotejar y desplegar los hechos, la conclusión es que sus hijos, hoy pequeños, serán de adultos minoría cristiana bajo mayoría musulmana, en su propio país. Que los están educando para un mundo que no existirá como tal. Y ambos amigos se quedaron con la mirada perdida. "Bueno... así es la vida". No lo entiendo. Yo asumiría pobreza y sacrificio infinito, iría a la guerra si fuese necesario por evitarle ese destino a SUS hijos Llámemme romántico.
¿Qué está pasando?
[url]http://www.acantilado.es/catalogo/el-legado-de-europa/[/url]
Richard Friedenthal, editor y gran amigo de Stefan Zweig, reunió, en El legado de Europa, aquellos ensayos en que el escritor austríaco rinde homenaje a los artistas que supieron expresar la esencia de la conciencia común europea. Tras la fragmentación de esa patria compartida que fue Europa, Zweig la reconstruyó en el único mundo que le era posible, el del espíritu. En esta reconstrucción le ayudaron aquellos autores que fueron sus compañeros de viaje: Montaigne, Chateaubriand, Wassermann, Rilke, Roth… Artistas y amigos que, a modo de herencia, nos lega para inmortalizarlos en el tiempo, para que permanezcan imperecederamente en nuestra conciencia.
“España, Italia y la UE son un imperio y obedecen a Berlín”
[url]http://www.lavanguardia.com/lacontra/20180602/443990985293/espana-italia-y-la-ue-son-un-imperio-y-obedecen-a-berlin.html[/url] ([url]http://www.lavanguardia.com/lacontra/20180602/443990985293/espana-italia-y-la-ue-son-un-imperio-y-obedecen-a-berlin.html[/url])
([url]https://cnnespanol2.files.wordpress.com/2017/02/corte-suprema.jpg?quality=100&strip=info[/url])
Y ahora lo que va a suceder en las próximas fechas
El juez Kennedy del Tribunal Supremo de EE.UU. se retirará en verano, dice un senador
... los progresistas de Estados Unidos temen que, si Kennedy se retira, Trump elija a otro juez favorable a las ideas republicanas, lo que reforzaría la mayoría conservadora de la corte, dividida en cuatro progresistas y cinco conservadores.
Kennedy está considerado como un juez central, que ha emitido en muchas ocasiones el voto de desempate en importantes decisiones.
Su voto permitió en 2015 legalizar el matrimonio entre personas del mismo sexo y, en 1992, reafirmar la idea de que el Estado no puede interferir en la decisión de la mujer sobre la interrupción de su embarazo, una idea que el Tribunal Supremo avaló en 1973 en el caso "Roe vs Wade".
[url]https://www.efe.com/efe/america/sociedad/el-juez-kennedy-del-tribunal-supremo-de-ee-uu-se-retirara-en-verano-dice-un-senador/20000013-3548421[/url] ([url]https://www.efe.com/efe/america/sociedad/el-juez-kennedy-del-tribunal-supremo-de-ee-uu-se-retirara-en-verano-dice-un-senador/20000013-3548421[/url])
El Supremo de EE UU respalda al pastelero que no quiso hacer una tarta nupcial para una pareja gay
https://elpais.com/internacional/2018/06/04/actualidad/1528123831_997331.html (https://elpais.com/internacional/2018/06/04/actualidad/1528123831_997331.html)
La culpa es de Alemania o la política piñata
El éxito alemán es debido a sus virtudes industriales, por supuesto, pero hubiera sido imposible sin el trato preferente, especial y permanente de Estados Unidos durante más de setenta años
Esa podría ser la consigna del Establishment europeo, una que, a fuerza de tanto repetirla, terminarán convirtiéndola en una profecía autocumplida. Ante ese riesgo cierto y como Alemania tiene mucho que ver con lo que nos pasa, hoy nos centraremos en ella, repasando su estadística y emparejándola con la de Italia, que es de donde viene el mayor envite.
Poder y responsabilidad
Dos palabras que siempre detestan ver juntas quienes detentan el Poder. En el caso de Alemania, el tamaño de su economía, del valor a precios de mercado de su producción de bienes o servicios, del PIB nominal, ese con el que se pagan las deudas y el engendro burocrático de vividores de lo público y que es lo que fundamente su poder. Con una casi la quinta parte del de EE.UU., del doble del de Italia, casi el triple del de España y algo menos del doble del de Francia, mientras tenga seducida a esta última impidiendo una unión latina (¿Qué prefieren?), dominará el Continente, machacando a polacos y húngaros, o ex-yugoslavos y ucranianos y expulsando a rusos y angloamericanos del mismo; lo de siempre, vamos, y si el acomplejado "católico" sur se llena de malandrines, mejor, menos competencia y más "low cost"; hasta que Francia les de la puñalada, claro, que eso se les da mejor que a los del PNV.
Nominal GDP of Italy Gremany
Nominal GDP of Italy Gremany
Empezar la gráfica en 1980 está bien pues me recuerda unos tiempos en que los italianos emigraban, a Alemania, Sur América, etc. y nos miraban por encima del hombro a los emigrantes españoles. ¿Será por eso que sus televisiones envenenan las audiencias con tanta mugre moral y promocionan a cuanto hispanófobo psicótico campa por la piel de toro? Tal vez. Lo que está claro es que ni España (el todo o las partes) ni Italia son países ricos - aunque hayan reducido la brecha de producción (siguiente gráfica) - ni pueden permitirse ciertos lujos, como abandonar a los más pobres de su sujeto constituyente o experimentar con él subsidiando el destrozo demográfico con fantasías inmigratorias, lo cual nos lleva al siguiente punto.
Población y poder
"Gobernar es poblar", decíamos antes de que esterilizáramos nuestra naturaleza expansiva y de que nuestros eurófobos socialdemócratas vía ONU, Club de Roma, etc. colocaram la moto de que no había que tener hijos (feminazis aparte) como ahora nos venden la migración masiva, el multiculturalismo y demás inventos. Así las cosas, el aplanamiento de las curvas de población (siguiente grafica) no viene por estar en las tasa de reposición (2,1 hijos por mujer), sino por aumento de la esperanza de vida, incubándose una crisis que irá a peor por las malas políticas inmigratorias, hechas seguramente con "engrases" exteriores.
Population trend of Italy Gremany
Population trend of Italy Gremany
Pero, por la falta de representación de los ciudadanos, la demografía no manda y como ejemplo de eso tenemos el caso de Luxemburgo que, con una población casi como Valladolid, manda más que España o Italia y, gracias al cuento de evitar otra guerra franco-alemana (que menuda idiotez a estas alturas), padecemos sujetos como Juncker liderando los inventos de los sociópatas de Bruselas; o sea, más o menos como la casta de aquí con su cuento de la Guerra Civil. Y venga a experimentar con el Pueblo.
De lo que no ha dicho ni mu el Señorito Sánchez, el muy listillo, es del daño demográfico del excepcional boquete económico del 2008-2009, que en Italia y España repite en 2012, y que se ilustra en la siguiente gráfica. No lo hará porque ni le interesa ni tiene idea de cómo las políticas de su ideología han producido semejante desgracia; lo mismo le ocurre con la política fiscal que es compatible con el euro y así con un largo etcétera. Como sus correligionarios, él pasa de eso porque de inmediato habría que elegir entre la fantasía fiscal de la casta a la que pertenece y una economía sana.
¿Y dónde hunde sus raíces esa fantasía fiscal del Señorito Sánchez y sus apoyos en el Congreso? Pues, entre otros sitios, en un momento muy concreto de la historia reciente de Italia , allá por la década de los ochenta, que preparó la entrada de la generación langosta o generación sociópata, la misma que le mimó y le puso en las listas electoral por su pedigrí. Dicho período lo comentamos en "Italia en su laberinto", años de orgía fiscal con déficits por encima del 1o% del PIB - ni Alemania en su reunificación - solo que lo de hoy es todo tan mediocre que no le llegan ni a los talones de aquellos libertinos de lo público; de hecho, estos petardos que van de luminarias, ni saben lo que fue aquello.
Ocurre pues que entre la mala demografía y el peso de "lo público", a muchas empresas italianas no les ha quedado otra que venderse al exterior, a alemanes y chinos, para al menos sobrevivir y seguir exportando, que para eso el euro no es problema, al contrario. Algo parecido ocurre en Finlandia, pero claro, la culpa es de Alemania.
Poder y comercio exterior
El éxito alemán es debido a sus virtudes industriales, por supuesto, pero hubiera sido imposible sin el trato preferente, especial y permanente de Estados Unidos durante más de setenta años, que hasta tecnología automotriz en fecha tan reciente como 2003, cosa que vimos al tratar "Europa y el problema alemán" en "Pax americana y nuevo mercantilismo"; por no hablar de que les han pagado la defensa y todo después de lo que hicieron dos veces, cosa que agradecen con la butade de Merkel de que ya no se puede confiar en ellos en defensa de Europa y la culpa es de Trump. Será sinvergüenza.
En fin, que el resultado es un enorme superávit comercial (gráfica anterior) típico de economías con un exceso de ahorro, que luego mal invierten en (la lista es larga), por ejemplo, instituciones como el Deutsche Bank, que está en la lista negra de la FED por elevado riesgo sistémico y cuya acción se ha dividido por 15 desde 2007, convirtiéndose en un riesgo mayor que el italiano; uno de los responsables de ese engendro ruinoso (otro señorito) se perfila como jefe del BCE. A ese exceso de ahorro contribuyen sus altos impuestos indirectos que, en un sadismo obtuso, dañan más su demografía, a su sujeto constituyente. Pero la culpa es del Sur, claro.
Pero ocurre que ahora Trump quiere, además, una nueva OTAN y que gasten lo acordado en defensa y, como predijimos, anuncia que va a por la mimada industria alemana de coches de lujo. Para entender la posición de Trump, aunque es difícil sin haberlo vivido, y lo que viene, tal vez les ayude el siguiente video: Mark VI en 28 segundos, de 1981, del tiempo de cuando Trump empezó sus empresas y cuando EE.UU. era líder tecnológico en el sector automotriz (en realidad aún lo es pero sería muy extenso tratarlo aquí), un vídeo que daría para varias horas de debate académico y empresarial sobre producto, imagen, diseño, etc., temas todos que a la mafia de la UE o a un señorito de "lo público" como Sánchez, con su gabinete para un estado títere, le quedan grandes, pues a ellos lo que les interesa es su piñata y no la van a soltar; esperemos que al menos no les dé por volver a sacudir el árbol, porque, con los cambios que vienen, nueces no va a haber.
Como se ve, padecemos un orden y un pensamiento disfuncional en constante degeneración y así será hasta que se dé un ruptura radical con el pasado, eventualidad que me temo ocurrirá por las malas cuando el sujeto constituyente se revele contra quienes le mangonean, y en ello estamos. Dios quiera que nos salga bien.
Lo que decía en el otro hilo (PPCC) sobre las plañideras.
Lloriqueos anti UE y todo ello relacionándolo con Sánchez.
Eso es lo que me lleva a pensar lo del golpe de estado bruseliense.
JuanCoco:
Leyendo la noticia que enlazas dice que las empresas con menos de diez trabajadores podrán usar las semillas que quieran. Y hoy en día un sólo agricultor con tractores y maquinaria especializada puede cosechar muchas toneladas. No te digo nada diez.
Eso sí, si hubiese las más mínima alerta alimentaria por un problema genético con las semillas, todo el mundo se echaría encima de la UE y los Estados por no regular.
El problema es sistémico. La comisión europea opera completamente al margen de la opinión pública y sin control democrático de ninguna clase, cuando ni siquiera el parlamento es directamente representativo.
Sinceramente me parece inaceptable pero es una discusión vieja y que siempre se acaba llevando del ámbito técnico al ámbito moral/sentimental, de modo que es imposible un entendimiento.
El problema es sistémico. La comisión europea opera completamente al margen de la opinión pública y sin control democrático de ninguna clase, cuando ni siquiera el parlamento es directamente representativo.
Sinceramente me parece inaceptable pero es una discusión vieja y que siempre se acaba llevando del ámbito técnico al ámbito moral/sentimental, de modo que es imposible un entendimiento.
La Comisión Europea publica lo que hace y tiene intención de hacer, tanto en documentos como en webs, y hace consultas previas - en todos los idiomas oficiales. Opera menos al margen de la opinión pública que muchos gobiernos, incluidos los españoles. Eso sí, pasamos de leernos lo que publican y les acusamos de opacos...
Además de la CE, donde hay un representante de cada Estado Miembro, tienes el Consejo (integrado por Ministros, incluyendo los del Gobierno de tu país, votado democráticamente) y el Parlamento, cuyos eurodiputados votamos directamente (quienes nos molestamos en votar "para eso de Uropa"). Pero resulta que "no hay control democrático de ninguna clase".
Entendemos que no es práctico que millón y medio de barceloneses se reúnan a hablar de cómo gestionar las basuras, y que es normal delegarlo en concejales. Pero exigimos que las decisiones sobre asuntos europeos transnacionales las tomemos a pachas quinientos millones de ciudadanos europeos, y si no, es que no hay democracia.
Y cuando te dan estos argumentos técnicos y prácticos dices que te derivan "al ámbito moral/sentimental".
Manda carallo...
Y cuando te dan estos argumentos técnicos y prácticos dices que te derivan "al ámbito moral/sentimental".
Manda carallo...
Manda carallo...
Tengo la impresión de que todo esa delegación europea se encuentra demasiado lejos, el representante del representante de los representados. Una larguísima cadena de delegaciones de la comisión de la subcomisión del steering commite donde los lobbies operan a sus anchas, el ciudadano ni le interesa ni entiende y se ve como comienza a desintegrarse por las costuras.
No se, pero me recuerda la desafección del pueblo soviético con respecto a la Duma, el Gosplan y toda aquella aburridísima burocracia.
Salta a la vista el ambiente "tonto-descafeinado" de la mayoría de las instituciones europeas, porque no existe una visión política unificadora y de fondo. Como si por publicar medio millón de documentos ininteligibles en una web fuese a pasar algo.
Nada se unifica en base a criterios técnicos y prácticos, tiene que haber sentimientos e ideas políticas. Es como pensar que las personas se emparejan por meros criterios intelectuales y prácticos.
Claro pero como los polítiks europeos son unos enanos, le dejan estas cosas de la construcción europea a los burócratas, entonces aquello se convierte en el lodazal mas aburrido que pueda existir.
Piensan que los europeos de la unión se crearan leyendo las webs de la comisión.
Un saludo
Muyuu (y los que estamos hablando de esto en el hilo principal):
Efectivamente, todos tendemos a considerar tontos a los que no piensan como nosotros (lo cual es un grave sesgo emocional del que es muy difícil escapar).
La UE no es un sistema totalitario y un suceso como el Brexit lo demuestra palmariamente. Quién quiera irse y deshacer los acuerdos firmados puede hacerlo.
Tiene elementos en sus sistema de gobierno distintos a los de los "Estados tradicionales" precisamente porque no es un "Estado tradicional". De hecho la dificultad al diseñar su arquitectura institucional está en que se sigue manteniendo la soberanía nacional de cada Estado miembro.
En el momento actual de la historia (dinámica de grandes bloques), cada país europeo sólo puede competir globalmente estableciendo acuerdos, al menos, con sus vecinos. Si no existiera la UE existirían igualmente los acuerdos entre gobiernos. El hecho de que exista como institución con pretensión de legitimidad democrática no hace sino otorgar más control y transparencia a la ciudadanía.
En esto de las semillas yo creo que el motivo es la compra de Monsanto por Bayer.
Disculpen si lo han apuntado ya.
Monsanto acepta la oferta de compra de Bayer y crearán un gigante mundial
La compañía que emerja de la operación, valorada en 58.500 millones de euros, dominará el negocio de semillas y de pesticidas a escala global.
[url]https://www.google.es/amp/s/elpais.com/economia/2016/09/14/actualidad/1473839060_359923.amp.html[/url] ([url]https://www.google.es/amp/s/elpais.com/economia/2016/09/14/actualidad/1473839060_359923.amp.html[/url])
"El voto de hoy demuestra la profunda insatisfacción del Parlamento Europeo con la propuesta de la Comisión, que no ha logrado cumplir los objetivos principales, como son simplificar las reglas e impulsar la innovación. También preocupa a los eurodiputados la fusión de 12 directivas en un único reglamento de aplicación directa, que deja sin margen a los Estados miembros para adaptar las reglas a sus necesidades", ha asegurado el presidente de la comisión de Agricultura, Paolo de Castro (S&D, IT).
No me parece propio de ningún sistema dictatorial obligar al que comercializa un producto que lo registre. Si compro un tipo de tomate quiero que sea ese y como consumidor tengo derecho a que el producto esté registrado y no me puedan dar una variedad híbrida.
De ser aprobado por los Estados, ese salto adelante situará a la UE en las mismas condiciones de asistencia exterior que la OTAN, que carece de trabas en cuanto al tipo de material transferible (aunque siempre se enmarca en misiones de asistencia exterior). Con el aumento de la inestabilidad en todos los vecindarios europeos y la pérdida de confianza en el liderazgo estadounidense de Donald Trump, la UE lleva muchos meses intentado aumentar su músculo militar común
En cuanto a la llamada operación diálogo, Bermúdez de Castro afirma que "hubo, al principio, muy buenas palabras, pero ya era imposible parar lo que estaba en marcha". Y cree que fracasó el diálogo porque "negociábamos con un muro".
Dice que "hay lugares (Lleida y Girona) donde el Estado no existe. El gobierno de Sánchez no va a ser tan incauto de ceder ciertas cosas, porque electoralmente lo va a pagar", recalca. Además, piensa que "hay gente que está siendo purgada en Cataluña ".
FIGAROVOX.- ¿Es el acuerdo entre la Liga y el Movimiento de las 5 Estrellas una alianza de sus deseos para reemplazar la división izquierda / derecha?
En nuestro tiempo, el del capitalismo financiero, la antigua dicotomía derecha-izquierda ha sido reemplazada por la nueva dicotomía amo-esclavo alto-bajo (Hegel). Arriba, el amo tiene su lugar, quiere un mercado más desregulado, más globalización, más liberalización. A continuación, el siervo "nacional-popular" (Gramsci) quiere menos libre comercio y más Estado nacional, menos globalización y una defensa de los salarios, menos Unión Europea y más estabilidad existencial y profesional. El 4 de marzo en Italia no fue la victoria de la derecha, ni de la izquierda: ganó el fondo, el siervo. Y está representado por el M5S y la Liga, los partidos que el amo global y sus intelectuales difaman como "populistas", es decir, vecinos del pueblo y no la aristocracia financiera (Marx). Si son populistas, debe decirse que las partes del amo son francamente demofóbicas, odian al pueblo.
¿Por qué Di Maio y Salvini miran a Rusia? [hay una falta en la v/ER]
Porque la Rusia de Putin es hoy la única resistencia contra el imperialismo del dólar, es decir contra la americanización del mundo, también conocida como globalización. Es mejor tener un mundo multipolar, como decimos en estos días, en lugar de la pesadilla de la "monarquía universal" (Kant), es decir, de un poder único que invade todo el mundo. Italia debería salir de la OTAN, liberarse de las más de 100 bases militares de los EE. UU. Y tratar de recuperar su soberanía monetaria, cultural y económica, abriéndose a Rusia y los Estados no alineados.
A menudo dice que la vieja burguesía y el viejo proletariado son ahora parte del mismo grupo oprimido, ¿no es eso un poco exagerado?
Es exactamente así. Es el nuevo "precariado": la vieja clase media burguesa y la vieja clase trabajadora, durante un tiempo enemigo, son hoy oprimidas y precarias, forman un nuevo plebeyo pauperizado y privado de derechos en vista de las depredaciones financieras y el desgaste del banco La clase dominante es esta vez la aristocracia financiera, una clase cosmopolita de banqueros y reubicadores, grandes negocios y dumping . Marx lo expresa muy bien en el tercer libro de El capital: el capitalismo sobrepasa su fase burguesa y accede al financiero, basado en la renta financiera y los robos del bancocracia. Este es nuestro destino.
France and Germany face a growing backlash from other governments against their plans for a common eurozone budget, dealing a blow to the two countries’ ambitions for a big overhaul of the single currency area.
The Netherlands, Austria and Finland are among 12 governments questioning the need for any joint eurozone “fiscal capacity”, challenging a central tenet of French President Emmanuel Macron’s vision for the eurozone that he has successfully pressed Berlin to endorse.
According to a letter seen by the Financial Times, Dutch finance minister Wopke Hoekstra has written to Mário Centeno, the president of the eurogroup, to underline that there is “wide divergence” on the need for any budget, with a number of countries concerned about “moral hazard risks” and questions of “fiscal neutrality” posed by the plan.
Mr Macron and Germany’s Angela Merkel, the leaders deemed essential to any agreement over European reforms, tried to restart their close collaboration this week ahead of a wider summit of EU leaders. They agreed that a new common pot of eurozone money could be funded by a mixture of national contributions and new EU levies, such as a financial transactions tax.
Their agreement forms part of a broader deal between Paris and Berlin on how to strengthen the currency bloc.
But EU diplomats said Ms Merkel’s concession to Mr Macron had emboldened other countries to resist the blueprint, out of concern that it would leave their taxpayers too exposed to problems in crisis-hit member states.
Officials said the splits were apparent at a meeting of EU finance ministers in Luxembourg on Thursday, with increasing signs that governments have formed competing camps with distinct visions on the direction of further integration.
In his letter, Mr Hoekstra insisted that the lack of the agreement on the budget be clearly communicated to leaders at next week’s summit.
“There was clearly no consensus on starting to explore options” at Thursday’s meeting of finance ministers, Mr Hoekstra wrote, adding there was also no agreement to start exploring the use of a financial transactions tax to finance it.
The letter was written by the Dutch finance minister on behalf of Belgium, Luxembourg, Austria, Sweden, Denmark, Finland, Latvia, Lithuania, Estonia, Ireland and Malta.
The list of 12 countries expands a coalition dubbed the “Hanseatic League” — an initial group of eight smaller fiscally conservative countries, which have insisted on more national responsibility to solve economic problems in the eurozone.
Berlin and Paris have insisted that a Franco-German deal on reforming monetary union is not a fait accompli for the rest of the eurozone.
Responding to the letter, Olaf Scholz, German finance minister, said the budget blueprint was a “starting point for discussion” and said he wanted to encourage critics — many of whom have been Berlin’s natural allies on eurozone reform — to voice their opposition.
“If we want to have a common decision-making process, a common solution, this is has to be an open debate at the beginning,” said Mr Scholz. “I’m quite optimistic that we will find a solution.”
Bruno Le Maire, French finance minister, said on Thursday: “It is not a take it or leave it road map . . . It is open for discussion for negotiations among members of the eurozone.”
The Dutch letter proposes that EU leaders refocus their efforts on key demands made by hawkish countries since the start of the year, including a call for bondholders to undergo a haircut should a country’s debt pile become unsustainable.
[url]http://europa.eu/rapid/press-release_IP-18-4121_en.htm[/url] ([url]http://europa.eu/rapid/press-release_IP-18-4121_en.htm[/url])
European Commission - Press release
EU budget: Stepping up the EU's role as a security and defence provider
Strasbourg, 13 June 2018
For the next long-term EU budget 2021-2027, the Commission is proposing to increase the EU's strategic autonomy, bolster the EU's ability to protect its citizens and make the EU a stronger global actor.
A €13 billion European Defence Fund will provide the financial firepower for cross-border investments in state-of-the-art and fully interoperable technology and equipment in areas such as encrypted software and drone technology. In addition, the High Representative, with the support of the Commission, is proposing today a new €10.5 billion European Peace Facility, an instrument outside of the EU's long-term budget, which will help improve the EU's ability to prevent conflicts, build peace and guarantee international security.
Federica Mogherini, High Representative for Foreign Affairs and Security Policy/Vice-President of the Commission, said: "The European Union has over the past couple of years taken steps in security and defence that seemed unthinkable before. We can now support research and cooperation to develop defence capabilities. We are taking measures that will facilitate the rapid movement of Member States' forces in Europe. Furthermore, with the Commission's support, I am proposing the establishment of a European Peace Facility that will improve the financing of EU military operations and improve our support for actions by our partners.”
Jyrki Katainen,Vice-President in charge of Jobs, Growth, Investment and Competitiveness, said: "What we are proposing will help the EU take its destiny into its own hands. We are taking greater ownership in defending and protecting our citizens. For the first time in the history of the European Union, a part of the European budget is devoted to investing collectively to develop new technologies and equipment to protect our people. The European Defence Fund is a true European tool to encourage joint investments and amplify Member States' efforts in defence.”
Elżbieta Bieńkowska, Commissioner for the Internal Market, Industry, Entrepreneurship and SMEs, added:"The European Defence Fund is a game changer for defence cooperation in Europe. Based on the first initiatives tested these last two years, we are now scaling it up into an ambitious European instrument to support collaborative defence projects throughout their entire development cycle. The €13 billion Fund shows that this Commission is serious about building a Europe that defends and protects its citizens.”
[...]
Financing of projects which help make the EU safer and which correspond to priorities agreed by Member States within the framework of the Common Security and Defence Policy and other regional and international organisations such as NATO;
[...]
......................
Creéis que de aquí a 50 años esto va a ser un gran problema para Europa? Que se puede llegar a un punto de no retorno demográfico?
Mirad este video en el minuto 13.
https://youtu.be/WzOG0O_D0S8
Por motivos laborales he tenido mucho contacto con chicos como estos, vendiendo en mercadillos o en el top manta. Tienen una idea de Europa idealizada. Tienen una ambición muy grande, quieren una buena casa, un buen coche, una rubia tetona...Si en tu mensaje sustituimos "inmigrantes" por "jóvenes españoles" creo que describiría también con bastante fidelidad la realidad.
Pero luego hablando con ellos, no entendían que Europa demanda gente formada en ingeniería o ciencias, no en trabajadores rasos. Muchos se creen que el hecho de estar aquí ya crea ciertos derechos materiales, y muchos se están comenzando a desesperar y verle las orejas a la realidad, creando mucha frustración en ellos, ya que si bien muchos vienen de una situación muy humilde de pobreza, otros vienen de situaciones de una situación económica mínimamente favorable (sus familias poseen olantaciones de cacao, ganado, algunos comercios) y a los años ven que venir no les renta (el viaje son unos 5000/6000 euros y arriesgando la vida) y aquí entre lo que ganan y el subsidio apenas les da paraa vivir a muchos, además de que a nadie le gusta trabajar en los invernaderos.
Y el choque cultural, sobretodo con los inmigrantes musulmanes, que no aceptan a los gays, la mujer a casa y con niños, o ideas como que todos los hombres vienen de Adán y Eva (estas cosas solo te las dirán al coger confianza).
Creéis que de aquí a 50 años esto va a ser un gran problema para Europa? Que se puede llegar a un punto de no retorno demográfico?
Mirad este video en el minuto 13.
https://youtu.be/WzOG0O_D0S8
Hoy Europa se halla asediada por todas partes... Es Bizancio, el RU ante los Nazis, la Alianza Rebelde... Un sueño que amenaza con terminar. Pobres de nosotros.
EUROPA EN PELIGRO: RUPTURA DEMOGRÁFICA por Javier Barraycoa
https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0 (https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0)
Se analiza las diferentes poblaciones mundiales desde antes del imperio romano a la actualidad, el impacto de las diferentes ideologías políticas en la historia en la demografía.
La población europea representaba el 8% de la población mundial en 1950, a finales del siglo XXI no llegara al 1%. Este proceso acarrea tensiones demográficas por flujos migratorios. Creación de ciudadanos de 1ª y de 2ª, revisión de esquemas de protección y derechos sociales. Formación de estructuras sociales de guerra civil.
Una conferencia sobre el denominado invierno demográfico; de aquí a 2050 se prevé la entrada de 150 millones de emigrantes en Europa para mantener el estado de bienestar; conclusión: no hay sociedad que lo soporte.
"It's all a courtesy from me, or else everything would have been over," said Horst Seehofer as he left the CDU's headquarters.
EUROPA EN PELIGRO: RUPTURA DEMOGRÁFICA por Javier Barraycoa
https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0 (https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0)
Se analiza las diferentes poblaciones mundiales desde antes del imperio romano a la actualidad, el impacto de las diferentes ideologías políticas en la historia en la demografía.
La población europea representaba el 8% de la población mundial en 1950, a finales del siglo XXI no llegara al 1%. Este proceso acarrea tensiones demográficas por flujos migratorios. Creación de ciudadanos de 1ª y de 2ª, revisión de esquemas de protección y derechos sociales. Formación de estructuras sociales de guerra civil.
Una conferencia sobre el denominado invierno demográfico; de aquí a 2050 se prevé la entrada de 150 millones de emigrantes en Europa para mantener el estado de bienestar; conclusión: no hay sociedad que lo soporte.
Aunque es interesante de escuchar, dice cosas que no se si serán ciertas del todo:
1. Que la población romana en Hispania era de 12 millones en su momento álgido. No soy historiador, pero según la wiki la población no era mas de 5/6 millones en su mayor momento.
3. A la hora de dar los datos de densidad de población, mezcla churras con merinas. No pudes meter a mónaco como un ejemplo por que eso no es un país. Son 2 km^2 totalmente urbanizados. No tiene ríos, montañas, infraestructuras, agricultura... etc. Con China y África hace igual, pues en China la población está muy concentrada en las llanuras de los rio yangtze y amarillo, la costa y el delta del río de las perlas. Mongolia, el Tibet, las montañas y el desierto de taklamakan estan despoblados. En África el Sahara esta despoblado igual, y la población en rápido aumento se concentra en el valle del nilo, África occidental y central. Si haces la densidad de población de estas zonas fértiles que es donde vive la gente, la densidad resultante es mucho mayor a la que dice.
4. Dice que la superficie forestal del amazonas está aumentando :roto2: . No dice lo mismo el NYT.
https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/ (https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/)
Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Si os aburrís una tarde meteros en google earth y explorad zonas de la amazonia boliviana, o la brasileña por la parte mas al sur. Se ven claros y zonas de tala por todos lados. A menos que sea una conspiración de los satélites de google para hacernos creer por alguna oscura razón que el amazonas está desapareciendo :roto2: :roto2: :roto2: :roto2: :roto2:.
2. Atribuye la bajada de la natalidad a los anticonceptivos y al cambio en el estilo de vida, y no nombra la vivienda como se trata en este foro, la pisitofilia. En los años de desarrollismo de franco un piso en Moratalaz te costaba 8/10 años de sueldo como mucho, que se hacia menos con la inflación de la época. La casa y el empleo, aunque no sean de mucha calidad, son la pieza clave para incentivar la natalidad.
Ese mismo piso ahora te cuesta 200.000 euros perfectamente. ¿que pareja de jovenes pueden meterse en un hipotecón así sin ahorros y con empleo precario, o directamente en paro? quizas ese piso no deberia costar mas de 50000 euros, o menos?.
Solo decir que tengo 2 parejas conocidas que tuvieron a sus hijos a los 25 años. Ahora tienen 28 y no van a tener más niños básicamente por que no pueden, y menos mal que esta la familia para alquilarles el piso a un precio reducido, o los padres para pasarles algo de dinero o enseres para el niño. Gente con estudios que "ha cumplido" con lo que le habían dicho que tenían que hacer.
Pero claro, ya sabemos que si cambiamos todo lo que tendria que cambiar, mas de un casero veria su "tesoro" convertido de precioso oro a invendible latón, o que la banca tendría aun más problemas en sus balances. Nada de cambiar el modelo productivo de este pais. Un intento aunque sea de cara a la galeria coño :roto2: :roto2:.
EUROPA EN PELIGRO: RUPTURA DEMOGRÁFICA por Javier Barraycoa
https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0 (https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0)
Se analiza las diferentes poblaciones mundiales desde antes del imperio romano a la actualidad, el impacto de las diferentes ideologías políticas en la historia en la demografía.
La población europea representaba el 8% de la población mundial en 1950, a finales del siglo XXI no llegara al 1%. Este proceso acarrea tensiones demográficas por flujos migratorios. Creación de ciudadanos de 1ª y de 2ª, revisión de esquemas de protección y derechos sociales. Formación de estructuras sociales de guerra civil.
Una conferencia sobre el denominado invierno demográfico; de aquí a 2050 se prevé la entrada de 150 millones de emigrantes en Europa para mantener el estado de bienestar; conclusión: no hay sociedad que lo soporte.
Aunque es interesante de escuchar, dice cosas que no se si serán ciertas del todo:
1. Que la población romana en Hispania era de 12 millones en su momento álgido. No soy historiador, pero según la wiki la población no era mas de 5/6 millones en su mayor momento.
3. A la hora de dar los datos de densidad de población, mezcla churras con merinas. No pudes meter a mónaco como un ejemplo por que eso no es un país. Son 2 km^2 totalmente urbanizados. No tiene ríos, montañas, infraestructuras, agricultura... etc. Con China y África hace igual, pues en China la población está muy concentrada en las llanuras de los rio yangtze y amarillo, la costa y el delta del río de las perlas. Mongolia, el Tibet, las montañas y el desierto de taklamakan estan despoblados. En África el Sahara esta despoblado igual, y la población en rápido aumento se concentra en el valle del nilo, África occidental y central. Si haces la densidad de población de estas zonas fértiles que es donde vive la gente, la densidad resultante es mucho mayor a la que dice.
4. Dice que la superficie forestal del amazonas está aumentando :roto2: . No dice lo mismo el NYT.
https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/ (https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/)
Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Si os aburrís una tarde meteros en google earth y explorad zonas de la amazonia boliviana, o la brasileña por la parte mas al sur. Se ven claros y zonas de tala por todos lados. A menos que sea una conspiración de los satélites de google para hacernos creer por alguna oscura razón que el amazonas está desapareciendo :roto2: :roto2: :roto2: :roto2: :roto2:.
2. Atribuye la bajada de la natalidad a los anticonceptivos y al cambio en el estilo de vida, y no nombra la vivienda como se trata en este foro, la pisitofilia. En los años de desarrollismo de franco un piso en Moratalaz te costaba 8/10 años de sueldo como mucho, que se hacia menos con la inflación de la época. La casa y el empleo, aunque no sean de mucha calidad, son la pieza clave para incentivar la natalidad.
Ese mismo piso ahora te cuesta 200.000 euros perfectamente. ¿que pareja de jovenes pueden meterse en un hipotecón así sin ahorros y con empleo precario, o directamente en paro? quizas ese piso no deberia costar mas de 50000 euros, o menos?.
Solo decir que tengo 2 parejas conocidas que tuvieron a sus hijos a los 25 años. Ahora tienen 28 y no van a tener más niños básicamente por que no pueden, y menos mal que esta la familia para alquilarles el piso a un precio reducido, o los padres para pasarles algo de dinero o enseres para el niño. Gente con estudios que "ha cumplido" con lo que le habían dicho que tenían que hacer.
Pero claro, ya sabemos que si cambiamos todo lo que tendria que cambiar, mas de un casero veria su "tesoro" convertido de precioso oro a invendible latón, o que la banca tendría aun más problemas en sus balances. Nada de cambiar el modelo productivo de este pais. Un intento aunque sea de cara a la galeria coño :roto2: :roto2:.
EUROPA EN PELIGRO: RUPTURA DEMOGRÁFICA por Javier Barraycoa
https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0 (https://www.youtube.com/watch?v=GKxbyJ13QE0)
Se analiza las diferentes poblaciones mundiales desde antes del imperio romano a la actualidad, el impacto de las diferentes ideologías políticas en la historia en la demografía.
La población europea representaba el 8% de la población mundial en 1950, a finales del siglo XXI no llegara al 1%. Este proceso acarrea tensiones demográficas por flujos migratorios. Creación de ciudadanos de 1ª y de 2ª, revisión de esquemas de protección y derechos sociales. Formación de estructuras sociales de guerra civil.
Una conferencia sobre el denominado invierno demográfico; de aquí a 2050 se prevé la entrada de 150 millones de emigrantes en Europa para mantener el estado de bienestar; conclusión: no hay sociedad que lo soporte.
Aunque es interesante de escuchar, dice cosas que no se si serán ciertas del todo:
1. Que la población romana en Hispania era de 12 millones en su momento álgido. No soy historiador, pero según la wiki la población no era mas de 5/6 millones en su mayor momento.
3. A la hora de dar los datos de densidad de población, mezcla churras con merinas. No pudes meter a mónaco como un ejemplo por que eso no es un país. Son 2 km^2 totalmente urbanizados. No tiene ríos, montañas, infraestructuras, agricultura... etc. Con China y África hace igual, pues en China la población está muy concentrada en las llanuras de los rio yangtze y amarillo, la costa y el delta del río de las perlas. Mongolia, el Tibet, las montañas y el desierto de taklamakan estan despoblados. En África el Sahara esta despoblado igual, y la población en rápido aumento se concentra en el valle del nilo, África occidental y central. Si haces la densidad de población de estas zonas fértiles que es donde vive la gente, la densidad resultante es mucho mayor a la que dice.
4. Dice que la superficie forestal del amazonas está aumentando :roto2: . No dice lo mismo el NYT.
https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/ (https://www.nytimes.com/es/2017/02/25/la-deforestacion-del-amazonas-regresa-con-fuerza/)
Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Lo mismo se puede decir de Indonesia o el Congo. Si os aburrís una tarde meteros en google earth y explorad zonas de la amazonia boliviana, o la brasileña por la parte mas al sur. Se ven claros y zonas de tala por todos lados. A menos que sea una conspiración de los satélites de google para hacernos creer por alguna oscura razón que el amazonas está desapareciendo :roto2: :roto2: :roto2: :roto2: :roto2:.
2. Atribuye la bajada de la natalidad a los anticonceptivos y al cambio en el estilo de vida, y no nombra la vivienda como se trata en este foro, la pisitofilia. En los años de desarrollismo de franco un piso en Moratalaz te costaba 8/10 años de sueldo como mucho, que se hacia menos con la inflación de la época. La casa y el empleo, aunque no sean de mucha calidad, son la pieza clave para incentivar la natalidad.
Ese mismo piso ahora te cuesta 200.000 euros perfectamente. ¿que pareja de jovenes pueden meterse en un hipotecón así sin ahorros y con empleo precario, o directamente en paro? quizas ese piso no deberia costar mas de 50000 euros, o menos?.
Solo decir que tengo 2 parejas conocidas que tuvieron a sus hijos a los 25 años. Ahora tienen 28 y no van a tener más niños básicamente por que no pueden, y menos mal que esta la familia para alquilarles el piso a un precio reducido, o los padres para pasarles algo de dinero o enseres para el niño. Gente con estudios que "ha cumplido" con lo que le habían dicho que tenían que hacer.
Pero claro, ya sabemos que si cambiamos todo lo que tendria que cambiar, mas de un casero veria su "tesoro" convertido de precioso oro a invendible latón, o que la banca tendría aun más problemas en sus balances. Nada de cambiar el modelo productivo de este pais. Un intento aunque sea de cara a la galeria coño :roto2: :roto2:.
Más allá de datos; a día de hoy es evidente que conferencias como estas u otras, todas, señalan el mismo problema "LA FALTA DE NATALIDAD" y que históricamente el factor demográfico ha estado detrás del auge y colapso de las civilizaciones.Vaya, ¿quieres decir que la falta de natalidad explica por sí sola todas los colapsos de civilizaciones? Cuando la civilización maya colapsó, está claro que su natalidad bajó a cero -en cuanto a nacimientos de miembros de ese imperio-; pero eso es una consecuencia, no una causa.
Más allá de datos; a día de hoy es evidente que conferencias como estas u otras, todas, señalan el mismo problema "LA FALTA DE NATALIDAD" y que históricamente el factor demográfico ha estado detrás del auge y colapso de las civilizaciones.Vaya, ¿quieres decir que la falta de natalidad explica por sí sola todas los colapsos de civilizaciones? Cuando la civilización maya colapsó, está claro que su natalidad bajó a cero -en cuanto a nacimientos de miembros de ese imperio-; pero eso es una consecuencia, no una causa.
Creo que estamos confundiendo los términos "civilización europea", "continente europeo", y "Unión Europea".
El extremo occidental de Eurasia (España, Islas Británicas, Francia, Italia y Grecia) tiene unas condiciones naturales (climáticas y geográficas) que favorecen especialmente el desarrollo humano y la defensa frente a "hordas" invasoras. Altamira y Lascaux ejemplifican esto perfectamente.
Sin embargo el territorio histórico de nuestra civilización propiamente dicha (frente a, por ejemplo, la india, china o las americanas) se articula en torno al Mare Nostrum. Tombuctú, La Meca, Moscú y Dublín encuadran (más o menos) un territorio que por fuerza debe establecer fuertes lazos comerciales y de convivencia.
Estamos hablando de un mundo heredero de Homero, narrado por Herodoto y teñido de aportaciones fundamentales del mundo egipcio (África), semitico, nórdico, atlántico...
Todos estos que dan conferencias sobre la Europa que guarda el tarro de las esencias del cristianismo..., ¿no se paran a pensar que Jesús vivió más allá de Turquía? Hace 1700 años se divide el imperio romano en dos partes. Hace 1300 años surge la secta de los musulmanes. Podríamos decir que la civilización europea está dividida en 4 cuadrantes de los que la UE se sitúa sólo en el occidental superior: el más fácil de defender.
En todo caso, Europa no es más que un conjunto de ideas y relatos que podemos meter en una maleta y llevar a cualquier lugar... ¿La solución es que en la UE tengamos más hijos?, no creo, siguiendo una mano invisible o un ardid de la razón no estamos más que equilibrando el exceso de hijos de otras partes del mundo. En el siglo XIX y principios del XX millones de europeos emigraron llevando la "maleta" de la cultura europea. Hoy ya lo podemos enviar todo en unos cuantos gigas de archivos PDF y tutoriales de youtube...
Lo que digo y me reitero es que es terrorista tratar de paliar la falta de natalidad de la población europea incorporando población que básicamente no aporta nada más que número, que no ve cumplidas sus expectativas y que degrada el modo de vida europeo.No creo que si alguna vez llegas a conocer a un inmigrante y a hablar con él tengas el valor de decirle a la cara que básicamente no aporta nada a nuestra sociedad.
El proyecto de construcción europeo fue pensado por europeos para los pueblos de europa y no para dar cabida a media áfrica y oriente medio.
Me he criado en un pueblo muy pequeño y hace más de 20 años era posible dar un paseo por pleno monte sin miedo a padecer los arañazos de matorrales; a día de hoy, es imposible salirse de los caminos forestales sin miedo a acabar cubierto de fauna indeseable como garrapatas y encontrarse cara a cara con jabalíes o corzos.
La cubierta vegetal mundial aumenta a pesar de la deforestación tropical
https://elpais.com/elpais/2015/03/30/ciencia/1427705415_808898.html (https://elpais.com/elpais/2015/03/30/ciencia/1427705415_808898.html)
La extensión de sabanas y matorrales, la reforestación en China y la caída de la Unión Soviética compensan la pérdida de las selvas tropicales.
[…] un estudio publicado en Nature Climate Change y realizado por investigadores de Australia muestra ahora que la deforestación de los bosques tropicales está siendo compensada con la reforestación en otras partes del planeta en la última década. Con datos de varios satélites de 20 años, los científicos han comprobado que grandes zonas de Rusia, China, el norte de Australia, el sur de África y hasta el este de Brasil están recuperando el verde […]
Estudio publicado en Nature Climate Change sobre "Recent reversal in loss of global terrestrial biomass"
https://www.nature.com/articles/nclimate2581 (https://www.nature.com/articles/nclimate2581)
El proyecto de construcción europeo fue pensado por europeos para los pueblos de europa y no para dar cabida a media áfrica y oriente medio.
¿Deseo o realidad?
Las "cabezas pensantes" del proyecto europeo sienten un enorme desdén por el concepto de identidad etno-racial. A día de hoy, no hay "Europa de las naciones" (concepto "trasnochado" que fue defendido por Sarkozy y desde entonces solamente por pequeños estados miembros del Este) sino "EEUU de Europa" - lo cual conlleva relegar las naciones a folklore y crear una identidad única europea al estilo EEUU ( [url]https://en.wikipedia.org/wiki/Melting_pot[/url] ([url]https://en.wikipedia.org/wiki/Melting_pot[/url]) ).
La introducción de ingentes cantidades de extranjeros, y la expansión a un mayor número de países, están en perfecta línea con este plan - si no lo refuerzan directamente.
Es la ideología post-moderna dominante en esta generación de licenciados en ciencias sociales, políticas, humanidades. En contraste radical con los Kohl de antaño, o la vieja guardia del Reino Unido, o las culturas del Este de Europa que no están del todo en este carro.
Debe de ser que me estoy haciendo viejo pero el Tratado de Roma de 1957 del que deriva todo lo demás empieza así:
[...]
Si esto ahora no les sirve o no les interesa, a mi tampoco.
Lo que digo y me reitero es que es terrorista tratar de paliar la falta de natalidad de la población europea incorporando población que básicamente no aporta nada más que número, que no ve cumplidas sus expectativas y que degrada el modo de vida europeo.No creo que si alguna vez llegas a conocer a un inmigrante y a hablar con él tengas el valor de decirle a la cara que básicamente no aporta nada a nuestra sociedad.
Por lo demás por muchos hijos que tengamos dudo mucho que ninguno de ellos se quiera enrolar en un pesquero o deslomarse en trabajos físicos. Es más fácil ejercer la noble ciudadanía europea siendo casero o subarrendador de degradantes extranjeros pobres. Por tanto nadie desde las altas esferas sustituye baja natalidad por inmigrantes. Lo que hay es que el pastel a repartir entre los rentistas es cada vez menor y los padres se dan cuenta que va tocar a menos por cada hermano por lo que toman precauciones anticonceptivas en consecuencia. No sea que demasiados hijos sedientos de renta acaben por comerse al padre antes de tiempo... Y los otros, si vienen y se quedan es porque aquí sobra comida, el día que falte se irán a "degradar" a otra parte.
(Vender CDs en la calle es degradar el modo de vida europeo, pero vender esclavos africanos durante siglos y hoy sostener a sus tiranos... ¿qué es?
(https://i.imgur.com/LzzKDLG.png)
Europe’s Vanishing Calm
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Europeans claim to be building a new democratic culture but the governing elites of the European Union consider voters little more than members of reckless mobs.
AVIGNON, France — The Rhone River Valley in southern France is a storybook marriage of high technology, traditional vineyards, and ancestral villages. High-speed trains and well-designed toll roads crisscross majestic cathedrals, castles, and chateaus.
Traveling in a Europe at peace these days evokes both historical and literary allusions. As with the infrastructure and engineering of the late Roman Empire right before its erosion, the Continent rests at its pinnacle of technological achievement.
There is a Roman Empire-like sameness throughout Europe in fashion, popular culture, and government protocol — a welcome change from the deadly fault lines of 1914 and 1939.
Yet, as in the waning days of Rome, there is a growing uncertainly beneath the European calm.
The present generation has inherited the physical architecture and art of a once-great West — cathedrals, theaters, and museums. But it seems to lack the confidence that it could ever create the conditions to match, much less exceed, such achievement.
The sense of depression in Europe reminds one of novelist J. R. R. Tolkien’s description of the mythical land of Gondor in his epic fantasy The Lord of the Rings. Gondor’s huge walls, vaunted traditions, and rich history were testaments that it once served as bulwark of a humane Middle-earth.
But by the novel’s time, the people of Gondor had become militarily and spiritually enfeebled by self-doubt, decades of poor governance, depopulation, and indifference, paradoxically brought on by wealth and affluence.
Europeans are similarly confused about both their past and present. They claim to be building a new democratic culture. But the governing elites of the European Union prefer fiats to plebiscites. They are terrified of popular protest movements. And they consider voters little more than members of reckless mobs that cannot be properly taught what is good for them.
Free speech is increasingly problematic. It is more dangerous for a European citizen to publicly object to illegal immigration than for a foreigner to enter Europe illegally.
Elites preach the idea of open borders. But people on the street concede that they have no way of assimilating millions of immigrants from the Middle East into European culture. Most come illegally, en masse, and without the education or skills to integrate successfully.
Oddly, less wealthy Central and Eastern Europeans are more astutely skeptical of mass immigration than wealthier but less rational Western Europeans.
Europeans claim to believe in democratic redistribution, but apparently not on an international level. They are torn apart over a poorer Mediterranean Europe wishing to share in the lifestyles of their northern cousins without necessarily emulating the latter’s discipline and work ethic.
Germany wishes to be the good leader that can live down its past by virtue-signaling its tolerance. Yet Berlin does so in an overbearing, almost traditional Prussian fashion. It rams down the throat of its neighbors its politically correct policies on Middle Eastern immigration, mandatory green energy, virtual disarmament, mercantilist trade, and financial bailouts. Rarely has such a socialist nation been so hyper-capitalist and chauvinist in piling up trade surpluses.
The world quietly assumes that the rich and huge European Union cannot and will not do much about unscrupulous Chinese trade practices, radical Islamic terrorism, or Iranian and North Korean nuclear proliferation.
Such problems are left to the more uncouth Americans. That unspoken dependency might explain why many Europeans quietly concede that the hated Donald Trump’s deterrent foreign policy and his economic growth protocols could prove in the long term a better deal for Europe than were the beloved Barack Obama’s lead-from-behind and redistributionist agendas.
The European Union’s sole reason to be is to avoid a repeat of the disastrous 20th century, in which many millions of Europeans were slaughtered in world wars, death camps, and the great Communist terror in Russia.
Yet paradoxically, the European reaction to the gory past often results in an extreme Western sybaritic lifestyle that in itself leads to decline.
European religion has been recalibrated into a secular and agnostic political correctness. Child-raising, if done, is often a matter of having one child in one’s late thirties. Buying a home and getting a job depend more on government ministries than on individual daring and initiative.
Yet the more credible European lesson from the last century’s catastrophes is that too few 20th-century European democracies stayed militarily vigilant. In the 1930s, too few of them felt confident enough in Western democratic values to confront existential dangers, such as Hitler and Stalin, in their infancy.
Atheistic nihilism and a soulless modernism — not religious piety and a reverence for custom and tradition — fueled German and Italian fascism and Russian Communism.
Contrary to politically correct dogma, Christianity, military deterrence, democracy, and veneration of a unique past did not destroy Europe.
Instead, the culprit of European decline was the very absence of such ancient values — both then and now.
([url]https://i.imgur.com/LzzKDLG.png[/url])
Bueno, ya sabemos a dónde va Europa. A la extinción. En 50 años no sé cuantos Europeos de pura cepa de esos que han mamado el folkclore y los bailes típicos quedarán, de esos que formaban los pueblos de Europa en el 57.
Así que el futuro de Europa será con inmigración o no será.
No nos enteramos de mirarnos tanto el ombligo. China produce más ingenieros y más titulados en ciencias que USA y que la UE. Flipamos con lo que hacen en Standford pero de lo que hacen en universidades de China que no sabemos ni que existen no nos enteramos.
Y aquí, mientras tanto, preocupándonos de que hay demasiados chicos morenos, que nos molestan a la vista, vendiendo zapatillas en la playa.
Barcos llenos de inmigrantes semianalfabetos, la gran mayoría hombres de más de 20 años, no van a fundar los nuevos Stanford en Europa... y menos con el paro morrocotudo que hay en el sur de Europa, es absurdo.(También a EEUU llegaron millones de analfabetos (como los chinos del ferrocarril) y hoy sus hijos y nietos están integrados y estudian en Stanford)
Túnez ya cuenta con la primera alcaldesa electa de una capital árabe
Suad Abderrahim, una ejecutiva de 53 años, era la candidata del partido islamista moderado Ennahda
Barcos llenos de inmigrantes semianalfabetos, la gran mayoría hombres de más de 20 años, no van a fundar los nuevos Stanford en Europa... y menos con el paro morrocotudo que hay en el sur de Europa, es absurdo.(También a EEUU llegaron millones de analfabetos (como los chinos del ferrocarril) y hoy sus hijos y nietos están integrados y estudian en Stanford)
Cada vez veo más clara la argumentación de muchos de los que creen que la inmigración ilegal es un problema gravísimo:
Lo que se critica del mundo islámico (ser una sociedad no secularizada sino guiada por convicciones religiosas) es lo que se reivindica que debería volver a ser Europa (abandonar el "nihilismo" y volver a nuestras raíces éticas cristianas).
Es más, lo que principalmente suelen señalar estos como problemático de la cultura musulmana es la situación de la mujer allí. Pero estos mismo suelen ser los primeros en negar con vehemencia que la mujer esté discriminada en forma alguna en Europa.
Es un curioso caso de envidia paradójica o algo así. Queremos que los cristianos tengan más hijos, que vivan en familias con valores tradicionales, que escuchen a la Iglesia cuyo Papa debe ser un hombre... Y todo ello para evitar que los de la orilla sur se extiendan haciendo eso mismo.
PS: https://elpais.com/internacional/2018/07/03/actualidad/1530642398_782052.htmlCitarTúnez ya cuenta con la primera alcaldesa electa de una capital árabe
Suad Abderrahim, una ejecutiva de 53 años, era la candidata del partido islamista moderado Ennahda
Barcos llenos de inmigrantes semianalfabetos, la gran mayoría hombres de más de 20 años, no van a fundar los nuevos Stanford en Europa... y menos con el paro morrocotudo que hay en el sur de Europa, es absurdo.(También a EEUU llegaron millones de analfabetos (como los chinos del ferrocarril) y hoy sus hijos y nietos están integrados y estudian en Stanford)
Cada vez veo más clara la argumentación de muchos de los que creen que la inmigración ilegal es un problema gravísimo:
Lo que se critica del mundo islámico (ser una sociedad no secularizada sino guiada por convicciones religiosas) es lo que se reivindica que debería volver a ser Europa (abandonar el "nihilismo" y volver a nuestras raíces éticas cristianas).
Es más, lo que principalmente suelen señalar estos como problemático de la cultura musulmana es la situación de la mujer allí. Pero estos mismo suelen ser los primeros en negar con vehemencia que la mujer esté discriminada en forma alguna en Europa.
Es un curioso caso de envidia paradójica o algo así. Queremos que los cristianos tengan más hijos, que vivan en familias con valores tradicionales, que escuchen a la Iglesia cuyo Papa debe ser un hombre... Y todo ello para evitar que los de la orilla sur se extiendan haciendo eso mismo.
PS: https://elpais.com/internacional/2018/07/03/actualidad/1530642398_782052.htmlCitarTúnez ya cuenta con la primera alcaldesa electa de una capital árabe
Suad Abderrahim, una ejecutiva de 53 años, era la candidata del partido islamista moderado Ennahda
Yo personalmente soy ateo, pero no viene al caso. El primer problema de ese relativismo es que ellos no lo sufren, y que el anti-tradicionalismo se ha convertido en una especie de auto-odio del que cada cual busca la forma de excluirse, bien imaginándose que su regioncita es distinta, o que uno es ilustrao, y esas cosas - olvidándose de que España y Europa se hicieron con *diversidad* de personalidades y pensamiento, y eso incluye y requiere tradiciones para vertebrarlo. Y por eso entre otras cosas está la cosa como está. Ahora queremos que todos los países sean una especie de amalgama estilo EEUU, y eso en una generación no se consigue sin desastre de por medio.
Si hiciera falta mano de obra poco cualificada, como hizo falta en EEUU en sus dos grandes etapas de desarrollismo, pues lo entendería. Yo creo que eso ya no hará falta nunca más en ningún sitio, pero eso es otro tema.
Los partidos españoles deberán superar un umbral de votos para tener eurodiputados
La Eurocámara ha aprobado una reforma que obliga a tener más de un 2% de sufragios
https://politica.elpais.com/politica/2018/07/04/actualidad/1530719963_916650.html (https://politica.elpais.com/politica/2018/07/04/actualidad/1530719963_916650.html)
[...]
No son los únicos que podrían perder sus eurodiputados. La decisión de cuál será el umbral mínimo está en manos del Gobierno español, que tiene margen para elevar esa cifra hasta el 5%, lo que en las pasadas elecciones habría dejado sin escaño incluso a Esquerra Republicana de Catalunya, que cuenta con dos representantes, y habría estado cerca de excluir a la entente del PDeCAT (entonces bajo las siglas CDC) con el PNV y otras fuerzas nacionalistas.
[...]
Alemania ha sido una firme defensora de introducir este suelo electoral y de hacerlo además en la parte más elevada del rango, en el 5%. El objetivo de Berlín es tratar de dejar fuera a formaciones euroescépticas como Alternativa por Alemania (AFD), si bien el partido xenófobo obtuvo en las últimas elecciones casi un 13% de sufragios.
La ruée vers l'Europe (Stephen Smith)
Une note de lecture sur l'ouvrage d'un journaliste spécialiste de l'Afrique à propos des perspectives migratoires
https://www.amazon.fr/ru%C3%A9e-vers-... (https://www.amazon.fr/ru%C3%A9e-vers-...)
HAMBURG, Germany — For many years, those of us who are critical admirers of the European Union have warned that it was on a bad path.
Europe’s immigration and refugee policies could be astonishingly generous, but its integration and assimilation efforts were generally desultory or reactive. European leaders have long talked a good game about the importance of “sustainable development,” but what they mainly sustained were decades of low growth and high unemployment. Grandiose declarations of Europe’s independence on the world stage corresponded with growing strategic vulnerability to Russia and the Middle East and deepening military dependence on Washington. The European Commission, conceived as an agent of economic liberalization, became a byword for regulatory overreach and technocratic micromanagement.
And there was persistent disdain for democracy. In 2005 voters in France and the Netherlands decisively rejected a proposed Constitution for Europe. Undeterred, European leaders repackaged the Constitution in the form of the Lisbon Treaty. In 2008, Irish voters rejected the treaty. Still undeterred, European leaders finagled a revote. The Irish agreed the following year.
All of this stirred popular resentments to which mandarins in Brussels and the political class in Berlin, Paris, London and other capitals were either blind or dismissive. Someday, a historian may take a close look at their complacency. With a nod to a previous era of blindness, the book could be titled “The Sleepwalkers.”
Then came the debt crunch. And the refugee crisis. And the terrorist massacre at the Bataclan theater. And Brexit.
Now Europe’s crisis has finally reached Germany, even as the objective state of affairs remains remarkably placid. Growth is sluggish, but unemployment is at a record low. Refugees are no longer arriving in droves, and the ones who are here are finding jobs. In May, Interior Minister Horst Seehofer — the same Seehofer who lately threatened to bring down the government — presented the latest crime statistics. Among the highlights: “Steepest decline in crime in 25 years”; “20 percent fewer burglaries in Germany”; “dramatic decrease in youth-related violence.”
But Germany has been infected with the temper of the times. The proximate cause is a bitter dispute over asylum laws between Seehofer, who leads Bavaria’s conservative Christian Social Union, and Chancellor Angela Merkel of the Christian Democratic Union, which is the C.S.U.’s more centrist sister party outside Bavaria.
That dispute was at least temporarily resolved this week when Merkel agreed to establish “transit centers” along Germany’s borders for so-called secondary migrants, who have already received asylum elsewhere in the E.U. but are seeking to enter Germany. That will most likely require setting up border controls and checkpoints, meaning an end to the borderless Continent that is the most visible expression of European unity.
The deeper cause of the crisis, however, is that the C.S.U., which has dominated Bavarian politics for decades, is threatened by the growing popularity of Alternative for Germany, or AfD, the bigoted nativist party that is now the country’s third largest. That’s in part because the C.D.U. has dragged its Bavarian sister too far to the left, creating an opportunity for the AfD among traditional conservative voters.
But mostly it’s because Merkel created the conditions that gave the enemies of the European ideal their opening. She refused to cap the number of asylum seekers Germany would take and then pleaded with other European countries to take them. That almost certainly gave Brexiteers the political imagery they needed to carry the vote a year later. The AfD was a minor Euroskeptic party before the refugee crisis gave it a rallying cry. The xenophobes of Austria’s Freedom Party, Italy’s Northern League and Sweden’s Democrats have all profited politically from Merkel’s decision.
Generosity is a virtue, but unlimited generosity is a fast route to bankruptcy. Humanitarianism is commendable, but not when you’re demanding that others share the burdens and expense. A very liberal immigration policy is wise, but helter-skelter migration isn’t. Knowing how to set broad but clear limits is one of the essentials of conservative governance. Merkel’s failure is that she ceased to be conservative.
Admirers still speak of Merkel as if she is Europe’s last lion, the only leader with the vision and capacity to save the E.U. There is much that is admirable about the chancellor, but as things now stand she is likelier to be remembered as the E.U.’s unwitting destroyer. The longer she’s in office, the more the forces of reaction will gain strength. And isn’t 13 years in office more than enough?
There is still time for the E.U. to be saved. Europe needs a real security policy, backed by credible military power and less dependence on Russian energy. It needs to regulate migration strictly outside its borders so that it can remain open within them. It needs robust economic growth and much lower rates of unemployment, not paeans to the virtues of sustainability and work-life balance. And it needs institutions in Brussels that aren’t mere regulatory busybodies trying to punish member states for being economically competitive.
What’s the alternative? A passage from Norman Davies’s magisterial history of Europe suggests the darker possibilities:
“Inter-war politics were dominated by the recurrent spectacle of democracies falling prey to dictatorship.” He continued: “It cannot be attributed to any simple cause, save the inability of Western Powers to defend the regimes which they had inspired. The dictators came in all shapes and sizes — communists, fascists, radicals and reactionaries, left-wing authoritarians (like Pilsudski), right-wing militarists (like Franco), monarchs, anti-monarchists, even a cleric like Father Tiso in Slovakia. The only thing they shared was the conviction that Western democracy was not for them.”
The stakes are too high for a muddler like Merkel to stick around.
There is still time for the E.U. to be saved. Europe needs a real security policy, backed by credible military power and less dependence on Russian energy.
CitarThere is still time for the E.U. to be saved. Europe needs a real security policy, backed by credible military power and less dependence on Russian energy.
Ahí se les ve el plumero a los del NYT
Los anglos ven la pista despejada sin Merkel. Seguirán poniéndole (y poniéndonos) zancadillas, y tendrán que hacerlo con más intensidad porque si no les va a pillar su propia crisis económico-financiera.
How to exit the eurozone
Italy is right to consider leaving the EU’s common currency area.
By JOSEPH STIGLITZ Jun/26/18, 1:02 PM CET Updated 7/2/18, 7:23 AM CET
A parallel currency for Italy is possible
Rome can regain control of its monetary policy without breaking the rules of the eurozone.
By BIAGIO BOSSONE, MARCO CATTANEO, MASSIMO COSTA AND STEFANO SYLOS LABINI 7/5/18, 10:10 AM CET Updated Jul/5/18, 4:18 PM CET
cuanto antes muera la unión europea mejor que mejor
dejemosla que traspase dignamente por favor
“No percibo un cambio en el Gobierno de Cataluña”
"La inmigración puede provocar una crisis más importante que la del euro", asegura el ministro de Asuntos Exteriores en una entrevista en EL PAÍS
https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html (https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html)
Puede ser que la inmigración ocasione una crisis mayor que la del euro a corto plazo, pero la del euro no ha hecho más que empezar y la patada p'alante no dará para mucho.
España ha sido relegada al papel de «observador» -es decir, mera secundaria- en el proyecto del futuro avión de combate europeo, que lideran Francia y Alemania y que es conocido por las iniciales FCAS («Futuro Sistema Aéreo de Combate»).
Tras dos cartas enviadas en dos distintas ocasiones por la anterior ministra de Defensa, María Dolores de Cospedal, a sus homólogas francesa y alemana, Florénce Parly y Ursula von der Leyen, la respuesta franco-alemana (tras varias evasivas) fue solo la de ofrecer un papel de mero «observador» a España. Es decir, que ni el Ejército del Aire ni la Dirección General de Armamento y Material del Ministerio de Defensa podrán participar en la fase inicial de diseño y requerimientos.
El pasado 19 de junio Francia y Alemania firmaron una carta de intención para el desarrollo definitivo de un futuro avión de combate. Anteriormente, la empresa francesa Dassault Aviation (fabricante de los Mirage y Rafale) y Airbus Defence & Space (en la que España tiene una participación del 4,18% a través de la SEPI) concluyeron un acuerdo industrial para aclarar sus respectivos roles en este programa, que será de origen francés.
Sustituir a los Eurofighter
En concreto, el fabricante francés será el encargado de dirigir el trabajo en el nuevo caza, que será el corazón de un «sistema de sistemas» que involucrará a diferentes tipos de aeronaves, satélites y otras plataformas como aviones no tripulados.
Está previsto que este nuevo avión o sistema de caza del futuro europeo reemplace en 2040-2050 los aviones de combate Rafale franceses y Eurofighter Typhoon alemanes. ¿Y los 70 Eurofighter españoles del Ejército del Aire?
A esta cuestión, en un encuentro con periodistas y tras una pregunta de ABC, Dirk Hoke, CEO de Airbus Defence & Space, aseguró que el proyecto del FCAS está «aún en una fase inicial» y que «otras naciones como España o Reino Unido podrían unirse en una fase posterior». Es decir, para la compra del avión, sin más. Aunque pudiera venir acompañado de cierta carga industrial.
Según una fuente del Ministerio de Defensa alemán, citada por Reuters, se ha propuesto a España el estado de «observador» sin darle la oportunidad de cambiar los «parámetros iniciales» de este programa para «garantizar un trabajo acelerado en este programa». «España y otros países probablemente podrían participar en etapas posteriores del programa», coincidió.
En la industria aeronáutica militar europea se tiene la sensación de que no se quiere repetir la experiencia del Eurofighter en la que cuatro países participaron (Alemania, Reino Unido, España e Italia) y cada uno tenía incluso su propia línea de ensamblaje.
Hoke, en el citado encuentro con la prensa que se mantuvo en Londres, y al que acudió invitado ABC, reconoció que «no se quieren repetir errores del pasado» como los acontecidos también en la producción del avión de transporte A400M, con diversas naciones como clientes lanzadores
Fuentes militares españolas consultadas por ABC aseguran que ese status de «observador» relega a España en el proyecto, «ya que no podrá participar en la fase de diseño, el requerimiento de capacidades y demás acciones en su fase inicial».
«Si hay alguien que en estos momentos se frota las manos es Lockheed Martin, que podría ver una oportunidad para relanzar sus opciones de venta del F-35 para el Ejército del Aire y la Armada Española», explica otra fuente militar. Con ese proyecto estadounidense, España podría sustituir los Eurofighter y los Harrier de la Armada, de despegue y aterrizaje vertical
Precisamente, el F-35 de la multinacional estadounidense será una de las estrellas invitadas esta semana en Farnborough, la feria internacional aeronáutica bienal de Londres. El anterior secretario de Estado de Defensa, Agustín Conde, llegó incluso a manejar uno de sus simuladores en una feria similar en Berlín.
¿Y Reino Unido?
En un momento en que la industria militar parece despertar tras años de recortes en Europa (Trump y el Brexit han supuesto un acicate), la carrera por el caza europeo del futuro tendrá otros competidores.
Por ejemplo, Londres ha iniciado ya contactos con Estocolmo para colaborar en un futuro caza común. Implicaría la unión en el proyecto de otras dos empresas punteras en la construcción aeronáutica militar BAE Sysyems (participa en Eurofighter) y Saab (caza Gripen) para su proyecto particular al margen del franco-alemán.
Como se observa, el futuro tecnológico e industrial de Europa también se mide en la aviación de combate del futuro: ¿eje franco-alemán, producto británico con otros aliados o importación estadounidense?.
¿Qué cazas debe renovar defensa?
85 F-18 Hornet del Aire: 20 en 2023 y 65 en 2030
La flota de 85 aviones de combate F-18 Hornet, en servicio en el Ejército del Aire desde 1986. Sobre todo, urge la adquisición de un nuevo modelo para sustituir a una veintena de la base de Gando, Gran Canaria. Fueron adquiridos de segunda mano a la US Navy en 1999. Las opciones para esta veintena son la versión Tranche 3 del Eurofigther (Airbus), otro F-18 Super Hornet (Boeing) o el F-35 (Lockheed Martin). Para el resto, aún se debería decidir. Su vida útil se extendería 12 años más.
12 Harrier AV-8B de la Armada Española: en 2030
Son 12 cazas Harrier AV-8B de aterrizaje y despegue vertical en servicio desde los años 90. Según fuentes de la Armada, su vida útil podría extenderse hasta 2030. Son utilizados desde el buque Juan Carlos I. Ahora solo hay en el mercado un sustituto posible: el F-35 (Lockheed Martin). Sólo una opción navalizada del nuevo proyecto europeo podría competir.
70 Eurofighter del Aire: previstos hasta 2040-2050
Son los aviones de combate más modernos de las Fuerzas Armadas. En servicio en España desde 2003. Fabricados por Airbus DS y BAE Systems. Deberían ser sustituidos por el Futuro Sistema Aéreo de Combate (FCAS) u otra alternativa estadounidense
https://www.abc.es/espana/abci-francia-y-alemania-relegan-espana-futuro-caza-europeo-201807160245_noticia.html (https://www.abc.es/espana/abci-francia-y-alemania-relegan-espana-futuro-caza-europeo-201807160245_noticia.html)CitarEspaña ha sido relegada al papel de «observador» -es decir, mera secundaria- en el proyecto del futuro avión de combate europeo, que lideran Francia y Alemania y que es conocido por las iniciales FCAS («Futuro Sistema Aéreo de Combate»).CitarTras dos cartas enviadas en dos distintas ocasiones por la anterior ministra de Defensa, María Dolores de Cospedal, a sus homólogas francesa y alemana, Florénce Parly y Ursula von der Leyen, la respuesta franco-alemana (tras varias evasivas) fue solo la de ofrecer un papel de mero «observador» a España. Es decir, que ni el Ejército del Aire ni la Dirección General de Armamento y Material del Ministerio de Defensa podrán participar en la fase inicial de diseño y requerimientos.
El pasado 19 de junio Francia y Alemania firmaron una carta de intención para el desarrollo definitivo de un futuro avión de combate. Anteriormente, la empresa francesa Dassault Aviation (fabricante de los Mirage y Rafale) y Airbus Defence & Space (en la que España tiene una participación del 4,18% a través de la SEPI) concluyeron un acuerdo industrial para aclarar sus respectivos roles en este programa, que será de origen francés.CitarSustituir a los Eurofighter
En concreto, el fabricante francés será el encargado de dirigir el trabajo en el nuevo caza, que será el corazón de un «sistema de sistemas» que involucrará a diferentes tipos de aeronaves, satélites y otras plataformas como aviones no tripulados.
Está previsto que este nuevo avión o sistema de caza del futuro europeo reemplace en 2040-2050 los aviones de combate Rafale franceses y Eurofighter Typhoon alemanes. ¿Y los 70 Eurofighter españoles del Ejército del Aire?
A esta cuestión, en un encuentro con periodistas y tras una pregunta de ABC, Dirk Hoke, CEO de Airbus Defence & Space, aseguró que el proyecto del FCAS está «aún en una fase inicial» y que «otras naciones como España o Reino Unido podrían unirse en una fase posterior». Es decir, para la compra del avión, sin más. Aunque pudiera venir acompañado de cierta carga industrial.
Según una fuente del Ministerio de Defensa alemán, citada por Reuters, se ha propuesto a España el estado de «observador» sin darle la oportunidad de cambiar los «parámetros iniciales» de este programa para «garantizar un trabajo acelerado en este programa». «España y otros países probablemente podrían participar en etapas posteriores del programa», coincidió.CitarEn la industria aeronáutica militar europea se tiene la sensación de que no se quiere repetir la experiencia del Eurofighter en la que cuatro países participaron (Alemania, Reino Unido, España e Italia) y cada uno tenía incluso su propia línea de ensamblaje.
Hoke, en el citado encuentro con la prensa que se mantuvo en Londres, y al que acudió invitado ABC, reconoció que «no se quieren repetir errores del pasado» como los acontecidos también en la producción del avión de transporte A400M, con diversas naciones como clientes lanzadoresCitarFuentes militares españolas consultadas por ABC aseguran que ese status de «observador» relega a España en el proyecto, «ya que no podrá participar en la fase de diseño, el requerimiento de capacidades y demás acciones en su fase inicial».
«Si hay alguien que en estos momentos se frota las manos es Lockheed Martin, que podría ver una oportunidad para relanzar sus opciones de venta del F-35 para el Ejército del Aire y la Armada Española», explica otra fuente militar. Con ese proyecto estadounidense, España podría sustituir los Eurofighter y los Harrier de la Armada, de despegue y aterrizaje verticalCitarPrecisamente, el F-35 de la multinacional estadounidense será una de las estrellas invitadas esta semana en Farnborough, la feria internacional aeronáutica bienal de Londres. El anterior secretario de Estado de Defensa, Agustín Conde, llegó incluso a manejar uno de sus simuladores en una feria similar en Berlín.
¿Y Reino Unido?
En un momento en que la industria militar parece despertar tras años de recortes en Europa (Trump y el Brexit han supuesto un acicate), la carrera por el caza europeo del futuro tendrá otros competidores.CitarPor ejemplo, Londres ha iniciado ya contactos con Estocolmo para colaborar en un futuro caza común. Implicaría la unión en el proyecto de otras dos empresas punteras en la construcción aeronáutica militar BAE Sysyems (participa en Eurofighter) y Saab (caza Gripen) para su proyecto particular al margen del franco-alemán.
Como se observa, el futuro tecnológico e industrial de Europa también se mide en la aviación de combate del futuro: ¿eje franco-alemán, producto británico con otros aliados o importación estadounidense?.Citar¿Qué cazas debe renovar defensa?
85 F-18 Hornet del Aire: 20 en 2023 y 65 en 2030
La flota de 85 aviones de combate F-18 Hornet, en servicio en el Ejército del Aire desde 1986. Sobre todo, urge la adquisición de un nuevo modelo para sustituir a una veintena de la base de Gando, Gran Canaria. Fueron adquiridos de segunda mano a la US Navy en 1999. Las opciones para esta veintena son la versión Tranche 3 del Eurofigther (Airbus), otro F-18 Super Hornet (Boeing) o el F-35 (Lockheed Martin). Para el resto, aún se debería decidir. Su vida útil se extendería 12 años más.
12 Harrier AV-8B de la Armada Española: en 2030
Son 12 cazas Harrier AV-8B de aterrizaje y despegue vertical en servicio desde los años 90. Según fuentes de la Armada, su vida útil podría extenderse hasta 2030. Son utilizados desde el buque Juan Carlos I. Ahora solo hay en el mercado un sustituto posible: el F-35 (Lockheed Martin). Sólo una opción navalizada del nuevo proyecto europeo podría competir.
70 Eurofighter del Aire: previstos hasta 2040-2050
Son los aviones de combate más modernos de las Fuerzas Armadas. En servicio en España desde 2003. Fabricados por Airbus DS y BAE Systems. Deberían ser sustituidos por el Futuro Sistema Aéreo de Combate (FCAS) u otra alternativa estadounidense
Borrell, sin pelos en la lengua:Citar“No percibo un cambio en el Gobierno de Cataluña”
"La inmigración puede provocar una crisis más importante que la del euro", asegura el ministro de Asuntos Exteriores en una entrevista en EL PAÍS
https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html (https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html)
Borrell, sin pelos en la lengua:Citar“No percibo un cambio en el Gobierno de Cataluña”
"La inmigración puede provocar una crisis más importante que la del euro", asegura el ministro de Asuntos Exteriores en una entrevista en EL PAÍS
[url]https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html[/url] ([url]https://politica.elpais.com/politica/2018/07/14/actualidad/1531592203_389244.html[/url])
A este señor, la vejez le esta bendiciendo con una lucidez descarnada que a los demás nos resulta muy de agradecer, entre tanto politiqueo (que no política). ¡Que siga hablando!
Josep Borrell: "Al Gobierno belga le suena a chiste la petición" de Puigdemont de personarse contra España
[url]http://www.elmundo.es/espana/2018/07/16/5b4c90de46163f75498b470f.html[/url] ([url]http://www.elmundo.es/espana/2018/07/16/5b4c90de46163f75498b470f.html[/url])
El euro y no el dólar debería ser la moneda utilizada para las transacciones petroleras iraníes, que se liquidaron mediante transferencias entre los bancos centrales europeos y el banco central iraní. También se tomarán seguros en los estados importadores europeos para las cargas, como se hace en Grecia, Francia e Italia.
¿a cuanto sale cada lince?, ¿cuantas RBU-postureo se estan cobrando a cuenta los gatos?
https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html (https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html)
en el "ir a menos" que no pone aun trabajos-produccion en occidente, no es baladi preguntarse cuanta escalera social alimenta una moda, sea greenwashing o norma de calidad, sea secta o thinktank, que todo esta subvencionado o en empresa parapublica que no puede quebrar
https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html (https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html)
a ver si va a pasar como en valencia con opera, f1 y vela, que se invitaban mutuamente para dar nivel
.... yo lo tengo claro.a lo publicado por concepto bancos añadale un cero, asi a ojo y a la espera de que en el proximo achuchon (2020, 2022??) se multiplique a su vez por dos, asi que cualquier desatino palidece frente a esas cifras, empezando por la corrupcion, los eventos o las autopistas a ninguna parte; es lo que tiene mantener la autoestima alta gratis, que luego no era gratis y hay que socializar el coste
.... yo lo tengo claro.a lo publicado por concepto bancos añadale un cero, asi a ojo y a la espera de que en el proximo achuchon (2020, 2022??) se multiplique a su vez por dos, asi que cualquier desatino palidece frente a esas cifras, empezando por la corrupcion, los eventos o las autopistas a ninguna parte; es lo que tiene mantener la autoestima alta gratis, que luego no era gratis y hay que socializar el coste
precisamente por ello, por el sostenimiento de autoestimas bienpagas y porque no es de recibo el "y tu mas", porque hay que hacer masa critica de descontentos y porque el que quiera dinero debe decir a quien se lo quita, conviene narrar lo que sucede
pero si hay que joder a las lagartijas del algarrobico, pues se las jode y au
El texto, que es la culminación de las discusiones abiertas en 2013, debe enviarse antes de fin de año al Parlamento Europeo para su entrada en vigor en 2019, si el Parlamento japonés también vota rápidamente. A diferencia del Acuerdo UE-Canadá (CETA), actualmente impugnado por Italia, no debe ser ratificado por cada uno de los parlamentos nacionales.
- Quesos y automóviles -
Llamado Jefta (acuerdo de libre comercio Japón-UE), este pacto, el más grande jamás negociado por la UE, cubre un área de libre comercio que cubre casi un tercio del producto interno bruto (PIB) mundial y más de 600 millones de habitantes.
En el lado europeo, el sector agroalimentario es un gran ganador en las discusiones. Al final, el 85% de los productos agroalimentarios de la UE podrán ingresar a Japón sin derechos de aduana, pero a veces al final de los períodos de transición. Otros, como la carne de vaca, verán que los impuestos impuestos se reducen gradualmente. Rice, un producto altamente simbólico para los japoneses, está excluido del acuerdo.
En su acuerdo de libre comercio con la Unión Europea, Tokio se compromete a reconocer más de 200 indicaciones geográficas como Roquefort / AFP / Archives
En su acuerdo de libre comercio con la Unión Europea, Tokio se compromete a reconocer más de 200 indicaciones geográficas como Roquefort / AFP / Archives
Tokio se compromete a reconocer más de 200 indicaciones geográficas como Roquefort, Tiroler Speck austriaco, Jamón belga de Ardenas o Polska Wódka (vodka polaco), que disfrutarán "del mismo nivel de protección que en Europa".
Las negociaciones fueron particularmente complejas en productos lácteos, un sector sensible para Tokio. El acuerdo eliminará tarifas muy altas para varios quesos, con un período de transición de hasta 15 años.
Los japoneses, por su parte, tienen libre acceso al mercado europeo para su industria automovilística, pero solo después de un período de transición de varios años.
Este acuerdo también incluirá un capítulo sobre desarrollo sostenible.
-
La protección de la inversión fue el principal escollo de las conversaciones y no está incluido en el acuerdo firmado el martes. La mayoría de los acuerdos comerciales en el mundo dejan la posibilidad a una compañía que se siente agraviada por la política de un estado después de haber invertido para atacarla por compensación. Estas disputas generalmente se deciden a través de un sistema de arbitraje del que los europeos ya no quieren saber nada.
Es la ausencia de este componente lo que evita que el acuerdo pase por los parlamentos nacionales, aclaran las fuentes europeas.
¿a cuanto sale cada lince?, ¿cuantas RBU-postureo se estan cobrando a cuenta los gatos?
https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html (https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html)
en el "ir a menos" que no pone aun trabajos-produccion en occidente, no es baladi preguntarse cuanta escalera social alimenta una moda, sea greenwashing o norma de calidad, sea secta o thinktank, que todo esta subvencionado o en empresa parapublica que no puede quebrar
https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html (https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html)
a ver si va a pasar como en valencia con opera, f1 y vela, que se invitaban mutuamente para dar nivel
¿a cuanto sale cada lince?, ¿cuantas RBU-postureo se estan cobrando a cuenta los gatos?
https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html (https://www.eldiario.es/andalucia/Hallado-ejemplar-iberico-artificial-Matalascanas_0_793721480.html)
en el "ir a menos" que no pone aun trabajos-produccion en occidente, no es baladi preguntarse cuanta escalera social alimenta una moda, sea greenwashing o norma de calidad, sea secta o thinktank, que todo esta subvencionado o en empresa parapublica que no puede quebrar
https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html (https://elpais.com/elpais/2018/07/06/planeta_futuro/1530877939_291516.html)
a ver si va a pasar como en valencia con opera, f1 y vela, que se invitaban mutuamente para dar nivel
mpt, almenos el dinero que va a los linces sirve para recuperar la especie. Esta dando resultados y la especie ya esta fuera del peligro critico de extinción.
https://elpais.com/politica/2017/08/04/actualidad/1501858925_047732.html (https://elpais.com/politica/2017/08/04/actualidad/1501858925_047732.html)
En cambio en los pisos por mas dinero que metemos nunca termina de "recuperarse" la especie "popularpisitolifa"
sin duda me s'entiende, hay que ir a menos y mejorar el reparto de daños, las RBU-postureo se han de abaratar y pasar a RBU-produccion
tendria guasa que nos toque comprar lo que los chinorris no compren a los usanos y lo que los usanos no compren a los chinorris
[url]http://www.elviejotopo.com/topoexpress/ha-empezado-a-romperse-el-orden-economico-neoliberal/[/url] ([url]http://www.elviejotopo.com/topoexpress/ha-empezado-a-romperse-el-orden-economico-neoliberal/[/url])
No specific carmakers were named in the briefing. Many could be implicated, however. The JRC said that on average, “declared WLTP emission values” from carmakers were 4.5 per cent higher than those found in independent WLTP tests. The emissions inflation reached as high as 13 per cent in some cases. By contrast, the declared value under the old standards is “systematically” about 4 per cent lower than the measured value.
([url]https://i.imgur.com/2hdnqT6l.png[/url])
Versión más grande en el hilo de infográficos: [url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=1246.msg159595#msg159595[/url] ([url]http://www.transicionestructural.net/index.php?topic=1246.msg159595#msg159595[/url])
French President Emmanuel Macron has presented his vision of a future rearranged EU and Europe, which would in 10 to 15 years consist of "three circles."
The key of these, "the heart of the reactor," would be a palpably strengthened eurozone with Germany and France as the backbone.
In the second circle would be EU members "in a strong single market, somewhere between the wider EU and the eurozone" who, if they wanted to, and made economical and political progress, could enter the euro zone with a special budget and a stronger political structure.
The widest circle would be "a union of values, democratic principles and economic freedoms" - somewhere between the EU and the Council of Europe, which would be much less integrated, and could include Russia and Turkey, "but such that these countries adopt and strictly respect European democratic values," Macron said in Lisbon during a meeting with President Antonio Costa and the country's political elite.
Russia and Turkey could have seats in this widest circle, although they do not have to be members, but instead enjoy "close association agreements", the French president explained.
Lisbon was the first stop in Macron's tour of EU states, organized with the goal of explaining and gaining support for his ideas about a reformed, economically, politically and defense-wise strengthened EU, in order to overcome the current crises and challenges, including the uncertainty and suspicions regarding continued Europe-US strategic alliance.
Macron did not explicitly touch on the possibility and prospects of new members joining the EU, but was in fact explaining his highly-noted program speech on the necessity of economic, defense and political reorganization of the Union from September last year.
The French president indirectly reiterated the view that before the EU is strengthened, repair its ranks and preempt the crises that affect or might affect it, it cannot receive new members from the Western Balkans.
In Lisbon, a period of 10 to 15 years has been mentioned for future EU reforms, which means that enlargement may have to wait as long. EU Commissioner Johannes Hahn previously remarked that 2025 as the year Serbia and Montenegro might join the EU was "too ambitious."
Turkey's Erdogan dismisses lira fears, says 'we have our God'[...]
“Don’t forget, if they have their dollars, we have our people, our God. We are working hard. Look at what we were 16 years ago and look at us now,” he said.[...]
Dos mecanismos para evitar una posible crisis de la UEM
La Unión Europea no ha parado de reinventarse desde la crisis económica, pero cada vez más son los que advierten de los primeros indicios de una nueva y mucho más intensa para la eurozona y el proyecto de la UE en su conjunto. El proyecto ADEMU reunió a los mejores economistas de la UE para ayudar a los legisladores a evitar nuevas catástrofes.
ADEMU (A Dynamic Economic and Monetary Union) abarca una amplia gama de temas, por ejemplo, lograr la estabilidad a largo plazo de la Unión Económica y Monetaria (UEM), construir defensas mejores contra los baches económicos y gestionar la interdependencia en la eurozona. En solo tres años, sus equipos de investigación documentaron las debilidades de la UEM y generaron soluciones innovadoras en un momento clave de la historia de la UE.
No se puede negar que estos tres años no han sido problemáticos. Se publicó el Informe de los cinco presidentes sobre el plan de la UEM, «Brexit», el corralito en Grecia y el final de su programa de asistencia financiera del Mecanismo Europeo de Estabilidad, así como el auge de los partidos euroescépticos en varios Estados miembros. Estas y otras contramedidas puestas en marcha por la UE ofrecieron un material científico de enorme valor.
«Las crisis del siglo XXI han dado toda una lección sobre cómo los factores monetarios, fiscales, financieros y sociales interactúan en sociedades avanzadas heterogéneas, y en el caso de la eurozona, en una unión monetaria. Ponen en entredicho las teorías actuales y ofrecen datos nuevos», explica Ramón Marimon, profesor de economía en el Instituto Universitario Europeo y coordinador de ADEMU.
Una parte importante del trabajo del equipo de ADEMU consistió en desentrañar estas interacciones, mientras que los trabajos anteriores se dedicaban bien a estudiar estos factores por separado o no tenían en cuenta la naturaleza interna heterogénea de los factores macroeconómicos. De este modo, el equipo obtuvo un conocimiento más amplio del modo en el que una crisis económica puede convertirse en una recesión socioeconómica y de las causas y efectos de las crisis de deuda soberana.
La función de todo ello es contribuir a la creación de políticas y organismos más resilientes. Se espera evitar nuevas crisis gracias a las dos propuestas principales del proyecto, la creación de un Fondo de Estabilidad Europeo (ESF) para la UEM y un Sistema de Seguro de Desempleo Europeo (EUIS) para la zona euro. «Ambas propuestas pueden implementarse en la situación vigente sin necesidad de lograr una mayor convergencia en la UE ni revisar los tratados europeos. Aumentarán el reparto del riesgo y se evitarán transferencias permanentes», explicó el profesor Marimon.
El EUIS supera a otros sistemas de desempleo existentes y dota de una mayor cohesión al mercado laboral europeo. Por otro lado, el ESF reconcilia dos puntos de vista opuestos: el que aboga por un mayor reparto de los riesgos en la UE y otro que contempla este reparto como contraproducente a la luz de las políticas fiscales y la supervisión bancaria inadecuadas que generan estos riesgos. Este contrato a largo plazo respaldará la puesta en práctica de políticas fiscales anticíclicas, ayudará a enfrentarse a crisis graves, abordará la deuda adquirida y creará activos seguros para la eurozona. Estas cuestiones son, según el profesor Marimon, los cuatro problemas principales a los que se enfrenta la UEM.
«Nuestro trabajo nos permitió identificar la raíz de la secuencia expansión-crisis-recesión», confiesa el profesor Marimon. «El primero surge cuando el crecimiento expansivo tiene una base débil o conduce a desequilibrios importantes. El segundo se aprecia cuanto no se cuenta con políticas fiscales anticíclicas adecuadas. El tercero, la función de las expectativas, puede generar múltiples recesiones y equilibrios socioeconómicos que podrían evitarse si se contase con políticas adecuadas».
Básicamente, ADEMU señala varios de los callejones sin salida que obstaculizan el desarrollo de una UEM y pone de manifiesto el modo de superarlos con políticas y diseños institucionales adecuados. Ofrece una vía para la zona euro que debería inspirar a los responsables políticos de la UE durante años.
(https://i.imgur.com/RYW9ZnI.jpg)
(https://i.imgur.com/RYW9ZnI.jpg)
Que España sea el país más corrupto de la unión Europea es música celestial para el régimen pisitofilo. Eso quiere decir que el pacto social corrupción a cambio de pisos caros va viento en popa y a pleno rendimiento.
Respondents across the European Union were asked if they are “personally affected by corruption in daily life”,
(https://i.imgur.com/RYW9ZnI.jpg)
Que España sea el país más corrupto de la unión Europea es música celestial para el régimen pisitofilo. Eso quiere decir que el pacto social corrupción a cambio de pisos caros va viento en popa y a pleno rendimiento.CitarRespondents across the European Union were asked if they are “personally affected by corruption in daily life”,
https://www.statista.com/chart/1853/corruption-is-widespread-across-europe/ (https://www.statista.com/chart/1853/corruption-is-widespread-across-europe/)
Percepcion ciudadana. Hay dos factores, la cantidad de corrupcion y que el ciudadano la perciba como tal. Ciudadanos conscientes y criticos harian subir el indice,ciudadanos ignorantes y autocomplacientes lo reducirian.
Pese a nuestro nivel de corrupción, es materialmente imposible que el volumen real de esta sea mayor que en Italia. Imposible.
A quarter of Europeans (26%), compared with 29% in 2011, agree they are
personally affected by corruption in their daily lives. People are most likely to say
they are personally affected by corruption in Spain and Greece (both 63%), Cyprus
and Romania (both 57%) and Croatia (55%); and least likely to do so in Denmark
(3%), France and Germany (both 6%), Luxembourg (7%) and in Finland and the
Netherlands (both 9%). In most Member States respondents are less likely than in
2011 to say they are affected by corruption, with large decreases in Bulgaria (-24
percentage points), Lithuania (-20) and Romania (-19). In Spain, the proportion
saying they are affected by corruption has increased dramatically (+20 points).
Respondents are most likely to perceive corruption to be present in their public
institutions in Greece, Italy, Spain, Croatia, the Czech Republic and Slovenia; and
least likely to do so in Denmark and Finland. They are most likely to perceive
corruption to be present within EU institutions in Sweden, Germany and Austria; and
least likely to do so in Finland, Hungary and Denmark.
Around three-quarters of Europeans (73%) agree that bribery and the use of
connections is often the easiest way of obtaining some public services in their
country. This belief is most widespread in Greece (93%), Cyprus (92%), Slovakia and
Croatia (both 89%), and Lithuania, the Czech Republic, Italy and Slovenia (all 88%);
and least so in Denmark and Finland (both 35%) and Sweden (40%).
As in 2011, around one in five Europeans (22%) thinks the financing of political
parties is sufficiently transparent and supervised. The countries most likely to hold
this belief are Denmark (41%), Finland (37%) and Sweden (36%); those least likely
to do so are Greece (8%), and Bulgaria, Spain and Cyprus (all 9%). Perceptions in
Ireland (+12 points) and Slovenia (+13) have improved the most since 2011
One in twenty Europeans who have visited public health practitioners and institutions
(5%) say that they had to give an additional payment, valuable gift or make a
hospital donation. The countries where respondents are most likely to say they had to
do so are again Romania (28%) and Lithuania (21%). Those where respondents are
least likely to do so are Finland (0%) and Denmark, Sweden, Spain, the UK, the
Netherlands and Luxembourg (all 1%).
Va quedando claro que está pasando en Europa con el asunto de la inmigración; unos europeos están más cerca de Salvini y otros del luxemburgués Jean Asselborn.
A mi me gustaría saber que es lo que le ha enfadado tanto al Sr. Asselborn de las palabras de Salvini. Empieza a evidenciarse que Europa la gobiernan no para los europeos si no para algunos europeos.
Asselborn debe usar gafas polarizadas que filtran muy bien cuando va por la calle y unos cascos que deben ser cojonudos porque oir, oye pero escuchar muy poco.
https://www.youtube.com/watch?v=IcilebhvGTM (https://www.youtube.com/watch?v=IcilebhvGTM)
Europa tiene unas fracturas muy importantes porque este es uno de los tantos otros asuntos donde hay verdadera fricción.
Salvini (S)
"Hace falta más colaboración interna. Déjenme poner un ejemplo sin espíritu polémico. Esta mañana han llegado casi 200 inmigrantes a Italia desde Túnez, tras transitar durante horas por aguas de Malta. Entre emails y llamadas de teléfono hemos contactado 10 veces con las autoridades maltesas. ¿Respuestas? Cero. Está bien oír hablar de solidaridad, pero viendo los hechos seguimos esperando"
"Agradezco a otros países, como Albania, su labor. Han sido más rápidos y eficaces en los últimos meses que otros países [de la UE]. Hago propuestas: todo acuerdo comercial con terceros países debe de tener cláusulas de repatriación de inmigrantes. Hacen falta puertos y países seguros para evitar que proliferen demandas de asilo sin motivos. Los datos italianos dicen que en las últimas semanas sólo tres de cada 10 peticiones se aceptan. Siete de cada 10 se rechazan. Éstas plantean recursos, la mayor parte infundados", ha asegurado. "Algunos predecesores hablaban de las convenciones internacionales. Bueno, pues éstas deben ser actualizadas. Nos toman el pelo decenas de miles de personas que presentan recursos infundados para ganar tiempo a cargo de los contribuyentes italianos y europeos y no me gusta que me tomen el pelo"
"¿Hace falta inmigración porque envejecemos? Mi perspectiva es muy diferente. Mis ciudadanos me pagan para ayudar a nuestros jóvenes a tener los hijos que antes tenían y no para arrebatar lo mejor de la juventud africana para reemplazar a los europeos que ya no tienen hijos. En Luxemburgo quizás tengan esas exigencias, en Italia tenemos la exigencia de ayudar a nuestros hijos a tener otros, no tener esclavos para reemplazar a los hijos que no tenemos"
Asselborn (A) "vamos, vamos, vamos"
(S) "¿en Luxemburgo tenéis la necesidad de esa inmigración?"
(A) "En Luxemburgo, querido señor, tuvimos decenas de miles de italianos que vinieron a trabajar, como inmigrantes, porque en Italia no teníais dinero para vuestros hijos"
(A) "alors merde" [a la mierda]
En estas condiciones a nadie debe extrañar que el Latín –lengua Común en la primera mitad del Siglo XX para los Doctorados europeos– haya desaparecido del sistema educativoNo:
Alt-left: Anguita-Monereo-Verstrynge
Target: el mismo de la derecha o ultraderecha populista; "amplias capas de la población que "están demandando seguridad, orden y protección""
Pilares ideológicos: "república, federalismo, derechos sociales y, sobre todo, soberanismo" (soberanismo que dulcifican como "otra Europa")
Los tiempos cambian. Le cuentan esto a alguno hace 35 años y le explota la cabeza
... Al cuerno con ellos ....y al cachondeo, como con todos los que se marcan faroles por no ir a menos
... Al cuerno con ellos ....y al cachondeo, como con todos los que se marcan faroles por no ir a menos
.. un 2º referendum (con la alternativa al remain clara) ....otro ordago a chica que se desmonta, pero todo solo esta empezando
En una sociedad de masas aparece un nuevo elemento que llamamos refeudalización. Significa que la corrupción es distinta de la corrupción tradicional. La corrupción tradicional consiste en que los ricos corrompen a este o aquel político, o compran a un político para ponerlo al servicio de sus intereses. En la refeudalización ocurre lo contrario. Los dirigentes de Fidesz, y Orbán en particular, crean su propia oligarquía, y la oligarquía depende de la política, no la política de la oligarquía. Veamos el ejemplo de Lorinc Meszaros, alcalde de Felcsút y amigo de la infancia de Orbán. Era un desconocido, pero en unos años amasó una enorme fortuna y ahora es una de las personas más ricas del mundo. Básicamente la mitad de Hungría está bajo su control. Por supuesto, todo el mundo sabe que se trata del dinero de Orbán y no de Meszaros, pero no se puede demostrar.
La tercera fase, la actual, es una mezcla. La cuestión catalana ha perdido compás en la UE. Ya no hay preguntas constantes en la rueda de prensa diaria de las instituciones europeas ni persecución a los jefes de Estado de los 28 para que se pronuncien. La intensidad ha bajado en la propia España. Alde, el partido de los liberales en la Eurocámara, ha empezado los trámites de expulsión del PDeCAT y el secretario general del Consejo de Europa, Thorbjørn Jagland, dio un "respaldo total a España" hace apenas unos días en Estrasburgo, defendiendo la Justicia española y asegurando que "si no se respeta la Constitución es el caos".
Pero si se rasca un poco, más allá de lo que socios y diplomáticos dicen y tienen que decir, el camino está lleno de peros, de dudas y de críticas. "La Constitución es sagrada, pero es evidente que algo está mal cuando los tribunales de varios países te dan una bofetada. Bélgica sabemos todos cómo es en estos asuntos, pero en Alemania ha sido lo mismo y es donde Madrid pensaba que iría mejor", explica un alto funcionario. "La causa no se sostenía, punto. ¿Violaron la ley? Probablemente, pero España, el Gobierno y los jueces se han extralimitado", coincide un experto con más de 15 años de experiencia en el Consejo de la UE.
...
La sensación en las últimas fechas es que había más posibilidades que la judicial, que el discurso del PP y su reacción fue, quizás, exagerada. La llamada a la ley es poderosa en Bruselas, pero como se dijo a Madrid hace un año, aquí se cuida "la fuerza del argumento, no el argumento de la fuerza".
en v/FR (saldra en v/ES con google translate)
Un artículo de un tal Benjamin Disraeli, un seudónimo, al que un historiador (B. Husson) ha dado el vistobueno.
Es interesante, el punto de vista
Acabará el Brexit en tragedia ou en tragicomédia ?
[url]http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-va-t-finir-en-tragedie-ou-en-tragicomedie-edouard-husson-3518513.html/page/0/2[/url] ([url]http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-va-t-finir-en-tragedie-ou-en-tragicomedie-edouard-husson-3518513.html/page/0/2[/url])
Tout ceci montre pas mal de myopie: au même moment, Donald Trump, s’est entretenu avec Theresa May en marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Certes elle s’est entendu dire, une fois de plus, qu’il fallait négocier bien plus durement qu’elle ne le fait; mais la conversation a porté ausssi sur un accord de libre-échange qui sera négocié entre Washington et Londres dès que la Grande-Bretagne sera sortie de manière irréversible. Theresa May sera-t-elle à la hauteur du partenariat que lui propose le nouveau président américain.
en v/FR (saldra en v/ES con google translate)
Un artículo de un tal Benjamin Disraeli, un seudónimo, al que un historiador (B. Husson) ha dado el vistobueno.
Es interesante, el punto de vista
Acabará el Brexit en tragedia ou en tragicomédia ?
[url]http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-va-t-finir-en-tragedie-ou-en-tragicomedie-edouard-husson-3518513.html/page/0/2[/url] ([url]http://www.atlantico.fr/decryptage/brexit-va-t-finir-en-tragedie-ou-en-tragicomedie-edouard-husson-3518513.html/page/0/2[/url])
Esta es la clave:CitarTout ceci montre pas mal de myopie: au même moment, Donald Trump, s’est entretenu avec Theresa May en marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Certes elle s’est entendu dire, une fois de plus, qu’il fallait négocier bien plus durement qu’elle ne le fait; mais la conversation a porté ausssi sur un accord de libre-échange qui sera négocié entre Washington et Londres dès que la Grande-Bretagne sera sortie de manière irréversible. Theresa May sera-t-elle à la hauteur du partenariat que lui propose le nouveau président américain.
Los EE.UU. se han negado a negociar ya, como querían los británicos. Sólo negociarán si la salida es irreversible. Es un "salto de fe" lo que les piden, están en un brete porque una vez fuera no estarán en condiciones de negociar duro con los EE.UU., que es lo que estos le piden que haga ahora con Europa. Tendrán que tragar con lo que les de EE.UU. (Que será mezquino... RNPT.)
[...] We know the post-Brexit world will be very different from now. It cannot be otherwise, because no form of Brexit will remotely match up to the promises made by the leave campaign in the referendum: they were vote-gathering fantasies, not serious politics.
[...]
And – once this becomes clear – I believe those who promised what will never be delivered will have much to answer for. They persuaded a deceived population to vote to be weaker and poorer. That will never be forgotten – nor forgiven.
I have made no false promises on Brexit – I’m free to tell you the truth
https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major (https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major)Citar[...] We know the post-Brexit world will be very different from now. It cannot be otherwise, because no form of Brexit will remotely match up to the promises made by the leave campaign in the referendum: they were vote-gathering fantasies, not serious politics.
[...]
And – once this becomes clear – I believe those who promised what will never be delivered will have much to answer for. They persuaded a deceived population to vote to be weaker and poorer. That will never be forgotten – nor forgiven.
Son el sector que odia a los "bloody forriners" y que se llega a creer que todavia pueden prescindir de ellos.I have made no false promises on Brexit – I’m free to tell you the truth
https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major (https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major)Citar[...] We know the post-Brexit world will be very different from now. It cannot be otherwise, because no form of Brexit will remotely match up to the promises made by the leave campaign in the referendum: they were vote-gathering fantasies, not serious politics.
[...]
And – once this becomes clear – I believe those who promised what will never be delivered will have much to answer for. They persuaded a deceived population to vote to be weaker and poorer. That will never be forgotten – nor forgiven.
Muy bien John Major diciendo cosas que en realidad saben todos los MPs.
Muchos politicos estan pillados. Si no hay Brexit les crujen, y si lo hay les terminaran crujiendo igual. Les miro y no puedo evitar ver un juego de la gallina en el que los que se retiren primero de su postura pro brexit se la pegan en sus constituencies. Lo ideal es ser el ultimo o que te quiten "desde arriba" y darselas de victima. Pero es un juego peligroso.
Otra cosa a tener en cuenta es que el nucleo duro brexiter (no la parte recuperable "brexit-trump-proces") en realidad lo que es es xenofobo. Es por eso que presentar hechos no tiene ningun efecto. Economia, geopolitica o viabilidad no les toca en lo fundamental, no les importa lo mas minimo.
I have made no false promises on Brexit – I’m free to tell you the truth
https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major (https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/oct/16/false-promises-brexit-john-major)Citar[...] We know the post-Brexit world will be very different from now. It cannot be otherwise, because no form of Brexit will remotely match up to the promises made by the leave campaign in the referendum: they were vote-gathering fantasies, not serious politics.
[...]
And – once this becomes clear – I believe those who promised what will never be delivered will have much to answer for. They persuaded a deceived population to vote to be weaker and poorer. That will never be forgotten – nor forgiven.
Muy bien John Major diciendo cosas que en realidad saben todos los MPs.
Muchos politicos estan pillados. Si no hay Brexit les crujen, y si lo hay les terminaran crujiendo igual. Les miro y no puedo evitar ver un juego de la gallina en el que los que se retiren primero de su postura pro brexit se la pegan en sus constituencies. Lo ideal es ser el ultimo o que te quiten "desde arriba" y darselas de victima. Pero es un juego peligroso.
Otra cosa a tener en cuenta es que el nucleo duro brexiter (no la parte recuperable "brexit-trump-proces") en realidad lo que es es xenofobo. Es por eso que presentar hechos no tiene ningun efecto. Economia, geopolitica o viabilidad no les toca en lo fundamental, no les importa lo mas minimo.
El problema que tienen los remainers, y al parecer los outsiders, es que se creen la caricatura de su adversario. No es de extrañar cuando la prensa se concentra en nucleos duros remainer, y su visión está fuertemente influenciada por ello.
La misma campaña del referendum tenia el foco puesto en la inmigracion de la forma mas visceral:
Our leading parties appear incapable of having this debate. The Conservative Party is beholden to City donors, and Labour is terrified of saying anything about immigration and identity. A collective failure to ask these questions and trigger a more holistic debate over Brexit could easily come back to haunt us.
Imagine, for a moment, a long transition deal that retains the nuts and bolts of Britain’s current EU membership, followed by a slightly watered down settlement that sees the U.K. adopting a liberal immigration regime in return for access to specific areas of the single market. A majority of the British electorate would see it as one that prioritized economics over identity, or London over the nation.
We shouldn’t expect voters to shrug their shoulders if they feel let down by the government yet again. It’s far more likely they will mobilize and move into an even more radical political home that makes Nigel Farage and UKIP look like a fairly quirky brand of old school British conservatism.
[...] En Berlín, una alianza formada por diferentes asociaciones y organizaciones de la sociedad civil, reunidas bajo la etiqueta #indivisibles, convocó una manifestación contra el racismo y la exclusión, y a favor de una sociedad libre y abierta. Los organizadores calculaban que asistirían unas 40.000 personas. Al final fueron 240.000. Propietarios de discotecas, taxistas, sindicalistas y juezas, al lado de los que rescatan a los refugiados en el Mediterráneo y son criminalizados por ello, se congregaron a lo largo de todo un día en el Tiergarten, delante de la Puerta de Brandemburgo. Una jubilada se paseaba con una pancarta que decía: “No me cabe en la cabeza que haya tenido que salir a la calle contra el odio”.Indivisibles
Durante los últimos tres años, quienes más revuelo han causado han sido los que sostienen que ellos son el “pueblo”, aunque solo representen a una minoría de nacionalistas autoritarios radicales. Últimamente, los medios de comunicación que buscan hacerse con altas cuotas de audiencia se han orientado sobre todo hacia los fenómenos sociales y políticos de los que pueden extraer provecho iconográfico o que pueden explotar como canapés retóricos. De ello han sacado partido las voces y los movimientos extremistas que han rebajado la calidad del enfrentamiento político con transgresiones de tabúes cada vez más estridentes, símbolos cada vez más repugnantes y eslóganes cada vez más simples. Los políticos que califican los crímenes nazis de “cagadita de pájaro” y los manifestantes que pasean por las calles una soga para Angela Merkel o la figura de un cerdo (el distintivo islamófobo y antisemita de determinado Occidente) pueden estar seguros de que van a disfrutar de atención en abundancia. También a consecuencia de ello, el núcleo sensato y democrático, las personas que consideraban incuestionable que una sociedad moderna e ilustrada es diversa y solidaria, se han hundido en la sombra.
“Somos indivisibles”. Es fácil entender lo que esto significa. “Somos indivisibles” quiere decir que no existe la jerarquización de los seres humanos y sus necesidades; que no es real situar en un lado a los parados y las paradas, a los trabajadores y las trabajadoras y a los marginados y las marginadas sociales, y en el otro, a los refugiados y las refugiadas, a los emigrantes y las emigrantes, a los judíos y las judías; que separar los problemas importantes de unos de los secundarios de los otros es una falsedad. Esta jerarquización del dolor, el aprecio de unos grupos y el desprecio de otros no es más que el mito destructivo que demagogos como Steve Banon o Marine Le Pen, pero también Sahra Wagenknecht, se complacen en difundir con más o menos sutileza.[...]
La misma campaña del referendum tenia el foco puesto en la inmigracion de la forma mas visceral:
Esta pasando en todas partes... en Alemania, por ejemplo, la cosa está candente:Citar[...] En Berlín, una alianza formada por diferentes asociaciones y organizaciones de la sociedad civil, reunidas bajo la etiqueta #indivisibles, convocó una manifestación contra el racismo y la exclusión, y a favor de una sociedad libre y abierta. Los organizadores calculaban que asistirían unas 40.000 personas. Al final fueron 240.000. Propietarios de discotecas, taxistas, sindicalistas y juezas, al lado de los que rescatan a los refugiados en el Mediterráneo y son criminalizados por ello, se congregaron a lo largo de todo un día en el Tiergarten, delante de la Puerta de Brandemburgo. Una jubilada se paseaba con una pancarta que decía: “No me cabe en la cabeza que haya tenido que salir a la calle contra el odio”.Indivisibles
Durante los últimos tres años, quienes más revuelo han causado han sido los que sostienen que ellos son el “pueblo”, aunque solo representen a una minoría de nacionalistas autoritarios radicales. Últimamente, los medios de comunicación que buscan hacerse con altas cuotas de audiencia se han orientado sobre todo hacia los fenómenos sociales y políticos de los que pueden extraer provecho iconográfico o que pueden explotar como canapés retóricos. De ello han sacado partido las voces y los movimientos extremistas que han rebajado la calidad del enfrentamiento político con transgresiones de tabúes cada vez más estridentes, símbolos cada vez más repugnantes y eslóganes cada vez más simples. Los políticos que califican los crímenes nazis de “cagadita de pájaro” y los manifestantes que pasean por las calles una soga para Angela Merkel o la figura de un cerdo (el distintivo islamófobo y antisemita de determinado Occidente) pueden estar seguros de que van a disfrutar de atención en abundancia. También a consecuencia de ello, el núcleo sensato y democrático, las personas que consideraban incuestionable que una sociedad moderna e ilustrada es diversa y solidaria, se han hundido en la sombra.
“Somos indivisibles”. Es fácil entender lo que esto significa. “Somos indivisibles” quiere decir que no existe la jerarquización de los seres humanos y sus necesidades; que no es real situar en un lado a los parados y las paradas, a los trabajadores y las trabajadoras y a los marginados y las marginadas sociales, y en el otro, a los refugiados y las refugiadas, a los emigrantes y las emigrantes, a los judíos y las judías; que separar los problemas importantes de unos de los secundarios de los otros es una falsedad. Esta jerarquización del dolor, el aprecio de unos grupos y el desprecio de otros no es más que el mito destructivo que demagogos como Steve Banon o Marine Le Pen, pero también Sahra Wagenknecht, se complacen en difundir con más o menos sutileza.[...]
https://elpais.com/elpais/2018/10/26/opinion/1540552255_532582.html (https://elpais.com/elpais/2018/10/26/opinion/1540552255_532582.html)
La campaña oficial "Vote Leave" apenas mencionó la inmigración en todo el proceso. Nigel Farage con UKIP por su lado sí lo hizo.
Prof. Dr. Paul J.J. Welfens, President of the European Institute for International Economic Relations at the
University of Wuppertal Jean Monnet Professor for European Economic Integration; Chair for Macroeconomics,
(Rainer-Gruenter-Str. 21, D-42119 Wuppertal; +49 202 4391371), Alfred Grosser Professorship 2007/08,
Sciences Po, Paris; Research Fellow, IZA, Bonn; Non-Resident Senior Fellow at AICGS/Johns Hopkins
University, Washington DC
Welfens has testified before the US Senate, the German Parliament, the European Parliament, the European
Central Bank, the IMF, etc. Welfens is one of Europe’s leading economists and the author of An Accidental Brexit,
London: Palgrave, September 2017
welfens@eiiw.uni-wuppertal.de , [url=http://www.eiiw.eu]www.eiiw.eu[/url] ([url]http://www.eiiw.eu[/url]) filename: BREXITus2017
EIIW 2015 = 20 years of award-winning research
September 18, 2017, based upon a presentation at Georgetown University (September 12)
BREXIT Analysis: Distorted Majority, Fake News about Immigration Burden, Dim Prospects
for Global Britain Approach, Weakening Europe as Problem for the US
1) The result of the British EU referendum of June 23, 2016, was 51.9 % for BREXIT. The
expected ‘fair’ result, however, would have been 52.1% for REMAIN – namely if the
Cameron government’s information brochure (16 pages, sent to all households in England
April 9-11) would have mentioned the key finding of the Treasury Study that BREXIT
would mean a -10% real income effect in the long run: -6% from weaker EU single market
access in the future and a -4% non-realized gain from the enhanced EU single market
implementation that Mr. Cameron had obtained in negotiations with the EU. Using
standard UK popularity functions, which show the link between output growth and
government popularity, suggests that the inclusion of the income loss figure in the 16-
page information brochure would have resulted in a clear REMAIN vote. This information
blunder is very strange, and this all the more since the Cameron government had, in the
run-up to the Scottish Independence referendum in 2014, clearly informed voters that
every Scot would lose £1,400 Pounds in the case of independence – and all the benefits
from British EU membership. The income loss of BREXIT according to the 2016 Treasury
analysis amounted to £1,800 Pounds per capita, yet this info was suppressed in the
information brochure.
2) There has been an intensive debate about EU immigration which Mr. Cameron portrayed
as a major burden for the UK. However, the OECD has shown that immigration in the UK
brings net benefits for the British budget. This has not prevented Mrs. May – she had been
the Home Secretary (interior minister) in the Cameron governments for six years – from
repeating the point about the massive long run immigration burden in the White Paper of
2017 which, however, also shows a graph according to which non-EU immigration had
been the dominant phenomenon. The anti-immigration rhetoric of Cameron has mainly
served to create a scapegoat for the massive cuts in government transfers to local
communities after the Transatlantic Banking Crisis: - 3.5 percentage points of national
income within five years which brought an under-provision of local public goods; and this
problem was then blamed on EU immigrants.
3) The May government has announced a new Global Britain strategy according to which a
series of new free trade agreements (FTA) will be concluded by the UK after BREXIT and
this should raise output growth considerably. Such a strategy will not deliver on promise
since the only free trade agreements with major trading partners to be concluded concern
the US and Japan. An FTA with India will be difficult since the Indian government will want
to negotiate about both trade and easier visa conditions for Indian workers – and
immigration is not popular in the UK. An FTA with China is hardly conceivable since the
US will oppose this for strategic reasons and since a broad FTA would bring a sharp
contraction of UK industry. A Global Britain approach will be very difficult to implement
if the Trump Administration continues undermining multilateralism, the World Trade
Organization and the Bank for International Settlements et cetera.
4) The British EU referendum of 2016 was a disorderly - thus violating the principles of
political rationality and fairness in a serious way. It is impossible to draw any valid
conclusions from this distorted referendum as to what the British majority really wants in
terms of EU membership. The promise of the Leave campaign that BREXIT would come at
no cost or would even bring economic benefits is quite doubtful. The strong Pound
depreciation – about 15% in the year since the referendum – drives up the inflation rate
which has reached almost 3% in 2017 instead of the 1% or so anticipated in 2016. The
Pound depreciation rate is also equivalent to a 15% loss of the British GDP share in world
gross domestic product and hence the British leverage in international negotiations will
reduce. The suggestions of the Leave group in the UK that the country could play a new
leadership role in the Commonwealth is totally misleading: Dean Acheson already noted
clear doubts about such an idea as a relevant view in his speech at West Point in 1962.
5) Knowledge about the EU institutions in the UK was particularly weak. In a survey by the
Bertelsmann Foundation, two simple questions about the EU were put to respondents in
EU countries and could be answered correctly by 81% of the German respondents, 80%
of the Italian respondents, 74% of the French respondents, 53% of the Polish respondents,
but only 49% of British respondents; the UK joined the EU in 1973, Poland in 2004 – lack
of adequate information policy by the EU in the United Kingdom thus was part of the
problem surrounding EU membership.
6) The EU should adopt broad institutional reforms, including stricter admission criteria for
Eurozone membership and a stricter implementation of national debt brakes; plus a
higher EU budget – so far only 1% of gross domestic product. The latter is a key problem
since the Forschungsgruppe Wahlen – an expert group on voting in Germany – has shown
that voters at the national election easily understand what the key political topics and
fields are, while at the European elections a majority indicates that they do not understand
what key policy fields are relevant at the EU level; consequently, there is a tendency to
vote rather strongly for radical parties as a means to express general dissatisfaction.
Those radical parties have won the European elections in the UK and France in 2014 and
the radical, right-wing start-up party AfD obtained 7% in Germany. These radical parties
then reinvest the reputation and EU funds obtained in Brussels into national elections so
that the EU becomes a source of political radicalization in Europe and creates a selfinflicted
need for a strange grand coalition in the European Parliament until that day when
an anti-EU majority will dominate.
7) BREXIT also risks having a negative impact on the peace process in Northern Ireland and
the Good Friday Agreement in particular – an agreement which was reached partly due to
support from then President Bill Clinton.
8) With a weakening of Western Europe there will be problems for the West. In the future,
the US will rely on Germany’s government as a voice in Brussels, at the same time a more
Germany dominated EU will not find broad political support from EU27 partners. Both the
US and the EU should consider options for better cooperation, particularly in a consistent
policy for foreign direct investment in China where a more level playing field is needed.
Germany and the EU27 without the UK and traditional US support look like a new problem
version of the Home Alone movies.
PS: About true lies in the BREXIT campaign: On September 17, 2017, Sir David Norgrove, Chair of
the UK Statistics Authority, wrote a letter to Foreign Secretary Boris Johnson, concerning the
alleged £350 million in weekly contributions to the EU emphasized by the latter in his pro-BREXIT
campaign, stating “This confuses gross and net contributions…It is a clear misuse of official
statistics”. You can find the Norgrove letter on the BREXIT monitoring of EIIW, namely
[url=http://www.eiiw.eu]www.eiiw.eu[/url] ([url]http://www.eiiw.eu[/url])
Esto sencillamente no es verdad. Solo eran mas politicamente correctos. Ahi tienes los videos del mismo Cameron meneando el tema.
Vivo en UK, ya me hubiese gustado no verlo.
Do you agree or disagree that ‘the Government should get on with implementing the result of the referendum to take Britain out of the EU and in doing so take back control of our borders, laws, money and trade’?
FIGAROVOX.- The European Court of Human Rights has just confirmed the conviction of an Austrian woman who spoke during a meeting about the "pedophilia" of Mohammed. What is the reason for this conviction?
Grégor PUPPINCK.- The only true reason for this decision is the fear of Muslims. The Court expressly says so: the Austrian authorities were right to condemn these remarks in order to preserve “religious peace” and “mutual tolerance” in the Austrian society. According to the Court, states now have, and this is new, “the obligation […] of ensuring the peaceful co‑existence of all religions and those not belonging to a religious group by ensuring mutual tolerance”.
The Court develops several arguments to support its conclusion.
First, it judges the speaker’s very intention, and condemns her by considering that she did not seek so much to inform the public as to “disparage” Muhammad and to demonstrate “he was not a worthy subject of worship” and consequently to incite violence. Thus, to denigrate Muhammad is not protected by the freedom of expression: it would be necessary to speak about him with respect and good intentions!
The Court went on to find - unbelievably - that these words were not an expression of fact but a judgment of personal and hostile value, because the speaker would not have placed the facts in their historical context, nor did it say that Muhammad’s first wife was much older than him. Therefore, she would have “generalized” the pedophilia of Mohammed maliciously. For the Court, then, the speaker was in bad faith, and “legitimately”, that Muslims could have felt “offended” by these statements and that the Austrian Courts condemned them.
I believe this is a very serious decision indeed. First, because it resigns itself to the intolerance and even the violence of Muslims in the face of criticism, and renounces the firm defense of freedom of expression over Islam. In fact, it is the very violence of Muslims that would justify and demand that their beliefs be more protected against criticism.
More profoundly, this decision is also very serious because it puts the objectives of “mutual tolerance” and “peaceful co-existence” on freedom of thought and expression in religious matters. It allows to muzzle the criticism of Islam in the name of living-together. This goes against Western modernity, which requires, on the contrary, to subject Islam to historical criticism, without fear of upsetting the beliefs of its followers and even of provoking tensions.
Esto sencillamente no es verdad. Solo eran mas politicamente correctos. Ahi tienes los videos del mismo Cameron meneando el tema.
Vivo en UK, ya me hubiese gustado no verlo.
Yo vivo en UK y soy británico, y pro-Brexit. Por cierto, Cameron hizo campaña contra Brexit, para vivir aquí te enteras poco de la película.
[...]
The fact is the British people are not happy with what they have – and frankly neither am I. Put simply, for those of us outside the euro zone, far from being too little Europe there is too much of it. Too much cost, too much bureaucracy, too much meddling in issues that belong to nation states or civil society or, indeed, individuals. Whole swaths of legislation covering social issues, working time and home affairs should, in my view, be scrapped.
Being a member of the European Union also gives us strength in the world… It amplifies our power. When we’re in these organisations, we become an even bigger force in the world, with a bigger influence in the world.
No tuvieron miramientos a la hora de destrozar a la ciudadanía griega, con la estimable colaboración de Syriza.Como removedor de conciencias europeas, Salvini no les llega a Tsipras y Varoufakis ni a la suela de los zapatos. Y ya vimos el tremendísimo resultado que obtuvieron.
[...] Ese tipo de opiniones hacen imposible que hable con algunos de mis invitados de la fiesta de nochevieja. Por ejemplo no he tenido una sola conversación con la mujer que fue de mis mejores amigas, la madrina de uno de mis hijos –vamos a llamarla Marta– desde una llamada histérica de abril de 2010, un par de días después de que un avión que llevaba al entonces presidente se estrellara cerca de Smolensk, en Rusia. En años posteriores, Marta se ha acercado a Jarosław Kaczyński, el líder del partido Ley y Justicia y el hermano gemelo del difunto presidente. Lo invita a menudo a su apartamento y le dice a quién debería nombrar en su gabinete. Intenté verla hace poco en Varsovia, pero ella se negó. “¿De qué hablaríamos?”, me escribió, y luego se quedó callada. [...]
C'est un coup de tonnerre hallucinant. Nissan réunira ce jeudi son conseil d'administration pour voter le départ de Carlos Ghosn. Le constructeur japonais affirme que l'emblématique patron a dissimulé une partie de ses revenus au fisc japonais. Le directeur général de Nissan, Hiroto Saikawa, a dénoncé «des pratiques financières inacceptables et graves» et a confirmé l'arrestation de Carlos Ghosn à Tokyo, annoncée par la chaîne de télévision publique japonaise NHK.
o que se ha pactado son dos declaraciones. Una primera, firmada por los 27, y en la que se dice que "después de que Reino Unido deje la Unión, Gibraltar no estará incluida en el ámbito territorial de los acuerdos que se cierren entre la UE y Reino Unido. Sin embargo, eso no excluye la posibilidad de que haya acuerdos separados entre Reino Unido y la UE en lo que respecta a Gibraltar. Sin perjuicio de las competencias de la UE y en total respeto de la integridad territorial de sus Estados Miembros como garantiza el artículo 4(2) del Tratado de la UE, esos acuerdos requerirán un acuerdo previo del Reino de España".
una segunda declaración, que está consensuada y respaldada tanto por los 27 como por el Reino Unido por escrito, que estipula lo siguiente: "El Gobierno de su Majestad nota que la única finalidad del artículo 184 del Acuerdo de Salida es imponer los mejores esfuerzos para que la Unión y el Reino Unido negocien acuerdos que rijan su futura relación. Eso no impone ninguna obligación sobre el alcance territorial de estos acuerdos y, por lo tanto, no existe obligación ni presunción basada en esta disposición, de modo que estos acuerdos tengan el mismo alcance territorial que el dispuesto en el artículo 3 del Acuerdo de Salida".
Los partidarios del Brexit duro han arremetido también contra May por haber cedido en la cuestión de Gibraltar ante las presiones del Gobierno español. "La rendición de Gibraltar, que no tiene que estar necesariamente cubierto en las futuras relaciones sobre el acuerdo comercial con la UE, puede ser la gota que colme el vaso", ha advertido Stewart Jackson, ex jefe del personal del ex ministro del Brexit David Davis.
El tema de fondo, es que ES sí ha cedido a la UE toda negociación futura con UK.
Es decir, toda negociación será entre UK-UE, y ES sólo podrá forzar la exclusión del territorio de Gibraltar de ese tipo de acuerdo.
El tema de fondo, es que ES sí ha cedido a la UE toda negociación futura con UK.
Es decir, toda negociación será entre UK-UE, y ES sólo podrá forzar la exclusión del territorio de Gibraltar de ese tipo de acuerdo.
Si alguien deja de ser socio del Barça, lo negocia con el Barça, no con los otros 150.000 socios dueños del club.
Lo escrito se lee.
El asunto de Gibraltar concierne a dos socios de la UE y países soberanos, Reino Unido y España.
España no debería haber firmado en esos términos, dando a la UE un protagonismo que no ha tenido.
Lo único que hay que recordar a los ingleses y a la UE es el artículo X del Tratado de Utrecht, 13 de julio de 1713, más antiguo que el Tratado de Roma y demás sucedáneos.
"Prometer hasta meter y luego jodete"
Gibraltar y el Tratado de Utrecht
Martín Ortega Carcelén.
ARI 19/2013 - 31/5/2013
La transmisión de derechos se realizó por medio del Tratado de paz y amistad entre España y Gran Bretaña de 13 de julio de 1713, conocido (con otros textos) como Tratado de Utrecht. El texto auténtico del artículo X de dicho tratado, que sigue en vigor para las dos partes, está redactado en latín, por lo que se reproduce la traducción española generalmente aceptada, contenida en la página web del MAEC, de los extractos relevantes:
“Artículo X. El Rey Católico, por sí y por sus herederos y sucesores, cede por este Tratado a la Corona de la Gran Bretaña la plena y entera propiedad de la ciudad y castillo de Gibraltar, juntamente con su puerto, defensas y fortalezas que le pertenecen, dando la dicha propiedad absolutamente para que la tenga y goce con entero derecho y para siempre, sin excepción ni impedimento alguno. Pero, para evitar cualquiera abusos y fraudes en la introducción de las mercaderías, quiere el Rey Católico, y supone que así se ha de entender, que la dicha propiedad se ceda a la Gran Bretaña sin jurisdicción alguna territorial y sin comunicación alguna abierta con el país circunvecino por parte de tierra. Y como la comunicación por mar con la costa de España no puede estar abierta y segura en todos los tiempos, y de aquí puede resultar que los soldados de la guarnición de Gibraltar y los vecinos de aquella ciudad se ven reducidos a grandes angustias, siendo la mente del Rey Católico sólo impedir, como queda dicho más arriba, la introducción fraudulenta de mercaderías por la vía de tierra, se ha acordado que en estos casos se pueda comprar a dinero de contado en tierra de España circunvecina la provisión y demás cosas necesarias para el uso de las tropas del presidio, de los vecinos u de las naves surtas en el puerto. Pero si se aprehendieran algunas mercaderías introducidas por Gibraltar, ya para permuta de víveres o ya para otro fin, se adjudicarían al fisco, y presentada queja de esta contravención del presente Tratado serán castigados severamente los culpados…
“Si en algún tiempo a la Corona de la Gran Bretaña le pareciere conveniente dar, vender, enajenar de cualquier modo la propiedad de la dicha Ciudad de Gibraltar, se ha convenido y concordado por este Tratado que se dará a la Corona de España la primera acción antes que a otros para redimirla.”
De este texto se deducen tres condiciones que enmarcan la cesión: (1) se define el territorio cedido como la ciudad y castillo de Gibraltar, juntamente con su puerto, defensas y fortalezas que le pertenecen, sin plazo de tiempo, pero “sin jurisdicción alguna territorial”; (2) no se permite la “comunicación abierta con el país circunvecino por tierra”, salvo para el abastecimiento en caso de necesidad; y (3) España tiene un derecho a “redimir” la ciudad de Gibraltar, es decir, recuperar su soberanía, en caso de que Gran Bretaña quiera “dar, vender o enajenar de cualquier modo” su propiedad.
[…]
[url]http://www.realinstitutoelcano.org/wps/portal/rielcano_es/contenido?WCM_GLOBAL_CONTEXT=/elcano/elcano_es/zonas_es/politicaexteriorespanola/ari19-2013-ortega-gibraltar-tratado-de-utrecht[/url] ([url]http://www.realinstitutoelcano.org/wps/portal/rielcano_es/contenido?WCM_GLOBAL_CONTEXT=/elcano/elcano_es/zonas_es/politicaexteriorespanola/ari19-2013-ortega-gibraltar-tratado-de-utrecht[/url])
Permiso para mi opinión sobre el peñón-peñazo, que yo he venido aquí a hablar de mi libro:
-La incapacidad diplomática española con Gibraltar me parece evidente, fundamentalmente porque no se pone en el lugar de UK, y le exige :rofl: una solución absoluta.
EMHO el Reino Hundido obtiene dos cosas de Gibraltar:
1. control/presencia militar en el estrecho, un punto clave del mapa global de ahora y siempre.
2. un problema con los habitantes, que ni quiere ni necesita para 1, y cuya repercusión política (=grano en el culo para el Primer Ministro de turno) supera con creces las posibles ventajas (alguien que aporte aquí, por favor).
España no necesita el control del estrecho porque ya lo tiene. UK no lo va a ceder. A España esto tampoco tiene porqué molestarle en un escenario OTAN. A España le molestan los 40 mil habitantes, las ampliaciones de territorio, pista de aterrizaje, etc etc y el tráfico ilegal y evasión de impuestos. A UK en realidad también, porque no necesita habitantes allí, a los que -EMHO- deja trapichear y evadir impuestos porque no sabe qué hacer con ellos y para joder, que en eso son expertos.
Creo que sobre estas premisas debería el Reino de España fundamentar una propuesta realista, y dejar ya la "exigencia" hidalgodecaldoclarista de quererlo todo, y ya, y porque si. Así no va la diplomacia y menos con la pérfida Albión en posición predominante.
(...)
Si eso se permite es porque beneficia a alguien. ( ...)
Ciertamente hay un problema en acabar con ese paraíso fiscal, la nación soberana que soberanee, tendrá que bregar con una gente que a partir de ese momento tendría que trabajar para ganarse la vida.
¿Van a tener su 15-M 8 años más tarde, para que nazca su Pouvons que contrarreste a Le Pen? ;)
¿15M gabacho?
de ese 15M con sus manos al aire, sus musicas pa las procesiones, sus mil subsecciones desde los chuchos a chemtrails, ....; no tiene pinta de 15M lo de los tractoristas gabachos
que si, que tambien es un "no vull pagar", que les viene mal "ir a menos" y deflactarse; pero no llega al "la deuda es mala pero dame mas" del 15M y con mayor o menor acierto estan señalando a quien hay que joderle la pasta
https://www.facebook.com/DAILYSABAH/videos/2249787801973173/ (https://www.facebook.com/DAILYSABAH/videos/2249787801973173/)
[...]El resultado de esta larga cadena de errores, presiones y decisiones evitables es que May está atrapada entre dividir su partido, llevar al país a su barranco o hundir su Gobierno. No hay nadie que pueda reemplazarla en su partido sin tener los mismos retos. Y no hay mayoría en el Parlamento ni para aprobar ninguna opción, ni para ir a elecciones. Alguien tendrá que ceder, pero las líneas sobre la arena llevan trazadas muchos años ya.
Inglaterra en ...resumen: farol visto; paga la ronda y a casa
Inglaterra en ...resumen: farol visto; paga la ronda y a casa
... Sí pero según el artículo ...la simbiosis es total, da igual pisitofilos o marujitas, que clerecias de cualquier faccion
https://www.xataka.com/robotica-e-ia/expresidente-google-china-no-hay-esperanza-para-sector-europeo-inteligencia-artificial (https://www.xataka.com/robotica-e-ia/expresidente-google-china-no-hay-esperanza-para-sector-europeo-inteligencia-artificial)
Interesante por la visión -no necesariamente sin sesgo.
Cuando haya pasado todo lo importante en Internet, de Europa se dirá que se perdió la revolución digital, al estilo de España con la revolución industrial.
Los chinos ya han dado por perdido el coche de combustión y se apuntan al sorpasso con el eléctrico (no sólo coches). Si Europa pierde también el automóvil, me temo que vendrán malísimos tiempos.
Europa está demasiado ocupada sujetando el capitalismo popular y a toda la constelación de caseros zampalangostinos que hay por el sur, y que no les monten una revolución, como para ocuparse de esas minucias como la inteligencia artificial.Si, pero no...
Cuando ocurra el brexit ya se puede despedir Europa de esa estadística, la mayor parte de esos papeles seguramente provengan de la maraña de factorías de investigación como DeepMind con sede en Londres. El propio Geoffrey Hinton, es británico, emigrado a Canadá para dar clases en la universidad de Toronto. Los chinos han hecho ese anuncio porque es la pura realidad, y para cogerles el ritmo se van a necesitar décadas de esfuerzo en esta Uropa decadente. Se nos van a comer, por todos lados. Y los alemanes van a pasar hambre cuando empiecen a entrar los chinos en sectores tradicionalmente copados por aquellos. La marca Alemania está kaputt, vw y db se la han cargado. Y el sector del automóvil tal cual lo conocemos tiene los días contadosEuropa está demasiado ocupada sujetando el capitalismo popular y a toda la constelación de caseros zampalangostinos que hay por el sur, y que no les monten una revolución, como para ocuparse de esas minucias como la inteligencia artificial.Si, pero no...
Europe—not the US or China—publishes the most AI research papers (https://qz.com/1490424/europe-publishes-more-ai-papers-than-the-us-or-china/)
(https://i.imgur.com/XA4z07A.png)
Evidentemente los papers son la base y los resultados de las investigaciones han de aplicarse a resolver problemas del mundo real.
Del famoso binomio del I+D en Europa no estamos tan mal en lo que respecta a la investigación, en donde hacemos agua es en lo que a la aplicación de esas investigaciones se refiere.
Saludos.
Baños iba para asesor de seguridad nacional del gobierno pero desde esferas británicas se le empezó a echar mierda encima por no ser "rusofobo". Consiguieron dejarle a un lado. Para mí es un señor con la cabeza muy bien amueblada y pleno conocimiento de lo que habla.
El tránsito del portaaviones ruso Almirante Kuznetsov desde el mar de Barents hasta las costas sirias, atravesando el estrecho de Gibraltar, provocó una tormenta político-estratégica que afectó a España directamente, dado que una parte de su escolta tenía previsto recalar en el puerto de Ceuta.
[...]
[url]http://www.realinstitutoelcano.org/wps/portal/rielcano_es/contenido?WCM_GLOBAL_CONTEXT=/elcano/elcano_es/zonas_es/europa/ari26-2017-romerobartumeus-paso-portaaviones-ruso-remueve-aguas-estrecho[/url] ([url]http://www.realinstitutoelcano.org/wps/portal/rielcano_es/contenido?WCM_GLOBAL_CONTEXT=/elcano/elcano_es/zonas_es/europa/ari26-2017-romerobartumeus-paso-portaaviones-ruso-remueve-aguas-estrecho[/url])
Yellow Vests Protests If Macron Fails, Europe Fails
French President Emmanuel Macron has tried to calm protesters by raising the minimum wage, among other concessions. But if the yellow vests continue eroding his authority, it's not just France that will suffer. And Germany is partly at fault.
Ni idea si la fuente es de fiar y supongo que no saldrá adelante, pero tienen mala leche, y oye...es una muy buena mala idea.
Protesters Planning Bank Run With Potential To Devastate Entire Euro Currency System
https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/ (https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/)
Ni idea si la fuente es de fiar y supongo que no saldrá adelante, pero tienen mala leche, y oye...es una muy buena mala idea.
Protesters Planning Bank Run With Potential To Devastate Entire Euro Currency System
https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/ (https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/)
Es una de esas "muy buenas malas ideas" que, como quemar edificios o envenenar depósitos de agua potable, es delito grave. Pero la fuente - islamófoba a la par que antisemita, y con cuenta de Twitter suspendida - encantada de la vida, atribuyendo las fluctuaciones diarias del EUR/USD a un bank run que no ha ocurrido ::)
Eso sí, si los chalequitos amarillos hundieran una o varias entidades con su pánico provocado, destruyendo oligofrénicamente sus propios depósitos y los de sus seres queridos, al minuto siguiente estarían aullando para que papá Estado les repusiera sus ahorros con cuenta al fondo de garantía de depósitos galo... que en última instancia también costean ellos.
El ciudadano-masa apesebrado posmoderno es lo que tiene. De donde no hay no se puede sacar :facepalm:
Volt Europa (Volt abreviado frecuentemente) es un movimiento político pro-europeo creado para las elecciones del Parlamento Europeo de 2019. Fue fundado en 2017 por Andrea Venzon, apoyado por Colombe Cahen-Salvador y Damian Boeselager. La organización basa sus políticas en diferentes campos como el cambio climático, inmigración, desigualdad económica, conflicto internacional, terrorismo y el impacto de la revolución tecnológica en el mercado laboral.[1][2]
Volt fue fundado el 29 de marzo de 2017, por Andrea Venzon, apoyado por Colombe Cahen-Salvador y Damian Boeselager. Según los fundadores, el partido era una reacción del creciente populismo antieuropeo y el Brexit.[3] En marzo de 2018, el primer partido subsidiario nacional fue fundado en Hamburgo, Alemania.
La filial con más miembros está en Italia.
Volt está activo en cada estado de país miembro de la UE.
Volt Europa estuvo incorporado como asociación sin ánimo de lucro en Luxemburgo bajo el nombre de Volt Europa.
Vox Europa (voz de Europa) era el nombre anterior de la organización.[4][5] La organización a día de hoy tiene 20.000 miembros en más de 30 países europeos.[6]
Alrededor 70% de los miembros actuales no han sido políticamente activos antes de unirse a Volt.[7]
Agenda Política
La visión de Volt Europa está dividida en 5+1 aspectos fundamentales: Estado eficiente, Crecimiento Económico, Igualdad Social, Equilibrio Global, Empoderamiento ciudadano y Reforma de la UE.[14] La razón para 5+1 es que el 5 primeros retos serán adaptados al nivel nacional para tener en cuenta realidades locales, y el reto +1 es su propuesta para reformar y fortalecer la UE
Valores políticos Editar
Volt se guía por seis valores políticos: Oportunidades Iguales, Justicia, Libertad, Dignidad Humana, Sostenibilidad y Solidaridad.
Volt, la alternativa europeísta a la extrema derecha
Este partido paneuropeo busca hacer frente a los movimientos ultraderechistas y nacionalistas que están surgiendo en Europa
Volt, la alternativa europeísta a la extrema derecha
Javier J. Bas
La extrema derecha y los nacionalismos crecen en Europa, pero hay un grupo de jóvenes que quieren seguir peleando por una Unión Europea sin fronteras. Es el caso del nuevo partido político Volt, un movimiento paneuropeo impulsado por jóvenes erasmus. Hablamos con Chema Larrea, uno de los responsables en España.
"Empezamos a ver que Europa se estaba quedando sin contenido", comenta Larrea. "Me enteré de este movimiento por Facebook". Un grupo de jóvenes erasmus decidieron unirse y formar un partido paneuropeista que compita con los movimientos ultraderechistas y nacionalistas.
"Nosotros queremos un mundo sin fronteras, pero lo que podemos hacer hoy es una Europa sin fronteras", explica. A diferencia de otros grupos nacionales que se unen en Europa, ellos son un partido único: "Lo que nos diferencia es que somos un partido paneuropeo. Tenemos el mismo nombre y los mismos estatutos en toda Europa".
En España aún están comenzando a coger fuerza. "Somos mas de 700. Nos financiamos por crowdfunding. A nivel europeo hemos recaudado más de medio millón de euros". A diferencia de los nacionalismos, "la bandera que nos une es la de la Unión Europea".
Su objertivo es conseguir formar un grupo propio en las próximas elecciones europeas. "De los 30 países en los que estamos, hemos creado ya 12 partidos. En España llevamos seis meses. Llegaremos a tiempo de las elecciones europeas".
Les planteamos qué habría ocurrido si hubiesen tenido representación parlamentaria en Andalucía y tuviesen que pactar con Vox. "Somos un partido antinacionalista, lo mas seguro es que no lo hubiesemos aceptado", responde Larrea.
Ni idea si la fuente es de fiar y supongo que no saldrá adelante, pero tienen mala leche, y oye...es una muy buena mala idea.
Protesters Planning Bank Run With Potential To Devastate Entire Euro Currency System
https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/ (https://www.dailycrusader.com/2019/01/french-protesters-planning-bank-run-with-potential-to-devastate-entire-euro-currency-system/)
Es una de esas "muy buenas malas ideas" que, como quemar edificios o envenenar depósitos de agua potable, es delito grave. Pero la fuente - islamófoba a la par que antisemita, y con cuenta de Twitter suspendida - encantada de la vida, atribuyendo las fluctuaciones diarias del EUR/USD a un bank run que no ha ocurrido ::)
Eso sí, si los chalequitos amarillos hundieran una o varias entidades con su pánico provocado, destruyendo oligofrénicamente sus propios depósitos y los de sus seres queridos, al minuto siguiente estarían aullando para que papá Estado les repusiera sus ahorros con cuenta al fondo de garantía de depósitos galo... que en última instancia también costean ellos.
El ciudadano-masa apesebrado posmoderno es lo que tiene. De donde no hay no se puede sacar :facepalm:
Dejo este video, muchas cosas de las que ya se han hablado pero dicho por un militar con graduación como que da mas miedo.
Es de abril de este año, tiene un tiempecillo ya.
XVI JORNADAS GEOPOLÍTICA Y GEOESTRATEGIA - LAS ESTRATEGIAS SEGURIDAD DE LOS EEUU
Baños iba para asesor de seguridad nacional del gobierno pero desde esferas británicas se le empezó a echar mierda encima por no ser "rusofobo". Consiguieron dejarle a un lado. Para mí es un señor con la cabeza muy bien amueblada y pleno conocimiento de lo que habla.
“Una vez conocido el desenlace del que iba a ser mi nombramiento como Director de Seguridad Nacional, ha llegado el momento de romper el silencio que la debida prudencia hasta ahora me había impuesto.
Antes de nada, a mi querido General Miguel Ángel Ballesteros, maestro y amigo, ya oficialmente nombrado para el puesto de Director de Seguridad Nacional, le deseo la mejor de las suertes, al tiempo que me pongo a su disposición para lo que precise.
Tampoco puedo dejar de mostrar mi agradecimiento al señor Presidente del Gobierno y a su jefe del gabinete, Iván Redondo, por haber pensado inicialmente en mí, lo que ya de por sí me ha supuesto un inmenso honor.
Han sido días muy intensos, en los que no han cesado las críticas más mordaces e injustificadas, pero también los apoyos de miles de personas, que me han mostrado su solidaridad en privado y en público. Y para estos últimos vaya mi agradecimiento desde lo más profundo de mi corazón, por haberse volcado en defenderme de los ataques infundados, de las ofensas a mi honor y de las agresiones a mi profesionalidad.
En cuanto a los medios, periodistas, tertulianos y políticos agraviadores, decirles que no se lo tengo en cuenta, pues prefiero pensar que no lo hacían por pura maldad, intereses espurios personales o en beneficio de fuerzas foráneas u oscuras, sino porque de verdad estaban convencidos de hacer un bien a su patria y a la seguridad de los españoles si conseguían evitar mi nombramiento.
Siempre he avalado que en democracia los militares no deben interferir en la política nacional en modo alguno. Nunca nadie me habrá oído manifestar en público la menor opinión sobre asuntos nacionales. Además de que sea un imperativo legal, creo firmemente que es el mejor servicio que los militares podemos prestar en un país democrático. Pero en la Academia General Militar me enseñaron a ni pedir ni rehusar cuando se trata de servir a España, allá donde se nos encomiende. Y ni pedí ser nombrado para cargo alguno en el actual gobierno, ni tampoco rehusé cuando se me propuso ser Director de Seguridad Nacional. Ni por un segundo, pues también me enseñaron a acudir presto a los puestos de mayor riesgo y fatiga. Personal y familiarmente me iba a suponer un gran trastorno, pero por encima de todo estaba España y unos españoles que me han permitido desarrollar mi labor profesional durante casi 40 años y a los que tenía la obligación de devolver lo que me han entregado, pues a ellos debo todo lo que soy. Como manifesté desde el primer instante, hubiera servido en tamaña responsabilidad con absoluta lealtad y la mayor disciplina, aunque también brindando mi opinión sincera aun cuando no gustara.
Se me ha acusado falsamente de las mayores barbaridades, las cuales no desmentí en su momento por no alimentar la cadena de difamaciones. Pero, una vez pasada la tormenta mediática, ha llegado el momento de proceder a restituir la verdad.
Para empezar, ni que decir tiene que no trabajo para ningún servicio de inteligencia ruso: ni FSB, ni SVR ni GRU. Por más que esté convencido de que la Unión Europea ha cometido un grave error al separarse de Rusia y dirigirse a un enfrentamiento con ella que cada vez parece más obvio, esto no significa que sea un vasallo del señor Putin, como algunos se han empeñado en trasmitir. Al contrario, mi único propósito ha sido siempre evitar que nos lleven a guerras en las que solo se defienden intereses de otros países y que acarrean un grave perjuicio a nuestra patria.
Tampoco me he dedicado a avistar ovnis, pues tan solo mencioné en el programa Cuarto Milenio que la CIA, en los años de la guerra fría, planeó emplear platillos volantes para acciones militares o de inteligencia, como así lo atestiguan documentos oficiales estadounidenses desclasificados.
Por si alguien tiene alguna duda, puede visionar, entre otros muchos, este link:
[url]http://www.secretsdeclassified.af.mi[/url] ([url]http://www.secretsdeclassified.af.mi[/url])...tified-Flyin…/
Del mismo modo, tampoco he sido cazador de fantasmas. Es cierto que participe en un programa de Cuarto Milenio que trataba sobre fenómenos paranormales, pero precisamente me llevaron como persona que no creía en estos temas y para dar fe de lo que allí sucediera. Y aprendí que hay personas que tienen percepciones ultrasensoriales que la mayoría no llegaremos nunca a entender.
Otra falacia ha sido citarme como habitual en los medios de comunicación rusos, en concreto en la cadena de televisión Russia Today (RT) y en el medio digital Sputnik. He participado en más de 400 programas de televisión y radio, en cadenas de toda orientación política. De ellos, tan solo he colaborado un par de veces en RT, en 2015 y 2016, y Sputnik me realizó una entrevista en 2015. Es decir, tres ocasiones en total.
También debo aclarar que no fui yo quien hizo público en primer lugar mi previsto nombramiento, pues la noticia saltó en el programa Espejo Público, de Antena 3, a primera hora de la mañana del jueves 7, cuando ni siquiera había ido a Moncloa para recibir los detalles del puesto, el cual me había sido ofrecido por teléfono la mañana anterior. Por supuesto, desmiento rotundamente a los malintencionados que han afirmado que todo ha sido una estratagema para vender mi libro “Así se domina el mundo”; afortunadamente, antes de ese día ya se estaba imprimiendo la 8ª edición y está siendo un bestseller mundial, por lo que no precisaba de publicidad añadida.
A pesar de los disparates que me han llegado a través de Twitter, nunca he bloqueado a nadie y jamás lo haré, pues creo firmemente en la libertad de expresión como pilar democrático básico. Además, las críticas, por más que a veces tengan finalidad destructiva, nos hacen crecer y evolucionar, pues los elogios y las alabanzas nos pueden adormecer y estancarnos.
Por otro lado, siempre he mantenido una coherencia intelectual, no variando mi discurso dependiendo del medio en que lo exponía. Por ello, tampoco he borrado ni borraré ninguno de mis tuits o mensajes en Facebook o LinkedIn. Además, todos mis análisis están basados en decenas de años de experiencia en puestos de responsabilidad, con el objetivo de acercar los entresijos de la geopolítica a todos los públicos, con transparencia y honestidad.
Este breve pero intenso periodo de mi vida también me ha ofrecido importantes lecciones. La primera, descubrir quiénes eran los falsos amigos, aquellos que, como veletas, enseguida cambiaron de bando al menor inconveniente. Pero sobre todo me ha permitido saber con quién de verdad puedo contar y quiénes son mis amigos sinceros, pues la auténtica amistad se demuestra en los momentos difíciles, cuando dar el apoyo al amigo puede suponer un riesgo para uno mismo. Como, de forma tan ejemplar, ha hecho Iker Jiménez, al que nunca dejaré de agradecer su gesto tan generoso y valiente, como siempre es él.
Para terminar, solo pediría que los españoles fuéramos capaces de unirnos de verdad, que dejáramos de lado nuestra herencia cainita y autodestructora, que abandonáramos la práctica perversa de aniquilar a cualquier precio al adversario político, sin pensar en el daño que se hace a España. Cuando lo consigamos, y dejemos de estar debilitados por injerencias externas, no tengo la menor duda de que seremos un país puntero y respetado. El pueblo español es maravilloso: solo precisa de líderes con miras de Estado, y no partidistas ni personalistas. Puede parecer una utopía, pero debemos luchar por ella.
Muchas gracias nuevamente a todas las personas que me han manifestado su apoyo!!”
[url]https://www.facebook.com/Pedro-Ba%C3%B1os-Geoestratego-177986436087641/?hc_ref=ARRexa4WpP2KxcjdyaKjLtvzPH3vHk3TjVKQ7RJAVWHtEj_jopdnfgC2Lce5l-J_7GE&fref=nf[/url] ([url]https://www.facebook.com/Pedro-Ba%C3%B1os-Geoestratego-177986436087641/?hc_ref=ARRexa4WpP2KxcjdyaKjLtvzPH3vHk3TjVKQ7RJAVWHtEj_jopdnfgC2Lce5l-J_7GE&fref=nf[/url])
Theresa May has sustained the heaviest parliamentary defeat of any British prime minister in the democratic era after MPs rejected her Brexit deal by a resounding majority of 230.
The Labour leader, Jeremy Corbyn, immediately moved to sieze the initiative, tabling a vote of no confidence in the government.
“This is a catastrophic defeat. The house has delivered its verdict on her deal. Delay and denial has reached the end of the line,” he said.
[...]
[...]
Aunque yo creo en lo que dice ppcc Brexit sin Exit... :roto2:
What’s the impact of immigration, according to Europeans and Americans?
MILAN (Reuters) - Italy’s government may tax cash and other valuables locked away in safety deposit boxes held with banks, Italian newspapers said on Wednesday, quoting Deputy Prime Minister Matteo Salvini.
The dailies quoted Salvini as telling a late-night TV program on Tuesday that he had been advised that safety deposit boxes in Italy held assets worth hundreds of billions of euros.
“Money that is substantially hidden,” he said, suggesting that deposit boxes were a way of hiding income and assets from the tax authorities.
Those who voluntarily declared their deposit-box holdings would be taxed at a low rate of about 15 percent, he added.
Fiscal Money Can Make or Break the Euro
Jun 17, 2019 YANIS VAROUFAKIS
The parallel payment system that Greece's government proposed in 2015 would have bolstered the eurozone. By contrast, the Italian government's planned "mini-Treasury bills" would lead to the single currency's demise.
ATHENS – It’s a curious feeling to watch your plan being deployed to do the opposite of what you intended. And that’s the feeling I’ve had since learning that Italy’s government is planning a variant of the fiscal money that I proposed for Greece in 2015.
My idea was to establish a tax-backed digital payment system to create fiscal space in eurozone countries that needed it, like Greece and Italy. The Italian plan, by contrast, would use a parallel payment system to break up the eurozone.
Under my proposal, each tax file number, belonging to individuals or firms, would be automatically provided with a Treasury Account (TA) and a PIN number with which to transfer funds from one TA to another, or back to the state.
One way TAs would be credited was by paying arrears into them. Taxpayers owed money by the state could opt for part or all of those arrears to be paid into their TA immediately, instead of waiting for months to be paid normally. That way, multiple arrears could be eliminated at once, thus liberating liquidity across the economy.
For example, suppose Company A is owed €1 million ($1.1 million) by the state, while owing €30,000 to an employee and another €500,000 to Company B. Suppose also that the employee and Company B owe, respectively, €10,000 and €200,000 in taxes to the state. If the €1 million is credited by the state to Company A’s TA, and Company A pays the employee and Company B via the system, the latter will be able to settle their tax arrears. At least €740,000 in arrears will have been eliminated in one fell swoop.
Individuals or firms could also acquire TA credits by purchasing them directly, via web-banking, from the state. The state would make it worth their while by offering buyers significant tax discounts (a €1 credit purchased today could extinguish taxes of, say, €1.10 a year from now). In essence, a new dis-intermediated (middlemen-free) public debt market would emerge, allowing the state to borrow small, medium, and large sums from the private sector in exchange for tax discounts.
When I first discussed the idea, staunch defenders of the status quo immediately challenged the legality of the proposed system, arguing that it violated the treaties establishing the euro as the sole legal tender. Expert advice that I had received, however, indicated that the system passed legal muster. A eurozone member state’s treasury has the authority to issue debt instruments at will, and to accept them in lieu of taxes. It is also perfectly legal for private entities to trade among themselves in any token they choose (say, frequent flier miles). The line of illegality would be crossed only if the government compelled vendors to accept the digital credits as payment – something I never intended.
An altogether different reaction to my proposal came from those who wanted to end the euro as a single currency, but not necessarily as a common currency. A former chief economist of a major European bank looked at my proposals and recognized in them his own scheme for a parallel currency that Italy, Greece, and other distressed eurozone members would use to pay salaries and pensions. I replied that a parallel currency was both undesirable and pointless, as it would lead to a sharp devaluation of the new national currency, in which most people would be paid, while private and public debts would remain euro-denominated. That would be a recipe for serial, accelerating insolvencies, inevitably leading to the eurozone’s demise.
Then there were those who argued that an announcement of any parallel payment system would trigger a bank run and capital flight, thus pushing the country surreptitiously out of the eurozone, regardless of its intentions. This conjecture contains an important truth: the payment system I proposed would reduce the costs of a euro exit by clearing a rocky but navigable path to a new national currency.
Indeed, if my parallel, euro-denominated system had been operational in June 2015, when the European Central Bank closed down Greece’s banks to blackmail its people and government into accepting the third bailout loan, two outcomes would have been possible. First, transactions would have shifted massively from the banking system to our TA-based public payment system, thus reducing substantially the ECB’s leverage. Second, it would be common knowledge that, at the push of a button, the government could convert the new euro-denominated payment system into a new currency.
Would such a system have triggered a redenomination from the euro to the drachma? Or would it have given pause to the troika of Greece’s lenders (the European Commission, the International Monetary Fund, and the ECB), causing them to think twice before they closed down Greece’s banks and issued their Grexit threats?
The answer depends on the politics of both sides. In this sense, the parallel payment system is neutral: it can be used to bolster the eurozone just as effectively as it can be deployed to break it up.
In our case, the idea was to keep Greece viably within the eurozone by using the additional bargaining power afforded by the parallel payment system to negotiate the deep debt restructuring needed to revive economic growth and ensure long-term fiscal sustainability. As long as our creditors saw that our redenomination costs were lowered, while our demands for debt restructuring were sensible, they would think twice before threatening us with Grexit. Joint action by the ECB and my ministry would allow the parallel system to be portrayed as a new pillar of the euro, thus quashing any financial panic. By ending the popular association of the euro with permanent stagnation, the parallel system would be the single currency’s friend.
This brings us to Italy. There are two technical differences between the system I designed and Italy’s planned mini-Treasury bills (or mini-BOTs). First, mini-BOTs will be printed on paper, something I opposed, to avoid a grey market. Our total supply of digital credits would have been managed by a distributed ledger, to ensure full transparency and prevent the inflationary overproduction of credits. Second, the mini-BOTs will be interest-free, perpetual bonds, without future tax discounts.
But the real difference between the Italian scheme and mine remains political. The parallel payment system I proposed was designed to use the reality of lower eurozone exit costs to create new fiscal space and help civilize the monetary union in the process. Italy’s system is the first step toward a parallel currency by which to bring about the eurozone’s end.
SINTRA, Portugal (Reuters) - European Central Bank policymakers were divided on Tuesday, with some feeling powerless, after President Mario Draghi hinted at new stimulus measures that had yet to be discussed by the ECB’s Governing Council.
Draghi told an ECB conference the central bank would ease policy again if inflation fails to accelerate, saying that fresh bond purchases, rate cuts or changes to the ECB’s policy guidance had all been “raised and discussed” at a meeting of the Council less than two weeks ago.
The message depressed the euro and bond yields, in the process angering U.S. President Donald Trump, who accused Draghi of seeking an unfair trade advantage by devaluing the euro.
But conversations with six sources on the sidelines of the ECB’s annual symposium in Sintra, Portugal, showed that rate-setters had not expected such a strong message and that there was no consensus on the path ahead.
The sources, who have direct knowledge of the situation, said the possibility of a rate cut or fresh asset buys had been mentioned last month only in passing and there had been no substantive discussion as the focus had been on a fresh package of loans.
Markets were unimpressed with Draghi’s message after the June rate meeting, however.
A further escalation of the global trade war since then and a string of bad economic indicators also suggested that many of the risks were already materialising, forcing Draghi to strengthen his message, one of the sources said.
CLEAR SHIFT
Indeed, speaking on Tuesday, Draghi said more stimulus would come if there were no improvement, a marked shift from the June message that the ECB would act in the event of “adverse contingencies”.
The sources said policymakers were concerned that Draghi was flagging his measures so strongly to markets as a ‘fait accompli’ that there would be no chance for them to disagree with them in at the next policy meeting on July 25.
But they added that, with a global trade war escalating and financial worries around Italy already high, there was little appetite for a fight in July.
Several added that very little new information will come to light before the next rate meeting, so it would be difficult to justify coming to a different policy conclusion than in June.
Nevertheless, they said the debate about which measures might be implemented, when and in what order was still wide open. An ECB spokesman declined to comment.
Some policymakers favour a resumption of the ECB’s 2.6 trillion euro bond purchase programme, others prefer a simple reinforcement to the ECB’s pledge not to raise rates for a long time and some lean towards rate cuts, the sources said.
POLICY MESSAGE FIRST?
Several saw a change to the ECB’s policy message as the first port of call.
This could mean dropping a reference to when rates might rise, simply saying they would stay at present – or potentially lower – levels until specific economic conditions including a level of inflation were met, two of the sources said.
This would allow the ECB to maintain guidance for a longer period, not having to push back the timing of rate lift-off over and over again.
Others favoured resuming purchases of sovereign bonds on the grounds that it would lower borrowing costs for governments, indirectly creating fiscal space for them to react to the economic downturn.
This posed some issues, however. After buying 2.6 trillion euros’ (£2.3 trillion) worth of bonds between 2014 and 2018, the ECB is already close to owning a third of the public debt of countries such as Portugal and Germany – a threshold it has pledged not to breach so as not to constitute a blocking minority in any debt restructuring.
Draghi said the ECB would make full use of its flexibility, and some sources said this so called “issuer limit” could be disposed of or circumvented if necessary.
A handful of sources were supportive of a rate cut, although this would be made more complicated by the possible need to mitigate the side effect on banks of deeply negative rates through exemptions.
This so-called tiered system, where banks pay a reduced penalty rate on a portion of their excess reserves, has met with opposition from large parts of the Governing Council due to its complexity.
One source also pointed out that it risked creating arbitrage opportunities for some banks when taken in combination with ECB’s Longer-Term Refinancing Operation (TLTRO III), in which banks are paid to borrow from the ECB provided that they lend that cash on to households and firms.
A minority thought the ECB should refrain from acting altogether unless economic data deteriorated significantly and inflation expectations fell further away from the ECB’s target.
EU top jobs: It’s gonna get ugly
Leaders under pressure to get down to business at summit.
As the European Council convenes Thursday to try to select a new slate of EU leaders, one thing is clear: Nobody has the upper hand.
In years past, the center-right European People’s Party was strong enough in the Council and the European Parliament to muscle in many of its candidates. This time around, the political divisions are stark. Power in the Council is split roughly into quarters — between the EPP, Socialists, Liberals and none of the above.
What makes the political math so ugly is that while no single political force can dominate the discussion, there’s no shortage of veto points. Both the EPP and the new alliance between the Liberals and French President Emmanuel Macron control enough votes in the Council to block its most important decision: the appointment of a new European Commission president.
“I’ve never before seen the political families playing such a strong role within the Council,” said Reinhard Bütikofer, the co-president of the European Greens party.
In theory, even the countries whose representatives in the Council don’t belong to any of the major political families — Britain, Greece, Hungary, Italy and Poland — could wield a veto, in the unlikely case that they were willing to work together.
To send a nomination to the European Parliament for approval requires a “reinforced qualified majority” in the Council — meaning the consent of at least 21 of 28 EU countries, comprising 65 percent or more of the bloc’s population.
Things are no less unsettled in Parliament. The institution’s leaders have insisted that the Commission president be a Spitzenkandidat — or one of the “lead candidates” put forward for the European Parliament election by the major political groups. But they haven’t been able to agree on which one — German MEP Manfred Weber for the conservatives; Commission First Vice President Frans Timmermans for the Socialists; and Competition Commissioner Margrethe Vestager for the Liberals.
That leaves the Council in a strong position to eliminate all three at Thursday’s summit, effectively setting the search back to square one.
The result is a deeply unsettled, potentially volatile selection process that could drag on through the summer or beyond, even as European Council President Donald Tusk said he is still hoping to get a deal by the end of this month.
Franco-German stumble
When it comes to what Tusk and other Brussels insiders are calling Plan B — choosing a Commission president from a small pool of eligible and interested prospects — nothing gets easier.
Germany and France, the EU’s big two, have traditionally spearheaded the decision-making process, and the support of Chancellor Angela Merkel and Macron is widely regarded as a prerequisite for any deal.
Merkel, however, is now serving her last term, and her influence so far has been undercut by her need to show allegiance to Weber, both as a German and member of her EPP family. Meanwhile, Macron has stumbled in his initial efforts to upend the EU establishment, with Nathalie Loiseau, his choice to lead the new centrist-liberal group in Parliament, forced to withdraw from contention after she angered the group's rank-and-fil.
Even if Germany and France remain the most influential voices, the stakes of the leadership talks are so high that the interests and views of all EU countries must be taken into consideration — including the outliers that under other circumstances might be more easily pressured into accepting a plan.
While the U.K., which is consumed by Brexit, has pledged to play a constructive role, and essentially go along with whatever majority decision is reached within the Council, it is unclear a consensus will be reached. It is also unclear if the new British prime minister, who could take office before the EU deliberations are complete, will take the same approach as Theresa May.
Hungarian Prime Minister Viktor Orbán, whose Fidesz party has been suspended from the EPP, has voiced loud opposition to Weber, his one-time ally. Meanwhile, Poland has signaled it would never accept the selection of Timmermans, who has led the EU’s efforts to punish Warsaw over alleged rule-of-law violations. The Central European Visegrad Four group, which also includes the Czech Republic and Slovakia, has indicated it could support the EU's Brexit negotiator, Michel Barnier, as a compromise candidate for Commission president.
For some countries, like Italy, the leadership negotiations are also an opportunity to simultaneously press other interests. Italy is set to lose the three top EU jobs that it currently holds — the high representative for foreign affairs, Parliament president and president of the European Central Bank.
The current populist, Euroskeptic government in Rome makes it unlikely Italy will come away with a big prize. Still, Italian officials are working on two fronts — in the hopes of securing at least one prominent job, but also avoiding a Commission-imposed disciplinary procedure for running an excessive budget deficit.
Diplomats said it is unclear whom Italy would support for the EU’s top jobs, but that it is clear who could never win Rome’s backing: notably the Belgian MEP and former Prime Minister Guy Verhofstadt, who is aiming to become Parliament president.
Verhofstadt drew Italy’s ire by calling Prime Minister Giuseppe Conte a “puppet” of the country’s populist deputy prime ministers, Matteo Salvini of the League and Luigi Di Maio of the 5Star Movement.
In any case, the deficit issue seems to be Rome’s higher priority. Italian media reported that Conte used a summit of Southern European countries, the so-called Club Med, in Malta on Friday to try to strike a deal with France: offering to back a French candidate for president of the European Central Bank in exchange for help from Paris in preventing the deficit procedure.
Diplomats from both countries told POLITICO they have no indication of such a request.
Time pressure
The Council is also facing extraordinary pressure to come to an agreement on the top jobs before the new Parliament sits for its first plenary session in Strasbourg on July 2 — a fact that many EU leaders, including Merkel, only seemed to fully digest in recent days.
The Parliament is obligated to select its president, and if the Council has not settled on its broader package by then, the legislature’s decision will severely restrict EU leaders’ options, particularly in terms of whom it chooses to succeed Commission President Jean-Claude Juncker.
The EU treaties require the Council to take into account the Parliament election result, but also to seek balance among political parties, geography and demography. The leaders have also said they want to improve gender parity in the EU’s upper ranks, meaning their ideal scenario would place women in two of the top four posts.
Adding even more complexity to the process is a simultaneous effort in Parliament by the three big party alliances, along with the Greens, to negotiate a joint policy agenda.
The Greens, despite a surge in numbers, don’t have any leader on the European Council and are still smaller than the others, so they are unlikely to end up with a top job even as their priorities, particularly in relation to climate change, are increasingly resonant with voters. As a result, the Greens have dug in their heels in the negotiations, demanding more ambitious environmental policies, including more aggressive efforts to cut emissions.
In his formal invitation letter to Thursday’s summit, Tusk could only restate his hope for quick agreement, while noting that his own consultations, which included phone calls on Tuesday with 14 of the 28 leaders, highlighted continuing divisions.
“These consultations have shown that there are different views, different interests, but also a common will to finalize this process before the first session of the European Parliament,” Tusk wrote to national leaders. “To this end, I will continue to consult you one by one up until the summit starts. I remain cautiously optimistic, as those I have spoken to have expressed determination to decide swiftly.”
“I hope we can make it on Thursday,” he added.
Prime ministers’ club
Many EU officials and diplomats think a deal Thursday is unlikely, and discussions will have to continue, including at the G20 summit in Osaka, Japan next week, where Tusk, Juncker, Merkel, Macron, May, and Conte will be in attendance, along with Dutch Prime Minister Mark Rutte and Spanish Prime Minister Pedro Sánchez. Rutte is one of the negotiating coordinators for the Liberals, while Sánchez is a coordinator for the Socialists.
Tusk’s main challenge in the process so far has been to identify qualified candidates willing to take on the EU jobs — and to get them to admit their interest openly. Council officials have long complained that one of the main flaws in the Spitzenkandidat process is that sitting prime ministers and presidents are unwilling to publicly declare their interest for fear of criticism at home, even though they are the most qualified and obvious candidates for EU posts.
“At the Council, they are scratching their heads, searching everywhere for candidates,” said an EU minister based outside of Brussels, who is closely following the process and spoke on condition of anonymity.
This minister said Council members are clearly putting a priority on finding candidates who have served within their own ranks, and this has led to some unusual suggestions, including former Italian Prime Minister Paolo Gentiloni, who led the government that lost power to the populists, former Danish Prime Minister Helle Thorning-Schmidt, and outgoing Lithuanian President Dalia Grybauskaitė.
“They are searching for names among the ex-prime ministers’ club,” the minister said. “They are focused on prime ministers and they’re stuck in the spirit of an exclusive club.”
“It reminds me of the dead poets’ society or royal marriages,” the minister added. “It is a pity because the best Commission presidents have not come from the old PMs’ club. Look at Jacques Delors.”
Delors, the veteran French statesman appointed in 1985, is the last Commission president named to the post without previously serving as a head of government.
Other names batted around Brussels include Barnier and former Commission Vice President Kristalina Georgieva, a veteran Bulgarian official now serving as chief executive officer of the World Bank in Washington. Georgieva made a brief bid to become United Nations secretary-general in 2016 and some of the advisers who helped her in that effort are now in Brussels testing her chances as a potential successor to Juncker.
The rejection of all three lead candidates from the European election could prompt an outcry in Parliament, but Macron and other critics of the Spitzenkandidat system have said that it was always intended to work in tandem with a new system of transnational candidate lists for Parliament, which the EU has not yet adopted. Should the transnational lists be adopted for the 2024 cycle, it could easily resurrect the Spitzenkandidat process.
With Brussels consumed by gossip and guessing about the leadership talks, this week’s summit seems to be shaping up more as an exercise in elimination than in selection.
“We can easily find ourselves with a tabula rasa at this council,” the EU minister said.
Lili Bayer contributed reporting.
Relativo al brexit, o al puesto vacante de primer ministro en UK, que viene a ser lo mismo, esta la cosa interesante en el sentido chino de la palabra.
Tras la dimisión de May, el nuevo PM se elegirá en dos pasos
1º por rondas eliminatorias hasta que solo queden 2 candidatos, y son los MP del partido conservador los que votan
2º por votación entre los dos ganadores de la ronda anterior, y son la militancia del partido conservador los que votan
Es decir, no tienen ni que pasar por el parlamento para colocar al que les salga del orto. Si eso no fuese suficiente drama, del orto va a salir con toda probabilidad....Boris Johnson, embaucador, incompetente, payaso y brexiteer convencido.
Por lo menos hay cagadas que no cometemos en este país, si esto sirve de consuelo.
https://www.theguardian.com/politics/conservative-leadership (https://www.theguardian.com/politics/conservative-leadership)
BERLIN (Reuters) - German Chancellor Angela Merkel was seen shaking as she met President Frank-Walter Steinmeier on Thursday, her second such bout within two weeks, but her spokesman said she was fine.
Merkel, 64, was attending a farewell ceremony for Justice Minister Katarina Barley, who is leaving to become a lawmaker in the European Parliament. The spokesman said Merkel would take part later in the swearing-in of the new justice minister.
On June 18, Merkel was also seen shaking when she met visiting Ukrainian President Volodymyr Zelenskiy but later said she felt better after drinking some water. Berlin is in the throes of a heatwave.
Asked if the chancellor would take part in this weekend’s G20 meeting in Japan, the spokesman said: “Everything is taking place as planned. The chancellor is well.”
Merkel appeared her usual self when she fielded questions from lawmakers during an hour-long session in parliament on Wednesday, shortly after which she gave a speech at the Humboldt University of Berlin.
The chancellor faces a grueling schedule in the coming days.
Later on Thursday, she flies to Japan for the G20 meeting before heading to Brussels for an EU summit on Sunday at which she will play a key role in trying to seal a deal on the distribution of the bloc’s top jobs for the next five years.
Los Estados Unidos de América han arrastrado al mundo a la era del proteccionismo judicial, mientras que el estado de derecho siempre ha servido como un instrumento regulador y se ha convertido en un arma de destrucción en la actualidad. la guerra económica que libra Estados Unidos contra el resto del mundo, incluso contra sus aliados tradicionales en Europa " . Una declaración impactante en el preámbulo del informe "Restaurando la soberanía de Francia y Europa y protegiendo a nuestras compañías de las leyes y medidas con alcance extraterritorial" del diputado de LREM, Raphaël Gawain, entregó el 26 de junio al Primer Ministro Edouard Philippe. Un informe vitriolo que también critica la pasividad de las autoridades francesas.
Al igual que el del diputado del PS Jean-Jacques Urvoas publicado en diciembre de 2014 , el informe de Rafael Gawain tiene el mérito de la claridad: "los procesamientos parecen estar motivados económicamente y los objetivos elegidos por diseño. (...) Sólo grandes Las empresas europeas y asiáticas, en competencia directa con las empresas estadounidenses, son el objetivo " .
Los tribunales estadounidenses han exigido multas de miles de millones de dólares a compañías francesas, europeas, sudamericanas y asiáticas, debido a que sus prácticas comerciales, sus clientes o algunos de sus pagos no cumplían con la ley de los EE. UU. Sin embargo, ninguna de estas prácticas tenía un vínculo directo con el territorio de los EE. UU. Y / o estas empresas cumplían con la ley de su país. Muchas compañías fueron condenadas e hicieron los títulos de la prensa internacional: BNP Paribas, HSBC, Commerzbank, Credit Agricole, Standard Chartered, ING, Bank of Tokyo, Royal Bank of Scotland, Siemens, Alstom, Telia, BAE Systems. , Total, Credit Suisse ... Y pronto por qué no Areva y Airbus. Demasiado es demasiado ... especialmente porque "las grandes empresas estadounidenses se salvan de cualquier procesamiento" o son condenadas a multas mucho más bajas, según el informe. Multas que no han comprometido su sostenibilidad. A diferencia de las empresas europeas muy fuertemente sancionadas.
Muy alta vulnerabilidad de las empresas francesas.
Los seis meses de investigaciones y audiencias llevadas a cabo por la misión de Raphaël Gawain permitieron elaborar una "observación ampliamente compartida" por los interlocutores entrevistados: las empresas francesas no tienen hoy en día las herramientas legales efectivas para defenderse. Procedimientos legales extraterritoriales contra ellos, ya sea por competidores o por autoridades extranjeras. "Están en una situación de gran vulnerabilidad, las autoridades francesas han dado durante muchos años la sensación de pasividad y la impresión de haberse rendido", señala el informe.
[...]
Finalmente, el informe indica que recientemente se dio un paso más en esta confrontación multidimensional con la entrada en vigor de la Ley de la Nube en marzo de 2018: "esta ley brinda a las autoridades judiciales de los EE. UU. La oportunidad de obtener proveedores de almacenamiento" de datos digitales (que son todos estadounidenses), sobre la base de una simple "orden judicial" de un juez de EE. UU., todos los datos no personales de personas jurídicas de cualquier nacionalidad, independientemente de dónde se encuentren los datos " . La Ley de la Nube proporciona acceso sin restricciones por parte de las autoridades judiciales de los EE. UU. A datos corporativos, lo que hace que los Tratados de Asistencia Legal Mutua sean obsoletos e innecesarios.
Que hacer ?
Esta multiplicación de riesgos aumenta la urgencia de una acción ambiciosa por parte de las autoridades públicas francesas. "Es imperativo que Francia desarrolle una estrategia para contener los ataques de extraterritorialidad judicial que le permita reafirmar su soberanía y proteger sus negocios y los millones de empleos que dependen de ella" , dice el informe. Con este fin, la misión propone nueve recomendaciones para proporcionar a Francia los instrumentos legales que necesita, garantizar el correcto funcionamiento de las herramientas existentes y promover la adopción de medidas efectivas a nivel europeo. El informe Gawain recomienda la protección de la confidencialidad de las opiniones legales en los negocios mediante la creación de un estatus de abogado en la empresa dotada de la ética del abogado. Esta medida, "la más eficaz técnicamente porque utiliza la ley de los Estados Unidos para protegerse a sí misma" , llenará uno de los vacíos más evidentes de la ley francesa. "Le dará a las compañías francesas el mismo nivel de protección del que disfrutan sus principales competidores", señala el informe.
El informe también aboga por la modernización de la ley de 1968, conocida como "ley de bloqueo", que la hará más efectiva mediante una serie de medidas en torno al tríptico: declaración (creación de un mecanismo de alerta obligatorio en upstream), soporte (implementación de soporte para empresas por parte de una administración dedicada, SISSE) y sanción (aumento de la sanción prevista en caso de violación de la ley). También recomienda la adopción de una ley que proteja a las empresas francesas contra la transmisión por parte del anfitrión de sus datos digitales no personales a las autoridades judiciales extranjeras: una extensión de la RGPD a los datos de entidades legales, que sancionarán a las empresas de alojamiento de datos digitales. que transmitiría a las autoridades extranjeras datos no personales relativos a personas jurídicas francesas fuera de los canales de asistencia judicial o administrativa mutua.
Herramientas para limitar el impacto de las leyes extraterritoriales.
Además, el informe solicita el desarrollo de una doctrina nacional compartida sobre los secretos a proteger, y para todas las administraciones que contribuyan a la cooperación internacional, ya sea judicial o administrativa, para evitar En el futuro, la información confidencial relacionada con intereses económicos esenciales puede ser transmitida a las autoridades extranjeras y utilizada en contra de nuestros negocios. Se recomienda hacer que la política criminal francesa sea más legible para fortalecer el uso de la convención judicial de interés público (CJIP), a fin de poder procesar delitos económicos y financieros de manera más efectiva en Francia. Esta iniciativa implicaría la remisión a la Fiscalía Nacional Financiera (PNF), que podría iniciar investigaciones contra grupos extranjeros. Pero ninguna acción de este tipo había sido lanzada hasta ahora por el PNF.
Al mismo tiempo, el informe Gawain quiere lanzar otras tres iniciativas para limitar el impacto de estas leyes. Recomienda que se consulte a la Corte Internacional de Justicia para determinar el estado del derecho internacional sobre extraterritorialidad y lanzar una iniciativa francesa en la OCDE para establecer normas comunes sobre leyes y medidas con efecto extraterritorial, permitiendo Regular mejor su uso y evitar el proteccionismo judicial. Finalmente, recomienda desarrollar una propuesta francesa a nuestros socios en la Unión Europea para fortalecer las herramientas europeas para la protección de las empresas europeas en respuesta a las solicitudes de autoridades administrativas y judiciales extranjeras. Sin duda, esto tendría un impacto mucho más poderoso a escala europea debido a un mercado económico estratégico para todas las compañías globales, a diferencia de las leyes nacionales que no tienen mucho que ver con las grandes compañías estadounidenses. Pueden pasar toda la noche desde Francia. ¿Pero de Europa? Ya sea un balance de terror mucho más efectivo a nivel europeo para contrarrestar a los Estados Unidos, este país aliado que no nos quiere tan bien ...
Michel Cabirol
Michel Cabirol
https://www.bloomberg.com/graphics/2018-who-will-be-the-next-ecb-president/?terminal=true (https://www.bloomberg.com/graphics/2018-who-will-be-the-next-ecb-president/?terminal=true)
(https://i.imgur.com/PnoKNUH.png)
Lira Drops as Traders Fret Over Turkish Central Bank Credibility
7 July 2019, 20:14 BST
The lira slumped more than 3% after President Recep Tayyip Erdogan’s shock decision to replace the country’s central bank governor fueled concern the regulator will lower borrowing costs by more than expected.
The currency was quoted at 5.81 per dollar as of 3.06 a.m. in Hong Kong, paring its world-beating advance over the past two months. It closed Friday in New York at 5.628 per dollar.
Turkey's New Central Bank Governor Murat Cetinkaya Presents Inflation Report
Murat CetinkayaPhotographer: Kerem Uzel/Bloomberg
Erdogan used his executive powers to dismiss Murat Cetinkaya over the weekend, potentially undermining the regulator’s independence just weeks before it’s scheduled to decide on policy. Deputy Governor Murat Uysal was named as a replacement.
During a closed meeting after the decree came out, Erdogan told lawmakers from his ruling party that politicians and bureaucrats all need to get behind his conviction that higher interest rates cause inflation, according to an official who was present. He also threatened consequences for anyone who defies the government’s economic policies, the official said.
The decision also gives bears the justification they needed for keeping bets against the currency at the highest in the world, in spite of the lira’s rally since early May, according to risk reversals.
“It’s undoubtedly bad news for Turkish assets,” Nigel Rendell, a London-based senior analyst at Medley, said on Saturday. “Once again Erdogan is interfering in the operation of the central bank because he thinks he knows best, which he doesn’t.”
Deutsche Bank to cut 18,000 jobs in 7.4 billion euro overhaul
[...]
After Deutsche Bank cuts, where will the growth be?
LONDON/FRANKFURT (Reuters) - For Deutsche Bank chief executive Christian Sewing, shrinking the group’s investment bank will be the relatively easy - if expensive - part of his restructuring plan.
[...]
So, the knock on effects are all lining up to push one bank after another of the Cliff of Death...and there ain't a thing the ECB can do about it, as they have only one mandate - inflation. They HAVE TO cut rates. And this is why Christine Lagarde has been brought in...
The ECB is going to need to become political. It is going to have to rescue an EU-wide banking system and put the banks into state hands and buy the extra gov debt and they are going to need to force fiscal reforms and massive fiscal stimulus. They will use the situation to force
through tighter EU fiscal consolidation, maybe even leaving some nations behind. Lagarde is perfect for this. It's what the IMF does. She is also a lawyer and a politician. The problem is, this stuff takes time. The ECB will buy any credit instrument to avoid capital
markets seizing up but shareholders are going to sense an equity wipeout over the debt holders, so equities bear the brunt of it (and bunds go more negative). The dollar will get bid as the $ funding crisis can not easily be solved by the ECB and lending at the margin tightens
And a strong dollar would destroy the banks and the global economy. It's all very circular and there are very few circuit breakers. Throw in heightened trade wars between EU/US (highly likely) and China/EU/US and you have a very big issue. And my problem with all of this
It's that the probability is much much higher than I'd like. And that is the reason to own bonds, dollars, bitcoin and gold. The former two are the beneficiaries of current needs, and the latter two are the high-gamma options on this escalating into an extreme policy event.
This all needs to be watched very closely. I am concerned that the summer will end with a building sense of crisis. You can already see the signs as liquidity issues come to the fore.. (Woodford, H20). None of this is a certain but the odds are exploding.
End.
Bruselas, 3.3.2010
E U R O P A 2 0 2 0
Una Estrategia para un crecimiento inteligente, sostenible e integrador
[url]http://www.ciencia.gob.es/stfls/MICINN/Internacional/FICHEROS/Actuaciones_Europeas/Europa_2020.pdf[/url] ([url]http://www.ciencia.gob.es/stfls/MICINN/Internacional/FICHEROS/Actuaciones_Europeas/Europa_2020.pdf[/url])
+
C. Posible evolución de la unión económica y monetaria
Una vez superada la crisis económica y financiera, la Unión estableció un proceso destinado a reforzar la arquitectura de la UEM. El proceso se basa en el Informe de los cinco presidentes titulado «Realizar la Unión Económica y Monetaria europea», de 2015, que se centraba en cuatro cuestiones principales:
• una verdadera unión económica;
• una unión financiera;
• una unión fiscal;
• una unión política.
[url]http://www.europarl.europa.eu/factsheets/es/sheet/87/la-gobernanza-economica[/url] ([url]http://www.europarl.europa.eu/factsheets/es/sheet/87/la-gobernanza-economica[/url])
+info
The Five President's Report: Completing Europe's Economic and Monetary Union
English (722.4 KB - PDF)
[url]https://ec.europa.eu/commission/publications/five-presidents-report-completing-europes-economic-and-monetary-union_en[/url] ([url]https://ec.europa.eu/commission/publications/five-presidents-report-completing-europes-economic-and-monetary-union_en[/url])
Boris vs Hunt ITV debate [url]https://www.youtube.com/watch?v=bOLqmNaA_jA[/url] ([url]https://www.youtube.com/watch?v=bOLqmNaA_jA[/url])
Las relaciones entre la UE y Suiza se basan en el Acuerdo de Libre Comercio de 1972 y en los más de 120 acuerdos bilaterales posteriores, que se gestionan a través de una compleja estructura basada en más de 15 Comités Mixtos.
[url]http://www.comercio.gob.es/es-ES/comercio-exterior/politica-comercial/relaciones-bilaterales-union-europea/europa/efta/Paginas/suiza.aspx[/url] ([url]http://www.comercio.gob.es/es-ES/comercio-exterior/politica-comercial/relaciones-bilaterales-union-europea/europa/efta/Paginas/suiza.aspx[/url])
Mar 8, 2023
Since mid-December, a corruption scandal has been unfolding in Brussels that could soon begin rock the European Union's (EU) very foundations. Eva Kaili, a 44-year-old Member of the European Parliament (MEP), was detained by Belgian authorities along with three other suspects—including fellow MEP Marc Tarabella and Kaili’s partner, an assistant to another MEP—for allegedly accepting large bribes from foreign government officials in exchange for whitewashing the image of those governments in Brussels. Qatar was frontline in the scandal, but so was Morocco, and more recently, even Mauritania. As this episode goes to press, no less than 1.5 million EUR in cash have been seized, much of which was lying around the house of Kaili’s father, who is also ensnared. With the World Cup then about to take place in Qatar and amid widespread allegations of unsafe working conditions for migrant workers hired to build the facilities, Kaili and her fellow suspects had their work cut out for them. Now—the scandal’s implications cannot be overstated. While the EU has long labored under critiques of its democratic legitimacy, the moral legitimacy of its leaders has largely gone unquestioned. That all changes now. To discuss the repercussions of this scandal, we have with us Frank Furedi, executive director of Mathias Corvinus Collegium (MCC) Brussels and Thomas Fazi, a columnist at UnHerd and Compact.
Former Finance Minister Yanis Varoufakis Attacked and Beaten in Athens
By
Paula Tsoni
March 11, 2023
The former Finance Minister of the SYRIZA government, economist Yanis Varoufakis, who is now the leader of his own political party -known as MERA 25 or DIEM 25- was brutally attacked and beaten by a group of five unidentified individuals while dining at a restaurant in the district of Exarcheia, central Athens, on Friday night.
At around 21:30 local time, Varoufakis was in the company of members of his party “from all over Europe, when a small group of thugs stormed the place,” DIEM 25 describes in an announcement issued few hours after the incident.
The assailants reportedly told Varoufakis “you’re not welcome here, because you signed memoranda,” as the attack took place.
“Varoufakis stood up to talk to them but they immediately responded with violence, savagely beating him while they also filmed the scene,” DIEM 25’s announcement adds, in confirmation of earlier reports on Greek media.
The injured politician was transported to Evangelismos hospital, where he was treated for a broken nose, besides other bruises and abrasions from the assault.
Yannis Varoufakis attacked in Exarchia, Athens
In the early hours of Saturday, Varoufakis, who is still today a controversial figure in Greek politics, took to Twitter to address the assault.
After thanking the hospital staff for treating him, and his followers for their solidarity, Varoufakis wrote of his assailants: “They were not anarchists, leftists, communists or members of any movement. Thugs for hire they were (and looked it) who clumsily invoked the lie that I sold out to the troika. We shall not let them divide us. Onwards!”
It is understood that with his comment, Varoufakis wanted to dismiss any attempted connection between the background of his assailants, and the area of Exarcheia – where the attack took place, and which has a reputation for being a stronghold of anarchists and political radicals in Athens.
Government spokesman Giannis Oikonomou had reacted to the news of the assault within minutes.
“We roundly and categorically condemn the attack on MERA 25 (party) secretary Mr. Y. Varoufakis. Thuggery has no place in our democracy and violence in any form is not tolerated,” Oikonomou posted to Twitter on Friday.
“Greek police will do whatever is necessary so that perpetrators face justice,” he added in another tweet.